Archive pour le Tag 'européennes'

Page 3 sur 19

Sondage Élections européennes: intentions de vote assez figées

Sondage Élections européennes: intentions de vote assez figées

Dans la dernière version du sondage IFOP pour le Figaro les intentions de vote paraissent figées. Observons  toutefois que les votes pourraient être différents en fonction des votes réels et donc de l’abstention notamment. Globalement la tendance est quand même à un vote de protestation avec un score assez exceptionnel pour le Front National.
Jordan Bardella
33,5 %

Liste de Renaissance, du MoDem, d’Horizons et de l’UDI
Valérie Hayer
15,5 %

Liste du Parti socialiste et de Place Publique
Raphaël Glucksmann
14,0 %

Liste de La France insoumise
Manon Aubry
7,0 %

Liste des Républicains
François-Xavier Bellamy
7,0 %

Liste des Écologistes
Marie Toussaint
6,5 %

Liste de Reconquête !
Marion Maréchal
6,5 %

Liste du Parti communiste
Léon Deffontaines
3,0 %

Liste du Parti animaliste
Hélène Thouy
2,0 %

Liste de l’Alliance rurale et des chasseurs
Jean Lassalle et Willy Schraen

Liste de LO
Nathalie Arthaud
0,5 %

Liste des Patriotes
Florian Philippot
0,5 %

Liste du NPA
0,5 %

Liste de l’UPR
François Asselineau
0,5 %

Liste « Écologiste au centre »
Jean-Marc Governatori
0,5 %

Note : les partis avec des scores non significatifs ne sont pas affichés.
Source : Ifop-Fiducial

Élections européennes : 70 % d’abstention chez les jeunes

Élections européennes : 70 % d’abstention chez les jeunes

 

 

 

L’abstention d’une façon générale pourrait se situer en France autour de 50 % mais atteindre 70 % chez les jeunes. Ils sont 50% à estimer que l’action de l’Union européenne va dans le bon sens pour aider l’Ukraine face à la Russie (31% répondent « non, pas du tout » ou « non, plutôt pas »), un chiffre qui baisse à 44% pour la lutte contre le changement climatique (contre 40%). Le thème du climat devrait pourtant selon eux être la priorité de l’Union européenne pour les prochaines années (33%), devant la lutte contre la pauvreté et les inégalités (25%), le combat pour un avenir meilleur en Europe (24%) et la limitation de l’immigration en Europe (24%), même si de fortes disparités existent selon les affinités politiques.

Le Rassemblement national recueille 34% d’intentions de vote, un niveau similaire aux sondages réalisés auprès de personnes de plus de 18 ans, avec jusqu’à 54% de soutien chez les jeunes actifs occupés dans les catégories socioprofessionnelles inférieures, comme les employés ou les ouvriers. Mais d’après ce sondage, Valérie Hayer et sa liste Renaissance recueillent 7,5% d’intentions de vote, soit deux fois moins que les dernières enquêtes sur la population générale publiées par les différents instituts. Le désaveu est le plus fort chez les catégories socioprofessionnelles supérieures (8%), soutiens traditionnels du camp macroniste.

Selon les résultats de ce sondage, c’est La France insoumise qui arrive en deuxième position chez les jeunes, avec 14% d’intentions de vote. Attractive chez les demandeurs d’emploi (14%), les étudiants (15%) et les femmes (18%), elle devance la liste Parti socialiste-Place publique de Raphaël Glucksmann (12%), alors que les rapports de force sont inversés dans les enquêtes portant sur l’ensemble de la population. L’eurodéputé de Place publique enregistre son meilleur score chez les catégories socioprofessionnelles supérieures (21%) et les 18-21 ans (14%).

 

* Enquête publiée par Franceinfo et réalisée du 16 au 20 mai 2024, par internet, selon la méthode des quotas, auprès d’un échantillon représentatif de 1 165 personnes âgées de 18 à 29 ans, en France.

 

Politique et Budget : une motion de censure avant les européennes ?

Politique et Budget : une motion de censure avant les européennes ?

Cette fois le danger d’une majorité pour un vote de censure du gouvernement se rapproche. Il s’agira de le fonder sur l’absence de vote rectificatif du budget qui en fait a été profondément modifié. L’initiative de ce dépôt de vote revient aux Insoumis mais qui devraient être rejoints par un autre dépôt de la part du Rassemblement national.

La question se pose surtout de l’attitude des « Républicains » un peu coincés » dans cette affaire et qui peut-être ne voudront pas faire un cadeau à la majorité à la veille des élections européennes.

Bref le gouvernement pourrait bien être en danger juste avant les sélections européennes qui s’annoncent d’ailleurs catastrophiques pour ceux qui soutiennent Macron. La débâcle électorale ajoutée à une motion de censure serait de nature à faire sauter le gouvernement voire à provoquer la dissolution de l’Assemblée nationale.

Budget : une motion de censure juste avant les européennes ?

Budget : une motion de censure juste avant les européennes ?

Cette fois le danger d’une majorité pour un vote de censure du gouvernement se rapproche. Il s’agira de le fonder sur l’absence de vote rectificatif du budget qui en fait a été profondément modifié. L’initiative de ce dépôt de vote revient aux Insoumis mais qui devraient être rejoints par un autre dépôt de la part du Rassemblement national.

La question se pose surtout de l’attitude des « Républicains » un peu coincés » dans cette affaire et qui peut-être ne voudront pas faire un cadeau à la majorité à la veille des élections européennes.

Bref le gouvernement pourrait bien être en danger juste avant les sélections européennes qui s’annoncent d’ailleurs catastrophiques pour ceux qui soutiennent Macron. La débâcle électorale ajoutée à une motion de censure serait de nature à faire sauter le gouvernement voire à provoquer la dissolution de l’Assemblée nationale.

Élections européennes : Un vote d’opposition en faveur du RN

Élections européennes : Un vote d’opposition en faveur du RN

Indiscutablement la grande surprise de ces Elections Européennes sera la percée du Front National. Plusieurs facteurs explicatifs à ce résultat assez exceptionnel pour l’extrême droite. D’abord sans doute le rejet à la fois politique mais aussi culturel du président de la république. Ce dernier est sa majorité ne sont plus audibles même lorsqu’il peuvent avoir raison. Ainsi par exemple lors du débat entre Attal et Bardella à peu près tous les experts ont conclu à la victoire du premier ministre. Par contre l’opinion à accordé ses faveurs majoritairement à Bardella. La preuve sans doute que la parole du pouvoir est complètement discréditée.

 

C’est donc davantage par rejet de la majorité actuelle que les voix se reportent de façon aussi massive sur le Front National. En fait, un vote d’opposition et même de toutes les oppositions avec toutes les contradictions que cela comporte. Par ailleurs, les élections européennes sont l’occasion d’un défoulement traditionnel puisque cela ne remet pas en cause les déséquilibres politiques en France, en tout cas dans l’immédiat. L’autre facteur explicatif est surtout le grand silence de Marine Le Pen qui gagne des voix quand elle s’abstient de parler alors qu’à l’inverse Macon ne cesse de multiplier les bavardages inutiles, les changements de position et les incohérences. Le silence est le meilleur atout du programme politique de Marine Le Pen. Pour preuve elle va tout faire pour refuser le débat avec Macron.

Sur la tendance après les européennes et sauf changements brutaux des équilibres politiques, le Front National devrait continuer de progresser. Il pourrait devenir majoritaire à l’occasion des élections des députés. Marine Le Pen ne sera pas forcément élue présidente de la république mais elle maîtrisera le pouvoir grâce à ses députés.

Un autre facteur explicatif majeur pour comprendre la montée du Front National, c’est la dégradation générale de l’autorité dans nombre de domaines sociétaux ; aussi la montée inquiétante d’une immigration non maîtrisée et de la violence. C’est sans doute sur ce terrain qu’est surtout attendu le front national. Pour le reste compte tenu des contradictions de son programme, il y a fort à parier que le Front National sera contraint comme en Italie de revoir sa copie à moins de créer le chaos dans le pays

Débat européennes : un spectacle affligeant

Débat européennes : un spectacle affligeant

 

Le spectacle affligeant offert par les têtes de liste aux élections européennes, ce lundi sur BFM TV, illustre le grand n’importe quoi de ce début de campagne et la déconnexion croissante entre les citoyens et les politiques, estime l’historien Maxime Tandonnet dans le Figaro.

Maxime Tandonnet est essayiste et historien. Il a notamment publié André Tardieu. L’incompris (Perrin, 2019), qui vient d’être réédité dans la collection «Tempus» (poche). 

500.000 : c’est l’audimat moyen du débat collectif du 27 mai sur BFMTV, dans le cadre de la campagne des élections européennes ; soit, environ, un électeur français inscrit sur 100. Et combien de téléspectateurs ont-ils tenu trois heures et dix minutes devant un spectacle aux accents de cour de récréation, à l’image de Raphaël Glucksmann demandant à la candidate Insoumise de «lui lâcher les baskets» ? C’est dire si les échanges entre les huit têtes de liste ne peuvent avoir qu’une influence marginale sur les sondages et sur le résultat du scrutin. D’ailleurs, ce débat se présentait comme un fidèle reflet d’une vie politique française dominée par la déconnexion envers le pays profond.

 

En effet, dans un climat de défiance populaire envers le monde politique, se déchaîner collectivement sur un gibier de potence, au point de le placer en position de paria, revient à lui offrir un avantage inespéré. Le président du Rassemblement national ne propose rien de plus que les autres qui soit de nature à lui valoir une telle réussite sondagière. Cependant, une partie de l’écœurement populaire s’identifie à son image. Sur elle se cristallise, par un effet de psychologie des foules, la réaction d’une frange importante de la France profonde au sentiment de déclassement et de mépris envers elle de la classe dirigeante.

 

Plus ils cognent sur le RN, plus ils le font monter. Le débat précédent, entre Gabriel Attal et Jordan Bardella, a une fois de plus illustré ce phénomène. Donné perdant (sinon écrasé) par la plupart des experts et «politistes», le président du Rassemblement national était considéré comme plutôt gagnant par l’opinion publique, selon divers sondages. Que les responsables politiques ne voient pas ce phénomène d’identification populaire au paria est un signe patent de déconnexion ou d’aveuglement. Car ces élections du Parlement européen constituent avant tout un défouloir. Elles rejouent en 2024, dans les urnes, la crise des gilets jaunes. La force de la liste RN ne tient pas un projet ni à des idées (lesquelles?), ni aux personnalités qui l’animent. Sa force tient à son statut de pestiféré qui lui permet d’incarner, mieux que les autres, le rejet populaire du pouvoir actuel.

 

Ce contexte explique aussi le naufrage de Valérie Hayer, qui n’est sûrement pas moins compétente que la moyenne des autres candidats. Elle se trouve à contre-courant d’un puissant mouvement populaire d’hostilité envers le pouvoir en place et les hommes qui l’incarnent. Déstabilisée quand l’un des animateurs a sollicité son avis sur la guerre entre la Russie et l’Ukraine, elle s’est contentée de répondre «je ne suis pas experte de ce sujet». Cette réponse quasi suicidaire est révélatrice d’un profond malaise, sans doute amplifié par l’initiative sans succès de Gabriel Attal se substituant à elle pour débattre contre Jordan Bardella ou les déclarations transgressives d’un chef de l’État – en principe au-dessus de la mêlée politicienne en tant que président de tous les Français – désireux de descendre dans l’arène et d’en découdre à sa place contre le RN.

Dans ce contexte, les approximations et les absurdités se perdaient dans la tourmente, à l’image de cette candidate proposant une nationalisation européenne de la compagnie Total. Mais en outre, les velléités d’élever le débat en parlant du fond des dossiers ne suffisent pas à modifier le cours d’un fleuve en colère. François-Xavier Bellamy, une fois encore, a montré – sans invective ni attaque personnelle – sa maîtrise des questions européennes, par exemple sur le pacte européen pour l’immigration ou l’interdiction des véhicules thermiques. Quelques jours auparavant, il avait crevé l’écran en suscitant un large consensus autour de lui par sa dénonciation vigoureuse du débat entre Gabriel Attal et Jordan Bardella, jugé antidémocratique (dès lors que privilégiant un seul candidat). Or, les sondages n’enregistrent guère d’effet de son excellente campagne comme de son coup d’éclat. L’actuelle malédiction qui frappe l’étiquette «droite Les Républicains» est la clé de ce paradoxe. Elle tient largement au soupçon populaire de connivence avec la majorité au pouvoir, résultat des positions prises par ce parti, notamment pendant la crise sanitaire et sur la réforme des retraites.

Alors, les élections européennes 2024, comme défouloirs, seront vite oubliées, notamment quand viendront les municipales deux ans plus tard. Toutefois, les responsables politiques de tout bord, et plus particulièrement de la droite LR, pourraient en tirer quelques leçons essentielles pour l’avenir de leur courant politique.

Européennes et Front National : pas un vote d’adhésion mais d’opposition

Européennes et Front National : pas un  vote d’adhésion mais d’opposition

Indiscutablement la grande surprise de ces Elections Européennes sera la percée du Front National. Plusieurs facteurs explicatifs à ce résultat assez exceptionnel pour l’extrême droite. D’abord sans doute le rejet à la fois politique mais aussi culturel du président de la république. Ce dernier est sa majorité ne sont plus audibles même lorsqu’il peuvent avoir raison. Ainsi par exemple lors du débat entre Attal et Bardella à peu près tous les experts ont conclu à la victoire du premier ministre. Par contre l’opinion à accordé ses faveurs majoritairement à Bardella. La preuve sans doute que la parole du pouvoir est complètement discréditée.

 

C’est donc davantage par rejet de la majorité actuelle que les voix se reportent de façon aussi massive sur le Front National. En fait, un vote d’opposition et même de toutes les oppositions avec toutes les contradictions que cela comporte. Par ailleurs, les élections européennes sont  l’occasion d’un défoulement traditionnel puisque cela ne remet pas en cause les déséquilibres politiques en France, en tout cas dans l’immédiat. L’autre facteur explicatif est surtout le grand silence de Marine Le Pen qui gagne des voix quand elle s’abstient de parler alors qu’à l’inverse Macon ne cesse de multiplier les bavardages inutiles, les changements de position et les incohérences. Le silence est le meilleur atout du programme politique de Marine Le Pen. Pour preuve elle va tout faire pour refuser le débat avec Macron.

Sur la tendance après les européennes et sauf changements brutaux des équilibres politiques, le Front National devrait continuer de progresser. Il pourrait devenir majoritaire à l’occasion des élections des députés. Marine Le Pen  ne sera pas forcément élue présidente de la république mais elle maîtrisera le pouvoir grâce à ses députés.

Un autre facteur explicatif majeur pour comprendre la montée du Front National, c’est la dégradation générale de l’autorité dans nombre de domaines sociétaux ; aussi la montée inquiétante d’une immigration non maîtrisée et de la violence. C’est sans doute sur ce terrain qu’est surtout attendu le front national. Pour le reste compte tenu des contradictions de son programme, il y a fort à parier que le Front National sera contraint comme en Italie de revoir sa copie à moins de créer le chaos dans le pays

Débat Européennes : « les Insoumis » à la dérive ciblent Glucksmann

Débat Européennes : « les Insoumis » à la dérive ciblent Glucksmann

Sondage après sondage pour les élections européennes se confirme le naufrage du parti de Mélenchon qui obtient moitié moins que Glucksmann. Du coup ces derniers devient la cible privilégiée et ce dernier lors du dernier débat de lundi soir a demandé au insoumis : « de lui lâcher les baskets » et de se concentrer plutôt contre l’extrême droite. Pendant ce temps-là le Front National profite des contradictions de la gauche et de la droite Même s’il s’agit davantage d’intentions de vote d’opposition que d’adhésion.

Ce qui inquiète évidemment les insoumis c’est la perte très nette de leur leadership sur la gauche qui va évidemment se reconstituer autour du pôle de Glucksmann.  Les insoumis toujours aussi révolutionnaires risquent même de se marginaliser totalement voire suivre le sort du parti communiste.

Pendant ce temps-là le Front National se réjouit de la faiblesse de ses adversaires et se nourrit de leurs contradictions voire de leur insignifiance. Ainsi Bardella la continue toujours de progresser pour atteindre 33,5 % soient plus du double que  la majorité.

Le discrédit de la majorité est tel, que le parti de Macron est complètement inaudible même lorsque les leaders ont parfois raison. Le rejet est politique mais aussi culturel. Le principal carburant pour la progression du Front National, c’est en fait le rejet de Macon

 

Élections Européennes 2024 : Bardella à 33.5%

Élections Européennes 2024 : Bardella à 33.5%

Les intentions de vote de ce lundi 27 mai 2024 d’après l’enquête IFOP du Figaro:

LO – Lutte Ouvrière (Nathalie Arthaud) : 0,5 % (=)

NPA – Nouveau Parti Anticapitaliste (Selma Labib) : 0,5 % (=)

LFI – La France Insoumise (Manon Aubry) : 7,5 % (=)

PC – Parti Communiste (Léon Deffontaines) : 2 % (=)

PS – Parti Socialiste, Place Publique (Raphaël Glucksmann) : 14,5 % (=)

Parti Radical de Gauche, de Régions et Peuples Solidaires et du Mouvement des citoyens (Guillaume Lacroix) : 0,5 % (+0,5)

Changer l’Europe, Nouvelle Donne (Pierre Larrouturou) : 0 % (=)

Les Écologistes, ex-EELV (Marie Toussaint) : 5,5 % (+0,5)

Écologistes au centre (Jean-Marc Governatori) : 0,5 % (=)

PA – Parti Animaliste (Hélène Thouy) : 1 % (−0,5)

La liste Ecologie positive et territoires (Yann Wehrling) : 0,5 % (=)

Renaissance, Modem, Horizons et UDI (Valérie Hayer) : 16 % (=)

LR – Les Républicains (François-Xavier Bellamy) : 7,5 % (=)

Alliance Rurale (Jean Lassalle) : 1 % (=)

Reconquête (Marion Maréchal) : 6 % (−0,5)

RN – Rassemblement National (Jordan Bardella) : 33,5 % (+0,5)

Union Populaire Républicaine (François Asselineau ) : 0,5 % (=)

Les Patriotes (Florian Philippot) : 1 % (−0,5)

La liste « Free Palestine Party » (Nagib Azergui) : 0,5 % (+0,5)

Une autre liste : 1 % (−0,5)

Politique-Elections Européennes : le pouvoir d’achat toujours la première préoccupation

Politique-Elections Européennes : le pouvoir d’achat toujours la première préoccupation

D’après un sondage Ifop-Fiducial pour LCI, le pouvoir d’achat représente l’enjeu le plus fort des Français dans leur vote aux élections européennes (9 juin). Il devance l’immigration et le système de santé.

D’après un sondage Ifop-Fiducial pour LCI, Le Figaro et Sud Radio, le pouvoir d’achat est le sujet sur lequel les électeurs attendent le plus les candidats. Selon cette enquête, 57% des Français disent tenir compte de cette thématique dans leur vote. C’est notamment le cas des électeurs de La France insoumise (76%) et du Rassemblement national (62%), moins de Renaissance (37%) ou de Reconquête (21%).

L’immigration (38%) et le système de santé (38%) complètent le podium des sujets les plus déterminants, selon les Français. Sans surprise, les électeurs de Reconquête (89%) et du RN (62%) classent l’immigration parmi leurs priorités. Le système de santé, lui, suscite davantage l’intérêt des électeurs de La France insoumise (58%).

Elections Européennes : Macron veut rencontrer Marine Le Pen….qui hésite !

Elections Européennes : Macron veut rencontrer Marine Le Pen….qui hésite !

Macron sans doute conscient des risques de l’énorme défaite du pouvoir aux élections européennes souhaite désormais rencontrer Marine Le Pen . Mais cette dernière  q hésite et pose des conditions politiques ( démission de Macron ou dissolution de l’Assemblée nationale .). Marine Le Pen  a en effet tout à perdre dans un débat où elle brille rarement. À l’inverse le président veut sauver la majorité pour éviter un désastre. Mais si Marine Le Pen refuse, cela risque de paraître aux yeux de l’opinion comme un manque de courage et de compétence. Finalement le Front National pourrait perdre le crédit qu’il a obtenu l’heure du débat entre Attal et Bardella. Un débat qui n’a pas vraiment départagé les deux débatteurs mais qui a donné une certaine crédibilité à la tête de liste du Front National. 

 

Selon différentes enquêtes d’opinion à quinze jours du scrutin, le Rassemblement national recueille de 30% à 33% des intentions de vote, devant la majorité macroniste autour de 16% et la liste PS-Place Publique de Raphaël Glucksmann, donnée entre 14 et 15%. Mais, «je n’ai jamais cru aux sondages. On verra le 9 juin», a assuré le chef de l’État, exhortant toutefois les Français à se garder des candidats lepénistes: «réveillez-vous et regardez-les de près !»

Sondage Elections Européennes : le pouvoir d’achat toujours la première préoccupation

Sondage Elections Européennes : le pouvoir d’achat toujours la première préoccupation

D’après un sondage Ifop-Fiducial pour LCI, le pouvoir d’achat représente l’enjeu le plus fort des Français dans leur vote aux élections européennes (9 juin). Il devance l’immigration et le système de santé.

D’après un sondage Ifop-Fiducial pour LCI, Le Figaro et Sud Radio, le pouvoir d’achat est le sujet sur lequel les électeurs attendent le plus les candidats. Selon cette enquête, 57% des Français disent tenir compte de cette thématique dans leur vote. C’est notamment le cas des électeurs de La France insoumise (76%) et du Rassemblement national (62%), moins de Renaissance (37%) ou de Reconquête (21%).

L’immigration (38%) et le système de santé (38%) complètent le podium des sujets les plus déterminants, selon les Français. Sans surprise, les électeurs de Reconquête (89%) et du RN (62%) classent l’immigration parmi leurs priorités. Le système de santé, lui, suscite davantage l’intérêt des électeurs de La France insoumise (58%).

Européennes : Macron veut rencontrer Marine Le Pen….qui hésite !

Macron sans doute conscient des risques de l’énorme défaite du pouvoir aux élections européennes souhaite désormais rencontrer Marine Le Pen . Mais cette dernière  q hésite et pose des conditions politiques ( démission de Macron ou dissolution de l’Assemblée nationale .). Marine Le Pen  a en effet tout à perdre dans un débat où elle brille rarement. À l’inverse le président veut sauver la majorité pour éviter un désastre. Mais si Marine Le Pen refuse, cela risque de paraître aux yeux de l’opinion comme un manque de courage et de compétence. Finalement le Front National pourrait perdre le crédit qu’il a obtenu l’heure du débat entre Attal et Bardella. Un débat qui n’a pas vraiment départagé les deux débatteurs mais qui a donné une certaine crédibilité à la tête de liste du Front National. 

 

Selon différentes enquêtes d’opinion à quinze jours du scrutin, le Rassemblement national recueille de 30% à 33% des intentions de vote, devant la majorité macroniste autour de 16% et la liste PS-Place Publique de Raphaël Glucksmann, donnée entre 14 et 15%. Mais, «je n’ai jamais cru aux sondages. On verra le 9 juin», a assuré le chef de l’État, exhortant toutefois les Français à se garder des candidats lepénistes: «réveillez-vous et regardez-les de près !»

Elections Européennes : le pouvoir d’achat toujours la première préoccupation

Elections Européennes : le pouvoir d’achat toujours la première préoccupation

D’après un sondage Ifop-Fiducial pour LCI, le pouvoir d’achat représente l’enjeu le plus fort des Français dans leur vote aux élections européennes (9 juin). Il devance l’immigration et le système de santé.

D’après un sondage Ifop-Fiducial pour LCI, Le Figaro et Sud Radio, le pouvoir d’achat est le sujet sur lequel les électeurs attendent le plus les candidats. Selon cette enquête, 57% des Français disent tenir compte de cette thématique dans leur vote. C’est notamment le cas des électeurs de La France insoumise (76%) et du Rassemblement national (62%), moins de Renaissance (37%) ou de Reconquête (21%).

L’immigration (38%) et le système de santé (38%) complètent le podium des sujets les plus déterminants, selon les Français. Sans surprise, les électeurs de Reconquête (89%) et du RN (62%) classent l’immigration parmi leurs priorités. Le système de santé, lui, suscite davantage l’intérêt des électeurs de La France insoumise (58%).

Élections européennes : Bardella encore en hausse Glucksmann et Hayer au coude à coude

Élections européennes : Bardella encore en hausse Glucksmann et Hayer  au coude à coude

 

D’après le sondage IFOP pour LCI, Le Figaro et Sud Radio  Jordan Bardella (Rassemblement national) (33%, +0,5 point), Raphaël Glucksmann est toujours en embuscade derrière Valérie Hayer. Le candidat soutenu par le Parti socialiste n’est qu’à un point de la tête de liste de la majorité : il recueille 15% des intentions de vote (=), contre 16% (=). 

Derrière, François-Xavier Bellamy (Les Républicains) est crédité de 7,5% d’intentions de vote (=). Il est suivi de Manon Aubry (La France insoumise, 7%, -0,5), de Marion Maréchal (Reconquête, 6%, =) et de Marie Toussaint (Ecologistes, 5%, -0,5).

L’institut de sondage constate que si le RN atteint ce score, un record depuis le début du « rolling », c’est notamment parce que la prééminence des sujets européens et internationaux retombe au profit des sujets nationaux, profitant au parti d’extrême droite.

Enfin, en ce qui concerne le taux d’abstention à attendre le jour du scrutin, le nombre d’électeurs prévoyant d’aller voter est stable ce jeudi (47,5%, =). À ce stade, 74% (=) des électeurs se disent sûrs de leur choix de vote, ceux du RN (85%) et de Renaissance (84%) étant les plus certains de leur décision.

12345...19



L'actu écologique |
bessay |
Mr. Sandro's Blog |
Unblog.fr | Annuaire | Signaler un abus | astucesquotidiennes
| MIEUX-ETRE
| louis crusol