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Drones : 100.000 vendus l’an passé en France, pour quoi faire ?

Drones : 100.000 vendus l’an passé en France, pour quoi faire ?

 

 

Il ya les jouets dont on peut se servir dans sa cour. Il y a aussi ceux qu’on peut utiliser pour survoler des lieux publics. Et là c’est de l’inconscience totale. Dans un environnement de  terrorisme généralisé, on sait bien qu’un tordu un jour ou l’autre va balancer un engin explosif à partir d’un drone. On interdit certes le survol de certains lieux à certaines conditions mais pour autant le phénomène drone se développe par provocation ou pure idiotie ; On attend quoi pour interdire la commercialisation des drones dangereux ? Il faut une commission enquête parlementaire, une conférence internationale, une information judicaire, une réunion extraordinaire de l’assemblée nationale ?  D’après l’institut GFK, qui tient le registre de la commercialisation de produits de consommation, 100.000 drones de loisirs ont été achetés en France, en 2014.  Les drones font désormais partie de notre quotidien. On ne parle pas uniquement des survols de lieux interdits, qui se multiplient, mais plus précisément de leurs ventes.  Selon des chiffres obtenus par l’institut GFK, qui tient le registre de la commercialisation de produits de consommation (électroniques, particulier), Noël 2014 aura été la période la plus faste pour les ventes de ces objets volants. Elle indique, en effet, que 100.000 drones de loisirs ont été achetés en France, en 2014. Ce chiffre recouvre les ventes de ces appareils facturés entre 50 et 100 euros. Par ailleurs, ceux qui ont survolé les lieux interdits pèsent près d’un kilo et coûte plutôt près de 500 euros.

 

France Télévisions et Radio France : maintenir pour faire quoi ?

France Télévisions et Radio France : maintenir pour faire quoi ?

Comment qualifier ce qui caractérise  le service dit public, gaspillages, bureaucratie, paresse ; Une entreprise de 7 à 8°000 salariés ( 4 fois plus que d’autres  médias) pour les seules télés, avec des salaires de cardes démentiels, des superstructures dignes de l’ancienne union soviétique, et globalement des programmes aussi insipides que les autres. En plus le contribuable est soumis à la redevance alors qu’aujourd’hui les chaînes et radios publiques sosnt de moins en moins regardées et ou écoutées . certes quelques médias se distinguent France info, France 2 pour certaines émissions, France culture ;  pourtant globalement les médias publics sosnt peu différents des chaînes commerciales. Exemple depuis plusieurs jours France info publie une enquête sur ‘ « la bonne taille du pénis ». une vraie mission de service public évidemment ! Et pas du tout commerciale . Aujourd’hui l’info est diffusée par des centaines de médias audio-visuels, pourquoi conserver un  mastodonte public ( payant en plus) qui n’apporte globalement pas davantage  que les supports privés ( à quelques exceptions près). En outre il fauta surtout prendre en compte le développement du numérique  surtout d’internet. qui diffuse mieux, plus vite et moins cher  l’info et sur tous les supports. On objectera que la mission de service public est essentielle. Mais précisément n’y a-t-il pas confusion entre le concept de service public, d’entreprise public et le statut du personnel. Dans ce domaine comme dans d’autres, le rôle de l’Etat est d’assurer sa tâche régalienne,  de réguler pour tirer les programmes vers le haut , les rendre plus compétitifs aussi et non de faire tout  lui-même. Bref France télévisions et Radio France   comme nombre de services  publics , c’est trop cher, trop bureaucratique et pas assez créatif. A moins évidemment que le pouvoir en place n’ait besoin de medias dociles pour diffuser la voix de son maître.  Le gouvernement pour la télé a donc fixé mercredi les missions du prochain président de France Télévisions, se basant notamment sur le rapport de Marc Schwartz, l’ex-directeur financier de France Télévisions. Le futur président du groupe public devra notamment être plus audacieux dans la programmation, mais avec un budget resserré.  La future direction de France Télévisions, dont le nouveau président sera nommé le 22 mai, est prévenue. Le prochain mandat sera très difficile. En s’appuyant sur le diagnostic sévère dressé par Marc Schwartz, ex-directeur financier de France Télévisions, le gouvernement a livré sa feuille de route mercredi. Pas d’annonces concrètes pour le moment mais les trois ministres concernés, Fleur Pellerin (Culture), Emmanuel Macron (Economie) et Michel Sapin (Finances), ont indiqué le chemin à suivre. Parmi ces annonces, être plus audacieuse dans les programmes, attirer un public jeune, promouvoir la culture ou encore développer le numérique et réformer France 3. Cependant, quelques suggestions de Marc Schwartz n’ont pas été retenues par les trois ministres. L’ex-directeur financier de France Télévisions parlait de la création d’une chaîne d’info en continu, ou encore de revenir à la pub après 20 heures. Pour le moment, il n’en est pas question. autre piste proposée par le gouvernement : l’élargissement de l’assiette de la redevance. L’idée n’est pas nouvelle puisque François Hollande l’avait déjà formulée fin 2014. Elle a déjà augmenté de trois euros cette année pour atteindre 136 euros. Ben voyons et pourquoi pas 1000 euros ?

 

Jeux olympiques : pour quoi faire ?

Jeux olympiques : pour quoi faire ?

Alors que le pays se débat dans de déficits abyssaux, les responsables politiques se laissent entrainer dans la fuite en avant des jeux olympiques ; des jeux pour faire oublier le reste. Des jeux forcément coûteux et dont les retombées économiques sont très aléatoires pour ne pas dire ruineux. Jusque là en effet la plupart des évaluations des jeux passés ont été effectués par le comité olympique pas spécialement objectif pour mesurer les effets d’un tel événement. La France propose pour la première fois des jeux low- cost à 4 milliards pour 2024 ! une somme qui comme tous les grands projets est sous évaluée. Il faudrait aujourd’hui compter sans doute 10 milliards 2015 et dans dix ans peut-être 15 milliards. Un économiste du sport estime que les évaluations économiques sont toutes plus ou moins fantaisistes. Il est pratiquement impossible d’évaluer les effets directs et indirects ( exemple effets sur l’urbanisme, aménagement du territoire ou même sur le tourisme).. En général, les sommes réellement investies dépassent largement les prévisions. Londres aurait ainsi déboursé entre 12 et 15 milliards d’euros pour ses Jeux, soit trois à quatre fois plus que prévu. Et quand le comité olympique, organisateur de l’événement, est endetté, c’est à la ville de régler l’ardoise. L’exemple le plus frappant reste les JO de Montréal. Les habitants de la ville ont fini de rembourser la dette en 2006, trente ans après les Jeux (via une taxe sur le tabac). Autre exemple, les Jeux d’Athènes en 2004 auraient pesé pour « 2% à 3% sur la dette extérieure de la Grèce« , d’après Jacques Rogge, l’ancien président du CIO. De fait, « l’organisation des Jeux olympiques est l’événements mondial le plus risqué sur le plan financier« ; d’après une étude publiée par deux chercheurs de l’Université d’Oxford. Pour pouvoir décrocher l’organisation des JO, les villes candidates ont tendance à largement sous-estimer leurs dépenses et gonfler leurs recettes. Et au final, elle se retrouvent avec une immense dette à régler. En économie, cela s’appelle « la malédiction du vainqueur« . La réussite économique des Jeux est donc aussi une question de communication… et tout dépend de ce qu’il faut prendre en compte dans le calcul des bénéfices. Un an après les JO de Londres, le gouvernement britannique se réjouissait déjà d’avoir généré quelque 11 milliards d’euros de retombées économiques. Sauf que ce chiffre est contesté par de nombreux chercheurs, estimant notamment que les investissements étrangers pris en compte dans le calcul auraient de toute façon eu lieu.

La poste autorisée à faire passer le permis de conduire ?

La poste autorisée à faire passer  le permis de conduire ?

 

La Poste voire d’autres organismes agréés vont être autorisés à faire passer le permis. Une mesure qui va évidemment dans le bons sens notamment pour faciliter l’accès à l’emploi. Reste le coût du permis, autour de 1500 euros qui demeure exorbitant pour certains jeunes et qui n’est pas vraiment traité dans le projet. La sécurité routière constituant un enjeu national, on se demande pourquoi sa préparation et son obtention ne relèvent  pas de l’éducation nationale. Un permis gratuit évidemment qui viendrait heurter les intérêts du lobby des auto-écoles ! Ce vendredi, l’Assemblée nationale a voté de nouvelles mesures pour réduire à 45 jours (aujourd’hui environ 100 jours) le délai d’attente pour passer les épreuves. L’Assemblée a complété le texte vendredi avec les mesures suivantes :

  • désormais, « l’accès aux épreuves théoriques et pratiques du permis de conduire est un service universel » qui ouvre droit à une place d’examen à tout candidat ayant le niveau requis ;
  • création d’un dispositif d’urgence pour réduire à quarante-cinq jours le délai moyen maximal entre deux présentations à l’examen du permis B par un même candidat ;
  • dans les zones les plus tendues, les préfectures pourront recourir à des agents publics ou contractuels, habilités et formés. Cela pourra être par exemple des agents de La Poste mais aussi d’anciens policiers ou militaires ;
  • redéploiement de trente-cinq examinateurs vers l’épreuve pratique du permis B en zones tendues, soit quatre-vingt-douze mille nouveaux passages par an, ou suppression du minimum de vingt heures de formation pratique.

 

Bruno Le Roux, le chef de file des socialistes à l’Assemblée, propose notamment de s’appuyer sur les agents de La Poste. Selon lui, le dispositif pourrait être mis en place très vite car il suffit de former les agents. Une proposition qui intéresse. Le ministre de l’Economie a indiqué vendredi dans l’Hémicycle avoir « demandé au PDG de La Poste de s’organiser en conséquence« . Passer le code de la route à la Poste : la CFDT de La Poste est prêt étudier la proposition Cette proposition peut paraître étonnante mais elle est envisageable pour Alain Barrault de la CFDT Poste. « Pourquoi pas« , concède-t-il, « il y a des craintes sur l’emploi à La Poste, tout le monde le sait. Internet et le numérique font qu’on s’attend à une baisse de moitié, voire plus de l’activité d’ici 2020« . La CFDT de La Poste se dit « prête à regarder tout ce qui peut favoriser l’emploi des postiers« , de plus, selon Alain Barrault, « cela peut donner des débouchés à des gens qui veulent faire autre chose« . Bruno Garancher, président de l’Ecole de conduite française (ECF) : « Agents de La Poste examinateurs du permis ? Faut voir« .

Terrorisme : peine d’indignité nationale, pour quoi faire ?

Terrorisme : peine d’indignité nationale, pour quoi faire ?

 

On sent bien que la classe politique est un peu gênée pour envisager la déchéance de nationalité compte tenu des contraintes des traités internationaux. Du coup, on se rabat sur une peine d’indignité nationale qui prive les individus concernés de leurs droits civiques. L’indignité nationale est punie de la peine de la « dégradation nationale », à perpétuité ou à temps (cinq ans et plus). La dégradation nationale entraîne la mise au ban du condamné. Il perd bon nombre de droits :

  • exclusion du droit de vote,
  • inéligibilité,
  • exclusion des fonctions publiques ou semi-publiques,
  • perte du rang dans les forces armées et du droit à porter des décorations,
  • exclusion des fonctions de direction dans les entreprises, les banques, la presse et la radio, de toutes fonctions dans des syndicats et organisations professionnelles, des professions juridiques, de l’enseignement, du journalisme, de l’Institut de France,
  • interdiction de garder ou porter des armes.

Le tribunal peut ajouter des interdictions de séjour et la confiscation de tout ou partie des biens. Le versement des retraites est également suspendu. Compte tenu du profil des individus visés, on peut penser que cette peine sera dérisoire, la marginalité imposée étant sans comparaison avec la marginalité qu’ils revendiquent.  Le premier secrétaire du Parti socialiste s’est cependant dit prêt, dimanche, à discuter de l’instauration éventuelle d’une peine d’indignité nationale pour les ressortissants français coupables d’actes de terrorisme, proposée par l’UMP. « Ça peut se discuter, moi je n’ai pas d’a priori », a dit Jean-Christophe Cambadelis, invité de l’émission Le Grand rendez-vous d’Europe 1, Le Monde et iTELE. L’instauration d’une telle peine, assortie de la privation des droits civiques, civils et politiques, pour les Français coupables d’actes terroristes est l’une des 12 propositions formulées par le principal parti de droite français après les attentats des 7, 8 et 9 janvier, qui ont fait 17 morts à Paris et Montrouge. L’UMP et son président, Nicolas Sarkozy, proposent également le retrait de la nationalité française pour les binationaux qui commettraient de tels actes et l’interdiction de retour en France des djihadistes étrangers et français binationaux. Jean-Christophe Cambadélis a estimé que la déchéance de nationalité pour les binationaux se heurtait à un problème « à la fois constitutionnel et au niveau européen ». Il a également estimé que l’interdiction de retour pour les djihadistes se heurtait à des problèmes juridiques. « Nous ne pouvons pas constituer des apatrides. Par contre, ce que l’on peut faire, c’est, dès leur retour, s’ils ont participé à des entreprises terroristes, les mettre sous surveillance », a ajouté le numéro un du PS. Visiblement on progresse au PS mais il y a encore des progrès à faire en matière de conception de lutte contre le terrorisme.  Selon un sondage de l’Ifop réalisé pour le Journal du Dimanche jeudi et vendredi auprès de 1.003 personnes, 81% des français sont favorables à la déchéance de nationalité pour les binationaux condamnés pour acte de terrorisme et 69% en faveur de l’interdiction du retour des Français partis faire le djihad.

Attentats : commission d’enquête parlementaire, pour quoi faire ?

Attentats : commission d’enquête parlementaire, pour quoi faire ?

 

Une commission d’enquête parlementaire pourquoi pas mais pour quoi faire. ? Dans les déclarations des uns et des autres l’objet même de cette  commission ne paraît pas très clair. S’agit-il d’enquêter seulement sur les attentats récents, sur l’efficacité de nos services de surveillance sur l’ensemble de la problématique terroriste,  de faire des propositions rapides (quelques semaines) par exemple pour améliorer la sécurité publique  ou d’engager un travail de fond sur les facteurs explicatifs ? Le Parlement va donc tirer les leçons des attentats de la semaine dernière pour renforcer la lutte contre le terrorisme, vraisemblablement à travers la constitution d’une commission d’enquête. « Je pense que le Parlement souhaitera une commission d’enquête sur ce qui vient de se passer, c’est légitime et c’est naturel », a déclaré Manuel Valls lundi 12 janvier. Juste avant l’interview du Premier ministre, Nicolas Sarkozy estimait qu’il fallait un travail commun gouvernement-opposition pour « comprendre » les événements de la semaine et adopter des mesures pour améliorer la sécurité des Français « dans les semaines qui viennent ». Peu après, le chef de file des députés UMP, Christian Jacob, annonçait qu’il demandait la création d’une commission d’enquête de l’Assemblée, en souhaitant qu’elle soit le fruit d’une « démarche transpartisane » et précisant en avoir fait part au président de l’Assemblée, Claude Bartolone (PS). Le patron du groupe socialiste, Bruno Le Roux, s’est déclaré d’accord sur le principe, pour « analyser et tirer tous les enseignements sur ces attentats ». Mais il a préféré, lors de ses vœux à la presse lundi midi, parler d’une « mission ». Un terme plus général qu’une commission au sens strict, et qui pourrait permettre, a-t-il souhaité, un travail commun des députés et des sénateurs. Pour Christian Jacob, « il faut tirer les enseignements de ce qui s’est passé: dans quelles conditions des individus sont sortis du jihad, de prison, de quelle surveillance ils ont fait l’objet, et à partir de là, en tirer des éléments pour modifier la législation ». « La commission devra pouvoir auditionner tous les services de police, de sécurité et de renseignement », a-t-il souligné. Ses travaux ne risquent-ils pas d’empiéter sur l’enquête judiciaire, ce qu’interdit la Constitution? « Nous sommes dans des circonstances exceptionnelles, la représentation nationale doit pouvoir disposer de tous les éléments d’information », a répondu le député de Seine-et-Marne. Pour Bruno Le Roux, « il s’agirait d’étudier avec le gouvernement en quoi nous pouvons améliorer le dispositif antiterroriste ».

 

Le PS a besoin des écolos (Emmanuelle Cosse )…. pour quoi faire ?

Le PS a besoin des écolos (Emmanuelle Cosse )…. pour quoi faire ?

Visiblement les écolos souhaiteraient bien revenir au gouvernement après leurs déclarations d’allégeance aux propos environnementaux de Hollande. Des écolos au gouvernement, pourquoi pas mais pour quoi faire ? Une loi Duflos qui a contribué à déstabiliser un peu plus le secteur immobilier ? Pour donner des idées relatives à cette fameuse  conférence internationale qui se tiendra à Paris fin 2015. Il y a sans doute d’autres personnalités d’autres organisations que les écolos politisés pour nourrir le débat. En faut surtout parce que les écolos risquent de disparaitre de l’échiquier politique lors des départementales et régionales sans l’aide du PS. Les verts sont comme le PS, incompétents en matière d’économie il se recentre sur les questions sociales, plus consensuelles, plus difficiles à évaluer quant aux résultats. Hollande lui rêve d’une grande charte internationale à l’image de la charte sur les droits de ‘Lhomme, on peut penser que les écolos eux rêvent d’une grande taxe qui  à défaut de peser sur les équilibres environnementaux pourra peser sur les prélèvements obligatoires. Pour faire bref, on se demande vraiment pourquoi le PS aurait besoin des écolos !   »Les socialistes ont besoin des écologistes pour avancer », a pourtant  estimé Emmanuelle Cosse samedi 3 janvier. La secrétaire nationale d’Europe Écologie-Les Verts a évoqué la conférence climat, qui se déroule à Paris à la fin de l’année, et que François Hollande a déjà commencé à préparer. « Ce sommet est cher à tous ceux qui veulent   »La crise climatique a un impact sur l’économie, la sécurité », a rappelé Emmanuelle Cosse. Selon elle, « Fabius et Royal vont être très importants » pour cet événement, qui réunira des chefs d’État du monde entier du 30 novembre au 13 décembre. « Le gouvernement doit obtenir un engagement contraignant des participants« , demande la patronne des écologistes.   Interrogée sur une éventuelle participation de son parti dans l’équipe de Manuel Valls, elle répète que « lorsque Jean-Marc Ayrault est parti, les conditions n’étaient plus réunies ». Mais si « la question n’est pas si simple » désormais, « c’est toujours mieux quand il y a de l’écologie dans un gouvernement », plaide Emmanuelle Cosse, qui ne semble pas insensible aux récents appels du pied de l’exécutif envers son camp.

Sarkozy -Un comité des anciens premiers ministres : pour quoi faire ?

Sarkozy -Un comité des anciens premiers ministres : pour quoi faire  ?

 

Autant un comité de tous les anciens premiers ministres ( de gauche comme de droite) pourrait éventuellement avoir un sens une sorte de comité des sages) autant un comité de ce type ressemble davantage à un verrouillage de l’ appareil qu’à une ouverture ; en fait Il s’agit de museler notamment Juppé et Fillon, une ficelle un peu grosse  Le nouveau président de l’UMP, Nicolas Sarkozy, a en effet annoncé dimanche 30 novembre, la création d’un « comité des anciens premiers ministres » au sein du parti d’opposition afin de favoriser une gouvernance « collective ».  Invité du journal de 20 heures de TF1, l’ancien chef de l’Etat a réaffirmé son engagement d’organiser des primaires en 2016 en vue de l’élection présidentielle de 2017. Des primaires ouvertes aux centristes de l’UDI, mais à pas à ceux du MoDem de François Bayrou qui « ont fait l’élection de François Hollande » en 2012. « Je n’ai pas l’intention (…) de conduire cette formation politique seul », a dit Nicolas Sarkozy au lendemain de son élection avec 64,5 % des voix. « Je créerai un comité des anciens premiers ministres de notre famille politique, qui m’aideront de leurs conseils et de leur expérience dans la conduite de cette formation », a-t-il dit. Il a précisé avoir rencontré dimanche à ce sujet Dominique de Villepin, qui a accepté de siéger dans ce futur comité. Il n’a en revanche pas précisé s’il avait recueilli l’assentiment d’Edouard Balladur, Jacques Chirac, Alain Juppé, Jean-Pierre Raffarin et François Fillon. Nicolas Sarkozy, qui devra notamment compter avec Bruno Le Maire, fort d’un score de plus de 29 %, a assuré qu’il constituerait « une équipe qui représentera toutes les sensibilités de notre mouvement parce que le temps d’aujourd’hui est au collectif ».

 

 

Le climat « grande cause nationale » Pour quoi faire ?

Le climat «  grande cause nationale »   Pour quoi faire ?

 

A quoi va vraiment servir de décaler le climat grande cause nationale «  en 2015 ? Sans doute pas à grand-chose sinon qu’à tenter pour le P¨S de séduire des écolos aujourd’hui en situation d’opposants. Pour le reste, i ne faut guère s’attendre à des mesures très significatives concernant les émions polluantes affectant notamment le climat. Pour 2015, la seule décsion concrète se limitera sans doute à l’augmentation du prix du gasoil. Alors que des études mettent en exergue les risques pour la santé que font courir les particules fines émises par les véhicules diesel, le Premier ministre a annoncé des mesures pour réduire la consommation de ce carburant.   »Ce moteur diesel longtemps privilégié, cela fut une erreur, il faut progressivement revenir dessus avec intelligence et pragmatisme », a-t-il dit, ajoutant que la fiscalité continuerait d’être revue en faveur de choix plus écologistes.   »Pour soutenir les initiatives de la société, pour mobiliser tous les acteurs publics, nous avons décidé que la lutte contre le dérèglement climatique serait déclarée grande cause nationale de l’année 2015″, a dit le Premier ministre lors de son discours de clôture de la conférence environnementale.  François Hollande, qui a fait du succès de la conférence de Paris un enjeu majeur pour la diplomatie française, a réaffirmé la veille devant les associations sa volonté d’arracher un accord « historique » pour freiner le réchauffement climatique. Cette conférence s’annonce sous des auspices plutôt favorables après que les Etats-Unis et la Chine ont annoncé leur intention de mener ensemble un projet de réduction de leurs émissions de gaz à effet de serre (GES) et que les Européens sont déjà parvenus à un accord en ce sens en octobre.  Pour l’heure, le Premier ministre a profité de son passage à la conférence environnementale pour donner des gages sur l’engagement écologiste de son gouvernement, décrié notamment pour avoir abandonné l’écotaxe poids lourds en raison de la fronde des routiers et des Bretons. Manuel Valls a promis que les régions comme l’Alsace, qui souffrent de l’afflux de camions étranger sur leurs routes, pourraient avoir leur propre dispositif d’écotaxe.

 

 

La régulation financière reste à faire

La régulation financière reste à faire

 

Dans « la Tribune » on présente un ouvrage très intéressant sur la crise notamment financière (*). Une mise en cause du surdimensionnement de la sphère financière (par rapport à l’économie réelle) et les dangers de sa concentration. En fait pas grand-chose n’a changé depuis 2008 puisqu’au contraire la concentration bancaire s’est accrue et que la spéculation continue faut de vraie réforme bancaire en particulier en France où on a réalisé la plus petite réforme. Sans parler du shadow banking, de la présence des banques dans les paradis fiscaux, des produits  dérivés ou encore des transactions à haute fréquence. En fait la régulation court après la sophistication financière. Avec évidemment le risque de l’éclatement d’une nouvelle bulle.  Pour bien identifier là où le bât blesse, la lecture d’un petit ouvrage « Parlons banques en 30 questions« (*), coécrit par l’universitaire Jézabel Couppey-Soubeyran et l’analyste financier Christophe Nijdam, est recommandée. Très pédagogues, les deux auteurs s’attèlent dans un premier temps à répondre aux questions les plus fondamentales de la finance : du rôle indispensable des banques dans le financement de l’économie aux dérives liées à leurs activités de marchés, en passant par une définition assez précise de tous leurs différents métiers. Autre intérêt du livre : il donne quelques éléments d’histoire, indispensables pour bien comprendre la réalité des crises financières. Les deux auteurs détaillent surtout les sujets bancaires les plus brûlants du moment. Qu’il s’agisse de la mise en place de l’Union bancaire au niveau européen, de la montée en puissance de la finance de l’ombre -le « shadow banking« -, ou de la nécessité -ou non- de séparer les activités de banque de dépôts et de banque d’affaires – à ce propos, les auteurs estiment d’ailleurs que, de toutes les lois de séparation proposées au niveau mondial depuis 2008, la loi française « Moscovici » est celle qui… sépare le moins. Au-delà de l’aspect pédagogique, les auteurs développent dans leur ouvrage les grands combats à mener pour ne plus connaître pareille crise : réduire l’endettement des banques, accroître la part de leurs fonds propres pour qu’elles puissent faire face à des difficultés, diminuer la taille des grands groupes bancaires et la concentration du secteur, améliorer sa surveillance et mettre en place des sanctions pénales pour les dirigeants qui ont failli. Le livre interpelle enfin le lecteur sur les multiples carences en matière de gestion des risques des banques, auxquelles on donne visiblement beaucoup trop d’autonomie pour définir à quel point leurs activités de marché sont risquées. Souvent, les banques se sont appuyées sur des séries statistiques pour assurer au régulateur que la situation était sous contrôle, que tout était en règle… avant de subir de terribles déconvenues. C’est ce qui s’est récemment passé dans l’affaire de la Baleine de Londres qui a vu un trader – français – occasionner une perte de 6,2 milliards de dollars pour sa banque, l’américaine JP Morgan. Les auteurs s’amusent ainsi à citer l’écrivain Mark Twain qui disait: « Il y a trois sortes de mensonges : les mensonges, les sacrés mensonges et les statistiques. » Une citation qui s’applique très bien au monde de la « finance casino« .

Autant de références et d’analogies pertinentes contenues dans ce petit livre qui permettent d’éclairer notre lanterne.

Etat islamique : que faire contre les bourreaux français ?

Etat islamique : que faire contre les bourreaux français ?

 

 

Que faire contre les bourreaux français et d’une manière générale tous les djihadistes français ? De loin la nationalité étrangère la plus représentée. De fait l’arsenal de l’Etat est complètement impuissant. Pire les bourreaux s’affichent ; un deuxième Français apparait sur la dernière vidéo du groupe Etat islamique parmi les djihadistes qui ont décapité 18 soldats syriens. Celui-ci est « en voie » d’être identifié, a précisé le chef de l’Etat.   L’Etat est en faiat complètement désarmé, il ne sait pas les candidats djihadistes de partir et il ne sait pas quoi en faire en cas de retour, sauf à les mettre en prison qui justement est depuis longtemps est un lieu privilégié de recrutement. Il faudrait organiser bien autrement le service de renseignements y compris en impliquant la population car nous sommes en situation de guerre.  Quand ces djihadistes reviendront, il faudra s’attendre à une vague d’attentats. Ill conviendrait donc de es empêcher de revenir comme en Grande Bretagne sauf à subir un traitement psychiatrique adapté ; il  s’agit de traitement psychiatrique car ce sont des fous et des assassins. « Il y avait donc deux Français, l’un identifié formellement, l’autre en voie de l’être. » C’est ce qu’a affirmé François Hollande mercredi lors d’une conférence de presse à Canberra, au dernier jour de son déplacement en Australie. Un deuxième Français qui apparaît sur une vidéo du groupe Etat islamique parmi les djihadistes qui ont décapité 18 soldats syriens. La justice française avait déjà formellement confirmé la présence, parmi les bourreaux, de Maxime Hauchard, 22 ans. Ce converti à l’islam serait « parti en Syrie en août 2013″, avait indiqué le ministre français de l’Intérieur Bernard Cazeneuve au lendemain de la diffusion dimanche d’une vidéo d’exécution, dans laquelle le groupe djihadiste a également revendiqué la décapitation de l’otage américain Peter Kassig, enlevé il y a un an en Syrie. Les images diffusées dimanche « ont montré l’assassinat dans des conditions horribles d’un otage américain, un jeune homme qui travaillait dans l’humanitaire », a rappelé le chef de l’Etat français au côté du Premier ministre australien Tony Abbott. « Ces images ont été accompagnées d’autres scènes féroces, insoutenables », celles des soldats syriens décapités, a-t-il enchaîné. Paris étudiait jusqu’à maintenant l’implication d’un second Français qui apparaîtrait sur la vidéo. C’est une « possibilité », avait indiqué le ministre français de l’Intérieur Bernard Cazeneuve. « Nous procédons à des expertises et des analyses qui nous permettront de confirmer ou pas », avait-il ajouté.

 

Autoroutes : Macron veut faire baisser les prix

Autoroutes : Macron veut faire baisser les prix

Contrairement à Sapin,  Macron veut faire baisser le prix des autoroutes. , le ministre de l’Économie a présenté plusieurs plans du projet de loi sur l’activité qui doit être présenté en décembre au Conseil des ministres. Il est en particulier revenu sur les tarifs autoroutiers, près de deux mois après la publication d’un rapport de l’Autorité de la concurrence qui pointait une rentabilité de 20% ou plus des sociétés concessionnaires, sur fond de prix des péages augmentant plus vite que les prix depuis la privatisation de 2006. « Nous allons mettre beaucoup plus de pression sur les sociétés d’autoroutes. Ce ne sont pas des mots. Une autorité de régulation, un gendarme, qui agit déjà sur certains transports va étendre ses compétences », a affirmé Emmanuel Macron, alors que l’Autorité de régulation des activités ferroviaires (Araf) a déjà indiqué qu’elle pourrait ainsi voir sa mission élargie. « Concrètement, année après année, nous allons verrouiller et maintenir la pression pour baisser la rentabilité des sociétés d’autoroutes. Nous ferons baisser les tarifs là où c’est possible », a ajouté le ministre. Cette promesse s’annonce difficile à tenir. L’Autorité de la concurrence, lors de la présentation de son rapport le 18 septembre, avait constaté que les formulations des contrats de concession barraient dans les faits la voie à une telle baisse, même en cas de déflation. Une thèse soutenue par le ministre des Finances Michel Sapin au début du mois d’octobre. Il estimait que les sociétés autoroutières taxées procéderaient à une « augmentation du péage ».

 

Transport : une grève pour quoi faire ?

Transport : une grève pour quoi faire ?

 

La grève dans les transports est un fiasco. Pas sûr que galvauder la grève soit le meilleur moyen de prendre en compte les enjeux tant économiques que sociaux. En outre la confusion service public, entreprise publique, statut brouille sérieusement le message. Certes la politique des transports du gouvernement est illisible, contradictoire et insipide. Elle est traitée de manière sectorielle et partielle sans vision globale. (Un jour la SNCF, un jour l’aérien, un jour les routiers etc.). Pour défendre réellement le service public il faudrait poser auusi la question de sa compétitivité, de son financement. Aussi poser le problème du surendettement de la SNCF que la réforme ne traite pas du tout. Bref il faudrait poser la problématique avec un peu plus de sérieux et de précision. La journée de mardi est une journée presque comme les autres sur les lignes de métro, TER et TGV. Car malgré l’appel à la grève – qui a débuté lundi à 19 heures – lancé par la CGT à la SNCF et la RATP, dans les transports urbains régionaux et dans les aéroports parisiens, le réseau sera faiblement perturbé. Ainsi, et bien que le syndicat soit majoritaire dans les deux entreprises publiques, le spectre d’une «journée sans transports» n’est pas d’actualité.  La grève ne pose souci qu’à 3% des usagers de la SNCF, indique en effet la compagnie ferroviaire qui prévoit un trafic «normal» sur les grandes lignes et en Île-de-France aujourd’hui. Certaines lignes Intercités et TER, notamment à Tarbes, Agen, Orléans, Béziers et dans la région de Marseille subissent quelques perturbations mais l’entreprise ferroviaire a annoncé que «des modes de substitution sont prévus sur les liaisons où subsistent quelques risques de perturbations». De son côté, la RATP annonce «un trafic normal ou quasi normal» normal sur l’ensemble de ses réseaux métros, RER et tramways. Seuls le réseau des bus subit quelques perturbations «possibles, très ponctuellement». La CGT appelait pourtant à des arrêts de travail dans les transports ferroviaires et urbains, au nom de la défense du service public.

 

Immobilier : la quasi suppresion de l’APL va faire plonger le marché

Immobilier : la quasi suppresion de l’APL va faire plonger le marché

 

 C’est u véritable tsunami qui se prépare dans l’immobilier avec la quasi suppresion de l’APL. Un marché déjà en crise grave et qui pourrait encore plonger.  Le projet de loi de finances 2015 prévoit de quasiment supprimer l’APL (aide personnalisée au logement) Accession, qui accorde une aide mensuelle sous conditions de ressources aux emprunteurs qui deviennent propriétaires de leur résidence principale. Une modification aux implications lourdes pour les primo-accédants aux revenus modestes. En tout, ce sont près de 30.000 personnes par an qui bénéficient de l’APL Accession, dont le dispositif sera examiné mercredi 29 octobre puis voté le 04 novembre. Passé presque inaperçu, l’article 52 du PLF 2015 a prévu une modification de l’APL Accession qui ne devrait être versée à l’avenir qu’en cas de baisse de 30 % de revenus et non systématiquement à la mise en place du crédit. Actuellement, l’APL est accordée par l’Etat à tous les emprunteurs qui deviennent propriétaires dans l’ancien via un Prêt conventionné (PC) ou un Prêt Accession Sociale (PAS), prêt accordé sous conditions de revenus, sur des durées allant jusqu’à 30 ans et permettant également de bénéficier de frais de dossiers et de garanties réduits. La quasi-suppression de l’APL Accession pourrait exclure du marché de nombreux emprunteurs modestes qui n’auront pas la possibilité de trouver un financement pour leur projet sans cette aide, leur taux d’endettement devenant trop important. Une mesure que déplore Sandrine Allonier, Responsable des Relations Banques du courtier immobilier VousFinancer.com, qui explique que « l’APL est une aide très efficace car elle est directement versée à la banque prêteuse et vient donc réduire la mensualité de crédit payée par l’emprunteur jusqu’à 30%, voire davantage dans certains cas. Prise en compte par les banques dans le plan de financement, elle permet donc à des ménages dont l’endettement aurait été trop élevé sans cette aide de devenir propriétaire » précise-t-elle. Revalorisée en 2013 et début octobre lors de la modification du zonage et de la hausse des plafonds de revenus, la suppression de cette aide en 2015 pourrait exclure de l’accès à la propriété un certain nombre de jeunes emprunteurs. « En 2014, entre 10 et 15 % des prêts que nous avons financés donnent droit aux APL. La suppression de celles-ci risque d’avoir un impact très négatif sur les primo-accédants dont beaucoup se sont déjà retirés du marché. D’un côté le gouvernement élargit le prêt à taux zéro dans le neuf et le réhabilite dans l’ancien en zone rurale, et de l’autre il supprime les APL qui ont un véritable impact sur l’endettement des ménages et donc sur leur capacité à devenir propriétaire. C’est donner d’un côté pour reprendre de l’autre. A un moment où le marché commence à reprendre des couleurs ce type de mesure pourrait casser la dynamique enclenchée et donner un nouveau coup de frein au marché immobilier » conclut Jérôme Robin, président et fondateur de Vousfinancer.com.

 

Coût de formation d’un énarque: 167.000 euros ; pour quoi faire ?

Coût de formation d’un  énarque: 167.000 euros ; pour quoi faire ?

 

C’est bien connu on n’apprend rien à l’ENA, un peu de droit administratif et surtout la manière de ne pas répondre aux questions posées par les administrés et citoyens. D’où ce langage ésotérique et insipide  à prétention scientifique très spécifique à la France et qui contaminé toute la classe politique. Deux mots résument cette dialectique « être prudent » et « l’affaire est complexe ». « Complexe » donc écarter tous les curieux pour réserver la gestion aux « vrais experts » de l’ENA, « prudence «  parce que cela permet de justifier le temps et l’enterrement des dossiers qui va avec. 167 000 euros pour ça, ce n’est pas seulement du gâchis mais du détournement de richesse nationale.   Les énarques passant deux années à l’ENA, la formation totale d’un futur haut fonctionnaire revient donc à près de 167.000 euros. Par comparaison, un élève d’un Institut régional d’administration (IRA), école chargée de former des fonctionnaires d’encadrement, reviendra à 60.425 euros l’an prochain.  La promotion 2014 de l’ENA est composée de 90 élèves (hors élèves étrangers). Son coût total atteindra donc 15 millions d’euros pour la collectivité.  Ce coût total prend non seulement en compte l’organisation des concours d’entrée, la formation proprement dite, la rémunération des enseignants, mais aussi les salaires et charges sociales des élèves. Ceux-ci sont en effet payés puisqu’ils sont considérés comme des fonctionnaires en cours de formation et non de simples élèves. Comme les autres administrations, l’ENA, qui est désormais installée à Strasbourg, est soumise à une cure d’austérité. La dotation de l’Etat à son fonctionnement (31 millions d’euros) a ainsi été réduite de 8,5% en trois ans. Pour 2014, cette dotation a baissé de 2,4%. Elle devrait encore être un peu réduite en 2015.  Depuis 2009, l’ENA a perdu 25 emplois permanents, soit plus de 10% de ses effectifs. Pour équilibrer ses comptes, l’école développe ses ressources propres, comme la formation continue ou les missions d’expertise à l’étranger, qui font rentrer 9 millions d’euros par an dans la caisse. 

L’ENA en chiffres:

> 90 élèves par promotion 

> 1.624 candidats en 2014 

> 48 millions d’euros de budget

> 514 employés dont 204 permanents

 

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