Allemagne : excédent commercial record en 2015
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Zone euro : excédent commercial en septembre mais pas en France
L’excédent de la zone euro en hausse en septembre grâce à un bond des exportations, selon les chiffres publiés lundi 17 novembre par Eurostat. Le solde des échanges des 18 a ainsi atteint 18,8 milliards d’euros contre 10,8 milliards un an plus tôt et 8,6 milliards le mois précédent, ce dernier montant étant révisé par rapport au chiffre préliminaire de 9,2 milliards annoncé il y a un mois. Les exportations ont augmenté de 9% sur un an en données brutes, à 171,9 milliards d’euros, dépassant nettement la croissance de 4% des importations à 153,4 milliards. En données corrigées des variations saisonnières, la hausse des exportations ressort à 4,2% et celle des importations à 3,0%.Le solde s’améliore mais en France le déficit set de 4.72 milliards en septembre. L’Espagne a réduit son déficit commercial en septembre de 8,2% sur un an à 2,4 milliards d’euros, grâce à un niveau record d’exportations, a annoncé lundi le ministère de l’Economie. En Allemagne, c’est un excédent record de 18.8 milliards. En Italie : un excédent commercial de 2 milliards d’euros. . L’excédent commercial de l’Italie a enregistré une nouvelle forte hausse en septembre sur un an, passant à 2 milliards d’euros, contre 700 millions en septembre 2013, a indiqué lundi l’Institut national des statistiques. En août déjà, l’excédent commercial avait doublé, passant à 2,1 milliards d’euros contre un milliard un an plus tôt. Sur un mois, les exportations ont augmenté de 1,5% et les importations de 1,6%.
Allemagne : excédent des comptes courants de 200 milliards pour quoi faire ?
Avec un tel résultat en 204, l Allemagne va établir un nouveau record et justifier les critiques de beaucoup d’ Etats membres de l’Union. Un excédent à comparer à un déficit de l’ordre de 30 milliards pour la France. Un tel résultat positif donne raison à ceux qui souhaitent à juste titre que l’Allemagne en fasse davantage pour la croissance notamment pour relancer la consommation intérieure et les investissements notamment de transports (lesquels sont assez dégradés). L’Allemagne en a largement es moyen puisqu’elle est bien partie pour enregistrer cette année un excédent des comptes courants record, a annoncé jeudi l’institut Ifo, une prévision susceptible d’inciter les partenaires du pays à presser une nouvelle fois Berlin d’en faire davantage pour stimuler la demande intérieure et l’investissement. Début mars, la Commission européenne avait demandé à l’Allemagne de mettre en œuvre des mesures pour soutenir cette demande, sans pour autant aller jusqu’à dire que l’excédent courant du pays était excessif. Mais, en 2013, les Etats-Unis s’étaient montrés sévères à propos du niveau du surplus des comptes courants allemands. Certains économistes vont même jusqu’à dire que cet excédent a contribué à aggraver la crise des dettes souveraines qui a secoué la zone euro. Les prévisions de l’Ifo, dont Reuters a pu avoir une copie en exclusivité, devraient relancer les critiques à l’encontre de l’Allemagne. L’institut basé à Munich s’attend à ce que la première économie européenne dégage cette année un excédent courant de quelque 200 milliards d’euros – niveau le plus élevé au monde. En 2013, le surplus avait été de 192 milliards d’euros après un niveau de 196 milliards en 2012 La Chine, premier exportateur mondial, vient au deuxième rang des pays affichant les excédents courants les plus importants, avec un surplus estimé pour cette année à environ 230 milliards de dollars (178 milliards d’euros). L’Arabie saoudite, avec ses exportations de pétrole, complètera le podium pour 2014, ajoute l’Ifo. « Pour l’Allemagne, les échanges de biens sont le principal moteur », a déclaré Steffen Henzel, économiste chez Ifo, ajoutant qu’il y avait peu de chances de voir le surplus baisser à court terme.
Allemagne : l’excédent commercial allemand rebondit
Le solde commercial en juillet reprend encore de la vigueur en Allemagne. – Les exportations et les importations allemandes avaient déjà augmenté en juin, signe que la crise ukrainienne ne pénalisait alors qu’à la marge la première économie d’Europe, mais ce rebond était insuffisant pour apaiser les craintes d’une contraction du produit intérieur brut (PIB) au deuxième trimestre. L’excédent commercial de l’Allemagne a bondi en juillet, à 22,2 milliards d’euros, grâce à une nette augmentation des exportations et à un recul des importations au cours de ce mois, selon des chiffres publiés lundi. Les importations ont ainsi diminué de 1,8% en juillet sur un mois, signe du ralentissement de la demande interne et du tassement de la croissance, selon l’Office fédéral des statistiques Destatis, tandis que les ventes allemandes à l’étranger ont elles progressé de 4,7%.
Un excédent budgétaire allemand : Pour quoi faire
Paradoxe l’Allemagne est un des très rares pays à dégager des excédents budgétaires depuis trois ans. De quoi sans doute alimenter la relance dont la zone euro a besoin mais Merkel n’envisage cette relance budgétaire que si l’activité économique allemande ne chute pas, bref le contraire de ce qu’il faudrait ! L’Allemagne a en effet dégagé au premier semestre 2014 son excédent budgétaire le plus élevé depuis la réunification, en octobre 1990. Ce nouveau signe de la solidité des finances de l’Allemagne devrait inciter ses partenaires européens à augmenter la pression sur le gouvernement allemand, auquel ils réclament davantage de soutien à la croissance. L’Allemagne a enregistré sur les six premiers mois de l’année un excédent de 16,1 milliards d’euros, soit 1,1% du produit intérieur brut (PIB), montrent les chiffres publiés lundi par l’Office fédéral de la statistique. Ce chiffre place la première économie d’Europe sur de bons rails pour dégager un excédent budgétaire sur l’ensemble de l’année pour la troisième année consécutive. Les données publiées lundi sont également de nature à inciter les autres pays membres de la zone euro à réclamer de l’Allemagne qu’elle fasse davantage pour stimuler la croissance dans le bloc monétaire, notamment en réduisant les impôts et en dopant la dépense publique. « Ces chiffres seront interprétés dans les autres pays européens comme une confirmation de la nécessité de réclamer à l’Allemagne davantage d’efforts budgétaires », commente Holger Sandte, économiste de Nordea Bank. La Banque centrale européenne (BCE) elle-même semble endosser ces appels puisque son président Mario Draghi s’est prononcé récemment en faveur d’une politique budgétaire plus accommodante. Mais le ministre allemand des Finances, Wolfgang Schäuble, a jugé la semaine dernière que les propos du président de la BCE avaient été « surinterprétés ».Un manière de jeter un seau d’eau froide sur le petit enthousiasme de la BCE. Lundi, la chancelière allemande Angela Merkel a déclaré que l’excédent budgétaire pourrait permettre des investissements, à la condition toutefois que la situation économique du pays évolue favorablement.
Allemagne : baisse de l’excédent commercial
Ces sont des chiffres désormais âprement suivis par Bruxelles. Ce mardi 11 mars, l’office des statistiques allemand Destatis a publié les chiffres du commerce extérieur pour le mois de janvier. Il en ressort une baisse de l’excédent commercial allemand qui a atteint 17,2 milliards d’euros contre 18,3 milliards en décembre. Cette diminution est à chercher du côté de la demande intérieure. En effet, les importations ont progressé de 4,1% au mois de janvier à 77,3 milliards d’euros, soit plus que les exportations (+2,2%) qui ont, elles, atteint 94,5 milliards d’euros. Cette diminution de l’excédent allemand survient quelques semaines après un léger avertissement donné par la Commission européenne. Le 5 mars dernier, Bruxelles a, en effet, demandé au pays de prendre des mesures pour soutenir la demande intérieure. La balance commerciale allemande « reflète une compétitivité forte mais est aussi un signe montrant que la croissance intérieure reste contenue et que les ressources économiques pourraient ne pas avoir été allouées de manière efficace », écrivait-elle. En novembre 2013, elle avait lancé une enquête approfondie sur les excédents commerciaux du pays.
Allemagne : en excédent budgétaire
. Pour 2012, il dépasse 4 milliards d’euros. Un chiffre meilleur que prévu. Le FMI s’attendait à un déficit proche de zéro, mais plutôt négatif… La Commission européenne prévoyait un excédent de 0,1% du PIB. Les bons chiffres allemands vont accroître la pression en faveur d’un rééquilibrage de la croissance en zone euro. Les ministres des Finances du G20 réunis ce week-end à Washington ont exhorté les pays en excédent à faire de la relance pour aider la croissance de leurs partenaires commerciaux. L’Allemagne était le premier pays visé. Le reste de la zone euro s’enfonce dans le rouge, notamment l’Espagne qui affiche le plus mauvais chiffre de déficit d’Europe: -10,6% du PIB, devant la Grèce (-10% du PIB), et l’Irlande (-7,6% du PIB). L’Italie fait un peu moins bien que prévu, avec un déficit à -3% du PIB. C’est toutefois mieux que la France dont le déficit public atteint -4,8 % du PIB, fin 2012, soit plus de 98 milliards d’euros. Les deux mauvaises nouvelles d’Eurostat sont l’Espagne et la Belgique qui ont vu leur déficit sur PIB se creuser en raison de deux sauvetages bancaires coûteux: Bankia pour la première et Dexia pour la seconde. Plombée par un chômage à 26% de la population active, l’Espagne devrait obtenir de Bruxelles un nouveau délai d’un an de 2014 à 2015, pour réduire ses déficits à 3%. Le dérapage belge sera plus facile à corriger, car le petit royaume de Belgique n’est pas en récession cette année. Même si 11 pays sur 17 ne respectent pas la règle des 3% de déficits en 2012, ces derniers sont en voie de résorption rapide en zone euro: -3,7% en 2012 contre -6,4% en 2009. Le FMI appelle d’ailleurs la zone euro à alléger sa cure d’austérité. D’autant que les dettes publiques sont toujours en hausse: 90,6% du PIB en 2012, contre 80% en 2009 pour l’ensemble de la zone euro. Le record de ratio de dette est détenu par la Grèce à 156,9% du PIB en 2012, suivie de l’Italie (127% du PIB). La France est juste en dessous de la moyenne de zone euro, avec une dette à 90,2% du PIB…