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Politique- Élections européennes : Hollande ne sera pas candidat; Ouf !

Politique- Élections européennes : Hollande ne sera pas candidat, Ouf !

Voilà la France rassurée d’un danger supplémentaire écarté: Hollande ne sera pas Candidat pour les européennes en 2024. Un non-événement évidemment mais qui donne l’occasion à l’ancien président de faire encore parler de lui même pour rien. Et de croire qu’il a toujours une influence avec des propos toujours aussi bizarres et ambigus .

François Hollande assure dans un entretien accordé ce samedi 2 décembre à Ouest-France que «non, pas candidat, mais je jouerai un rôle». Sans doute un rôle de figurant !

«J’appuierai la liste socialiste si elle s’élargit à toutes les composantes du PS et à des mouvements extérieurs, comme celui de Bernard Cazeneuve (son ancien premier ministre et ministre de l’Intérieur, qui a quitté le PS et créé son propre mouvement, NDLR), et les radicaux…» du Parti radical de gauche (PRG), deux opposants à la Nupes.

L’ancien président de la République (2012-2017) estime que «seul cet élargissement peut donner une nouvelle force à l’idée sociale-démocrate», notamment en vue de la présidentielle de 2027.

«La direction du Parti socialiste n’a pas le choix. Elle doit accepter d’ouvrir largement sa liste», insiste l’ancien président, alors que le patron du PS Olivier Faure n’entend pas inviter Bernard Cazeneuve ou le PRG. «Le PS a besoin que Bernard Cazeneuve s’investisse personnellement dans cette campagne. Pour bien le connaître je le considère comme un atout», assure François Hollande.

Le PRG, opposé à toute alliance avec LFI, a annoncé fin novembre qu’il voulait présenter sa propre liste aux élections européennes, appelant le PS à sortir de «l’ambiguïté» et invitant Raphaël Glucksmann à ne pas être «le chef de file d’une liste du moratoire».

Sondage Élections Européennes: gauche et macronistes à la dérive

Sondage Élections Européennes: gauche et macronistes à la dérive

Nouvel éclatement à gauche avec cette fois une liste du parti radical de gauche ne comprenant pas les socialistes dissidents de Bernard Cazeneuve et bien sûr les « insoumis » de Mélenchon.

Guillaume Lacroix, le président du Parti radical de gauche (PRG) devrait annoncer une liste pour un « large rassemblement de la gauche laïque, républicaine et pro-européenne » aux européennes de 2024. Rien de nouveau, minimise ce ténor du PS au Sénat : « Guillaume Lacroix déteste les socialistes et personne n’aurait voulu de lui dans une liste rose. » Cette nouvelle candidature pourrait néanmoins avoir pour effet de grignoter 3 % des voix à gauche, selon un sondage OpinionWay. Au détriment de Raphaël Glucksmann, la probable tête de liste du PS.

Dans un dernier sondage pour « Les Echos », la liste du Rassemblement national obtiendrait 28 % des voix aux européennes.

La majorité présidentielle décroche 19 % d’intentions de vote seulement.

L’écart entre la liste RN et celle de Renaissance est de 9 points, alors qu’il n’était que d’un petit point (23,34 % pour le RN, 22,42 % pour le camp macroniste) au soir du dernier scrutin en 2019.

L’autre élément significatif de ce sondage est la bonne tenue de la liste Reconquête emmenée par Marion Maréchal, avec 7 ù des intentions de vote. En revanche, pour Les Républicains (LR), le score promis – 8 % – est comparable à celui de 2019. A gauche, où toutes les composantes de la très mal en point Nupes partent séparément en campagne, aucune liste n’émerge véritablement. Le PS fait la course en tête avec 9 % des intentions de vote, devançant Les Ecologistes (8 %), LFI (7 %) et le PCF (3 %). La liste du PRG est également créditée de 3 % des voix.

Énergie–Des technologies vertes enfin européennes ?

Énergie–Des technologies vertes enfin européennes ?

Le Parlement européen a voté une loi qui vise à favoriser la fabrication, en Europe, de technologies propres, avec une liste incluant le nucléaire. Notons en effet que la plupart des technologies s’appuyant sur du renouvelable viennent surtout de Chine. D’ici à 2030, l’UE veut donc produire au moins 40 % de ses technologies vertes, d’après la loi votée par le Parlement européen. Finalement un chiffre relativement faible qui témoigne qu’en réalité le renouvelable vient de l’étranger.

Lee Parlement européen vient de voter une loi qui vise à booster la fabrication, en Europe, de technologies vertes – au moins 40 % du total devra être produit sur place d’ici à 2030 -, que ce soit des panneaux solaires, de l’éolien, ou des composants nucléaires.

Définie dans le texte, une liste de technologies propres va pouvoir bénéficier de procédures accélérées pour des permis, ou encore des facilités d’accès aux financements, notamment via un allègement fort du régime des aides d’Etat .

Pour la première fois, un texte européen promeut le made in Europe, un combat cher à la France . « C’est le premier Buy European Act pour toutes les technologies vertes », a ainsi salué Pascal Canfin, président (Renew, centre) de la commission Environnement du Parlement, en référence au Buy American Act.

« Une éolienne, un réacteur nucléaire, vont être assemblés, demain, aux quatre coins de l’Europe. Si nous ne promouvons pas nos technologies propres, dans dix ans, on ira les chercher aux Etats-Unis ou en Chine », explique l’eurodéputé français Christophe Grudler (Mouvement démocrate), chargé de négocier des compromis sur ce texte pour le groupe Renew.

La liste du Parlement inclut, sujet sensible, le captage et le stockage du carbone. Et surtout, l’intégralité des technologies nucléaires, alors que Bruxelles n’avait intégré que celles les plus avancées.

Les futures négociations déboucheront peut-être aussi sur une plus grande ambition concernant les marchés publics. Le Parlement n’y a introduit qu’un « embryon » de préférence européenne.

Politique–Élections Européennes: gauche et macronistes à la dérive

Politique–Élections Européennes: gauche et macronistes à la dérive

Nouvel éclatement à gauche avec cette fois une liste du parti radical de gauche ne comprenant pas les socialistes dissidents de Bernard Cazeneuve et bien sûr les « insoumi »s de Mélenchon.

Guillaume Lacroix, le président du Parti radical de gauche (PRG) devrait annoncer une liste pour un « large rassemblement de la gauche laïque, républicaine et pro-européenne » aux européennes de 2024. Rien de nouveau, minimise ce ténor du PS au Sénat : « Guillaume Lacroix déteste les socialistes et personne n’aurait voulu de lui dans une liste rose. » Cette nouvelle candidature pourrait néanmoins avoir pour effet de grignoter 3 % des voix à gauche, selon un sondage OpinionWay. Au détriment de Raphaël Glucksmann, la probable tête de liste du PS.

Dans un dernier sondage pour « Les Echos », la liste du Rassemblement national obtiendrait 28 % des voix aux européennes.

La majorité présidentielle décroche 19 % d’intentions de vote seulement.

L’écart entre la liste RN et celle de Renaissance est de 9 points, alors qu’il n’était que d’un petit point (23,34 % pour le RN, 22,42 % pour le camp macroniste) au soir du dernier scrutin en 2019.

L’autre élément significatif de ce sondage est la bonne tenue de la liste Reconquête emmenée par Marion Maréchal, avec 7 ù des intentions de vote. En revanche, pour Les Républicains (LR), le score promis – 8 % – est comparable à celui de 2019. A gauche, où toutes les composantes de la très mal en point Nupes partent séparément en campagne, aucune liste n’émerge véritablement. Le PS fait la course en tête avec 9 % des intentions de vote, devançant Les Ecologistes (8 %), LFI (7 %) et le PCF (3 %). La liste du PRG est également créditée de 3 % des voix.

Politique–Européennes: Une liste à gauche sans Mélenchon et sans Bernard Cazeneuve

Politique–Européennes: Une liste à gauche sans Mélenchon et sans Bernard Cazeneuve

Nouvelle division à gauche avec cette fois une liste du parti radical de gauche ne comprenant pas les socialistes dissidents de Bernard Cazeneuve et bien sûr les insoumis de Mélenchon.

Guillaume Lacroix, le président du Parti radical de gauche (PRG) devrait annoncer une liste pour un « large rassemblement de la gauche laïque, républicaine et pro-européenne » aux européennes de 2024. Rien de nouveau, minimise ce ténor du PS au Sénat : « Guillaume Lacroix déteste les socialistes et personne n’aurait voulu de lui dans une liste rose. » Cette nouvelle candidature pourrait néanmoins avoir pour effet de grignoter 3 % des voix à gauche, selon un sondage OpinionWay. Au détriment de Raphaël Glucksmann, la probable tête de liste du PS.

Dans un dernier sondage pour « Les Echos », la liste du Rassemblement national obtiendrait 28 % des voix aux européennes.

La majorité présidentielle décroche 19 % d’intentions de vote seulement.

L’écart entre la liste RN et celle de Renaissance est de 9 points, alors qu’il n’était que d’un petit point (23,34 % pour le RN, 22,42 % pour le camp macroniste) au soir du dernier scrutin en 2019.

L’autre élément significatif de ce sondage est la bonne tenue de la liste Reconquête emmenée par Marion Maréchal qui, avec 7 % des intentions de vote, reproduit le même score que celui d’Eric Zemmour au premier tour de la présidentielle de 2022.

En revanche, pour Les Républicains (LR), le score promis – 8 % – est comparable à celui de 2019 (8,5 %).

A gauche, le Parti socialiste (PS) fait la course en tête avec 9 % des intentions de vote, devançant Europe Ecologie-Les Verts (8 %), La France insoumise (7 %) et les communistes (3 %). La liste du Parti radical de gauche est également créditée de 3 % des voix.

Élections européennes : Qui chez les macronistes pour endosser une veste ?

Élections européennes : Qui chez les macronistes pour endosser une veste


Dans le camp de Macron, il y a peu de volontaires pour prendre la tête de liste des élections européennes car la sanction risque d’être dure. En effet tous les sondages démontrent que le pouvoir va subir une forte déculottée avec autour de 18 à 19 % de suffrages loin du Front National à près de 30 %.

Il reviendrait à un des ténor de la majorité de prendre la tête de la liste mais les plus personnages importants ne sont pas enthousiastes car il faudra rendre des comptes après la défaite.

Dans un dernier sondage pour « Les Echos », la liste du Rassemblement national obtiendrait 28 % des voix aux européennes.

La majorité présidentielle décroche 19 % d’intentions de vote seulement.

L’écart entre la liste RN et celle de Renaissance est de 9 points, alors qu’il n’était que d’un petit point (23,34 % pour le RN, 22,42 % pour le camp macroniste) au soir du dernier scrutin en 2019.

L’autre élément significatif de ce sondage est la bonne tenue de la liste Reconquête emmenée par Marion Maréchal qui, avec 7 % des intentions de vote, reproduit le même score que celui d’Eric Zemmour au premier tour de la présidentielle de 2022.

En revanche, pour Les Républicains (LR), le score promis – 8 % – est comparable à celui de 2019 (8,5 %).

A gauche, le Parti socialiste (PS) fait la course en tête avec 9 % des intentions de vote, devançant Europe Ecologie-Les Verts (8 %), La France insoumise (7 %) et les communistes (3 %). La liste du Parti radical de gauche est également créditée de 3 % des voix.

Ceux qui lui imaginaient une sortie de Matignon par le haut en seront pour leurs frais. À Strasbourg (Bas-Rhin), où bat le cœur de la vie parlementaire européenne, Élisabeth Borne a fermé mardi la porte à une très hypothétique candidature au scrutin du 9 juin. «Ce n’est pas mon projet – mais je ne doute pas qu’on aura une bonne tête de liste pour porter des projets auxquels, vous l’aurez compris, nous croyons beaucoup», a déclaré la première ministre aux Dernières Nouvelles d’Alsace, en marge d’un déplacement au Parlement européen où elle a inauguré le bâtiment Simone-Veil.

Un symbole que certains trouvaient opportun pour entretenir le scénario d’une aventure électorale. Mais depuis une dizaine de jours, Élisabeth Borne voyait dans cette rumeur une malveillance à son encontre. «Mais alors, qui serait premier ministre?», interrogeait-elle en privé, manière de se projeter à Matignon à l’heure où son départ est de nouveau évoqué.

Des technologies vertes enfin européennes ?

Des technologies vertes enfin européennes ?

Le Parlement européen a voté une loi qui vise à favoriser la fabrication, en Europe, de technologies propres, avec une liste incluant le nucléaire. Notons en effet que la plupart des technologies s’appuyant sur du renouvelable viennent surtout de Chine.D’ici à 2030, l’UE veut donc produire au moins 40 % de ses technologies vertes, d’après la loi votée par le Parlement européen. Finalement un chiffre relativement faible qui témoigne qu’en réalité le renouvelable vient de l’étranger.

Lee Parlement européen vient de voter une loi qui vise à booster la fabrication, en Europe, de technologies vertes – au moins 40 % du total devra être produit sur place d’ici à 2030 -, que ce soit des panneaux solaires, de l’éolien, ou des composants nucléaires.

Définie dans le texte, une liste de technologies propres va pouvoir bénéficier de procédures accélérées pour des permis, ou encore des facilités d’accès aux financements, notamment via un allègement fort du régime des aides d’Etat .

Pour la première fois, un texte européen promeut le made in Europe, un combat cher à la France . « C’est le premier Buy European Act pour toutes les technologies vertes », a ainsi salué Pascal Canfin, président (Renew, centre) de la commission Environnement du Parlement, en référence au Buy American Act.

« Une éolienne, un réacteur nucléaire, vont être assemblés, demain, aux quatre coins de l’Europe. Si nous ne promouvons pas nos technologies propres, dans dix ans, on ira les chercher aux Etats-Unis ou en Chine », explique l’eurodéputé français Christophe Grudler (Mouvement démocrate), chargé de négocier des compromis sur ce texte pour le groupe Renew.

La liste du Parlement inclut, sujet sensible, le captage et le stockage du carbone. Et surtout, l’intégralité des technologies nucléaires, alors que Bruxelles n’avait intégré que celles les plus avancées.

Manque de financement
Les futures négociations déboucheront peut-être aussi sur une plus grande ambition concernant les marchés publics. Le Parlement n’y a introduit qu’un « embryon » de préférence européenne.

Politique-Sondage européennes: le RN nettement en tête (les Échos)

Politique-Sondage européennes: le RN nettement en tête (les Échos)

D’après OpinionWay pour « Les Echos », la liste du Rassemblement national obtiendrait 28 % des voix aux européennes.

La majorité présidentielle décroche 19 % d’intentions de vote seulement.

L’écart entre la liste RN et celle de Renaissance est de 9 points, alors qu’il n’était que d’un petit point (23,34 % pour le RN, 22,42 % pour le camp macroniste) au soir du dernier scrutin en 2019.

L’autre élément significatif de ce sondage est la bonne tenue de la liste Reconquête emmenée par Marion Maréchal qui, avec 7 % des intentions de vote, reproduit le même score que celui d’Eric Zemmour au premier tour de la présidentielle de 2022.

En revanche, pour Les Républicains (LR), le score promis – 8 % – est comparable à celui de 2019 (8,5 %).

A gauche, le Parti socialiste (PS) fait la course en tête avec 9 % des intentions de vote, devançant Europe Ecologie-Les Verts (8 %), La France insoumise (7 %) et les communistes (3 %). La liste du Parti radical de gauche est également créditée de 3 % des voix.

Sondage européennes: le RN nettement en tête (les Échos)

Sondage européennes: le RN nettement en tête (les Échos)

D’après OpinionWay pour « Les Echos », la liste du Rassemblement national emmenée par Jordan Bardella obtiendrait 28 % des voix aux européennes.

La majorité présidentielle décroche 19 % d’intentions de vote seulement.

L’écart entre la liste RN et celle de Renaissance est de 9 points, alors qu’il n’était que d’un petit point (23,34 % pour le RN, 22,42 % pour le camp macroniste) au soir du dernier scrutin en 2019.

L’autre élément significatif de ce sondage est la bonne tenue de la liste Reconquête emmenée par Marion Maréchal qui, avec 7 % des intentions de vote, reproduit le même score que celui d’Eric Zemmour au premier tour de la présidentielle de 2022.

En revanche, pour Les Républicains (LR), le score promis – 8 % – est comparable à celui de 2019 (8,5 %).

A gauche, le Parti socialiste (PS) fait la course en tête avec 9 % des intentions de vote, devançant Europe Ecologie-Les Verts (8 %), La France insoumise (7 %) et les communistes (3 %). La liste du Parti radical de gauche est également créditée de 3 % des voix.

« Démocratie » et Elections Européennes : une liste de chasseurs !

« Démocratie » et Elections Européennes : une liste de chasseurs !

Preuve d’une certaine déliquescence du concept d’organisation politique, il est possible qu’une liste de chasseurs soit présente lors des élections européennes. Pas de quoi vraiment grandir la démocratie car si la chasse est une activité honorable mais discutée , elle ne constitue pas pour autant un cursus intellectuel susceptible de l’appréhender comme organisation politique. Cette éventualité d’une liste de chasseurs traduit sans doute le discrédit général des organisations politiques classiques. Pour autant, la démocratie ne se trouvera pas renforcer si lors d’une élection chaque lobby présente une liste. C’est même la négation de la politique dont la finalité est de servir l’intérêt collectif national. Pourquoi pas aussi une liste des pêcheurs à la ligne, des contribuables, des possesseurs de montres en or et des nudistes notamment.

Épaulé par le lobbyiste Thierry Coste, Willy Schraen, le président de la Fédération nationale des chasseurs, fait courir le bruit de la présence d’une liste défendant la ruralité aux européennes.

Cela fait des mois que le président de la Fédération nationale des chasseurs, épaulé par le lobbyiste Thierry Coste, fait courir le bruit de la présence d’une liste défendant la ruralité aux européennes. Aux dernières sénatoriales, l’homme aurait été démarché à la fois par la Macronie et par Les Républicains (LR), où il cultive d’importants réseaux. Il connaît bien les parlementaires proches de Xavier Bertrand, comme Jean-François Rapin, Julien Dive ou Pierre-Henri Dumont.

L’objectif supposé de la manœuvre, niée par le principal intéressé ? Offrir une soupape à la liste de la majorité présidentielle en grignotant des voix au Rassemblement national. Ce dernier attire une part importante de l’électorat des chasseurs, vivier de plus de 1 million de voix. L’ancien député macroniste Jean-Baptiste Moreau, reconverti dans le conseil, a un temps lorgné l’opération avant de prendre ses distances. Willy Schraen, on peut le comprendre, dit vouloir obtenir quelques élus au Parlement européen, ce qui suppose un score supérieur à 5 %.

Elections Européennes : une liste de chasseurs !

Elections Européennes : une liste de chasseurs !

Preuve d’une certaine déliquescence du concept d’organisation politique, il est possible qu’une liste de chasseurs soit présente lors des élections européennes. Pas de quoi vraiment grandir la démocratie car si la chasse est une activité honorable mais discutée , elle, ne constitue, pas pour autant un cursus intellectuel susceptible de l’appréhender comme organisation politique. Cette éventualité d’une liste de chasseurs traduits sans doute le discrédit général des organisations politiques classiques. Pour autant, la démocratie ne se trouvera pas renforcer si leur d’une élection chaque lobby présent une liste. C’est même la négation de la politique dont la finalité est de servir l’intérêt collectif national. Pourquoi pas aussi une liste des pêcheurs à la ligne, des contribuables, des possesseurs de montres en or et des nudistes notamment.

Épaulé par le lobbyiste Thierry Coste, Willy Schraen, le président de la Fédération nationale des chasseurs, fait courir le bruit de la présence d’une liste défendant la ruralité aux européennes.

Cela fait des mois que le président de la Fédération nationale des chasseurs, épaulé par le lobbyiste Thierry Coste, fait courir le bruit de la présence d’une liste défendant la ruralité aux européennes. Aux dernières sénatoriales, l’homme aurait été démarché à la fois par la Macronie et par Les Républicains (LR), où il cultive d’importants réseaux. Il connaît bien les parlementaires proches de Xavier Bertrand, comme Jean-François Rapin, Julien Dive ou Pierre-Henri Dumont.

L’objectif supposé de la manœuvre, niée par le principal intéressé ? Offrir une soupape à la liste de la majorité présidentielle en grignotant des voix au Rassemblement national. Ce dernier attire une part importante de l’électorat des chasseurs, vivier de plus de 1 million de voix. L’ancien député macroniste Jean-Baptiste Moreau, reconverti dans le conseil, a un temps lorgné l’opération avant de prendre ses distances. Willy Schraen, on peut le comprendre, dit vouloir obtenir quelques élus au Parlement européen, ce qui suppose un score supérieur à 5 %.

Européenne : une liste de chasseurs !

Européennes : une liste de chasseurs !

Preuve d’une certaine déliquescence du concept d’organisation politique, il est possible qu’une liste de chasseurs soit présente lors des élections européennes. Pas de quoi vraiment grandir la démocratie car si la chasse est une activité honorable mais discutée , elle, ne constitue, pas pour autant un cursus intellectuel susceptible de l’appréhender comme organisation politique. Cette éventualité d’une liste de chasseurs traduits sans doute le discrédit général des organisations politiques classiques. Pour autant, la démocratie ne se trouvera pas renforcer si leur d’une élection chaque lobby présent une liste. C’est même la négation de la politique dont la finalité est de servir l’intérêt collectif national. Pourquoi pas aussi une liste des pêcheurs à la ligne, des contribuables, des possesseurs de montres en or et des nudistes notamment.

Épaulé par le lobbyiste Thierry Coste, Willy Schraen, le président de la Fédération nationale des chasseurs, fait courir le bruit de la présence d’une liste défendant la ruralité aux européennes.

Cela fait des mois que le président de la Fédération nationale des chasseurs, épaulé par le lobbyiste Thierry Coste, fait courir le bruit de la présence d’une liste défendant la ruralité aux européennes. Aux dernières sénatoriales, l’homme aurait été démarché à la fois par la Macronie et par Les Républicains (LR), où il cultive d’importants réseaux. Il connaît bien les parlementaires proches de Xavier Bertrand, comme Jean-François Rapin, Julien Dive ou Pierre-Henri Dumont.

L’objectif supposé de la manœuvre, niée par le principal intéressé ? Offrir une soupape à la liste de la majorité présidentielle en grignotant des voix au Rassemblement national. Ce dernier attire une part importante de l’électorat des chasseurs, vivier de plus de 1 million de voix. L’ancien député macroniste Jean-Baptiste Moreau, reconverti dans le conseil, a un temps lorgné l’opération avant de prendre ses distances. Willy Schraen, on peut le comprendre, dit vouloir obtenir quelques élus au Parlement européen, ce qui suppose un score supérieur à 5 %.

Elections Européennes: le RN devant, la gauche s’enfonce

Elections Européennes: le RN devant, la gauche s’enfonce

D’après un sondage Ifop-Fiducial pour Le Figaro et Sud Radio la liste RN Obtiendrez 28 % des intentions de vote, distançant de 8 points son adversaire macroniste. Marine Le Pen déjà en tête du dernier scrutin européen avait obtenu 23,4 % des voix.

Le parti présidentiel, lui, plafonnerait à 20 %. Chez Les Républicains, le parti – se maintiendrait, autour de 8 %. La candidature de la nièce de Marine Le Pen recueillerait 6 % des intentions de vote.

À gauche, aucune ne franchit le seuil des 10 %. Le PS, les écolos et les LFI abstiendraient chacun seulement 9 %.

Derrière le parti communiste remonte à un peu plus de 5 %.

Européennes : Éclatement officiel de la gauche, provisoire ou définitif ?

Européennes : Éclatement officiel de la gauche, provisoire ou définitif ?

C’est maintenant officiel le parti socialiste présentera aussi sa propre liste aux européennes de même que le PCF et les écolos. Et LFI se retrouve donc isolée. Il s’agit d’un éclatement de la Nupes. Ce qui est en jeu c’est le leadership de la gauche. Il se pourrait bien que la dérive gauchiste de LFI coûte très cher électoralement, en plus des méthodes staliniennes internes récemment découvertes finalement consubstantielles à l’idéologie de ce parti.

LFI à l’issue des européennes pourrait se retrouver très minoritaire par rapport aux autres partis de gauche et à l’inverse de ce qui se passe aujourd’hui se trouver alors en tutelle de ses partenaires.

Pas sûr que Mélenchon accepte cette inversion du rapport de force car lui compte bien encore représenter l’unité de la gauche aux prochaines présidentielles. Ce qui se joue aux européennes constitue donc une sorte d’indicateur des évolutions de la gauche pour 2027.

Ils imitent leurs alliés du PCF et d’EELV, au grand dam de LFI qui souhaite une union de la gauche.

Les militants socialistes ont validé, jeudi 5 octobre dans la soirée, la liste autonome de leur parti aux prochaines élections européennes. L’issue du scrutin, organisé de 17 heures à 22 heures dans les sections du parti, ne faisait aucun doute : le texte d’orientation stratégique sur lequel les militants votaient a été adopté à l’unanimité le mois dernier par les cadres du Parti socialiste, réunis en bureau national. « Le jeudi 5 octobre, à 23h30, sur plus de 60% des bulletins dépouillés, les deux textes sont adoptés à plus de 90% des voix », a rapporté le PS dans un communiqué transmis à l’AFP.

Environnement–Financement insuffisant de la transition écologique

Environnement–Financement insuffisant de la transition écologique


Recourir à la dette pour financer la transition revient à s’enfermer dans une logique de croissance néfaste à l’environnement estime l’économiste Jézabel Couppey-Soubeyran, maîtresse de conférences d’économie à l’université Paris-I et conseillère scientifique à l’Institut Veblen .

Mercredi 13 septembre, la présidente de la Commission européenne, Ursula von der Leyen, insistait dans son discours sur l’état de l’Union sur les défis écologiques, économiques, sociaux, géopolitiques et migratoires : poursuivre le Pacte vert européen, réussir la transition énergétique, obtenir la paix en Ukraine, préserver la biodiversité, parvenir à une transition juste et équitable, à une union plus complète, qui défende et protège, humaine mais sécurisée, solidaire mais souveraine, etc. Le discours a été prolixe sur les fins. Mais où sont les moyens ?

Les finances publiques européennes restent enfermées dans un triangle infernal, avec des recettes limitées par la concurrence fiscale que les Etats de l’Union continuent de se livrer (faute d’union fiscale), des dépenses bridées par une règle de déficit inférieur à 3 % du produit intérieur brut (PIB), que la réforme du pacte de stabilité ne supprimera pas, et une dette qui, au-delà de 60 % du PIB, expose à des sanctions, sinon à un guidage strict de l’action publique. L’Union « plus complète », souhaitée par la présidente de la Commission, ne semble pas près de s’étendre aux domaines fiscal et budgétaire.

Est-il alors souhaitable que l’Europe se dote d’une capacité d’endettement plus élevée ? D’abord, force est de constater qu’elle ne le fera pas dans le cadre d’une union budgétaire. C’est ce que signifie, entre autres, la présidente de la Commission européenne quand elle dit : « Nous ne devons pas attendre de modifier les traités, nous pouvons adapter le droit existant. » L’Europe ne parviendra donc sans doute jamais à mutualiser ses emprunts souverains et à créer l’« actif sans risque » (ou perçu comme tel), dont voudraient pourtant les investisseurs, et qui diminuerait le risque d’une crise de dettes souveraines.

Vision pessimiste, rétorqueront les plus confiants, car l’UE a su trouver une alternative, proposée par la France et l’Allemagne, et compatible avec les traités, quand il a fallu financer le plan de relance Next Generation EU : pour la première fois, l’Union européenne a emprunté en son nom via la Commission européenne, dans le but de réunir jusqu’à 500 milliards d’euros de subventions répartis entre les Etats membres pour soutenir leurs économies.

Selon le rapport du GIEC d’avril 2022, les niveaux actuels d’investissement dans tous les secteurs et dans toutes les régions sont de trois à six fois inférieurs à ce qu’il faudrait entre 2020 et 2030 pour limiter le réchauffement à + 1,5 °C ou même + 2 °C. Va-t-on pouvoir mobiliser la finance privée et la finance publique autant que de besoin pour les augmenter au niveau nécessaire ? Le financement public a le défaut d’être lent à se déployer, le financement privé celui de privilégier la rentabilité et le court terme. Le problème est que les investissements à réaliser doivent être engagés au plus vite et que, en grande partie, ils ne seront pas assez rentables ou le deviendront à un horizon long. Se pencher sur la problématique de leur financement permet de comprendre pourquoi la transition écologique avance si peu et invite à se tourner vers des solutions innovantes.

Prenons le cas de la rénovation thermique des bâtiments. D’abord, ce sont des investissements indispensables. Ils constituent d’ailleurs un axe prioritaire du volet transition écologique du plan de relance européen. Le secteur du bâtiment compte à lui seul pour 40 % de la consommation d’énergie en Europe et pour 36 % des émissions de gaz à effet de serre (20 % en France). Les trois quarts du parc immobilier européen ont un faible niveau d’efficacité énergétique. Sans une décarbonation active de ce secteur et une amélioration drastique de sa performance énergétique, les objectifs que se sont fixés les pays de l’Union européenne (UE) de réduire de 55 % les émissions de gaz à effets de serre d’ici à 2030 et d’atteindre la neutralité climatique à l’horizon 2050 ne seront pas tenus. Une directive européenne, adoptée en 2010, modifiée une première fois en 2018 et revue actuellement, vise à améliorer la performance énergétique des bâtiments et à accélérer leur rénovation.

Ensuite, ce sont des investissements massifs. Dans sa stratégie « Renovation Wave », la Commission européenne estime à 275 milliards d’euros par an d’ici à 2030 le montant des investissements supplémentaires à réaliser dans la rénovation des bâtiments dans l’UE, soit un total de 3 500 milliards d’euros.

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