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Politique- Les Ukrainiens refusent les concessions faites par Macron à Poutine

Politique- Les  Ukrainiens refusent les concessions faites par Macron à Poutine 


On ne peut écarter l’hypothèse de concession territoriale faite par l’Ukraine à la Russie évidemment dans les zones où la population russe est majoritaire (cas d’une partie du Donbass). Par contre les autorités ukrainiennes contestent la légitimité des concessions que veut faire Macron à Poutine. Ils considèrent qu’il s’agit là d’un enjeu de souveraineté. Il faut dire que les pays de l’Ouest font peu de cas avec le fait que les ex pays soviétiques ont eu à supporter 50 ans de dictature et que de ce point de vue ils se montrent nettement moins bienveillants que certains pays occidentaux prèts à donner des compensations à Poutine »afin de ne pas l’humilier ».

L’Ukraine a donc déclaré lundi avoir repoussé le récent assaut contre Severodonetsk, une ville de l’est du pays qui est devenue la principale cible de l’offensive de Moscou depuis que les forces russes se sont emparées de Marioupol, la semaine dernière. Les forces russes ont tenté de prendre d’assaut Severodonetsk, mais n’y sont pas parvenues et ont reculé, a déclaré le bureau du président Volodimir Zelensky.

«Le New York Times, dans la foulée d’“intellectuels” allemands et du président français Emmanuel Macron, suggère maintenant d’accorder des concessions territoriales à la Russie de Poutine pour arrêter la guerre. Je suis d’accord, donnez-lui l’Alaska.» A l’instar de ce tweet d’Oleksiy Sorokin, chef du service politique du site d’information The Kyiv Independent, l’idée lancée le 9 mai par le chef de l’Etat français de ne pas humilier l’hôte du Kremlin – tout comme celle de créer une «communauté politique européenne» pour accueillir l’Ukraine – a été accueillie au mieux avec un certain humour par les intéressés. Mais la colère perce assez rapidement à l’égard du gouvernement français.

Celui-ci n’a pas arrangé ses affaires en déclarant, dimanche, par la voix de Clément Beaune, le ministre délégué aux Affaires européennes, que l’adhésion du pays à l’UE prendrait «sans doute quinze à vingt ans». Au lendemain de la reddition de la ville martyre de Marioupol, Kiev attendait sans doute plus d’encouragements de la part de Paris…En tout cas à moins de condescendance

Les Ukrainiens refusent les concessions faites par Macron à Poutine

Les  Ukrainiens refusent les concessions faites par Macron à Poutine 


On ne peut écarter l’hypothèse de concession territoriale faite par l’Ukraine à la Russie évidemment dans les zones où la population russe est majoritaire (cas d’une partie du Donbass). Par contre les autorités ukrainiennes contestent la légitimité des concessions que veut faire Macron à Poutine. Ils considèrent qu’il s’agit là d’un enjeu de souveraineté. Il faut dire que les pays de l’Ouest font peu de cas avec le fait que les ex pays soviétiques ont eu à supporter 50 ans de dictature et que de ce point de vue ils se montrent nettement moins bienveillants que certains pays occidentaux prèts à donner des compensations à Poutine »afin de ne pas l’humilier ».

L’Ukraine a donc déclaré lundi avoir repoussé le récent assaut contre Severodonetsk, une ville de l’est du pays qui est devenue la principale cible de l’offensive de Moscou depuis que les forces russes se sont emparées de Marioupol, la semaine dernière. Les forces russes ont tenté de prendre d’assaut Severodonetsk, mais n’y sont pas parvenues et ont reculé, a déclaré le bureau du président Volodimir Zelensky.

«Le New York Times, dans la foulée d’“intellectuels” allemands et du président français Emmanuel Macron, suggère maintenant d’accorder des concessions territoriales à la Russie de Poutine pour arrêter la guerre. Je suis d’accord, donnez-lui l’Alaska.» A l’instar de ce tweet d’Oleksiy Sorokin, chef du service politique du site d’information The Kyiv Independent, l’idée lancée le 9 mai par le chef de l’Etat français de ne pas humilier l’hôte du Kremlin – tout comme celle de créer une «communauté politique européenne» pour accueillir l’Ukraine – a été accueillie au mieux avec un certain humour par les intéressés. Mais la colère perce assez rapidement à l’égard du gouvernement français.

Celui-ci n’a pas arrangé ses affaires en déclarant, dimanche, par la voix de Clément Beaune, le ministre délégué aux Affaires européennes, que l’adhésion du pays à l’UE prendrait «sans doute quinze à vingt ans». Au lendemain de la reddition de la ville martyre de Marioupol, Kiev attendait sans doute plus d’encouragements de la part de Paris…En tout cas à moins de condescendance

« Ne jouez pas au dur! Ne faites pas l’idiot! »: Trump écrit à Erdogan pour ses propres électeurs

« Ne jouez pas au dur! Ne faites pas l’idiot! »: Trump écrit à Erdogan pour ses propres électeurs

Pratiquement tous les médias se sont étonnés des termes employés dans la lettre envoyée par Trump à Erdogan. En fait comme d’habitude, c’est une lettre très simpliste voire caricaturale mais qui s’adresse essentiellement aux  électeurs de Trump. La première décision, fondamentale celle là, du retrait des troupes US de la Syrie était destinée à satisfaite les électeurs de Trump qui partage le slogan «  l’Amérique d’abord » ; Donc le désengagement progressif de tous les conflits internationaux. La seconde lettre a le même objectif, rassurer les naïfs de son propre camp, un peu récalcitrants vis-à-vis de ce retrait,  avec des promesses de blocus économique. Et chez les lecteurs de Trump (comme aussi ailleurs hélas), plus c’est gros plus ça passe ; c’est du langage de bistrot pour des partisans sociologiquement proches de la clientèle de bistrot.

« Ne jouez pas au dur! Ne faites pas l’idiot! »: ce langage fort peu diplomatique est donc celui employé dans une lettre adressée par le président américain Donald Trump à son homologue turc Recep Tayyip Erdogan.

« Trouvons un bon accord », suggère Donald Trump dans cette missive de quatre paragraphes dévoilée mercredi mais datée du 9 octobre, dont l’authenticité a été confirmée à l’AFP. Elle a donc été adressée au président turc le jour où il a lancé ses troupes à l’assaut des Kurdes dans le Nord de la Syrie.

« Vous ne souhaitez pas être responsable du massacre de milliers de personnes, et je ne veux pas être responsable de la destruction de l’économie turque – ce que je ferais (si nécessaire) », écrit le président américain.

« L’Histoire vous jugera d’un oeil favorable si vous agissez de façon juste et humaine. Elle vous considérera à jamais comme le diable si les choses se passent mal », met en garde Donald Trump sans autre précision.

« Ne jouez pas au dur! Ne faites pas l’idiot! », conclut le locataire de la Maison Blanche. « Je vous téléphonerai plus tard ».

Hollande : « trop de choses faites à moitié » » (Macron)

Hollande : « trop de choses faites à moitié » » (Macron) 

 

Macron s e lâche un peu et considèrent que François Hollande a fait trop de choses à moitié. Un constat sans doute pertinent mais qui n’exonère pas la responsabilité des ministres qui passent maintenant leur temps à critiquer Hollande alors qu’ils étaient eux-aussi aux commandes. Il est clair notamment Emmanuel macro aurait dû démissionner beaucoup plus tôt notamment sitôt que Manuel Valls lui a interdit d’engager le second volet de ses réformes économiques et sociales pour en confier les responsabilités à elle El Khomri et Sapin  Emmanuel Macron reproche donc avec un peu de retard dans une interview au Journal du Dimanche, à François Hollande d’avoir pendant son quinquennat fait « beaucoup de choses à moitié » et regrette de ne pas avoir pu engager une deuxième étape de réformes économiques. L’ex-ministre de l’Economie, qui a démissionné pour se consacrer à son mouvement « En marche! », continue d’entretenir le flou sur une éventuelle candidature à l’élection présidentielle de 2017, tout en réaffirmant son souhait de voir gagner « les idées progressistes ». Durant le quinquennat, « je n’ai pas arrêté d’essayer, de proposer, de pousser mais si l’on veut réussir, on ne peut pas faire les choses à moitié, et malheureusement on a fait beaucoup de choses à moitié ! », estime Emmanuel Macron. « Le choix a été fait de ne pas engager une deuxième étape des réformes économiques comme je le proposais avec la loi Noé. Nous avons eu une autre divergence après les attentats et une opposition sur la déchéance (de nationalité des auteurs d’acte de terrorisme, auquel François Hollande a renoncé après l’avoir envisagée) », ajoute-t-il. « J’aurais souhaité qu’on aille plus loin sur la politique européenne », poursuit l’ancien ministre en soulignant qu’il a exprimé ses désaccords « de manière apaisée, dès le début » et que le chef de l’Etat connaissait ses convictions. A la question de savoir s’il a demandé au chef de l’Etat s’il serait candidat à sa propre succession, et s’il aurait démissionné en cas de réponse positive, il répond: « Je ne sais pas ce que fera le président de la République. Ma logique ne repose pas sur les questions de personnes. Il est très lucide et il a le sens des responsabilités, et je pense que son choix n’est pas fait. » « Vous ne savez pas s’il le sera, ni si je le serai. Encore une fois, avoir des idées claires, des convictions partagées, c’est la condition pour faire et c’est cela dont le pays a besoin », dit-il encore. Prié de dire ce qui le déciderait à se lancer, Emmanuel Macron indique que son objectif « est que les idées progressistes soient présentes au second tour de l’élection présidentielle et gagnent pour pouvoir transformer notre pays. » « Je dénonce le cynisme du système politique qui compte faire de la présence du Front national au second tour le marchepied de l’accession au pouvoir de tel ou tel camp. Je désapprouve ceux qui préfèrent préserver leurs appareils et leurs intérêts plutôt que de faire gagner leurs idées et la France », déclare-t-il. L’ancien ministre s’en prend plus particulièrement à Nicolas Sarkozy, en qui il voit « clairement l’un des hérauts du conservatisme ». « Sa vision de l’identité française est une forme de rabougrissement de la France, il exprime la brutalité sociale, le cynisme, l’irresponsabilité dans sa politique européenne. Il dit défendre la laïcité au nom de l’unité du pays mais ce qu’il propose fracture au contraire le pays et nourrit les communautarismes : c’est incohérent. » Selon un sondage Odoxa pour Le Parisien/Aujourd’hui en France, 74% des Français jugent qu’Emmanuel Macron a eu raison de quitter Bercy et 45% d’entre eux souhaitent qu’il se présente à l’élection présidentielle alors qu’ils étaient 40% en juin.

(Reuters)




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