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Des députés Les républicains en Crimée, pour quoi faire ?

Des députés Les républicains en Crimée, pour quoi faire ?

 

Des députés Les Républicains en mal de médiatisation( toujours les mêmes Mariani, Myard etc.) vont se rendre en Crimée puis en Russie. Une manière pas très orthodoxe de servir la France. Où quand la politique intérieure pollue les intérêts supérieurs internationaux. D’une certaine manière les pieds nickelés de la politique font de l’agitprop même douteux une stratégie existentielle.  Ce déplacement comporte « un risque d’instrumentalisation » et constitue « une violation du droit international » puisque « entrer en Crimée sans l’autorisation des autorités ukrainiennes c’est de fait reconnaître les prétentions russes », a-t-il ajouté, selon plusieurs membres de la commission.  Le député Les Républicains des Français de l’étranger Thierry Mariani a annoncé mardi qu’une dizaine de parlementaires se rendraient en Russie puis en Crimée de mercredi à samedi.  Parmi eux figurent les députés LR Patrice Verchère, Jacques Myard, Sauveur Gandolfi-Scheit et Marie-Christine Dalloz, ainsi que le député radical Jérôme Lambert. Au programme de la visite, « des rencontres à Moscou avec Sergueï Narichkine, le président de la Douma, à Yalta et Sébastopol avec toutes les autorités locales, des associations représentantes des minorités », explique Thierry Mariani dans les colonnes du Monde. La Crimée a été annexée en mars 2014 par la Russie après un référendum non reconnu par la communauté internationale, à l’issue duquel 97% des habitants de cette péninsule ukrainienne à majorité russophone ont choisi leur rattachement à la Russie. Les affrontements entre forces ukrainiennes et séparatistes russes ont fait plus de 6.500 morts depuis le début du conflit en avril 2014. Paris, Berlin, Kiev et Moscou, engagés dans un processus de paix, ont salué mi-juillet les « étapes importantes » franchies ces dernières semaines en vue d’un règlement de la crise en Ukraine et souhaité voir la dynamique « maintenue ».

 

Viande -Le Foll : je ne peux rien faire…ou le degré zéro de la politique

Viande -Le Foll : je ne peux rien faire…ou le degré zéro de la politique

 

Le degré zéro de la politique de la part d’un ministre qui attend un rapport pour connaitre la situation. Et qui a besoin de 4 jours pour recevoir les producteurs ! Nombre d’ « experts» sont d’ailleurs d’accord avec lui. » « On ne peut rien faire c’est une  problématique européenne et même mondiale ».  Sauf qu’on pourrait fixer des normes sanitaires et de qualité , sauf qu’on pourraiat engager la responsabilité des véritables donneurs d’ordres quand ils organisent en fait le dumping ‘ (ce qui a été fait par exemple le transport routier ), sauf que des critères de qualité pourraient être imposés dans la restauration collective (; écoles, hôpitaux, entreprises etc.)., sauf enfin qu’il faudrait surtout foutre un coup  de pied dans la fourmilière de la filière largement notamment  polluée  par les intermédiaires. Dans une interview exclusive qu’il a accordée à France Info alors que les éleveurs du Calvados et de la Manche ont lancé un mouvement qui pourrait bien s’étendre, le ministre explique qu’il n’a pas le choix : « Je n’ai pas aujourd’hui d’outil légal direct pour aller demander à quelqu’un de faire payer tel ou tel prix« . Traduction, le gouvernement ne peut pas faire monter les prix payés aux éleveurs par la contrainte. Il faut donc, explique-t-il, en passer par la négociation. Et il tient à rappeler qu’il l’a déjà fait : « c’est un travail de conviction qui date de plusieurs mois« . Il met en particulier le doigt sur la réunion du 17 juin, qui a rassemblé les filières autour d’une table, mais qui est loin de faire l’unanimité. Des engagements sont ressortis des 3h30 de réunion. Mais les éleveurs dénoncent leur non-respect : « Ils ont en partie raison« , reconnaît Stéphane le Foll. Il souligne que concernant le porc, les engagements sont presque tenus : « On est à 1,38 euros le kilo. L’engagement était à 1,40 euros. On est parti d’1,20 euros le kilo« . Mais pour le bœuf, on est « loin de l’objectif« , admet-il. « On n’a récupéré que 5 à 7 centimes en moyenne« . Agriculteurs en colère : « Je leur ai proposé de les rencontrer à Paris, mais je veux d’abord une vision la plus claire qui soit, la plus nette qui soit, pour pouvoir agir » – Stéphane Le Foll, ministre de l’Agriculture interrogé par Yannick Falt. Quand ? à la St Glinglin ? 

Grèce : des réformes qui vont faire mal

Grèce : des réformes qui vont faire mal

 

Ce qui caractérise les réformes imposées à la Grèce c’est d’abord leur caractère draconien ‘( pire que dans l’ancien accord qu’ont refusé les grecs par referendum ! ) et surtout les délais qui sont imposés : quelques jours pour nombre de mesures. Jamais un pays européen n’aura eu à subir une telle cure d’austérité et une  telle humiliation. Certes les grecs (depuis 35 ans) sont politiquement inconsistants et largement responsables de la dégradation économique de leur pays mais il n’était sans doute pas nécessaire de les humilier à ce point et de leur faire regretter d’avoir voté pour Cyrisa et Tsipras. Le parlement grec n’a donc que deux jours pour faire adopter notamment une série de réformes, notamment sur une unification de la TVA à 23%, y compris pour la restauration, ou le relèvement de l’âge de la retraite à 67 ans dès 2022. Le Parlement doit aussi approuver la garantie de l’indépendance de l’Elstat, l’organisme des statistiques.  Avant le 22 juillet, les Grecs devront aussi adopter un code de procédure civile destiné à accélérer le système de justice civile afin de réduire ses coûts.  Ce sont les conditions préalables au déclenchement du processus formel d’un troisième plan de sauvetage évalué à 80 milliards d’euros. Les dirigeants européens redoutaient qu’après l’obtention des fonds, le gouvernement grec n’interrompe la mise en œuvre des privatisations et des réformes promises à ses créanciers, comme celle des retraites ou de la fiscalité.  Ils ont également durci de manière conséquente le plan de réformes approuvé samedi par le parlement grec et qui reprenait déjà de nombreuses exigences des créanciers, demandes pourtant rejetées par les citoyens grecs dimanche 5 juillet lors d’un référendum. Ces propositions étaient jugées insuffisantes par des pays comme l’Allemagne ou la Finlande, même si la France ainsi que les experts des « institutions » – Commission européenne, Banque centrale européenne et Fonds monétaire international – leur ont donné un premier avis favorable vendredi. Athènes devra aussi réformer son marché du travail, privatiser le réseau de transport électrique, et renforcer le secteur financier, autant d’engagements qui vont à l’encontre de la ligne voulue par la gauche radicale d’Alexis Tsipras qui avait fait de la lutte contre les politiques d’austérité son cheval de bataille devant les électeurs.  Le leader de la gauche radicale grecque a cependant réussi à éviter lors des négociations qu’un fonds regroupant des actifs publics grecs destinés à être privatisés soit domicilié au Luxembourg. « L’accord est difficile mais nous avons coupé court au mouvement de transfert d’actifs publics à l’étranger. Nous nous sommes épargnés un étranglement financier et un effondrement du système bancaire », a dit Alexis Tsipras à la presse.  La question du rééchelonnement d’une partie de la dette grecque, qui représente 175% de son Produit intérieur brut (PIB), a aussi été actée par François Hollande (mais pas forcément par l’Allemagne !)  qui a évoqué un allongement des maturités des prêts et des aménagements sur les intérêts.  L’aménagement de la dette grecque suscitait de fortes réticences dans certains pays comme l’Allemagne mais constitue le principal argument d’Alexis Tsipras pour faire accepter par ses compatriotes les nouvelles mesures d’austérité.  Alors que les banques grecques sont fermées et complètement dépendantes des liquidités d’urgence accordées par la Banque centrale européenne, l’accord proposé à Alexis Tsipras est considéré comme sa dernière chance pour éviter l’effondrement financier et économique du pays.  Les ministres des Finances de la zone euro doivent aussi se pencher dans quelques heures sur les moyens de financer un prêt relais pour faire la soudure entre les besoins financiers immédiats de la Grèce et l’obtention des fonds du Mécanisme européen de stabilité. Les sacrifices faits par Athènes vont ouvrir la voie à un troisième plan d’aide qui devrait être financé via le MES (mécanisme européen de stabilité) et qui pourrait s’élever entre 82 et 86 milliards d’euros. Sur cette somme, 10 à 25 milliards d’euros devraient être servir à recapitaliser les banques helléniques. En outre, l’Eurogroupe s’est dit prêt à « évaluer » de nouvelles mesures pour tenter de rendre la dette grecque plus soutenable (allongement des délais de grâce et des maturités).

Eurogroupe : tout faire pour humilier davantage la Grèce

Eurogroupe : tout faire pour humilier davantage la Grèce

La Grèce n’est pas sans responsabilité dans la manière de mener les négociations cependant cette fois l’attitude de l’Eurogroupe touche au ridicule. Tsipras a présenté des mesures qui sont exactement ce que voulait Bruxelles mais ce n’est pas assez maintenant. Il en faut encore davantage. On aura compris que l’objectif n’est pas seulement financier mais qu’il s’agit de discréditer le plus possible Cyriza ne serait-ce que pour éviter la contagion ailleurs en Europe.  Peu avant minuit ce samedi, l’Eurogroupe a donc annoncé la suspension des discussions dans le dossier grec et annoncé leur reprise ce dimanche. Il juge les garanties apportées par la Grèce insuffisantes. Son président a annoncé que « c’était toujours très difficile« .Les ministres des Finances de la zone euro étaient réunis à Bruxelles pour examiner les propositions du gouvernement grec d’Alexis Tsipras, qui a fait adopter la nuit précédente par le Parlement, un nouveau plan de réformes. A son arrivée à l’Eurogroupe, le Commissaire européen aux affaires économiques, Pierre Moscovici, a estimé que la mise en œuvre rapide des réformes grecques serait la clef de tout, pour parvenir à une solution.  Certains restent cependant méfiants car ce n’est pas la première fois qu’un accord semble être à portée main et s’évapore. L’Allemagne affiche toujours la plus grande méfiance, estimant que jusqu’à la fin de l’Eurogroupe, tout reste encore possible. Les négociations vont « être extrêmement difficiles », a mis en garde le ministre allemand des Finances, Wolfgang Schäuble, jugeant « insuffisantes » les réformes proposées par Athènes. Les Pays-Bas doutent également sérieusement de la capacité de la Grèce à mener les réformes auquel le gouvernement d’Alexis Tsipras s’est engagé.  Face à ce scepticisme, pour le ministre des Finances français, Michel Sapin, il faut que la Grèce donne des gages à ses partenaires européens.  »La confiance est un élément déterminant de l’accord, si nous voulons un accord global et un accord durable, ce que souhaite la France depuis le début, il faut que les Grecs, le gouvernement grec, le ministre des finances grec, apporte des réponses »  sur la date d’une décision, les moyens de sa mise en place et le rythme qui compte être suivi. « C’est ça qui va redonner de la confiance du côté des institutions européennes, de l’Eurogroupe, il faut qu’on montre aussi que si cette confiance est là. Si la détermination politique des Grecs est là, alors nous avons la capacité d’apporter des soutiens qui sont des soutiens indispensables pour réussir ces réformes« , a ajouté le ministre.

FMI : faire payer la dette grecque à l’Europe et virer Tsipras

FMI : faire payer  la dette grecque à l’Europe et virer Tsipras

 

Derrière les arguments techniques se cachent  les véritables objectifs du FMI, d’abord et surtout virer Tsipras et son gouvernement qui se mettent en travers des logiques financières ; Virer la Grèce de l’euro ensuite si Athènes ne plie pas aux exigences du FMI. Une sorte de guerre idéologique beaucoup plus importante que les sommes en jeu. D’autant que le sentiment nationaliste monte partout dans les Etats de l’UE°. Accessoirement faire payer l’Europe pour la dette grecque ( et pas le FMI°). Comme par hasard le FMI i sort uen rapport non prévu qui avance un chiffre de près de 40 milliards dans les trois ans mais  ne tient las compte de la restructuration.  Une sorte d’amicale pression sur les électeurs grecs.  La campagne éclair pour ce référendum, annoncé le week-end dernier, a ainsi vraiment débuté jeudi, par cette pression sur le gouvernement. La question posée aux Grecs dimanche est simple en apparence: êtes-vous d’accord avec la proposition des créanciers faite en date du 25 juin?  Pour le gouvernement, qui n’a aucune intention de sortir de la zone euro, un non servirait surtout à être « mieux armé » pour la poursuite des négociations avec les créanciers. Mais ces derniers soutiennent qu’un non équivaudrait à un choix contre l’euro, de quoi impressionner des Grecs déjà très inquiets de la situation.  Même le président français François Hollande, parmi les plus compréhensifs pourtant, a estimé que si le non l’emportait, on entrerait « dans une forme d’inconnu ». « La situation se dégrade en raison du comportement du gouvernement grec », a affirmé de son côté le président de l’Eurogroupe, Jeroen Dijsselbloem. « Selon moi, la Grèce ne sortira pas de l’euro, elle fera tout pour parvenir à un accord », a toutefois pronostiqué jeudi soir le chef du gouvernement italien Matteo Renzi. « Quoi qu’il arrive, la Grèce devra retourner à la table des négociations et négocier un programme d’aide », a-t-il ajouté.

 

Ségolène Royal : une autre faon de faire de la politique en racontant n’importe quoi !

Ségolène Royal : une autre faon de faire de la politique en racontant n’importe quoi !

 

« C’est sa manière à elle de faire de la politique » voilà le commentaire le plus souvent utilisé par les grands médias. Lesquels devraient d’abord s’interroger à propos de l’état mental de l’intéressée. Car de toute évidence en plus d’être incompétente Ségolène est folle. Elle se veut écolo, reprend donc à son compte quelques trucs relatifs à l’ environnement puis l’arrange à sa sauce quitte à dire le contraire ensuite. Un cocktail d’évidences, de contre-vérités et de provocations. Bref la « dialectique ségolénesque ». Et il paraît que c’est un poids lourd du gouvernement ( un boulet plutôt), l’une des meilleurs ! de quoi vraiment être inquiet ! Ségolène a sans doute eu raison de parler de déforestation à propos de l’industrialisation de la culture de l’huile de palme. En plus Nutella est surtout un composé de gras et de sucre.  Evidemment elle a fait l’impasse sur une autre déforestation, celle du soja importé d’ Amérique du sud mais qui permet de nourrir les vaches française ( dix fois plus de déforestation que pour huile de palme). Mais c’est la réal-politique sur quelle on colle quelques bons sentiments . Heureusement Hollande qui connait bien Ségolène l’a collé dans un ministère sans pouvoir ‘ comme on avait collé Montebourg au « redressement«. Et pour les finances, on met Sapin, le copain sérieux, «  copier-coller » de Hollande, inventeur de l’ inversion du chômage mais qui sait , lui, s’en tenir au langage techno de Bercy. Et qui ne verse pas comme Ségolène dans la sémantique approximative. 

Gouvernement : remaniement pour quoi faire ? Rien

Gouvernement :  remaniement pour quoi faire ? Rien

 

 

Heureusement qu’il aura un remaniement aujourd’hui sinon nous n’aurions sans doute jamais connu le nom des ministres qu’on remplace à savoir Carole Delga, secrétaire d’Etat au Commerce, à l’Artisanat, à la Consommation et à l’Economie sociale et solidaire, et Geneviève Fioraso, ancienne ministre de quelque chose. On se demande à quoi sert cette horde de ministres ? A rien sinon qu’à équilibrer les tendance politiques et récompenser les copains  car on pourraiat mieux fonctionner uen gouvernement avec deux tiers de ministres en moins ( pensez cependant aux retraites qui vont avec !!). un remaniement ministériel « technique » aurait lieu mercredi pour remplacer deux secrétaires d’Etat.   »On le fera demain », a-t-il déclaré sur TF1.   »C’est un ajustement, comme on dit, technique, ce n’est pas un bouleversement des équilibres du gouvernement », a-t-il ajouté. « L’équipe que j’anime reste en place pour poursuivre le travail que le président de la République nous a assigné. »  Manuel Valls a ajouté qu’il était « toujours possible » qu’un remaniement plus vaste ait lieu d’ici la fin du quinquennat, en 2017.  Le remaniement de mercredi concerne Carole Delga, secrétaire d’Etat au Commerce, à l’Artisanat, à la Consommation et à l’Economie sociale et solidaire, qui est la candidate du Parti socialiste pour les élections régionales de décembre en Languedoc-Roussillon-Midi-Pyrénées.  Il s’agit également de remplacer Geneviève Fioraso, secrétaire d’Etat chargée de la Recherche et l’Enseignement supérieur, qui a quitté le gouvernement en mars pour des raisons de santé.

Chômage : « il faut faire quelque chose » ! ( Hollande)… mais quoi ?

Chômage : «  il faut faire quelque chose » ! ( Hollande)… mais quoi ?

 

 

Surréaliste la déclaration de Hollande qui déclare « il faut faire quelque chose » alors que pendant plus d’un an il n’a cessé de prévoir  une  improbable inversion du chômage. En fait on va sans doute créer 100 000 emplois aidés en plus ( il y en a actuellement environ 500 000) et envoyer 60 000 chômeurs en formation. Tant mieux pour les intéressés mais cela ne resoud pas la question centrale du manque d’emplois. Une question dramatique et qui alimente toute la désespérance des acteurs économiques. Depuis l’arrivée de Hollande c’est 21% de chômeurs en plus. La vérité c’est que le gouvernement est perdu, qu’il ne sait plus quoi faire hormis prendre des mesures  anecdotiques et /ou inefficaces . Une addition de mesures gadgets ( comme la loi Macron), dernièrement les mesures  simplification ( pour l’essentiel un transfert sur support informatique de mesures dont nombre devraient être purement et simplement supprimées). De ce point de vue,  on mesure bien les limites d’un politique de l’offre ; certes il faut rendre l’appareil de production plus compétitif mais il aurait fallu éviter le matraquage fiscal ( des entreprises comme des ménages). Car la vraie question est aujourd’hui celle de la demande. Et pas seulement d’ailleurs au plan français mais mondial ; mais plus cruciale en France que dans nombre de pays  compte tenu notamment du dynamisme de la démographie. Certes on constate un petite amélioration ( au premier trimestre mais le second sera moins bon) mais  n’est pas suffisant pour faire diminuer le chômage. Or c’ est le taux de chômage qui nourrit le manque de confiance ( des entreprises, des investisseurs, des consommateurs). Les mesures cosmétiques du gouvernement sont complètement inadaptée à l’ ampleur de l’enjeu. En cause évidemment le fait que ce gouvernement est surtout composé d’énarques et/ou d’oligarques, bref de politiques professionnels qui n’ont qu’un rapport approximatif avec les réalités économiques et sociales et qui s’appuie sur uen administration pléthorique ( qui plombe le budget) tout aussi incompétente. Après la publication de ces chiffres catastrophiques du chômage. , la presse, de gauche comme de droite, rappelle au président sa promesse de ne pas se représenter si la courbe en s’inversait pas d’ici 2017. « Inepte promesse », s’offusque néanmoins Gaëtan de Capèle dans Le Figaro, rappelant que « la marée sans fin du chômage (…) nourrit (l’)angoisse et (le)ressentiment » des Français.  Autre quotidien de droite, L’Opinion est outré, sous la plume de Rémi Godeau, de constater qu’ »alors que la mobilisation générale pour l’emploi devrait être déclarée, le gouvernement s’offre un débat post-congrès surréaliste à propos du burn out¿ » en référence à la proposition de loi portée par l’ancien ministre Benoît Hamon. Les 26.200 chômeurs sans activité supplémentaires comptabilisés en avril ont poussé le gouvernement à dégainer une rallonge de 100.000 contrats aidés et cette mesure ne convainc guère les éditorialistes. « Il faut faire quelque chose, du moins en avoir la mine », commente un Denis Daumin désabusé dans La Nouvelle République du Centre ouest.    »Pour François Hollande, le temps presse. S’il ne veut pas pointer à Pôle emploi dans deux ans, il doit impérativement gagner cette course contre la montre », souligne Jean-Michel Servant dans Le Midi libre. L’Humanité et Maud Vergnol sont dépités : « bien que François Hollande s’en défende, on ne peut pas être aux petits soins avec l’oligarchie et mener une politique de progrès social ».  Voilà donc le chef de l’État « reparti en campagne pour 2017″, note dans Les Échos Cécile Cornudet, qui élargit son propos à Manuel Valls : « le réformateur transgressif a laissé place au fidèle qui ne fait pas de vagues ». « Cela ne va pas aider à donner du crédit à la parole présidentielle », conclut Bruno Dive dans Sud-Ouest.

 

 

Grèce : le FMI joue aussi à se faire peur

Grèce  : le Fmi joue aussi à se faire peur

 

 

Comme le ministre allemand des finances surtout, comme la commission européenne, Lagarde du FMI mette son grain de sel pour faire peur à-propos de la Grèce. Pas forcément très intelligent au moment où les marchés sont un peu dubitatifs non seulement sur les éventuelles conséquences d’une sortie de la Grèce mais plus fondamentalement sur la croissance internationale et ses conséquences. Pourtant dans la coulisse un projet d’accord est en cours. En fait il s’agit de  faire pression sur la Grèce pour obtenir d’elle encore davantage d’austérité . Une sortie de la Grèce serait sans doute catastrophique pour la Grèce bien sûr mais pour tout le système monétaire européen. De ce point de vue les différents responsables seraient bien avisés de se montrer un peu plus discrets  mais plus travailleurs  pour conclure cet accord avec la Grèce. Sinon il faudra dire adieu au 350 milliards de dettes de la Grèce, adieu sans doute aussi à la timide reprise en Europe, une reprise qui va même être très hésitante au second trimestre. En fait Lagarde, comme elle le faisait lorsqu’elle était ministre des finances en France,  ne sort que des banalités ( mais c’est pour cela qu’elle est autant appréciée !). mais parfois souvent  le silence est plus utile. Surtout quand en creux on laisse se entendre que le système euro pourrait être menacé. Selon la directrice du FMI un « Grexit » ne signifie pas la fin de l’euro. Christine Lagarde estime toutefois que la Grèce et ses créanciers peuvent encore parvenir à un accord, mais pas sur le court terme.  Une déclaration qui devrait provoquer de nombreux remous .La directrice générale du Fonds monétaire international (FMI) Christine Lagarde estime que « la sortie de la Grèce (de la zone euro, ndlr) est une possibilité », rapporte le journal Frankfurter Allgemeine Zeitung, jeudi 28 mai. Une telle mesure ne serait « pas une promenade de santé » mais un « Grexit » ne signifierait « probablement pas » la fin de l’euro, a-t-elle ajouté. La directrice a ce tempéré ses propos par des déclarations supplémentaires publiées dans la soirée par le FMI pour « clarifier et remettre dans le contexte » cette interview. C’est quelque chose « auquel j’espère les Européens ne seront pas confrontés parce qu’ils trouveront, espérons-le, un moyen de se mettre d’accord sur l’avenir de la Grèce dans la zone euro ».

Sarkozy : prend un jet privé pour faire 170 kms

Sarkozy : prend un jet privé pour faire 170 kms

 

Un jet privé pour faire 170 kms entre Paris et Le Havre pour Sarkozy l’homme pressé et surtout toujours  très bling bling. Le pire c’est que la voiture l’a suivi pour le récupérer au Havre et l’amener à son meeting. Coupé de toutes réalités sociales on comprend pourquoi nos dirigeants suscitent un tel rejet de la part de la population. Inconscience ? Folie ? peut être les deux à la fois.  Si l’entourage de Nicolas Sarkozy assure que « c’était pour des raisons de logistiques et parce que le train et la voiture sont plus fatigants » selon l’émission télévisée, la facture de 3.200 euros pour 40 minutes de vol pourrait être mal vue, surtout lorsque l’on sait que les militants étaient invités à amener leur sandwich pour le meeting.  Le trésorier du parti Daniel Fasquelle a estimé qu’il s’agissait d’un « faux procès » à l’encontre de l’ancien chef de l’Etat.  »Nous avons réalisé bien plus que 3.200 euros d’économie depuis qu’il est président! », a-t-il expliqué. C’est « archi exceptionnel » que Nicolas Sarkozy prenne ainsi l’avion. « Il l’a pris à deux reprises« , a-t-il précisé.  Le Lab de son côté explique que c’est la compagnie Wijet qui a facturé le trajet, qui coûte 4.800 euros habituellement. Et si l’UMP semble donc avoir eu un tarif préférentiel, le trajet en voiture aurait coûté environ 45 euros pour 2h40 de route. Un tarif dont s’est quand même acquitté le parti, puisque le chauffeur et la voiture de fonction de l’ancien chef de l’État ont quand même fait le voyage pour transporter Nicolas Sarkozy de l’aéroport à la salle du meeting. 

 

Ménard : tout faire pour montrer son cul et son racisme

 Ménard : tout faire pour montrer son cul et son racisme

 

Pour Ménard c’est une obsession, il est victime d’une pathologie bien connue :montrer son cul le plus souvent possible et pour cela s’appuyer sur ses opinions iconoclastes RACISTES ; Il a encore réitéré sa volonté de procéder à des statistiques religieuses. Certes Ménard s’appuie sur ses convictions racistes mais cela sert son  égo complètement démesuré.  Rony Brauman, autre cofondateur de RSF qui quitte l’organisation en 1995, dénonce, pour sa part, l’autoritarisme de Ménard à la tête de l’ONG : « J’ai vu l’autre Ménard, le petit tyran domestique, sortir de sa chrysalide. Il a un ego exagérément enflé, qui le pousse à être excessif. » Alla Lazaréva, ancienne correspondante de RSF, tient des propos similaires : « Monsieur Ménard aspire trop à substituer sa propre personne à la cause entière de la liberté de la presse. » Toues les causes, tous les combats sosnt valables pour Ménard du moment où il peut faire parler de lui. Robert Ménard déclarait au début du mois de mai qu’il y avait « 64,6% » d’élèves de confession musulmane dans les écoles publiques de Béziers » en se fondant sur leur prénom. Il a fait scandale en accréditant l’idée d’un fichage religieux des élèves. Le maire se défend d’un fichage, interdit par la loi française, mais a réaffirmé lundi avant la conférence qu’il était « favorable aux statistiques ethniques ».  « Je dis ce qui est, que cela plaise ou non, on s’interroge sur ma méthode au lieu de se demander: que faire pour l’intégration, pour l’assimilation », a-t-il déclaré. « Il y a une école où on trouve 90% de ces enfants, leurs parents aspirent à la diversité, je propose de séparer cette école en trois et d’attirer des gens d’autres milieux« , a-t-il ajouté. Egalement interrogé au début du débat, Abdellatif Mellouki a au contraire déploré « qu’on divise les Français en catégories, comme dans les années 40« .  »C’est déplorable de venir propager les idées xénophobes dans la quatrième ville de France, de voir ces langues se délier pour dire que nos enfants sont musulmans avant d’être français: ils sont chez eux ces enfants« , a-t-il déclaré  à l’AFP.  Le Parti de gauche et la Ligue des Droits de l’homme (LDH) avaient dénoncé le fait que le maire UMP de Toulouse, Jean-Luc Moudenc, ait accordé une salle municipale à l’association « face à face », qui a invité Robert Ménard quelques mois après avoir reçu le journaliste et polémiste Eric Zemmour. La mairie avait interdit le 31 mars une réunion du NPA qui devait accueillir un responsable sud-africain de l’association BDS favorable au boycott d’Israël.  Le locataire du Capitole a rétorqué dans un communiqué que la réunion du NPA le 31 mars se tenait « autour de personnes condamnées pour discrimination et incitations à la haine raciale« , alors que le maire de Béziers « n’a pas fait à ce jour l’objet d’une telle condamnation ». 

Le numérique à l’école : pour quoi faire

Le numérique à l’école : pour quoi faire

 

Il y aura du numérique partout, François Hollande a annoncé ce jeudi 7 mai qu’ »un milliard d’euros sur trois ans » seraient consacrés à un vaste plan pour le numérique à l’école précisant que « la mise en œuvre de ce plan commençait « dès aujourd’hui ». Mais pour quoi faire ? La plupart des élèves disposent déjà à titre personnel de ces outils et les maîtrisent parfaitement. Ce n’est pas la technologie qui apprendra à écrire, à compter ou à penser. D’ailleurs la plupart des cadres des très grndes sociétés américaines  ds nouvelles technologies envoient leurs enfants dans des écoles ou le numérique est  strictement interdit. Justement pour se consacrer aux fondamentaux. Certes le numérique est utile mais à conditions de maitriser d’abord ces fondamentaux.   Le chef de l’État s’est rendu ce jeudi aux Mureaux (Yvelines), en banlieue parisienne, dans une école et un collège en pointe sur le numérique, affirmant la volonté de « mettre ces outils partout », au lendemain d’un discours où il a défendu le projet contesté de la réforme des collèges. Le président de la République était accompagné par la ministre de l’Éducation nationale, Najat Vallaud-Belkacem, qui porte la réforme des collèges. Devant des écoliers de CM2 du Pôle Molière absorbés par l’écoute d’une dictée enregistrée sur tablette par leur enseignant, le président de la République, admiratif, s’est félicité de cet « outil formidable adapté aux enfants ». « La volonté de la ministre, c’est de mettre ces outils partout », a-t-il assuré ensuite devant des parents d’élèves. « On peut donner à tous, grâce à ces outils, grâce aux enseignants, davantage de connaissances et d’élements de citoyenneté », a-t-il affirmé. Le président et la ministre ont également visité le collège Jules-Verne, estampillé du label « collège connecté » : il équipera à la fin du mois tous les élèves de 6e de tablettes numériques et expérimente un « espace numérique de travail », qui permet notamment aux parents de visualiser le travail de leurs enfants. Travail en petits groupes, interdisciplinarité et lien parents-enfants grâce au numérique: « Ce que vous faites préfigure beaucoup de choses que l’on retrouve dans la réforme des collèges » et « qui seront généralisées à la rentrée 2016″, a plaidé la ministre de l’Éducation. Après cette visite, le chef de l’État devait participer à la clôture de la journée de restitution de la concertation sur le numérique à l’école prévue à 17H30 à Paris. Faire entrer l’école dans l’ère du numérique est l’une des ambitions de la loi pour la refondation de l’école de l’ancien ministre Vincent Peillon, remplacé par Benoît Hamon puis Najat Vallaud-Belkacem en 2014. François Hollande multiplie depuis plusieurs semaines les déplacements sur le thème de la jeunesse. Mercredi, devant des jeunes au Conseil économique, social et environnemental, il a volé au secours de la réforme des collèges, critiquée par la droite et certaines associations, en prônant « l’intérêt général » contre « les intérêts particuliers ».

Candidature de Paris aux JO de 2024 : pour quoi faire ?

Candidature de Paris aux JO de 2024 : pour quoi faire ?

 

Des jeux olympiques mais pour quoi faire ? En l’état actuel de notre économie on peut se demander si cette candidature est très opportune. En général pour la justifier l’évaluation des dépense est sous-évaluée , c’est ainsi que la facture des jeux de Londres a doublé pour atteindre  plus de 11 milliards d’euros. Par contre on a tendance ensuite à surévalué les retombée économiques. Il est de toute manière très complexe sinon impossible de mesurer les effets de tels événements. Il est clair que Hollande recherche tous les événements à consensus fort pour remonter la pente de la popularité. Ajoutons que pour décrocher les jeux, il est nécessaire d’entrer dans le processus de corruption du CIO ! Dans le même temps la France est aussi candidate à l’exposition universelle de 2025, un événement dont les effets économiques sosnt davantage certains. La question se propose de savoir s’il est bien raisonnable  de présenter la candidature de la France à ces deux événements très proches.  François Hollande a donc défendu lundi au Comité international olympique la candidature de Paris à l’organisation des Jeux d’été de 2024, que le président du CIO, Thomas Bach, a qualifiée de « forte » et d’ »exemplaire ». Candidate malheureuse aux JO de 2012 organisés à Londres, la ville de Paris devrait formaliser sa candidature auprès du CIO à la mi-septembre et saura dans un an si elle est retenue parmi les candidats officiels.   »Ce serait une formidable opportunité pour la France tout entière d’être au rendez-vous de 2024. Mais nous savons qu’il y a des étapes à franchir », a déclaré le président français devant la presse au siège du CIO, à Lausanne. « Dans toute compétition, il y a des règles et il convient de les respecter », a-t-il ajouté, au terme d’un entretien avec Thomas Bach, en compagnie du champion olympique Tony Estanguet, membre du comité international.  La candidature de Paris sera « une candidature très, très forte », a dit Thomas Bach.   »La France a beaucoup à offrir au mouvement olympique », a-t-il ajouté, rappelant le renouveau de l’olympisme initié par le Français Pierre de Coubertin en 1924.  Le président du CIO a évoqué une « candidature exemplaire » et salué le souci de la France de protéger l’environnement.   »Si elle continue dans cet esprit, vous avez tous les atouts », a-t-il ajouté. « Bonne chance à la France. »

 

Immobilier : « faire le ménage dans la profession » (J-F Buet président FNAIM)

Immobilier : «  faire le ménage dans la profession » (J-F Buet président FNAIM)

 

Dans une interview au Figaro le président de la FNIM estime qu’il faut faire le ménage dans les agences qui facturent notamment trop de frais en matière de location.

 

Vous avez réagi fin mars à la publication d’une étude de l’association CLCV selon laquelle plus de 40 % des agences immobilières ne respectent pas les nouveaux plafonds pour les honoraires de location. Pourquoi?

Jean-François Buet, président de la Fnaim - La loi Alur plafonne les honoraires de location que peuvent facturer les agences immobilières aux locataires. Elle est entrée en vigueur, il faut l’appliquer. Le consommateur attend une attitude irréprochable de la part des professionnels. J’incite donc nos adhérents à respecter et à se mettre en conformité avec ces nouvelles obligations et condamne fermement le non-respect de la loi. Sinon c’est un signe d’incompétence, voire de malhonnêteté. Il en va de la crédibilité de la profession.

Sur quels points voulez-vous voir la profession faire des progrès? Qu’est-ce qui vous agace le plus?

Quand on regarde les devantures de certaines agences immobilières, on ne peut que regretter le manque d’informations obligatoires pour le consommateur. Je vois encore, par exemple, trop de mentions «DPE en cours», alors que le diagnostic de performance énergétique est obligatoire.

Etes-vous prêt à prendre des sanctions?

Oui, je le ferai. Quand tous les décrets que l’on attend encore sur la loi Alur seront publiés, je suis prêt à exclure certains s’ils ne respectent pas les honoraires de location, l’incompétence de quelques-uns ne doit pas rejaillir sur tous. C’est à nous de faire le ménage chez nous, c’est ce que fait l’ordre des médecins dans son domaine, nous voulons avoir ce rôle et c’est pour cela que nous avons souhaité rendre la formation continue obligatoire et élaborer un code d’éthique. Un décret de la loi Alur devrait d’ailleurs préciser avant l’été les obligations de formation continue qu’il faudra respecter pour faire renouveler sa carte professionnelle d’agent immobilier.

 

Le pape demande aux mafieux de se repentir : ça va faire du monde

Le pape demande aux mafieux de se repentir : ça va faire du monde

Sympa ce pape François, en tout cas pas trop conventionnel et naïf à la fois ; Surtout en demandant aux mafieux de se repentir. Notamment ceux de mafia. Au-delà il vise « ceux qui exploite les pauvres et les faibles avec cynisme ». bref c’est la condamnation du système capitaliste ( c’est pas nouveau dans l’église catholique, qui condamne mais…) . Mais si tous les mafieux de la terre entière se précipitent , il va y avoir la queue devant les confessionnaux, ceux qui exploitent par exemple les travailleurs d’Asie pour 1 euros par jour pour 12 heures de travail ( quand il sont payés comme ces Malaisiens en situation d’esclavage en Thaïlande). Bref la plupart des 10% de riches qui possèdent la moitié de la richesse mondiale. Le pape François a lancé un premier appel  samedi les membres de la Camorra, la mafia napolitaine, à renoncer aux crimes, aux violences et à « sécher les larmes des mères de Naples » lors d’une visite dans l’un des quartiers les plus violents de la ville gangrené par le trafic de drogue. Le souverain pontife s’est rendu dans le quartier de Scampia et a visité un projet immobilier laissé à l’abandon connu sous le nom de Le Vele, endroit si dangereux que la police hésite parfois à y pénétrer. Le pape s’est adressé aux habitants de ce quartier défavorisé et les a appelés à ne pas se laisser voler l’espoir d’une vie meilleure par les bandes rivales qui s’affrontent régulièrement pour y contrôler le trafic de drogue et les activités de racket. A Scampia où le chômage dépasse 40%, il a écouté les témoignages d’une immigrante philippine et d’un Italien sans emploi qui lui ont fait part de leurs difficultés. Il a aussi discuté avec un magistrat qui lui a parlé « de la délinquance juvénile, du désespoir et de la mort » dans cette partie de la ville. Le Saint-Père s’est ensuite rendu dans le centre de Naples où il a célébré une messe et a demandé aux Napolitains « de réagir fermement face aux organisations qui exploitent et corrompent la jeunesse, qui exploitent les faibles et les pauvres avec cynisme ». « Aux criminels et à tous leurs complices, je vous répète aujourd’hui humblement en tant que frère: convertissez-vous à l’amour et à la justice. Il est possible de retrouver l’honnêteté. Les larmes des mères de Naples vous le demandent », a-t-il lancé. François a rappelé que les membres du crime organisé s’excommuniaient eux-mêmes de l’Eglise catholique mais, a-t-il ajouté, ils seront les bienvenus s’ils se repentent. « Il y a tant de corruption dans le monde ! J’ai l’espoir que vous ayez le courage de nettoyer cette ville et de nettoyer cette société afin de la débarrasser de la puanteur de la corruption », a-t-il dit.

 

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