Archive pour le Tag 'facture'

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Brexit : la facture qui bloque

Brexit : la facture qui bloque

 

 

Selon les Britanniques la facture de la rupture avec l’union économique ne dépasserait pas 50 milliards d’euros mais pour Bruxelles le montant serait davantage proche de 100 milliards. En outre et surtout les Britanniques ne seraient prêts à régler leur compte financier que si l’UE accepte de discuter en même temps des conditions relatives aux échanges commerciaux. Ce que refuse Bruxelles qui veut d’abord une rupture claire avec paiement de ce que doit le Royaume-Uni. Ensuite seulement Bruxelles acceptera de parler du futur traité commercial entre le Royaume-Uni et l’union économique. Bref le dialogue de sourds continue. Le solde que devra verser le Royaume-Uni pour honorer ses engagements financiers au sein de l’UE est officieusement évalué côté européen entre 60 et 100 milliards d’euros, mais ce montant est contesté par le Royaume-Uni. « Ce qu’on dit, c’est ‘vous nous avez donné cette énorme facture, nous allons la vérifier ligne par ligne’ », a indiqué David Davis. Ce règlement financier « est une obligation légale estime l’UE. Nous répondons que ce n’est pas le cas », a avancé M. Davis. Michel Barnier « veut nous mettre la pression, ce qui explique sa position lors de la conférence de presse – franchement, je pense que ça semblait absurde parce qu’il y a clairement des choses que nous avons faites », a déclaré David Davis. Le ministre a notamment mis en avant les avancées obtenues sur les affaires relatives à la santé et à la sécurité sociale. Face à ces questions « incroyablement importantes », il a regretté que les négociateurs européens « ne parlent pas du futur: ils ne parlent que de la procédure de divorce ».

 

Brexit : une facture de 50 milliards

Brexit : une facture de  50 milliards

 

 

 

Aucun chiffre officiel n’a été rendu public, mais selon un haut responsable européen, la Commission a évalué à entre 55 et 60 milliards d’euros le montant que le Royaume-Uni devra verser pour honorer l’ensemble de ses engagements. C’est ce qu’a laissé entendre Michel Barnier commissaire européen en charge des négociations. Problème toutefois la Grande-Bretagne veut négocier ses futures relations avec l’union européenne avant de payer la facture sinon ….. Le discours de Michel Barnier intervient deux jours après l’annonce de la date du 29 mars, retenue par la Première ministre britannique Theresa May pour déclencher officiellement auprès de l’UE l’article 50, qui va permettre le lancer les négociations sur la séparation entre les deux parties. Michel Barnier a insisté sur son souhait de « mettre les choses dans l’ordre ». « Trouver d’abord un accord sur les principes d’un retrait ordonné du Royaume-Uni, pour discuter ensuite, en confiance, de notre future relation », a-t-il expliqué. « Ce nouveau partenariat, il n’est pas trop tôt pour en esquisser les contours aujourd’hui, même s’il est trop tôt pour le négocier. Au centre de ce partenariat, il y aura l’accord de libre-échange que nous négocierons, le moment venu, avec le Royaume-Uni », a-t-il précisé. « Notre intention est de bien réussir cette négociation. Nous serons fermes, sans être naïfs », a-t-il ajouté.

Très haut débit : une facture de 35 milliards pas de 20 ! (cour des comptes)

Très haut débit : une facture de 35 milliards pas de 20 !  (cour des comptes)

Encore un projet dément poussé surtout par les lobbies des travaux publics, les opérateurs télécoms et les élus locaux en mal d’affichage. Le très haut débit constitue certes uen avancée technologique considérable mais il ne couvrira que les zones très denses où les opérateurs pourront faire du chiffre. Pour le reste du territoire, il faudra attendre. Notons que certains ne disposent pas de connexion internet et-ou  une couverture très partielle du mobile. Du coup, il conviendrait sans doute d’équiper prioritairement les zones peu denses avec des technologies performantes mais moins coûteuses par exemple à partir de la technologie 5g (mais qui suppose aussi la couverture des territoires concernés). la 5G fait suite à la 4G, à l’heure actuelle encore à ses balbutiements. Elle équivaut à la cinquième génération du standard de la téléphonie mobile au niveau mondial, et sa mise en place n’est pas prévue avant de nombreuses années. Cette nouvelle génération permettra d’atteindre l’ultra haut débit via son forfait mobile 5G : il ne s’agira donc plus de HD (haute définition) mais de UHD (ultra haute définition). Les consommateurs pourront ainsi regarder des films en streaming très haute définition sans la moindre difficulté, même en 3D. Le débit théorique de 1,056 Gbps (contre 75 Mbps pour la 4G) est évoqué. 1 Gbps équivalent à 1024 Mbps, c’est donc un réseau théoriquement 14 fois plus rapide que la 4G actuellement en cours de développement et déjà réputée très rapide   Le raccordement de tous les frais au câble haut débit paraît uen folie à la cour des comptes. La Cour des comptes considère que les évaluations faites par l’exécutif pour raccorder la totalité des Français ne sont pas du tout réalistes. Ce n’est pas 20 milliards d’euros que le plan coûtera à la nation mais 34,9 milliards, soit 75 % de plus. Le plan France Très Haut Débit, lancé en 2013 par le gouvernement de François Hollande, fixe à 2022 l’échéance pour atteindre le seuil des 100 % de foyers en très haut débit. L’essentiel (80 %) devra être couvert en fibre optique, tandis que le reste sera composé d’autres technologies (DSL sur cuivre, câble coaxial). Pourquoi une telle différence ? Le gouvernement n’aurait pas inclus dans son addition le coût du raccordement final de l’abonné. Or, estiment les magistrats de la Cour des comptes, celui-ci va coûter 4,5 milliards d’euros dans les zones d’initiatives privées, ce qui porte la note à 24,5 milliards. Et à cette somme, il faut ajouter le coût du raccordement et du déploiement dans les réseaux d’initiatives publiques. « L’absence de cofinancement privé pour la construction des réseaux d’initiative publique nécessite un concours des collectivités territoriales d’environ 6,5 milliards d’euros jusqu’en 2022, très supérieur aux prévisions. Une impasse de financement de 12 milliards d’euros des réseaux d’initiative publique est à prévoir au-delà de cette échéance », écrit la Cour dans un communiqué. Or, « au-delà de 2022, il resterait à déployer et à raccorder près de 7 millions de prises optiques » prévient la juridiction financière et le secteur privé ne risque pas d’être d’une grande aide. En conséquence, ce sont surtout les territoires et l’État qui devront mettre la main à la poche. On serait donc très loin de l’évaluation initiale de 20 milliards d’euros pour le plan France Très Haut Débit. Aux dépenses supplémentaires que la Cour des comptes prévoit, il faut aussi ajouter un retard dans la mise en place des réseaux télécoms de demain. « La France accuse un retard important dans le déploiement du très haut débit en raison de ses caractéristiques géographiques et d’une moindre réutilisation des infrastructures existantes », regrette l’institution de Didier Migaud.  Si « l’objectif intermédiaire de couverture de 50 % du territoire en très haut débit dès 2017 sera atteint », celui concernant la « couverture à 100 % des logements en très haut débit fixe à horizon 2022 et à 80 % en fibre optique paraît compromise », écrit la Cour. Seule solution, d’après elle, pour tenir les objectifs du plan : en revoir l’ambition et les contours. Les magistrats financiers « recommandent à cet égard de revoir les objectifs du Plan France très haut débit, en particulier en augmentant l’objectif de recours aux technologies alternatives à fibre optique jusqu’à l’abonné, parmi lesquelles figurent aux termes de votre rapport la montée en débit, les réseaux hertziens terrestres et satellitaires ». Bref, pour du très haut débit, il n’y a pas forcément besoin de fibre, suggèrent-ils. Enfin, si le très haut débit permet d’atteindre des débits de 30 mégabits par seconde (selon les seuils fixés par la Commission européenne), la Cour estime que tout le monde n’a en réalité pas besoin d’une telle vitesse pour profiter de la très grande majorité de ce qu’a à offrir Internet. Pour le grand public, une connexion à 10 Mbit/s est déjà plus que satisfaisante. « Seul un développement significatif d’usages grand public fortement consommateurs de bande passante justifierait un déploiement rapide et généralisé du très haut débit pour tous. En effet, l’atteinte d’un bon haut débit pour tous (de l’ordre de 10 mégabits par seconde) permet de satisfaire l’essentiel des besoins des particuliers compte tenu du manque de visibilité actuelle sur les futures applications ».

Eclatement de la zone euro : attention à la facture (Draghi)

Eclatement de la zone euro : attention à la facture (Draghi)

 

 

Les velléités de quitter l’union économique voir la zone euro ne cesse de progresser dans certains programmes électoraux. Certain considérant qu’il suffit de quitter la monnaie unique pour résoudre les problèmes économiques internes. À juste titre,  le président de la banque centrale européenne indique que la facture risque d’être lourde pour ceux qui seraient tentés de partir par exemple de la zone euro. En effet la banque centrale européenne détient en effet une masse de dettes de pays en difficulté financière qu’il faudrait bien rembourser d’une manière ou d’une autre dans l’hypothèse d’un départ. Certes certains illusionnistes préconisent de ne plus rien rembourser du tout. Mais on se demande alors comment les pays concernés pourraient emprunter et à quel taux puisque  ces pays au déficit structurel ne peuvent fonctionner sans emprunt. Un détail sur lesquels les démagogues passent rapidement. À défaut d’emprunt,  il faudrait pour équilibrer les comptes mettre en place un plan d’austérité sans précédent qui amputerait le pouvoir d’achat de 20 à 30 %. Une conséquence sur laquelle certains font aussi l’impasse Tout pays qui souhaiterait quitter la zone euro devrait donc au préalable solder ses comptes avec le système de paiements commun, a expliqué le président de la Banque centrale européenne (BCE), Mario Draghi, dans une lettre à deux députés européens italiens. « Si un pays devait quitter l’Eurosystème, ses avoirs sur ou ses dettes à la BCE devraient d’abord être réglés en totalité », a-t-il écrit. Pour l’Italie, par exemple, un tel solde représenterait 358,6 milliards d’euros à payer sur la base des données à fin novembre du système de paiements Target 2, qui enregistre tous les flux de paiements entre les pays membres de la zone euro. La menace de défauts sur des dettes transfrontalières est souvent citée comme un facteur de cohésion de la zone euro. Les paiements n’étant généralement pas soldés, les économies les plus faibles, dont font partie l’Italie, l’Espagne et la Grèce, ont accumulé d’importants soldes débiteurs envers Target 2, alors que l’Allemagne, à l’opposé, affiche un solde créditeur de 754,1 milliards d’euros. Dans sa lettre aux deux élus italiens, Mario Draghi réaffirmé que ces déséquilibres sont dus en partie aux achats d’obligations de la BCE, une part importante de ces achats étant effectués auprès de vendeurs basés en Allemagne.

Brexit: une facture 50 à 60 milliards réclamés au Royaume-Uni

 

 

La facture du Brexit risque de faire un peu mieux réfléchir les responsables britanniques qui ont milité pour la sortie de l’union européenne. Il y a d’abord la facture économique immédiate avec la perte de croissance. Le Brexit va entraîner un net ralentissement l’année prochaine de la croissance économique du Royaume-Uni et le contraindre à davantage emprunter, a annoncé le ministre britannique des Finances en présentant son premier budget depuis le référendum sur la sortie de l’UE. L’Office public de responsabilité budgétaire (OBR) a en effet abaissé ses prévisions de croissance à 1,4%, contre un taux de 2,2% prévu en mars dernier. Au total, en raison du vote pour le Brexit, le Royaume-Uni va perdre 2,4 points de croissance sur la période 2016-2021, a précisé l’OBR, plombant d’autant les prévisions de recettes fiscales. Ce pays s’attend de ce fait à ce que son déficit public soit bien plus élevé que prévu d’ici à 2021, avec une augmentation des emprunts de 122 milliards de livres (143 milliards d’euros). Le ministre des Finances a renvoyé un hypothétique retour à l’équilibre budgétaire à au-delà de 2020.Il y a aussi la facture à payer à l’union européenne en vertu des désengagements qu’il y le Royaume-Uni. D’après le média britannique Sky NewsMichel Barnier, négociateur en chef de la Commission chargé de la conduite des négociations avec le Royaume-Uni, serait prêt à lui faire payer des frais de 50 à 60 milliards d’euros pour les engagements non réglés quand Theresa May déclenchera l’article 50 concernant le processus officiel de négociation du Brexit. Cet énorme montant représente la participation du Royaume-Uni au budget de l’UE jusqu’à la fin de 2020 ainsi « que des dettes de retraites impayées et des paiements liés à des garanties de prêts », souligne encore le média britannique.

 

La facture de gaz (et du reste) va augmenter

La facture de gaz (et du reste) va augmenter

Alors qu’on ne prévoit qu’une inflation officielle de moins de 1 % en 2017, dans le même temps on va enregistrer nombre d’augmentations de dépenses contraintes. Dernier exemple en date celui de  la facture de gaz va augmenter de 5%, voire un petit peu plus. En cause la remontée des prix du pétrole mais aussi la hausse de la fiscalité : application de la taxe TICGN (taxe intérieure de consommation sur le gaz naturel) – ou contribution climat énergie (taxe carbone). D’autres hausses du même type sont prévues concernant les assurances par exemple qui seraient justifiées par un dérapage lié aux risque naturels et pour l’automobile au renchérissement du coût des les accidents. De  Nombreux d’abonnement augmentent : également l’eau, l’électricité, le ramassage des ordures ménagères. Il faut aussi ajouter les impôts locaux. Au total des dépenses contraintes qui vont peser sur le budget des ménages et qui au total vont faire dériver l’augmentation des prix bien au-delà des 1 % si on prend en compte la déformation structurelle de la consommation des ménages et de leurs dépenses. Un décalage entre l’inflation officielle mesurée par l’INSEE et l’inflation constatée par les ménages notamment les plus défavorisés qui consacrent la totalité de leurs revenus aux dépenses courantes et contraintes. De ce point de vue,  l’indice moyen qui mesure l’inflation en France se révèle relativement obsolète. Pour être pertinent il devrait prendre en compte chacune des catégories socio professionnelles, la structure de leurs dépenses, la composition familiale et la localisation géographique. La sous-estimation chronique de l’inflation à évidemment pour objet de freiner l’augmentation des salaires et pensions. Mais cette sous-estimation a des effets relativement pervers sur le pouvoir d’achat, sur la croissance et le chômage. En effet plus de la moitié du PIB  est imputable à la consommation des ménages et le quasi blocage des salaires et pensions participent à la mollesse de la croissance française qui au mieux atteindra 1,2 % en 2016 et encore moins en 2017 puisqu’il n’est prévu qu’1%.

 

Volkswagen : une facture à 50 milliards ?

Volkswagen : une facture à 50 milliards ?

La facture pourrait peut-être se révéler être ingérable même pour le puissant groupe automobile Volkswagen. Il s’agit en effet de faire face aux les amendes qui seront prononcées par les Etats aux États-Unis, en Asie  mais aussi Europe (1 million de véhicules concernés). Deuxièmement il faudra réparer le préjudice subi par les clients enfin il sera nécessaire de faire face aux dépenses relatives à la modification des moteurs afin qu’ils puissent respecter les normes en vigueur, ce qui va représenter d’énormes investissements. Du coup la facture pourrait atteindre de l’ordre  de 50 milliards   Entre les suites judiciaires et les conséquences industrielles du scandale des moteurs truqués, la facture s’annonce vertigineuse pour le constructeur allemand, dont l’avenir est en jeu. Les premières estimations s’établissent entre 20 et… 80 milliards d’euros.Face à l’ampleur du scandale, une certitude: la facture sera gigantesque pour Volkswagen. Le montant final dépendra d’une multitude de facteurs qu’il est encore difficile d’évaluer. Mais entre les poursuites judiciaires intentées partout dans le monde et le rappel des 11 millions de véhicules équipés du «logiciel truqueur», l’affaire se chiffrera en dizaines de milliards d’euros. D’ores et déjà, les premières estimations des analystes financiers varient entre 20 et 80 milliards. De telles sommes vont considérablement fragiliser la santé financière du constructeur, qui a annoncé son intention de tailler dans tous ses investissements «non vitaux» et de faire des économies à grande échelle. Alors que le poids du secteur automobile est considérable en Allemagne, Angela Merkel s’inquiète des conséquences de l’affaire VW sur toute la filière, mais aussi de ses retombées sur l’image du «made in Germany».

Electricité: l’Allemagne allège la facture des industriels

Electricité: l’Allemagne allège la facture des industriels

Les prix de l’énergie au cœur d’une nouvelle bataille franco- allemande. En effet, les industriels français estiment qu’ils perdent en compétitivité face aux Allemands car Berlin a largement allégé la facture pour soutenir l’activité de ses plus grands industriels. Le constat peut paraitre étonnant et pourtant… Malgré la décision allemande d’arrêter la production nucléaire, les industriels outre Rhin ont gagné en compétitivité. En fait, le gouvernement allemand a pris une série de mesures pour limiter l’impact de la sortie du nucléaire sur les plus gros consommateurs d’énergie du pays. Exemple: en Allemagne, les gros industriels ne paient pas pour l’acheminement de l’électricité. En France, oui. En Allemagne, une entreprise bénéficie d’une rémunération supplémentaire quand elle accepte des coupures de courant. En France non.Tout cela mis bout à bout fait que les industriels allemands paient en moyenne leur électricité 20 à 25% moins cher qu’en France. Un décalage qui ne concerne pas les consommateurs français qui, eux, bénéficient d’un prix de l’électricité parmi les plus bas d’Europe.

 

 

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