Archive pour le Tag 'exécuté'

Barbarie : un journaliste opposant exécuté en Iran

Barbarie : un journaliste opposant exécuté en Iran

 

Un exemple supplémentaire de la barbarie du système dictatorial des religieux chiites en Iran. “(Le) directeur du réseau contre-révolutionnaire AmadNews a été pendu ce matin”, a rapporté la télévision d’Etat iranienne.

Dans un communiqué, le ministère français des Affaires étrangères condamne “avec la plus grande fermeté cette atteinte grave à la liberté d’expression et à la liberté de la presse” et dénonce “un acte barbare et inacceptable”.

Fils d’un dignitaire religieux chiite réformateur, Rouhollah Zam avait obtenu l’asile politique en France après avoir fui l’Iran. Les Gardiens de la révolution ont annoncé en octobre 2019 l’avoir capturé à l’issue d’une opération ayant mobilisé leurs services de renseignement, sans préciser où elle s’était déroulée.

Un ministre nord-coréen exécuté au canon !

Un  ministre nord-coréen exécuté au canon !

Kim Yong, le dictateur fou, n’a pas faiat dans la dentelle en faisant exécuter un ministre au canon ; à titre exemple pour consolider uen régime de plus en plus critiqué y compris en interne. L’agence de presse sud-coréenne Yonhap affirme que Hyon Yong-Chol, le ministre nord-coréen de la Défense, a été exécuté le 30 avril devant des centaines de responsables du régime de Pyongyang.  C’est parce qu’il s’était endormi lors d’une manifestation à laquelle assistait le dirigeant Kim Jong Un que  Hyon Yong Chol a été exécuté selon les médias sud-coréeens qui citent les services de renseignement. Il aurait aussi montré son mécontentement envers la gouvernance du leader nord-coréen et ne pas avoir tenu compte de ses ordres à plusieurs reprises. Han Ki-Beom, le directeur adjoint des services de renseignement nationaux, a indiqué à la commission parlementaire que Hyon Yong-Chol avait été tué au moyen d’un tir de missile anti-aérien, une méthode d’exécution citée dans plusieurs rapports non confirmés et réservée aux hauts dirigeants en guise d’exemple. En avril, la Commission pour les droits de l’Homme en Corée, une organisation basée aux Etats-Unis, avait publié des photos, prises par satellite, d’une académie militaire du nord de Pyongyang., où l’on voyait des batteries anti-aériennes dans un champ de tir. C’est là qu’aurait eu lieu cette exécution.    Kim Jong-Un avait annulé une visite prévue à Moscou la semaine dernière en raison de « problèmes internes ». Si les informations provenant de l’agence d’espionnage sud-coréenne sont parfois à prendre avec précaution, celle-ci avait néanmoins correctement annoncé l’arrestation en 2013 du propre oncle de Kim Jong-un, Jang Song-taek, exécuté pour trahison. Toujours selon Séoul, depuis le début de l’année, 15 autres dignitaires nord-coréens ont été fusillés. Kim Jong-un a recours à la terreur pour assoir son autorité. Mais certains analystes estiment que ces purges à répétition pourraient à long terme pousser les élites nord-coréennes à se dresser contre leur dirigeant.

 

Etat islamique : encore un journaliste exécuté

Etat islamique : encore un journaliste exécuté

 

.

La barbarie continue mais la réplique de l’alliance contre l’Etat islamique ne semble pas à la hauteur. Comment en effet comprendre que l’union des grandes puissances ne puisse venir à bout rapidement de quelques 50 000 abrutis sanguinaires. Il y a en tout cas des interrogations à se poser sur l’efficacité de la stratégie (y compris de celle de la France qui demeure du domine anecdotique en Irak en dépit des déclarations ronflantes de Hollande).  Un journaliste irakien, son frère et deux autres civils ont été exécuté par le groupe terroriste Etat islamique (EI), en public, ce vendredi dans un village situé au nord de Bagdad. L’EI a également exécuté neuf personnes qu’il soupçonnait de liens avec des groupes sunnites anti-djihadistes, selon des sources de sécurité et des témoins. Les djihadistes ont tué Raad al-Azzawi, un caméraman de 37 ans qui travaillait pour la chaîne de télévision locale Sama Salaheddine, et les trois autres personnes à Samra, à l’est de la ville de Tikrit.   Selon l’organisation Reporters sans frontières, ce journaliste, père de trois enfants, avait été enlevé par le groupe djihadiste le 7 septembre. « Ils sont venus chez lui et l’ont emmené avec son frère« , selon un membre de la famille. « Il n’a rien fait de mal, son seul crime a été d’être caméraman, il faisait juste son métier. Il y a dû y avoir des gens dans le village qui l’ont accusé de travailler pour le gouvernement et qui l’ont dénoncé aux jihadistes« , a-t-il ajouté.

 




L'actu écologique |
bessay |
Mr. Sandro's Blog |
Unblog.fr | Annuaire | Signaler un abus | astucesquotidiennes
| MIEUX-ETRE
| louis crusol