Archive pour le Tag 'faux'

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La loi sur le renseignement :un vrai faux débat

La loi sur le renseignement :un vrai faux débat

 

Il es clair que le terrorisme appelle des mesures adaptées aux enjeux  notamment compte tenu de l’utilisation de nouveaux outils de communication.  certains certes minoritaires se sont opposés à cette loi dite «  liberticide ». En fait un vrai faux débat à la française. En rélité les pratiques de surveillance ont toujours existé à un détail près elles étaient le plus souvenait illégales et pratiquement pas contrôlées . D’une  certaine manière en les légalisant, elles deviennent  davantage encadrées. Les opposants avancent des arguments assez peu convaincants. Un point focalise leurs craintes : la mise en place, sur les réseaux des opérateurs, d’outils d’analyse automatique pour détecter par une « succession suspecte de données de connexion » une « menace terroriste ». Pour le Conseil national du numérique, cela « confine à une forme de surveillance de masse », qui  a « démontré son extrême inefficacité aux États-Unis ». Allusion aux pratiques de la NSA révélées par Edward Snowden.  Le gouvernement « entend garantir que la surveillance sera ciblée strictement sur les comportements menaçants », a assuré Manuel Valls en annonçant des amendements pour encadrer cette nouvelle technique, et plus généralement pour protéger certaines professions sensibles (magistrats, parlementaires, journalistes, avocats). Jean-Jacques Urvoas insiste de son côté sur les « garanties » apportées par la future Commission nationale de contrôle des techniques de renseignement (CNCTR) qui aura « beaucoup plus de pouvoirs » que la CNCIS (Commission nationale de contrôle  des interceptions de sécurité) qu’elle remplace.  Cette commission, dont la composition fait encore débat – à ce stade quatre magistrats, quatre parlementaires et un spécialiste des communications électroniques – devra donner son avis préalable à chaque mise en oeuvre de ces techniques sur le territoire national. Le Premier ministre pourra passer outre mais en motivant sa décision. Les députés ont limité en commission, contre l’avis du gouvernement, les cas d’urgence où elle ne sera informée qu’a posteriori. Elle pourra accéder aux renseignements collectés, à leur traçabilité et aux locaux où ils sont centralisés. Elle pourra aussi saisir le Conseil d’État. 

Parlementaires -Syrie : la condamnation de l’ hypocrisie

Parlementaires -Syrie :  la condamnation des faux culs

 

Cette affaire de Syrie témoigne de l’état de notre démocratie et de l’efficacité de notre politique dans tous les domaines. Tous les grands leaders ont condamné de manière presque ridicule cette rencontre des parlementaires avec Assad. De la démagogie pure et simple. Et aussi une incompétence en matière de politique étrangère. Une hypocrisie aussi car ils étaient au courant ( Fabius en a convenu). Clarifions, Assad est un dictateur sanguinaire mais il n’est pas le seul. On a largement contribué à éliminer nombre de dictateurs  ici ou là en particulier au moyen Orient, résultat avec l’Etat islamique la situation est catastrophique, pratiquement plus d’Etat, plus d’armée, partout l’Etat islamique qui avance en Syrie bien sûr, en Irak, en Lybie qui menace ( via des filiales) la moitie de l’Afrique ( Cameroun, Tchad, Nigeria, Niger, Maroc, Algérie, Tunisie, Mali, Centrafrique , Mauritanie, etc.), aussi l Arabie saoudite, des émirats, la Turquie, des pays asiatiques sans parler des attentats dans les grands pays occidentaux. En face de l’Etat islamique une coalition disparate, sans vraie volonté et sans grands moyens. Comment comprendre que le monde ne soit pas  capable de faire front à 40 000 djihadistes ? Certes implantés localement mais dont au moins al moitié sont étrangers à l’Etat islamique de Syrie et d’Irak. C’est uen chose de condamner  les dictatures et les atteintes aux droits de homme,  c’est autre chose que de faire de la politique étrangère sur des réalités. Sur quelles forces peut-on s’appuyer pour créer uen coalition véritablement opérationnelle , celles de Syrie avec Assad, celle du Tchad, d’Algérie, du Maroc, des émirats , de l’ Arabie saoudite, de l’Egypte, de Turquie, d’Iran et de la Russie ( en plus des pays occidentaux déjà théoriquement engagés)°. Autant de pays dont certains  chefs d’ Etat ne sont pas des modèles de vertus et même des dictateurs, certains sanguinaires. A défaut de cette coalition, l’Etat Islamique va progresser et continuer ses attentats surmédiatisés en occident. En même temps pourrir un peu plus nos banlieues ghettoïsés. On prend réellement les Français pour des enfants avec les déclarations pathétiques des dirigeants politiques. En politique étrangère en cas de conflit ,il est de coutume d’agir à trois niveaux. Au sommet on ne se mouille  pas, on  condamne toute initiative en direction de l’ennemi tant que le rapport de forces n’est pas clair. En dessous les lieutenants diffusent  l’idée d’un éventuel  compromis pour tâter l’opinion, enfin sur le terrain on envoie des émissaires pour préparer les termes dune éventuelle alliance ou compromris. C’est toujours et partout le même processus. les condamnations morales des grands responsables politiques ( et autres experts de salons)  apparaissent d’autant plus hypocrites et contreproductives. Elles témoignent du décalage entre le  réel et le virtuel, entre la parole politique et la pratique, entre la compétence et l’amateurisme.

Europe: le faux plan d’investissement de Juncker

Europe: le  faux plan d’investissement de Juncker

 

Le plan de 300 milliards de Juncker est une illusion ; en fait il s’agit d’effets de levier très hypothétiques pour mobiliser les ressources privées et publiques. La mise de l’Europe est en fait de l’ordre de 20 milliards et sur trois ans ( un peu plus de 6 milliards par an). En supposant  avec cette mise de départ de lever des fonds via des emprunts garantis ( autour de 60 milliards) ensuite  en espérant que ces fonds cofinancent jusqu’ 300 milliards des acteurs comme le transport , l’énergie  ou encore l’innovation.  Un pari risqué qui se contredit avec la rigueur budgétaire d’une  part et avec le manque général de confiance des entreprises. Au final tout cela pourrait se terminer par un grand flop car ce sont surtout les investisseurs privés qui sont sollicités pour des projets d’infrastructures dont la rentabilité est nécessairement à long terme. Pas vraiment la stratégie financière actuelle qui recherche du court terme.  Une certitude en tout cas l’Allemagne est très satisfaite que ce plan soit réduit au minimum qui ne sollicite pas trop les fiances de l’Europe !   Sur l’investissement, les objectifs sont précis: regrouper d’ici à l’été prochain 21 milliards de fonds publics européens déjà programmés, avec l’ambition d’attirer et de garantir 315 milliards d’investissement privés et publics en trois ans. L’enveloppe totale dépasse ainsi la barre des 300 milliards fixée comme objectif numéro un du nouveau président de la Commission. Dans la première phase, il n’y a pas de nouvel engagement budgétaire, ni européen ni national, ce qui permet de respecter la seconde promesse: cette relance se fera sans recours ni au déficit ni à la dette. L’instrument est un Fonds européen pour les instruments stratégiques (FEIS), placé sous le contrôle de la Commission et confié à l’expertise de la Banque européenne d’investissement. Mais, à la différence de la BEI, le FEIS devra prendre de vrais risques et, si nécessaire, les assumer jusqu’au bout. Les 21 milliards qui constitueront de facto ses fonds propres seront en première ligne si l’affaire devait mal tourner. «Il y a beaucoup d’argent sur les marchés, mais les investisseurs reculent devant le risque et hésitent à sauter le pas», explique l’un des architectes du plan Juncker. Il fallait donc les rassurer… Ce n’est pas un Big bang où les capitales se partagent l’argent tombé du ciel ! Un responsable européen  En pratique, 16 milliards viendront directement du budget de l’UE (dont la moitié en capital) et 5 milliards de la BEI, récemment revigorée par l’augmentation de son capital. Par la magie de «l’effet de levier», cet apport de départ permettrait aux financiers de la BEI de lever 60 milliards d’euros sur trois ans, qui seront assignés à la partie la plus risquée des investissements. Cette «garantie» viendrait décharger les investisseurs privés d’une bonne partie du risque, dans une proportion propre à chaque projet. Ce volet d’ingénierie financière permettrait de générer 15 euros d’investissements total pour chaque euro d’engagement public, soit au total les 315 milliards escomptés. La BEI se finance traditionnellement par emprunts sur les marchés internationaux et concentre déjà ses prêts dans les secteurs qui seront la priorité du plan Juncker: réseaux d’énergie, transports, télécommunications et les réseaux numériques à haut débit.

 

Pas d’impôts nouveaux en 2015 : c’est faux

Pas d’impôts nouveaux en 2015 : c’est faux

 

Il faut bien analyser  la dialectique énarchique de Hollande pour comprendre qu’il y aura bien des impôts nouveaux qui seront décidés pour 2015. La formule de Hollande est : « pas dimpôts nouveaux sauf ceux décidés ». Une formule très vague. En effet s’agit –il des impôts de l’Etat ou de l’ensemble des prélèvements obligatoires ? En fait,  fiscalité va augmenter notamment localement  (du fait à la fois de la réduction des dotations de l’Etat et de la situation catastrophique de ces collectivités). Nombre de taxes nationales vont aussi croitre mais juridiquement ce ne sont pas des impôts. Sans parler de l’augmentation du gaz, de électricité, de l’énergie en général qui ne sont ni des taxes, ni des impôts mais des prélèvements «  volontaires ». Bruno Le Roux a pourtant assuré que la majorité ne voterait aucune hausse d’impôts, mais l’association de défense des contribuables reste sceptique, pointant des augmentations déjà prévues.  « Nous ne voterons aucune nouvelle hausse d’impôt. » C’est le président du groupe socialiste à l’Assemblée nationale Bruno Le Roux qui l’affirme dans une interview accordée au Journal du Dimanche, deux jours après François Hollande a déclaré vendredi dernier qu’il n’y aurait « pas d’impôt supplémentaire sur qui que ce soit » l’année prochaine.  Mais l’association Contribuables associés ne croit pas à cette annonce. Les 350.000 membres de ce collectif estiment qu’elle est impossible à tenir. Selon leurs calculs, les Français payeront davantage à l’Etat l’an prochain, notamment à cause d’une probable augmentation des impôts locaux et de taxes déjà votées, comme le rappelle Eudes Baufreton, délégué général de l’association. Les dotations de l’Etat auprès des collectivités territoriales vont être réduites de 3,7 milliards d’euros l’année prochaine, une baisse qui pourrait être compensée via l’imposition locale. Le budget 2015 prévoit par ailleurs de supprimer la première tranche du barème de l’imposition, celle qui frappe à 5,5% les revenus annuels compris entre 6 011 et 11 991 euros par part. Cette mesure devrait bénéficier à plus de 6 millions de foyers fiscaux. Mais certaines taxes vont augmenter, comme la redevance, qui passera de 133 à 136 euros. Cependant, la promesse du chef de l’Etat concerne les futurs votes sur la question, pas ce qui est déjà prévu. Des augmentations d’impôts auront bien lieu en 2015, mais le gouvernement s’est engagé à ne pas en créer d’autres

 

Retraite chapeau du patron de GDF-Suez : le gouvernement complice et faux cul

Retraite chapeau du patron de GDF-Suez : le gouvernement complice et faux cul

Exemple type de l’hypocrisie du gouvernement  qui approuve mais « regrette »  les 800 000 euros annuels de retraite   »complémentaire » pour le président de GDF. Le gouvernement approuve au motif que juridiquement c’est conforme au code AFEP-Medef (code de gouvernance des sociétés). Un détail toutefois la donne a changé, il y a la crise, les efforts qu’on demande aux Français et y compris en matière de retraite. Deux poids,  deux mesures pour cette l’oligarchie qui s’auto- accorde des privilèges exorbitants. Le pire c’est que GDF n’est pas en saturation financière brillante. Alors incompétence ? Sans doute mais auusi pillage de la richesse nationale pour une caste.  Interrogé lundi en marge d’un déplacement en Algérie, où il était venu inaugurer une nouvelle usine Renault, le ministre de l’Économie Emmanuel Macron a confirmé que la retraite complémentaire du PDG de l’énergéticien était conforme au code Afep-Medef. Ce code, qui fait référence en matière de bonne gouvernance des sociétés cotées, prévoit que le montant de la retraite ne doit pas dépasser 45% de celui de sa rémunération de référence. Or en l’espèce, il atteint «seulement» 28 %. «Nous considérons donc qu’elle est acquise, même si le gouvernement désapprouve ce type de rémunération», a précisé le ministre de l’Économie. Révélée fin octobre par LeCanard enchaîné, le montant de la retraite chapeau de Gérard Mestrallet avait provoqué des remous, un an après le cas Philippe Varin qui avait conduit l’ancien président du directoire de PSA Peugeot Citroën à renoncer à près de 21 millions d’euros.  Emmanuel Macron a estimé que cette nouvelle affaire pouvait à juste titre choquer et que le gouvernement actuel, contrairement à son prédécesseur, n’aurait pas donné son aval à cette retraite. Mais malgré ses 34 % du capital du groupe, l’État ne peut pas revenir sur un élément de rémunération déjà acté par les actionnaires du gazier en 2009 et 2012, et désormais validé par le Haut comité de gouvernement d’entreprise saisi par GDF-Suez.  Le ministre de l’Économie a cependant prévenu qu’il n’en resterait pas là. Un comité d’experts doit prochainement être nommé pour réfléchir à l’élaboration d’un code de conduite plus sévère.

 

 

Affaire : pour la brigade financière Tapie a utilisé de faux documents

Affaire : pour  la brigade financière Tapie a utilisé de faux documents

Pour résumer cette affaire une peu embrouillée, la brigade financière estime après une très longue enquêté que les 400 millions empochées par Tapie n’étaient pas justifies. Si Tapie a effectivement réussi à convaincre certains jugesc’est à partir de faux documents. C’est donc   Nouveau rebondissement dans l’enquête sur l’arbitrage litigieux entre Bernard Tapie et le Crédit Lyonnais sur la revente d’Adidas. Un rapport de la brigade financière remet désormais en cause le bien-fondé même de l’arbitrage dont a bénéficié l’homme d’affaires. Dans ce document dont le journal Le Monde révèle des des extraits jeudi, les enquêteurs affirment que Bernard Tapie n’a en réalité pas été floué dans cette vente.  Cela fait vingt ans que Bernard Tapie répète à qui veut l’entendre que le Crédit Lyonnais l’a volé en revendant Adidas deux fois plus cher que ce que lui-même avait touché. L’arbitrage rendu en sa faveur -et aujourd’hui contesté- lui a permis d’empocher plus de 400 millions d’euros de dédommagements. Mais pour les policiers de la Brigade financière, qui ont tout passé au crible depuis deux ans, et qui ont rendu leur rapport cet été aux juges d’instructions, l’homme d’affaires n’aurait jamais dû obtenir gain de cause.  Les enquêteurs avancent deux raisons. D’abord, Bernard Tapie était pleinement associé aux opérations de revente d’Adidas, ce qu’ils indiquent dans leur rapport. Ensuite parce que devant le tribunal arbitral, lui et son avocat auraient produit des attestations inexactes voire mensongère. Or, ce serait ce contenu inexact qui aurait été retenu par les arbitres pour réévaluer le prix de vente d’Adidas et, par voie de conséquences, le préjudice allégué par Bernard Tapie.  Ce rapport conforte ainsi les soupçons des juges d’instruction qui ont mis en examen Bernard Tapie ainsi que plusieurs de ses proches pour « escroquerie en bande organisée ». Ce dernier a finalement réagi jeudi soir « Ce ne sont pas les policiers qui font la justice. La justice, c’est les magistrats ».

 

Croissance consommation : faux rebond en mai

Croissance consommation : faux rebond en  mai

En fait la consommation ne rebondit pas réellement et du coup la croissance va rester quasiment à plat. Les dépenses se sont certes accrues en mai, mais pas pour les loisirs et les achats plaisirs. Selon l’Insee, qui publie ses données sur le sujet ce vendredi 27 juin, les dépenses de consommation des ménages en mai ont augmenté de 1% en volume, après avoir reculé de 0,2% en avril. Mais l’institut précise que la hausse vient surtout des dépenses en énergie. Ainsi, les dépenses en biens fabriqués ont reculé de 0,1% en mai, celles d’alimentation de 1,1%, celles de biens durables de 0,4%, du fait notamment du repli des achats d’automobiles (-2,9% après +0,7% en avril).  Les dépenses en énergie, elles, ont bondi de 8%, a détaillé l’Institut national de la statistique et des études économiques dans un communiqué. En avril, elles avaient baissé de 3,3%. « Ce profil traduit un retour à la normale des dépenses de chauffage, alors qu’elles avaient reculé en début d’année en raison de températures particulièrement clémentes », écrit l’Insee. Autre poste de dépenses qui reprend de la vigueur: les achats en équipements du logement accélèrent (+3,1% après +0,7%). Les achats de textile, habillement et cuir augmentent aussi, mais très légèrement, de 0,6%, et alors qu’ils viennent de subir trois mois consécutifs de baisse.

 

Faux patrimoine : le secrétaire d’Etat Le Guen épinglé

Faux patrimoine : le secrétaire d’Etat Le Guen épinglé

Au Ps on n’aime pas les riches alors c’est normal de jouer au pauvre et de ne déclarer qu’une partie de son patrimoine. Le PS  est supposé représenter les couches populaires, malheureusement quand on examine le patrimoine, on se rend compte que la plupart sont de bons petits bourgeois. Exemple : Le Guen.  Un terrain de 15 hectares, un immeuble dans les Pyrénées-Atlantiques, deux appartements à Paris, une permanence et une société civile immobilière : le patrimoine du secrétaire d’Etat chargé des relations avec le Parlement Jean-Marie Le Guen est important. Assujetti à l’impôt de solidarité sur la fortune, il déclare 2,6 millions d’euros de biens immobiliers. Mais, dans sa première version de sa déclaration de patrimoine auprès de la Haute Autorité pour la transparence de la vie publique, il avait sous-estimé la valeur de ses biens. Publiée vendredi conformément à la loi sur la transparence du 11 octobre 2013, votée après l’affaire Jérôme Cahuzac, sa déclaration est complétée par une « appréciation » de la Haute Autorité pour la transparence de la vie publique. Mediapart révèle que la différence entre le montant préalablement déclaré et la valeur inscrite aujourd’hui serait de 700.000 euros. En outre, le site assure que le secrétaire d’Etat devrait subir un redressement fiscal de 50.000 euros. La Haute Autorité  indique avoir « relevé que les biens et droits immobiliers détenus par l’intéressé étaient évalués à des montants inférieurs aux prix constatés pour des biens comparables ». « Malgré la difficulté inhérente à la valorisation de biens immobiliers, notamment lorsqu’ils sont détenus en indivision, la Haute Autorité a estimé que ces évaluations étaient susceptibles de porter atteinte au caractère exact de cette déclaration », explique-t-elle. Jean-Marie Le Guen, entré au gouvernement après les municipales de mars 2014. « Après échanges avec la Haute Autorité, M. Le Guen a revalorisé certains de ses biens immobiliers et a fait état, pour les autres, de caractéristiques motivant son évaluation initiale », explique la Haute autorité, présidée par l’ancien magistrat Jean-Louis Nadal. « Compte tenu des corrections ainsi apportées, aucune information portée, à ce jour, à la connaissance de la Haute Autorité n’est de nature à mettre en cause le caractère exhaustif, exact et sincère de la déclaration de situation patrimoniale de Jean-Marie Le Guen publiée ce jour sur le site internet de la Haute Autorité », assure cette instance. Jean-Marie Le Guen est le seul membre du gouvernement à avoir reçu une « appréciation ». Tous ont rempli à la main ces déclarations. Ils indiquent la superficie et le prix des logements dont ils sont propriétaires, ainsi que les comptes, livrets ou assurances vie qu’ils détiennent, avec les montants au centime près, ainsi que les prêts qu’ils ont éventuellement contractés. Le Premier ministre, Manuel Valls, indique ainsi posséder deux appartements, un dans l’Essonne et un appartement de 44 mètres carrés à Paris, acheté 315.000 euros en 2010. Il dispose aussi d’un compte chez BNP Paribas, ainsi qu’un compte épargne et un PEL. Ségolène Royal, ministre de l’Energie, déclare pour sa part un appartement de 120 mètres carrés dans les Hauts-de-Seine, acquis en 1990, ainsi que plusieurs comptes et livrets d’un montant total d’environ 30.000 euros. Laurent Fabius déclare près de 4 millions d’euros de patrimoine immobilier. La secrétaire d’Etat au numérique Axelle Lemaire n’a pas oublié de mentionner son violon et son archet, pour 10.000 euros. Ces déclarations resteront accessibles sur le site de la Haute autorité « pendant toute la durée des fonctions ministérielles des personnes concernées », a indiqué cette instance, présidée par l’ancien magistrat Jean-Louis Nadal.

 

Orange piraté : risques de faux courriels

Orange piraté : risques de faux courriels

Orange a subi le 16 janvier une attaque informatique sur son site internet qui a permis à des pirates de dérober les données personnelles de plusieurs centaines de milliers de clients, rapporte le site spécialisé PCInpact. Les hackers ont pénétré sur le site de l’opérateur à partir de la page « Mon Compte » de l’espace client et dérobé des données telles que noms, prénoms, adresses ou numéros de téléphone. Les mots de passe n’ont pas été affectés et moins de 3% des clients, soit environ 800.000 personnes ont été concernées, a précisé le directeur technique d’Orange, Laurent Benatar, au site PCInpact. Les clients touchés ont été avertis par lettre pour éviter qu’ils ne soient piégés par de faux courriels (« phishing ») et l’opérateur a déposé plainte.

 

Vrai faux Pain au chocolat Copé: la justice enquête

Vrai faux Pain au chocolat Copé: la justice enquête

Une enquête préliminaire a été ouverte par le parquet de Draguignan (Var) après une plainte du Conseil français du culte musulman (CFCM) contre les propos de Jean-François Copé sur le « pain au chocolat », a-t-on appris vendredi de source judiciaire.  L’enquête a été confiée au service des atteintes aux personnes de la préfecture de police de Paris, a-t-on indiqué de même source. Aucune précision n’a été donnée quant à une éventuelle audition de M. Copé.  L’avocate du CFCM, Me Khadija Aoudia, avait déposé plainte à Nîmes en octobre et le parquet local s’est depuis dessaisi au profit de celui de Draguignan, où M. Copé, alors candidat à la présidence de l’UMP, avait évoqué lors d’un meeting le cas d’un jeune qui se serait fait « arracher son pain au chocolat par des voyous » au motif « qu’on ne mange pas au ramadan ». Ces propos ont été jugés diffamatoires et « islamophobes » par le CFCM, qui avait maintenu sa plainte après un courrier adressé par M. Copé à son président Mohammed Moussaoui, dans lequel le dirigeant de l’UMP s’étonnait des poursuites engagées à son encontre.

 

Des faux infirmiers dans les blocs mais de vrais chirurgiens, pour l’instant !!

Des faux infirmiers dans les blocs mais de vrais chirurgiens, pour l’instant !!

 

Y a-t-il un scandale dans les blocs opératoires ? L’Ordre national des Infirmiers a déposé cinq plaintes pour « mise en danger d’autrui » contre des aides-soignants et un agent d’entretien effectuant des actes d’infirmiers dans des blocs opératoires sans y être habilités. « Ce sont des personnes qui n’ont pas de diplôme d’infirmier et exercent des actes normalement dévolus à des infirmiers de bloc opératoire », a indiqué Didier Borniche, confirmant une information du Parisien/Aujourd’hui en France.  Ces plaintes ont été déposées entre février 2011 et juillet 2012 à l’encontre de 14 aides-soignants et un agent d’entretien pour « exercice illégal de la profession d’infirmier et mise en danger d’autrui« , a-t-il précisé.  Les chirurgiens qui les encadraient et les chefs d’établissements des cliniques privées et des hôpitaux sont également visés par des plaintes pour « complicité d’exercice illégal et mise en danger d’autrui ».  Les établissements concernés sont situés en Ariège, en Seine-Maritime, dans le Haut-Rhin, la Meuse et le Tarn-et-Garonne, où des enquêtes préliminaires ont été ouvertes.  En Seine-Maritime, le procureur a saisi l’agence régionale de santé (ARS) pour enquête, a précisé le président de l’Oni.  « Dans l’un de ces établissements, l’enquête en cours confirme les éléments que nous avions », a-t-il ajouté.  L’Ordre infirmier « a dans ses prérogatives de contrôler que les personnes qui exercent cette profession sont habilitées à le faire », souligne Didier Borniche. Selon lui, « le but est d’assurer la sécurité des patients et de faire respecter cette profession ». Créé fin 2006, l’Oni revendique 121.000 inscrits. Mais il ne représente qu’une minorité de professionnels, puisque le nombre total d’infirmiers et d’infirmières est d’environ 515.000, salariés pour la très grande majorité d’entre eux.  La ministre de la Santé Marisol Touraine a récemment souhaité que l’adhésion des infirmiers devienne facultative puisque cet organisme, soutenu par les professionnels libéraux, est assez largement rejeté par les salariés.

 

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