Archive pour le Tag 'fait'

Page 17 sur 18

Chine-Dongfeng : un fait de corruption, quelle surprise !

Chine-Dongfeng : un fait de corruption, quelle surprise !

 

Un dignitaire dirigeant de Dongfeng, constructeur chinois , accusé de corruption il y a de quoi sourire quand on sait que la plupart es responsables économiques chinois ont pillé le pays ; Sous l’impulsion de Deng Xiaoping la Chine a mis en place le concept  d’économie socialiste de marché qui permet de développer le capitalisme en conservant le communisme comme  régime politique.  Une transition qui na été possible que grâce au pillage des richesses nationales par les anciens cadres du partis ; devenus subitement millionnaires( Comme en Russie). Un système plus efficace que l’ancien environnement  très dirigiste mais qui parallèlement a développé une corruption qui a aggravé les inégalités ; En clair les cadres du parti ont été achetés pour obtenir leur adhésion à la libéralisation ; mais une corruption qui fausse les données du marché et contre lequel le parti communiste a engagé désormais une opération nettoyage. (Comme en Russie où le nettoyage s’effectue à partir de la nature des rapports qu’entretiennent les nouveaux milliardaires avec Poutine). Il faut des exemples et c’est   Ren Yong, l’adjoint du directeur général de Dongfeng et vice-président de la coentreprise de Dongfeng avec le japonais Nissan qui en est aujourd’hui la « victime ». . Il « est actuellement sous enquête par les autorités compétentes, en raison de suspicions d’infractions disciplinaires », a indiqué le constructeur dans une déclaration transmise vendredi soir à la Bourse de Hong Kong. En conséquence, le groupe « a décidé de démettre Ren Yong de ses fonctions administratives et de ses responsabilités », a précisé l’exécutif de Dongfeng.  Le « gendarme » interne du Parti communiste au pouvoir, a confirmé ce week-end la procédure dans un communiqué distinct. « Ren Yong est suspecté de graves infractions à la discipline et à la loi, et fait actuellement l’objet d’investigations », est-il indiqué, sans détails supplémentaires. Cette formule est régulièrement utilisée par les autorités et médias officiels pour qualifier des faits de corruption et l’usage de pots-de-vins. Les géants chinois du secteur automobile, contrôlés par l’Etat, ne sont pas épargnés par la vaste campagne anticorruption lancée par Pékin: en août dernier, des cadres dirigeants d’une coentreprise entre l’allemand Volkswagen et le chinois FAW avaient été placés sous enquête, pour des motifs similaires. Dongfeng est un groupe public qui multiplie depuis toujours les alliances internationales. Il réalise d’ailleurs la majorité de sa production avec ses partenaires étrangers. Depuis début 2014, il est notamment actionnaire de PSA Peugeot-Citroën, dont il détient 14% du capital, à parité avec l’Etat français. Mais le premier partenariat entre les deux marques remonte à 1992, comme le rappelait Zhu Fushou, le PDG de Dongfeng, en mars 2014.  Dongfeng est également un partenaire privilégié de Renault, et possède une coentreprise en Chine avec Nissan. Cette dernière, avec 900.000 voitures écoulées en 2013, se classe parmi les dix premières marques sur le marché chinois, où les acheteurs continuent de privilégier de façon écrasante les marques étrangères.

 

Sondage Popularité : Hollande remonte … quand il ne fait rien !

Sondage Popularité : Hollande remonte … quand il ne fait rien !
Paradoxe  moins Hollande s’occupe des problèmes concrets plus il remonte en popularité même s’il demeure à un niveau historiquement bas. La stratégie de com. « Inauguration des chrysanthèmes » de l’Elysée semble fonctionner. A Valls les questions majeures, ce qui le fait descendre dans les sondages,  à Hollande les allocutions ésotériques sur les valeurs ou pire les rencontres et/ou déplacements futiles. Dernier exemple en date la réception de « Français du terrain » pour prendre connaissance des problèmes de la France  ou cette visite aux « archives nationales » ; bref Hollande est mieux dans la peau d’un conseiller  cantonal que dans cella d’un président de la république. Les instituts Ipsos, OpinionWay, LH2 et Odoxa ont auusi  montré récemment un léger regain de popularité pour François Hollande ; idem pour   le dernier baromètre IFO du JDD ; 35 % des sondés sont «satisfaits de Manuel Valls comme Premier ministre» (3 % très satisfaits et 32 % plutôt satisfaits) contre 62 % qui s’en disent mécontents (41 % plutôt mécontents et 21 % très mécontents) et 3 % qui ne se prononcent pas.

Pourquoi Merkel fait la leçon à la France

Pourquoi Merkel fait la leçon à la France

 

Merkel et son équipe ne cessent t d’adresser des critiques à la France depuis plusieurs semaines et même plusieurs mois. L’enjeu c’est le contenu de la politique européenne avec d’un coté la France qui veut une vraie relance des investissements  et une politique plus accommodante de la BCE, de l’autre l’Allemagne qui n’en veut pas et qui réclame à la France de réformes structurelles . En fait l’Allemagne caraint surtout devoir à payer la note avec l’affaiblissement de l’euro, la mutualisation des dettes avec le rachat par la BCE de dettes souveraines et la relance des investissements.  Irritée par les déficits publics français trop élevés, Merkel  a multiplié les coups de griffe contre Paris ces dernières semaines, signe de vives tensions franco-allemandes sur fond de discussions sur le budget français et de différends sur la politique économique. Berlin a pris garde de ne pas apparaître publiquement dans le débat jusqu’à présent. En dépit de plusieurs initiatives et rencontres ministérielles franco-allemandes, les lignes de fractures ne semblent pas avoir beaucoup bougé entre les deux capitales, Paris réclamant un soutien franc de son partenaire allemand à la croissance, et Berlin insistant sur les réformes et le sérieux budgétaire. Il y a une semaine, la Commission européenne a accordé un dernier répit à Paris et à Rome, en renvoyant au printemps son verdict sur leurs budgets 2015 mais en exigeant plus d’efforts pour améliorer leurs finances publiques, sous peine de sanctions. La France et l’Italie ont un déficit ou une dette qui ne respecte pas les limites fixées et leurs projets de budget 2015 présentent donc «un risque de non-conformité» avec les règles européennes, avait souligné Bruxelles. Cela les expose à terme à des sanctions financières, un scénario encore inédit.

Retraites chapeau : Macron fait semblant de menacer !

Retraites chapeau : Macron fait semblant de menacer !

Encore une promesse qui ne sera pas tenue. Surtout de la part de Macron ancien banquier. Ce n’est pas la première menace mais pas la dernière, toujours auusi vaine. La consanguinité finance-économie, politique s’oppose à toute réforme d’envergure en matière de finances et de rémunérations des patrons ; La meilleurs preuve c’est que Hollande a dû se coucher devant le lobby bancaire pour faire une fausse réforme qui permet donc aux banques de spéculer avec l’argent des dépôts comme avant et aux dirigeants de se rémunérer grassement.  Lors des questions au gouvernement mardi 18 novembre, Emmanuel Macron crée la surprise en se prononçant pour la suppression des retraites-chapeau, qui permettent à certains patrons de bénéficier de millions d’euros provisionnés par leur entreprise pour leurs vieux jours. C’est celle accordée à Didier Lombard, ex-patron de France Télécom, qui a remis le sujet sur le devant de la scène : près de 350 000 euros de retraite annuelle. Or, en 2007, année de la décision, la participation publique dans France Télécom s’élève encore à 27 %, ce qui donne aux représentants de l’État au conseil d’administration la possibilité de s’exprimer sur le sujet. Circonstance aggravante : Didier Lombard n’est pas parti de son entreprise sous les vivats, mais contre son gré. Il ne s’agissait donc nullement de retenir un personnage d’exception. Son successeur, Stéphane Richard, a au contraire eu l’élégance de se prononcer publiquement contre ce type d’avantages. Emmanuel Macron, donc, prétend supprimer les retraites-chapeau dans leur ensemble, alors qu’elles se pratiquent dans des entreprises dans lesquelles l’État est actionnaire, comme GDF Suez ou France Télécom devenue Orange. Il ferait mieux de commencer par là ! De plus, il se pare de pouvoirs qu’il ne peut nullement exercer, comme l’explique Pierre-Henri Leroy, président de Proxinvest, agence française de gouvernance d’entreprise : « Avant de vouloir interdire les retraites-chapeau, ce qui revient à peu près à vouloir interdire le mauvais temps, il fallait commencer par avoir le courage de faire une vraie réforme financière, au lieu de caler devant les desiderata des banques. Cela aurait été un premier pas, un premier acte d’autorité. Aujourd’hui, des propos pareils font rire tout le monde. »

 

La BCE fait semblant d’agir

La BCE fait semblant d’agir

 

La BCE a décidé d’injecter 1000 milliards de liquidités supplémentaires mais pour quoi faire ? Pour les banques qui ne n’ont pas besoin et pas pour les Etats qui, eux, croulent sous le poids de la dette. En fait la BCE attend encore pour racheter la dette des Etats, elle attend quoi ? La déflation. Les marchés sont quand même contents, on va pouvoir spéculer pendant quelques jours mais cela ne changera rien à la donne économique européenne.  La BCE a décidé, ce jeudi, d’injecter 1000 milliards d’euros de liquidités supplémentaires dans le circuit monétaire de la zone euro pour soutenir la croissance. «C’est la nouvelle du jour: l’accord unanime du Conseil pour se donner un objectif chiffré d’augmentation de la taille du bilan de la BCE», estiment les économistes de Barclays Capital. Le Conseil des gouverneurs s’est également mis d’accord à l’unanimité pour demander aux équipes de la BCE de «préparer, en temps voulu, de nouvelles mesures à mettre en œuvre, si nécessaire». C’est une étape de plus vers «l’assouplissement quantitatif» à l’américaine (QE en anglais), réclamé depuis des mois par les marchés.   Cette technique de politique monétaire largement utilisée au Japon, aux États-Unis et au Royaume-Uni consiste à acheter des dettes publiques en échange de monnaie nouvellement créée par la Banque centrale. Elle n’a jamais été mise en œuvre dans la zone euro, où le financement monétaire des États est strictement interdit par le traité de Maastricht. «Il n’y a pas de problème légal si nous restons dans le cadre du mandat», a précisé Mario Draghi. Sans être révolutionnaires, ces deux annonces ont suffi à faire passer les Bourses européennes dans le vert, et à faire baisser l’euro à 1,24 dollar, son plus bas niveau depuis août 2012. Mais tel n’était pas l’objectif de «Super Mario» qui tenait sa dernière conférence de presse mensuelle dans «l’Eurotower», la BCE déménageant ces jours-ci dans un gratte-ciel ultramoderne, édifié sur les bords du Main. Le président de la BCE cherchait surtout à dissiper les rumeurs de fronde au sein l’institution monétaire. Il a insisté sur «l’unanimité» qui a prévalu au Conseil des gouverneurs ce jeudi. A l’entendre, les deux annonces du jour ont été signées donc validées par le «faucon» Jens Weidmann, le banquier central allemand, qui n’a pas toujours été d’accord avec Mario Draghi, notamment sur les achats de dettes publiques. La BCE a prévenu qu’elle ne franchirait le Rubicon qu’à deux conditions: si ses mesures d’achats d’actifs décidées jusqu’ici ne portent pas leurs fruits ; si l’inflation continue de baisser. Ces deux conditions ne sont pas réunies aujourd’hui. Il faudra attendre plusieurs mois pour décider l’assouplissement quantitatif interviendrait au plus tôt au premier semestre 2015. «Les programmes d’achats d’actifs annoncés jusqu’ici par la BCE ne permettront pas d’augmenter son bilan de 1 000 milliards d’euros», estiment les experts de Barclays.  Ils permettraient tout au plus d’injecter 500 milliards d’euros d’argent frais. Seuls les achats de dettes souveraines permettraient d’atteindre l’objectif de que s’est fixé la BCE. Et de faire baisser l’euro en deçà de 1,20 dollar. C’est le pari que font les marchés.

 

Pour Bruxelles, la France faat semblant de réviser son budget

Pour Bruxelles, la France faat semblant de réviser son budget

 

Une véritable opération de dupes, la France. Bruxelles gronde la France, la France fait semblant de réviser son budget et Bruxelles donnera l’impression d’être satisfaisait. Au final tout le monde est perdant. La France qui perd en crédibilité et Bruxelles perd en cohérence. En fait des fausses économies en intégrant d’ hypothétiques baisses de taux d’intérêt, de lutte contre la fraude fiscale et une ristourne de Bruxelles sur la cotisation de la France. À y regarder de près, Bercy réalise une opération qui aura au moins le mérite de ne pas froisser la majorité. Car l’effort de 3,6 milliards ne s’obtient ni par des réformes structurelles, ni par des économies supplémentaires. Le chef de l’État ne risque donc pas de nouvelle bronca dans les rangs parlementaires, comme il a dû le subir sur les mesures d’économies sur la famille. Le gouvernement compte surtout sur quelques «bonnes nouvelles». Et de citer les «moindres charges d’intérêt» de la dette «dans un contexte de baisse continue des taux depuis l’été», ce qui permettra de réduire le coût de la dette de 400 millions par rapport aux prévisions. La contribution française au budget européen devrait, quant à elle, être inférieure de 300 à 600 millions par rapport à ce qui est inscrit dans le budget 2015. Par ailleurs, souligne Michel Sapin, le gouvernement a décidé d’«accélérer et renforcer la lutte contre la fraude et l’optimisation fiscale». Il en attend 900 millions de recettes en plus. Quelque 500 millions supplémentaires viendront de la non-déductibilité de l’impôt sur les sociétés de certaines dispositions, 300 millions de ressources supplémentaires des collectivités locales (venant par exemple de la taxe de séjour ou encore la taxe sur les parkings). Le reste se partagerait entre une réévaluation à la baisse du coût du crédit d’impôt compétitivité emploi (CICE) et 350 millions «d’autres mesures» à caler. La plupart des dispositions de ce paquet figureront dans la loi de finances rectificative qui devrait être présentée le 12 novembre en Conseil des ministres. Si la dimension réformatrice de ces annonces n’est pas évidente, le ministre des Finances estime néanmoins qu’elles permettent «de présenter un ajustement structurel budgétaire (qui ne tient pas compte des aléas de la conjoncture) supérieur à 0,5 point de PIB en 2015», contre 0,2 point prévu jusqu’à présent. Alors que la Commission peut s’exprimer mercredi si elle estime qu’il y a un manquement au pacte de stabilité, précisément sur ces réformes de structure, Michel Sapin estime que la France est désormais «en ligne avec nos règles communes et les flexibilités qu’elles contiennent». Et le ministre de conclure: «Je ne doute pas que les éléments que nous précisons aujourd’hui permettront à la Commission d’apprécier l’effort réalisé par la France en 2015.» Selon Le Monde , les nouveaux efforts annoncés satisferaient Bruxelles qui ne devrait pas sanctionner Paris d’un «avis négatif».

 

Copé : un copinage avec Bygmalion et Coca cola qui fait des bulles

Copé : un copinage avec Bygmalion et Coca cola qui fait des bulles

 

 

Copé c’est comme Sarko une « victime » des medias  et de la justice. En fait ce sont plutôt ses relations troubles avec l’argent qui le transforment en cible. Dernier exemple en date se relations croisées avec Coca- cola et Bygmalion. En effet Jean-François Copé aime beaucoup Coca-Cola, et l’entreprise le lui a bien rendu. Selon Le Point du 9 octobre, le maire de Meaux et le fabricant de sodas se seraient mutuellement rendus d’importants services. L’hebdomadaire relate ainsi que Coca-Cola aurait déboursé 50.000 euros pour que soit exposée une bouteille de Coca datée de 1917 dans le Musée de la Grande Guerre de la ville de Jean-François Copé. Sauf que la bouteille n’aurait jamais été présentée au public… Peut-être parce qu’elle valait en réalité plutôt 20 dollars, selon eBay, rapporte Le Point. L’entreprise serait également un généreux sponsor du festival Musik’Elles depuis 2005 : 30.000 euros en 2011 et 2014, 15.000 euros en 2012. Dans l’autre sens, le chef de file des députés UMP aurait largement participé à la lutte contre la taxe sur les sodas, que voulait mettre en place l’élue UMP Valérie Boyer.  »La majorité d’entre nous n’est pas favorable à la taxe sur les boissons sucrées », aurait-il martelé lors d’une réunion interne. Un autre député, Yves, Bur, assure selon Le Point que Jean-François Copé aurait même menacé sa collègue de la faire échouer à la prochaine élection, au point que celle-ci s’est abstenue lors du vote de son propre amendement. Sa campagne contre la taxe est un échec puisque François Fillon la remet au goût du jour en 2011. Les députés copéistes, Patrick Balkany en tête, tentent le passage d’amendements plus favorables, comme un allègement sur certains types de sodas. En vain. Dernier épisode en 2012. Alors que Jean-François Copé emporte dans la controverse la présidence de l’UMP, Coca-Cola se présente chez l’entreprise Bygmalion, la même accusée d’avoir organisé avec l’UMP une fausse facturation lors de la campagne de Nicolas Sarkozy. Le fabricant de sodas aurait ainsi embauché la société pour des activités diverses et un montant total de 120.000 euros, selon Le Canard Enchaîné. La dirigeante de Coca-Cola France, Dominique Reiniche, reçoit de l’aide pour gérer son compte Twitter et surveiller sa réputation sur internet pour un montant de 15.000 euros. Jean-François Copé la connaît bien, pour l’avoir accompagnée quelques années plus tôt dans sa volonté de favoriser la parité dans les conseils d’administrations

 

Moscovici, nouveau commisaire européen, fait la leçon à la France !

Moscovici, nouveau commisaire européen, fait la leçon à la France !

 

Ils sont merveilleux ces politiques qui peuvent passer d’une fonction à une autre sans état d’âme. Encore récemment ministre des fiances Moscovici a écoué à redresser la France, mais depuis mercredi commisaire européen à l’économie, il faiat déjà la leçon à la France L’ex-ministre nommé ce mercredi commissaire européen aux Affaires économiques et financières répond aux questions des « Echos ». Il déclare sans honte« Il faudra que la France résolve ses problèmes de finances publiques » !  (interview des Echos)

 

 

Au printemps, vous quittiez le gouvernement, critiqué pour votre action au ministère des Finances. Aujourd’hui vous obtenez le portefeuille des Affaires économiques et monétaires dans la Commission Juncker. Vous tenez votre revanche ?

Ce n’est pas mon état d’esprit. Je savais à mon départ du gouvernement que je serai proposé par François Hollande pour être le commissaire français. Nous y pensions depuis l’automne 2013. Le président considérait que j’avais le profil : j’ai été deux fois député européen, le représentant français à la convention européenne en 2002-2003 et ministre des Affaires européennes pendant 5 ans. Comme ministre de l’Economie et des Finances, je me suis beaucoup battu pour que la zone euro sorte de la crise. Je suis donc parti sans amertume du gouvernement, puisque je partais pour un projet. Il est vrai que je ne suis pas mécontent de constater qu’il y a désormais en France une clarté, une cohérence dans l’orientation de la politique économique.

 

Pourquoi avoir autant insisté pour décrocher ce poste des Affaires économiques ? La France est depuis des années le mauvais élève de la zone euro en matière budgétaire, ne risquez-vous pas de manquer de crédibilité dans l’exercice de votre mission ?

C’est le président de la Commission européenne qui a réparti les postes. Jean-Claude Juncker a estimé très tôt qu’il était important que ce portefeuille stratégique soit confié à un socialiste. Il a souhaité que je remplisse cette fonction, sans doute parce qu’il pense que j’ai l’expérience et l’engagement nécessaires pour à la fois garantir le sérieux des finances publiques européennes et contribuer à une politique de croissance en Europe. Le président de la Commission veut faire de son mandat celui de la croissance et de l’emploi, il souhaite une inflexion de la politique européenne. Alors oui, il faudra que la France résolve ses problèmes de finances publiques, mais il y a plus important. Cette Commission s’installe après des élections européennes dramatiques qui ont marqué un début de rejet du projet européen. Je suis persuadé que si cette Commission échoue, ce sera la fin. Nous avons un devoir de réussite.

//

Sondage : le gouvernement n’en fait pas assez pour les entreprises pour 63% des Français

Sondage : le gouvernement n’en fait pas assez pour les entreprises pour 63% des Français

Déclarer « J’aime les entreprises »  c’est bien  mais agir, c’est mieux ;  ce que pensent les Français. Une large majorité de Français a le jugement inverse : 63 % d’entre eux considèrent en effet que « Manuel Valls et le gouvernement n’en font pas assez pour les entreprises » contre 15 % qui jugent que l’exécutif en « fait trop » et encore 15 % qui estiment que ce n’est « pas assez ».  Sans surprise, la proportion de sondés qui pensent qu’il n’y en a « pas assez » pour les entreprises atteint des sommets chez les sympathisants de droite (81 %) de longue date acquis à la politique de l’offre. Une position partagée par 72 % des électeurs du FN. Plus intéressant encore sont les résultats de ce sondage chez les sympathisants de gauche : 44 %, soit une majorité relative, estiment aussi que le gouvernement n’en fait « pas assez », contre 22 % qui juge le dosage bon et 22 % qui l’estiment « trop » favorable aux entreprises. Le président de CSA, Bernard Sananès, voit deux raisons à ces résultats : «L’entreprise est perçue comme un acteur de la sortie de crise» et les Français considèrent désormais «qu’aider les entreprises, ce n’est pas aider les patrons mais l’emploi». De quoi faire écho aux propos du Premier ministre déclarant devant le Medef : «Il n’y a pas d’emplois sans employeurs. C’est pourquoi il est absurde de parler de «cadeau fait aux patrons» ».  A gauche, seuls les sympathisants du PCF et de Jean-Luc Mélenchon jugent majoritairement (47 %) que l’exécutif en « fait trop ». Les sympathisants écologistes pensent, au contraire, à 53 % que le gouvernement n’en fait « pas assez » pour les entreprises. Un avis partagé par 41 % d’électeurs socialistes contre 18 % estimant que c’est « trop ». Voilà qui devrait alimenter le débat entre le gouvernement et les frondeurs du PS, minoritaires dans leur électorat. Plus largement, la conversion des sympathisants de gauche à une politique pro-entreprise rappelle celle survenue dans les dernières années à propos de la fiscalité (les impôts étant devenus impopulaires même à gauche). «C’est une conversion de la même ampleur, mais celle sur les entreprises est plus positive et plus pragmatique», nuance Bernard Sananès, soulignant que, s’agissant des entreprises, les sondés ne se situent pas par rapport à leur cas particulier mais en fonction d’une vision de l’économie. Et d’assurer à la lumière d’autres enquêtes : «Il y a, dans l’opinion, une réhabilitation de l’entreprise.»

 

Chômage encore en hausse : là Valls ne fait pas autorité !!

Chômage encore en hausse : là Valls ne fait pas autorité !!

 

 

En père fouettard, Valls expose son autorité partout mais pas sur le chômage où là il reconnait que les chiffres sont encore une nouvelle fois mauvais pour juillet ; C’est là la pire contradiction de ce gouvernement au vernis socialiste qui en fait applique une politique sociale libérale confuse et entretient la plus grande  inégalité à travers l’accès à l’emploi. Sur ce terrain Valls, Hollande Rebsamen se comportent  en commentateur davantage qu’en décideurs. Ils découvrent la lune et la nécessité de la croissance pour créer des emplois.  L’annonce officielle du chômage. aura lieu en fin de journée. «Avec zéro pour cent de croissance depuis le début de l’année, il ne faut pas s’attendre à ce que -malgré les politiques de l’emploi- le chômage diminue», a déclaré le ministre du Travail François Rebsamen lundi soir sur Europe 1. Avant d’ajouter «c’est à partir de 1,3%-1,5% de croissance qu’on crée de l’emploi. On n’y est pas.»  Or Michel Sapin, ministre des Finances et des Comptes Publics, a annoncé n’espérer que 0,5% de croissance pour l’année 2014. Il a révisé son objectif initial de 1% après le résultat nul de croissance au deuxième trimestre. Quant à 2015, il ne s’attend pas à un chiffre «très supérieur» à 1%. Les organismes internationaux ne prévoient pas non plus un changement de la tendance pour l’emploi en France avant 2015. Et le FMI pousse même l’année du redressement de la situation… en 2016. Un constat amer partagé par Manuel Valls, qui a lui aussi prévenu que «les chiffres du chômage ne peuvent pas être bons». «Ils seront négatifs», a-t-il conclu lors de son passage sur France 2 après l’annonce du remaniement. Pôle Emploi vient en quelque sorte, avec la publication de ses chiffres, clore le gouvernement Valls I. Le bilan n’est pas très brillant: François Rebsamen a enregistré en juin son quatrième mois de hausse du chômage depuis sa prise de fonction, et ce mois de juillet devrait être le cinquième. En juin près de 3,4 millions de Français pointaient à Pôle Emploi en catégorie A (sans aucune activité), avec un nouveau record chez les chômeurs qui ont eu une petite activité: 5,34 millions en comptant l’outre-mer. À vrai dire depuis octobre 2013 -huit mois- aucun des bilans mensuels de Pôle Emploi n’inverse la courbe noire, bien que l’Insee ait estimé que l’emploi salarié serait en hausse au deuxième trimestre.  Le gouvernement en plein remaniement garde le ministre du Travail actuel qui avait annoncé sur Europe 1 «souhaiter» rester à son poste. «C’est beaucoup d’investissement en temps et en travail -c’est le cas de le dire-, et j’y suis bien», confiait-t-il. François Hollande avait affirmé que sa politique de relance, portée par le pacte de responsabilité  Mais la majeure partie de la population ne compte plus sur l’exécutif pour un progrès de l’économie dans l’Hexagone. Ainsi, plus de huit Français sur dix n’ont plus confiance en François Hollande pour combattre efficacement le chômage et relancer la croissance indique un sondage IFOP publié dans le JDD. «Il y a un chômage de masse insupportable, c’est ça qui pèse sur le moral des Français», décrit le ministre du Travail François Rebsamen.

 

Austérité : face aux critiques de Montebourg, Hollande fait le dos rond

Austérité : face aux critiques de Montebourg, Hollande fait le dos rond

 

Montebourg dit le contraire de Hollande mais ce denier acculé par son impopularité tente vainement d’expliquer que les propos ne sont pas contradictoires. Bref une synthèse à la mode Hollande avec son flou et ses contradictions.  En déplacement aux Comores, François Hollande a réagi samedi aux déclarations d’Arnaud Montebourg, qui estime dans les colonnes du Monde qu’il faut faire passer au second plan la réduction « dogmatique » des déficits.   »Il y a toujours une alternative », assure Arnaud Montebourg dans un entretien accordé au Monde, samedi. Le ministre de l’Économie prend à revers François Hollande et le gouvernement en plaidant pour une relance de la croissance, loin des plans de réduction « dogmatique » des déficits. « Pour l’instant, le débat est ouvert, puisque la loi budgétaire sera présentée en septembre. Les choix politiques ne sont pas figés », ajoute l’ancien candidat à la primaire socialiste, habitué de ce genre de coups d’éclat. En avril 2013, il avait déjà estimé que la « politique d’austérité conduit à la débâcle ». La réponse de François Hollande ne s’est pas fait attendre. Quelques jours après avoir lui-même défendu sa politique économique dans une interview au Monde, le Président, actuellement en visite dans l’Océan indien, a réagi aux propos d’Arnaud Montebourg. « Je souhaite que nous puissions convaincre nos partenaires européens de donner une priorité à la croissance. Tous ceux qui portent cette idée sont les bienvenus et c’est la position de tout le gouvernement », a-t-il expliqué lors d’une conférence de presse à Moroni, aux Comores. De son côté, Matignon ne voit « rien de choquant, rien de nouveau » aux déclarations du ministre de l’Économie. « La donne européenne est en train de changer », précise-t-on. « Le président de la République et le Premier ministre agissent dans ce sens et le Premier ministre attend du ministre (Arnaud Montebourg, ndlr) un engagement total sur la loi croissance et le pouvoir d’achat ». Au début du mois de septembre, Montebourg doit présenter une loi pour relancer la croissance en s’attaquant aux professions réglementées. Marie-Noëlle Lienemann, sénatrice PS de Paris, et représentante de l’aile gauche du parti, s’est félicitée pour sa part de l’intervention du ministre de l’Économie. « Il y a besoin de ce débat approfondi, il y a besoin d’une réorientation et que le ministre de l’Économie s’engage est positif. Maintenant il ne faut pas que ça reste lettre morte et il faut que le débat aille à son but, c’est-à-dire effectivement donner du pouvoir d’achat, faire une politique plus favorable à l’emploi », a-t-elle déclaré au micro de BFMTV samedi.

Crash Air Algérie : Hollande en a fait des tonnes !

Crasha Air Algérie : Hollande en a fait des tonnes !

 

Il était évidemment normal que la président s’exprime à propos de ce drame mais là il en vraiment faiat des tonnes. Hollande donne l’impression de sauter sur tout ce qui bouge y compris quand il s’agit de situation dramatique. Il s’agit en faiat d’occuper l’espace médiatique mais pour quoi faire ? Le pouvoir ne peut dans cette affaire que faire part de sa compassion et son champ d’action est très limité sinon nul. Hollande se transforme surtout en commentateur alors qu’on attend un acteur. Les français attendent de lui qu’il n’exprime pas seulement de la compassion sur les souffrances mais qu’il agisse et sur toutes les souffrances en particulier celle du chômage et de la misère. Critiqué sur cette présence excessive- voire- abusive  François Hollande veut se mettre en retrait. Une réunion a eu lieu à l’Élysée ce 28 juillet, la quatrième entre le Président et les ministres concernés par le crash, pour faire le point sur l’enquête et le rapatriement des corps. Mais cette fois-ci, le Président a décidé de ne pas s’exprimer. Ce silence n’est pas un hasard. L’Élysée tente de maîtriser et de réduire sa communication au maximum. François Hollande veut montrer qu’il se met en retrait et couper court aux critiques qui commencent à s’élever sur sa trop grande présence. Dans son entourage, ces attaques sont jugées « ridicules ». « François Hollande était le seul à avoir l’autorité nécessaire pour être à la manœuvre depuis jeudi », rappelle un de ses proches. Le chef de l’État cède sa place aux ministres concernés par le drame et pour la gestion des familles, reçues samedi 26 juillet. Depuis ce lundi matin, c’est le coordinateur des victimes qui assure le lien. Il sera désormais l’interlocuteur privilégié des proches de victimes, notamment en ce qui concerne les démarches administratives. François Hollande ne veut plus être en première ligne, pas même à propos de l’enquête. C’est au quai d’Orsay que l’on saura désormais comment avance le travail des gendarmes et des enquêteurs du Bureau d’études et d’analyses. Les boîtes noires, elles, arrivent à Paris, mais il faudra du temps pour qu’on sache décrypter les informations qu’elles contiennent.

Copé fait payer sa femme par l’Assemblée

Copé fait payer sa femme par l’Assemblée

 

Il a raison Copé, il n’y a pas de petits bénéfices, il a choisi (comme d’autres députés) de faire de son épouse son assistante parlementaire ; ainsi c’est l’assemblée qui paye le salaire qui reste en famille ; une pratique malheureusement courante d’autant plus critiquable quand l’épouse en question ne fait pas réellement son travail d’assistant. L’emploi de Nadia Copé, comme assistante parlementaire de son époux Jean-François Copé, révélé par Mediapart mercredi, crée un certain malaise chez les députés. Un malaise qui dépasse le clivage habituel entre copéistes et fillonistes. Car la pratique d’embaucher son conjoint, ou plutôt sa conjointe dans les faits, est courante. Et n’a rien d’illégal pour peu que le lien conjugal soit déclaré car, dans ce cas, la rémunération est plafonnée à 4 750 euros par mois. Selon Mediapart, une centaine de députés déclaraient en juin 2012 salarier un membre de leur famille comme collaborateur.  « Il faut mettre un terme à ce type de relation salariale entre conjoints, s’exclame le député UMP Pierre Morel-A-L’Huissier, c’est un mélange des genres qui n’est pas sain. » « Il existe un lien de subordination entre un député et son collaborateur parlementaire. Quand il s’agit de son épouse, qu’advient-il de ce lien? », s’interroge le député qui, par ailleurs, demande la création d’une commission d’enquête sur les conditions de financement des groupes parlementaires. Celui qui avait soutenu Jean-François Copé lors de la primaire de 2012 face à François Fillon annonce à l’Express qu’il écrira aux questeurs de l’Assemblée nationale mercredi pour leur demander d’enquêter sur d’ « éventuelles dérives financières ou d’éventuelles non-effectivité de postes ».  « On semble découvrir le gaz mais prendre son épouse comme collaboratrice est connu. La question qui se pose ensuite, c’est si celle-ci exerce effectivement des activités. » Mais le député évoque le principe général et ne cible pas Nadia Copé en particulier: « faisait-elle vraiment son travail? Je suis incapable de répondre. Tout ce que je peux dire, c’est qu’elle est très au fait des activités politiques de son mari. J’ai eu une fois une longue discussion avec elle. »  Julien Aubert, autre député UMP copéiste, est favorable à l’interdiction pour un député d’embaucher un membre de sa famille comme collaborateur. Le jeune élu du Vaucluse a déjà déposé une proposition de loi visant à interdire ce type d’embauche pour les élus au sein des exécutifs des collectivités territoriales.

 

En Suisse , Sarkozy en fait trop

En Suisse ,  Sarkozy en fait trop

Comme d’habitude Sarko en faiat trop ; certes il a critiqué avec raiosn le système financier suisse mais il s’est égaré en critiquant le système politique helvète et son orientation. Dans un entretien accordé au quotidien suisse Le Matin, l’ancien président helvétique, Adolf Ogi, critique vivement l’attitude de l’ancien président français. Adolf Ogi reproche à Nicolas Sarkozy, invité du Swiss Economic Forum d’Interlaken - un « mini-Davos » – organisé ce vendredi 6 juin, d’avoir « kidnappé » la conversation et transformé un débat en « one-man-show ». Le différend avait été révélé par le journal SonntagsBlick. « Nicolas Sarkozy a fait son numéro. Il a plu, par sa rhétorique, ses mimiques. Il s’est imposé, donnant le spectacle qu’il voulait donner, explique-t-il au quotidien. Mais le pauvre journaliste n’a pas su poser ses questions ». Inquiet de la tournure de la discussion, l’ancien chef d’État helvétique intervient : « En tant que président du Forum, je devais m’assurer que tout se passe bien, explique-t-il au Matin. Monsieur le président, je ne suis pas journaliste, a-t-il alors dit à Nicolas Sarkozy. Je ne souhaite pas entrer dans le petit jeu des questions-réponses. Comme vous je suis un ancien président », commence-t-il. Il est allé trop loin. Il fallait dire stop Adolf Ogi au sujet de Nicolas Sarkozy . Après avoir précisé que le débat devait se dérouler sur « un pied d’égalité », Adolf Ogi rend la parole à l’ancien président français. Nicolas Sarkozy aurait alors fortement remis en cause le système et les choix politiques suisses. « Il s’est mis à expliquer que la Suisse devait entrer dans l’Union européenne, ajoute Adolf Ogi. Qu’un pays ne peut pas être gouverné par un président qui change chaque année. Ou que notre système avec 7 conseillers fédéraux est inefficace ». « Il est allé trop loin. Il fallait dire stop. Je l’ai interrompu. Si une personne se montre irrespectueuse envers notre pays, je ne laisse pas passer, affirme-t-il. C’est le cas lorsque j’étais au Conseil fédéral (1988-2000). C’est toujours le cas aujourd’hui. Et ce le sera demain. La Suisse ne doit jamais se laisser marcher sur les pieds. Nous devons discuter d’égal à égal avec tout le monde », a-t-il conclu.

La Communication de Hollande’ : « il n’a fait que botter en touche » (Le Foll)

La Communication de Hollande’ : « il n’a fait que botter en touche » (Le Foll)

 

C’est le nouveau porte parole du gouvernement qui le dit : «  Hollande n’a faiat que botter en touche ». Problème, il continue auusi bien avec Alstom, le chômage, ou encore l’Europe. Stéphane Le Foll n’est pas tendre avec François Hollande. Dans une interview accordée à L’Opinion), vendredi 9 mai, le nouveau porte-parole du gouvernement tente d’expliquer la chute de popularité du président. Le ministre de l’Agriculture se repasse ces temps-ci les prestations télévisées de son ami François hollande. A propos de l’interview du 14 juillet 2012, où François Hollande fut interrogé par Claire Chazal et Laurent Delahousse depuis l’hôtel de la Marine, Stéphane Le Foll déclare : « Ce jour-là, il n’a fait que botter en touche : la fermeture de l’usine PSA d’Aulnay, le tweet de Valérie Trierweiler, etc. Il a donné l’impression de n’avoir aucun background sur les dossiers ». Stéphane Le Foll est un fidèle du président. Pendant onze ans, il était le directeur de cabinet du premier secrétaire du Parti socialiste, François Hollande. Et en 2012, il était chargé de l’organisation de la campagne du candidat socialiste. Pour ce proche, l’entretien du 14 juillet correspond à la première faute de communication du président : « En revoyant les images, ça a fait tilt. François Hollande s’est fait « choper » sur tout ». L’effet de l’interview du 14 juillet s’est rapidement fait sentir dans les sondages. La cote de confiance du chef de l’Etat passe en quelques semaines de 57 à 36 % de bonnes opinions. « Gouverner, c’est une chose. Incarner, c’est ce qui lui manque encore », lâche ce proche du président, qui reste optimiste pour la suite du quinquennat.

 

1...1415161718



L'actu écologique |
bessay |
Mr. Sandro's Blog |
Unblog.fr | Annuaire | Signaler un abus | astucesquotidiennes
| MIEUX-ETRE
| louis crusol