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Recadrer le fait religieux dans les entreprises (CFDT)

Recadrer le fait religieux dans les entreprises (CFDT)

À défaut de règles précisées par le gouvernement, la CFDT a sorti un document pour recadrer le fat religieux dans les entreprises. Début décembre, le syndicat a publié un guide pratique sur le sujet à usage de ses délégués. «Le fait religieux au travail est une réalité que rencontrent de plus en plus de nos équipes. Certes en progression, ces manifestations restent néanmoins très peu fréquentes et, dans l’immense majorité des cas, elles ne génèrent pas de conflit. Mais elles peuvent percuter nos représentations et nos valeurs, voire perturber le «vivre ensemble» dans l’entreprise», explique, en introduction, le secrétaire général Laurent Berger. «Le principe de laïcité est régulièrement invoqué lors des débats autour des libertés religieuses. Or, ce principe constitutionnel est strictement et juridiquement cantonné à la sphère publique, et n’est pas transposable, en tant que tel, à l’entreprise privée», insiste d’abord la centrale. Dans son ouvrage de 34 pages, elle rappelle le cadre juridique et la jurisprudence qui s’appliquent aux trois grands types d’entreprises françaises: privées «classiques», privées gérant un service public et privées de «tendance» (dont l’activité est la défense ou la promotion d’une doctrine ou d’une éthique particulière). Au sein des entreprises privées «classiques», le principe fondamental reste celui de la liberté religieuse. Les limites à cette liberté sont exceptionnelles et sévèrement contrôlées par les juges. Elles doivent être justifiées par des impératifs commerciaux. L’interdiction du port du foulard ne peut, par exemple, viser que certaines salariées qui se trouveraient au contact d’une clientèle gênée par ce signe. Dans le cas des entreprises privées gérant un service public, la règle est plus simple: les salariés doivent respecter le principe de neutralité, attaché au respect de la laïcité. Enfin, dans le groupe des entreprises privées de «tendance», le principe de non-discrimination est assoupli. Le licenciement d’une enseignante d’un établissement catholique qui a divorcé et s’est remarié a ainsi été justifié par la Cour de cassation.

Magasins: baisse de fréquentation du fait du terrorisme

Magasins: baisse de fréquentation du fait du terrorisme

Contrairement à ce que déclarait Moscovici commissaire européen les attentats ont bien des conséquences économiques en particulier sur le tourisme et sur le commerce. Samedi  Moscovici commissaire européen aux affaires économiques avait affirmé que la croissance n’aura pas à pâtir des attentats. Des affirmations de Moscovici qui relève surtout de la méthode Coué. Dans un entretien à France Inter diffusé samedi, Pierre Moscovici estimait  que les exemples passés en Europe ne laissent pas craindre de rechute économique après ces attaques qui ont fait 130 morts et plus de 350 blessés le 13 novembre. « Je ne crois pas pour ma part que cette croissance soit affaiblie par ce qu’il se produit actuellement, ou menacée », a-t-il dit, alors que le gouverneur de la banque d’Italie, Ignazio Visco, s’est inquiété, lui, d’un poids négatif sur la reprise. La croissance de la zone euro est attendue à 1,6% du PIB cette année, puis à 1,8% en 2016 et 1,9% en 2017, a rappelé Pierre Moscovici. Pour la France, les estimations de la Commission tablent sur 1,1% puis 1,4% et 1,7%. Des prévisions qui pourraient être remises en cause par les conséquences du terrorisme. Par exemple les magasins d’habillement de centre-ville ont enregistré une baisse de fréquentation de 20 à 30% en France depuis les attentats du 13 novembre, a indiqué dimanche Bernard Morvan, président de la Fédération nationale de l’habillement. « On constate une baisse sur les villes partout en France, du Nord au Sud de l’Est à l’Ouest, de 20 à 30% de fréquentation dans les centres-villes », a-t-il déclaré sur RTL. Cette fédération représente 50.000 boutiques indépendantes, dont 6.000 en Ile-de-France.    »Certains magasins peuvent comptabiliser les passages à l’entrée des magasins, on sait donc dire précisément qu’il y a une chute de fréquentation depuis samedi dernier », a-t-il précisé. « Notre besoin c’est que la ville soit sécurisée, que les rues commerçantes soient sécurisées avec plus de présence policière dans les villes », selon lui. Les grands magasins parisiens avaient déjà indiqué jeudi subir une chute de leur fréquentation, de l’ordre de 30% pour le Printemps et de 50% pour les Galeries Lafayette.

« On a fait sérieusement mal à Daech »(Pierre de Villiers)

« On a fait sérieusement mal à Daech »(Pierre de Villiers)

Plusieurs sources semblent confirmer que les dernières frappes françaises ont durement touché l’état islamique dans la zone de RAKKA. Ont été en particulier& des cibles ou se concentrer des pianistes étrangers notamment français ainsi que certains centres de commandement. Dès leur on comprend mieux la violence des nouvelles menaces adressées à la France qui promet un concept en au pays. Une réaction de bête blessée Ce que confirme Le général Pierre de Villiers, chef d’état-major des armées françaises dans une interview au JDD.

L’arrivée ce week-end du porte-avions Charles-de-Gaulle au large de la Syrie peut-elle changer la donne dans la guerre contre Daech?
C’est pour moi, en tant que chef d’état-major, une plus-value opérationnelle majeure. D’abord parce que le porte-avions va nous permettre de tripler notre capacité de frappe, avec 38 avions en tout. Ensuite parce que le groupe aéronaval dans son ensemble est une plate-forme inestimable pour nous donner une capacité supplémentaire de renseignement. Enfin, parce que le Charles-de-Gaulle nous conforte dans la coalition dans la mesure où il part aussi pour relever un porte-avions américain dans le Golfe. Cette interopérabilité avec les Américains est cruciale.

Plus de capacité, donc, mais pas de changement de stratégie militaire?
Non, la mission continue. Nos sorties aériennes visent à affaiblir Daech et à relayer des offensives au sol par des troupes locales. Entre dimanche et mardi, nous avons largué une soixantaine de bombes, soit l’équivalent de cinq semaines de frappes dans le cadre de l’opération Chammal. Nos six objectifs étaient des camps d’entraînement ou des centres de commandement. Je pense très franchement que nous leur avons fait sérieusement mal.

Vous le pensez ou vous le savez?
On leur a fait sérieusement mal. Ça se voit au travers nos capacités de renseignement d’origine image, et on peut aussi s’en rendre compte par d’autres moyens de renseignement.

Le président de la République a évoqué devant le Congrès lundi un « pacte de sécurité » qui passe avant « le pacte de stabilité ». Aurez-vous les moyens de mener cette guerre?
Notre costume est taillé au plus juste. Nous faisons face à des menaces et à un ennemi qui s’appelle Daech. Cela me donne une mission, et pour l’exécuter il me faut des moyens. Avec le ministre de la Défense, nous les avons obtenus, et le Président vient même d’annuler la déflation des effectifs jusqu’en 2019. Cette menace a augmenté. Aujourd’hui, 34.000 soldats sont déployés sur le territoire national comme sur les théâtres d’opérations extérieures. On n’a jamais connu cela depuis la fin de la guerre d’Algérie. Tout cela milite pour une réévaluation permanente des moyens en fonction des menaces et des missions. Pour gagner la guerre, il ne faut pas qu’il y ait de grain de sable. Je suis donc vigilant.

La Renault Kwid à 3500 € fait un tabac

La Renault Kwid à 3500 € fait un tabac

 

Vendu en Inde pour l’instant entre 3500 et 5 000 € la Renault KWID fait un véritable tabac. Les ventes débutées en septembre dépassent toutes tes prévisions elle devrait être vendue ensuite dans d’autres pays en développement et plus tard en Europe. Pourquoi plus tard tout simplement parce que, comme la Logan, elle risque de cannibalisé les autres modèles de Renault comme la Clio ou la Twingo. C’est pourtant ce qui risque de se passer en particulier en France où les automobilistes ont tendance à recentrer leurs achats vers les petits véhicules à la fois moins chers à l’achat mais aussi moins consommateurs de carburant. La recette est pourtant bien connue il suffit simplement de construire un véhicule beaucoup plus léger et qui nécessite donc une petite motorisation. De simplifier aussi l’équipement des véhicules le plus souvent des gadgets destinés à justifier le prix. Bref en quelque sorte Renault réinvente les 2CV  modernes avec presque 70 ans de retard ! Un véritable exploit technologique auquel on aurait pu penser avant ne serait-ce que pour participer à la réduction des émissions polluantes. « Nous avons enregistré 60.000 commandes en deux mois de commercialisation en Inde », affirme à Challenges Marc Suss, directeur du programme voitures d’entrée de gamme du constructeur tricolore. Un excellent démarrage, « supérieur à ce que nous avions prévu ». Rien qu’en Inde, la firme française compte en produire «100 à 150.000 unités par an ». C’est le 20 mai dernier que Renault avait dévoilé sa petite voiture minimaliste, vendue depuis septembre 2015 en Inde à partir de 3.500 euros et ce, jusqu’à 5.000. « Les voitures les moins chère du monde sont en Inde. Faire moins cher serait difficile », insiste Marc Suss. Principaux concurrents : le nippo-indien Suzuki-Maruti et le coréen Hyundai, dont les véhicules sont plus rustiques avec une base technique beaucoup plus ancienne. Outre son prix, la Kwid séduit par sa carrosserie massive genre « SUV » – dans des dimensions proches de la Renault Twingo européenne -, ses bonnes qualités routières, sa modernité et ses équipements « high tech » comme le GPS en option. Le petit moteur de 800 centimètres-cubes spécialement étudié pour ce modèle est aussi réputé sobre. Mais comment Renault a-t-il réussi à concocter un vrai véhicule à ce tarif ? Première condition : l’étudier et la produire en Inde où le coût salarial horaire est à moins de 10 % de celui en France. Du coup, si l’avant-projet de la plate-forme « CMF-A » a été réalisé essentiellement au Technocentre de Guyancourt en France, le centre local de l’Alliance Renault-Nissan dans les faubourgs de Chennai s’est chargé  « du développement physique du véhicule pendant trois ans », assurait Charles-Etienne Verdier, directeur dudit centre, lors de notre passage à Chennai en mai dernier.

 

Syrie: Sarkozy fait son cirque chez Poutine

Syrie, Sarkozy fait son cirque chez Poutine

Sarkozy faiat comme Hollnde, quand il est en difficulté au plan intérieur il tente  de redorer son blason sur la scène internationale. Cette fois le cirque médiatique se déroule chez Poutine. Et avec force compliments sur la Russie.  Bref la concurrence politique française instrumentalisée par Poutine. Et la France qui se ridiculise avec toutes ces initiatives individuelles qui discréditent l’image et la cohérence du pays. A quand une rencontre entre Le Pen et Poutine ?un rencontre en tout cas qui renforce la position de Poutine à la veille d’une conférence internationale à Vienne consacrée à la crise syrienne qui a fait plus de 250.000 morts depuis 2011. Certes sur le fond, la Russie est incontournable en ce qui concerne la Syrie et le départ préalable d’Assad avant toute intervention coordonnée contre l’Etat islamique est irréaliste. Pour autant, un responsable national ne peut prendre la liberté de parasiter la diplomatie française.  Moscou et Paris, adepte d’une ligne ferme face à Bachar al Assad, s’opposent notamment sur l’avenir du président syrien. La France, tout comme les Etats-Unis, accuse également la Russie de concentrer ses frappes militaires en Syrie sur les groupes d’opposants modérés et non sur l’Etat islamique. Jeudi, Manuel Valls avait appelé Nicolas Sarkozy à ne pas nuire à l’unité de la France sur la scène internationale. « Ce que je demande aux leaders de l’opposition, [c'est] qu’ils ne mettent pas en cause ce qui est aujourd’hui engagé, il faut de l’unité, c’est aussi un élément de force, de crédibilité pour la France à l’extérieur », avait dit le Premier ministre sur Public Sénat. Un avis partagé par François Michel-Lambert, député écologiste des Bouches-du-Rhône et vice-président du groupe d’amitié France-Russie à l’Assemblée nationale, qui se dit quant à lui « atterré » et « dénonce » une diplomatie parallèle. « Cette diplomatie parallèle est néfaste pour tous », indique-t-il dans Le Figaro. « Je suis très triste que l’ancien chef de l’Etat n’ait pas le sens de l’Etat, c’est hallucinant ».  A droite, la question divise les candidats à la primaire des Républicains. L’ex-Premier ministre Alain Juppé a récemment mis en garde contre un « accès de russophilie aiguë ».   »Il y a des moments où il faut savoir dire ‘stop on n’est pas d’accord’ », a-t-il dit début octobre.

Julien Dray : « Marine Le Pen s’est fait claquer le beignet »

 

Julien Dray : « Marine Le Pen s’est fait claquer le beignet »

Le vice-président socialiste du conseil régional d’Ile-de-France, Julien Dray, revient sur l’échange musclé entre François Hollande et Marine Le Pen (interview dans le JDD).

Comment avez-vous vécu l’échange musclé, violent même, mardi dernier au Parlement européen, entre Marine Le Pen et François Hollande?
Voilà longtemps que Marine Le Pen ne s’était pas fait « claquer le beignet »! Beaucoup – comme moi – ont été fiers de ce moment. Avec dignité et solennité, François Hollande l’a remise en place. Ce qu’elle a dit était d’une arrogance extrême et d’une irresponsabilité folle. Un constat s’impose : quand on l’affronte, que l’on résiste en argumentant, elle recule. Cet échange montre que Marine Le Pen est bien plus faible qu’on ne le croit. Il montre aussi que, face aux peurs de l’avenir, à la nostalgie d’une France repliée et refermée sur son passé, il faut affirmer et défendre non seulement des valeurs, mais d’abord et avant tout un projet progressiste, conquérant, moderne, ouvert. Depuis longtemps, je disais que notre camp a perdu la bataille des mots, la bataille culturelle, la bataille de l’espoir. Il nous faut retrouver le combat pour le droit à rêver d’un monde meilleur. Nous avons trop intégré les mots de l’adversaire. Nous commençons à réagir. La réaction presque « tripale » de François Hollande a été formidable.

Y a-t-il un vrai risque que le FN gagne une ou plusieurs régions?
Évidemment qu’il y a un risque! Et ce risque est grave. Tous ceux qui le minimisent jouent avec le feu. Il ne s’agit pas de faire peur. Mais on ne peut dire, d’un côté, qu’il y a une droitisation de la société, une nostalgie, un repli sur soi, une tentation souverainiste et penser, de l’autre, que tout cela n’aura pas de conséquences. Électorales, politiques, culturelles et surtout dans la vie quotidienne de nos concitoyens.

 

lien:

  • site poèmes-chansons-théâtre de l’auteur

Plus d’argent pour sauver la COP21, l’ ONU fait la manche !

Plus d’argent pour sauver la COP21, l’ ONU fait la manche !

On sait depuis longtemps que les décisions de la COP 21 qui se tiendra en France en fin d’année ne seront pas à la hauteur de l’enjeu en effet à part quelques principes généraux chaque pays décidera lui-même des les objectifs et des moyens pour contribuer à limiter la pollution et la hausse de température. E n outre pour l’instant il n’a pas été possible de trouver le premier centime des 100 à 150 milliards nécessaires au pays en voie de développement afin de les aider  à maîtriser leur politique énergétique. Pire depuis des mois on cherche aussi vainement les fonds pour simplement organiser la conférence à Paris. Signe du peu d’enthousiasme général pour engager des mesures significatives de lutte contre le réchauffement climatique. Même l’ONU n’a pas les moyens d’apporter la contribution financière nécessaire pour cette conférence. Du coup l’ONU fait la manche et lance une souscription pour essayer de réunir les fonds de la grande réunion climatique dont Hollande souhaite faire l’événement marquant de son quinquennat. D’un certain point de vue cette souscription de l’ONU est assez pathétique et augure bien mal du caractère réellement opérationnel de la COP 21. Il manque en effet 1,2 millions d’euros pour organiser les réunions de la conférence climat en décembre à Paris.
La représentante de l’ONU a donc lancé un appel aux dons auprès de tous les Etats mais aussi auprès des particuliers. Un peu à l’image de ce qui se fait pour la candidature de Paris aux Jeux Olympiques de 2024. Pour récolter des fonds, un bracelet en tissu avec l’inscription « Je rêve des Jeux » est vendu 2 euros pièce. S’ils participent au sauvetage de la COP21 les généreux donateurs n’auront pas de bracelet, ni de stylo ou autres « goodies » à l’effigie de la conférence climat, simplement le droit de poster des photos et des vidéos pour dire ce qu’ils attendent de cette grand-messe sur le réchauffement climatique.

TF1- Jean-Pierre Pernaut absent pendant une semaine : on fait comment pour l’info ?

TF1- Jean-Pierre Pernaut absent pendant une semaine : on fait comment pour l’info ?

 

Un drame évidemment, Jean-Pierre Pernaut sera absent des écrans de TF1 pendant une semaine. Autant dire que la France sera privée d’information pendant la même période. On ne saura  donc pas comment un retraité de Romorantin a fabriqué une tour Eiffel d’un mètre de haut avec des allumettes ou comment le curé de Carpentras a réussi à relancer un groupe de majorettes en difficulté. L’émission de TF1 à midi constitue un rituel incontournable pour connaître ce qui se passe dans la France profonde,  c’est un peu comme la messe le dimanche à la télé : un bruit de fond qui met de l’ambiance dans la cuisine. Dans nombre de maisons de retraite on risque d’être complètement désorienté. Pas étonnant que TF1 perde des parts de marché si elle supprime maintenant l’info dégoulinante de bons sentiments et  débordante de banalités rurales. Heureusement Jean-Pierre Pernaut ne sera absent qu’une semaine mais c’est sur une seule jambe qu’il  tiendra l’antenne. Pour apitoyer encore un peu plus une audience défaillante, Jean-Pierre Pernaut on envisage même de lui faire présenter le journal dans un fauteuil roulant ; l’objectif étend de trouver encore une meilleure adéquation entre la ligne éditoriale et les téléspectateurs potentiels. Le présentateur du JT de 13 heures sur TF1 a donc subi, dans l’après-midi du vendredi 2 octobre, une opération en urgence après avoir chuté la veille au soir. Il souffre d’une rupture d’un ligament à une jambe. Dès lundi 5 octobre, le journaliste de 65 ans sera remplacé à la présentation du journal par Jacques Legros, son habituel joker. Même s’il devra porter une attelle pendant au moins un mois, Jean-Pierre Pernaut souhaite revenir au plus vite… si l’on peut dire !

Christine Lagarde ne pense pas refaire de la politique en France : ça tombe bien elle n’en a jamais fait !

Christine Lagarde ne pense pas refaire de la politique en France : ça tombe bien elle n’en a jamais fait !

 

 

Bizarres certains sondages puisque 50 % des Français considèrent que Christine Lagarde ferait une bonne présidente de la république. Sans doute un résultat lié à sa posture lisse mais sans intérêt de l’intéressée. Comme disait Alain mannequin la principale qualité de Christine Lagarde « c’est  très bien lire les communiqués du tréso »r (ministère des fiances). . Maintenant elle se contente de lire les communiqués du FMI mais sans la moindre originalité, la moindre analyse personnelle mais avec un accent anglais qui fait envie à la plupart de nos politiques restés  eux avec l’accent britannique appris en sixième. Bref en l’état actuel de la nullité de la classe politique,  ce sont les muets ou ce qui parlent  pour ne rien dire qui deviennent  les plus populaires. En France aujourd’hui même un âne pourrait devenir président de la république, ce sera d’ailleurs vraisemblablement le cas comme au cours des précédents quinquennats ;  on risque en effet de choisir encore un président à l’encéphalogramme culturel complètement plat. Bref plutôt un personnage au profil de camelot. La directrice du Fonds monétaire international (FMI) Christine Lagarde assure donc  ne pas penser « refaire de politique en France », assurant ne pas avoir de « plan de carrière », dans un entretien à paraître lundi 28 septembre dans le quotidien Les Echos.  »Très sincèrement, non, je ne pense pas refaire de politique en France », assure dans cette interview l’ancienne ministre de l’Économie de Nicolas Sarkozy, qui a pris la succession de Dominique Strauss-Kahn à la tête du FMI en juillet 2011.  Dans un sondage rendu public début septembre par l’institut Harris Interactive, 50% des Français avaient estimé qu’elle ferait une bonne présidente de la République, 16% des sondés assurant même qu’elle remplirait très bien ce rôle.  « Les résultats de ce sondage m’ont profondément touchée », assure Christine Lagarde. Mais « je n’ai jamais fait de plan de carrière, je ne vais pas commencer maintenant », ajoute-t-elle. La directrice du FMI a vu son horizon judiciaire et donc politique s’éclaircir cette semaine, un non-lieu ayant été requis à son encontre dans l’enquête sur l’arbitrage controversé à plus de 400 millions d’euros dont a bénéficié Bernard Tapie en 2008.  Christine Lagarde avait été mise en examen le 27 août 2014 pour « négligence » dans cette affaire, les juges lui reprochant notamment de ne pas avoir formellement contesté l’arbitrage une fois qu’il a été rendu. Si les magistrats instructeurs de la Cour de Justice de la République, seule instance habilitée à enquêter sur les membres du gouvernement pour les faits commis dans l’exercice de leur fonction, suivaient cette réquisition de non-lieu, les poursuites visant l’ancienne ministre de l’Économie seraient abandonnées.

Sarkozy: position pas claire sur les 35 heures

Sarkozy: position pas claire sur les 35 heures

 

Finalement le portrait que dresse Fillon de Sarkozy n’est pas totalement faux. La clarté et la détermination cache souvent chez lui une valse hésitation permanente. Ainsi il vient de se prononcer sur la suppression des 35 heures mais avec une formule tellement ambiguë qu’on ne sait plus s’il s’agit vraiment d’une suppression ou du rétablissement des heures supplémentaires défiscalisées. Il a par contre raison quand il considère que la suppression de la défiscalisation a amputé le pouvoir d’achat de nombre de salariés qui sont loin d’être les plus favorisés. On ne comprend pas tellement la proposition de Sarkozy quand il affirme qu’il faudra certainement réduire le nombre de RTT pour les cadres. Pourquoi encore des RTT si on supprime les 35 heures ? Le principal reproche qui lui sera fait concernera  son action passé comme président de la république. Pourquoi propose-t-il aujourd’hui des orientations qu’il n’a pas  été capables de mettre en œuvre hier ? Dans un entretien à paraître dans les colonnes du Parisien-Aujourd’hui en France, Nicolas Sarkozy a évoqué tous les sujets face aux lecteurs du quotidien. La Syrie, les affaires qui le poursuivent, la Présidentielle ou encore le Front national, l’ancien chef de l’État a répondu aux questions de chacun. Nicolas Sarkozy a notamment évoqué le sujet des 35 heures, et principalement leur éventuelle suppression. « Quant à supprimer les 35 heures, oui il faut le faire« , a affirmé le président du parti Les Républicains.   En ce sens, Nicolas Sarkozy fera « dans les semaines qui viennent des propositions sur ce sujet ». Il a notamment attaqué François Hollande concernant la suppression des heures supplémentaires défiscalisées, qui « permettaient de s’exonérer des 35 heures. Donc de travailler plus et de gagner plus ». Pour appuyer sa démarche, Nicolas Sarkozy met en avant le fait que la France n’avait « jamais encaissé autant de TVA ». Ainsi, les rentrées d’argent obtenues via les heures supplémentaires n’étaient pas épargnées selon l’ancien président de la République, mais plutôt dépensées.  Par ailleurs, le leader de l’opposition annonce vouloir se pencher sur « les RTT des cadres qu’il faudra certainement réduire« . « La question de l’allongement du temps de travail sera clairement posée de deux façons », indique Nicolas Sarkozy. « Il faudra ouvrir une nouvelle négociation sur les retraites et revoir la loi sur les 35 heures obligatoires, car sans les heures supplémentaires qui créent de la souplesse, elle nous met en situation de chute de compétitivité dramatique« , détaille-t-il.

Retraites complémentaires : recul de fait de l’âge de départ

Retraites complémentaires : recul de fait de l’âge de départ

De fait le Medef proposent un recul de l’âge de la retraite pour les complémentaires il faudra attendre 65 ans pour toucher une retraite à taux plein. En cause la situation catastrophique des caisses puisque les réserves financières seront en épuisé en 2018 pour l’Agirc (cadres) et en 2027 pour l’Arcco au (autres salariés). De toute façon la réforme est indispensable pour sauver les régimes de retraite. Trois scénarios, ou augmenter les cotisations, ou diminuer les pensions ou retarder l’âge de la retraite. Avec une combinaison possible de ces trois leviers. Progressivement on risque de s’orienter vers une réduction des montants et un recul de l’âge de la retraite pour une retraite pleine. En cause évidemment l’évolution de la démographie aussi un nombre d’actifs insuffisants du fait de la croissance molle dans laquelle est englué la France. D’après la CGT Les futurs retraités perdraient plusieurs centaines d’euros par an sur leurs complémentaires entre 62 ans et 64 ans, si les propositions d’abattement progressif du Medef devaient être retenues.  Dans le cadre de négociations avec les syndicats pour assurer la pérennité des régimes Agirc (cadres) et Arrco (tous les salariés), le Medef propose, entre autres, qu’à partir de 2019, un salarié arrêtant de travailler à 62 ans se voie appliquer une décote de 30% la première année, 20% la suivante et 10% à 64 ans pour bénéficier d’une retraite à taux plein à 65 ans.  La CGT a évalué à 7.667 euros la perte de revenus sur trois ans d’une cadre, dont le salaire annuel net serait de 41.305 euros et qui partirait à la retraite à 62 ans.  En appliquant l’abattement dégressif proposé par le Medef, le syndicat souligne que la future retraitée ne « toucherait donc plus que 2.035,5 euros nets par mois la première année, soit une perte de 319,5 euros/mois; 2.142,1 euros nets mensuels la 2ème année, soit une perte de 212,9 euros/mois; et enfin 2.249 euros nets la troisième années, soit une perte de 106 euros/mois ».L’Agirc a vu son déficit se creuser à 1,985 milliard et l’Arrco à 1,153 milliard l’année dernière. Si rien n’est fait, leurs réserves seront épuisées d’ici à 2018 pour l’Agirc, à 2027 pour l’Arrco.

 

Made in France : Carla Bruni fait de la pub pour l’américain … Ford !

Made in France : Carla Bruni fait de la pub  pour l’américain … Ford

C’est la crise pour de nombreux Français, sans doute aussi pour les Sarkozy puisque Carla, faute de succès dans la chanson, s’essaye maintenant dans la pub pour arrondir les fins de mois. Pour cela elle se met au service non pas de Renault ou de Peugeot mais du constructeur automobile américain Ford qui tente de renforcer son implantation en France. Certains grincheux ne manqueront pas de souligner  les contradictions de l’investissement de l’ancienne première dame de France (et peut-être future). Pourtant nous devons admettre la mondialisation de l’économie. D’ailleurs il se murmure que Michel Obama pourrait prochainement se faire l’égérie du camembert français États-Unis afin de contribuer à gérer la crise de production du lait en France. Par ailleurs la prestation de Carla Bruni pourrait contribuer à mettre un peu de beurre (français évidemment) dans les épinards du couple Sarkozy. Au chômage depuis 2012 Nicolas Sarkozy est en effet réduit à faire la manche dans des conférences internationales à raison d’environ 100 000 € la prestation, une misère !  Pour assurer sa promotion en France, Ford  a donc choisi une égérie au parcours bien rempli : la chanteuse et ex-première Dame de France Carla Bruni. Elle est l’héroïne d’un spot de pub qui est diffusé à partir de ce jeudi uniquement sur les réseaux sociaux. Dans cette vidéo, tournée par l’ancien « Nul » de Canal+ Dominique Farrugia, l’épouse de Nicolas Sarkozy harangue une équipe de foot dans un vestiaire. « Moi j’ai tout plaqué pour faire de vous une équipe de « winners » et vous, qu’est-ce que vous me donnez en échange? Rien, que dalle », s’écrit-elle. Pendant ce temps, un sosie de Carla Bruni, « Monique », peine à séduire le public sur scène. La vidéo se conclut sur le slogan « Et vous, quel virage allez-vous prendre dans votre vie? » Les internautes sont alors invités à se rendre sur une plate-forme participative et à prendre un virage dans leur vie. Ils doivent répondre à six questions : « Etes-vous plutôt mer ou montagne », « quelle est votre réaction face à un cadeau inutile », à chaque fois 4 réponses possibles. A l’issue du test, on leur propose une nouvelle orientation professionnelle et le modèle Ford qui va avec.  C’est donc seulement à la fin de l’exercice que le lien avec le constructeur est franchement établi. Le message: changer de voiture pour changer de vie. Carla Bruni, passée du mannequinat à la chanson tout en remplissant les obligations d’une première Dame de France, était visiblement faite pour l’incarner.

La BCE fait tourner encore plus vite la planche à billets

La BCE fait tourner encore plus vite la planche à billets

 

En décidant de renforcer encore le plan de rachat d’actifs notamment de dettes  publiques la banque centrale européenne en faitefait tourner un peu plus vite la planche à billets. Il s’agit notamment pour la BCE de tenir compte du fléchissement de la croissance. La BCE fait en quelque sorte la même chose que les autres banques centrales en ouvrant les vannes des liquidités. En même temps il s’agit de favoriser une baisse compétitive de l’euro, opération d’autant plus réalisable que l’inflation officielle est presque négligeable (0,2 % sur un an). Fort logiquement ces annonces ont fait perdre 1% à l’euro, qui a touché un creux de deux semaines face au dollar, revenant tout près de 1,11 dollar, tandis que les rendements obligataires baissaient, à 0,73% pour l’emprunt de référence allemand à 10 ans. Il faut cependant s’attendre à ce que les autres banques centrales agissent dans le même sens et du coup on risque d’être affronté à une guerre des monnaies. Dans ce contexte il est peu probable que la Fed remonte ses taux d’ici la fin de l’année. Du coup l’Europe se trouve épargnée – pour un temps- par une éventuelle contagion de la remontée des taux américains. Pour la première fois, Mario Draghi a clairement dit que le programme de rachat de dette du secteur public (assouplissement quantitatif, QE) lancé en mars par la BCE pourrait être prolongé au-delà de son terme prévu, soit septembre 2016, et que la banque centrale pourrait en modifier la taille ou la composition. « Il n’y a pas de limites particulières aux possibilités qu’a la BCE de passer à une vitesse supérieure en matière de politique monétaire », a dit le président de la BCE. En l’état, la BCE rachète chaque mois pour 60 milliards d’euros d’actifs, pour l’essentiel des obligations d’Etat. « Les mots choisis par la BCE suggèrent qu’elle n’hésiterait pas à augmenter le montant de ses rachats d’actifs et à les prolonger au-delà de septembre 2016 si les perspectives de croissance et d’inflation se dégradaient davantage », a commenté Holger Schmieding, économiste de Berenberg. Evoquant les risques accrus de ralentissement de l’économie mondiale, le Fonds monétaire international (FMI) a déclaré avant la réunion de jeudi que la BCE devrait envisager une prolongation de son QE.  La BCE, qui a sans surprise laissé ses principaux taux directeurs inchangés (à 0,05% pour le taux de refinancement), a jugé que la probabilité de ne pas atteindre son objectif d’inflation à moyen terme (un taux légèrement inférieur à 2% en rythme annuel) s’était accrue en raison de la baisse des cours du pétrole, du ralentissement de la croissance en Chine et dans d’autres pays émergents et de l’appréciation de l’euro. La banque centrale prévoit désormais une inflation de 0,1% seulement cette année dans la zone euro, de 1,1% en 2016 et de 1,7% en 2017. Elle prédisait en juin des taux de 0,3%, 1,5% et 1,8% respectivement. En ce qui concerne la croissance, les prévisions sont désormais de 1,4% en 2015, 1,7% l’an prochain et 1,8% en 2017, contre respectivement 1,5%, 1,9% et 2,0% en juin.

 

Le pétrole sous les 50 dollars en 2016 du fait de l’Iran ?

Le pétrole sous les 50  dollars en 2016 du fait de l’Iran ?

 
La reprise des livraisons de pétrole par l’Iran pourrait peser de manière significative sur les cours de pétrole d’après la Banque Mondiale. Du coup, le pétrole pourrait descendre sous les 50 $ en 2016 à New York. Mais le principal élément qui nourrit la baisse tendancielle du pétrole découle surtout de la faiblesse de l’économie mondiale. Alors que dans le même temps la surproduction augmente encore. Notamment parce que l’OPEP  a décidé d’influencer la rentabilité du pétrole de schiste des États-Unis. « Le retour plein et entier de l’Iran sur le marché mondial ajoutera au final un million de barils par jour, faisant baisser les prix de 10 dollars par baril l’année prochaine », écrit la Banque mondiale  dans un rapport. Si cette prévision s’avérait exacte, les prix du pétrole, déjà déprimés par l’abondance de l’offre mondiale, reculeraient ainsi de près de 21% par rapport aux cours actuels. Aux termes d’un accord conclu avec les principales puissances occidentales, l’Iran s’est engagé à ne pas se doter de l’arme atomique en échange de la fin de l’embargo économique qui pèse notamment sur sa production pétrolière. Selon la Banque mondiale, la levée des sanctions va « raviver » l’économie du pays avec une croissance de 5% en 2016 contre 3% cette année. Les exportations iraniennes devraient bondir de 17 milliards de dollars, soit 3,5% de son produit intérieur brut, assure également le rapport. Les échanges commerciaux de Téhéran devraient principalement s’accélérer avec la Grande-Bretagne, la Chine, l’Inde, la Turquie et l’Arabie Saoudite, assure la Banque Mondiale.

« François Rebsamen a fait un travail extraordinaire », (Le Guen), éloge funèbre ?

« François Rebsamen a fait un travail extraordinaire », (Le Guen),   éloge funèbre ?  

Couac  au gouvernement : Rebsamen le ministre du travail va-t-il rester ou partir.  En fait il aimerait bien demeurer ministre du travail tout en occupant le poste de maire de Dijon. Ce cumul contrevient aux règles de la majorité actuelle. Du coup pour l’encourager à partir, Jean-Marie Le Guen , secrétaire d’État pour les relations avec le Parlement, procède déjà à un éloge quasi funèbre en déclarant que « Rebsamen  a fait un travail extraordinaire » (En bricolant les statistiques du chômage ? ndlr)  L’ancien élu dijonnais (2011-2014) pourrait retrouver son fief de Bourgogne après le décès d’Alain Millot, lundi 27 juillet. L’actuel ministre du Travail a officialisé sa candidature, jeudi 30 juillet.   Une annonce entraînant une certaine cacophonie. S’il a exclu de quitter le gouvernement en cas de victoire, l’Élysée et Matignon ont assuré le contraire. Invité de RTL, Jean-Marie Le Guen confirme que l’actuel membre du gouvernement devra quitter son poste. « Il allait bientôt obtenir des résultats mais les situations de la vie amènent à faire des choix. Il y a des règles et des réalités humaines« , précise le secrétaire d’État aux Relations avec le Parlement.
Jean-Marie Le Guen tient de même à rendre hommage à l’engagement de François Rebsamen. « Il a fait un travail tout à fait extraordinaire dans des conditions forcément difficiles. La bataille pour l’emploi est une bataille difficile. C’est parce qu’il va avoir des résultats qu’il se sentait engagé », déclare-t-il, réfutant un échec de la part du ministre du Travail malgré une courbe du chômage qui tarde à s’inverser.

 

 

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