Archive pour le Tag 'exclus'

Assemblée :les ex LFI exclus par Mélenchon inscrits désormais chez les écolos

Assemblée :les ex LFI exclus par Mélenchon inscrits désormais chez les écolos 

Les frondeurs de La France insoumise ont trouvé une piste d’atterrissage. Clémentine Autain, Danielle Simonnet, Alexis Corbière, Hendrik Davi et François Ruffin, en rupture de ban avec Jean-Luc Mélenchon, siègeront au sein du groupe parlementaire des Écologistes.

 

L’arrivée parmi les députés écologistes de ces poids lourds politiques, en particulier les présidentiables ( !) Clémentine Autain et François Ruffin, suscite de l’inquiétude chez certains Verts. «Ce n’est plus le groupe des écolos, c’est le groupe de François Ruffin», s’étrangle un écologiste. Sandrine Rousseau, députée très identifiée, ne verrait pas d’un très bon œil ce transfert. «Pour elle, ça fait de la concurrence» sur le terrain de la radicalité , estime un ancien proche de Yannick Jadot. Pour les Verts les plus modérés, ce rapprochement symbolise surtout la conversion idéologique de la direction du mouvement au logiciel mélenchoniste. «On accrédite l’idée qu’eux et nous, c’est un peu pareil, tout en faisant un sacré pied de nez aux socialistes», regrette un élu écolo.

Zones à faibles émissions (ZFE) :Les pauvres encore davantage exclus à Lyon, Grenoble et Strasbourg

Zones à faibles émissions (ZFE) :Les pauvres encore davantage exclus à Lyon, Grenoble et Strasbourg


D’une certaine manière c’est la double punition pour les moins favorisés qui ne peuvent pas se payer un logement dans le cœur des villes content tenu des prix exorbitants et donc contraints d’habiter mais dans les banlieues mais qui possèdent souvent de vieux véhicules qui progressivement sont interdits d’accès au cœur des métropoles et autres villes.

Des villes de Lyon Grenoble et Strasbourg, dirigée par les écolos, vont donc rendre les conditions d’accès de la ville encore plus difficile pour les pauvres qui possèdent des véhicules anciens comme ceux identifiés comme Crit’Air 4. Après les Crit’Air 5, les Crit’Air 4 seront donc partiellement ou totalement interdites de circuler .

A ce jour, onze métropoles ont commencé à déployer des ZFE, chacune avec son propre calendrier.

Leurs créations résultent de la loi d’orientation des mobilités (LOM) de 2019. Une généralisation en France de ces zones est prévue par la loi d’ici à 2025 dans les 43 agglomérations de plus de 150.000 habitants.

« Chaque année, la pollution de l’air génère environ 40.000 décès prématurés, selon Santé publique France (2021) (et) provoque également quantité d’affections et de maladies chroniques (maladies cardio-vasculaires, asthme…) », rappelle notamment le site de la métropole de Lyon.

Des associations prônent également le soutien au développement des mobilités douces, mais aussi des véhicules intermédiaires, c’est-à-dire ceux en dessous de 600 kilos comme les voitures sans permis type Ami de Citroën. propre.

cette mesure écologique n’est pas populaire. Une vaste consultation en ligne effectuée par le Sénat à ce sujet en juin dernier montre que 86 % des particuliers et 79 % des professionnels sont contre le déploiement de ces zones, évoquant une mesure « discriminante », « injuste » et « excluante ». Et même les associations se rangent du côté des contestataires pour permettre de laisser plus de temps pour « préparer le marché du véhicule d’occasion électrique », justifie Tony Renucci, directeur général de l’association Respire.

Incidents et Hommage aux professeurs tués : seulement 85 élèves exclus

Incidents et Hommage aux professeurs tués : seulement 85 élèves exclus

Alors qu’officiellement de l’ordre de 500 à 600 incidents sont intervenus lors de l’hommage à Samuel Paty et Dominique Bernard seulement 85 élèves ont été exclus définitivement de leur établissement . Un total de 605 sanctions ont été prononcées lors de conseils de discipline après les hommages rendus aux deux enseignants assassinés, selon le ministère de l’Education nationale.

Un total de 605 sanctions, dont 85 exclusions définitives de l’établissement, ont été prononcées lors de conseils de discipline après les incidents qui ont émaillé les hommages, en octobre, aux professeurs Dominique Bernard tué à Arras et à Samuel Paty, assassiné en octobre 2020, a annoncé, jeudi 23 novembre, le ministère de l’Education nationale.

Parmi les 605 sanctions, 322 sont des exclusions temporaires de l’établissement et 47 des exclusions définitives avec sursis, a ajouté le ministère dans une communication que France Télévisions a pu consulter, en ne détaillant que les exclusions.

Pour les actes de contestation ou perturbation les plus graves, des mesures d’éloignement de l’établissement à titre conservatoire avaient été décidées dès le 16 octobre, date de l’hommage. Les conseils de discipline qui ont suivi ont décidé des sanctions allant d’un avertissement ou un blâme (huit élèves) à l’exclusion définitive de l’établissement.

« Systématiquement, on saisit le procureur de la République » et « on engage des procédures disciplinaires », avait-il dit. « Dans les cas les plus graves, j’ai demandé aux chefs d’établissement que ces élèves soient exclus à titre conservatoire, sans attendre le conseil de discipline ».

Hommage aux professeurs tués : seulement 85 élèves exclus

Hommage aux professeurs tués : seulement 85 élèves exclus

Alors qu’officiellement de l’ordre de 500 à 600 incidents sont intervenus lors de l’hommage à Samuel Paty et Dominique Bernard seulement 85 élèves ont été exclus définitivement de leur établissement . Un total de 605 sanctions ont été prononcées lors de conseils de discipline après les hommages rendus aux deux enseignants assassinés, selon le ministère de l’Education nationale.

Un total de 605 sanctions, dont 85 exclusions définitives de l’établissement, ont été prononcées lors de conseils de discipline après les incidents qui ont émaillé les hommages, en octobre, aux professeurs Dominique Bernard tué à Arras et à Samuel Paty, assassiné en octobre 2020, a annoncé, jeudi 23 novembre, le ministère de l’Education nationale.

Parmi les 605 sanctions, 322 sont des exclusions temporaires de l’établissement et 47 des exclusions définitives avec sursis, a ajouté le ministère dans une communication que France Télévisions a pu consulter, en ne détaillant que les exclusions.

Pour les actes de contestation ou perturbation les plus graves, des mesures d’éloignement de l’établissement à titre conservatoire avaient été décidées dès le 16 octobre, date de l’hommage. Les conseils de discipline qui ont suivi ont décidé des sanctions allant d’un avertissement ou un blâme (huit élèves) à l’exclusion définitive de l’établissement.

« Systématiquement, on saisit le procureur de la République » et « on engage des procédures disciplinaires », avait-il dit. « Dans les cas les plus graves, j’ai demandé aux chefs d’établissement que ces élèves soient exclus à titre conservatoire, sans attendre le conseil de discipline ».

Microsoft et Google exclus de l’Éducation nationale

Microsoft et Google exclus de l’Éducation nationale

Suite à une question parlementaire déposée par le député (Modem) Philippe Latombe, ardent défenseur de la souveraineté numérique française, le ministère de l’Éducation nationale s’est prononcé contre l’utilisation de Microsoft et de Google dans les écoles, collèges et lycées.

Invoquant le respect du RGPD, mais aussi de la doctrine « cloud au centre » de l’État ou encore l’arrêt dit Schrems 2 prononcé en 2020 par la Cour de justice européenne (CJUE), « le ministère a demandé d’arrêter tout déploiement ou extension de la solution de Microsoft ainsi que celle de Google », a répondu Pap N’Diaye, le ministre de l’Éducation nationale et de la Jeunesse.

Le ministère de l’Éducation nationale estime que les solutions Office 365 de Microsoft (dont Word, Excel, Power Point…) et celles de Google Workplace ne sont pas conformes aux exigences européennes sur la protection des données et à la doctrine « cloud au centre » de l’État . Il demande aux écoles, collèges et lycées « d’arrêter tout déploiement ou extension » des solutions des deux géants américains, déjà très déployées. Ravies, les alternatives françaises se positionnent pour prendre le relais.

Tennis Wimbledon: russes et biélorusses exclus

Tennis Wimbledon: russes et biélorusses exclus

L’ATP, association qui régit le le circuit masculin de premier plan (sauf les Grands Chelems), a critiqué la décision de Wimbledon d’exclure les athlètes russes et biélorusses du plus prestigieux tournoi sur gazon de l’année, mercredi 20 avril. La WTA, qui gère le circuit féminin, lui a emboité le pas. Cette décision a également été prise par la LTA, fédération britannique de tennis pour tous les tournois disputés outre-Manche.

L’association assure que les joueurs russes et biélorusses seront toujours autorisés à jouer les tournois ATP sous drapeau neutre, comme depuis le début de l’invasion russe en Ukraine. La WTA a embrayé le pas de l’ATP par un communiqué publié plus tard dans la soirée. L’organisation souligne, elle aussi, le caractère discriminatoire d’une telle mesure et se dit « décue des annonces du jour ».

Une position que ne partage pas l’athlète ukrainienne Elina Svitolina, épouse de Gaël Monfils, très engagée depuis le début de l’invasion. Dans un tweet, la joueuse a demandé aux joueurs et joueuses concernés de prendre position contre l’invasion ukrainienne et de les suspendre en cas de réponse négative. « Il est des temps où le silence est une trahison et ce moment est venu« , affirme-t-elle.

La proportionnelle : un moyen d’être représenté pour les exclus de la démocratie

La proportionnelle : un moyen d’être représenté pour les exclus de la démocratie

Ce mode de scrutin est le seul à pouvoir prendre en compte la voix de chacun et à offrir une solution à la montée de l’abstention, estime Dorian Dreuil, représentant associatif, dans une tribune au « Monde ».

 

Rituel de l’élection et point culminant d’une campagne électorale, un dimanche de vote est fait de symboles et d’habitudes. Les prises de parole politiques sont interdites aux candidats, il faut donc meubler et commenter l’environnement. Avant 20 heures et la proclamation des résultats, le chiffre le plus commenté est celui de la participation. Viennent ensuite l’annonce des résultats et son cortège de joies ou de peines selon qui gagne ou qui perd. Mais, depuis longtemps, le grand vainqueur n’a pas de visage, pas de bulletin, ni même de programme. Il ne se présente pas au suffrage et, pourtant, il gagne à tous les coups. C’est l’abstention.

La désaffection croissante des urnes a de nombreuses causes : démocratie représentative à bout de souffle, discrédit sur une partie du personnel politique, faible représentation de la société dans sa diversité. Au bout du compte, une méfiance envers le système lui-même et ses institutions. Ce que Paul Ricœur résumait d’une phrase : « Nos démocraties électives ne sont pas, ou de façon inaccomplie, des démocraties représentatives. »

 

Dans l’histoire de notre pays, la République ne s’est pas toujours méfiée du recours au vote proportionnel : ce fut le cas sous la IIIe (au moins de 1919 à 1928) et sous la IVe République (de 1946 à 1958). Sous la Ve, François Mitterrand y a recours durant les législatives de 1986. Le taux d’abstention a été parmi les plus bas de ces trente-cinq dernières années, à 21,5 %, contre 51,3 % en 2017. Le scrutin proportionnel traîne malheureusement la mauvaise réputation d’être à l’origine de l’instabilité ministérielle et de l’échec de la IVe République. C’est trop vite oublier que c’est son régime parlementaire qui causa sa perte, plus que son format d’élection.

En réalité, ce mode de scrutin a pour vertu d’assurer une représentation plus fidèle de l’ensemble des courants de pensée ou d’opinion qui traversent un pays. C’est une réponse à celles et ceux qui ne se considèrent pas ou plus représentés. Son fonctionnement devra être transparent, la proportionnelle est intégrale ou n’est pas – elle doit s’appliquer à la totalité de l’Assemblée nationale –, au risque qu’un simple dosage crée un écart entre des parlementaires élus différemment.

Ce scrutin doit aussi être simple, de liste paritaire, à l’échelle du département et à deux tours. La liste qui obtient la majorité absolue des suffrages se voit attribuer les deux tiers des sièges à pourvoir. Les sièges restants sont proportionnellement répartis entre toutes les listes ayant dépassé un certain seuil de suffrages exprimés afin d’assurer un meilleur équilibre des pouvoirs.

Aménagement du territoire Zones blanches: les exclus de la technologie

Aménagement du territoire Zones blanches: les exclus de la technologie

 

Pendant qu’on parle de la 5G pour la téléphonie mobile qui doit révolutionner l’économie, nombre de zones ne reçoivent  rien du tout ou bien doivent se contenter de temps en temps de la 3G. La moindre perturbation météorologique isole complètement les relations téléphoniques. Par ailleurs, les liaisons Internet par le réseau cuivre sont de plus en plus hypothétiques du fait de la détérioration lamentable des lignes qui non seulement ne sont pas entretenues mais dont  Orange envisage la destruction et la vente. Dans ces zones, on n’hypothèque guère sur la venue  du câble qui en tout état de cause ne desservira au mieux que le centre des bourgs. Bref,  dans les zones blanches, ni 5G, ni câble ni même Internet régulier. À chaque nouveau plan de développement de la téléphonie, on promet une meilleure couverture. Un plan est ainsi prévu de mieux couvrir la France d’ici 2022. Mais la 5G n’est pas sur le point d’atteindre tout le monde d’autant qu’il faudra 3 fois plus d’antennes. En réalité les investissements sont surtout concentrés sur les zones denses et la désertification du territoire dans ce domaine comme dans d’autres  ne fait que se développer.

Zone blanche: les exclus de la technologie

Zone blanche: les exclus de la technologie

 

Pendant qu’on parle de la 5G pour la téléphonie mobile qui doit révolutionner l’économie nombre de zones ne reçoivent  rien du tout ou bien doivent se contenter de temps en temps de la trois j’ai de la 4G. La moindre perturbation météorologique isole complètement les relations téléphoniques. Par ailleurs les liaisons Internet par le réseau cuivre sont de plus en plus hypothétique du fait de la détérioration lamentable des lignes qui non seulement ne sont pas entretenues mais dont  Orange envisage la destruction et la vente. Dans ces zones, on n’hypothèque guère sur l’avenue du câble qui en tout état de cause ne desservira au mieux que le centre des bourgs. Bref dans les zones blanches, ni 5g, ni câble ni même Internet régulier. À chaque nouveau plan de développement de la téléphonie on promet une meilleure couverture. Un plan est ainsi prévu de mieux couvrir la France d’ici 2022. En réalité les investissements sont surtout concentrés sur les zones denses et la désertification du territoire dans ce domaine comme dans l’autre ne fait que se développer.




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