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« Réseaux sociaux » : « Facebook, une merde ! « (Un ancien dirigeant de Facebook)

« Réseaux sociaux » : « Facebook, une merde ! «  (Un ancien dirigeant de Facebook)

Nullité, voyeurisme, égocentrisme caractérise Facebook.  En outre ce réseau social (qui comportent davantage d’amis inconnus que de véritables connaissances) comme les autres GAFA se livre à  un immense trafic de données et menace les libertés individuelles. Même si de très rares exemples  permettent une application intelligente globalement « Facebook est une merde » Ce qui résume assez bien l’évaluation de Facebook par un ancien dirigeant du réseau social. Un réseau social d’une grande nullité quant à son contenu ou s’échangent surtout  des banalités, des vulgarités voir de fausses informations. Bref,  le degré informatif, culturel et sociétal zéro ; En outre Facebook crée uen dépendance quasi maladive au réseau pour multiplier les échanges.  Des réseaux qui n’ont rien de sociaux mais plutôt à caractère commercial qui institutionnalise la bêtise humaine. Certes ici ou là on trouvera une information, une analyse, un objet artistique digne de ce nom mais il faudra pour cela fouiller dans une poubelle pleine de milliers et de milliers d’idioties et de nullités. C’est l’avis d’un expert,  Chamath Palihapitiya qui a travaillé comme vice-président en charge de la croissance de l’audience de Facebook. Aujourd’hui, il a tiré un trait sur le réseau social, au point d’interdire à ses enfants de l’utiliser. Il utilise au minimum « cette merde », a-t-il expliqué lors d’un débat organisé à la Stanford Graduate School of Business, signale The Verge (en anglais). L’ancien cadre a rejoint le groupe Facebook en 2007, avant de claquer la porte. Aujourd’hui, il critique, entre autres, les conséquences négatives de l’utilisation du bouton « J’aime » et recommande à tous de prendre  »une vraie pause » avec les réseaux sociaux. D’après lui, les réseaux sociaux « sapent les fondamentaux du comportement des gens ». « Je pense que nous avons créé des outils qui déchirent le tissu social », juge-t-il aujourd’hui, en faisant part de « son immense culpabilité », selon des propos rapportés par le site Quartz (en anglais). Plus largement, il dénonce aujourd’hui l’écosystème des médias sociaux, basés sur les pouces, les cœurs et les goûts, lesquels créent « des boucles fonctionnant sur la dopamine ». « Dieu seul sait ce qu’ils font aux cerveaux de nos enfants », s’était déjà alarmé l’ancien président de Facebook, Sean Parker, sur le site Axios (en anglais). Selon, lui, le site exploite les vulnérabilités psychologiques humaines pour pousser les utilisateurs à publier toujours plus de contenus pour obtenir des réponses et des mentions « J’aime » : « Les inventeurs et créateurs – moi, Mark[Zuckerberg], Kevin Systrom sur Instagram, tous ces gens – l’ont très bien compris. Et l’ont fait quand même, en connaissance de cause. »

Cambridge Analytica – Facebook : un avant goût du trafic de données

 

 

L’or noir n’est plus le pétrole depuis longtemps il est progressivement remplacé par la numérisation et le trafic de données. Aujourd’hui déjà, l’utilisation intensive d’internet et de se services permet déjà de déterminer le profil économique, social et sociétal de chaque internaute  Demain avec la multitude des applications de l’IA, on pourra en tout temps et en tout lieu identifier les comportements, les goûts et les opinions de chacun. Une immense base de données pourra être constituée, celle qui permettra de dominer l’économie mais aussi d’orienter la société. De ce point de vue, la riposte de l’Europe avec le règlement de protections des données apparaît bien insuffisante et surtout essentiellement défensive. Le scandale Cambridge Analytica : de  Facebook constitue un avant goût des dérives du trafic de données.   Des millions de données personnelles sont en effet  remises à Cambridge Analytica cabinet qui travaillait pour Trump. La preuve supplémentaire que ce réseau est à la fois le plus idiots des réseaux dits sociaux (même s’il existe de très rares cas d’utilisation intelligente de Facebook), aussi le plus pourri puisqu’il est aussi un champ d’analyse pour l’espionnage américain  Selon le journal le  Guardian et le  Washington Post , le renseignement américain récolte les relevés téléphoniques aux États-Unis et aurait accès aux serveurs de groupes informatiques comme  Google et Facebook, des pratiques héritées de l’ère Bush et approuvées par l’administration de Barack Obama. Le quotidien britannique The Guardian a publié une ordonnance de justice secrète forçant l’opérateur américain Verizon à livrer à l’Agence nationale de sécurité (NSA), à la demande du FBI, la totalité des données téléphoniques de ses abonnés, d’avril à juillet, en vertu d’une loi votée dans la foulée des attentats du 11 septembre 2001, le « Patriot Act ». Le Washington Post et le Guardian ont affirmé sur la base de fuites d’un ancien employé du renseignement que la NSA avait un accès direct aux serveurs de neuf sociétés internet, dont Facebook, Microsoft, Apple et Google. Grâce à un partenariat conclu avec ces compagnies, l’agence d’espionnage pourrait directement et sans ordonnance de justice lire les courriers électroniques et écouter les conversations des utilisateurs, tant qu’il existe une probabilité « raisonnable » que l’un des interlocuteurs se situe à l’étranger, la loi américaine exigeant une ordonnance dans le cas d’Américains. . Facebook, le plus grand réseau social au monde, a admis que les données personnelles de ses utilisateurs s’étaient retrouvées entre les mains du cabinet d’analyse, Cambridge Analytica. Ce dernier, travaillant pour la campagne électorale de Donald Trump en 2016, aurait ainsi collecté des informations sur 50 millions d’utilisateurs Facebook, sans leur consentement direct. La polémique a été révélée ce week-end par le New York Times et The Observer. L’affaire est gênante à plusieurs niveaux. Premièrement, elle touche le cœur même de l’activité de Facebook : la collecte de données – et l’usage potentiellement détourné qui peut en être fait. « On est en train d’ouvrir le couvercle de la boîte noire des pratiques de Facebook en matière de données, et le tableau n’est pas joli à voir », souligne auprès de ReutersFrank Pasquale, professeur de droit à l’Université du Maryland et spécialiste de l’utilisation des données par les géants d’Internet.  Aux États-Unis, plusieurs sénateurs souhaitent entendre les justifications devant le Congrès de Mark Zuckerberg, président et co-fondateur de Facebook. « C’est une brèche énorme sur laquelle il convient d’enquêter. Il est clair que ces plates-formes ne savent pas s’autodiscipliner », a twitté la sénatrice démocrate Amy Klobuchar. Même son de cloche en Europe. Le président du Parlement européen, Antonio Tajani, dénonçait lundi une « une violation inacceptable du droit à la vie privée de nos citoyens ». La commissaire européenne à la Justice, Vera Jourova, prévoit quant à elle d’aborder le sujet avec le réseau social et des responsables du gouvernement américain lors de sa vite aux États-Unis, cette semaine. Sur Internet, une campagne #DeleteFacebook (en français, supprime Facebook) a été lancée.

Cambridge Analytica : le nouveau scandale de Facebook

Cambridge Analytica : le nouveau scandale de  Facebook

 Des millions de données personnelles remises à Cambridge Analytica cabinet qui travaillait pour Trump. La preuve supplémentaire que ce réseau est à la fois le plus idiots des réseaux dits sociaux, aussi le plus pourri puisqu’il est  aussi un champ d’analyse pour l’espionnage américain.  Selon le journal le  Guardian et le  Washington Post , le renseignement américain récolte les relevés téléphoniques aux États-Unis et aurait accès aux serveurs de groupes informatiques comme Google et Facebook, des pratiques héritées de l’ère Bush et approuvées par l’administration de Barack Obama. Le quotidien britannique The Guardian a publié une ordonnance de justice secrète forçant l’opérateur américain Verizon à livrer à l’Agence nationale de sécurité (NSA), à la demande du FBI, la totalité des données téléphoniques de ses abonnés, d’avril à juillet, en vertu d’une loi votée dans la foulée des attentats du 11 septembre 2001, le « Patriot Act

Le Washington Post et le Guardian ont affirmé sur la base de fuites d’un ancien employé du renseignement que la NSA avait un accès direct aux serveurs de neuf sociétés internet, dont Facebook, Microsoft, Apple et Google. Grâce à un partenariat conclu avec ces compagnies, l’agence d’espionnage pourrait directement et sans ordonnance de justice lire les courriers électroniques et écouter les conversations des utilisateurs, tant qu’il existe une probabilité « raisonnable » que l’un des interlocuteurs se situe à l’étranger, la loi américaine exigeant une ordonnance dans le cas d’Américains.

. Facebook, le plus grand réseau social au monde, a admis que les données personnelles de ses utilisateurs s’étaient retrouvées entre les mains du cabinet d’analyse, Cambridge Analytica. Ce dernier, travaillant pour la campagne électorale de Donald Trump en 2016, aurait ainsi collecté des informations sur 50 millions d’utilisateurs Facebook, sans leur consentement direct. La polémique a été révélée ce week-end par le New York Times et The Observer. L’affaire est gênante à plusieurs niveaux. Premièrement, elle touche le cœur même de l’activité de Facebook : la collecte de données – et l’usage potentiellement détourné qui peut en être fait. « On est en train d’ouvrir le couvercle de la boîte noire des pratiques de Facebook en matière de données, et le tableau n’est pas joli à voir », souligne auprès de ReutersFrank Pasquale, professeur de droit à l’Université du Maryland et spécialiste de l’utilisation des données par les géants d’Internet.  Aux États-Unis, plusieurs sénateurs souhaitent entendre les justifications devant le Congrès de Mark Zuckerberg, président et co-fondateur de Facebook. « C’est une brèche énorme sur laquelle il convient d’enquêter. Il est clair que ces plates-formes ne savent pas s’autodiscipliner », a twitté la sénatrice démocrate Amy Klobuchar. Même son de cloche en Europe. Le président du Parlement européen, Antonio Tajani, dénonçait lundi une « une violation inacceptable du droit à la vie privée de nos citoyens ». La commissaire européenne à la Justice, Vera Jourova, prévoit quant à elle d’aborder le sujet avec le réseau social et des responsables du gouvernement américain lors de sa vite aux États-Unis, cette semaine. Sur Internet, une campagne #DeleteFacebook (en français, supprime Facebook) a été lancée.

Innovation scientifique : un bouton « J’aime pas » sur Facebook

Innovation scientifique : un bouton « J’aime pas » sur Facebook

On n’arrête pas le progrès scientifique puisque la direction de Facebook envisage de créer un bouton nouveau je n’aime pas pour enrichir le contenu littéraire du site avec toutefois une précision du plus grad intérêt  intellectuel, à savoir qu’il ne s’agirait pas vraiment d’un bouton je n’aime pas mais d’un bouton j’aime inversé. certains .penseront à juste titre que ce fameux bouton existant j’aime ou le futur je n’aime pas constitue l’expression culturelle la plus débile. Mais il faut voir que derrière cette incitation à appuyer sur ce bouton, il y a en jeu le nombre de visiteurs du fameux site d’échange de banalités et derrière l’évolution du prix de la publicité qui fait vivre le site.  Le pire c’est que cette innovation scientifique exceptionnelle est justifiée  par un assainissement des contenus. Facebook veut proposer à ses abonnés un nouveau moyen d’exprimer leur désaccord avec des publications: le bouton « downvote » (vote négatif), qui servira d’alerte aux équipes de Facebook en cas de message « inapproprié, incivique, trompeur » et même « hors sujet ». Cette fonction est actuellement en test aux États-Unis. Pour l’incarner, pas de pouce, mais une flèche pointée vers le bas. Car en effet, il ne s’agit pas exactement d’un « Je n’aime pas », mais plutôt d’une sorte de « J’aime » inversé comme l’a indiqué un porte-parole du réseau social au site TechCrunch. La différence est de taille puisque cela aura un impact direct sur l’accès à une information. Plus il y aura de « downvote », moins un post sera visible et à partir d’un certain seuil, il pourrait même ne plus être affiché. En cliquant dessus, un menu déroulant apparaîtra pour préciser les raisons de la sanction.

 

L’Allemagne ouvre une enquête sur la pub de Google et Facebook

L’Allemagne ouvre une enquête sur la pub de Google et Facebook

 

Google, filiale d‘Alphabet, et Facebook auraient engrangé la moitié des recettes publicitaires en ligne dans le monde en 2017 et plus de 60% aux Etats-Unis, selon le cabinet eMarketer. Une situation qui inquiète l’Allemagne dont le marché publicité des deux sociétés citées représenterait entre 5 et 10 milliards. Comme d’habitude et contrairement à la France, l’Allemagne ne fait pas de grandes déclarations mais s’attaque concrètement à ce phénomène d’oligopole qui à terme pourrait maîtriser 80 % de la publicité mondiale. Une publicité qui par ailleurs ne sera pas forcément mise prioritairement au service des produits et services européens. Trois problèmes vis-à-vis de Google et de Facebook et plus généralement vis-à-vis des GAFA. D’abord cette position dominante sur le plan commercial mais aussi culturel. Ensuite cette mainmise sur les ressources publicitaires qui pourraient par ailleurs couler bon nombre de médias nationaux. Enfin la question de la fiscalité puisque  jusque-là on a considéré que les GAFA  n’étaient pas imposables faute d’établissement fixe en France et en Europe. Cet évitement fiscal aurait coûté la a environ i milliards à la France. L’Allemagne  ouvre ainsi un nouveau  front après avoir accusé Facebook en décembre d‘abuser de sa position dominante pour collecter les données personnelles des deux milliards d‘utilisateurs de son réseau social. ”Un petit nombre de grandes sociétés comme Google et Facebook sont arrivées et ont pris une position importante sur le marché, dit le président de l‘office Andreas Mundt dans un communiqué. Certains acteurs du marché jugent que ces deux groupes ont mis en place des systèmes fermés, également connus sous le nom de “walled gardens” (jardin clos), soulevant des inquiétudes concernant l‘accès aux données des consommateurs et leur utilisation.

 

Fausses nouvelles, faux comptes : Facebook, Twitter, Google impuissants

Fausses nouvelles, faux comptes : Facebook, Twitter, Google  impuissants

 

Le Congrès américain s’inquiète de la prolifération de « faux » comptes et  des réponses très évasives de Facebook, Twitter et Google.   Pour Facebook, Au troisième trimestre 2017, l’ensemble de ces faux  comptes représentait « environ 3% des utilisateurs mensuels actifs dans le monde (2,07 milliards-) soit plus de 62 millions de faux comptes sur Facebook. En se basant sur des études indépendantes, le Congrès estime qu’il y a environ 15% de faux comptes sur Twitter – soit environ 48 millions. Le petit oiseau bleu dément, assurant que les faux comptes représentent « moins de 5% des utilisateurs actifs mensuels ». Beaucoup de questions, et toujours peu de réponses. Le Congrès américain a publié jeudi les réponses écrites de Facebook, Twitter et Google, interrogés sur le dossier de campagnes de propagandes russes durant la présidentielle américaine en 2016. Les géants américains avaient déjà été appelés à se justifier devant le Congrès début novembre dernier. Le rapport aborde entre autres les publicités politiques ciblées, les techniques de modération des entreprises ou encore, le nombre de contenus russes identifiés. En ligne de mire : les élections fédérales américaines à l’automne. . Le réseau social Facebook dit « ne pas être en mesure de corroborer ou de réfuter les allégations de collusion possible ». Lors de l’audition en novembre dernier, l’entreprise de Mark Zuckerberg avait admis qu’environ 126 millions d’Américains avaient été exposés à du contenu généré par des entités russes dont l’Internet Research Agency (IRA). Google est notamment visé pour son service de vidéo, YouTube. En novembre, il avait détecté 18 chaînes, ayant totalisé 309.000 vues. . « Facebook n’est pas en mesure de savoir tout ce que les acteurs étrangers ont fait dans leurs activités en ligne », annonce d’emblée le réseau social. «  De son côté, Twitter se dédouane : « Au regard du grand volume de contenus postés et le caractère instantané de notre plateforme, Twitter n’est pas capable de surveiller en temps réel tous les tweets. » 

 

« Facebook, une merde ! « (un ancien dirigeant de Facebook)

 « Facebook, une merde ! «  (un ancien dirigeant de Facebook)

Ce qui résume assez bien l’évaluation de Facebook par un ancien dirigeant du réseau social. Un réseau social d’une grande nullité quant à son contenu ou s’échangent surtout  des banalités, des vulgarités voir de fausses informations. Bref,  le degré informatif, culturel et sociétal zéro ; En outre Facebook crée uen dépendance quasi maladive au réseau pour multiplier les échanges.  Des réseaux qui n’ont rien de sociaux mais plutôt à caractère commercial qui institutionnalise la bêtise humaine. Certes ici ou là on trouvera une information, une analyse un objet artistique digne de ce nom mais il faudra pour cela fouiller dans une poubelle pleine de milliers et de milliers d’idioties et de nullités. C’est l’avis d’un expert,  Chamath Palihapitiya qui a travaillé comme vice-président en charge de la croissance de l’audience de Facebook. Aujourd’hui, il a tiré un trait sur le réseau social, au point d’interdire à ses enfants de l’utiliser. Il utilise au minimum « cette merde », a-t-il expliqué lors d’un débat organisé en novembre à la Stanford Graduate School of Business, signale The Verge (en anglais). L’ancien cadre a rejoint le groupe Facebook en 2007, avant de claquer la porte. Aujourd’hui, il critique, entre autres, les conséquences négatives de l’utilisation du bouton « J’aime » et recommande à tous de prendre  »une vraie pause » avec les réseaux sociaux. D’après lui, les réseaux sociaux « sapent les fondamentaux du comportement des gens »« Je pense que nous avons créé des outils qui déchirent le tissu social », juge-t-il aujourd’hui, en faisant part de « son immense culpabilité », selon des propos rapportés par le site Quartz (en anglais). Plus largement, il dénonce aujourd’hui l’écosystème des médias sociaux, basés sur les pouces, les cœurs et les goûts, lesquels créent « des boucles fonctionnant sur la dopamine ». Avant de se montrer plus nuancé, quelques minutes plus tard, en estimant que Facebook faisait  »majoritairement du bien dans le monde ». Ce revirement n’est pas un cas isolé. « Dieu seul sait ce qu’ils font aux cerveaux de nos enfants », s’était déjà alarmé l’ancien président de Facebook, Sean Parker, sur le site Axios (en anglais). Selon, lui, le site exploite les vulnérabilités psychologiques humaines pour pousser les utilisateurs à publier toujours plus de contenus pour obtenir des réponses et des mentions « J’aime » : « Les inventeurs et créateurs – moi, Mark[Zuckerberg], Kevin Systrom sur Instagram, tous ces gens – l’ont très bien compris. Et l’ont fait quand même, en connaissance de cause. »

Facebook, Twitter et Youtube poursuivis pour propos haineux

Facebook, Twitter et Youtube poursuivis pour propos haineux

 

Il est clair qu’on trouve tout sur les réseaux sociaux, le meilleur comme le pire ;  y comprit les propos injurieux et haineux. Cela d’autant plus facilement qu’on peut ce cacher derrière l’anonymat.  De ce point de vue, une réflexion déontologique devrait s’imposer notamment pour d’envisager l’obligation de déclarer son identité.  il est vraiment regrettable que l’outil numérique que constitue Internet soit utilisé pour permettre le défoulement notamment anonyme. Pour le moins un  besoin de régulation déontologique s’impose. Trois associations antiracistes françaises ont annoncé dimanche qu’elles portaient plainte contre Facebook, Twitter et YouTube pour non-respect de leurs obligations de modération des propos diffusés par ces réseaux sociaux. L’Union des étudiants juifs de France (UEJF), SOS racisme et SOS homophobie ont signalé 586 contenus racistes, antisémites, négationnistes, homophobes ou faisant l’apologie du terrorisme et de crimes contre l’humanité entre le 31 mars et le 10 mai derniers sur ces réseaux. « Sur ces 586 contenus haineux signalés, seuls 4% ont été supprimés sur Twitter, 7% sur YouTube et 34% sur Facebook », écrivent les trois associations dans un communiqué. Elles précisent qu’elles assigneront en référé devant la justice française Twitter, YouTube et Facebook « pour comprendre les raisons du non respect de leurs obligations légales ». La législation sur l’économie numérique impose aux hébergeurs de supprimer « dans un délai raisonnable » les « contenus manifestement illicites » et de les signaler à la justice, rappellent-elles. « Vu les bénéfices réalisés par Youtube, Twitter et Facebook en France et le peu d’impôts qu’ils paient, leur refus d’investir dans la lutte contre la haine est inacceptable », commente le président de l’UEJF, Sacha Reingewirtz.

(avec AFP)

RU- Impôt de Facebook moins qu’un salarié !

RU- Impôt de Facebook moins  qu’un salarié !

L’optimisation fiscale a de l’avenir surtout quand en plus on lui donne une vernis social. Déjà pardis de l’argent sale, la grande Bretagne est auusi celui de l’ingénierie de l’évasion fiscale. Pour l’année fiscale 2014, la filiale britannique de Facebook a reversé à l’administration fiscale 4.327 livres, soit l’équivalent de 5.830 euros, au titre de l’impôt sur les sociétés, révèle The Independant. Une somme dérisoire d’autant plus étonnante qu’elle représente environ 1.000 livres de moins que la contribution d’un travailleur britannique touchant le salaire moyen. Rémunéré à hauteur de 26.500 livres par an (35.705 euros), il doit en effet s’acquitter de 5.393 livres (7.266 euros), soit 1.066 livres de plus que l’entreprise américaine. Pour payer aussi peu d’impôts, Facebook a versé des bonus à hauteur de 35.4 millions de livres à ses 362 salariés britanniques afin d’accuser une perte de 28,4 millions de livres et se déclarer déficitaire en 2014, explique le Guardian. Si elle pose une question morale, cette combine est légale outre-Manche, où six millions de travailleurs vivent en dessous du seuil de pauvreté. L’an dernier, la multinationale avait déjà versé seulement 3.169 livres au trésor royal. Ce qui ne l’avait pas empêché de bénéficier de 182.000 livres de crédit d’impôt pour éponger ses pertes. L’an dernier, Facebook a versé 320.000 euros au fisc français au titre de l’impôt sur les bénéfices.

Facebook : l’art de l’optimisation fiscale

Facebook : l’art de l’optimisation fiscale

 

 

Facebook, un champion de l’optimisation fiscale qui réalise environ 100 millions de bénéfices (au lieu de 35 millions) et ne paye qu’un peu plus de 300 000 €. La méthode est simple il suffit de faire facturer certaines prestations par des filiales à l’étranger puis de faire transiter les profits par différents paradis fiscaux. C’est le schéma classique utilisé par les multinationales pour échapper à l’impôt. Le principe est simple en général il s’agit d’externaliser des profits et d’internaliser les coûts. La méthode est encore plus facile lorsqu’il s’agit de production immatérielle comme celle de Facebook. Il est clair que si les éleveurs de porcs français pouvaient procéder de la même manière, la filière serait très compétitive !  Facebook assure que son chiffre d’affaires se limitait l’an passé à 12,9 millions d’euros.  Un confetti par rapport aux revenus réellement engrangés par le réseau social. Ceux-ci peuvent être estimés à 266 millions d’euros. En effet, Facebook revendique 28 millions d’utilisateurs actifs par mois sur fixe et mobile en France. Et le revenu moyen s’élève à 11,6 dollars (9,5 euros) par utilisateur et par an en Europe en 2014, indiquent les comptes du groupe.  Si on applique à ce chiffre d’affaires la marge avant impôt globale du réseau social (39%), on peut estimer le bénéfice avant impôt engrangé en France à 105 millions d’euros, et l’impôt qui aurait dû être acquitté dans l’Hexagone à 35 millions d’euros.  Si la filiale française déclare un chiffre d’affaire ridicule, c’est parce que son rôle officiel se limite au « marketing et support des ventes ». La publicité ciblant les internautes français n’est pas facturée depuis la France, mais depuis l’Irlande. Ce montage est contesté par le fisc français, qui a lancé un contrôle de la filiale française.   Mais Facebook ne paye quasiment pas d’impôts en Irlande non plus. En réalité, l’argent est envoyé dans une filiale installée aux îles Caïmans. Même si le réseau social n’a pas de présence effective dans ce paradis fiscal: il utilise une boîte aux lettres du cabinet d’avocats Appleby, qui revendique fièrement sur son site être spécialisé dans les paradis fiscaux, et même avoir remporté en 2010 le prix du meilleur cabinet d’avocats offshore. Au final, ce montage d’optimisation fiscale permet de ne quasiment pas payer d’impôt hors des Etats-Unis. Les activités internationales, qui rapportent pourtant 55% des revenus, ne représentent que 5% de la charge d’impôt du groupe.  Mais ce n’est pas tout. Le réseau social pratique aussi l’optimisation fiscale vis-à-vis du fisc américain. D’abord, bien que son siège soit en Californie, la société est immatriculée depuis l’origine au Delaware, le paradis fiscal interne des Etats-Unis. Ensuite, les profits engrangés à l’étranger ne sont pas rapatriés aux Etats-Unis pour échapper à l’impôt sur les bénéfices fédéral (35%). Ainsi, 1,52 milliard de dollars dormaient aux îles Caïmans à fin juin… La France ne peut même pas se consoler avec le nombre d’emplois créés par Facebook. Sa filiale française n’emploie que 37 personnes…

 

Facebook : boite à fric

Facebook : boite à fric

Facebook, une sorte d’auberge espagnole, on trouve tout et rien, quelques  publications intéressantes mais beaucoup auusi sans intérêt. Surtout une boite à fric. En effet  les résultats de Facebook sont encore meilleurs que prévu au premier trimestre. Son bénéfice net a presque triplé à 642 millions de dollars. Selon des résultats publiés ce mercredi 23 avril, le bénéfice net par action a dépassé de 10 cents la prévision moyenne des analystes, à 34 cents. Les recettes publicitaires ont bondi de 82% sur un an, à 2,27 milliards de dollars, avec une part du mobile qui continue de monter, à 59% contre 53% au dernier trimestre 2013 et 30% il y a un an. Le chiffre d’affaires total du groupe s’est envolé au premier trimestre de 72%, à 2,50 milliards de dollars, dépassant le consensus du marché qui était de 2,36 milliards. Le nombre d’utilisateurs du réseau et leur engagement continue aussi de progresser: Facebook revendiquait fin mars 1,28 milliard d’utilisateurs actifs mensuellement, contre 1,23 milliard trois mois plus tôt. Parmi eux, 802 millions se connectent tous les jours, soit une part de 65,2% elle aussi en amélioration comparé au trimestre précédent (61,5%).Facebook a annoncé parallèlement à ses résultats trimestriels le départ de son directeur financier depuis cinq ans, David Ebersman. Il sera remplacé le 1er juin par David Wehner, un vice-président du groupe déjà en charge de questions financières, mais restera au sein du groupe jusqu’à septembre pour assurer une meilleure transition, précise le communiqué. Dans les échanges électroniques suivant la clôture de Wall Street, l’action Facebook gagnait 2,72% à 63,03 dollars vers 21H25 françaises.

Evasion fiscale ; l’exemple de Facebook qui ne déclare en France que 2.5% de son chiffre d’affaires

Evasion fiscale ; l’exemple de Facebook qui ne déclare en France que 2.5% de son chiffre d’affaires

Facebook Ireland Ltd est détenu à 100% par la société irlandaise Facebook Ireland Holdings, lui-même détenu à 99,9% par la société irlandaise Facebook International Holdings II, lui-même détenu à 99,9% par la société irlandaise Facebook International Holdings I, lui-même détenu à 99,9% par Facebook Cayman Holdings Unlimited I.  L’évasion fiscale des grandes entreprises est sous le feu des projecteurs. Ce mardi 10 septembre, Arte diffuse en prime time un documentaire sur le sujet. Et quelques heures plus tôt, le Conseil national du numérique présente ses solutions pour taxer les géants de l’Internet.  Le dernier né de ces géants, Facebook, n’échappe pas à la règle. Lui aussi pratique l’évasion fiscale à outrance, ce qui lui permet de payer des impôts minuscules. Ainsi, sa filiale française n’a payé que 191.133 euros d’impôt sur les bénéfices en 2012.  Officiellement, la filiale hexagonale n’a qu’un rôle de fourniture de « services marketing ». Ce qui permet de déclarer un chiffre d’affaires ridicule (7,6 millions d’euros en 2012).  En réalité, l’activité générée en France est bien plus importante. Le chiffre d’affaires réel peut être estimé à environ 300 millions d’euros en 2012, en se basant sur le nombre d’inscrits au réseau en France (28 millions). Le chiffre d’affaires pour 2011 avait été estimé à 150 millions d’euros par le cabinet Greenwich, qui s’était basé sur le poids de Facebook sur le marché publicitaire.  Si ce chiffre d’affaires était effectivement déclaré en France, alors la filiale française aurait fait près de 30 millions d’euros de bénéfices avant impôt (en appliquant à la France la rentabilité globale du groupe), et donc payé 10 millions d’euros d’impôts.  Cette évasion fiscale n’est pas du goût du fisc français, qui effectue un contrôle fiscal de la filiale, comme l’a révélé l’Express Si Facebook ne déclare quasiment rien en France, c’est parce que toute la publicité hors des Etats-Unis est vendue depuis une filiale immatriculée à Dublin, Facebook Ireland Ltd.  Mais cette filiale réussit l’exploit de ne quasiment pas payer d’impôts en Irlande non plus. Pour cela, le réseau social utilise un autre stratagème. Les comptes de cette filiale irlandaise sont délibérément plombés pour qu’elle dégage très peu de bénéfices -elle a même perdu de l’argent en 2011.En pratique, cette filiale doit payer des redevances pour le droit d’utiliser la plate-forme Facebook, pour l’hébergement de ses données sur des serveurs, et même des management fees, car visiblement le siège californien juge un Irlandais incapable de gérer tout seul la filiale… Toutes ces redevances absorbent 99% des revenus, réduisant ainsi à néant les profits. La plupart de ces redevances sont versées à une autre société irlandaise, Facebook Ireland Holdings. Celle-ci est détenue, à travers de plusieurs holdings, par Facebook Cayman Holdings Unlimited I, une société immatriculée dans le paradis fiscal des îles Caïmans.  En pratique, le réseau social n’a pas de présence effective sur place: il utilise une boîte aux lettres du cabinet d’avocats Appleby, qui revendique fièrement sur son site être spécialisé dans les paradis fiscaux, et même avoir remporté en 2010 le prix du meilleur cabinet d’avocats offshore… « Il n’y a aucune forme d’impôt sur les particuliers et les entreprises aux îles Caïmans », rappelle la brochure du cabinet.  C’est donc dans ces îles que s’entassent les profits générés hors des Etats-Unis. Selon les comptes de Facebook, 699 millions de dollars de trésorerie étaient ainsi stockés offshore à fin juin, soit 7% de la trésorerie totale.  Tout ceci permet à Facebook de ne payer quasiment aucun impôt hors des Etats-Unis, alors que l’international représentente désormais la moitié de ses revenus. En 2012, il a ainsi payé à peine 15 millions de dollars d’impôts aux fiscs étrangers, sur 2,5 milliards de dollars de chiffre d’affaires. Record battu.Et comme si cela n’était pas suffisant, le réseau social possède aussi plusieurs filiales au Delaware, le paradis fiscal interne des Etats-Unis, dont une détient Facebook France…

 

Facebook : version sans sucre

Facebook : version sans sucre

 

Une version allégée de Facebook est en préparation. L’application, qui requiert moins de données informatiques que les applications actuelles de Facebook pour Android ou iPhone, devrait permettre aux détenteurs de téléphones mobiles classiques d’avoir accès à Facebook depuis leur téléphone, tout comme les détenteurs de smartphones, ajoute le quotidien.  D’après le New York Times, Facebook prévoit d’annoncer très bientôt les résultats de ce projet sur lequel il travaille depuis deux ans.   »Facebook for every phone » est destiné à alimenter la croissance du groupe dans les pays émergents où les téléphones mobiles traditionnels sont encore la norme, alors que la croissance des utilisateurs du réseau social piétine dans les pays développés.

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