Archive pour le Tag 'fachos'

Les fachos italiens veulent retirer la nationalité à un conseiller de Matignon

Les fachos italiens veulent retirer la nationalité à un conseiller de Matignon

 

 

Il paraît de plus en plus évident que nombre de responsables qui soutiennent le gouvernement italien sont tombés sur la tête. Peut-être s’agit-il des conséquences des divisions internes à ce gouvernement ou des résultats catastrophiques de l’économie mais les fachos italiens montrent leur vrai visage. Dans certaines constitutions, il est possible de retirer la nationalité pour des crimes graves ou des trahisons. Mais là il s’agit d’un ancien responsable italien auxquels on reproche d’avoir accepté un poste de conseiller à Matignon. C’est un peu en quelque sorte comme si on voulait retirer la nationalité à Manuel Valls, ancien premier ministre en France qui est devenue candidat à la mairie de Barcelone. Que dire aussi de ceux qui ont la double nationalité comme Cohn-Bendit qui a exercé des responsabilités en France mais aussi en Allemagne.

On imagine que ces extrémistes italiens pour l’Italie n’auraient pas demandé la déchéance de nationalité Mario Draghi jusque-là président de la BCE et qui a contribué à sauver l’Italie de la faillite financière.  Aux attaques de Luigi Di Maio, Sandro Gozi oppose une posture de « souverainiste européen ​», comme il se définit lui-même. « Je ne rentre pas au gouvernement, mais je deviens un simple conseiller. Leur requête est politiquement et moralement inacceptable, c’est l’expression d’un nationalisme trivial ​», confie-t-il à l’Opinion. Depuis la fin de son mandat en 2018, Gozi est devenu un proche d’Emmanuel Macron, qu’il a rencontré en 2014 quand le président de la République était secrétaire général adjoint de l’Elysée. Gozi a été une sorte d’agent de liaison entre Matteo Renzi et Emmanuel Macron et s’est engagé pour le progressisme européen en France après la défaite de Renzi en Italie. Candidat sur la liste Renaissance aux élections européennes, Sandro Gozi a été élu en 22e position. Mais il devra attendre pour pouvoir occuper son siège : il fait partie des cinq eurodéputés français qui prendront leurs fonctions une fois le processus du Brexit achevé, à la place des élus britanniques. Son entrée dans le cabinet du Premier ministre permet ainsi de « compenser » son élection manquée. La cheffe du parti d’extrême droite Frères d’ItalieGiorgia Meloni, a ainsi proposé de lui retirer la nationalité italienne, tout comme Luigi Di Maio, vice-président du Conseil et leader du Mouvement 5 étoiles. « On doit évaluer s’il faut lui retirer la nationalité italienne : il devient une personnalité d’un autre gouvernement après avoir travaillé pour le gouvernement italien. Il trahit l’Italie.

Immigration : le choix entre les idées des bobos ou des fachos ?

Immigration : le choix entre  les idées des  bobos ou des  fachos ?

 

Le sondage réalisé par l’IFOP pour Atlantico  montre que 54 % des Français sont opposés à l’accueil de migrants et mérite évidemment réflexion. D’abord la proportion de français hostile à la réception de ces étrangers a progressé de 7 points  en un an. En cause, sans doute les péripéties du navire Aquarius entre les différents ports d’Europe ; des péripéties qui ont occupé là Une des médias et mis en évidence les contradictions des pays de l’union européenne. La problématique n’est évidemment pas simple mais le choix qui est proposé est souvent caricatural entre les positions humanistes un peu surfaite des bobos souvent de gauche et les positions conservatrices voire fascistes de droite. Pour les bobos de gauche,  l’accueil doit être permis sans limite au nom des valeurs universelles de la France. Le problème c’est que cette thèse très généreuse est faites par  de petits bourgeois qui mesurent mal les effets d’une intégration mal réussie notamment dans les banlieues difficiles où le communautarisme est le trafic de drogue se substitue situe progressivement aux principes républicains, sans parler de l’insécurité. Bien sûr en général, les bobos de gauche ne côtoient pas les populations visées. Inversement à droite, on soutient la fermeture quasi complète des frontières à toutes immigration nouvelle voir on propose le renvoi des immigrés dans leur pays d’origine au nom des menaces identitaires et des risques sur nos civilisations traditionnelles, comprendre judéo-chrétiennes. Ce sont ces deux courants de pensée qui émergent et s’opposent le plus souvent dans les médias. Parfois l’immigration devient  la question dominante des orientations politiques. La mise à l’index de l’étranger va parfois très loin lorsqu’elles concernent aussi des Européens avec derrière l’idée de renoncer à l’union européenne, à la monnaie unique et à l’intégration économique bien sûr mais aussi sociale et sociétale comme si la France demeurait encore cette grande puissance mondiale du 19 ème siècle. Le débat sur l’immigration mérite mieux que cela, il devrait aussi intégrer l’escroquerie de l’aide au développement, une des solutions pour sédentariser sur place des populations surtout menacées de faim. C’est la question centrale .Ce n’empêche pas bien  au contraire d’articuler immigration et intégration pour l’immigration choisie et… acceptée.

 

Le lanceur d’alerte Falciani arrêté par une Espagne aux relents fachos

Le lanceur d’alerte Falciani arrêté par une Espagne aux relents fachos

 

L’Espagne qui vient d’arrêter Hervé Falciani, le lanceur d’alerte français renoue avec la fâcheuse tradition aux relents fachos . Déjà la question catalane lui a permis de mette en prison nombre d’anciens responsables régionaux. Des élus qui certes avaient commis des erreurs en lançant un référendum illégal mais qui ne sont pas des criminels qui justifient 30 ans de prisons ; Puigdemont, l’ancien président , lui, vient d’être arrêt en Allemagne à la demande de l’Espagne. L’objectif est de le mettre en prison pour qu’il ne puisse briguer la présidence de la catalogne ; Rajoy le premier ministre espagnol essaye ainsi de masquer d’uen par ses difficultés politiques à trouver uen majorité et de camoufler aussi les affaires de son parti. En France, HSBC Private Bank Suisse SA avait  accepté de régler 300 millions d’euros à l’Etat français pour clore des poursuites engagées par Paris, qui lui reprochait d’avoir aidé des contribuables français à soustraire au fisc plus de 1,6 milliard d’euros d’avoirs. HSBC Private Bank Suisse SA avait été mise en examen en France le 18 novembre 2014 pour démarchage bancaire et financier illicite et blanchiment aggravé de fraude fiscale en 2006 et 2007. En arrêtant un lanceur d’alerte qui a permis de démasquer nombre de fraudeurs fiscaux , Rajoy franchit uen nouvelle étape anti démocratique. Notons que la condamnation émane de la Suisse qui évidemment protège se banques y compris dans leurs excès.  À l’origine de révélations sur un système d’évasion fiscale organisé par la filiale suisse de HSBC a donc été arrêté en Espagne, a annoncé le ministère espagnol de l’Intérieur. Ancien informaticien de la banque HSBC, Hervé Falciani a quitté la banque en 2008 en emmenant avec lui des fichiers confidentiels qu’il a divulgués. Hervé Falciani a été condamné par contumace en 2015 par la Suisse à cinq ans de prison pour soustraction de données, espionnage économique aggravé, violation du secret commercial et violation du secret bancaire.

 

Dupont-Aignan, des Rocardiens aux fachos

Dupont-Aignan, des Rocardiens  aux fachos

D’une certaine manière Dupont Aignant  a fait le chemin inverse de Mitterrand passé lui de l’extrême droite au socialisme. Dupont-Aignan a commencée chez les jeunes… rocardiens. A l’ENA, promotion Liberté, égalité, fraternité comme Jean-François Copé, celui qui à 13 ans collait des affiches pour Jacques Chaban-Delmas avait également prospecté chez les fabiusiens. En 1993, il glisse doucement à droite en devenant le chef de cabinet de François Bayrou, ministre d’Edouard Balladur. « J’ai adhéré au parti de Charles Pasqua et de Philippe Séguin en 1989 […] Maastricht a été mon premier combat », explique l’intéressé à L’Obs en 2016. En 1994, il rejoint pourtant le cabinet du très europhile ministre de l’Environnement Michel Barnier avant de partir à la conquête de la mairie d’Yerres dans l’Essonne, où il a été réélu en 2014 pour la quatrième fois. Un sarkozyste historique se souvient de lui comme responsable des fédérations du RPR à la fin des années 1990. « Il a toujours eu un terrible besoin de reconnaissance, raconte-t-il. Or Nicolas ne l’a jamais réellement pris au sérieux. » En 2008, il crée Debout la France. En 2017, son alliance avec le FN a provoqué la démission de trois de ses quatre vice-présidents. « Nous avons fait la campagne sur le slogan ni système ni extrême, fustige l’un d’eux, l’essayiste ­Dominique Jamet. Le lendemain du premier tour, il n’était pas question de ralliement… Dupont-Aignan est un homme mal ‘élevé’”  Drôle d’évolution pour ce gaulliste  qui se réfugie chez les ennemis  du Général.

Les cathos fachos refusent de voter contre Le Pen

Les cathos fachos refusent de voter contre Le Pen

 

 

Les cathos  fachos refusent de voter contre Le Pen certains même comme Christine Boutin se déclarent même prêts à voter pour Marine Le Pen sous réserve de quelques amendements du programme du front national. Le mouvement Sens commun, qui avait activement soutenu François Fillon durant la campagne présidentielle, et le Parti chrétien-démocrate, allié des Républicains, ont refusé dimanche de choisir entre les deux qualifiés pour le second tour, Emmanuel Macron et Marine Le Pen. Ces prises de position plus qu’ambigu porte un coup de plus à la crédibilité de Fillon mais aussi à leurs propres organisations. En cause, la sociologie de ces organisations essentiellement des électeurs chrétiens aisés, souvent âgés et réactionnaires. Bref pas vraiment l’image que veut donner le pape et ceux qui veulent une église généreuse largement ouverte sur le monde. Ces organisations assombrissent sérieusement l’image de modernité que veut donner l’église qui par ailleurs n’a pas à s’investir  en tant que tel dans le système politique. La décision de ces mouvements conservateurs contraste avec celle de François Fillon, qui a annoncé sa préférence pour l’ancien ministre de l’Economie face au Front national, dépeint par l’ex-Premier ministre comme le dépositaire d’une tradition de « violence » et d’ »intolérance ». « Nous laisserons à chacun sa liberté de conscience », estime le président de Sens Commun, Christophe Billan, dans une interview publiée sur le site de Famille Chrétienne. Dans un registre proche, Jean-Frédéric Poisson, président du Parti chrétien-démocrate, a dit ne pouvoir « soutenir ni l’un ni l’autre » et invité « les Français à choisir en conscience, sans se soumettre à aucune pression ou chantage moral ».L’ex-ministre Christine Boutin, fondatrice du PCD, a pour sa part exprimé sur Twitter sa « honte » à la suite de l’appel de François Fillon. « Je sens nos valeurs trahies (…) Je ne serai pas du côté de la Mondialisation », a-t-elle écrit. Au sein des Républicains (LR), de nombreux ténors ont appelé à voter pour Emmanuel Macron, voire à l’aider, et certains représentants de l’aile la plus à droite, à l’image de Laurent Wauquiez, ont plaidé pour une position moins catégorique, consistant à faire battre Marine Le Pen.




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