Archive pour le Tag 'euros'

L’inflation: Un coût de 1230 euros pour chaque ménage français en 2023

L’inflation: Un coût de 1230 euros pour  chaque ménage français en 2023

En moyenne du fait de l’inflation, la perte de pouvoir d’achat de chaque ménage n’est pas négligeable puisqu’elle atteint 1230 € en 2023. Mais ce qu’il faut surtout observer dans la dernière étude de l’INSEE sur le sujet c’est l’extrême dispersion des pertes de niveau de vie qui vont de -7,1 % pour les plus pauvres à 3,1 % pour les plus riches. Un constat qui permet une nouvelle fois de remettre en cause les les ajustements de même niveau pour tous les revenus.

Notons enfin que l’INSEE se fonde toujours sur une évolution des prix de la consommation obsolète qui ne tient pas compte de la modification structurelle des achats des ménages qui globalement achètent moins et  différemment.

Selon le dernier rapport de l’Insee, « France, portrait social », publié ce jeudi 21 novembre, l’inflation a en effet représenté une perte moyenne de 1 230 euros annuels par personne en 2023, dans l’hypothèse où les ménages n’auraient pas modifié leur consommation sous l’effet de la hausse des prix. En termes de niveau de vie, l’institut national de statistiques souligne un impact plus fort de cette baisse chez les plus modestes, avec des pertes qui représentent -7,1 % du niveau de vie pour les 10 % les plus pauvres, contre seulement -3,1 % pour les 10 % les plus aisés.

Europe: 300.000 euros de frais divers facturés par Jean-Marie Le Pen

Europe:  300.000 euros de frais divers facturés par Jean-Marie Le Pen

Autant l’affaire des assistants parlementaires européens peut se discuter puisqu’il n’y a aucun détournement de fonds pour enrichissement personnel autant la facture de Jean-Marie Le Pen paraît un peu salée ! Le Parlement européen réclame en effet plus de 300.000 euros à Jean-Marie Le Pen pour avoir indûment facturé à l’institution des frais de mandat d’eurodéputé, a appris lundi l’AFP de sources proches du dossier. 

En cause : l’utilisation de frais de mandats au titre de la «ligne budgétaire 400» du Parlement européen, destinés à couvrir «les dépenses administratives et de fonctionnement des groupes politiques et du secrétariat des députés non-inscrits» et celles «liées aux activités politiques et d’information dans le cadre des activités politiques de l’Union européenne». Mais «ces crédits ne peuvent être utilisés pour financer toute forme de campagne électorale européenne, nationale, régionale ou locale» ou «être utilisés pour l’achat de biens immeubles ou de véhicules», précise le règlement de l’institution. Or, entre 2009 et 2018, Jean-Marie Le Pen a été indûment remboursé, dans le cadre de cette «ligne budgétaire 400», de dépenses de bulletins d’informations, stylos, cartes de visite, cravates, parapluie, balances de cuisine, horloges de bureau, bracelets connectés, lunettes de réalité virtuelle ou encore de 129 bouteilles de vin, selon un rapport de l’Office européen de lutte antifraude (Olaf).

 

Dette publique : Autour de 50 000 € par Français et 100 000 Euros par actif

Dette publique : Autour de 50 000 € par Français et 100 000 Euros par actif

 

  La dette publique française a atteint 3228,4 milliards d’euros au deuxième trimestre 2024, d’après les derniers chiffres de l’Insee parus ce vendredi. L’endettement public du pays, qui s’est massivement accru depuis la crise sanitaire, a donc augmenté de près de 69 milliards d’euros entre mars et juin pour atteindre 112% du PIB, contre 110,7% à la fin du premier trimestre. Une dette qui représente environ 50 000 € par Français ou encore environ 100 000 € par actif.

L’année dernière, les «engagements financiers de l’État» figuraient à la seconde place des dépenses derrière l’éducation (82 milliards d’euros), avec quelque 62,4 milliards d’euros dépensés en 2023, dont 53,9 milliards d’euros au titre de la «Charge de la dette et trésorerie de l’État». Loin devant la Défense, et son budget de 54,8 milliards d’euros en 2023.

Le  nouveau ministre du Budget a tiré la sonnette d’alarme ce mercredi. «La situation de nos finances publiques est grave, et je n’irai pas par quatre chemins: en 2024, le déficit public risque de dépasser les 6% du PIB» contre 5,1% initialement attendus, a-t-il annoncé devant la Commission des Finances de l’Assemblée nationale.

 

L’ ‘investissement en private equity ouvert dès 500 euros chez Bpifrance

L’ ‘investissement en private equity ouvert dès 500 euros chez Bpifrance

    La banque publique d’investissement Bpifrance lance un nouveau fonds pour les particuliers voulant investir dans des entreprises non cotées, le private equity, avec un ticket d’entrée inhabituellement bas de 500 euros. Le private equity consiste à investir dans le capital de sociétés non cotées à différents stades de leur développement. Il s’oppose au public equity qui désigne l’investissement dans des sociétés cotées en Bourse.

    BE3 est la quatrième initiative de la banque depuis 2020 pour « démocratiser » ce marché, auquel, outre les investisseurs professionnels, ne pouvaient accéder « qu’une population extrêmement limitée », capable d’ »investir d’un coup sur un seul fonds des tickets de 100.000 à 150.000 euros », a observé le directeur général de Bpifrance Nicolas Dufourcq, jeudi devant la presse.

    La banque a déjà lancé Bpifrance Entreprises 1 (BE1), où la mise minimum était de 5.000 euros, puis BE2 (3.000 euros) et BE Avenir 1 (1.000 euros).
    BE3 est un fonds de fonds destiné aux résidents fiscaux français, d’une taille-cible de 120 millions d’euros, concernant environ 1.200 entreprises, dont le client reçoit la liste en souscrivant.
    Le rendement annuel net visé est de 10%. Il comprend un risque de perte, y compris totale, relève Bpifrance, mais le grand nombre d’entreprises présentes abaisse le risque de pertes importantes.

    Bpifrance souhaite faire de cette nouvelle opération « un levier de notoriété pour tout cet écosystème du capital-investissement », afin d’inciter les Français à investir dans les PME non cotées.

    Déjà, neuf assureurs référencent au moins un fonds de la gamme dans les contrats d’assurance-vie, de manière explicite, et il est possible de souscrire au nouveau fonds directement sur une plateforme numérique simplifiée de Bpifrance.

    Environ 12 millions de personnes ont déjà été touchées par les médias au sujet de cette gamme depuis 2020, et il est possible aussi de s’informer sur le site Epargner autrement.

     

     

    Prix carburants : près de 2 euros

    Prix carburants : près de 2 euros

    Les prix du carburant toujours à la hausse depuis le début de l’année 2024, selon les calculs de Fig Data, effectués grâce aux données publiques du ministère de la Transition énergétique. Un litre de sans-plomb 98 coûte en moyenne 1,9903 euro, soit une remontée de douze centimes par rapport à janvier. Le cours du sans-plomb 95 (1,9386 euro) et celui de l’E10 (1,9221 euro) suivent aussi cette tendance. Le gazole est également en hausse, à 1,8071 euro.

    Sur un an, le tarif du SP-98 est en hausse de 0,8%, comme celui du SP-95 (+ 0,3%) et de l’E10 (+ 0,5%). Le gazole a également augmenté d’1,4%.

    Les prix à la pompe suivent les évolutions du baril de Brent. Ce dernier a atteint son record annuel au début de l’automne à 96,55$ en clôture à Londres avant de redescendre. C’était sans compter sur l’irruption d’un nouveau conflit au Proche-Orient, entre le Hamas et Israël, qui a suscité l’inquiétude des marchés et une flambée des prix dans un contexte déjà plombé par les réductions de production saoudienne et russe et l’enlisement du conflit en Ukraine.

    Prix du Carburant : bientôt à deux euros le litre

    Prix du Carburant : bientôt à deux euros le litre

    Tout indique que le prix du carburant devrait prochainement passer à près de deux euros le litre. Il y a d’abord la demande mondiale qui ne faiblit pas notamment en Asie et qui devrait atteindre un pic en 2024. Il y a aussi les plans de réduction de la production voulue par l’OPEPet notamment par l’Arabie Saoudite. Enfin il faut prendre en compte les risques géo politique en particulier avec la guerre en Ukraine;  La Russie étant un des grands producteurs de pétrole ( et de gaz bien sûr).

    Les prix des carburants à la pompe sont à la hausse depuis le tout début de l’année et avoisinent pour certains les deux euros. De quoi ranimer le spectre de 2022 où les prix avaient outrepassé ce seuil. A tel point que l’association « 40 millions d’automobilistes » a lancé une pétition en fin de semaine dernière pour réclamer un plafonnement des prix du carburant et garantir un tarif à 1,50 euro.

    Dans le détail, le sans-plomb 95 avoisinait les 1,93 euros le litre le vendredi 12 avril, le sans-plomb 95-E10 atteignait 1,90 euro, le sans plomb 98 était à 1,98 euro et le Gazole se maintenait à 1,79 euro, d’après les données du ministère de la Transition écologique. A titre de comparaison, le SP 95 était à 1,80 euro tout début janvier, le SP 95-E10 à 1,77 euros, le SP98 à 1,86 et le gazole à 1,72 euro.

     

    Plusieurs critères viennent jouer sur les prix à la pompe : le prix du pétrole brut, le taux de change, la marge de raffinage et les taxes. Actuellement, « les prix à la pompe sont essentiellement influencés par les variations du prix du brut », estime Olivier Gantois, président de l’Ufip énergies. Depuis le début de l’année, les prix évoluent globalement à la hausse. A tel point qu’ils ont même dépassé la barre des 90 dollars le baril au cours de la semaine dernière.

    Une hausse qui découle en partie du contexte géopolitique. A la suite de la montée des tensions entre l’Iran et Israël, le prix du baril de Brent de la mer du Nord était autour des 91 dollars vers 17h40 vendredi dernier, et le baril de West Texas Intermediate (WTI) atteignait 87 dollars. Néanmoins, les attaques iraniennes en Israël n’ont à ce jour pas eu de répercussions sur les marchés.

    Outre la situation au Moyen-Orient, les prix du brut sont également influencés par le conflit entre la Russie et l’Ukraine. D’autant que la Russie fait partie des principaux producteurs de pétrole. Récemment, les attaques de drone ukrainiens sur des infrastructures pétrolières en Russie ont ainsi pu créer des tensions sur les marchés.
    Mais alors que la demande augmente d’un côté, les pays de l’Opep, l’organisation des pays exportateurs de pétrole, ainsi que la Russie, ont passé des accords pour maintenir de leurs côtés la production d’or noir. Ce que l’on appelle la « discipline de l’Opep ». Cette réduction permet donc à l’Opep, notamment l’Arabie Saoudite, de maintenir les cours du pétrole élevés. « La fourchette de prix du brut comprise entre 80 dollars et 90 dollars est idéale pour l’Opep » estime Thierry Bros, expert énergie et professeur à Sciences Po. Constat partagé par Olivier Gantois qui précise qu’« entre décembre 2022 et février 2025, le prix du baril n’est pas descendu en dessous de 75 dollars, ce qui est déjà un prix élevé ». De quoi maintenir encore in fine des prix à la pompe élevés…

    Carburant : bientôt à deux euros le litre

    Carburant : bientôt à deux euros le litre

     

    Tout indique que le prix du carburant devrait prochainement passer à près de deux euros le litre. Il y a d’abord la demande mondiale qui ne faiblit pas notamment en Asie et qui devrait atteindre un pic en 2024. Il y a aussi les plans de réduction de la production voulue par l’OPEPet notamment par l’Arabie Saoudite. Enfin il faut prendre en compte les risques géo politique en particulier avec la guerre en Ukraine;  La Russie étant un des grands producteurs de pétrole ( et de gaz bien sûr).

    Les prix des carburants à la pompe sont à la hausse depuis le tout début de l’année et avoisinent pour certains les deux euros. De quoi ranimer le spectre de 2022 où les prix avaient outrepassé ce seuil. A tel point que l’association « 40 millions d’automobilistes » a lancé une pétition en fin de semaine dernière pour réclamer un plafonnement des prix du carburant et garantir un tarif à 1,50 euro.

    Dans le détail, le sans-plomb 95 avoisinait les 1,93 euros le litre le vendredi 12 avril, le sans-plomb 95-E10 atteignait 1,90 euro, le sans plomb 98 était à 1,98 euro et le Gazole se maintenait à 1,79 euro, d’après les données du ministère de la Transition écologique. A titre de comparaison, le SP 95 était à 1,80 euro tout début janvier, le SP 95-E10 à 1,77 euros, le SP98 à 1,86 et le gazole à 1,72 euro.

    Lire aussiLe prix du pétrole au plus haut depuis plus de cinq mois

    Tensions géopolitiques
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    Plusieurs critères viennent jouer sur les prix à la pompe : le prix du pétrole brut, le taux de change, la marge de raffinage et les taxes. Actuellement, « les prix à la pompe sont essentiellement influencés par les variations du prix du brut », estime Olivier Gantois, président de l’Ufip énergies. Depuis le début de l’année, les prix évoluent globalement à la hausse. A tel point qu’ils ont même dépassé la barre des 90 dollars le baril au cours de la semaine dernière.

    Une hausse qui découle en partie du contexte géopolitique. A la suite de la montée des tensions entre l’Iran et Israël, le prix du baril de Brent de la mer du Nord était autour des 91 dollars vers 17h40 vendredi dernier, et le baril de West Texas Intermediate (WTI) atteignait 87 dollars. Néanmoins, les attaques iraniennes en Israël n’ont à ce jour pas eu de répercussions sur les marchés.

    Outre la situation au Moyen-Orient, les prix du brut sont également influencés par le conflit entre la Russie et l’Ukraine. D’autant que la Russie fait partie des principaux producteurs de pétrole. Récemment, les attaques de drone ukrainiens sur des infrastructures pétrolières en Russie ont ainsi pu créer des tensions sur les marchés.

    Hausse de la demande et stratégie de l’Opep
    Le contexte géopolitique n’est cependant pas le seul déterminant des prix du baril. « La hausse du baril de brut est également dû à la consommation mondiale de pétrole brut qui est en augmentation, cette demande venant principalement d’Asie », pointe Olivier Gantois. En effet, d’après les chiffres de l’IAE, elle devrait atteindre un nouveau record en 2024, à 103,2 millions de barils par jour.

    Mais alors que la demande augmente d’un côté, les pays de l’Opep, l’organisation des pays exportateurs de pétrole, ainsi que la Russie, ont passé des accords pour maintenir de leurs côtés la production d’or noir. Ce que l’on appelle la « discipline de l’Opep ». Cette réduction permet donc à l’Opep, notamment l’Arabie Saoudite, de maintenir les cours du pétrole élevés. « La fourchette de prix du brut comprise entre 80 dollars et 90 dollars est idéale pour l’Opep » estime Thierry Bros, expert énergie et professeur à Sciences Po. Constat partagé par Olivier Gantois qui précise qu’« entre décembre 2022 et février 2025, le prix du baril n’est pas descendu en dessous de 75 dollars, ce qui est déjà un prix élevé ». De quoi maintenir encore in fine des prix à la pompe élevés…

    Il manque aux Français 900 euros en moyenne par mois pour «bien vivre», selon une étude

    Il manque aux Français 900 euros en moyenne par mois pour «bien vivre», selon une étude

    D’après une récente étude menée par l’Observatoire Société et Consommation (ObSoCo) pour la banque en ligne BforBank*, portant sur le rapport des Français à l’argent, Il manquerait en moyenne environ 900 € pour bien vivre. Le problème pour les bas revenus c’est que pratiquement 80 % des moyens financiers sont présentés par des dépenses contraintes ( logement, alimentation, transport, biens et services indispensables). Il ne reste que de l’ordre de 20 % en moyenne pour le superflu type vacances ou loisir en général.

    Comme différents sondages similaires l’ont déjà montré, peu de Français sont réellement satisfaits de leurs revenus. Seuls quatre sur dix (39%) ressentent en effet une forme de «bien-être financier».

    Le supplément de revenu idéal est par ailleurs plus élevé chez les 55-64 ans (1014 euros), chez les familles avec enfants (1077 euros) et chez les habitants de région parisienne (1044 euros). Il manque aussi plus d’argent aux hommes (943 euros) qu’aux femmes (852 euros).

     

    De tels résultats semblent dépeindre un tableau sombre. D’autant que plus de trois Français sur quatre (76%) estiment que leur situation financière contribue directement à leur bien-être. Pourtant, 68% des Français ressentent un «bien-être général». Et plus de la moitié des sondés (55%) se disent satisfaits de leur vie actuelle. L’argent ne ferait-il pas (complètement) le bonheur ?

    *Étude de l’ObSoCo pour BforBank, réalisée du 21 au 30 août 2023 auprès d’un échantillon de 2000 personnes représentatives de la population
    France métropolitaine de 18 à 75 ans.

    Santé : une taxe de cinq euros pour rendez-vous médical manqué

    Santé : une taxe de cinq euros pour rendez-vous médical manqué

     

    Le Premier ministre a notamment annoncé ce samedi 6 avril que les patients ne se présentant pas à leur rendez-vous médical se verront infliger une pénalité de 5 euros.

    Le Premier ministre Gabriel Attal a annoncé une batterie de mesures ce samedi 6 avril portant sur le système de santé et afin de « reconquérier 15 à 20 millions de rendez-vous médicaux chaque année ». Il a notamment fait savoir que le nombre de places en deuxième année de médecine sera porté à 12.000 en 2025 puis à 16.000 en 2027, contre 8.150 en 2017 et 10.000 en 2023.

    Selon le chef du gouvernement, les pharmaciens pourront également prescrire directement des antibiotiques pour les cas d’angines et de cystites à partir de juin. À cette date, les opticiens devraient aussi pouvoir directement adapter les ordonnances faites par les ophtalmologues lorsque la prescription faite n’est pas ou plus adaptée.

    Une expérimentation va également être menée dans un département par région pour que les patients puissent avoir un accès direct aux médecins spécialistes sans avoir à passer par un médecin généraliste.

     

     

    Rémunération du patron de Stellantis : 36,5 millions d’euros avec une augmentation de 56% sur un an

    Rémunération du patron de Stellantis : 36,5 millions d’euros avec une augmentation de 56% sur un an  

    Il n’est pas anormal que les grands patrons très compétents puissent toucher de fortes rémunérations qui récompensent leur travail. Mais lorsque ces rémunérations atteignent et même dépassent les 36 millions comme celle du patron de Stellentis ( ancien groupe Peugeot plus  Fiat) il y a évidemment quelque chose de choquant et même de scandaleux. Certes ce grand patron fait preuve de grande qualité de gestion mais il y a des centaines et des centaines d’autres dirigeants de même valeur qui se contentent de beaucoup moins car surtout préoccupé de l’intérêt général de l’entreprise. Accepter de tels niveaux de rémunération dans une période inflationniste très difficile pour tout le monde relève de l’irresponsabilité tout autant que de la cupidité pathologique . Le groupe a en effet annoncé, ce vendredi, que la rémunération globale de son dirigeant pourrait atteindre, à terme, 36,5 millions d’euros pour l’année 2023, soit une augmentation de 56% sur un an.

    La  rémunération globale de son dirigeant pourrait atteindre, à terme, 36,5 millions d’euros pour l’année 2023. Soit une augmentation de 56% sur un an. Cette hausse est notamment liée au versement d’une prime de 10 millions d’euros, liée à la « transformation » du groupe créé en 2021, selon le rapport financier de Stellantis. La rémunération intègre des bonus et des pensions de retraite qui seront versés sur le long terme.

    En excluant ces éléments de long terme, le salaire de Carlos Tavares est ressorti à près de 23,5 millions d’euros en 2023, contre 14,9 millions d’euros en 2022. Pour rappel, cette rémunération sera soumise au vote des actionnaires du groupe lors de leur assemblée générale, le 16 avril prochain.

     

    Pour rappel, en avril 2022, plus de la moitié des actionnaires du groupe avaient voté contre la rémunération 2021 de Carlos Tavares, compte tenu d’un manque de transparence sur le calcul des primes. Le vote était purement consultatif, mais il avait relancé le débat en France sur la rémunération des dirigeants et surtout terni l’image du groupe, tout juste constitué par la fusion en 2021 de Peugeot-Citroën et de Fiat-Chrysler. D’autant que la rémunération des dirigeants de Stellantis, et ses modalités, fait désormais clairement partie des référentiels pris en compte dans la notation extra-financière ESG.

     

     

    En 2023, l’état-major du groupe a donc mis les bouchées doubles pour convaincre les actionnaires de la justesse de la rémunération des dirigeants et rendre plus claires les nouvelles conditions de rémunération des dirigeants. Les cadres de Stellantis ont également profité d’un contexte favorable, lié à la publication de résultats records en 2022, avec une marge d’exploitation inégalée jusqu’alors.

    Enfin, le groupe a su faire participer ses salariés à la croissance des résultats avec une augmentation générale des salaires et une prime exceptionnelle. Au total, selon le groupe, près deux milliards d’euros avaient été ainsi redistribués aux salariés.

    Bonnes performances

    Tout comme lors du précédent exercice, le géant automobile Stellantis pourra donc compter sur ses bonnes performances de l’année 2023 pour justifier le niveau de rémunération de son dirigeant. Le constructeur a, en effet, enregistré un nouveau bénéfice record.

    Les bonnes ventes en Europe à des prix rehaussés, notamment, lui ont permis de réaliser un bénéfice net de 18,6 milliards d’euros, en hausse de 11% sur un an, pour un chiffre d’affaires de 189,5 milliards d’euros, record lui aussi, avec une hausse de 6% sur un an.

    Lire aussiStellantis : Carlos Tavares appelle à « sortir du dogme » de l’électrique

     

    Ces bons résultats permettent au groupe de prévoir un programme de rachat d’actions de trois milliards d’euros cette année, et de redistribuer 1,9 milliard d’euros à ses 242.000 salariés à travers le monde. La direction du groupe a proposé en outre un dividende de 1,55 euro par action (+16% sur un an).

    Les analystes du cabinet Oddo, interrogés par l’AFP, ont salué des résultats 2023 « légèrement meilleurs qu’annoncés », synonymes d’une « gestion très rigoureuse » dans un environnement moins favorable qu’avant. L’année 2024 devrait représenter une « bonne opportunité » pour le groupe de « démontrer encore sa résilience », selon Oddo.

     

    (Avec AFP)

    Internet à très haut débit par satellite : une offre d’Orange à 50 euros

    Internet à très haut débit par satellite : une offre d’Orange à 50 euros

    Nombre d’internautes ne possèdent pas encore la fibre et certains ne l’auront jamais compte tenu des zones blanches. Du coup Orange propose une offre alternative par satellite avec un abonnement à 50 € par mois. Cet abonnement permet d’accéder au très haut débit, soit une connexion supérieure à 30 Mbit/s.

    Son prix, de 49,99 euros par mois, équivaut globalement à celui d’un abonnement à la fibre haut de gamme chez l’opérateur.

    Les clients devront toutefois se doter d’un « kit satellite » à 299 euros (ou 8 euros par mois en location). En outre, sa pose par Nordnet sera facturée 299 euros, avec une garantie d’un an. Orange rappelle que les foyers qui ne disposent pas d’un bon débit via les réseaux filaires (ADSL ou fibre) peuvent bénéficier d’une subvention, laquelle s’élève à 300 euros.

    Conséquence inflation :un surcoût de 120 euros par mois

    Conséquence inflation :un surcoût de 120 euros par mois

    Une enquête qui contredit totalement les affirmations du gouvernement, de certains experts et de Bercy sur l’augmentation des salaires qui seraient supérieurs à l’inflation. Il se confirme en effet que les Français ont perdu de l’ordre de 10 % du pouvoir d’achat en deux ans.

    D’après le baromètre annuel du comparateur de banques en ligne Panorabanques, près de 6 consommateurs sur 10 auraient perdu en capacité financière depuis le début de l’année 2023. L’étude s’appuie sur un sondage réalisé par Poll&Roll auprès d’un échantillon de 1000 personnes représentatives de la population française. Et les résultats sont sans appel : pour 96% des sondés, la hausse des prix actuelle a un impact négatif sur le pouvoir d’achat.

    Selon Panorabanques, la perte financière mensuelle due à l’inflation a encore augmenté cette année. De 7% supérieure à la précédente, elle atteint 120 euros en moyenne (contre 112€ en 2022). Et pour 16% des sondés, elle dépasse même les 200 euros. Une proportion qui grimpe à 20% chez ceux qui gagnent moins de 1500 euros par mois, alors qu’elle n’était que 10% l’année dernière. Trois postes de dépenses pèsent particulièrement lourd dans la perte de pouvoir d’achat. D’abord la hausse des prix de l’alimentation, avec 85% des Français impactés. Suivie de près par la hausse des prix de l’énergie (70%, contre 63% en 2022) et enfin le prix des carburants (64%).

    Dans le détail, 57% des Français ont vu leur pouvoir d’achat fondre quand 40% estiment qu’il est resté relativement stable. Seuls 4% jugent avoir des capacités financières en hausse. . Les catégories les plus durement frappées sont les 50-65, les parents célibataires et les travailleurs touchant moins de 1500€ par mois. D’autant que 43% de ces derniers déclarent être énormément impactés par l’inflation, alors qu’ils étaient 39% en 2022.

    Inflation: un surcoût de 120 euros par mois

    Inflation: un surcoût de 120 euros par mois

    Une enquête qui contredit totalement les affirmations du gouvernement, de certains experts et de Bercy sur l’augmentation des salaires qui seraient supérieurs à l’inflation. Il se confirme en effet que les Français ont perdu de l’ordre de 10 % du pouvoir d’achat en deux ans.

    D’après le baromètre annuel du comparateur de banques en ligne Panorabanques, près de 6 consommateurs sur 10 auraient perdu en capacité financière depuis le début de l’année 2023. L’étude s’appuie sur un sondage réalisé par Poll&Roll auprès d’un échantillon de 1000 personnes représentatives de la population française. Et les résultats sont sans appel : pour 96% des sondés, la hausse des prix actuelle a un impact négatif sur le pouvoir d’achat.

    Selon Panorabanques, la perte financière mensuelle due à l’inflation a encore augmenté cette année. De 7% supérieure à la précédente, elle atteint 120 euros en moyenne (contre 112€ en 2022). Et pour 16% des sondés, elle dépasse même les 200 euros. Une proportion qui grimpe à 20% chez ceux qui gagnent moins de 1500 euros par mois, alors qu’elle n’était que 10% l’année dernière. Trois postes de dépenses pèsent particulièrement lourd dans la perte de pouvoir d’achat. D’abord la hausse des prix de l’alimentation, avec 85% des Français impactés. Suivie de près par la hausse des prix de l’énergie (70%, contre 63% en 2022) et enfin le prix des carburants (64%).

    Dans le détail, 57% des Français ont vu leur pouvoir d’achat fondre quand 40% estiment qu’il est resté relativement stable. Seuls 4% jugent avoir des capacités financières en hausse. . Les catégories les plus durement frappées sont les 50-65, les parents célibataires et les travailleurs touchant moins de 1500€ par mois. D’autant que 43% de ces derniers déclarent être énormément impactés par l’inflation, alors qu’ils étaient 39% en 2022.

    Aide carburant: un chèque charité de 8 euros par mois

    Aide carburant: un chèque charité de 8 euros par mois


    Adieu la vente à perte. À la place macron promet un petit chèque charité de 100 € par voiture et par an aux plus modestes.

    Le projet de loi du ministre de l’économie et de la première ministre concernant l’éventualité d’une vente à perte et donc que enterré. Il sera remplacé par un petit chèque de 100 € pour la moitié de la population.

    Et à la place de la vente à perte on va impulser la vente à prix coûtant. Un slogan aussi vide que le précédent car peu de personnes sont en capacité de calculer le coût réel du carburant.

    Ce qui évidemment exclut ceux qui ne sont pas salariés, les retraités par exemple auxquelles sans doute va conseiller le déplacement en vélo !

    Macron promet faussement et naïvement qu’il va aller chez les raffineurs pour rechercher leurs marges. On se demande bien par quel dispositif législatif puisque rien n’est prévu. On se contente simplement de menacer…. un jour.

    Du coup la seule promesse est celle de Total qui déclare maintenir le prix du litre à 1,99 pour un moment.

    Concernant les hausses dans l’alimentaire, Macron se contente de reprendre les propos du ministre de l’économie en indiquant qu’une réunion aura lieu entre les industriels du secteur et les distributeurs. Et Macron d’affirmer qu’il veillera personnellement à une baisse des prix.

    On peut donc imaginer que le chef de l’État et son épouse se rendront dans les supermarchés pour faire un relevé régulier des étiquettes !

    Et pour finir ce cri du cœur ou du porte-monnaie : » personne ne doit profiter de la crise ». Même pas à Versailles ?

    Hausse du Prix du Carburant : un chèque charité de 8 euros par mois

    Hausse du Prix du Carburant : un chèque charité de 8 euros par mois


    Adieu la vente à perte. À la place Macron promet un petit chèque charité de 100 € par voiture et par an aux plus modestes soit environ 8 euros pr an. Une mesure qui de toute façon ne coûtera pas trop cher puisque 40 % des ayants droits ne réclament même pas.

    Le projet de loi du ministre de l’économie et de la première ministre concernant l’éventualité d’une vente à perte et donc que enterré. Il sera remplacé par un petit chèque de 100 € pour la moitié de la population.

    Et à la place de la vente à perte on va impulser la vente à prix coûtant. Un slogan aussi vide que le précédent car peu de personnes sont en capacité de calculer le coût réel du carburant.

    Ce qui évidemment exclut ceux qui ne sont pas salariés, les retraités par exemple auxquelles sans doute va conseiller le déplacement en vélo !

    Macron promet faussement et naïvement qu’il va aller chez les raffineurs pour rechercher leurs marges. On se demande bien par quel dispositif législatif puisque rien n’est prévu. On se contente simplement de menacer…. un jour.

    Du coup la seule promesse est celle de Total qui déclare maintenir le prix du litre à 1,99 pour un moment.

    Concernant les hausses dans l’alimentaire, Macron se contente de reprendre les propos du ministre de l’économie en indiquant qu’une réunion aura lieu entre les industriels du secteur et les distributeurs. Et Macron d’affirmer qu’il veillera personnellement à une baisse des prix.

    On peut donc imaginer que le chef de l’État et son épouse se rendront dans les supermarchés pour faire un relevé régulier des étiquettes !

    Et pour finir ce cri du cœur ou du porte-monnaie : » personne ne doit profiter de la crise ». Même pas à Versailles ?

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