Archive pour le Tag 'faible'

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Terrorisme-France : une cible facile parce qu’elle est faible

Terrorisme-France : une cible facile parce qu’elle  est faible

 

Il y a sans doute plusieurs facteurs explicatifs pour comprendre pourquoi certains pays islamiques ont pris la France comme cible. Certains expliquent que la France est en pointe en matière de démocratie dans le monde et que cette démocratie vient contrarier l’idéologie autoritaire islamique en vigueur dans nombre de pays musulmans.

D’autres pays ne sont pas moins démocratiques. Si la France constitue une des cibles principales du terrorisme islamique, c’est surtout en raison du décalage entre son discours et son action. En clair, la France est d’une faiblesse coupable. En effet, Macron,  lui aussi pour redorer son image au plan intérieur, ne cesse d’être en pointe sur les questions internationales sur lesquels en réalité il a peu de prise. Ainsi on voit bien aujourd’hui l’impossible position dans laquelle se trouve la force barkhane  au Mali où le pouvoir militaire actuel négocie avec les terroristes dans le dos de la France. Même faiblesse en Libye, en Syrie ou face aux Turcs. En Libye comme en Syrie la France a été mise hors jeu. Au Liban, Macron a voulu imposer son plan de redressement du pays avec la mise à l’écart de la classe politique. Un échec total aussi puisque le nouveau premier ministre est un cheval de retour.

En Europe, Macon se considère comme le leader politique mais dans les faits il n’obtient strictement rien car c’est évidemment l’Allemagne et Merkel qui discrètement décident des principales orientations. La France parle mais l’Allemagne agit par exemple à propos du conflit entre la Turquie et la Grèce en Méditerranée. La vérité, c’est que la France est faible, que son président est faible et que la politique française se résume à des bavardages médiatiques sans effet géo politiques positifs . La politique de sécurité intérieure est indigente ,elle permet en même temps le développement de l’islamisme et de l’économie de drogue.

La politique étrangère est tout aussi inconsistante puisqu’on est incapable de fermer les frontières ou d’imposer des sanctions économiques à ceux qui nous attaquent. La responsabilité en incombe à toute une classe politique depuis 30 ou 40 ans mais Macron porte une responsabilité particulière avec son verbe haut que contredit la faiblesse de son action voir sa couardise. Un seul exemple, ce service national qui devait être rétabli qui en définitive n’est pas obligatoire, pas militaire, pas même utile alors qu’il devait concerner une grande partie de la jeunesse justement pour permettre me brassage démocratie et l’appropriation des valeurs républicaines. La mollesse de Macron dans tous les domaines ( économique, social, sécuritaire, sanitaire ou encore environnementale- voir à cet égard la comédie de la convention dite citoyenne)  constitue une véritable catastrophe pour le pays radicaux islamiques se font un plaisir de marcher sur ce ventre mou.

France : une cible facile parce qu’elle est faible

France : une cible facile parce qu’elle  est faible

 

Il y a sans doute plusieurs facteurs explicatifs pour comprendre pourquoi certains pays islamiques ont pris la France comme cible. Certains expliquent que la France est en pointe en matière de démocratie dans le monde et que cette démocratie vient contrarier l’idéologie autoritaire islamique en vigueur dans nombre de pays musulmans.

D’autres pays ne sont pas moins démocratiques. Si la France constitue une des cibles principales du terrorisme islamique, c’est surtout en raison du décalage entre son discours et son action. En clair, la France est d’une faiblesse coupable. En effet, Macron,  lui aussi pour redorer son image au plan intérieur, ne cesse d’être en pointe sur les questions internationales sur lesquels en réalité il a peu de prise. Ainsi on voit bien aujourd’hui l’impossible position dans laquelle se trouve la force barkhane  au Mali où le pouvoir militaire actuel négocie avec les terroristes dans le dos de la France. Même faiblesse en Libye, en Syrie ou face aux Turcs. En Libye comme en Syrie la France a été mise hors jeu. Au Liban, Macron a voulu imposer son plan de redressement du pays avec la mise à l’écart de la classe politique. Un échec total aussi puisque le nouveau premier ministre est un cheval de retour.

En Europe, Macon se considère comme le leader politique mais dans les faits il n’obtient strictement rien car c’est évidemment l’Allemagne et Merkel qui discrètement décident des principales orientations. La France parle mais l’Allemagne agit par exemple à propos du conflit entre la Turquie et la Grèce en Méditerranée. La vérité, c’est que la France est faible, que son président est faible et que la politique française se résume à des bavardages médiatiques sans effet géo politiques positifs . La politique de sécurité intérieure est indigente ,elle permet en même temps le développement de l’islamisme et de l’économie de drogue.

La politique étrangère est tout aussi inconsistante puisqu’on est incapable de fermer les frontières ou d’imposer des sanctions économiques à ceux qui nous attaquent. La responsabilité en incombe à toute une classe politique depuis 30 ou 40 ans mais Macron porte une responsabilité particulière avec son verbe haut que contredit la faiblesse de son action voir sa couardise. Un seul exemple, ce service national qui devait être rétabli qui en définitive n’est pas obligatoire, pas militaire, pas même utile alors qu’il devait concerner une grande partie de la jeunesse justement pour permettre me brassage démocratie et l’appropriation des valeurs républicaines. La mollesse de Macron dans tous les domaines ( économique, social, sécuritaire, sanitaire ou encore environnementale- voir à cet égard la comédie de la convention dite citoyenne)  constitue une véritable catastrophe pour le pays radicaux islamiques se font un plaisir de marcher sur ce ventre mou.

Déficit commercial États-Unis : plus faible en juin

Déficit commercial États-Unis : plus faible en juin

 

 

Le déficit commercial des Etats-Unis s’est réduit en juin après plusieurs mois d’augmentation grâce à un rebond des exportations qui suggère une amélioration de la demande avec l’assouplissement des mesures prises pour freiner la propagation du coronavirus. Cependant le commerce international des États-Unis pourrait être perturbé en juillet du fait de la progression incontrôlée du Coronavirus.

Le déficit commercial est tombé à 50,7 milliards de dollars contre 54,8 milliards de dollars le mois précédent, montrent les données publiées mercredi par le département du Commerce.

Les économistes interrogés par Reuters attendaient pour le mois de juin un déficit à 50,1 milliards de dollars.

Inflation trop faible ? – FED

Inflation trop faible ? – FED

Le vice-président de la FED  (réserve fédérale américaine s’inquiète de la faiblesse d’une inflation qui serait nuisible à l’économie américaine). En clair cela signifierait pour lui que la demande est insuffisante pour alimenter une hausse des prix satisfaisantes.

On peut quand même douter de la mollesse de l’inflation dans les jours à venir surtout à moyen et long terme dans la mesure où chaque banque centrale a inondé le marché de liquidités en décalage forcément avec la richesse nationale et dont le rééquilibrage devrait  avoir lieu à travers notamment les parités monétaires et l’inflation. Peut-être s’agit-il pour le vice-président de la Fed d’une invitation à accroître encore la politique accommodante de la banque centrale. Notamment pour augmenter encore considérablement la masse monétaire et peut-être aussi faire baisser artificiellement le dollar handicapé par ailleurs par des questions de compétitivité  structurelle.

La crise du coronavirus tire l’inflation américaine vers le bas, a averti mardi le vice-président de la Réserve fédérale Richard Clarida, ce qui suggère que l’économie américaine pourrait avoir besoin d’une aide supplémentaire de la banque centrale et du Congrès pour se rétablir complètement.

Les anticipations d’inflation, déjà faibles au début de la récession en février dernier, “risquent de tomber en deçà” d’une fourchette cohérente avec l’objectif d’inflation de 2% de la Fed, a déclaré Clarida dans des notes préparées pour une intervention devant la Foreign Policy Association à New York.

“Je défendrai avec la plus haute priorité des politiques destinées non seulement à obtenir le maximum d’emploi, mais aussi des anticipations d’inflation bien ancrées cohérentes avec notre objectif”, a-t-il ajouté.

Les responsables de la Fed, dont son président Jerome Powell, insistent sur la nécessité de lutter contre le chômage massif provoqué par la crise liée à la pandémie de coronavirus.

Mais les remarques de Clarida suggèrent que le poids que pourrait exercer une inflation trop faible sur la croissance est également une préoccupation de la banque centrale, qui explique son programme de soutien sans précédent à l’économie.

Le retour à une économie saine prendra “du temps”, a ajouté Richard Clarida, faisant écho aux propos tenus dans le même temps par Powell, qui a répété devant le Congrès que la reprise aux Etats-Unis ne sera complète que lorsque les Américains seront convaincus que le nouveau coronavirus est sous contrôle.

SONDAGE Coronavirus : une confiance très faible

SONDAGE Coronavirus : une confiance très faible

selon un sondage publié lundi par BVA pour Europe 1 et Orange*. « La confiance des Français à l’égard de la façon dont le gouvernement gère la crise reste minoritaire » écrit BVA. Seulement 35% des Français se déclarent confiants dans l’action de l’exécutif contre 37% vendredi.

A ce chiffre de la confiance dans l’action du gouvernement s’ajoute celui de la « confiance à l’égard de la qualité des informations reçues de la part des pouvoirs publics », qui est également bas (39%).

Le sondage de l’institut BVA met aussi en lumière le fait que la confiance est très inégale entre les personnes actuellement en télétravail et celles qui continuent de travailler dans les mêmes conditions qu’avant le confinement. 43% des salariés en télétravail se déclarent « confiants » contre 29% pour les autres ; des chiffres qui mettent en exergue « les inégalités face au travail », affirme BVA.

*Enquête barométrique en continu réalisée par Internet, entre le 18 et le 20 avril, auprès d’un échantillon représentatif de 1.000 Français âgés de 18 ans et plus, selon la méthode des quotas et le principe du roll-up.

Coronavirus Royaume Uni : Faible hausse des morts

Coronavirus Royaume Uni : Faible hausse des morts

596 morts de plus en 24 heures dans les hôpitaux du Royaume-Uni, soit un total quotidien qui est au plus bas depuis près de deux semaines, selon des chiffres publiés dimanche, susceptibles de nourrir l’espoir que la propagation de la maladie a atteint un pic.

Avec cette nouvelle hausse, la plus faible depuis le 6 avril, le nombre de décès liés au coronavirus atteint 16.060, soit le cinquième bilan le plus lourd au monde derrière les Etats-Unis, l’Italie, l’Espagne et la France.

Les chiffres publiés le week-end sont généralement inférieurs à ceux annoncés dans la semaine. Entre jeudi et samedi, le bilan mortuaire quotidien est resté supérieur à 800.

Les données britanniques ne prennent pas en compte, contrairement à d’autres pays, les statistiques d’établissements de soins hors hôpitaux, ce qui laisse entrevoir un vrai bilan beaucoup plus lourd.

Selon le National Care Forum, une organisation qui représente des établissements de soins de ville, 2.500 personnes y sont mortes du coronavirus pendant la semaine au 13 avril.

Sur les 372.967 tests effectués, 120.067 se sont avérés positifs.

Coronavirus : la Banque d’Angleterre suit la faible FED , on attend la BCE!

Coronavirus : la Banque d’Angleterre suit la faible FED , on attend la BCE!

 

Alors que la plupart des banques centrales ont déjà réagi avec d’ailleurs des mesures qui ne parviennent encore pas à rassurer les opérateurs économiques et financiers, la BCE, elle est encore figée sans doute par la philosophie allemande tant en matière monétaire que budgétaire. Côté britannique en tout cas on a décidé de suivre la faible la FED. La BoE emboîte le pas de la Réserve fédérale américaine (Fed) qui a déjà annoncé la semaine dernière une baisse des taux sans attendre sa réunion régulière, afin de soutenir l’activité et de rassurer des marchés affolés par l’avancée de l’épidémie de coronavirus.

La Banque centrale européenne (BCE) doit quant à elle dévoiler son dispositif jeudi à l’issue de sa réunion.

Dans son communiqué, la BoE s’attend à un « choc économique qui pourrait être vif et important mais devrait être temporaire », expliquant que les PME vont être particulièrement affectées, tant par les perturbations des chaînes d’approvisionnement que par une demande plus faible.

Ces mesures spectaculaires sont annoncées par la BoE quelques heures avant la présentation par le gouvernement britannique de son premier budget post-Brexit.

Le ministre des Finances Rishi Sunak, en poste depuis un mois, doit prendre la parole à 12H30 GMT devant le Parlement et devrait dévoiler des milliards de livres de dépenses supplémentaires pour soutenir l’économie.

Alerte sur la croissance mondiale la plus faible en dix ans

Alerte sur la  croissance mondiale la plus faible en dix ans

Sans doute pour ne pas désespérer Billancourt et surtout la bourse l’OCDE acte le fait que la croissance économique mondiale va encore chuter en 2019 et 2020 mais que la reprise pourrait intervenir en 2021. Un optimisme qui ne repose strictement rien dans la mesure où les facteurs explicatifs du ralentissement actuel sont liés non seulement à des éléments conjoncturels mais aussi à des facteurs structurels qui touchent toutes les zones économiques. La plus touchée est sans doute, la Chine dont la croissance est très affaiblie par le ralentissement des échanges mondiaux qui malheureusement n’est pas compensée suffisamment par une reprise de la consommation intérieure et par les d’investissements. la chine aussi affrontée  à une crise de l’endettement sans précédent qui globalement représente à peu près 300 % de son PIB. Les États-Unis vont voir aussi la croissance réduite de moitié en raison notamment des droits de douane concernant aussi bien la Chine que d’autres zones comme l’Europe. Cette dernière région est particulièrement affaiblie par le tassement de l’activité en Allemagne dont les exportations s’écroulent. Pour éviter la crise, les banques centrales ont  déversé des liquidités partout augmentant les risques de  bulles : obligataires, immobilières et mobilières. Le décalage entre l’économie réelle et la valeur des monnaies  a rarement été aussi important. Un réajustement se fera nécessairement le moment venu et se traduira par un écoulement de la valeur des monnaies. Comme en septembre dernier, l’OCDE s’inquiète donc des tergiversations des gouvernements face à la réponse à apporter aux défis actuels, du changement climatique à la digitalisation de leurs économies en passant par le nouvel ordre mondial qui a émergé après la chute du communisme.

“Ce serait une erreur politique de considérer ces changements comme des facteurs temporaires qui peuvent être résolus avec une politique monétaire ou fiscale”, écrit Laurence Boone, chef économiste de l’OCDE dans le rapport. “En l’absence d’orientations politiques claires” sur ces défis, “l’incertitude persistera” et les perspectives de croissance en seront affectées.

Dans le détail, l’OCDE prévoit une croissance économique de 2,3% cette année – contre 2,4% prévu précédemment – aux Etats-Unis, et de 6,2% – contre 6,1% évoqué en septembre – pour la Chine. Les tensions commerciales devraient toutefois ralentir la croissance de la deuxième économie mondiale en 2020 et 2021, avec respectivement 5,7% et 5,5%.

Pour la zone euro, l’OCDE table sur une croissance de 1,2% en 2019, de 1,1% en 2020 et de 1,2% en 2021. La relance par la Banque centrale européenne (BCE) de son programme d’achat d’actifs n’aura qu’un impact limité si les pays de la zone euro ne se mobilisent pas davantage pour relancer les investissements, prévient l’institution.

Pour la France, l’OCDE reste sur ses prévisions de septembre, avec une croissance de 1,3% en 2019 et de 1,2% en 2020. En revanche, elle revoit à la hausse celles concernant le Royaume-Uni, à 1,2% en 2019 (contre 1% en septembre), 1% en 2020 (contre 0,9%) et 1,2% en 2021. Des prévisions pour 2021, voir 2020 assez hypothétiques et destinés à rassurer les acteurs économiques et les gouvernements.

Journée d’action des syndicats : faible mobilisation

Journée d’action des syndicats : faible mobilisation

 

 

Finalement la journée d’action des syndicats ce mardi n’aura pas mobilisé davantage de monde que lors  du 5 février. Pourtant cette fois le mouvement était lancé non seulement par la CGT mais aussi par FO ainsi que Solidaires, la FSU, l’Unef et l’UNL. Le nombre de grévistes a été relativement insignifiant sauf 10 à 15 % parfois dans l’enseignement et le nombre de manifestants se situe dans une fourchette de 131 000 pour le ministère de l’intérieur et de 350 000 pour la CGT. À Paris, 17.500 personnes ont battu le pavé, selon le pointage du cabinet indépendant Occurrence pour un collectif de médias, contre 50.000 selon la centrale de Montreuil. Une journée d’actions également peu suivie en province avec 5000 manifestants – dont 200 «gilets jaunes» – enregistrés à Marseille par la police, 5000 à Lyon, 4200 à Bordeaux ou 2500 à Montpellier. Le faible succès de cette opération tient sans doute au caractère un peu tout des revendications qui concernaient des salariés, les retraités, les lycéens et les étudiants. Les syndicats majoritaires (notamment la CFDT) avait refusé de se joindre à cette journée. Après ce  relatif échec, se pose évidemment l’avenir des syndicats dont l’audience ne cesse de diminuer tant en ce qui concerne la syndicalisation que la participation aux mouvements revendicatifs nationaux. La responsabilité n’en incombe peut-être pas entièrement aux syndicats mais aussi au patronat et au gouvernement qui ont tendance à faire l’impasse sur ces corps intermédiaires. Ce qui d’une certaine façon alimente les mouvements spontanés comme ceux des gilets jaunes. Pas sûr cependant qu’on y gagne en démocratie et en efficacité économique et sociale.

Chine: L’inflation très faible en raison de la croissance

Chine: L’inflation très faible en raison de la croissance

 

Le tassement de la croissance économique en Chine semble clairement se confirmer avec un affaiblissement du commerce international aussi bien des exportations que des importations. Du coup, les prix se montrent particulièrement sages, les prix à la production comme les prix à la consommation. La hausse des prix à la production en Chine est restée stable en février, à son plus bas niveau depuis septembre 2016, tandis que la hausse des prix à la consommation a ralenti à son rythme le plus faible depuis un an, soulignant la morosité de la demande intérieure. Ces mouvements suggérant une déflation pourraient inciter le gouvernement à pendre des mesures de soutien à l’économie plus dynamiques, alors que la croissance a connu l’année dernière son plus important ralentissement en près de 30 ans.L’indice des prix à la production (PPI) n’a augmenté que de 0,1% sur un an en février, montrent les statistiques officielles publiées samedi, au même rythme annuel qu’en janvier alors que les économistes interrogés par Reuters anticipaient en moyenne un ralentissement moins net, à 0,2%.D’un mois sur l’autre, les prix à la production ont baissé de 0,1% après un recul de 0,6% en janvier. Il s’agit de leur quatrième mois consécutif de baisse en rythme mensuel.Parallèlement, les prix des matières premières ont diminué de 1,5% le mois dernier en rythme annuel.Selon les données des douanes chinoises publiées plus tôt dans la semaine, les exportations chinoises ont connu en février leur plus net recul en trois ans et les importations ont chuté pour un troisième mois consécutif.Les données du Bureau national de la statistique (BNS) publiées samedi montrent que l’indice des prix à la consommation (CPI) a augmenté de 1,5% en février en rythme annuel, en deçà de sa progression sur un an en janvier (+1,7%) et à son rythme le plus faible depuis janvier 2018.

Macron : un président a fort intellect mais à faible intelligence

 

 

Les grands médias habitués aux sentences réductrices considèrent en général que le président de la république est intelligent. C’est évidemment confondre l’intellect et l’intelligence. L’intellect est une capacité à enregistrer des connaissances tandis que l’intelligence est la capacité de résoudre une question ou un problème. Au fond, Macron est un exceptionnel répétiteur de leçons et de mode. Une sorte d’éponge qui absorbe l’enseignement dispensé et qui le restitue sans modification quand on la presse. En fait, l’archétype de l’énarque comme l’ont prouvé différentes évaluations de cette institution dont les élèves se caractérisent par un grand déficit de créativité et de contestation des choses établies. Par contre, la capacité de Macron à régler des problèmes complexes à dimension systémique est assez insignifiante. Finalement, Macon reprend les vieilles recettes de l’ultra libéralisme et confie au seul marché le soin de résoudre non seulement les problèmes économiques mais aussi sociaux voire sociétaux. (Voir par exemple la question du climat envisagé essentiellement sous l’angle de la fiscalité voir aussi la manière dont le rapport de Borloo sur les banlieues a été jeté aux orties). S’ajoutent à ces déficiences de Macron, son absence de formation dans le domaine économique puisque son cursus est essentiellement littéraire. L’intelligence suppose évidemment de prendre en compte les aspects technologiques mais également les dimensions humaines qui vont gérer, utiliser, bénéficier ou subir ces évolutions techniques. Cela suppose un minimum de vécu et pas simplement une culture livresque. Un vécu dans le monde réel des Français et non dans le monde confiné des salons parisiens dont la réassurance identitaire est fondée sur la répétition en boucle des tares du peuple. Tout dans la posture de Macron démontre cette grande insuffisance d’intelligence. Pour preuve, il ne sait pas écouter. Pour preuve, il ne sait s’exprimer que de manière professorale un peu comme un évangéliste mais de façon mécanique sans aucune humanité. On ne sent pas chez Macron la moindre ouverture sur l’autre. C’est l’égocentrisme porté au plus haut niveau. Notons par exemple le nombre de « «  ou de « je » dans ses discours. Quand les médias auront compris qu’il y a une grande différence entre l’intellect et l’intelligence, on aura peut-être fait un progrès en France pour comprendre et éventuellement modifier la sociologie politique.

Laurent Wauquiez sur France 2. : Une audience encore plus faible que Le Pen et Mélenchon !

Laurent Wauquiez sur France 2. : Une audience encore plus faible que Le Pen et Mélenchon !

Laurent Wauquiez, président du parti Les Républicains, comptait bien sur «l’Emission politique» sur France 2 pour  préparer la grande réunion du parti de samedi, le premier conseil national depuis son élection. Malheureusement pour lui l’audience de l’émission télévisée a été catastrophique. Pas vraiment étonnant car l’intéressé n’est guère charismatique ni même très compétent sans parler de ses position ultra droitières très proches du Front National.  Seulement 1,49 million de téléspectateurs ont suivi sa prestation, ce qui représente seulement 6,8 % de PDA. À titre de comparaison, le premier ministre Edouard Philippe avait rassemblé 3,16 millions de téléspectateurs et Jean-Luc Mélenchon 2,05 millions de personnes. Avant l’émission de jeudi soir, c’était Marine Le Pen qui avait fait le moins bon score, avec 1,74 million de téléspectateurs. Une intronisation médiatique pour Laurent Wauquiez qui n’a pas vraiment été une réussite mais qui correspond à son image très dégradée comme le révèle  un sondage Odoxa-Dentsu Consulting pour franceinfo et Le Figaro. Seuls 41% des sondés trouvent compétent le nouveau président du parti Les Républicains, contre 57% qui le jugent incompétent. Laurent Wauquiez n’apparaît sympathique que pour 37% des Français, contre 61% qui ne lui prêtent pas cette qualité. C’est une perte de quatre points à chaque fois, par rapport au dernier sondage réalisé le 7 décembre dernier. Le président de la région Auvergne-Rhône-Alpes n’est jugé honnête que par 34% des sondés, contre 64%, soit un peu plus de six personnes sur dix qui le trouvent malhonnête. Laurent Wauquiez perd là deux points d’opinion positive par rapport au mois de décembre 2017. Une personne sur deux estime que le président du parti Les Républicains imite le Front national : 51% des sondés le pensent contre 47%, soit une augmentation de trois points, si l’on se réfère au sondage précédent du 7 décembre.

 

*L’enquête a été réalisée auprès d’un échantillon de Français interrogés par Internet, les 24 et 25 janvier 2018. Il s’agit d’un échantillon de 980 personnes représentatif de la population française âgée de18 ans et plus, parmi lesquelles 202 sympathisants de gauche, 150 sympathisants LREM, 105 sympathisants LR, et 156 sympathisants du FN. La représentativité de l’échantillon est assurée par la méthode des quotas.

États-Unis : la faible inflation fait douter de la croissance

États-Unis : la faible inflation fait douter de la croissance

 

La faible inflation constatée aux États-Unis fait douter de la croissance et même de la pertinence du processus en cours concernant la remontée des taux par la Fed. Le Fmi avait d’ailleurs anticipé le tassement de la croissance. Il a abaissé récemment  ses prévisions de croissance pour les Etats-Unis pour la première fois depuis l’élection de Donald Trump, pointant les incertitudes persistantes autour de son plan de relance économique.
Le Fonds monétaire international estime ainsi que le produit intérieur brut (PIB) américain avancera de seulement 2,1% cette année et en 2018 alors qu’il prévoyait respectivement 2,3% et 2,5% en avril, selon son nouveau rapport annuel sur les Etats-Unis.
« Cela reflète pour une large part l’incertitude sur les mesures macro-économiques qui seront mises en place dans les prochains mois », explique le Fonds. En 2019, l’expansion devrait se tasser à 1,9%, très loin des 3% que le président américain assure pouvoir atteindre. Le FMI juge aussi que le modèle économique américain ne fonctionne plus « aussi bien » qu’il devrait, générant une croissance qui suscite trop d’inégalités. Depuis la crise financière de 2008, les Etats-Unis connaissent certes une expansion économique continue – la troisième plus longue depuis 1850 – mais qui s’est révélée « trop faible et trop inégale », estime le FMI. Comme de nombreux autres pays développés, l’économie américaine fait face à « des changements séculaires » allant des ruptures technologiques, qui demandent une forte adaptation des travailleurs, au vieillissement de la population. Ces changements ont un impact sur le niveau de vie des Américains. « Les revenus des ménages stagnent pour une grande partie de la population », note le Fonds, ajoutant que même si le taux de chômage ne devrait pas dépasser 4,3% en 2017 et 2018, « les offres d’emplois se détériorent pour nombre de travailleurs, trop découragés pour continuer à chercher du travail ». Le pays accuse aussi un des taux de pauvreté les plus élevés parmi les pays riches (13,5%). Sur les projets de réformes de l’administration Trump, le FMI reconnaît que le système fiscal devrait être simplifié mais insiste pour qu’il « réduise les inégalités des revenus » et suggère d’augmenter les recettes de l’Etat par l’institution d’une taxe carbone et d’un relèvement des taxes sur les hydrocarbures, des mesures qui ont très peu de chances de trouver un écho favorable à Washington. Sur le plan du commerce, alors que l’administration Trump est tentée par des mesures protectionnistes, le FMI admet qu’il y a « une marge » pour améliorer les accords commerciaux y compris celui de l’Aléna avec le Mexique et le Canada, dont la renégociation va bientôt commencer. Mais il ajoute que les Etats-Unis « auraient intérêt à rester ouverts ». Alors que le dollar apparaît « modérément surévalué » (de 10% à 20%), la banque centrale (Fed) devrait « continuer à relever graduellement les taux d’intérêt » au vu des données économiques, affirme par ailleurs le FMI. Mais elle devrait être prête à supporter que l’inflation dépasse un peu sa cible de 2%. Une inflation qui stagne pourtant.  Les prix à la consommation aux Etats-Unis ont été inchangés en juin, le coût de l’essence et des services de téléphonie mobile ayant encore baissé, selon les statistiques officielles publiées vendredi susceptibles de remettre en question le rythme de hausse des taux de la Réserve fédérale. L’indice des prix à la consommation (CPI) du département du Travail a été virtuellement inchangé le mois dernier après une petite baisse de 0,1% en mai. L’absence de rebond de l’inflation pourrait inquiéter certains membres de la Fed qui avaient jugé précédemment que la modération de l’inflation était un phénomène passager. Sur les 12 mois à juin, le taux d’inflation ressort à 1,6%, son niveau le plus bas depuis octobre 2016, contre 1,9% en mai. L’inflation faiblit depuis le taux de 2,7% atteint en février.  Le dollar a accentué ses pertes face à un panier de devises de référence et le rendement des Treasuries à 10 a baissé en réaction à cette statistique, ainsi qu’à celle des ventes de détails, également décevante.

Compétitivité : temps de travail trop faible en France

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  • Au moins l’équivalent d’un mois de congés en plus pour la France par rapport à ses principaux concurrents. Avec 4 jours de congés en plus, les Français devraient encore améliorer leur record de faible temps de travail. Il y a  en effet en 2017 six week-ends de trois jours.  La Fête du travail (1er mai), le 8 mai, la Fête nationale (14 juillet), et le jour de Noël tombent, en effet, soit un lundi, soit un vendredi. Au total, avec le lundi de Pâques (17 avril), celui de Pentecôte (5 juin) et le jeudi de l’Ascension (25 mai), on dénombre ainsi six week-ends de trois jours, et, éventuellement, deux week-ends de quatre jours avec l’Assomption qui tombe un mardi. La France va donc demeurer le pays où l’on travaille le moins en Europe.  Un sujet presque tabou : la durée réelle de travail des français, la plus faible d’Europe. Ce qui explique notamment l’insuffisance de compétitivité, la faiblesse de la croissance, le taux de chômage et le haut niveau des dépenses de protection sociale même si d’autres facteurs explicatifs sont à prendre en compte comme le poids et le coût de l’administration Les salariés français à temps complet ont en moyenne travaillé en 2015 moins que leurs collègues européens selon une étude de l’institut Coe-Rexecode publiée mercredi 15 juin. La durée effective annuelle moyenne de travail des salariés à temps complet en France (déduction faites des congés, RTT, arrêts maladie indemnisés…) était en 2015 de 1.646 heures, en recul de 14 heures par rapport en 2013, écrit la société de recherches économiques proche du patronat, en effectuant son propre calcul sur la base de données fournies par l’office européen de statistiques Eurostat. Cette moyenne est « la plus faible des 28 pays de l’Union européenne », la France passant en 2015 derrière la Finlande. Le pays où les salariés à temps complet travaillent le plus est la Roumanie (2.080 heures). L’écart est de 199 heures avec l’Allemagne et de 228 heures avec le Royaume-Uni. Avec nos voisins latins, Italie et Espagne, il est respectivement de 130 et 165 heures. Avec l’Allemagne, le fossé s’est creusé de 13 heures en deux ans, essentiellement en raison d’absences pour congés annuels et RTT plus élevées, alors qu’il s’était resserré entre 2010 et 2013, explique Coe-Rexecode. A l’échelle de la France, les durées annuelles effectives de travail varient selon les secteurs: industrie (1.649 heures), construction (1.665), services marchands (1.718 heures). Dans les services non marchands (administration publique notamment, santé humaine et action sociale), elle est sensiblement plus faible (1.569 heures). Du coup les informations données par le ministère du travail relatives à la seule durée hebdomadaire sont à relativiser. Les salariés à temps complet travaillaient en moyenne 39,1 heures par semaine en 2015, selon les données du ministère du Travail. Ils dépassaient donc la durée légale hebdomadaire, fixée depuis 2002 à 35 heures, pour retrouver le niveau des années 2005-2006, en reflux par rapport aux 39,5 heures atteintes en 2011 à l’apogée du dispositif de défiscalisation des heures sup.

Compétitivité : temps de travail trop faible en France

Compétitivité : temps de travail trop faible en France

 

Au moins l’équivalent d’un mois de congés en plus pour la France par rapport à ses principaux concurrents. Avec 4 jours de congés en plus, les Français devraient encore améliorer leur record de faible temps de travail. Il y a  en effet en 2017 six week-ends de trois jours.  La Fête du travail (1er mai), le 8 mai, la Fête nationale (14 juillet), et le jour de Noël tombent, en effet, soit un lundi, soit un vendredi. Au total, avec le lundi de Pâques (17 avril), celui de Pentecôte (5 juin) et le jeudi de l’Ascension (25 mai), on dénombre ainsi six week-ends de trois jours, et, éventuellement, deux week-ends de quatre jours avec l’Assomption qui tombe un mardi. La France va donc demeurer le pays où l’on travaille le moins en Europe.  Un sujet presque tabou : la durée réelle de travail des français, la plus faible d’Europe. Ce qui explique notamment l’insuffisance de compétitivité, la faiblesse de la croissance, le taux de chômage et le haut niveau des dépenses de protection sociale même si d’autres facteurs explicatifs sont à prendre en compte comme le poids et le coût de l’administration Les salariés français à temps complet ont en moyenne travaillé en 2015 moins que leurs collègues européens selon une étude de l’institut Coe-Rexecode publiée mercredi 15 juin. La durée effective annuelle moyenne de travail des salariés à temps complet en France (déduction faites des congés, RTT, arrêts maladie indemnisés…) était en 2015 de 1.646 heures, en recul de 14 heures par rapport en 2013, écrit la société de recherches économiques proche du patronat, en effectuant son propre calcul sur la base de données fournies par l’office européen de statistiques Eurostat. Cette moyenne est « la plus faible des 28 pays de l’Union européenne », la France passant en 2015 derrière la Finlande. Le pays où les salariés à temps complet travaillent le plus est la Roumanie (2.080 heures). L’écart est de 199 heures avec l’Allemagne et de 228 heures avec le Royaume-Uni. Avec nos voisins latins, Italie et Espagne, il est respectivement de 130 et 165 heures. Avec l’Allemagne, le fossé s’est creusé de 13 heures en deux ans, essentiellement en raison d’absences pour congés annuels et RTT plus élevées, alors qu’il s’était resserré entre 2010 et 2013, explique Coe-Rexecode. A l’échelle de la France, les durées annuelles effectives de travail varient selon les secteurs: industrie (1.649 heures), construction (1.665), services marchands (1.718 heures). Dans les services non marchands (administration publique notamment, santé humaine et action sociale), elle est sensiblement plus faible (1.569 heures). Du coup les informations données par le ministère du travail relatives à la seule durée hebdomadaire sont à relativiser. Les salariés à temps complet travaillaient en moyenne 39,1 heures par semaine en 2015, selon les données du ministère du Travail. Ils dépassaient donc la durée légale hebdomadaire, fixée depuis 2002 à 35 heures, pour retrouver le niveau des années 2005-2006, en reflux par rapport aux 39,5 heures atteintes en 2011 à l’apogée du dispositif de défiscalisation des heures sup.

 

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