Archive pour le Tag 'Europe 1)'

Media: Europe 1 future radio caniveau ?

Media: Europe 1 future radio caniveau ?

Tout juste commencée, la nouvelle émission d’Europe un animé par Cyril Hanouna « on marche sur la tête » a fait l’objet d’une critique sérieuse de l’institution de régulation, l’Arcom. Il faut dire que cette émission de radio sur la tonalité est très proche de l’émission déjà animée par Hanouna à la télé. Une espèce d’émission type bistrot outrancière et vulgaire et très proche de l’extrême droite. Les journalistes de la radio ont d’ailleurs protesté contre ce nouveau virage d’ Europe 1.

 

L’Arcom a décidé de monter le ton. Le régulateur de l’audiovisuel vient de mettre en demeure la radio Europe 1 pour son manque de mesure et d’honnêteté «dans les commentaires de l’actualité électorale». Les comptes rendus d’écoute de l’émission «On marche sur la tête», présentée par Cyril Hanouna, montre que l’actualité de La France Insoumise et du Nouveau Front populaire, coalition des principales formations de gauche, «a été traitée de manière systématiquement critique et virulente, en des termes souvent péjoratifs et outranciers», remarque l’Arcom dans sa décision consultée par Le Figaro.Le gendarme de l’audiovisuel estime également que le traitement de l’actualité électorale a été largement «univoque», la plupart des invités, «dont une grande majorité sont issus du même courant» politique, ayant formulé «de vives critiques» à l’encontre de LFI et du NFP «sans qu’un autre point de vue ne puisse suffisamment s’exprimer». Les mêmes reproches sont adressés aux animateurs, chroniqueurs et auditeurs à l’antenne.

Bref la conception démocratique de Bolloré!

Europe 1 future radio caniveau ?

Europe 1 future radio caniveau ?

Tout juste commencée, la nouvelle émission d’Europe un animé par Cyril Hanouna « on marche sur la tête » a fait l’objet d’une critique sérieuse de l’institution de régulation, l’Arcom. Il faut dire que cette émission de radio sur la tonalité est très proche de l’émission déjà animée par Hanouna à la télé. Une espèce d’émission type bistrot outrancière et vulgaire et très proche de l’extrême droite.Les journalistes de la radio ont d’ailleurs protesté contre ce nouveau virage d’ Europe 1.

 

L’Arcom a décidé de monter le ton. Le régulateur de l’audiovisuel vient de mettre en demeure la radio Europe 1 pour son manque de mesure et d’honnêteté «dans les commentaires de l’actualité électorale». Les comptes rendus d’écoute de l’émission «On marche sur la tête», présentée par Cyril Hanouna, montre que l’actualité de La France Insoumise et du Nouveau Front populaire, coalition des principales formations de gauche, «a été traitée de manière systématiquement critique et virulente, en des termes souvent péjoratifs et outranciers», remarque l’Arcom dans sa décision consultée par Le Figaro.

Le gendarme de l’audiovisuel estime également que le traitement de l’actualité électorale a été largement «univoque», la plupart des invités, «dont une grande majorité sont issus du même courant» politique, ayant formulé «de vives critiques» à l’encontre de LFI et du NFP «sans qu’un autre point de vue ne puisse suffisamment s’exprimer». Les mêmes reproches sont adressés aux animateurs, chroniqueurs et auditeurs à l’antenne.

Bref la conception démocratique de Bolloré!

 

Europe 1 : encore un journaliste viré

Europe 1 : encore un journaliste viré

 

Avec l’arrivée de Bolloré dans le groupe Lagardère, les mises à l’écart de journalistes se multiplient à Europe 1 . Après Julie Leclerc, Nicolas Canteloup, Pascale Clark ou encore Patrick Cohen, c’est au tour de Laurent Cabrol de quitter la radio, selon les informations du Parisien .  Arnaud Lagardère tente de se défendre en indiquant que repas ne deviendra pas une radio d’opinion !

Il faut sauver le soldat Europe 1

Il faut sauver le soldat Europe 1

Cinquante anciens de la radio, parmi lesquels Philippe Alfonsi, Anne Sinclair, Ivan Levaï et Stéphane Paoli, lancent dans le Monde un cri d’alarme face au « danger grave et imminent » auquel fait face la célèbre station.

Tribune

 

Europe 1 fait face à un danger grave et imminent : l’instauration, sous la pression de Vincent Bolloré, actionnaire de Lagardère, d’une ligne éditoriale partisane en rupture totale avec la longue histoire de cette station, pionnière de la radio moderne.

Avant « l’esprit Canal », il y eut « l’esprit Europe 1 », souvent frondeur et impertinent, mais jamais partisan. Nous avons tous, à un moment ou à un autre, contribué à cette aventure. Europe 1 nous l’a bien rendu. Nous y avons parfois appris notre métier de journaliste. Et aujourd’hui encore, nous nous sentons porteurs de cet état d’esprit.

C’est pourquoi nous souhaitons témoigner de notre totale solidarité avec les salariés d’Europe 1, en grève pour la première fois en plus de soixante ans. Nous sommes particulièrement indignés par la violence faite à ceux d’entre eux qui veulent exprimer simplement et clairement leurs inquiétudes légitimes.

Nous sommes conscients que les responsabilités dans le désastre actuel de cette station, qui donnait souvent le ton aux autres médias, sont multiples.

Mais jamais son actionnaire principal n’avait tenté d’en faire un jouet politique partisan et un haut-parleur des haines qui agitent notre débat politique.

Nous sommes aux côtés des salariés qui se battent pour défendre les valeurs qui ont fait cette radio. Vive l’indépendance d’Europe 1 !

Philippe Alfonsi ; Antonin Amado ; Jean-Michel Aphatie ; Roger Arduin ; Claude Askolovitch ; Sylvain Attal ; Jean-Philippe Balasse ; Pierre-Louis Basse ; Laurent Bazin ; Brigitte Bejean ; Claude Bellei ; Brigitte Benkemoun ; Inès de Beistegui ; Emilie Bonnaud ; Bérengère Bonte ; Ariane Bouissou ; Bernard Chabbert ; Jean-Yves Chaperon ; Xavier Colin ; Paule Coudert ; Mathieu Delahousse ; Luc Evrard ; Emmanuel Faux ; Camille Girerd ; Michel Grossiord ; Jérôme Godefroy ; Damien Gourlet ; Béatrice Hadjaje ; Hélène Jouan ; Benoit Laporte ; Nathalie Leruch ; Ivan LevaÏ ; Serge Marie ; Elizabeth Martichoux ; Michel Moineau ; Jean-Pierre Montanay ; Stéphane Paoli ; Dominique Paganelli ; Nicolas Poincaré ; Jean-François Rabilloud ; Emilie Raffoul ; Brigitte Rinaldi ; Karim Rissouli ; Olivier de Rincquesen ; Anne Sinclair ; Laurence Thomas ; Jean-Noël Tournier ; Marc Tronchot ; Alba Ventura ; Edmond Zucchelli

Europe 1: Le refus des journalistes de la droitisation

 Europe 1: Le refus des journalistes de la droitisation

 

En liant son sort à CNews qui porte un « activisme politique de droite, voire parfois d’extrême droite », la radio va perdre son capital de crédibilité, dénoncent, dans une tribune au « Monde », la Société des rédacteurs et l’intersyndicale de la station.

 

Tribune dans le Monde . 
Nous vivons une époque singulière, marquée par une montée des tensions dans la société, la multiplication de « fake news », un repli identitaire certain. Un contexte qui favorise ces dernières années la cristallisation du débat politique, certains, même, n’hésitant plus à appeler à la sécession. 

Plus que jamais, dans ce climat de crispation, les médias ont la responsabilité de décrypter cette époque, démêler le vrai du faux, créer du lien social et de savoir faire dialoguer les uns et les autres dans le respect du pluralisme. Une mission qu’a toujours su faire vivre Europe 1, depuis sa création.

L’heure est décisive et le rôle d’une telle radio nationale est d’autant plus important à l’aube d’une année électorale. Or, aujourd’hui, Europe 1 amorce un virage qui l’éloigne de cette histoire dont ses équipes sont fières depuis plus de soixante ans.

Jour après jour, la station semble s’arrimer un peu plus à l’antenne de CNews [propriété de Vivendi], conformément au rêve de Vincent Bolloré depuis des années. Devenu premier actionnaire du Groupe Lagardère [par l’intermédiaire de Vivendi], il a désormais les coudées franches pour concrétiser son projet… sans même avoir besoin de racheter la radio. La mise à l’écart de voix « maison » et leur probable remplacement par des nouveaux venus « vus sur CNews », ainsi que la méthode consistant à mettre à pied ceux qui expriment trop fort leur désaccord nous montrent que ce projet est enclenché.

La rédaction, par la voix de sa Société des rédacteurs, a d’ailleurs déjà eu l’occasion ces derniers mois d’alerter sa direction sur des prises de position de plus en plus marquées dans certains rendez-vous-clés de sa matinale, et de s’en inquiéter.

Les exemples récents d’autres grands pays, comme les Etats-Unis, montrent une nouvelle fois combien les médias d’opinion contribuent à fracturer les sociétés, en perdant leur indépendance au service d’un camp.

En liant son sort à une chaîne qui s’illustre à longueur de journée par un activisme politique fortement ancré à droite, voire parfois à l’extrême droite, Europe 1 va perdre ce qui lui reste de plus précieux : son capital de crédibilité auprès des auditeurs.

Europe 1: grève contre le virage à droite

Europe 1: grève contre le virage à droite

Encore un licenciement et surtout la menace d’un net virage à droite avec le rapprochement avec les chaînes et radios de Bolloré.  À l’issue d’une assemblée générale, les salariés ont menacé de se mettre en grève si la direction ne revient pas sur une procédure de sanction disciplinaire visant un journaliste. Point une action sur fond de départs volontaires engagés au printemps concernant une quarantaine de postes. Les journalistes sont particulièrement inquiets de la droitisation de la radio.

Dans une tribune publiée jeudi sur le site du Monde, la société des rédacteurs d’Europe 1 et l’intersyndicale ont exprimé leurs inquiétudes, refusant «de devenir un média d’opinion» à «l’aube d’une année électorale»«En liant son sort à une chaîne qui s’illustre à longueur de journée par un activisme politique fortement ancré à droite, voire parfois à l’extrême droite, Europe 1 va perdre ce qui lui reste de plus précieux: son capital de crédibilité auprès des auditeurs», estiment-ils.

Il y avait déjà «une dérive sur le fond, avec la très forte droitisation de la ligne éditoriale qui se profile», «Cela ressemble aux méthodes qu’on a vues à l’oeuvre dernièrement au service des sports de Canal+», où une vingtaine de personnes ont été poussées vers la sortie, abonde Olivier Samain.

Europe 1 dans la tourmente Lagardère

Europe 1 dans la tourmente Lagardère

 

 

 

 

Pour éviter totalement l’éclatement du groupe Lagardère, la société est contrainte de se débarrasser de certains actifs afin de renforcer son assise financière. Ainsi on parle du partage de la presse écrite -le JDD et Paris-Match- qui serait racheté par Bernard Arnault et Europe 1qui serait rachetée par Bolloré..

 

Et les syndicats de s’inquiéter : « Voilà les questions que nous, représentants des salariés au Comité de groupe Lagardère, nous vous posons. Votre silence depuis un an nous donne l’impression d’une fin de parcours. Tout comme l’arrêt des investissements et l’étiolement du management. L’épidémie de Covid a bon dos : l’irruption d’un virus – fût-il planétaire – ne peut justifier l’absence de stratégie. Au contraire : plus la terre tremble, plus s’imposent l’audace, l’anticipation et la force de conviction.

La longue histoire du groupe Lagardère est riche de ces moments où, confrontées à de fortes secousses, les équipes ont su se remettre en question, créer, innover, développer, prendre de l’avance. Dans le Livre : l’expansion internationale et la bataille pour obtenir le respect d’Amazon ; dans le Retail : l’implantation planétaire ; dans les médias : la force éditoriale et la multiplicité des supports…

Par-delà la diversité de leurs métiers, les salariés de Lagardère vibrent pour les mêmes valeurs : liberté d’expression, pluralisme, respect des différences, indépendance, recherche de la vérité, goût pour le travail bien fait, soif de progrès…

Les entreprises qui composent votre groupe et les salariés qu’elles rassemblent ne sont pas un jeu de quilles. Avez-vous conscience que ces richesses risquent de disparaître dans le maelström qui se prépare ? Nous, représentants des salariés au Comité de groupe, sommes persuadés qu’il est encore temps de l’éviter. Nous nous mobilisons dès maintenant pour faire barrage à un dépeçage allant contre l’intérêt des salariés du Groupe. »

Europe 1 racheté par Bolloré ?

 Europe 1 racheté par Bolloré ?

 

 

On sait que Bolloré veut dépouiller la totalité des sociétés de Lagardère et en prendre la direction. Pour l’instant des stratégies de bataille d’actionnaires se mettent en place d’un côté et de l’autre. En attendant, Bolloré pourrait bien racheter séparément Europe 1 (propriété de Lagardère) . Lagardère se séparerait d’un actif pour encaisser un peu de cash. Reste à savoir si Bolloré va diriger Europe 1 comme il a dirigé Canal+ ( ou Cnews)  ( censure, licenciement de journalistes ,échappe de plomb éditoriale). . Auquel cas Europe1 qui des années et même des dizaines d’années s’est complètement écroulée  pourrait alors devenir complètement marginale.

La popularité de Macron : stable pour Europe 1 !!!

La popularité de Macron : stable pour Europe 1  !!!

Europe 1, qui avec Paris-Match s’est fait une spécialité d’assurer la remontada de Macon dans les sondages cette fois encore titre curieusement  « stabilité pour macro » alors que ce dernier recule encore d’un point. Notons que dans le sondage diffusé par Europe 1 Macron bénéficie encore de 38 % de confiance alors que la plupart des autres sondages ne lui accorde que 30 %. Pas vraiment étonnant car Europe 1, propriété de Lagardère comme Paris-Match propriété de Bolloré sont deux médias qui portent Macron à bout de bras depuis le début. D’après Europe 1, les cotes de confiance d’Emmanuel Macron (38%, -1 point) et d’Édouard Philippe (39%, +1 point) sont quasiment stables en mars par rapport au mois précédent, selon un sondage Harris Interactive* pour LCI publié lundi. Et de développer la reconquête de Macron !  Emmanuel Macron regagne de la confiance plus particulièrement auprès des Français de plus de 65 ans (+8 points, 46% d’entre eux) alors qu’elle avait atteint un plus bas à 27% en novembre.  Cette hausse repose en partie sur « l’intention affichée » par Emmanuel Macron « de restauration de l’autorité dans un contexte de violences » lors de récents samedis de mobilisation des « gilets jaunes », indique Jean-Daniel Levy, d’Harris Interactive. La popularité du président fléchit en revanche de 5 points à 33% chez les 35/49 ans.

 

*L’enquête Harris Interactive a été réalisée sur Internet du 26 au 28 mars auprès d’un échantillon représentatif de 933 personnes, selon la méthode des quotas.

SONDAGE « Lagardère » (JDD, Europe 1..) : Macron remonte encore !!!!

SONDAGE « Lagardère » (JDD, Europe 1..) : Macron remonte encore  !!!!

 

La  presse du groupe Lagardère nous resserre le sondage déjà paru la semaine dernière et qui montrerait une remontée de la popularité du chef de l’État en un mois. Dans le JDD et sur Europe 1, on diffuse un sondage qui montre que la cote de popularité de Macron aurait enregistré un rebond de 4 points. Même chose D’après le tableau de bord Ifop-Fiducial pour Paris Match. Un résultat curieux quand par ailleurs le même sondage indique que seulement 19 % des Français jugent le président de la république proche des préoccupations des Français. Ce n’est pas la première fois que certains sondages sont un peu bidouillés pour faire remonter la popularité du pouvoir. Cela d’autant plus que ce sondage est commandé par Paris-Match propriété de Lagardère un grand supporter de Macron. Pour preuve l’attitude systématiquement pro Macron du rédacteur en chef du JDD, Hervé Gattegno (propriété aussi de Lagardère) sur les plateaux télé. Il est clair que certains milieux financiers qui ont permis à Macron de devenir président s’inquiètent de son décrochage dans l’opinion est aussi de leurs conséquences économiques. D’où parfois des sondages curieux qui brusquement font remonter l’image d’un président. Selon cette enquête menée les 3 et 4 janvier, l’action du chef de l’Etat réunit 28% d’opinions positives, en hausse de cinq points de pourcentage par rapport à décembre, quand seuls 23% de sondés approuvaient son action. Un peu moins de trois quarts des sondés (72%, en baisse de quatre points) n’approuvent pas l’action d’Emmanuel Macron. Rebelote avec la rediffusion de ce même sondage on indique que  le  «  chef de l’État, toujours confronté à la mobilisation des gilets jaunes, gagne quatre points de popularité en janvier (un point de moins que ce qui était indiqué précédemment ! NDLR). Dans le détail, un tiers des Français disent avoir une «bonne opinion» d’Emmanuel Macron. Le locataire de l’Élysée doit surtout ce regain de popularité aux sympathisants de La République en marche qui sont 90% à le soutenir (+10 points) et aux électeurs des Républicains (54%, +10 points). ).Ce rebond lui offre un bol d’oxygène au moment même où il lance son grand débat avec les Français. En réveillant son camp et en tendant à nouveau la main vers les électeurs de droite modérée, le président conforte son socle électoral. De quoi commencer un peu moins mal la future campagne des européennes. ». Macon peut vraiment dire merci à Lagardère pour le soutien qu’il lui  apporte à travers des sondages pour le moins sulfureux et en plus contredits par d’autres à la même date. Dans le sondage Ifop-Fiducial pour Paris Match. On constate une remontée de popularité pour le pouvoir, une remontée reprise evidemmenet bêtement par les grands médias. . À l’inverse, les Français sont de plus en plus critiques vis-à-vis de l’action du gouvernement, 75 % sont mécontents, selon le sondage Odoxa-Dentsu Consulting pour franceinfo et Le Figaro publié jeudi 3 janvier.  Un résultat curieux pour l’IFOP quand par ailleurs le même sondage indique que seulement 19 % des Français jugent le président de la république proche des préoccupations des Français. Un peu moins de trois quarts des sondés (72%, en baisse de quatre points) n’approuvent pas l’action d’Emmanuel Macron. Une seule explication sans doute,  il s’est passé quelque chose la nuit du 3 janvier puisqu’un  sondage a été réalisé les 2 et 3 janvier et l’autre les 3 et 5 janvier. Ce sont les mêmes résultats qui sont fournis le 20 décembre pour uen étude qui aurait été faite le 10 janvier. Quel événement majeur a pu se passer en quelques jours ? Notons les contradictions du JDD :

« Dans le détail, le Président gagne 3 points chez les « plutôt satisfaits » (22%) et 1 chez les « très satisfaits » (5%). Les « plutôt mécontents » augmentent d’un point à 32% quand les « très mécontents » baissent de 5 points à 40%. » Ça fait quand même 72% de mécontents !

Audience radio : Europe 1 derrière France Bleu, un signe !

Audience radio : Europe 1 derrière France Bleu, un signe !

Sans conteste Europe 1 était la radio la plus dynamique, la plus innovante la plus écoutée dans la jeunesse mais c’était il y a 40 ou 50 ans ! Depuis le média ne cesse de plonger dans les sondages d’audience et dans la médiocrité. Cette radio était innovante d’un triple point de vue d’abord elle collait à l’information du terrain, une sorte de France info d’aujourd’hui, en moins guindé. Ensuite elle était pionnière en matière de diffusion des nouveautés musicales. Enfin il y avait le style : nouveau, décontracté,  percutant. Aujourd’hui on est passé à la radio pépère d’où sans doute cette sanction de l’opinion qu’il a fait passer derrière France bleue. En cause une ligne éditoriale pour ménagère de 50 ans qui hésite entre Paris-Match et le Parisien. Les anciens auditeurs qui avaient fait le succès de d’Europe 1  préfèrent radio France bleue ! L’audience d’Europe 1 a donc chuté à un nouveau plancher historique, à 6,6% d’audience cumulée en novembre-décembre (-1,5 point sur un an), tandis que RTL (-0,6 point à 12,1%) reste la radio la plus écoutée de France, mais réduit son avance sur France Inter (+0,1 point à 11,3%), selon Médiamétrie. Selon ces chiffres publiés jeudi, franceinfo (-0,4 pt à 8,5%) et RMC (-0,7 pt à 7,4%) ont également vu leur audience reculer. Côté musicales, NRJ reste la première station (-0,2 pt à 10,5%), devant Skyrock (+0,5 pt à 6,5%) et Nostalgie (-0,1 pt à 6,2%). Europe 1, qui avait recruté Patrick Cohen, journaliste vedette de France Inter, et renouvelé en profondeur sa grille à la rentrée de septembre pour se relancer, touche ainsi un nouveau plancher historique, enfonçant son précédent plus bas (7,1%) enregistré au printemps 2017. Et pour la première fois, Europe 1, déjà distancée l’an dernier par franceinfo et RMC, se retrouve devancée par France Bleu (stable à 7%), et tombe ainsi à la septième place au classement national des radios (toutes catégories confondues).

 

Audiences radio: Europe 1, encore plus bas

Audiences radio: Europe 1, encore plus bas

 

 

Europe 1 coule encore. La radio qui était en pointe dans les années 70 en matière d’information et de nouveautés musicales voient son audience s’affaiblir encore. L’ancienne radio des jeunes est devenue celle du  troisième âge avec une ligne éditoriale qui hésite entre Paris-Match et le Parisien.  Europe 1  La radio du groupe Lagardère s’enfonce donc toujours avec 7,2% d’audience cumulée, soit près d’un point de moins qu’à la rentrée 2016 et  reste loin derrière des leaders stables, RTL (12 points d’audience cumulée) et France Inter (11,1). Franceinfo reste à des niveaux d’audience très hauts (8,5 soit +0,6 par rapport à la rentrée 2016) comme RMC (7,8, stable). La première des musicales, NRJ reste stable à 10,8% (-0,1 point). Cette dernière est en mauvaise posture. Trimestre après trimestre, son audience s’érode. Elle termine la période à 7,2 % d’audience cumulée, son plus bas niveau historique.   Les petites modifications apportées, les changements d’animateurs n’y ont rien fait. Les auditeurs n’adhèrent plus.

 

Audiences radio : RTL, Inter, Franceinfo au palmarès, Europe 1

Audiences radio : RTL,  Inter, Franceinfo au palmarès, Europe 1

Selon Médiamétrie, RTL confirme son leadership. Avec chaque jour 6,53 millions d’auditeurs, accusant toutefois une stabilité quasi-totale sur un an (-2.000) et une très légère baisse sur une vague (-61.000). RTL reste largement leader en PDA à 12,3% (-0,3 point sur une vague, -0,6 point sur un an). Et RTL peut s’enorgueillir d’une excellente saison puisque, boostée par l’actualité principalement politique, la station de Christopher Baldelli enregistre sa meilleure saison depuis 2000-2001, avec une moyenne de 6,58 millions d’habitués ! Derrière, France Inter n’est pas en reste. La station publique continue de briller et progresse ainsi de 260.000 auditeurs sur un an. Sur une vague, la tendance est à la baisse puisqu’après son record historique de janvier-mars, Inter affiche 235.000 curieux perdus. Cela n’empêche pas France Inter d’enregistrer purement et simplement sa meilleure saison historique (6,09 millions), avec une quatrième année de hausse consécutive.  Au pied du podium, Franceinfo poursuit sur sa bonne lignée des dernières vagues et progresse encore à 4,79 millions de Français informés, soit un gain de 740.000 personnes sur un an et de 231.000 sur une vague. En avril-juin, boostée par la présidentielle, Franceinfo a ni plus ni moins enregistré sa meilleure vague depuis près de dix ans. Et, cerise sur le gâteau, la saison écoulée a permis à la station publique d’enregistrer ses meilleures audiences depuis 2011-2012. Derrière, RMC a une nouvelle fois réussi à devancer Europe 1. La station talk & sport affiche 4,15 millions de paires d’oreilles au quotidien, en hausse sur un an (+205.000) mais sa plus faible vague d’une saison record. En effet, jamais RMC n’a affiché une si bonne forme avec 4,24 millions d’auditeurs en moyenne sur la saison. De quoi lui permettre ainsi de devenir 5e station de France, devant sa rivale Europe 1. La fin d’année 2016, où les deux rivales faisaient jeu égal, semble bien loin. Désormais, l’écart s’accentue entre les deux stations puisque la généraliste du groupe Lagardère passe pour la première fois de son histoire – hors été – sous la barre symbolique des 4,00 millions d’habitués. Europe 1 signe ainsi une vague avril-juin à seulement 3,84 millions de paires d’oreilles, soit le pire niveau de son histoire (-367.000). La radio en pointe dans les années 60-70 sur les questions d’infos et de nouveautés musicales payent là la dérive de sa ligne éditoriale très « plan-plan ».

Europe 1 à vendre ?

Europe 1 à vendre ?

Pour l’instant il ne s’agit que de la vente du siège mais la radio est bien fragilisée par se pertes d’audiences. La radio qui était en pointe dans les années 70 en matière d’information et de nouveautés musicales voit son audience s’affaiblir encore. L’ancienne radio des jeunes est devenue celle du  troisième âge avec une ligne éditoriale ringarde qui hésite entre Paris-Match et le Parisien.  Avec une audience cumulée de 12,2 %, RTL réalise sa meilleure audience depuis 6 ans sur la période janvier mars 2017, selon les chiffres publiés par Médiamétrie. Mais elle recule un peu par rapport à la fin de l’année 2016. La station qui s’apprête à déménager de la rue Bayard à Paris vers Neuilly, a réussi sa campagne électorale. La matinale de Yves Calvi progresse, notamment durant l’interview politique menée par Elizabeth Martichoux. Lors de l’élection présidentielle de 2012, la station n’avait pas trouvé le ton juste et France Inter avait pris la main. Justement, France Inter est toujours au rendez-vous. Son étonnant cocktail d’informations sérieuses et d’humour féroce résonne favorablement aux oreilles des auditeurs. La station publique enregistre un record depuis 2002 avec une audience cumulée de 11,6% et continue de progresser de vague d’audience en vague d’audience. Sur un registre plus centré sur l’information, sa petite sœur France Info confirme son redressement avec 8,4 % d’audience cumulée sur la période janvier-mars 2017. France Info devance RMC qui, avec une audience de 7,9 %, stagne autour des 8 %. Un plafond que la radio a du mal à dépasser malgré sa relance à la rentrée. Uns satisfaction tout de même, entre janvier et mars 2017, elle devance nettement sa rivale Europe 1. Cette dernière est en mauvaise posture. Trimestre après trimestre, son audience s’érode. Elle termine la période à 7,7 % d’audience cumulée, son plus bas niveau historique. Déjà en janvier 2017, la publication d’audience décevante (à 8,1%) avait déclenché une secousse dans la rédaction. Les petites modifications apportées, les changements d’animateurs n’y ont rien fait. Les auditeurs n’adhèrent plus. Lagardère va donc mettre en vente le siège d’Europe 1, dont les équipes doivent déménager d’ici la mi-2018, et le groupe espère en tirer entre 280 et 300 millions d’euros, indique lundi Le Figaro. Selon le quotidien, qui ne cite pas ses sources, Lagardère, propriétaire du siège historique d’Europe 1, rue François 1er à Paris, « va mettre en vente cet ensemble immobilier haussmannien de 11.000 m2 composé notamment de quatre hôtels particuliers réunis » et « a donc décidé de lancé un appel d’offres » en ce sens. Le groupe Lagardère, propriétaire d’Europe 1, a décidé de déménager la rédaction de la radio dans l’ancien siège de Canal+, quai André-Citroën dans le XVe arrondissement de Paris. Un site qu’elle partagera avec le Journal du dimanche (JDD), les radios musicales (RFM, Virgin Radio) et le pôle audiovisuel du groupe, hors Lagardère Studios.

« Taisez-vous Elkabbach » (Europe 1)

« Taisez-vous Elkabbach » (Europe 1)

 

 On se souvient de la fameuse phrase de Georges Marchais  sitôt après la victoire de la gauche en 81 : « taisez-vous Elkabbach ». Une phrase qui pourrait bien être reprise par la direction d’Europe un qui vient de mettre sur la touche le célèbre journaliste. En cause une audience d’Europe un qui ne cesse de se ratatiner, aussi sans doute les conséquences de l’âge pour Elkabbach qui en outre s’est montré bien maladroit lors de ses interventions à l’occasion du débat télévisé de la primaire de la droite. Figure mythique de la station qu’il a dirigé de 2005 à 2008 (il y est entré en 1982), Jean-Pierre Elkabbach, 79 ans, se consacrera à l’animation de l’émission politique du dimanche à 10 heures et deux  rendez-vous politique le week-end à 8h20 le samedi et le dimanche.  Après avoir atteint un plus bas à 8,1 % d’audience cumulée entre septembre et octobre, selon Médiamétrie, la chute serait en train de s’accélérer. En novembre, la station serait passée derrière ses deux rivales RMC et France Info. Europe 1 a besoin d’un électrochoc. Denis Olivennes, le PDG de Lagardère Active, a donc décidé de remanier son équipe sur l’antenne et hors antenne. Premier changement majeur. Fabien Namias, actuel directeur général d’Europe 1 est remplacé par Richard Lenormand, actuel directeur général du pôle radio et télévision du groupe Lagardère Active. Ce dernier devient directeur délégué d’Europe 1 sous l’autorité directe de Denis Olivennes. Pour sa part, Fabien Namias, 41 ans, se consacrera désormais à son rôle de directeur de l’information selon un communiqué. De plus, ce journaliste politique chevronné retrouve l’antenne car Denis Olivennes lui confie à partir du 2 janvier 2017 la fameuse interview politique de 8h20, détenue depuis 29 ans par Jean-Pierre Elkabbach.




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