Archive pour le Tag 'familiale'

Automobiles électriques : une Citroën familiale pour moins de 28 000 €

Automobiles électriques : une Citroën familiale pour moins de 28 000 €

 

 
Citroën a révélé hier son nouveau C3 Aircross, après l’arrivée de sa ëC3 dans les concessions depuis le 15 juin dernier. Cette nouvelle arrivée dans la gamme Citroën sera disponible en version 5 ou 7 places en trois motorisations : thermique, hybride ou électrique. Les C3 Aircross à essence seront disponibles à moins de 20.000 euros, les versions hybrides coûteront en moyenne 25.000 euros, et les électriques sont présentées en dessous des 28.000 euros.

« Avec toutes les aides cumulées en France, par exemple, cela revient à 18.000 euros pour une voiture électrique », a souligné Nicolas Monnot, responsable de la performance commerciale de la marque.

Réforme des retraites et politique familiale

Réforme des retraites et politique familiale

La tribune de Nelly Garnier (LR)

Avec la réforme des retraites s’est ouvert un débat sur les mesures rendues nécessaires par l’évolution démographique. Peut-on maintenir un système à l’identique quand on dénombre 1,7 cotisant pour un retraité, contre quatre pour un retraité au début des années 1960 ? Il paraît évident que la réponse est non et c’est la raison pour laquelle le parti Les Républicains s’est engagé à soutenir cette réforme moyennant des ajustements nécessaires.

Toutefois, ne peut-on pas s’étonner qu’un débat sur la réforme des retraites, qui occupe la quasi-intégralité du temps médiatique, n’aborde à aucun moment l’origine du problème, à savoir l’effondrement de la natalité dans notre pays ? Les chiffres publiés par l’Insee début 2023 auraient pourtant dû avoir l’effet d’un électrochoc. Ils actent la fin de l’exception française que constituait notre dynamisme démographique. Une exception française qui a longtemps fait notre fierté en Europe. Las ! En 2022, le nombre de naissances a atteint son point le plus bas depuis 1946. L’indicateur conjoncturel de fécondité s’établit désormais à 1,8 enfant par femme alors qu’il s’était maintenu à deux jusqu’au milieu des années 2010.
Si ces chiffres n’ont pas été un électrochoc, c’est qu’on a laissé s’imposer l’idée que la natalité résulterait uniquement de choix personnels et individuels. On ne fait pas un enfant pour une demi-part fiscale supplémentaire, arguent les fossoyeurs de notre politique familiale. Certes, mais un projet d’enfant est un bouleversement tel dans une vie que, s’il n’est pas accompagné, le découragement et le renoncement peuvent l’emporter.

Reniement. Si, parmi les grands acquis de l’après-guerre, figuraient non seulement les bases de notre système de retraite par répartition mais aussi les fondements d’une politique familiale universelle, c’est parce que ceux qui étaient chargés de reconstruire la France avaient bien conscience que l’Etat avait un rôle à jouer dans le maintien du dynamisme démographique national. Cet héritage fondamental de l’après-guerre a été renié par le quinquennat Hollande. Cela s’est traduit par l’abaissement du plafond du quotient familial et la modulation des allocations familiales et des aides à l’accueil des jeunes enfants en fonction des ressources.

Ce reniement s’est poursuivi pendant le premier quinquennat d’Emmanuel Macron, avec un nouvel abaissement des plafonds de ressources donnant droit au versement de l’allocation de base pour les parents de jeunes enfants voté fin 2017. Pourtant, l’inflexion de la courbe des naissances avait été immédiate après les mesures décidées par la gauche et aurait dû appeler à un retour aux fondamentaux d’après-guerre. Encore aujourd’hui, le peu d’attention accordé au fait que de nombreuses femmes ne bénéficieront plus des avantages liés aux trimestres acquis du fait de leur maternité avec la réforme en cours doit nous alerter.

« Dans la lignée du quinquennat Hollande, ce gouvernement ferme les yeux sur les difficultés liées à l’accueil et à l’éducation des enfants, et ce, pour toutes les familles »
Le lien n’est jamais fait entre la perte d’un acquis de la politique familiale et les conséquences en termes de natalité. Toujours pour les mêmes raisons. La décision d’avoir un enfant ne résulterait que d’un choix personnel. Cette argumentation est d’autant plus commode qu’elle permet de reporter les conséquences de la baisse de la natalité sur les Français eux-mêmes : vous n’avez pas fait d’enfants, à vous d’en assumer les conséquences : vous devrez travailler plus longtemps mais aussi accepter une immigration désormais présentée comme la seule solution pour maintenir la croissance démographique, que cela nous plaise ou non.

Monoparentalité. L’Etat doit aider à la parentalité. C’est une condition essentielle pour freiner l’effondrement de la natalité auquel nous assistons. Dans la lignée du quinquennat Hollande, ce gouvernement ferme les yeux sur les difficultés liées à l’accueil et à l’éducation des enfants, et ce, pour toutes les familles. Car les difficultés n’ont cessé de s’accroître avec l’évolution des modes de vie. Le taux d’activité des femmes, acquis indéniable, a des conséquences lourdes en matière de partage des tâches et de financement des modes de garde. La vie urbaine et les difficultés d’accès au logement pèsent également. Enfin il est temps de prendre en compte l’augmentation des séparations, un quart des familles avec enfant étant aujourd’hui des familles monoparentales. L’élargissement de l’accès à la procréation médicalement assistée (PMA) aux couples de femmes et aux femmes célibataires aurait pu être l’occasion de reconnaître la nécessité d’accompagner les nouvelles parentalités. Ce ne fut pas le cas.

« A long terme, le coût d’une natalité en chute libre sera toujours plus lourd que les petites économies réalisées à court terme sur le dos de notre politique familiale »
L’ordonnance du 4 octobre 1945 posait que la politique familiale devait permettre de « couvrir les charges de maternité et les charges de famille » supportées par les Français. Ces charges ne sont pas seulement financières, elles sont aussi mentales et psychologiques. Elever un ou des enfants, de plus en plus souvent seul, en subissant une pression professionnelle accrue et le stress de nos vies modernes, cela pourrait très bien être intégré comme un facteur de pénibilité. Les huit trimestres accordés aux femmes au titre de la naissance et de l’éducation de chacun de leurs enfants marquaient la reconnaissance de cela. Ainsi, ils leur permettaient souvent de partir plus tôt à la retraite sans décote.

Que la réforme des retraites discutée aujourd’hui n’envoie pas un signal fort en direction des parents, que le débat ouvert sur l’évolution démographique ne pose pas la question d’une nouvelle politique familiale ambitieuse, c’est une faute politique. A long terme, le coût d’une natalité en chute libre sera toujours plus lourd que les petites économies réalisées à court terme sur le dos de notre politique familiale.

Nelly Garnier est conseillère de Paris, conseillère régionale d’Ile-de-France et vice-présidente des Républicains

Jean Rottner : Une démission pour affaire familiale ou affaire d’argent ?

Jean Rottner : Une démission pour affaire familiale ou affaire d’argent ?

Encore un reclassement politique qui suscite l’interrogation voire le doute. ( Observons toutefois qu’il ne s’agit pas d’une spécialité française et que dans d’autres pays on pratique aussi le sulfureux mélange de la politique et du business( Voir par exemple les liens d’anciens politiques avec les intérêts russes).L’ancien président de région « Grand ESt », Jean Rottner, avait invoqué un motif familial pour expliquer sa démission du Conseil régional du Grand Est. Il rejoint le cabinet de conseil et promoteur immobilier Réalités.

Jean Rottner, président démissionnaire de la région Grand Est, va rejoindre le cabinet de conseil et promoteur immobilier Réalités, a annoncé vendredi l’entreprise dans un communiqué, suscitant de nombreuses critiques des élus régionaux. «Le groupe Réalités annonce l’ouverture à l’été 2023 de sa Direction régionale Grand Est. Elle sera dirigée par Jean Rottner qui, après avoir quitté la vie publique, indique la société sur son site internet.

Il serait grand temps sans doute que le pays légifère sur les conditions de réinsertion des anciens politiques dont beaucoup se reclassent dans des activités en lien avec leur carnet d’adresses. On objectera sans doute qu’il est normal que d’anciens responsables politiques puissent aspirer à d’autres fonctions y compris dans le privé. Le seul problème, c’est que les entreprises qui recrutent des profils politiques le font pour valoriser à leur profit les relations de l’ancien responsable et non en fonction des compétences.

Pour Eliane Romani, cheffe de file du groupe écologiste au conseil régional. «… cette annonce vient un peu vite, ce qui laisse penser que c’était déjà conclu depuis un certain temps. Il utilise le réseau qu’il a acquis dans ses fonctions publiques pour aller servir une organisation privée qui a des rapports avec les collectivités, c’est une définition du pantouflage.»

Une démission pour affaire familiale ou affaire d’argent ?

Une démission pour affaire familiale ou affaire d’argent ?

Encore un reclassement politique qui suscite l’interrogation voire le doute. ( Observons toutefois qu’il ne s’agit pas d’une spécialité française et que dans d’autres pays on pratique aussi le sulfureux mélange de la politique et du business( Voir par exemple les liens d’anciens politiques avec les intérêts russes).L’ancien président de région « Grand ESt » avait invoqué un motif familial pour expliquer sa démission du Conseil régional du Grand Est. Il rejoint le cabinet de conseil et promoteur immobilier Réalités.

Jean Rottner, président démissionnaire de la région Grand Est, va rejoindre le cabinet de conseil et promoteur immobilier Réalités, a annoncé vendredi l’entreprise dans un communiqué, suscitant de nombreuses critiques des élus régionaux. «Le groupe Réalités annonce l’ouverture à l’été 2023 de sa Direction régionale Grand Est. Elle sera dirigée par Jean Rottner qui, après avoir quitté la vie publique, indique la société sur son site internet.

Il serait grand temps sans doute que le pays légifère sur les conditions de réinsertion des anciens politiques dont beaucoup se reclassent dans des activités en lien avec leur carnet d’adresses. On objectera sans doute qu’il est normal que d’anciens responsables politiques puissent aspirer à d’autres fonctions y compris dans le privé. Le seul problème, c’est que les entreprises qui recrutent des profils politiques le font pour valoriser à leur profit les relations de l’ancien responsable et non en fonction des compétences.

Pour Eliane Romani, cheffe de file du groupe écologiste au conseil régional. «… cette annonce vient un peu vite, ce qui laisse penser que c’était déjà conclu depuis un certain temps. Il utilise le réseau qu’il a acquis dans ses fonctions publiques pour aller servir une organisation privée qui a des rapports avec les collectivités, c’est une définition du pantouflage.»

Dénatalité : la politique familiale responsable

Dénatalité : la politique familiale responsable

Il est clair que les atteintes régulières à la politique familiale notamment de Hollande mais aussi de certains de ses prédécesseurs ont porté un rude coup à ce qui constituait  un atout du pays à savoir la dynamique en matière de natalité. Gérard-François DUMONT , Professeur à la Sorbonne-Paris IV ,évoque les facteurs explicatifs de la baisse démographique. Parmi eux les trop grandes incertitudes économiques qui interrogent des familles sur les perspectives professionnelles des enfants.,L’auteur a notamment publié «Géographie des populations. Concepts, dynamiques, prospectives» (Armand Colin, 2018).

 

Pendant longtemps la natalité dynamique constituée un atout du pays mais la fécondité actuelle ne suffit pas à renouveler la population. r. L’indice de fécondité décline en effet depuis maintenant quatre ans. La population ralentit : l’écart entre naissances et décès n’a jamais été aussi faible depuis l’après-guerre.

L’érosion de la fécondité a une cause macroéconomique. Comme dans toute l’Europe, la natalité s’est nettement infléchie depuis la profonde récession de 2009. Quand l’horizon s’abaisse, cela n’encourage guère à faire des enfants. Et cet effet se prolonge sans doute dans une France anxieuse. Mais ce n’est pas la seule explication. Les transformations du marché du travail font craindre à beaucoup de Français un avenir moins brillant pour eux et leur descendance. Et peut-être que la prise de conscience d’une planète aux ressources limitées commence-t-elle à peser sur le choix essentiel d’avoir un enfant – ou non. L’autre élément qui a pesé lourdement et le rabotage régulier notamment sous Hollande de la politique familiale. Gérard Dumont confirme que la crise du qu’au vide n’a pas amélioré la situation bien au contraire. Interview le Figaro

 

La baisse des naissances observée en janvier en France, mais aussi dans la plupart des pays européens, est-elle liée à la crise du Covid 19? Le confinement ne laissait-il pas espérer un «baby-boom»?

Gérard-François DUMONT. - Avec la pandémie, la baisse des naissances était inéluctable. Elle a contraint à repousser certains mariages programmés et une première naissance a parfois été retardée. En outre la fermeture de nombreux lieux de sociabilité a signifié une très forte diminution des possibilités de rencontre, de mise en couple et donc de projets parentaux. Par ailleurs, la détérioration du marché de l’emploi a pu conduire à renoncer à des projets d’enfants en raison des incertitudes économiques.

La fortune des Le Pen : une affaire familiale qui tourne !

La fortune des Le Pen : une affaire familiale qui tourne !

 

 

 

D’après une enquête du Nouvel Obs. les Le Pen sont à la tête d’une fortune confortable. Pas une fortune qui serait le fruit de leur réussite professionnelle mais plutôt le résultat de lègs, donation, et de gestion d’un parti aux caractéristiques très familiales. En outre,  Le fondateur du Front national et sa fille sont suspectés par la Haute Autorité pour la transparence de la vie publique d’avoir sous-évalué leur patrimoine. La justice a été saisie. Jean-Marie Le Pen a beau dénoncer une nouvelle cabale politique contre lui et sa fille, une chose est sûre : le clan peut compter sur une véritable fortune depuis le milieu des années 1970. Pupille de la nation, issu d’une famille modeste, Jean-Marie Le Pen est alors à la tête d’une entreprise d’édition phonographique – la Société d’études et de relations publiques (Serp), qu’il crée en 1963 – spécialisée dans l’édition de disques de musique et discours militaires, notamment des chants nazis et des discours du maréchal Pétain. Figure montante et bruyante de l’extrême droite française, Jean-Marie Le Pen voit sa situation matérielle changer considérablement quand il fait la connaissance d’Hubert Lambert. Cet héritier d’une société spécialisée dans le ciment et mécène politique, fasciné par le fondateur du Front national, fait alors de Jean-Marie Le Pen son unique exécuteur testamentaire et héritier. A la mort d’Hubert Lambert en 1976, le leader du FN se retrouve à la tête d’une fortune colossale, estimée à 30 millions de francs au moins.  Se sentant lésée – la légende veut que le testament favorable à Le Pen ait été rédigé entre deux tentatives de suicide d’Hubert Lambert – une partie du clan Lambert envisage de contester la validité de l’héritage mais conclut finalement un « arrangement » avec Jean-Marie Le Pen.  Les millions des ciments Lambert vont surtout transformer le leader du Front national en grand propriétaire bourgeois. En plus des 30 ou 40 millions d’euros, Jean-Marie Le Pen hérite d’un gigantesque manoir de style Napoléon III à Saint-Cloud situé dans le – bien-nommé – parc de Montretout.  430 mètres carrés, trois étages et 11 pièces, le clan Le Pen s’y installe en 1976 et transforme rapidement la bâtisse en QG du FN. Comme souvent au Front, politique, argent et famille se mélangent et le premier étage de la nouvelle demeure du clan sert de bureaux au parti. Marine Le Pen détiendrait 200 parts – environ 4,5 % du capital – de la SCI du Pavillon de l’écuyer, propriétaire de Montretout, estimée à près de 7 millions d’euro. Mais Montretout n’est pas la seule propriété détenue par les Le Pen. La maison familiale de la Trinité-sur-Mer – léguée en 1999 – est aussi »partagée » entre les membres du clan.  De son côté, la présidente du Front national possède un huitième de ce bien, estimé à environ 1 million d’euros. A titre personnel, Marine Le Pen possède également des parts dans deux autres SCI : 0,57% du capital de la SCI Clergerie Hugo – propriétaire du « paquebot », le siège historique du FN à Saint-Cloud vendu 10 millions d’euros en avril 2011 – et 50% des parts de la SCI Palouma, acquises en août 2011 avec son compagnon Louis Alliot pour l’achat d’un pavillon à Millas dans la région de Perpignan d’une valeur de 270.000 euros.  Reste pour Jean-Marie Le Pen, la délicate question de son compte en Suisse. La HATVP soupçonne le « Menhir » de cacher une partie de son magot de l’autre côté des Alpes après le signalement début 2015 par la cellule antiblanchissement de Bercy – Tracfin – d’un compte helvète doté de quelque 2,2 millions d’euros – 1,7 million en lingots en pièces d’or – dont il serait le bénéficiaire. Selon Mediapart, le fondateur du FN détiendrait ce compte via un trust géré depuis Genève par son majordome et homme de confiance, Gérald Gérin. Lors d’une perquisition menée à Montretout au mois de novembre dernier, les policiers ont également découvert de nombreuses pièces d’or et lingots après ouverture d’un coffre-fort dans le bureau de Jean-Marie Le Pen. En vacances à Punta Cana lors de la perquisition, il avait préféré pointer du doigt sa femme Jany : «Ce n’est pas à moi, mais à mon épouse. Nous sommes mariés sous le régime de la séparation de biens. C’est son petit magot à elle, le petit trésor de Jany », avait expliqué le patriarche dans « Le Parisien ».» De son propre aveu, Marine Le Pen a aussi un faible pour le précieux métal. En 2012, en pleine campagne présidentielle, elle avait accepté de se livrer à un inventaire – prétendument exhaustif – de ses biens et déclaré posséder environ 3.000 euros en napoléons. Contrairement à son père – qui est soumis à l’impôt sur la fortune (ISF) depuis son instauration en 1982 -, elle ne paye pas l’ISF.

Sondage : Hollande a échoué pour l’emploi, les impôts et la politique familiale

Sondage :pour les Français  Hollande a échoué pour l’emploi, les impôts et la politique familiale

Sanction sans appel pour la politique de Hollande dans pratiquement tous les domaines. Le pire c’est surtout le fiasco en matière d’emploi condamné par 97% des Français.  Alors que le Président de la République doit s’exprimer ce jeudi à la télévision dans le but de « reprendre la main » et qu’il avait fait de « l’inversion de la courbe du chômage » l’un des axes forts de la première partie de son quinquennat, force est de constater que les Français n’y croient plus. A la question « le président de la République a-t-il jusqu’à présent plutôt réussi ou plutôt échoué », seules 3% des personnes interrogées répondent que le président a « plutôt réussi » dans le domaine de l’emploi, selon un sondage Odoxa pour RTL , contre 97% qui répondent qu’il a « plutôt échoué »  Et le couperet est tout aussi lourd en matière de fiscalité et de politique familiale, puisque 88% des sondés jugent que François Hollande a « plutôt échoué » contre 12% qu’il a « plutôt réussi ». Ils sont 78% à estimer qu’il a « plutôt échoué » en ce qui concerne la politique familiale, et 22% à avoir « plutôt réussi ». Parmi les sympathisants de gauche, 94% considèrent que le chef de l’Etat a « plutôt échoué » dans le domaine de l’emploi, tandis que 5% répondent qu’il a « plutôt réussi ». 72% disent qu’il a « plutôt échoué » dans le domaine fiscal (27% qu’il a « plutôt échoué ») et 44% qu’il a « plutôt réussi » dans la politique familiale (55% qu’il a plutôt échoué). 100% des sympathisants de droite affirment qu’il a échoué dans l’emploi, 98% dans la fiscalité, et 94% dans sa politique familiale.

 

Politique familiale en chiffres : 50 milliards

Politique familiale en chiffres : 50 milliards

> 50 milliards d’euros. C’est environ l’effort de la nation pour la politique familiale. Il englobe aussi bien les allocations familiales, les aides au logement que les différentes prestations liées à la composItion du foyer.

> 72%. C’est ce que représentent les prestations familiales par rapport au total des prestations sociales en France. Dans le détail de ces prestations familiales, 55% sont des allocations d’entretien en faveur de la famille et 41% des prestations en faveur de la petite enfance.

> 12,9 milliards d’euros
. C’est le montant des seules allocations familiales versées à 4,8 millions de familles ayant au moins deux enfants.

> 2,6 milliards d’euros. C’est le déficit attendu de la branche famille de la sécurité sociale en 2013.

> 800 millions d’euros. C’est ce que rapporterait la fiscalisation des seules allocations familiales. L’économie serait supérieure si la fiscalisation concernait d’autres prestations.

> 2,2 milliards d’euros
: c’est le montant total de l’avantage procuré par le quotient familial au titre de l’impôt sur le revenu.

 

Nouveau :- site chansons-poèmes de  g.bessay:

http://chansontroisiemeage.unblog.fr/




L'actu écologique |
bessay |
Mr. Sandro's Blog |
Unblog.fr | Annuaire | Signaler un abus | astucesquotidiennes
| MIEUX-ETRE
| louis crusol