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Environnement et décarbonation : Berlin qui combattait le nucléaire voulait des exceptions pour le gaz !

Environnement et décarbonation : Berlin qui combattait  le nucléaire voulait des exceptions pour le gaz !

 

Pour schématiser à outrance , l’Allemagne voulait utiliser plus librement le gaz dans le cadre de la lutte pour la décarbonation et voulait mettre des freins au nucléaire français qui lui ne produit pas de carbone ! L’enjeu est d’empêcher la France de devenir une superpuissance en matière d’industrie nucléaire et d’exporter ses technologies. Dans cette guerre,  la question environnementale est secondaire. Finalement un compromis vient d’être passé pour qualifier gaz et nucléaire comme verts pour lutter contre les émissions de carbone.
Un compromis vraiment politique vient d’être réalisé avec la création dans la taxinomie d’une sous-catégorie dédiée d’énergies « de transition », comme proposé par la Commission dans son avant-projet envoyé aux Etats le 31 décembre, sera bien confirmée ce mercredi. Cette solution de compromis a le soutien d’une large majorité d’Etats et ne devrait pas soulever d’opposition majoritaire au Parlement européen. Mais la bataille a fait rage sur les nombreux garde-fous que veut poser l’exécutif européen. Dans un projet de texte diffusé dimanche en interne à la Commission, qui prévoit une entrée en vigueur le 1er janvier 2023 et dont « Les Echos » ont eu copie, ils obtiennent gain de cause sur un point qui était cher aux industriels allemands : gagner du temps avant de devoir remplacer le gaz naturel par du gaz renouvelable ou de l’hydrogène, une des conditions posées à l’intégration dans la taxonomie. 

Dans le nouveau texte, la contrainte est toujours d’avoir complété la transition en 2035, mais les objectifs intermédiaires initialement prévus dès 2026 (au moins 30 % de gaz renouvelable ou peu carboné), puis pour 2030 (au moins 55 %), ont disparu.

Dit autrement, Berlin et l’industrie du gaz verraient s’éloigner les contraintes et concessions les plus immédiates. Les autres points saillants de l’avant-projet pour encadrer le gaz seront toutefois bien maintenus : les nouvelles centrales à gaz devront obtenir leur permis de construire avant 2030, ne pas émettre plus de 270 g de CO2/kWh et venir remplacer des infrastructures existantes plus polluantes (charbon).L es critères imposés au secteur nucléaire pour être éligible ne devraient, eux, pas évoluer.  Et les équilibres penchent contraires en faveur de l’Allemagne et du gaz alors que paradoxalement le nucléaire n’aimait pas de carbone ! Bref davantage une bataille économique environnementale.

Pour être éligibles, les projets devront toujours avoir obtenu un permis de construire avant 2040 pour les modifications d’installations, et avant 2045 pour les nouveaux réacteurs. « Les dates sont trop proches » et « entraveront la prolongation de la durée de vie des réacteurs actuels, pourtant indispensable pour faire face au doublement des besoins en électricité liés à la décarbonation », ont alerté Bernard Accoyer, président de l’association Patrimoine nucléaire et climat, et Louis Gallois, coprésident de La Fabrique de l’industrie, dans une tribune aux « Echos » le 11 janvier.

L’exigence de recourir à partir de 2025 à des combustibles de type ATF (« accident tolerant fuel ») est aussi dénoncée par la Société française de l’énergie nucléaire (Sfen), qui trouve la notion trop floue juridiquement et rappelle que de tels combustibles sont à peine naissants. Les pronucléaires voudraient, à l’instar des progaz, voir eux aussi sauter cette contrainte à court terme. Ils ne vont, selon nos informations, obtenir sur ce point qu’un petit geste, avec une potentielle rediscussion en 2025 si la technologie idoine n’est alors pas prête.

Décarbonation : Berlin qui combattait le nucléaire voulait des exceptions pour le gaz !

Décarbonation : Berlin qui combattait  le nucléaire voulait des exceptions pour le gaz !

 

Pour schématiser à outrance , l’Allemagne voulait utiliser plus librement le gaz dans le cadre de la lutte pour la décarbonation et voulait mettre des freins au nucléaire français qui lui ne produit pas de carbone ! L’enjeu est d’empêcher la France de devenir une superpuissance en matière d’industrie nucléaire et d’exporter ses technologies. Dans cette guerre,  la question environnementale est secondaire. Finalement un compromis vient d’être passé pour qualifier gaz et nucléaire comme verts pour lutter contre les émissions de carboneUn compromis vraiment politique vient d’être réalisé avec la création dans la taxinomie d’une sous-catégorie dédiée d’énergies « de transition », comme proposé par la Commission dans son avant-projet envoyé aux Etats le 31 décembre, sera bien confirmée ce mercredi. Cette solution de compromis a le soutien d’une large majorité d’Etats et ne devrait pas soulever d’opposition majoritaire au Parlement européen. Mais la bataille a fait rage sur les nombreux garde-fous que veut poser l’exécutif européen. Dans un projet de texte diffusé dimanche en interne à la Commission, qui prévoit une entrée en vigueur le 1er janvier 2023 et dont « Les Echos » ont eu copie, ils obtiennent gain de cause sur un point qui était cher aux industriels allemands : gagner du temps avant de devoir remplacer le gaz naturel par du gaz renouvelable ou de l’hydrogène, une des conditions posées à l’intégration dans la taxonomie.

Dans le nouveau texte, la contrainte est toujours d’avoir complété la transition en 2035, mais les objectifs intermédiaires initialement prévus dès 2026 (au moins 30 % de gaz renouvelable ou peu carboné), puis pour 2030 (au moins 55 %), ont disparu.

Dit autrement, Berlin et l’industrie du gaz verraient s’éloigner les contraintes et concessions les plus immédiates. Les autres points saillants de l’avant-projet pour encadrer le gaz seront toutefois bien maintenus : les nouvelles centrales à gaz devront obtenir leur permis de construire avant 2030, ne pas émettre plus de 270 g de CO2/kWh et venir remplacer des infrastructures existantes plus polluantes (charbon).L es critères imposés au secteur nucléaire pour être éligible ne devraient, eux, pas évoluer.  Et les équilibres penchent contraires en faveur de l’Allemagne et du gaz alors que paradoxalement le nucléaire n’aimait pas de carbone ! Bref davantage une bataille économique environnementale.

Pour être éligibles, les projets devront toujours avoir obtenu un permis de construire avant 2040 pour les modifications d’installations, et avant 2045 pour les nouveaux réacteurs. « Les dates sont trop proches » et « entraveront la prolongation de la durée de vie des réacteurs actuels, pourtant indispensable pour faire face au doublement des besoins en électricité liés à la décarbonation », ont alerté Bernard Accoyer, président de l’association Patrimoine nucléaire et climat, et Louis Gallois, coprésident de La Fabrique de l’industrie, dans une tribune aux « Echos » le 11 janvier.

L’exigence de recourir à partir de 2025 à des combustibles de type ATF (« accident tolerant fuel ») est aussi dénoncée par la Société française de l’énergie nucléaire (Sfen), qui trouve la notion trop floue juridiquement et rappelle que de tels combustibles sont à peine naissants. Les pronucléaires voudraient, à l’instar des progaz, voir eux aussi sauter cette contrainte à court terme. Ils ne vont, selon nos informations, obtenir sur ce point qu’un petit geste, avec une potentielle rediscussion en 2025 si la technologie idoine n’est alors pas prête.

 

Décarbonation :Berlin qui combat le nucléaire veut des exceptions pour le gaz !

Décarbonation : Berlin qui combat le nucléaire veut des exceptions pour le gaz !

 

Pour schématiser à outrance , l’Allemagne veut utiliser plus librement le gaz dans le cadre de la lutte pour lz décarbonation et veut mettre des freins au nucléaire français qui lui ne produit pas de carbone !L’enjeu est d’empêcher la France de devenir une superpuissance en matière d’industrie nucléaire et d’exporter ses technologies. Dans cette guerre la question environnementale est secondaire. 

Un Compromis vraiment politique avec la création dans la taxinomie d’une sous-catégorie dédiée d’énergies « de transition », comme proposé par la Commission dans son avant-projet envoyé aux Etats le 31 décembre, sera bien confirmée ce mercredi. Cette solution de compromis a le soutien d’une large majorité d’Etats et ne devrait pas soulever d’opposition majoritaire au Parlement européen. Mais la bataille a fait rage sur les nombreux garde-fous que veut poser l’exécutif européen. Dans un projet de texte diffusé dimanche en interne à la Commission, qui prévoit une entrée en vigueur le 1er janvier 2023 et dont « Les Echos » ont eu copie, ils obtiennent gain de cause sur un point qui était cher aux industriels allemands : gagner du temps avant de devoir remplacer le gaz naturel par du gaz renouvelable ou de l’hydrogène, une des conditions posées à l’intégration dans la taxonomie.

Dans le nouveau texte, la contrainte est toujours d’avoir complété la transition en 2035, mais les objectifs intermédiaires initialement prévus dès 2026 (au moins 30 % de gaz renouvelable ou peu carboné), puis pour 2030 (au moins 55 %), ont disparu.

Dit autrement, Berlin et l’industrie du gaz verraient s’éloigner les contraintes et concessions les plus immédiates. Les autres points saillants de l’avant-projet pour encadrer le gaz seront toutefois bien maintenus : les nouvelles centrales à gaz devront obtenir leur permis de construire avant 2030, ne pas émettre plus de 270 g de CO2/kWh et venir remplacer des infrastructures existantes plus polluantes (charbon).L es critères imposés au secteur nucléaire pour être éligible ne devraient, eux, pas évoluer.  Et les équilibres penchent contraires en faveur de l’Allemagne et du gaz alors que paradoxalement le nucléaire n’aimait pas de carbone ! Bref davantage une bataille économique environnementale.

Pour être éligibles, les projets devront toujours avoir obtenu un permis de construire avant 2040 pour les modifications d’installations, et avant 2045 pour les nouveaux réacteurs. « Les dates sont trop proches » et « entraveront la prolongation de la durée de vie des réacteurs actuels, pourtant indispensable pour faire face au doublement des besoins en électricité liés à la décarbonation », ont alerté Bernard Accoyer, président de l’association Patrimoine nucléaire et climat, et Louis Gallois, coprésident de La Fabrique de l’industrie, dans une tribune aux « Echos » le 11 janvier.

L’exigence de recourir à partir de 2025 à des combustibles de type ATF (« accident tolerant fuel ») est aussi dénoncée par la Société française de l’énergie nucléaire (Sfen), qui trouve la notion trop floue juridiquement et rappelle que de tels combustibles sont à peine naissants. Les pronucléaires voudraient, à l’instar des progaz, voir eux aussi sauter cette contrainte à court terme. Ils ne vont, selon nos informations, obtenir sur ce point qu’un petit geste, avec une potentielle rediscussion en 2025 si la technologie idoine n’est alors pas prête.

Reconfinement : les interdictions et les exceptions

Reconfinement : les interdictions et les exceptions

Le journal le Figaro énumère les interdictions et les exceptions dans le cadre du reconfinement.  Comme au printemps dernier, des sorties seront permises sur présentation d’une attestation, téléchargeable sur le site du gouvernement et disponible sur papier libre, sur l’application «TousAntiCovid», via le formulaire à imprimer et via un numéro vert (0 800 130 000). Seront autorisés les déplacements pour :

prendre l’air, faire du sport et sortir son animal de compagnie dans une limite d’une heure maximum et un rayon d’un kilomètre de son domicile ;

- des raisons professionnelles, si le télétravail n’est pas possible, se rendre à des formations, un examen ou un concours ;

- des raisons de santé (par exemple aller à l’hôpital, à la pharmacie) ;

- un motif familial impérieux, aider des personnes vulnérables et précaires ou garder un enfant ;

accompagner un enfant à l’école ou aller le chercher ;

- les personnes en situation de handicap et leur accompagnant ;

- participer à des missions d’intérêt général sur demande de l’autorité administrative ;

se rendre dans un service public ou à une convocation judiciaire.

Deux attestations permanentes sont prévues : l’une signée par l’employeur pour les déplacements domicile-travail ; l’autre signée par un établissement scolaire pour les déplacements domicile-école. Les contrevenants s’exposeront à des sanctions.

Dans le secteur privé, le télétravail «devient la règle» pendant le confinement, «cinq jours sur cinq», a affirmé Jean Castex. Il «n’est pas une option» mais «une obligation» pour ceux qui le peuvent, a renchéri la ministre du Travail, Élisabeth Borne.

Par rapport au premier confinement, de nouvelles dérogations permettent l’ouverture :

- des commerces de gros ;

- des marchés ;

- des crèchesétablissements scolaires et périscolaires ;

- des hôtels et hébergements ;

- de toutes les structures de santé (cabinets dentaires, kinésithérapeutes, etc) ;

- des transports en commun ;

- des parcsjardinsforêts et plages.

Les commerces fermés, y compris les libraires, disquaires et restaurants feront l’objet d’une réévaluation dans deux semaines. Ils pourront proposer leurs produits en livraison et à emporter d’ici là.

D’autres commerces, déjà ouverts au printemps, ne fermeront pas :

- les commerces alimentaires ;

- les stations-service et les garages ;

- les laveries et blanchisseries ;

- les kiosques et bureaux de tabac ;

- les opticiens ;

- certains magasins spécialisés ;

- les fleuristes, jusqu’à dimanche soir, jour de la Toussaint.

Comme lors du premier confinement, les universités seront fermées. Tous les cours magistraux et les travaux dirigés auront lieu à distance. Mais certaines activités se tiendront physiquement : les travaux pratiques, les enseignements professionnels nécessitant du matériel spécialisé, les activités de recherche non réalisables à distance. La fréquentation des bibliothèques universitaires sera possible, sur rendez-vous.

COUVRE-FEU: des sanctions mais des exceptions

COUVRE-FEU: des sanctions mais des exceptions

Le couvre-feu de 21h à 6h instauré à partir de vendredi minuit en Ile-de-France et dans les métropoles de Lille, Grenoble, Lyon, Aix-Marseille, Montpellier, Rouen, Toulouse et Saint-Etienne bénéficiera d’exceptions: raisons de santé, motifs professionnels, prendre un train ou un avion qui part ou arrive après 21h, visiter un proche en situation de dépendance ou encore sortir son animal de compagnie à proximité du domicile.

 

Tout contrevenant au couvre-feu s’exposera à une amende de 135 euros puis, en cas de double récidive (trois fraudes au total), à 6 mois d’emprisonnement et 3.750 euros d’amende.

Pour les exceptions citées précédemment, il faudra être munis d’une attestation de déplacement dérogatoire

Elle « vaut pour une heure quand les déplacements n’auraient pas de lien avec le travail », a précisé Gérald Darmanin. Pour les personnes travaillant, « un justificatif de l’entreprise ou une carte professionnelle » sera nécessaire en plus de l’attestation, a-t-il ajouté.

Concernant les voyages avec départ ou arrivée après 21 heures, le billet de train ou d’avion « vaudra dérogation », a assuré le Premier ministre.

Taxes douanières américaines imminentes mais avec des exceptions !

Taxes  douanières américaines imminentes mais avec des exceptions !

 

Comme habitude  Trump fait toute et son contraire. Il a ainsi confirmé les taxes douanières s’appliquant au monde entier mais aussitôt affirmé qu’il y aura des exceptions. Sans doute les conséquences des réactions d’experts contre ces taxes y compris dans l’équipe de Trump notamment  Gary Cohn, principal conseiller économique Gary Cohn a annoncé mardi sa démission face à la décision très controversée du président américain de taxer les importations d’acier et d’aluminium. Un départ qui a poussé mercredi les Bourses asiatiques dans le rouge à l’ouverture. Cet ancien numéro deux de la banque Goldman Sachs, vent debout contre la politique du magnat de l’immobilier sur ce dossier, rejoint l’impressionnante liste de proches collaborateurs de M. Trump ayant quitté le navire au cours des derniers mois. En fait, La hausse des tarifs douaniers américains sur l’acier et l’aluminium sera examinée au cas par cas pour chaque pays, avec la possibilité d’exemptions, en tenant compte de critères liés à la sécurité nationale, a annoncé la Maison blanche un peu plus tôt dans la journée.  C’est dans ce cadre que le Canada et le Mexique, liés aux Etats-Unis par l’Accord de libre-échange nord-américain (Aléna), pourraient échapper à la hausse des droits de douane sur ces produits, a précisé la présidence américaine.

Glyphosate : des «exceptions» (Nicolas Hulot)

Glyphosate : des «exceptions» (Nicolas Hulot)

Doucement le gouvernemenet et Hulot reculent  sur le glyphosate. En cause,  le fait qu’on ne dispose pas actuellement de molécule de substitution moins polluante. En fait la décision française, peut être souhaitable a été prise un peu à la va vite et sans tenir compte des conditions d’utilisations soit surtout entre deux cultures comme en France soit pendant la végétation comme outre atlantique. Ce qu’indique la coordination rurale.

« Lors de leur action menée le 21 novembre sur les ports de Lorient et St Nazaire, les agriculteurs de la CR et de l’OPG ont prélevé et fait analyser 2 échantillons de tourteau de soja importé. Sans surprise, l’analyse a détecté la présence d’OGM mais surtout de résidus significatifs de glyphosate.
En parallèle, la CR et l’OPG ont fait analyser 16 échantillons de grains de différentes cultures (blé tendre, quinoa, lentille, soja, avoine…) provenant d’agriculteurs français. Résultat : aucun échantillon ne contient le moindre résidu de glyphosate, et ce alors que ces agriculteurs utilisent ce désherbant sur leur ferme. En Europe, le glyphosate est utilisé majoritairement entre 2 cultures pour détruire des mauvaises herbes. Son utilisation « en végétation » qui favoriserait les résidus dans les graines se pratique dans certains pays d’Europe du Nord ou de l’Est mais très rarement en France.
Sur le continent américain, le glyphosate est systématiquement pulvérisé en végétation à deux ou trois reprises sur les cultures génétiquement modifiées qui lui sont résistantes. Il est aussi très utilisé comme dessiccant sur les cultures de légumes secs, 2 semaines avant leur récolte. Ces techniques expliquant la présence de résidus sur des marchandises importées ! Malgré nos demandes, Génération futures n’a jamais répondu sur l’origine des produits qu’elle a analysés et dans lesquels elle a déclaré avoir trouvé des résidus de glyphosate. La connaît-elle elle-même ? Nous pouvons émettre l’hypothèse selon laquelle les céréales pour petit-déjeuner sont des flocons d’avoine ayant reçu du glyphosate juste avant récolte provenant probablement du Canada, premier producteur mondial. Idem concernant les légumes secs : ils sont très peu produits en Europe et les importations du continent américain dominent notre marché. Si le glyphosate est interdit dans l’UE, sans que celle-ci exige que les importations soient d’une qualité au moins équivalente à la nôtre, alors non seulement le consommateur ingérera toujours autant de glyphosate mais les agriculteurs européens seront victimes d’une nouvelle distorsion de concurrence. ».

Nicolas Hulot,  Le ministre de la Transition écologique Nicolas Hulot, qui s’est battu l’an dernier pour une sortie du glyphosate en trois ans, se dit donc  prêt à envisager des « exceptions », dans un entretien dans le Journal du dimanche.   »

Alors que les agriculteurs ont manifesté cette semaine partout en France contre l’accord de libre-échange en cours de négociations entre l’UE et les pays du Mercosur, Nicolas Hulot a également estimé qu’ »en l’état, ce traité n’est pas acceptable ». « Il serait trop préjudiciable, notamment pour nos agriculteurs, et la France a des lignes rouges très claires », a ajouté le ministre qui avait déjà critiqué l’accord de libre-échange UE-Canada (Ceta) entré en vigueur partiellement en septembre.

 




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