Archive pour le Tag 'famille'

NAHEL: La famille porte plainte pour escroquerie à propos de la cagnotte de Messiha

NAHEL: La famille porte plainte pour escroquerie à propos de la cagnotte de Messiha

L’avocat de la mère de Nahel a annoncé avoir déposé plainte ce mardi contre Jean Messiha pour escroquerie en bande organisée et recel d’escroquerie en bande organisée, dans le cadre de la cagnotte lancée en soutien à la famille du policier.

Selon les informations de RMC, la famille de Nahel a déposé une plainte, que le service police-justice de RMC a pu consulter, auprès de la procureure de la République de Paris, contre Jean Messiha pour escroquerie en bande organisée et recel de cette infraction, contre toute personne qui sera identifiée par l’enquête comme ayant participé à ces infractions.

Me Yassine Bouzrou, l’avocat de la mère du jeune garçon, rappelle que Jean Messiha a lancé une cagnotte de soutien au policier ayant tué Nahel, « une cagnotte qui bénéficie soit-disant à la famille du policier ».

L’avocat estime que pour inciter les contributeurs à donner des fonds, Jean Messiha a utilisé des « manoeuvres frauduleuses », notamment « l’utilisation illégale des antécédents judiciaire de Nahel pour le criminaliser et créer un mouvement de soutien au policier ayant tiré ».

Jean Messhia, a « affirmé que les fonds seraient reversés à la famille du policier sans qu’il ne soit certain que le bénéficiaire mentionné soit effectivement un proche du policier », en effet, le bénéficiaire mentionné sur la cagnotte est anonyme.

L’avocat cible trois délits: l’escroquerie en bande organisée, passible de 10 ans d’emprisonnement et d’un million d’euros d’amende, le détournement de fichiers de police, passible de 5 ans de prison et 300.000 euros d’amende et le recel de délit passible de 5 ans de prison et 375.000 euros d’amende.

Ces manœuvres frauduleuses, estime Me Bouzrou, « visent à tromper les personnes » et à les inciter et à remettre des fonds, à leur préjudice.

Sous pression, Jean Messiha a annoncé en début de soirée que la cagnotte allait être cloturée ce mardi à minuit.

Le député du Calvados Arthur Delaporte a également, ce mardi, saisi la procureure de la République.

Une pétition avait également été lancée pour la fermeture de cette cagnotte. Lancée par un collectif d’associations et de citoyens, elle a atteint ce mardi soir plus de 40.000 signatures.

Famille Ciotti: 500 000 € économisés sur le dos de la sécurité sociale !

Famille  Ciotti: 500 000 € économisés sur le dos de la sécurité sociale !

 

On peut évidemment être très libéral chez les « Républicains « mais en même temps de façon illégale bénéficier des avantages de l’État providence. C’est le cas de la famille famille d’Eric Ciotti ( nouveau patrons des « Républicain »s)  qui aurait économisé 500 000 € sur le dos de la sécurité sociale

En novembre, le Canard Enchaîné accusait l’ex-épouse du président du parti Les Républicains (LR) Eric Ciotti d’un cumul d’emplois fictifs, notamment à l’Assemblée. Deux mois plus tard, lundi 16 janvier, Mediapart  assure désormais que la mère du député bénéficie d’une prise en charge hospitalière injustifiée.

Anny Ciotti, victime d’un grave accident vasculaire cérébral en 2000, qui l’a laissée paralysée, occupe une place au sein du centre hospitalier public Jean-Chanton, dans la vallée de la Vésubie (Alpes-Maritimes). Elle séjourne dans un service de soins, dont le coût est en grande partie pris en charge par la Sécurité sociale, et qui est normalement réservé à des séjours de courte durée, selon Mediapart. Or, la mère d’Eric Ciotti y est soignée depuis plus de 18 ans.

Il existe pourtant un service pour les soins longue durée à l’hôpital de Nice, mais où les frais d’hébergement ne sont pas pris en charge par la Sécurité sociale et représenteraient un coût de 58,16 euros par jour pour la famille Ciotti. « Une somme à laquelle il faudrait ajouter le forfait dépendance qui, dans le cas d’Anny Ciotti, vu son état, atteindrait probablement la somme de 17,96 euros », détaille Mediapart. En maintenant Anny Ciotti dans le service de soins de suite et de réadaptation du centre Jean-Chanton, la famille a pu économiser plus de 526 000 euros, chiffre le quotidien en ligne. « Quel est le coût, en miroir, pour le contribuable ? Selon les départements, le tarif jour en soins de suite oscille de 130 à 190 euros. Soit de 900 000 à 1,2 million d’euros assumés par la Caisse primaire d’assurance maladie des Alpes-Maritimes », précise l’article.

 

 

Fiscalité Famille: quelques réformettes

Fiscalité Famille: quelques réformettes 

la France a une politique de natalité la plus dynamique en Europe cependant une natalité en baisse structurelle. D’où l’idée du gouvernement de dynamiser le dispositif de plus de 60 milliards qui vise environ 10 millions de familles. Une enquête conjointe de l’inspection générale des finances (IGF) et de l’inspection générale des affaires sociales (Igas) publiée lundi estime que «Seule une transformation très ambitieuse du dispositif socio-fiscal actuel, composé d’un foisonnement de dispositifs, permettrait d’améliorer la cohérence d’ensemble du système. Par contre la question centrale de la prise en compte du nombre d’enfants pour le calcul de l’impôt sur le revenu n’est pas étudié car sans doute susceptible de créer des polémiques. Pas vraiment un ensemble de mesures susceptibles de créer un chaque de redressement de la natalité

Il faudra donc se contenter de propositions assez anecdotiques. Parmi les pistes envisagées, ce rapport recommande de supprimer la demi-part fiscale supplémentaire accordée aux personnes seules ayant élevé seules des enfants pendant au moins 5 ans, souvent appelée «demi-part veuve» – une demi-part que ces personnes conservent même après le départ de l’enfant du domicile. Le rapport prône aussi de supprimer la réduction d’impôt pour frais de scolarité des enfants de primaire et de secondaire. En contrepartie, les experts de l’IGF et l’IGAS veulent donc renforcer des aides sur les familles monoparentales. Mais aussi majorer l’allocation de rentrée scolaire pour les élèves en filière technologique ou professionnelle, dont les coûts sont supérieurs à ceux de l’enseignement général et de l’étendre aux enfants dès 3 ans par cohérence avec l’obligation de scolarisation à cet âge. À cela, s’ajoutent des mesures pour réduire les inégalités d’accès aux places en crèches et aux assistantes maternelles.

Impôts Famille: quelques réformettes de la fiscalité

Impôts Famille: quelques réformettes de la fiscalité

la France a une politique de natalité la plus dynamique en Europe cependant une natalité en baisse structurelle. D’où l’idée du gouvernement de dynamiser le dispositif de plus de 60 milliards qui vise environ 10 millions de familles. Une enquête conjointe de l’inspection générale des finances (IGF) et de l’inspection générale des affaires sociales (Igas) publiée lundi estime que «Seule une transformation très ambitieuse du dispositif socio-fiscal actuel, composé d’un foisonnement de dispositifs, permettrait d’améliorer la cohérence d’ensemble du système. Par contre la question centrale de la prise en compte du nombre d’enfants pour le calcul de l’impôt sur le revenu n’est pas étudié car sans doute susceptible de créer des polémiques. Pas vraiment un ensemble de mesures susceptibles de créer un chaque de redressement de la natalité

Il faudra donc se contenter de propositions assez anecdotiques. Parmi les pistes envisagées, ce rapport recommande de supprimer la demi-part fiscale supplémentaire accordée aux personnes seules ayant élevé seules des enfants pendant au moins 5 ans, souvent appelée «demi-part veuve» – une demi-part que ces personnes conservent même après le départ de l’enfant du domicile. Le rapport prône aussi de supprimer la réduction d’impôt pour frais de scolarité des enfants de primaire et de secondaire. En contrepartie, les experts de l’IGF et l’IGAS veulent donc renforcer des aides sur les familles monoparentales. Mais aussi majorer l’allocation de rentrée scolaire pour les élèves en filière technologique ou professionnelle, dont les coûts sont supérieurs à ceux de l’enseignement général et de l’étendre aux enfants dès 3 ans par cohérence avec l’obligation de scolarisation à cet âge. À cela, s’ajoutent des mesures pour réduire les inégalités d’accès aux places en crèches et aux assistantes maternelles.

Mère de famille brûlée : «Elle voulait vivre comme une Française»

Mère de famille brûlée : «Elle voulait vivre comme une Française»

Un véritable drame produit du conflit de civilisations. Le Figaro rappelle l’histoire tragique de ce couple .

 

Originaire d’un petit village en Algérie, Chahinez B. avait rencontré Mounir B. par le biais de sa belle-sœur, en 2015. Cette dernière avait présenté Chahinez à son agresseur alors que celui-ci était venu passer des vacances en Algérie, indique au Figaro une source policière. Mère de deux enfants âgés aujourd’hui de 12 et 7 ans et issus d’un premier mariage, Chahinez rêve alors de partir vivre en France avec Mounir, «de nationalité française», précise la même source. Né en Algérie en 1976, Mounir B. a obtenu la double nationalité française et était employé en contrat de CDI comme maçon en France depuis 2009, où il s’était installé en 1999 après avoir fait de nombreux allers-retours avec l’Algérie, a précisé la procureure. Il s’était marié une première fois en 2000 avec une jeune femme de nationalité française, avec qui il a eu trois enfants. Le couple a divorcé en 2015. Arrivée en France en 2016, Chahinez obtient la nationalité française après son mariage avec Mounir B. et de leur union naît, en 2016, un petit garçon, Saïd.

Famille royale d’Angleterre : aussi une affaire de gros sous

Famille royale d’Angleterre : aussi une affaire de gros sous

Comme le rappelle François Langlais pour RTL les tribulations de la famille royale d’Angleterre concernent aussi des aspects financiers. Les tuiles se succèdent pour la Reine Elizabeth. Après le scandale de l’interview du prince Harry et de sa femme Meghan Markle, voilà que sa fortune dégringole. C’est l’effet Covid. Le gigantesque domaine de la Couronne, qui vaut une quinzaine de milliards d’euros, appartient en réalité à la Nation,  mais est il géré par la Reine.

Le domaine de la Couronne comprend de très nombreux magasins et centres commerciaux, ou encore le célèbre champ de course d’Apcot. Le domaine est notamment propriétaire de la totalité de Regent Street, une prestigieuse artère commerciale de luxe du centre de Londres, longue de 2 kilomètres. Il possède également un millier de bâtiments historiques et d’innombrables propriétés foncières dans tout le pays, ainsi que 400 réserves naturelles.

Et voilà que les restaurants et magasins, 150 sur la seule Regent Street, ont été fermés à cause de l’épidémie. Les locataires veulent renégocier leur loyer, pour le rendre proportionnel à la fréquentation. Inutile de dire que la Reine va y perdre. Elle est notamment créditeur de la chaîne de fast-food Pizza Hut et Pizza express.

Au temps révolu de sa splendeur, cela rapportait près de 400 millions d’euros par an. Car il y aussi des actifs très rentables. De longues bandes de littoral britannique par exemple, dont la location a fait l’objet d’une mise aux enchères toute récente pour qu’on y installe des éoliennes géantes.En fait, depuis une réforme de 2012, l’intégralité des recettes du domaine de la Couronne est versée au Trésor britannique, qui en rétrocède 15% à la Reine pour ses frais (60 millions d’euros). C’est ce qu’on appelle l’allocation royale. Ca sert à payer les centaines de personnes qui travaillent pour la couronne, les déplacements, les frais de réception et les travaux de restauration de Buckingham Palace, la résidence officielle à Londres, qui est en pleine décrépitude. Outre cette allocation, la Reine et les membres de la famille royale possèdent chacun leur fortune privée.

Il y a la notamment le château de Balmoral, en Ecosse, acheté par la reine Victoria. Il y a l’une des plus belles collections de tableaux du monde, avec des Vermeer, des Rembrandt. Il y a également des bijoux, et un grand domaine foncier, celui de Lancaster, qui rapporte de l’argent soumis à l’impôt. Cela représente encore 400 millions environ. C’est beaucoup, mais beaucoup moins que la fortune de l’inventeur de l’aspirateur Dyson ou celle du capitaine d’industrie Richard Branson.

Ayant rompu avec la famille royale, le prince Harry ne bénéficiera plus de l’allocation royale. Et il s’est même engagé à rembourser les travaux qu’il avait fait faire dans sa résidence officielle, le cottage Frogmore. Il y en avait eu pour 3 millions d’euros environ et il rembourse 20.000 euros par mois.

On ne peut pas dire que ça soit la misère pour le prince Harry car il a hérité de la fortune de sa mère Diana, 10 millions, et également de sa grand mère Elizabeth par anticipation, tout comme son frère. Lui et sa femme Megan viennent d’acheter une propriété de 13 millions à Santa Barbara, en Californie, et de signer un mégadeal avec Netflix pour produire des documentaires et des shows télévisés, selon le quotidien britannique Telegraph.

Attentat de Conflans : la complicité de la famille qui a désigné le professeur ?

Attentat de Conflans : la complicité de la famille qui a désigné le professeur ?

 

La famille qui a désigné le professeur assassiné de Conflans Sainte Honorine aurait d’après le JDD entretenu des relations avec le tueur avant le drame. Ce que révèle le JDD. Plusieurs jours avant l’attentat contre ce professeur d’histoire qui avait montré à ses élèves de quatrième des caricatures du prophète Mahomet dans un cours sur la liberté d’expression, il y aurait eu une « connexion » entre le terroriste, Abdoullakh Anzorov, la fille de Brahim Chnina – le père d’élève mis en examen pour avoir révélé dans une vidéo le nom de l’enseignant et l’adresse de son collège – et l’adolescent de 14 ans (M.) mis en examen pour avoir désigné Samuel Paty à l’assassin en échange de 300 euros.

Devant les enquêteurs, le collégien s’est montré peu disert à l’évocation de ce « partage de connexion ». Mais des messages auraient bien été échangés, selon les déclarations au JDD d’une source proche de l’enquête, entre les trois jeunes sur les réseaux sociaux.

 

Jeune fille tondue : expulsion de la famille

Jeune fille tondue : expulsion de la famille

«La famille qui s’en est prise lâchement à leur fille et nièce en la frappant et allant jusqu’à la tondre de force parce qu’elle était amoureuse d’un homme d’une autre confession, a été expulsée ce matin», a annoncé le ministre de l’intérieur dans un communiqué. Fin août, il avait assuré qu’une procédure de reconduite à la frontière serait menée «dès la fin de la procédure judiciaire».

Le 17 août dernier, après avoir annoncé son intention de se marier avec Dusan, 20 ans, Selma, 17 ans, avait été passée à tabac par ses parents bosniaques musulmans, mais aussi par son oncle et sa tante, qui disposent, eux, du statut de réfugiés.

La jeune fille âgée de 17 ans sera «prise en charge par l’aide sociale à l’enfance et obtiendra à sa majorité un titre de séjour», ont précisé le ministre de l’Intérieur et la ministre déléguée à la Citoyenneté dans leur communiqué commun.

Vente des bijoux de famille : d’ADP, FDJ et Engie

Vente des bijoux de famille :  d’ADP, FDJ et Engie

 

C’est la méthode habituelle en France pour boucher les trous du budget : on vend les bijoux de famille. Cette fois, il s’agit d’ADP et de la Française des Jeux (FDJ) ainsi que la diminution de la participation de l’Etat dans Engie ;  des mesures emblématiques et contestées. La perspective de vente d’ADP et de la Française des jeux aux fins de privatisation a provoqué de nombreuses réactions négatives dans l’opinion. Les oppositions sont fortes. En ce qui concerne ADP parce qu’il s’agit d’une infrastructure stratégique. En ce qui concerne la Française des jeux, parce qu’elle pourrait bien tomber dans les mains de la mafia qui ne se priverait d’arranger les résultats des tirages. La cession de titres de l‘Etat doit théoriquement permettre d‘alimenter un fonds de 10 milliards d‘euros, dont les produits doivent financer à hauteur d‘environ 200 millions par an des investissements dans des secteurs innovants. La vérité c’est que faute d’avoir engagé la réforme de l’État (le rapport Cap 22 sur le sujet a été enterré), le gaspillage continue et on bouche les trous en bradant des activités particulièrement rentables. En effet ADP comme la Française des jeux sont de véritables martingale financière et les candidats pour le rachat des titres détenus par l’État seront nombreux : des fonds de pension notamment y compris chinois. Le ministre de l’Economie et des Finances Bruno Le Maire, qui porte ce texte, a précisé que le gouvernement n’avait pas encore tranché entre un maintien d’une présence de l’Etat au capital d’ADP ou une cession de l’intégralité de ses actifs. “Ce n’est pas décidé”, a-t-il déclaré. Ce qui allait dans témoigne du flou artistique de la stratégie de l’État.  Face au scepticisme de l’opposition, notamment sur l’autorisation accordée au gouvernement de procéder par ordonnances pour renforcer la régulation du secteur des jeux indispensable à cette privatisation, Bruno Le Maire s’est voulu rassurant. “Il y trois niveaux de régulation : il y a l’autorité de régulation indépendante, il y a l’Etat régulateur (…) enfin, troisième niveau de contrôle, l’Etat restera présent au capital de la Française des Jeux à hauteur minimum de 20%”, a-t-il dit. Enfin, les députés ont approuvé la disposition permettant à l’Etat de passer sous le seuil d’un tiers du capital d’Engie et d’ouvrir à des investisseurs privés le capital de GRTgaz, sa filiale spécialisée dans le transport du gaz.

Plusieurs élus d’opposition ont estimé que ces opérations constituaient un “non-sens” économique en arguant qu’un fléchage des dividendes sans cessions des participations aurait “largement suffi”.

Protection des entreprises : Golden Sare et vente des bijoux de famille

  • Protection des entreprises : Golden Sare et vente des bijoux de famille

San doute pour justifier aussi la vente de bijoux de famille comme la FDJ ou ADP, le gouvernemenet renforce son dispositif de Golden share pour protéger des secteurs stratégiques. Dans la loi Pacte.  Le Golden Share correspond à des actions qui permettent à son ou ses détenteurs de s’opposer à des résolutions lors d’un vote en conseil d’administration. Une action golden share donne donc un droit de véto au conseil d’administration, en occurrence là celui de l’Etat.  Dans sa dernière mouture élaborée par Bercy, le projet de loi facilitera le recours par l’Etat aux “golden shares” tout en permettant de mieux filtrer les investissements étrangers dont les montants s’envolent dans l’Hexagone. Leur nombre a augmenté de 16% en 2017 pour atteindre un record, selon les chiffres de Business France, illustrant le regain d’attractivité de l’économie française. Le passage sous pavillon étranger de fleurons – Alcatel, Alstom, Lafarge – de même que les rachats de jeunes pousses sur des secteurs en pointe alimentent cependant la crainte de perdre des compétences clefs au profit de nations étrangères dotées d’un féroce appétit, Etats-Unis et Chine en tête. Le projet de loi introduit une palette plus étendue de sanctions et d’injonctions à disposition du locataire de Bercy qui pourra, en cas d’urgence, suspendre les droits de vote d’un investisseur, nommer un mandataire “chargé de veiller à la protection des intérêts nationaux” ou encore empêcher l’acquéreur de bénéficier de ses actifs ou de dividendes. La liste des secteurs concernés par ces mesures exceptionnelles doit par ailleurs être élargie via un décret pour inclure les semi-conducteurs, le spatial, les drones, l’intelligence artificielle, la cybersécurité, la robotique et le stockage de données. Ils s’ajouteront à la défense, l’approvisionnement énergétique, la santé publique, les communications électroniques, l’approvisionnement en eau et les réseaux de transport, déjà protégés. On s’inquiète cependant que le texte ne serve à “habiller une politique de vente de bijoux de famille” en permettant de se désengager à bon compte d’entreprises pour renflouer les caisses de l’Etat.

L’Etat va vendre des bijoux de famille stratégiques

L’Etat va vendre des bijoux de famille stratégiques

 

 

En dépit des discours sur la rigueur, les dépenses de l’Etat ne diminuent pas. Si la situation budgétaire s’est améliorée, c’est uniquement grâce à des meilleures rentrées fiscales donc à  la croissance en 2017. Or en 2018, on constate déjà un léger tassement de cette croissance. Pour boucher les trous du budget et réduire l’endettement, le gouvernemenet va donc vendre des bijoux de familles y compris stratégiques comme Engie, ADP voire la Française des jeux – Les évolutions juridiques permettant les éventuelles cessions de participations de l’Etat dans ADP, Engie et la Française des Jeux figureront dans le projet de loi “Pacte”, qui sera présenté lundi prochain en conseil des ministres, a annoncé lundi Bruno Le Maire.

“Nous nous donnerons dans la loi Pacte la possibilité de céder les participations que l’Etat détient dans trois entreprises : le groupe ADP (ex-Aéroports de Paris), la Française des Jeux et Engie”, écrit le ministre de l’Economie et des Finances sur Twitter.

Le “Plan d’action pour la croissance et la transformation des entreprises” comprendra un volet autorisant l’Etat à passer sous le seuil de 50% dans ADP, à descendre sous la barre d’un tiers des droits de vote à Engie et à privatiser la FDJ, ont précisé des sources à Bercy. Cette dernière privatisation va réjouir les milieux mafieux qui pourront u peu mieux encore blanchir leurs revenus criminels. Théoriquement le produit de ces ventes était destiné à financer les innovations de rupture. En réalité cela servira à boucher de trous d’autant que le tassement de la croissance en 2018 est assez net.   En ce qui concerne Engie, dont l’Etat détient 24,1% du capital et 33% des droits de vote, le gouvernement conservera une action spécifique (“golden share”), qui lui donnera le droit de s’opposer à des cessions d’actifs jugés stratégiques, comme des infrastructures de transport gazier ou de stockage. Le projet de loi “Pacte” prévoira un changement de statut pour ADP – dont l’Etat détient 50,6% du capital – afin de limiter à 70 ans la détention et l’exploitation de ses actifs, précise-t-on à Bercy.

Vente importante des bijoux de famille de l’Etat (Lemaire)

Vente importante des bijoux de famille de l’Etat (Lemaire)

L’Etat va procéder à une braderie importante de se bijoux de famille (des participations pourtant très lucratives comme l’étaient par exemple les autoroutes), ce qu’a confirmé hier Lemaire : «  nous voulons que l’Etat dégage des moyens financiers pour investir sur les technologies de rupture sur lesquelles nous sommes en train de prendre du retard », a déclaré le ministre au micro de l’émission Questions Politiques, interrogé par des journalistes de France Télévision, Le Monde et France Inter. Officiellement il s’agit de vendre des participations minoritaires d’entreprise dans le secteur concurrentiel, cela afin d’alimenter un fonds d’innovation dans l’annonce avait été faite par Emmanuel Macron. Cela afin de « financer des recherches sur l’intelligence artificielle ou le stockage de données ou sur le stockage d’énergies renouvelables » a détaillé le ministre des fiance Bruno Lemaire. . Reste à savoir cependant si la totalité du produit des ventes sera bien affectée à l’innovation. « Ce sont les rendements sur ce fonds qui seront attribués à l’innovation », a précisé le ministère de l’économie, soulignant que cela assurerait à cette mission « un financement durable » et non soumis aux contraintes budgétaires. Le ministre de l’Economie Bruno Lemaire a confirme dimanche  d’« importantes cessions d’actifs » dans les prochains mois pour financer ce fonds. Le lendemain, il avait précisé devant le Sénat que ces cessions commenceraient « à partir de septembre » et qu’elles « ne seraient pas stratégiques ». L’Agence des participations de l’État (APE), chargée de gérer le patrimoine de l’État actionnaire, est présente au capital de 81 entreprises. Ces participations pèsent actuellement près de 100 milliards d’euros, dont 70 dans des sociétés cotées. Interrogé par l’AFP sur les entreprises qui pourraient être concernées, l’entourage du ministre a refusé de donner plus de détails. Mais plusieurs noms reviennent avec insistance dans les médias, comme tout en promettant de revendre ses titres au moment opportun, Orange, au capital duquel l’État (qui en détient directement ou indirectement 23 %) n’a pas « vocation » à rester « de manière pérenne » ou bien Aéroports de Paris (ADP), dont l’État détient 51 % du capital. Le gouvernement a aussi indiqué vouloir céder la FDJ (française des jeux).

L’État veut céder pour 10 milliards de bijoux de famille

L’État veut céder pour 10 milliards de bijoux de famille

 

Officiellement il s’agit de vendre des participations minoritaires d’entreprise dans le secteur concurrentiel, cela afin d’alimenter un fonds d’innovation dans l’annonce avait été faite par Emmanuel Macron. Reste à savoir cependant si la totalité du produit des ventes sera bien affectée à l’innovation. En effet compte tenu des révélations de la Cour des Comptes de gouvernement a besoin de trouver de manière urgente 5 milliards pour tenter de combler le déficit budgétaire en tout cas pour le ramener à 3 %. Il aura aussi besoin de 5 milliards pour effectuer le bouclage financier d’EDF et Areva .Il  se pourrait bien que les coups de rabot exigés par le premier ministre soient insuffisants pour trouver la somme alors que la vente de participations rend possible des rentrées immédiates. Officiellement cependant la vente des participations de l’État est destinée à alimenter le fonds d’innovation.  « Ce sont les rendements sur ce fonds qui seront attribués à l’innovation », a précisé la source du ministère de l’économie, soulignant que cela assurerait à cette mission « un financement durable » et non soumis aux contraintes budgétaires. Le ministre de l’Economie Bruno Le Maire avait annoncé mercredi d’« importantes cessions d’actifs » dans les prochains mois pour financer ce fonds. Le lendemain, il avait précisé devant le Sénat que ces cessions commenceraient « à partir de septembre » et qu’elles « ne seraient pas stratégiques ». L’Agence des participations de l’État (APE), chargée de gérer le patrimoine de l’État actionnaire, est présente au capital de 81 entreprises. Ces participations pèsent actuellement près de 100 milliards d’euros, dont 70 dans des sociétés cotées. Interrogé par l’AFP sur les entreprises qui pourraient être concernées, l’entourage du ministre a refusé de donner plus de détails. Mais plusieurs noms reviennent avec insistance dans les médias, comme tout en promettant de revendre ses titres au moment opportun, Orange, au capital duquel l’État (qui en détient directement ou indirectement 23 %) n’a pas « vocation » à rester « de manière pérenne », selon M. Macron, ou bien Aéroports de Paris (ADP), dont l’État détient 51 % du capital.

Théo : enquête financière sur la famille

Théo : enquête financière sur la famille

 

La famille de Théo, le jeune homme victime début février d’une interpellation violente, fait l’objet depuis juin dernier d’une enquête financière, a-t-on appris de source judiciaire, confirmant une information du Parisien.fr. Cette affaire ne remet pas en cause les violences policières présumées subies par Théo mais embarrasse jusqu’au sommet de l’Etat, écrit le quotidien, au moment où de nombreuses manifestations de soutien ont eu lieu partout en France. François Hollande s’était rendu au chevet du jeune homme de 22 ans à l’hôpital dans un but d’apaisement alors que les manifestations contre les violences policières se multipliaient en Seine-Saint-Denis. Le chef de l’Etat n’était pas au courant de cette enquête lorsqu’il a rendu visite à Théo, a-t-on précisé dans son entourage. Selon Le Parisien, le parquet de Bobigny a ouvert en juin dernier une enquête pour « suspicion d’abus de confiance et escroquerie » à la suite de soupçons d’emplois fantômes dans une association présidée par le frère de Théo. Entre janvier 2014 et juin 2016, l’association aurait perçu 678.000 euros de subventions d’Etat pour l’embauche en contrats aidés de 30 salariés, qui devaient être formés pour être animateurs de rue. Mais lors d’un contrôle, les dirigeants de l’association n’ont présenté aucun élément probant pouvant attester de la réalité de ces emplois, ajoute le quotidien. Depuis, l’association a mis la clef sous la porte, d’où un signalement en avril 2016 de l’Inspection du Travail auprès du procureur de la République de Bobigny. Huit membres de la famille du jeune homme auraient perçu de l’association plus de 170.000 euros par virement, dont 52.000 euros auraient été retrouvés par les enquêteurs sur le compte de Théo. Michaël Luhaka, le frère de Théo, s’est défendu dans Le Parisien des accusations d’emplois fictifs, indiquant avoir recruté une trentaine de salariés en contrat à durée indéterminée, parmi lesquels des membres de sa famille.

(Reuters)

« MA FAMILLE POLITIQUE EST EN TRAIN DE SE SUICIDER » GEORGES FENECH (LR)

« MA FAMILLE POLITIQUE EST EN TRAIN DE SE SUICIDER » GEORGES FENECH (LR)

Sur LCI hier , le député des républicains à réitéré  ses critiques vis-à-vis de François Fillon. Il estime que François Fillon est complètement discrédité et qu’il est même impossible à nombre de militants de l’organisation de faire campagne en sa faveur. Pour lui,  cette candidature constitue un suicide politique pour les Républicains mais aussi un grand dangers pour la démocratie. En effet il pense que l’élection de Marine LePen n’ést plus à exclure en cas de maintien de Fillon. Un tiers des électeurs de droite pourrait s’abstenir, un tiers voter en faveur de Macron et un dernier tiers pour Marine Le Pen. Contrairement à ce qui est affirmé Georges, Fenech estime n’être pas isolé car sa prise de position correspond à ce que pense la plupart des responsables des Républicains « y compris les chapeaux à plumes ».  d’après lui un plan B est encore possible et il ne manque pas de personnalité Fillon il a notamment cité Xavier Bertrand, Baroin, Wauquiez ou encore Pécresse. Enfin ce fondant sur son expérience d’ancien magistrat,  il a indiqué qu’une mise en examen de François Fillon pourrait intervenir très rapidement mais que François Fillon pourrait ne pas en tenir compte et maintenir sa candidature pour 2017. « Ma famille politique est en train de se suicider », a déclaré le député Georges Fenech. Depuis quinze jours, l’élu des Républicains prédit la défaite de son camp si François Fillon ne se désiste pas. Ce mercredi, il a répété dans l’émission d’Yves Calvi que l’affaire Fillon était un désastre français mais aussi européen.  Au lendemain du dîner des frondeurs, le parlementaire assure qu’il n’est pas le seul a penser que François Fillon doit se retirer de la campagne présidentielle. « Je suis là pour tirer les sonnettes d’alarme parce que personne n’ose le dire. Quand va-t-on se décider à reconnaître que notre candidat a perdu un crédit énorme ? »

 

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