Archive pour le Tag 'faible'

Civilisation- Le faible niveau culturel nourrit la violence des délinquants

Civilisation- Le faible niveau culturel nourrit la violence des délinquants

La violence a toujours été consubstantielle à l’existence de sociétés mais au cours de l’histoire elle a évolué dans sa nature, sa forme et son intensité prenant parfois la forme de barbarie. C’est-à-dire une forme de violence qui ne respecte plus aucun principe.

Des violences qui se manifestent à l’occasion d’intérêts divergents de pays, de populations ou même à l’intérieur d’un même pays.

Ces violences diffèrent dans leur nature mais se ressemblent par leur négation totale de tout concept d’humanité. Bref, la vie ne compte pour rien.

Ce qui se confirme bien sûr dans certains conflits internationaux mais aussi à l’intérieur des frontières y compris de la France. On peut évidemment tenter d’inventorier certains facteurs explicatifs qui concernent plus spécifiquement le pays.

En France, ce qui caractérise la situation c’est la crise générale des autorités, celle de la famille assez souvent, celle des pouvoirs publics et plus généralement de la société. La médiocrité actuelle du personnel politique favorise tous les débordements puisque les repères et leur modèle de gestion explosent dans tous les sens.

La justice en particulier adapte une position hors-sol qui indique aux délinquants potentiels la disparition de ces repères.

Pour preuve de la crise de l’appareil d’État et des autorités, cette révolte des quartiers qui n’a même pas pu faire l’objet d’une analyse officielle de la part du gouvernement et en particulier du chef de l’État. Comme d’habitude, on a promis de la peinture sur les murs de la révolte.

Cette violence qui est une crise des repères et des valeurs est largement générée par un très grand affaiblissement du niveau moyen culturel. Témoin, cette enquête de l’éducation nationale qui montre que la moitié des élèves en quatrième sont tout juste capables de faire une lecture correcte. Bien entendu, il ne s’agit que d’une moyenne car cela n’est pas contradictoire avec une certaine élite étudiante.

Bref, le déclassement intellectuel et culturel de la France crée un terrain favorable aux violences et à la barbarie. Le facteur explicatifs dominant est en effet l’insuffisance de connaissances dans tous les domaines et l’adhésion à des principes sectaires, simplistes et sauvages. De ce point de vue, c’est aussi une crise de civilisation.

Société-le faible niveau culturel nourrit la violence

Société-le faible niveau culturel nourrit la violence

La violence a toujours été consubstantiel à l’existence de sociétés mais au cours de l’histoire elle a évolué dans sa nature, sa forme et son intensité prenant parfois la forme de barbarie. C’est-à-dire une forme de violence qui ne respecte plus aucun principe.

Des violences qui se manifestent à l’occasion d’intérêts divergents de pays, de populations ou même à l’intérieur d’un même pays.

Ces violences diffèrent dans leur nature mais se ressemblent par leur négation totale de tout concept d’humanité. Bref, la vie ne compte pour rien.

Ce qui se confirme bien sûr dans certains conflits internationaux mais aussi à l’intérieur des frontières y compris de la France. On peut évidemment tenter d’inventorier certains facteurs explicatifs qui concernent plus spécifiquement le pays.

En France, ce qui caractérise la situation c’est la crise générale des autorités, celle de la famille assez souvent, celle des pouvoirs publics et plus généralement de la société. La médiocrité actuelle du personnel politique favorise tous les débordements puisque les repères et leur modèle de gestion explosent dans tous les sens.

La justice en particulier adapte une position hors-sol qui indique aux délinquants potentiels la disparition de ces repères.

Pour preuve de la crise de l’appareil d’État et des autorités, cette révolte des quartiers qui n’a même pas pu faire l’objet d’une analyse officielle de la part du gouvernement et en particulier du chef de l’État. Comme d’habitude, on a promis de la peinture sur les murs de la révolte.

Cette violence qui est une crise des repères et des valeurs est largement générée par un très grand affaiblissement du niveau moyen culturel. Témoin, cette enquête de l’éducation nationale qui montre que la moitié des élèves en quatrième sont tout juste capables de faire une lecture correcte. Bien entendu, il ne s’agit que d’une moyenne car cela n’est pas contradictoire avec une certaine élite étudiante.

Bref, le déclassement intellectuel et culturel de la France crée un terrain favorable aux violences et à la barbarie. Le facteur explicatifs dominant est en effet l’insuffisance de connaissances dans tous les domaines et l’adhésion à des principes sectaires, simplistes et sauvages. De ce point de vue, c’est aussi une crise de civilisation.

Société-Barbarie et faible niveau culturel : les deux mamelles de la violence

Société-Barbarie et faible niveau culturel : les deux mamelles de la violence

La violence a toujours été consubstantiel à l’existence de sociétés mais au cours de l’histoire elle a évolué dans sa nature, sa forme et son intensité prenant parfois la forme de barbarie. C’est-à-dire une forme de violence qui ne respecte plus aucun principe.

Des violences qui se manifestent à l’occasion d’intérêts divergents de pays, de populations ou même à l’intérieur d’un même pays.

Ces violences diffèrent dans leur nature mais se ressemblent par leur négation totale de tout concept d’humanité. Bref, la vie ne compte pour rien.

Ce qui se confirme bien sûr dans certains conflits internationaux mais aussi à l’intérieur des frontières y compris de la France. On peut évidemment tenter d’inventorier certains facteurs explicatifs qui concernent plus spécifiquement le pays.

En France, ce qui caractérise la situation c’est la crise générale des autorités, celle de la famille assez souvent, celle des pouvoirs publics et plus généralement de la société. La médiocrité actuelle du personnel politique favorise tous les débordements puisque les repères et leur modèle de gestion explosent dans tous les sens.

La justice en particulier adapte une position hors-sol qui indique aux délinquants potentiels la disparition de ces repères.

Pour preuve de la crise de l’appareil d’État et des autorités, cette révolte des quartiers qui n’a même pas pu faire l’objet d’une analyse officielle de la part du gouvernement et en particulier du chef de l’État. Comme d’habitude, on a promis de la peinture sur les murs de la révolte.

Cette violence qui est une crise des repères et des valeurs est largement générée par un très grand affaiblissement du niveau moyen culturel. Témoin, cette enquête de l’éducation nationale qui montre que la moitié des élèves en quatrième sont tout juste capables de faire une lecture correcte. Bien entendu, il ne s’agit que d’une moyenne car cela n’est pas contradictoire avec une certaine élite étudiante.

Bref, le déclassement intellectuel et culturel de la France crée un terrain favorable aux violences et à la barbarie. Le facteur explicatifs dominant est en effet l’insuffisance de connaissances dans tous les domaines et l’adhésion à des principes sectaires, simplistes et sauvages. De ce point de vue, c’est aussi une crise de civilisation.

Barbarie et faible niveau culturel : les deux mamelles de la violence

Barbarie et faible niveau culturel : les deux mamelles de la violence

La violence a toujours été consubstantiel à l’existence de sociétés mais au cours de l’histoire elle a évolué dans sa nature, sa forme et son intensité prenant parfois la forme de barbarie. C’est-à-dire une forme de violence qui ne respecte plus aucun principe.

Des violences qui se manifestent à l’occasion d’intérêts divergents de pays, de populations ou même à l’intérieur d’un même pays.

Ces violences diffèrent dans leur nature mais se ressemblent par leur négation totale de tout concept d’humanité. Bref, la vie ne compte pour rien.

Ce qui se confirme bien sûr dans certains conflits internationaux mais aussi à l’intérieur des frontières y compris de la France. On peut évidemment tenter d’inventorier certains facteurs explicatifs qui concernent plus spécifiquement le pays.

En France, ce qui caractérise la situation c’est la crise générale des autorités, celle de la famille assez souvent, celle des pouvoirs publics et plus généralement de la société. La médiocrité actuelle du personnel politique favorise tous les débordements puisque les repères et leur modèle de gestion explosent dans tous les sens.

La justice en particulier adapte une position hors-sol qui indique aux délinquants potentiels la disparition de ces repères.

Pour preuve de la crise de l’appareil d’État et des autorités, cette révolte des quartiers qui n’a même pas pu faire l’objet d’une analyse officielle de la part du gouvernement et en particulier du chef de l’État. Comme d’habitude, on a promis de la peinture sur les murs de la révolte.

Cette violence qui est une crise des repères et des valeurs est largement générée par un très grand affaiblissement du niveau moyen culturel. Témoin, cette enquête de l’éducation nationale qui montre que la moitié des élèves en quatrième sont tout juste capables de faire une lecture correcte. Bien entendu, il ne s’agit que d’une moyenne car cela n’est pas contradictoire avec une certaine élite étudiante.

Bref, le déclassement intellectuel et culturel de la France crée un terrain favorable aux violences et à la barbarie. Le facteur explicatifs dominant est en effet l’insuffisance de connaissances dans tous les domaines et l’adhésion à des principes sectaires, simplistes et sauvages. De ce point de vue, c’est aussi une crise de civilisation.

LA FRANCE : NOMBRE D’HEURES TRAVAILLÉES PAR HABITANT LE PLUS FAIBLE

LA FRANCE : NOMBRE D’HEURES TRAVAILLÉES PAR HABITANT LE PLUS FAIBLE


À juste titre la France s’honore surtout d’abord au niveau de la productivité, c’est-à-dire du rapport entre le volume de travail sur le nombre d’actifs. Le problème cependant c’est que les les actifs sont très insuffisants en France qu’il s’agisse de l’insertion des jeunes, des femmes ou des seniors dont les conditions de travail le permettent. Par ailleurs, le nombre d’heures travaillées par habitant est l’un des plus faibles des pays développés

D’une certaine manière , la France cumule donc trois faiblesses par rapport aux pays concurrents une durée du travail hebdomadaire réelle réduite, un nombre d’actifs insuffisants et un départ à la retraite précoce. Au total ramené au nombre d’habitants la France enregistre l’une des plus faibles durées annuelles de travail. Une insuffisance quantitative qui ce cumule avec une organisation qualitative des conditions de travail assez déficiente.

Avec une moyenne de 36,9 heures par semaine selon l’OCDE en 2021, les actifs français (salariés et indépendants réunis) sont cependant au dessus de la moyenne de ceux des grandes économies (36,8 heures) .

Mais avec une moyenne de 1490 heures travaillées en 2021, le travailleur français est cette fois largement sous la moyenne de l’OCDE (1716 heures) et est même largement distancé par l’Italien (1669 heures), l’Espagnol (1641 heures), le Suisse (1533 heures) ou le Britannique (1497 heures). Plus de RTT, de temps partiels, de jours chômés… Ce sont les raisons avancées par les économistes de l’OCDE pour expliquer ce décalage français.

Mais là encore, rien de rédhibitoire quand on se compare à certaines économies performantes. Comme avec les travailleurs allemands qui avec 1349 heures par an travaillent en moyenne 140 heures de moins que les Français tout en ayant un PIB par tête supérieur. Ce faible nombre allemand s’explique principalement par un recours très important des femmes au temps partiel outre-Rhin.

Si on prend la quantité de travail annuel non plus par travailleur, mais cette fois par habitant -C’est-à-dire en incluant les inactifs, retraités et chômeurs dans le calcul- cette fois le pays est quasiment bon dernier au sein de l’OCDE.

Selon des données fournies par l’organisation à BFM Business, avec 630 heures en moyenne en 2021 (655 en 2022 mais l’OCDE n’a pas les données de tous les pays cette année-là), les Français sont ceux qui travaillent le moins (juste devant les Turcs). La moyenne OCDE est à 805 heures.

Surtout cette fois, l’Allemagne est devant avec 725 heures, soit 95 de plus par an. Au Danemark, on est à 709 heures, en Suède 702 heures, en Suisse 896. Même des pays qui ont un taux de chômage supérieur à la France comme l’Espagne ou l’Italie ont une quantité de travail par habitant supérieure à la France. C’est ainsi 685 heures pour les Espagnols et 704 heures pour les Italiens.

Un décrochage français qui s’explique par un temps d’emploi (part des actifs dans la population totale) plus faible qu’ailleurs. Autrement dit, les actifs français travaillent beaucoup, mais les Français sont plus rarement actifs qu’ailleurs.

Si avec plus de 68%, ce taux d’emploi est au plus haut en France depuis 1975 selon l’Insee, il reste malgré tout le plus faible parmi les grandes économies. En Allemagne, plus de 77% des habitants étaient actifs fin 2022, au Danemark c’est 76,7%, aux Pays-Bas 82%, au Royaume-Uni 76% ou encore 77% en Suède. Si la France avait le taux d’emploi de l’Allemagne, soit 13% de plus, le PIB serait donc potentiellement supérieur de 300 milliards d’euros (2354 milliards en 2022).

La difficulté du marché de l’emploi français se situe aux deux extrémités. Des jeunes moins bien formés qu’on a plus de mal à intégrer. Des seniors qui partent plus tôt.

Conjoncture- »Une éventuelle récession faible et courte » ( BDF)…… comme l’inflation

Conjoncture- »Une éventuelle récession faible et courte » ( BDF)…… comme l’inflation !


C’est un peu la spécialité de la Banque de France à savoir d’une part de se montrer plus optimiste que le pouvoir en matière économique mais le lendemain de corriger à la baisse ses propres prévisions. Ainsi hier la Banque de France n’excluait plus une récession et au mieux une augmentation de la croissance de 0,3 %, un degré de prévision douteux ! Et de prévoir aussi une aggravation du chômage et une inflation aussi forte en 2023 qu’en 2022. Le lendemain c’est-à-dire mardi le gouverneur rééquilibre encore ses pronostics.
Il n’exclut pas une éventuelle récession mais indique sans aucune démonstration que cette récession serait faible et courte.

Exactement les mêmes propos qu’il a tenus, lui et d’autres experts, à propos de l’inflation qui, elle aussi, devait être mesurée mais surtout temporaire et qui en fait continue et s’amplifie.
François Villeroy de Galhau se veut optimiste sur la situation de l’économie française dans les prochains mois. Invité sur BFMTV mardi 20 décembre, le gouverneur de la Banque de France a indiqué que le pays « devrait probablement échapper à la récession ».

Dans ses dernières projections macroéconomiques rendues publiques samedi, la Banque de France estime que l’économie française devrait connaître une croissance faible de 0,3 % l’an prochain du fait de la flambée des prix de l’énergie, avant un rebond modéré de 1,2 % en 2024 et plus soutenu de 1,8 % en 2025.Bref des prévisions type marc de café.

François Villeroy de Galhau voit trois « ères » concernant l’économie française : « Résilience en 2022, ralentissement pour cette année qui va commencer, et puis reprise à partir de 2024 ». « La France devrait probablement échapper à la récession. Je ne peux pas complètement l’exclure, parce qu’il y a beaucoup d’incertitudes », a néanmoins ajouté prudent et contradictoire le gouverneur de la Banque de France.

Le site fib.fr rappelle à juste titre l’illusoire prétention de penser que les discours de politique monétaire peuvent modifier l’évolution de l’économie: Comment, cependant, ne pas se poser la question du risque d’erreur de politique monétaire ? En effet, Christine Lagarde a avancé que « la récession serait courte et modérée » (le rebond des indices préliminaires PMI de décembre en zone euro semble, certes, confirmer cette tendance confortée par une rechute des prix de l’énergie et les mesures budgétaires de soutien ; il en va de même de l’amélioration du climat des affaires en Allemagne selon l’indice IFO sorti ce jour pour le mois de décembre : 88,6 pour le mois en cours, contre 86,4 en novembre et 87,4 pour les anticipations). Or, les tours de vis répétés des banquiers centraux risquent bien de créer une récession plus forte que souhaité et il est permis de douter de leur capacité d’anticipation. Souvenons-nous de la dialectique de Madame Lagarde avec une inflation temporaire, qui dure, puis que l’on annonce comment venant de nulle part. Comment, par ailleurs, croire les yeux fermés au scénario de soft landing ressortant des projections économiques actualisées de la FED lors du dernier FOMC (croissance du PIB réel certes révisée en baisse mais avec un rythme d’activité inchangé de 0,5% ; inflation en voie d’être jugulée avec un indice PCE anticipé à 3,1% fin 2023).

Conjoncture- »Une éventuelle récession faible et courte » ( BDF)…… comme l’inflation !

Conjoncture- »Une éventuelle récession faible et courte » ( BDF)…… comme l’inflation !


C’est un peu la spécialité de la Banque de France à savoir d’une part de se montrer plus optimiste que le pouvoir en matière économique mais le lendemain de corriger à la baisse ses propres prévisions. Ainsi hier la Banque de France n’excluait plus une récession et au mieux une augmentation de la croissance de 0,3 %, un degré de prévision douteux ! Et de prévoir aussi une aggravation du chômage et une inflation aussi forte en 2023 qu’en 2022. Le lendemain c’est-à-dire mardi le gouverneur rééquilibre encore ses pronostics.
Il n’exclut pas une éventuelle récession mais indique sans aucune démonstration que cette récession serait faible et courte.

Exactement les mêmes propos qu’il a tenus, lui et d’autres experts, à propos de l’inflation qui, elle aussi, devait être mesurée mais surtout temporaire et qui en fait continue et s’amplifie.
François Villeroy de Galhau se veut optimiste sur la situation de l’économie française dans les prochains mois. Invité sur BFMTV mardi 20 décembre, le gouverneur de la Banque de France a indiqué que le pays « devrait probablement échapper à la récession ».

Dans ses dernières projections macroéconomiques rendues publiques samedi, la Banque de France estime que l’économie française devrait connaître une croissance faible de 0,3 % l’an prochain du fait de la flambée des prix de l’énergie, avant un rebond modéré de 1,2 % en 2024 et plus soutenu de 1,8 % en 2025.Bref des prévisions type marc de café.

François Villeroy de Galhau voit trois « ères » concernant l’économie française : « Résilience en 2022, ralentissement pour cette année qui va commencer, et puis reprise à partir de 2024 ». « La France devrait probablement échapper à la récession. Je ne peux pas complètement l’exclure, parce qu’il y a beaucoup d’incertitudes », a néanmoins ajouté prudent et contradictoire le gouverneur de la Banque de France.

Une éventuelle récession faible et courte ( BDF)…… comme l’inflation !

Une éventuelle récession faible et courte ( BDF)…… comme l’inflation !


C’est un peu la spécialité de la banque de France à savoir d’une part de se montrer plus optimiste que le pouvoir en matière économique mais le lendemain de corriger à la baisse ses propres prévisions. Ainsi hier la Banque de France n’excluait plus une récession et au mieux une augmentation de la croissance de 0,3 %, un degré de prévision douteux ! Et de prévoir aussi une aggravation du chômage et une inflation aussi forte en 2023 qu’en 2022. Le lendemain c’est-à-dire mardi le gouverneur rééquilibre encore ses pronostics
.
Il n’exclut pas une éventuelle récession mais indique sans aucune démonstration que cette récession serait faible et courte.

Exactement les mêmes propos qu’il a tenus lui et d’autres experts à propos de l’inflation qui elle aussi devait être mesurée mais surtout temporaire et qui en fait continue et s’amplifie.
François Villeroy de Galhau se veut optimiste sur la situation de l’économie française dans les prochains mois. Invité sur BFMTV mardi 20 décembre, le gouverneur de la Banque de France a indiqué que le pays « devrait probablement échapper à la récession ».

Dans ses dernières projections macroéconomiques rendues publiques samedi, la Banque de France estime que l’économie française devrait connaître une croissance faible de 0,3 % l’an prochain du fait de la flambée des prix de l’énergie, avant un rebond modéré de 1,2 % en 2024 et plus soutenu de 1,8 % en 2025.Bref des prévisions type marc de café.

».
François Villeroy de Galhau voit trois « ères » concernant l’économie française : « Résilience en 2022, ralentissement pour cette année qui va commencer, et puis reprise à partir de 2024 ». « La France devrait probablement échapper à la récession. Je ne peux pas complètement l’exclure, parce qu’il y a beaucoup d’incertitudes », a néanmoins ajouté prudent et contradictoire le gouverneur de la Banque de France.

« Si récession il devait y avoir, elle serait en tout état de cause temporaire et limitée », a-t-il ensuite tempéré. Exactement les mêmes termes employés à propos de l’inflation dont on se prévoyait la fin vers la mi 2022 et qui en fait au contraire a encore gonflé et va continuer d’amplifier en 2023. Pour parler clair pourrait subir une inflation de près de 15 % en 2023 par rapport à 2020. Conséquence une dégradation considérable de pouvoir d’achat qui ressemble à une dévaluation

SONDAGE Popularité : faible soutien de l’exécutif à 36 %

SONDAGE Popularité : faible soutien de l’exécutif à 36 %

Il n’est guère étonnant que Macro ait décidé de retourner encore au Qatar pour la finale de la coupe du monde afin de récolter quelques miettes de popularité de l’équipe de France de football.
D’après un sondage de l’IFOP stagne en effet à 36 %. Élisabeth ne mord pas non plus dans l’opinion et accompagne aussi dans le président dans sa chute. Emmanuel Macron et Élisabeth Borne stagnent dans l’opinion, à 36 % de popularité chacun. En cause des insatisfactions grandissantes concernant notamment les problèmes de l’inflation, des retraites et de l’énergie.


Pour ce dernier baromètre mensuel Ifop de l’année, Emmanuel Macron voit cependant sa cote de satisfaction progresser de 1 point (36 %). Il s’agit de sa première hausse depuis août. Voilà qui conclut une année 2022 où, en moyenne, le président enregistrait 38 % de satisfaits – contre 39,5 % en 2021. L’on constate une césure entre la période précédant sa réélection (de janvier à mai), pendant laquelle 40 % de Français se disaient ¬satisfaits, et celle qui l’a suivie (de juin à décembre), où ilPopularité : l’exécutif au plus bas à 36 %s ne sont plus que 36,5 %.
La suite après cette publicité

Les principaux griefs envers le Président, qui constituent autant de motifs d’inquiétude pour 2023 : l’inflation ; la réforme des retraites ; et l’usage répété de -l’article 49-3 de la Constitution. ¬La Première ministre, Élisabeth Borne , pâtit aussi de ce dernier reproche ; elle compte autant de satisfaits que le mois dernier, soit 36 %, mais + 4 % de « mécontents » (59 %), et même + 6 % de « très mécontents » (28 %).

Sondage Ifop pour le JDD, effectué du 9 au 16 décembre 2022 auprès d’un échantillon représentatif de 1 956 personnes âgées de 18 ans et plus (méthode des quotas). Les interviews ont lieu en ligne et par téléphone. La marge d’erreur est située entre 1 et 2,3 points.
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Sondage: une armée française trop faible

Sondage: une armée française trop faible

Selon un sondage Odoxa Backbone, 86% des personnes interrogées ont une bonne opinion des militaires, qui restent épargnés par la crise de défiance, contrairement aux responsables politiques.Et le patriotisme s’est renforcé depuis la guerre en Ukraine.

Pour 89% des personnes interrogées, «continuer à commémorer» pae exemple le 11 novembre plus d’un siècle après la fin du conflit mondial est justifié. Pour 75% d’entre eux, l’idée de patriotisme a encore un sens aujourd’hui. Le résultat est également partagé chez les sympathisants de droite et de gauche. 76% des personnes interrogées déclarent être elles-mêmes patriotes. La connotation du mot, longtemps confondu avec le nationalisme, n’effraie plus. L’adhésion s’accroît avec l’âge: 59% des 18 – 24 ans se disent patriotes contre 86% des plus de 65 ans.

«La guerre en Ukraine est venue renforcer l’attachement des Français à leur armée. Elle est souvent perçue comme une protection indispensable des populations, à laquelle il faut donner des moyens, même en période économiquement difficile», ajoute Véronique Reille Soult, de Backbone Consulting.

En revanche, l’opinion semble lucide sur les capacités militaires de la France. Seulement 65 % des personnes interrogées considèrent la France comme une grande puissance. Ils étaient 78% en juillet 2018 et 71% en juillet 2022. Depuis plusieurs mois, rapports officiels et déclarations publiques ont en effet révélé les carences de l’armée, qui, seule face à un adversaire, ne disposerait que de quelques jours de munitions. Le constat est exact mais le cas de figure est théorique puisque les Occidentaux conçoivent leur défense en coalition et puisque la France dispose de la dissuasion nucléaire. Il n’empêche que les moyens militaires de la France sont limités.

Pour preuve les hypothèses budgétaires de l’armée. Bercy ne veut pas dépasser la barre des 377 milliards d’euros sur les sept prochaines années tandis que l’hôtel de Brienne campe sur une fourchette comprise entre 400 et 410 milliards d’euros. Enfin, les armées tablent quant à elles sur une fourchette de 425 à 430 milliards d’euros pour financer le modèle « Armées 2030 ». Les armées veulent ce modèle, rien que ce modèle, Un modèle déjà notoirement sous dimensionné.

les défis cités sur le Dixmude par le Chef de l’État sont nombreux : « le risque de guerre de haute intensité entre États, les tension croissantes en Asie, l’usage généralisé des drones, y compris dans les domaines où ils sont encore rares aujourd’hui, la banalisation des missiles dont on voit les premiers effets en Arabie, aux Émirats ou à Kiev, l’abaissement du seuil du cyber, les technologies de rupture, le quantique, l’intelligence artificielle, l’hypervélocité et notre environnement plus général où pèsent les risques sanitaires comme les risques climatiques ».
Tous ces défis exigent des budgets à la hauteur des ambitions. Surtout si la France veut vraiment être et rester un partenaire de confiance aussi bien en Europe, qu’en Afrique subsaharienne et dans le golfe arabo-persique, en passant par la Corne de l’Afrique. Cela vaut aussi pour l’Indopacifique où la France a notamment noué un partenariat stratégique avec l’Inde.

Un doute «semble s’être installé» dans l’opinion, observe Erwan Lestrohan. «Alors que la crise ukrainienne a diffusé le sentiment que l’ère des conflits internationaux n’était pas révolue et que les dernières décennies ont été marquées par d’importantes coupes dans le budget de la défense, la période actuelle aura peut-être agi chez certains comme un révélateur de nos lacunes», ajoute-t-il. Les militaires espèrent qu’elle agira comme un réveil.

Journée d’action CGT du 10 novembre : encore une très faible mobilisation

Journée d’action CGT du 10 novembre : encore une très faible mobilisation

Globalement, la participation à la journée d’action décidée unilatéralement par la CGT le 10 novembre a été encore assez anecdotique. Plusieurs raisons à cela, d’une part une action décidée sans concertation avec les autres organisations syndicales, d’autre part la multiplication de journées qui usent la mobilisation.

Une stratégie qui ne sert pas la cause des salariés quand les organisations syndicales affichent une telle faiblesse. À noter que la participation a surtout concerné des fonctionnaires et assimilés ( secteurs nationalisés).

Selon la CGT, la mobilisation a rassemblé, jeudi, quelque 10.000 personnes dans la capitale, et «plus de 100.000» dans l’Hexagone. Des chiffres bien plus élevés que ceux des autorités : à Paris, les forces de l’ordre ont dénombré 2400 manifestants, contre 300 à Bordeaux, 650 à Lille, un millier à Lyon et 30.400 dans tout le pays. Des chiffres, là aussi, faibles, alors que les autorités s’attendaient à un léger regain du nombre de participants, entre 40.000 et 50.000 manifestants au niveau national, et «moins de 5000 à Paris», selon l’AFP. Le bilan est tout de même en légère hausse par rapport à la mobilisation du 27 octobre, lors des vacances scolaires : ce jour-là, selon la police, les défilés avaient rassemblé 14.000 manifestants en province et 1360 à Paris. La CGT, quant à elle, n’avait pas donné de chiffre.

Cet activisme de nature un peu gauchiste de la CGT s’inscrit dans la perspective du remplacement de Bruno Martinez avec une lutte entre la ligne radicale et la ligne plus modérée

Secrétaire général de Force ouvrière, Frédéric Souillot a récemment fustigé la multiplication des journées de manifestation «saute-mouton», estimant que cette stratégie «non seulement c’est contre-productif, deuxièmement ça fait peu bouger les choses, troisièmement ça use les troupes».Quant aux syndicats réformistes ils considèrent ces actions comme de l’agitation.

Sondage armée: une bonne opinion mais jugée trop faible

Sondage armée: une bonne opinion mais jugée très faible

Selon un sondage Odoxa Backbone, 86% des personnes interrogées ont une bonne opinion des militaires, qui restent épargnés par la crise de défiance, contrairement aux responsables politiques.Et le patriotisme s’est renforcé depuis la guerre en Ukraine.

Pour 89% des personnes interrogées, «continuer à commémorer» pae exemple le 11 novembre plus d’un siècle après la fin du conflit mondial est justifié. Pour 75% d’entre eux, l’idée de patriotisme a encore un sens aujourd’hui. Le résultat est également partagé chez les sympathisants de droite et de gauche. 76% des personnes interrogées déclarent être elles-mêmes patriotes. La connotation du mot, longtemps confondu avec le nationalisme, n’effraie plus. L’adhésion s’accroît avec l’âge: 59% des 18 – 24 ans se disent patriotes contre 86% des plus de 65 ans.

«La guerre en Ukraine est venue renforcer l’attachement des Français à leur armée. Elle est souvent perçue comme une protection indispensable des populations, à laquelle il faut donner des moyens, même en période économiquement difficile», ajoute Véronique Reille Soult, de Backbone Consulting.

En revanche, l’opinion semble lucide sur les capacités militaires de la France. Seulement 65 % des personnes interrogées considèrent la France comme une grande puissance. Ils étaient 78% en juillet 2018 et 71% en juillet 2022. Depuis plusieurs mois, rapports officiels et déclarations publiques ont en effet révélé les carences de l’armée, qui, seule face à un adversaire, ne disposerait que de quelques jours de munitions. Le constat est exact mais le cas de figure est théorique puisque les Occidentaux conçoivent leur défense en coalition et puisque la France dispose de la dissuasion nucléaire. Il n’empêche que les moyens militaires de la France sont limités.

Pour preuve les hypothèses budgétaires de l’armée. Bercy ne veut pas dépasser la barre des 377 milliards d’euros sur les sept prochaines années tandis que l’hôtel de Brienne campe sur une fourchette comprise entre 400 et 410 milliards d’euros. Enfin, les armées tablent quant à elles sur une fourchette de 425 à 430 milliards d’euros pour financer le modèle « Armées 2030 ». Les armées veulent ce modèle, rien que ce modèle, Un modèle déjà notoirement sous dimensionné.

les défis cités sur le Dixmude par le Chef de l’État sont nombreux : « le risque de guerre de haute intensité entre États, les tension croissantes en Asie, l’usage généralisé des drones, y compris dans les domaines où ils sont encore rares aujourd’hui, la banalisation des missiles dont on voit les premiers effets en Arabie, aux Émirats ou à Kiev, l’abaissement du seuil du cyber, les technologies de rupture, le quantique, l’intelligence artificielle, l’hypervélocité et notre environnement plus général où pèsent les risques sanitaires comme les risques climatiques ».
Tous ces défis exigent des budgets à la hauteur des ambitions. Surtout si la France veut vraiment être et rester un partenaire de confiance aussi bien en Europe, qu’en Afrique subsaharienne et dans le golfe arabo-persique, en passant par la Corne de l’Afrique. Cela vaut aussi pour l’Indopacifique où la France a notamment noué un partenariat stratégique avec l’Inde.

Un doute «semble s’être installé» dans l’opinion, observe Erwan Lestrohan. «Alors que la crise ukrainienne a diffusé le sentiment que l’ère des conflits internationaux n’était pas révolue et que les dernières décennies ont été marquées par d’importantes coupes dans le budget de la défense, la période actuelle aura peut-être agi chez certains comme un révélateur de nos lacunes», ajoute-t-il. Les militaires espèrent qu’elle agira comme un réveil.

Collège: le niveau est trop faible d’après le ministre de l’éducation

Collège: le niveau est trop faible d’après le ministre de l’éducation

Le ministre confirme les évaluations faites à l’occasion des classements internationaux : le niveau des collèges est trop faible en France. Surtout en langues vivantes et en mathématiques précise-t-il. Le problème est que la situation n’est pas meilleure en maîtrise du français support de base de toutes les connaissances. En cause sans doute- que n’avoue pas le ministre– ce concept de collège unique qui brasse tous les niveaux mais tire l’ensemble vers le bas. Paradoxalement, cette baisse de niveau de l’enseignement n’empêche pas un taux de réussite au bac qui atteindra bientôt les 100 % sur la tendance ( actuellement plus de 90 %) !

« Le niveau en anglais a baissé en fin de troisième. On va remettre ça en chantier », a promis Pap Ndiaye, qui avait déjà évoqué le sujet tout début septembre. Un « plan d’urgence » est en préparation, avec l’objectif de hisser 80 % des élèves au niveau A2 d’ici trois ans. Concernant les mathématiques, le ministre de l’Education nationale a estimé, dans son entretien avec les lecteurs de Midi libre, que « ce n’est pas une question d’heures de cours, qui sont déjà conséquentes du CP à la terminale, mais plutôt de méthode pédagogique ».

C’est donc un autre chantier qui s’annonce pour l’Education nationale, qui fait face à une crise des recrutements. Le président de la République a notamment voulu une refonte de la voie professionnelle, ainsi que la mise en place d’une « école du futur » basée sur des « innovations pédagogiques ».

Russie : Une armée forte mais un pays faible

Russie : Une armée forte mais un pays faible 

Comme dans la plupart des dictatures, la Russie se caractérise par une armée forte mais par niveau de vie faible( par exemple un salaire médian de leurs de 500 €). Bref, presque un pays sous-développé. En cause le recul économique et technologique et le pillage des richesses par les oligarques.Si l’on se réfère aux données du fonds monétaire international, la Russie, économiquement demeure un pays faible. Elle n’arrive en effet qu’en 50e position dans le classement du PIB( richesse nationale) par habitant. (En valeur absolue la Russie ne se situe même pas dans les 10 premiers).

 

Données du Fonds monétaire international, 2017

Rang

Pays ou territoire

PIB par habitant (en dollars internationaux)

1  Qatar 124 927
2  Macao 114 430
3  Luxembourg 109 192
4  Singapour 90 531
5  Brunei 76 743
6  Irlande 72 632
7  Norvège 70 590
8  Koweït 69 669
9  Émirats arabes unis 68 245
10  Suisse 61 360
11  Hong Kong 61 016
12  Saint-Marin 60 359
13  États-Unis 59 495
14  Arabie saoudite 55 263
15  Pays-Bas 53 582
16  Islande 52 150
17  Bahreïn 51 846
18  Suède 51 264
19  Allemagne 50 206
20  Australie 49 882
21  Taïwan 49 827
22  Danemark 49 613
23  Autriche 49 247
24  Canada 48 141
25  Belgique 46 301
26  Oman 45 464
27  Finlande 44 050
28  Royaume-Uni 43 620
29  France 43 551
30  Japon 42 659
31  Malte 42 532
-  Union européenne 40 8912
32  Corée du Sud 39 387
33  Nouvelle-Zélande 38 502
34  Espagne 38 171
35  Italie 37 970
36  Porto Rico 37 895
37  Chypre 36 557
38  Israël 36 250
39  République tchèque 35 223
40  Guinée équatoriale 34 865
41  Slovénie 34 064
42  Slovaquie 32 895
43  Lituanie 31 935
44  Estonie 31 473
45  Trinité-et-Tobago 31 154
46  Portugal 30 258
47  Pologne 29 251
48  Hongrie 28 910
49  Malaisie 28 871
50  Russie 28 712

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Russie : un pays faible

Russie : un pays faible 

Si l’on se réfère aux données du fonds monétaire international, la Russie, économiquement demeure un pays faible. Elle n’arrive en effet qu’en 50e position dans le classement du PIB( richesse nationale) par habitant. (En valeur absolue la Russie ne se situe même pas dans les 10 premiers)

 

Données du Fonds monétaire international, 2017

Rang

Pays ou territoire

PIB par habitant (en dollars internationaux)

1  Qatar 124 927
2  Macao 114 430
3  Luxembourg 109 192
4  Singapour 90 531
5  Brunei 76 743
6  Irlande 72 632
7  Norvège 70 590
8  Koweït 69 669
9  Émirats arabes unis 68 245
10  Suisse 61 360
11  Hong Kong 61 016
12  Saint-Marin 60 359
13  États-Unis 59 495
14  Arabie saoudite 55 263
15  Pays-Bas 53 582
16  Islande 52 150
17  Bahreïn 51 846
18  Suède 51 264
19  Allemagne 50 206
20  Australie 49 882
21  Taïwan 49 827
22  Danemark 49 613
23  Autriche 49 247
24  Canada 48 141
25  Belgique 46 301
26  Oman 45 464
27  Finlande 44 050
28  Royaume-Uni 43 620
29  France 43 551
30  Japon 42 659
31  Malte 42 532
-  Union européenne 40 8912
32  Corée du Sud 39 387
33  Nouvelle-Zélande 38 502
34  Espagne 38 171
35  Italie 37 970
36  Porto Rico 37 895
37  Chypre 36 557
38  Israël 36 250
39  République tchèque 35 223
40  Guinée équatoriale 34 865
41  Slovénie 34 064
42  Slovaquie 32 895
43  Lituanie 31 935
44  Estonie 31 473
45  Trinité-et-Tobago 31 154
46  Portugal 30 258
47  Pologne 29 251
48  Hongrie 28 910
49  Malaisie 28 871
50  Russie 28 712
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