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Algérie : des élections pour éviter le retour du Hirak

Algérie : des élections pour éviter le retour du Hirak

 

La température ne cesse de monter dans la cocotte-minute algérienne avec la perspective d’un retour de l’Hirak. La vérité c’est que depuis la nomination du président algérien en dépit de quelques aménagements institutionnels et politiques rien n’a vraiment changé.

 

Pour soulever le couvercle de la contestation de plus en plus active le président algérien a décidé assez brusquement d’organiser des élections législatives anticipées. Parallèlement,  président a décidé de libérer des prisonniers condamnés précisément dans le cadre de l’Hirak. On notera à ce sujet la déclaration très ambiguë du président algérien qui a émergé à l’occasion de l’Irak mais finalement a continué en pratiques  les pratiques anciennes de corruption et d’inégalité sociale.

«Le  »Hirak béni » a sauvé l’Algérie. J’ai décidé d’accorder la grâce présidentielle à une trentaine de personnes pour lesquelles une décision de justice avait été rendue ainsi qu’à d’autres pour lesquelles aucun verdict n’a été prononcé. Entre 55 et 60 personnes rejoindront à partir de ce soir ou demain leur famille», a-t-il déclaré dans un discours à la Nation télévisé.

Quelque 70 personnes sont actuellement en prison en lien avec le Hirak et/ou les libertés individuelles, selon le Comité national de libération des détenus (CNLD), une association de soutien. Cette annonce survient à la veille du 2e anniversaire du soulèvement populaire inédit qui a forcé l’ex-homme fort Abdelaziz Bouteflika à renoncer à un cinquième mandat présidentiel et à quitter le pouvoir.

. Le chef de l’Etat a par ailleurs annoncé un remaniement ministériel «dans les 48 heures au maximum». «Ce remaniement concernera des secteurs qui enregistrent des déficits dans leur gestion ressentis par les citoyens et nous mêmes», a-t-il dit.

2021 : prolonger l’aide d’urgence économique pour éviter la catastrophe

2021 : prolonger l’aide d’urgence économique pour éviter la catastrophe

 

 

Selon, l’OFCE il faut s’attendre à une catastrophe économique si le soutien à l’économie n’est pas maintenu tout au long de l’année 2021.

Pour l’OFCE le plan de soutien français est insuffisant notamment celui destiné au renforcement des fonds propres des entreprises. Le plan de relance est inférieur à celui d’autres pays

Selon les calculs, les plans de relance et d’urgence représentent 3,9% du Produit intérieur brut (PIB) du pays, versus 5,6% pour l’Italie, 5,8% pour l’Allemagne, 6,5% pour l’Espagne, 8,4% pour le Royaume-Uni et 10,6% pour les États-Unis.

Moins soutenues par la puissance publique, les entreprises françaises auraient alors subi au premier trimestre une baisse de leurs revenus largement supérieure à celle de leurs voisines. Selon l’OFCE, le choc s’élève à 51 milliards pour les groupes hexagonaux, quand il est limité à 3 milliards de livres au Royaume-Uni, 19 milliards d’euros en Espagne, 32 milliards en Italie et 43 milliards en Allemagne.

Si le soutien devait s’arrêter en 2021 l’OFCE prévoit une augmentation de 80 % des faillites portant sur environ 180 000 d’entre elles.

 

« »Eviter l’effondrement de l’économie par un transfert des ressources ? »

« »Eviter l’effondrement de l’économie par un transfert des ressources ? »

 

L’économiste Antoine Monserand propose, dans une tribune au « Monde », un programme de transferts de revenus des ménages et des entreprises dont l’épargne ou l’activité a augmenté, vers ceux qui ont au contraire l’ont vu fortement réduite

Tribune.

 

Réticent à l’idée de perturber de nouveau l’économie après l’été 2020, l’exécutif a pris des mesures au compte-gouttes et trop tardives. Il a ainsi rendu le reconfinement inévitable, mené le pays droit à la saturation des services de réanimation, obligé les soignants à devoir bientôt choisir de nouveau à qui ils sauveront (ou non) la vie. Même lors de son allocution, le président de la République Emmanuel Macron a maintenu ce mot d’ordre : « L’économie ne doit ni s’arrêter ni s’effondrer ».

Pourtant, il existe une solution pour que l’économie s’arrête momentanément sans s’effondrer, sans augmenter ni les faillites, ni la pauvreté, ni le déficit. Pour le comprendre, il faut cesser de considérer l’économie comme une abstraction faisant magiquement apparaître – ou disparaître – des revenus et des emplois, mais plutôt examiner les flux et les stocks de monnaie.

Les revenus des uns ne sont rien d’autre que les dépenses des autres, et vice versa. Si les revenus de certains diminuent ou disparaissent pendant un confinement, ce n’est pas qu’ils se sont « évaporés », comme les centaines de milliards de dollars de valorisation boursière lors de la crise de 2008. C’est simplement que cet argent n’est pas passé d’un compte à un autre en échange de biens et services comme il l’aurait fait en temps normal.

Une grande solidarité nationale de crise

Lorsque la circulation de l’argent est bloquée, une partie du corps social est asséchée, pendant qu’une autre accumule les liquidités. Les inégalités explosent. En témoignent les chiffres de la Banque de France : entre mars et août 2020, les 20 % des Français les plus pauvres se sont endettés pendant que le reste des Français accumulait 86,6 milliards d’euros, dont environ 54 % pour les 10 % les plus riches.

Depuis septembre, le gouvernement n’a cessé d’envoyer des signaux et injonctions contradictoires. Il aurait été de la responsabilité – et même du devoir – de chacun de réduire les contacts au minimum… tout en consommant un maximum. Il fallait à tout prix « relancer la machine ». Mais n’y avait-il pas d’option moins absurde que de demander aux Français de se ruer dans les magasins, d’aller au restaurant trois fois par jour et en escapade en avion tous les week-ends ?

Qu’il s’agisse de la période de l’entre-deux confinements ou des confinements eux-mêmes, il faut faire circuler l’argent pour éviter que les inégalités et la crise sociale empirent. Le canal de la consommation est obstrué ? Utilisons celui de la fiscalité pour organiser une grande solidarité nationale de crise.

 

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« ANNULER NOËL ET LE PREMIER DE L’AN » POUR ÉVITER UNE « 3ÈME VAGUE »

« ANNULER NOËL ET LE PREMIER DE L’AN » POUR ÉVITER UNE « 3ÈME VAGUE »

Interrogé sur BFMTV ce lundi soir,  Julien Lenglet, hématologue  estime qu’il faut « annuler Noël et la Saint-Sylvestre sans hésiter ». Cela pour éviter une troisième vague du Corona virus dans le pays

« Moi, si je devais avoir un avis purement scientifique et rationnel, je dirais d’annuler Noël et la Saint-Sylvestre sans hésiter », déclare l’hématologue francilien.

Il explique pour justifier son propos qu’avec les fêtes de fin d’année et leur lot de réunions familiales, on pourrait « potentiellement » faire face à « un cluster national géant intergénérationnel qui (pourrait être) à l’origine d’une potentielle troisième vague, sans ambiguïté ».

Il reconnaît toutefois que dans le cas d’une telle décision prise au niveau nationale, il n’est « pas sûr que la discipline collective soit au rendez-vous et que les Français acceptent de se passer de ces festivités. Pour le gouvernement le risque est aussi politique à savoir mécontenter encore un peu plus les réticents aux mesures restrictives de mobilité et de dimension sociale.

Covid-19 : investir et planifier pour éviter l’effondrement

Covid-19 :  investir et planifier pour éviter l’effondrement

Dans une tribune au « Monde », l’économiste Eric Monnet estime qu’aider le tissu productif et réorienter l’épargne devraient être les deux priorités du gouvernement

Tribune.

 Il est devenu courant de parler de « guerre » contre le coronavirus. La restriction des libertés d’activité et de déplacement ainsi que la mobilisation des hôpitaux atteignent en effet des niveaux inconnus en dehors des grands conflits armés qui ont marqué l’histoire du XXe siècle sur notre territoire. L’importance sans précédent en temps de paix du choc économique sur la production et la consommation nous pousse également vers un vocabulaire martial.

Mais, si l’on suit cette perspective, il est toutefois frappant de constater combien le rôle économique de l’Etat ne revêt, pour l’instant, aucun des attributs d’une économie de guerre. Certes, cela tient en partie au fait que, heureusement, nous avons évité le rationnement et le contrôle des prix. Mais, pour le reste, faut-il se réjouir de cette timidité ? On peut au contraire y voir un signe de faiblesse, empêchant une réponse proportionnée à la crise économique actuelle.

A l’opposé de l’organisation de la production qui caractérisait les puissances étatiques en guerre, les politiques jouent aujourd’hui principalement un rôle de régulation et d’assurance, en attendant que les forces du marché reprennent rapidement leur droit. Elles mettent en place divers dispositifs fiscaux, de crédit et de subvention pour éviter faillites d’entreprises et chômage tant que dure le choc. En revanche, il n’y a pas de tentative de réorganiser la production et les échanges, de « planifier » l’économie pour qu’elle puisse surmonter ce choc autrement, en se transformant.

Refus de planification

Ainsi, le débat porte principalement sur le choix de fermer et d’indemniser temporairement des entreprises, plutôt que sur des manières alternatives de faire fonctionner l’économie en ces temps difficiles. Les commerçants et restaurateurs sont priés de s’organiser eux-mêmes pour mettre en place le retrait de commande et se tourner vers des compagnies privées de livraison – dont on connaît l’appétence pour le travail précaire, les fortes marges et l’échappement à la fiscalité. On fait appel au sens civique du consommateur pour tenter de nuancer le fait que les GAFA (Google, Apple, Facebook, Amazon), Deliveroo, Netflix et consorts sont les grands gagnants économiques de cette crise.

Planifier ne requiert pas de tout nationaliser – on voit que les chaînes d’approvisionnement fonctionnent –, mais il est révélateur qu’aucun service public n’ait été conçu pour assurer les livraisons, et que les commandes de l’Etat n’aient pas massivement remplacé les commandes privées dans certains secteurs. Il semble que les conséquences de cette crise sur le développement du capitalisme monopolistique numérique et ses dangers – bien décrites par les économistes Robert Boyer ou Daniel Cohen dans diverses contributions récentes – soient largement sous-estimées.

Coronavirus : un plan pour éviter des faillites des PME

Coronavirus : un plan pour éviter des faillites des PME

 

 

 

Le président de la république dans son allocution de lundi soir a annoncé un plan très ambitieux de soutien pour éviter toutes les faillites des PME. Il a notamment indiqué qu’il y aurait un décalage des cotisations fiscales et sociales, que les loyers et autres charges comme par exemple les factures d’électricité seront suspendues. Reste à savoir quelles seront les conditions de ce plan. Cela signifie-t-il que les PME auront guichet ouvert pour emprunter ou bien que les créanciers ne  pourront réclamer leur dû. Si ce plan vise un objectif aussi large le coût risque d’être considérable.

Bruno Le Maire, le ministre français de l’Économie et des Finances a chiffré dimanche à « plusieurs dizaines de milliards d’euros » le coût de l’aide de l’Etat aux acteurs économiques affectés par l’épidémie de coronavirus.

« L’Etat sera totalement derrière les acteurs économiques qui aujourd’hui sont dans une situation de détresse totale », a-t-il déclaré sur France 2 en ajoutant : « L’Etat fera le nécessaire pour s’assurer que les banques prêtent aux entreprises ce dont elles ont besoin en termes de trésorerie. Demain matin, nous annoncerons une série de mesures supplémentaires ».

Selon Les Échos, le gouvernement préparerait un plan de sauvetage économique qui pourrait se chiffrer entre 30 et 40 milliards d’euros. Avec pour conséquence, un déficit public qui devrait franchir la barre des 3 % du PIB cette année.

La semaine dernière, les premières estimations sur les mesures de soutien étaient estimées entre 15 et 30 milliards d’euros. Mais avec l’aggravation de la situation, la facture, selon les Échos, s’élève désormais entre 30 et 40 milliards d’euros.

 Cela comprend les avances de trésorerie, les garanties publiques apportées aux prêts pour les PME représentent un impact théorique de 3 milliards d’euros mais aussi les reports de charges fiscales et sociales en mars, qui devraient représenter un effort en trésorerie pour l’Etat d’un montant compris entre 15 et 20 milliards d’euros. Mais avec les nouvelles déclarations du président de la république, la facture pourrait bien doubler si effectivement on prend en charge toute les cotisations, et autres factures des PME. Vraisemblablement le plan risque de cibler uniquement les petites et moyennes entreprises dont l’analyse financière révèle une fragilité et qui pourraient être menacées de faillite.

 Le dispositif de couverture intégrale du chômage partiel dans les entreprises est lui aussi très coûteux. La somme de 10 à 15 milliards d’euros est évoquée si cette mesure est appliquée pendant plus de deux mois.

BCE : politique monétaire accommodante ….pour éviter le krach ?

BCE : politique monétaire  accommodante ….pour éviter le krach ?

 

 

À la Fed, banque centrale américaine comme à la BCE banque centrale européenne, on ne cesse de délivrer des propos rassurants concernant la poursuite et l’amplification de la politique accommodante notamment en matière de taux d’intérêt. Il s’agit officiellement de tenter d’apporter un soutien supplémentaire à l’économie dans le contexte d’une “incertitude accrue”. De fait,  les dernières prévisions de la commission européenne font apparaître encore un nouveau tassement économique pour 2019 mais aussi pour 2020. La situation la plus préoccupante étant  sans doute celle de l’Allemagne dont la croissance  atteindra péniblement 0,5 % en 2019 et qui en plus est embourbé dans des problèmes politiques qui paralysent sa gouvernance. La France de son côté avait pensé éviter l’orage du tassement économique général mais sa croissance devrait être limitée à 1,2 % en 2019. Surtout ce qui est inquiétant, c’est la nette baisse de moral des décideurs économiques. La pression augmente donc sur la BCE afin que, comme la Fed, elle  s’inscrive dans un nouveau mouvement de baisse des taux d’intérêt. D’une façon générale afin qu’elle assouplisse encore la politique monétaire. Mais comme pour la Fed,  il s’agit de sauver la croissance mais sans doute aussi d’éviter un éventuel Krach. En effet pour de la période la valeur du marché des actions n’a cessé d’augmenter de manière assez artificielle. L’indice part aux États-Unis a même dépassé son record historique. Tout cela n’est possible que grâce à l’assouplissement de la politique monétaire. En clair grâce à la planche à billets. Notons par exemple  que la question des déficits et des équilibres budgétaires n’est plus à l’ordre du jour en Europe et la dérive est repartie dans nombre de pays. Il suffirait cependant de l’éclatement d’une bulle pour que tout le système s’écroule comme en 2007 (marché des actions, marché immobilier, marché des changes etc.). La seule solution qu’on ait trouvée pour l’instant, c’est la fuite en avant qui consiste à alimenter le système en fausse monnaie pour qu’il ne s’écroule pas brutalement. Pour l’instant le système tient notamment parce que l’inflation est maîtrisée précisément en raison du tassement économique.

BCE : politique monétaire accommodante ….pour éviter le krach ?

BCE : politique monétaire   accommodante ….pour éviter le krach ?

 

 

À la Fed, banque centrale américaine comme à la BCE banque centrale européenne, on ne cesse de délivrer des propos rassurants concernant la poursuite et l’amplification de la politique accommodante notamment en matière de taux d’intérêt. Il s’agit officiellement de tenter d’apporter un soutien supplémentaire à l’économie dans le contexte d’une “incertitude accrue”, suivant le compte rendu des débats publié jeudi. De fait,  les dernières prévisions de la commission européenne font apparaître encore un nouveau tassement économique pour 2019 mais aussi pour 2020. La situation la plus préoccupante étant  sans doute celle de l’Allemagne dont la croissance  atteindra péniblement 0,5 % en 2019 et qui en plus est embourbé dans des problèmes politiques qui paralysent sa gouvernance. (Gros échec aux européennes pour la coalition en place au gouvernement.  Conflit aussi entre la CDU , la CSU et les sociaux-démocrate lesquels par exemple contestent la candidature allemande à la présidence de la commission européenne ! ). La France de son côté avait pensé éviter l’orage du tassement économique général mais sa croissance devrait être limitée à 1,2 % en 2019. Surtout ce qui est inquiétant, c’est la nette baisse de moral des décideurs économiques. La pression augmente donc sur la BCE afin que, comme la Fed, elle  s’inscrive dans un nouveau mouvement de baisse des taux d’intérêt. D’une façon générale afin qu’elle assouplisse encore la politique monétaire. Mais comme pour la Fed,  il s’agit de sauver la croissance mais sans doute aussi d’éviter un éventuel Krach. En effet pour de la période la valeur du marché des actions n’a cessé d’augmenter de manière assez artificielle. L’indice part aux États-Unis a même dépassé son record historique. Tout cela n’est possible que grâce à l’assouplissement de la politique monétaire. En clair grâce à la planche à billets. Notons par exemple  que la question des déficits et des équilibres budgétaires n’est plus à l’ordre du jour en Europe et la dérive est repartie dans nombre de pays. Il suffirait cependant de l’éclatement d’une bulle pour que tout le système s’écroule comme en 2007 (marché des actions, marché immobilier, marché des changes etc.). La seule solution qu’on ait trouvée pour l’instant, c’est la fuite en avant qui consiste à alimenter le système en fausse monnaie pour qu’il ne s’écroule pas brutalement. Pour l’instant le système tient notamment parce que l’inflation est maîtrisée précisément en raison du tassement économique.

L’économie circulaire : des ordonnances pour éviter les lobbies ou s’y soumettre ?

L’économie circulaire : des ordonnances pour éviter les lobbies ou s’y soumettre ?

 

 

La loi sur l’économie circulaire risque d’être très succincte et très générale. L’essentiel des orientations et des moyens seront définis par ordonnances. Cette méthode un peu anti démocratique serait justifié par la nécessité d’éviter la pression des lobbys déclare le gouvernement. Mais la question est de savoir si c’est pour les éviter ou au contraire s’y soumettre. En effet le concept d’économie circulaire remet en cause le mode de production, de distribution et de consommation. En gros l’objectif est de limiter la quantité de déchets de toutes sortes et aussi de favoriser leur recyclage avec un principe de responsabilité des producteurs. On peut légitimement s’interroger, notamment dans le cas des plans alimentaires territoriaux (qui recherchent notamment un équilibre entre la production locale et la consommation) sur l’intérêt sanitaire et environnemental de consommer des produits hors saison qui parcourt des milliers de kilomètres. Des produits par ailleurs poussé chimiquement et sans grande saveur gastronomique. Le recyclage de certains déchets va aussi rencontrer l’opposition de nombre de producteurs. L’économie circulaire vise aussi à réduire de manière sensible les émissions polluantes notamment en raccourcissant les circuits de distribution. Le transport et la logistique sont en effet très l’énergie qui va et participe à l’accroissement des émissions vente. On comprend par exemple qu’on puisse importer des aliments exotiques en plein hiver européen qu’on ne peut produire sur place mais on peut s’interroger sur le bien-fondé de consommer par exemple du raisin en janvier ou en février. De nombreuses mesures de la future loi sur l’économie circulaire actuellement en préparation seront adoptées par ordonnances, selon un projet de texte consulté par l’AFP, une méthode censée protéger le texte des lobbies selon le gouvernement et qui suscite déjà des critiques. Cette loi, qui sera soumise au Parlement dans les mois à venir, doit permettre de réduire la quantité de déchets jetés par les Français (plastiques, produits électroniques usagés, emballages, etc.) mais aussi d’améliorer leur recyclage.

Elle reprend la cinquantaine de mesures de la « feuille de route de l’économie circulaire », présentée l’an dernier et qui vont d’un meilleur affichage sur la recyclabilité des produits à l’extension à de nouveaux produits du principe de la responsabilité des producteurs (REP) ou encore à des sanctions pour les filières qui n’atteignent pas leurs objectifs de recyclage.

Le projet de texte consulté par l’AFP datant du 15 janvier et initialement dévoilé par la lettre Déchets Infos prévoit que l’essentiel des mesures, longuement énumérées dans l’exposé des motifs, soient adoptées « par voie d’ordonnance ». Cette décision vise à éviter que les « lobbies » ne tentent d’influencer les débats parlementaires, a expliqué la secrétaire d’État Brune Poirson la semaine dernière devant le Conseil national de la transition écologique (CNTE), selon des sources concordantes.

Au ministère de la Transition écologique et circulaire, on confirme ce choix des ordonnances, même si on précise que la rédaction du projet de loi n’est pas totalement terminée.

Cette méthode suscite toutefois l’inquiétude des acteurs concernés. Nicolas Garnier, délégué général de l’association Amorce, qui regroupe des collectivités et des entreprises, fait part de sa « perplexité » devant des mesures qui seront en grande partie prises « sans débat parlementaire », même si « sur le fond, le projet de loi a le mérite de recadrer les sujets » sur l’éco-conception des produits ou l’information du consommateur. « On a cinq articles sur le volet consommation pour dire on a fait un pas vers les associations, mais pour les choses sérieuses, cela va être par ordonnance (…) sans aucune visibilité sur leur contenu », regrette aussi Émile Meunier, avocat spécialisé en droit de l’environnement. Du côté des industriels du recyclage, on se dit « dans l’expectative ». « Les ordonnances ne nous rassurent pas sur la transparence » indique à l’AFP Jean-Philippe Carpentier, président de la fédération Federec, qui attendait plus de mesures précises sur l’incorporation des matières recyclées dans les produits ou le traitement des déchets ultimes.

 

Brexit : un report pour éviter la crise britannique

Brexit : un report pour éviter la crise britannique

 

 

 

Comme c’était prévisible la Grande-Bretagne est tellement empêtrée dans ses contradictions vis-à-vis du Brexit qu’on pourrait arrêter les pendules quant à la décision de quitter l’union. Ce serait une sorte de porte de sortie politique pour éviter la crise outre-manche. En effet la date de sortie officielle est fixée le 29 mars mais le gouvernement britannique est complètement paralysé parce qu’il ne veut ni organiser un nouveau référendum, ni voter en l’état l’accord passé avec l’union européenne pour la transition. La seule solution politique serait donc de provoquer de nouvelles élections législatives que les conservateurs ne sont d’ailleurs pas sûrs de gagner. De toute manière le contexte politique n’est pas réuni pour qu’une décision définitive intervienne le 29 mars concernant la sortie de l’union européenne par la Grande-Bretagne. Du coup de manière discrète des contacts sont pris à l’initiative surtout des Britanniques pour envisager un report de la date fatidique. Ce qui permettrait peut-être de réunir les conditions d’un contexte politique plus favorable à un accord de transition. Ce ne serait pas la première fois que la Grande-Bretagne et le gouvernement conservateur se contredisent sur cette affaire complexe du Brexit. Le quotidien britannique cite trois sources européennes qui disent avoir été approchées par des représentants de Londres chargés de « sonder le terrain » alors que le projet de Brexit négocié par la première ministre Theresa May avec Bruxelles est contesté, tant par l’opposition travailliste que par de nombreux membres de sa majorité conservatrice.

Réagissant aux informations rapportées par le Telegraph, un porte-parole du 10, Downing Street a déclaré que Theresa May a toujours affirmé que le Royaume-Uni quitterait l’Union européenne le 29 mars prochain et qu’aucun report de la mise en œuvre de l’article 50 des traités européens ne serait demandé.

 

 

Gilets jaunes : éviter le danger de la manipulation politique

Gilets jaunes : éviter le danger de la manipulation politique

Le  risque de manipulation politique et évident en raison de l’état de structuration du mouvement. À juste titre les gilets jaunes de base  se méfient  par dessus tout de ces leaders plus ou moins auto désignées qui profitent  de l’occasion pour s’offrir un retour médiatique voire politique. Aucune  organisation n’échappe à ce bilais démocratique. Il y en a toujours qui sont prêts à détourner à leur profit l’objet social d’un mouvement. Le gouvernement lui-même est plein de ces responsables qui ont slalomé entre différents courants associatifs et politiques pour parvenir enfin à décrocher un portefeuille ministériel. Ou un poste en vue est bien rémunéré. Mais c’est autre chose que d’être manipulé. On se demande par exemple qui sont les auteurs de ces appels à manifester à Paris à deux endroits différents alors que la majorité des gilets jaunes préfet veut rester sur  place pour des questions matérielles, d’efficacité aussi de sécurité. En interne, il est toutefois sans doute nécessaire de structurer le mouvement d’abord au niveau départemental puis au niveau national cela pour éviter que les revendications et les actions partent dans tous les sens y compris parfois de manière contradictoire. La question des délégations qui rencontrent les pouvoirs publics  est un autre problème qui peut être réglé avec des délégations tournantes ou en partie tournante. Par ailleurs,ces délégations doivent avoir un mandat clair qui consiste seulement à ,exposer les revendications et leur justification. Les propositions des pouvoirs publics ne doivent être acceptées qu’après avoir été soumise au instance décentralisées et aux groupes locaux. Le problème c’est que la plupart des responsables des gilets jaunes n’ont guère d’expérience politique voir sociale et que le risque est grand qu’il se fasse endormir ou récupérer par les marchands de discours soporifique des oligarques  du pouvoir.

Il reste Seulement 2 ans pour éviter la catastrophe climatique (ONU)

Il reste Seulement  2 ans pour éviter la catastrophe   climatique (ONU)

 

Le secrétaire général de l’ONU lance un cri d’alerte en direction de la société à propos du climat : « Si nous ne changeons pas d’orientation d’ici 2020, nous risquons (…) des conséquences désastreuses pour les humains et les systèmes naturels qui nous soutiennent», Il invite cette société a demandé des comptes aux dirigeants de la planète qui se contentent surtout de déclaration mais qui dans la pratique perpétue les pratiques qui détruisent environnement et le climat. « Il est impératif que la société civile – jeunes, groupes de femmes, secteur privé, communautés religieuses, scientifiques et mouvements écologiques dans le monde – demande des comptes aux dirigeants », a insisté le secrétaire général des Nations unies. En dressant un tableau noir des menaces pesant sur la chaîne alimentaire et l’accès à l’eau, M. Guterres a martelé que le monde faisait « face à une menace existentielle directe » et au « plus grand défi » de l’époque. « Le changement climatique va plus vite que nous » et « nous devons rompre avec la paralysie ». « Nous avons les outils pour rendre nos actions efficaces mais nous manquons – même après l’accord de Paris – de leadership et d’ambition pour faire ce que nous devons faire », a-t-il déploré. Ainsi, « nous devons arrêter la déforestation, restaurer les forêts détériorées et changer notre manière de cultiver ». Il faut aussi revoir « la manière de chauffer, de refroidir et d’éclairer nos bâtiments pour gaspiller moins d’énergie ». Antonio Guterres a rappelé qu’il organisera à l’ONU un sommet mondial sur le climat en septembre 2019, soit un an avant l’échéance imposée aux signataires de l’accord de Paris de 2015 pour s’acquitter de leurs engagements.

 

 

 

Philosophie de la sérendipité pour éviter la mode de la « disruptivité »

Philosophie de la sérendipité pour éviter la mode de la « disruptivité »

Un article diffusé dans la Tribune Jean-Baptiste Canivet, directeur associé de la startup Stig.Pro qui propose la séredipidité pour échapper au néologisme de la « Disruptivité ».

 

 

 

« Désormais sur toutes les lèvres, l’innovation disruptive s’est érigée en ambition suprême des entreprises. Il faut être disruptif, ou mourir. Une injonction qui se conjugue dans un contexte d’optimisation des moyens de tous bords et de recherche de rentabilité immédiate. On ne peut pourtant pas toujours être disruptif et d’ailleurs, le faut-il vraiment ? L’innovation de rupture serait-elle forcément plus porteuse que l’innovation du quotidien ?

Ce sont pourtant les innovations ordinaires et les avantages concurrentiels, qui permettent de hisser de nombreuses entreprises sur leurs marchés. Ce prétendu impératif de disrupter à tout prix s’accompagne de difficultés d’anticipation croissantes pour les gouvernants de plus en plus contraints de naviguer à vue dans un monde mouvant.

Pourtant, l’Histoire prouve que les grands progrès comme les petites révolutions émanent souvent de découvertes accidentelles, d’expérimentations « gratuites », d’explorations périphériques… Ce processus s’appelle la sérendipité. Cet état d’esprit et son aspect désintéressé, peut-il s’appliquer à l’entreprise, royaume du ROI systématique, pour innover au jour le jour, saisir l’air du temps et favoriser la créativité, face à l’impermanence et à la difficulté de planifier ?

L’un des concepts favoris des anglosaxons, « serendipity », est introduit dans le langage en 1945 par le sociologue américain Merton, et n’entre dans le Larousse en français qu’en 2012. Il désigne le fait de trouver quelque chose qui n’était pas initialement prévu par la recherche, et d’en tirer parti. Une sorte de hasard heureux, qui ne relève pas uniquement de la chance, puisqu’il est provoqué par une démarche quelconque, et s’associe à une certaine sagacité pour en tirer le bénéfice. Nombre de grandes découvertes ne sont pas nées de fulgurances créatives, mais issues de ce processus qui mène à trouver ce qu’on ne cherchait pas à l’origine : de la tarte tatin retournée par erreur, à la pénicilline dont les propriétés antibiotiques sont observées à partir de la moisissure, en passant par le viagra initialement conçu pour traiter les angines de poitrine et dont un effet secondaire en deviendra la vertu principale… Ce fut également le cas de la grotte de Lascaux trouvée par hasard par des adolescents. La découverte, encore sans valeur historique, arrive aux oreilles du préhistorien Henri Breuil réfugié dans la région, qui s’y attardera pour en révéler le trésor archéologique. Plus récemment, les lunettes permettant de rétablir la perception des couleurs pour les daltoniens sont nées d’un projet de mise au point de lunettes de protection laser initialement destinées aux chirurgiens.

Le cas le plus connu de découverte par sérendipité -qui n’en est finalement pas vraiment un- reste la découverte de l’Amérique par Christophe Colomb, parti à la conquête des Indes : il mourut certainement sans réaliser qu’il avait trouvé un nouveau monde.

Ces histoires de ratages réussis, de trouvailles fortuites, sont riches d’enseignements pour les organisations. Elles permettent de relativiser l’inattendu et d’appréhender l’aléa autrement qu’une menace. Comment se servir du désordre apparent comme outil de prospective ? Si, par définition, on ne peut pas maîtriser la sérendipité, peut-on créer un cadre favorable dans l’entreprise ? Comment ne pas passer à côté d’une découverte ou d’une innovation ? Une phrase du philosophe indien J. Krisnamurti dit : « On ne peut inviter le vent, mais il faut laisser la fenêtre ouverte ». La sérendipité n’est pas une méthode, elle n’est pas une stratégie, mais une attitude à ancrer dans la culture d’entreprise.

Avant toute chose, il est indispensable d’instaurer un management propice à responsabiliser les collaborateurs, en fixant le cap de l’organisation de façon précise sans être restrictif (ses ambitions et valeurs fondatrices), et en mobilisant l’intelligence collective.

La condition sine qua none à la sérendipité est une certaine dose de liberté : les managers doivent sensibiliser les collaborateurs et éveiller leur curiosité notamment sur l’extérieur. En effet, toute découverte issue de la sérendipité est le fruit d’une quête, d’un mouvement initial. A l’entreprise de l’impulser, en offrant aux collaborateurs davantage de latitude pour explorer les sentiers hors des tâches attribuées et des objectifs immédiats. Cela peut se concrétiser par un temps consacré, comme chez Google, qui alloue 20% du temps de travail des salariés à une initiative de leur choix. Ils peuvent ainsi approfondir une idée qui les intéresse personnellement sur leur temps de travail, en contrepartie, l’entreprise s’octroie les innovations réalisées dans ce cadre pour les intégrer à son offre. Aux Pays-Bas, les chercheurs ont pour tradition de consacrer leur vendredi à des recherches personnelles. Dans certains instituts d’études avancées, on réunit des chercheurs en leur demandant d’innover, provoquant ainsi un foisonnement entre disciplines diverses et parfois très éloignées.

Second préalable indispensable : la communication. La configuration des nouveaux espaces de travail peut favoriser le partage afin que la créativité rencontre l’expertise, avec les espaces de co-working, flex-offices, et zones communes de détente. Les nouvelles technologies sociales jouent un rôle essentiel pour que ce partage soit fertile : c’est précisément la communication de non-initiés à un expert, qui a permis à la grotte de Lascaux d’être révélée pour ce qu’elle est. Utilisables hors de l’entreprise, ces outils prolongent le brainstorming en échappant au cadre de référence du bureau, et concourent à plus de porosité entre les champs d’explorations personnelles et l’entreprise.

Pour que cette émulation soit féconde, reste à savoir repérer les opportunités qui en émergent. Louis Pasteur disait : « La chance ne favorise que des esprits préparés ». L’entreprise doit mettre en place une écoute permanente et alerte, pour saisir les fruits de ces expérimentations, identifier et accueillir ce « hasard heureux », pour l’articuler avec ses intérêts ou en déceler le nouveau potentiel. Une politique de recrutement qui introduit de la diversité au sein de l’entreprise, lui permettra de s’entourer d’esprits affûtés, des profils parfois atypiques.

Enfin, il est important que l’entreprise soit capable de se remettre en question pour se réorienter, lorsque le potentiel d’une découverte est supérieur, pour son développement.

Il s’agit de sortir d’une logique de planification, pour privilégier une approche d’opportunités. Paradoxalement, c’est en sortant d’une vision court-termiste que l’entreprise trouvera le chemin le plus court vers l’innovation. Un savant équilibre de stratégie et d’improvisation face aux éléments, de liberté et de contrôle, lui éviteront, à l’instar d’un Christophe Colomb, de passer à côté, qu’il s’agisse de grandes conquêtes ou de petites trouvailles. Ces dernières demeurent de précieuses alliées dans nos économies matures où ce sont souvent les services associés et les petits « détails » qui font toute la différence.

Trump vire le directeur du FBI : pour éviter une enquête sur ses liens avec Moscou

Trump vire le  directeur du FBI : pour éviter une enquête sur ses liens avec Moscou

Sur franceinfo, Fabrizio Calvi, journaliste spécialiste de l’histoire du renseignement américain, a estimé la véritable raison était l’enquête ouverte par le FBI sur les connexions supposées de Donald Trump avec la Russie.

 

Franceinfo : Donald Trump reprocherait à James Comey sa gestion de l’affaire des emails d’Hillary Clinton. Est-ce la véritable raison ?

Fabrizio Calvi : Les mails d’Hillary Clinton sont vraiment un prétexte. En fait, la véritable raison est qu‘il y a une enquête ouverte par le FBI sur les connexions russes de Donald Trump, aussi bien mafieuses qu’au niveau des services secrets.

Le directeur du FBI a réclamé plus de fonds au département de la Justice pour pouvoir continuer cette enquête sur les connexions russes de Donald Trump. Le lendemain il a été limogé. Il y avait des rumeurs, comme quoi Donald Trump risquait d’être mis en examen, donc c’est une affaire très délicate. Cela fait partie d’une guerre secrète entre les grandes agences de renseignement américain et Donald Trump.

Donald Trump se méfie-t-il beaucoup du FBI ?

Il se méfie énormément. Il a fait un coup de force, c’est du jamais vu à ce niveau-là. Il y a eu déjà un limogeage d’un directeur du FBI. C’était par Bill Clinton en 1993, mais dans des conditions différentes. On lui reprochait d’avoir utilisé de l’argent public pour refaire sa maison.

Le limogeage du directeur du FBI apparaît comme une opération grossière, pourquoi Donald Trump a-t-il agi de la sorte ?

C’est vrai que pour bloquer l’enquête, c’était sans doute la seule manière qu’il avait. Maintenant il y a des Républicains qui demandent la nomination d’un procureur indépendant. Mais le procureur indépendant est nommé soit par la Maison Blanche soit par le ministère de la Justice. S’il n’y pas de nomination d’un procureur indépendant, ça risque d’être compliqué. Il y a une chose sur laquelle il faut compter, c’est sur l’indiscipline de certains agents du FBI. Mais s’il n’y a pas d’enquête ouverte, leur marge de manoeuvre est très limitée.

Dupont-Aignan se vend à Marine Le Pen pour éviter la faillite financière de son parti

Dupont-Aignan se vend à   Marine Le Pen pour éviter la faillite financière de son parti

 

Pour sauver son micro- parti  « debout la France », Dupont Aignan n’a pas hésité à s’allier avec le diable. En cause,  le fait qu’il n’a pas réussi à atteindre 5%, ce qui lui aurait permis d’être remboursé par l’État pour ses dépenses de campagne. Pour sauver son petit parti de quelques milliers d’adhérents, Dupont Aignan se vend donc à Marine Le Pen. L’objectif est d’obtenir en retour quelques députés qui viendront remplir  les caisses de son micro parti et continuer à faire de la politique. Pourtant Dupont Aignan affirmait  encore le 19 avril que son parti était de nature humaniste et non xénophobe, ce qui l’empêchait de rejoindre le Front national. Cependant la logique financière a pris le pas sur la morale politique « Nous avons signé un accord de gouvernement avec une évolution de son programme », a déclaré le président de Debout la France sur France 2, quelques heures après avoir rencontré Marine Le Pen dans un appartement du XVIIe arrondissement de Paris. « L’enjeu c’est de sauver la France. » Le comité national de Debout la France, réuni vendredi, s’était divisé sur son positionnement en vue du second tour de l’élection présidentielle, avait indiqué son vice-président Dominique Jamet lequel a démissionné aussitôt de son parti. « Il y a eu des discussions où tous les avis se sont opposés et à la fin on s’est séparés. Il n’y a pas de décision prise, il n’y a pas de décision commune », a-t-il déclaré à l’issue de quatre heures trente de réunion. Nicolas Dupont-Aignan, issu de la droite gaulliste, n’a pas réussi à franchir la barre fatidique des 5%, qui permet d’être remboursé de ses frais de campagne.

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