Archive pour le Tag 'Etats-Unis'

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Etats-Unis: baisse de l’activité manufacturière

Etats-Unis: baisse de l’activité manufacturière

La baisse de l’activité manufacturière de la région de Philadelphie (nord-est des Etats-Unis) s’intensifie, selon l’indice de l’antenne locale de la banque centrale américaine (Fed) pour le mois de février publié ce jeudi. Cet indicateur d’activité avancé, tombé dans le rouge en janvier, perd 6,7 points supplémentaires pour s’établir -12,5, son niveau le plus bas depuis juin, indique la Fed de Philadelphie sur son site internet, alors que la prévision médiane des analystes le donnait en terrain positif, à +1,5. L’indicateur mesure la perception que les industriels de la troisième région de la Réserve fédérale (couvrant l’est de la Pennsylvanie, le sud du New Jersey et le Delaware) ont de la conjoncture à travers l’activité de leur société. Il ne s’est affiché au-dessus de zéro (la limite entre hausse et baisse de l’activité) que trois fois au cours des dix derniers mois. La dernière baisse de l’indice a été tirée par une chute de ses composantes mesurant les commandes nouvelles, les carnets de commandes et les stocks.

Etats-Unis: moins d’assouplissement monétaire pour la FED ?

Etats-Unis: moins d’assouplissement monétaire pour la FED ?

 

« De nombreux participants » à la dernière réunion du Comité de politique monétaire de la Fed (FOMC), les 29 et 30 janvier, ont « exprimé de l’inquiétude à propos des coûts et des risques potentiels découlant d’une poursuite des rachats d’actifs » menés par la banque centrale, indiquent les minutes de cette rencontre publiées sur le site internet de la Réserve fédérale.  La Fed avait décidé le 30 janvier de maintenir le cap de sa politique monétaire ultra-accommodante, et en particulier de continuer de racheter sur les marchés des obligations d’Etat américaines et des titres adossés à des créances immobilières pour un montant total de 85 milliards de dollars par mois tant que « la perspective du marché du travail ne s’améliore pas nettement ».  Cependant, révèlent les minutes, « un certain nombre » de dirigeants de la Fed indiquent désormais « que l’évaluation, en cours, de l’efficacité et des coûts des rachats d’actifs (…) pourrait bien conduire le Comité à les diminuer ou à y mettre fin avant qu’il soit d’avis qu’une nette amélioration de la perspective du marché du travail s’est concrétisée ».  Par sa politique de rachats d’actifs, la Fed crée chaque mois 85 milliards de dollars, en sus des près de 2.500 milliards qu’elle a créés en injectant des liquidités dans l’économie depuis 2008. A ce rythme, chaque mois qui passe risque de compliquer la mise en oeuvre de la politique de sortie de crise de la Fed, lorsqu’il s’agira de retirer ces sommes du système.  Les rachats d’actifs sont combinés à la promesse de maintenir le taux directeur de la Fed au plancher, c’est-à-dire dans la fourchette de 0 à 0,25% qui lui est assignée depuis 2008, « au moins tant que le taux de chômage restera au-dessus de 6,5% », si cela ne remet pas en cause l’objectif d’inflation à moyen terme de la Fed (2% sur un an).   Toutes ces mesures ont pour but de maintenir une pression maximale sur l’ensemble des taux d’intérêt, du plus court au plus long terme, afin de favoriser l’investissement, la consommation et le marché du logement et, in fine, de hâter la reprise du marché de l’emploi –le taux de chômage officiel est encore de 7,9% aux Etats-Unis.  Selon la Fed, « la plupart des participants » à la réunion de janvier étaient d’avis que les rachats de titres étaient « efficaces » et contribuaient à « stimuler l’activité économique », mais les dirigeants de la Réserve fédérale sont loin de s’accorder sur la durée prévisible de cette politique.  Début janvier, la Fed avait laissé filtrer que, dans l’ensemble, ses dirigeants étaient plutôt favorables à ce qu’elle mette un terme à ses rachats nets d’actifs d’ici à la fin de l’année.  L’affaire n’est cependant pas tranchée et le débat interne continue. Selon les minutes, « plusieurs » membres du FOMC mettent en garde contre le coût économique qu’il y aurait « à diminuer ou à mettre fin trop tôt » au soutien de la Fed.  Pour Harm Bandholz, économiste de la banque UniCredit, les minutes révèlent « une division profonde » au sein de la Fed et sont le signe que les rachats d’actifs pourraient s’achever « plus tôt que prévu ».  Son confrère de Barclays, Michael Gapen, note néanmoins que « si les inquiétudes persistent » à la Fed sur les rachats d’actifs, c’est encore « la préoccupation liée à l’état du marché du travail qui l’emporte ».

 

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Etats-Unis: moins de déficit extérieur

Etats-Unis: moins de déficit extérieur

L’effet dollar commence à jouer sur les exportations des Etats-Unis ; Chroniquement déficitaire, le solde des échanges du pays avec le reste du monde est certes resté dans le rouge en décembre mais il s’est considérablement réduit, dégringolant de 20,7% pour atteindre 38,5 milliards de dollars, selon les chiffres publiés vendredi par le ministère du Commerce.  Le recul n’avait pas été aussi fort depuis près de quatre ans.  Fait rarissime, le déficit sur un mois a même fondu de 15,5% vis-à-vis de la Chine, principal partenaire commercial des Etats-Unis et régulièrement mis à l’index par Washington pour ses pratiques jugées déloyales.  Le déficit s’est également considérablement réduit avec l’Union européenne, chutant de 28,4% à 8,7 milliards de dollars.  Sur l’ensemble de l’année passée, l’embellie est moins spectaculaire mais elle reste tangible avec un resserrement du déficit commercial de 3,4%, à 540,4 milliards de dollars, et un record absolu en termes d’exportations dont le gouvernement américain s’est aussitôt félicité.  Les efforts de l’administration pour promouvoir les exportations américaines portent leurs fruits », a souligné la ministre adjointe du Commerce Rebecca Blank, saluant l’ouverture de « nouveaux marchés ».  La route s’annonce toutefois encore longue avant d’atteindre l’objectif du président Barack Obama de doubler les exportations en cinq ans. Elles s’élevaient en décembre à 186,3 milliards de dollars contre 143,7 en janvier 2010 au moment où cet engagement a été pris.  En décembre, les exportations ont certes fait bonne figure (+2,1%), portées notamment pas les ventes d’équipements industriels qui ont bondi de 9,5%.  Mais la belle tenue du commerce extérieur tient principalement à un affaissement des importations (-2,7%), notamment de voitures et de pétrole (-13,0% en un mois) dont les Américains sont les premiers consommateurs au monde.   »On pourrait en conclure que la demande intérieure est faible mais ce serait aller vite en besogne », assure Jennifer Lee de BMO Capital Markets, soulignant que les importations hors automobiles ont légèrement progressé, témoignant du dynamisme du marché intérieur.  Plus important encore, l’embellie surprise du déficit commercial pourrait bien conduire à une révision à la hausse de la croissance américaine au quatrième trimestre de 2012.  Publiée fin janvier, une première estimation avait révélé une contraction surprise de 0,1% du Produit intérieur brut de la première puissance économique du globe.   »Le déficit commercial s’est bien plus réduit (…) que ce que le BEA (l’office gouvernemental des statistiques, ndlr) avait intégré dans ses estimations du PIB au quatrième trimestre », relèvent les économistes de Nomura. Dans ses estimations, le BEA (Bureau of Economic Analysis) avait ainsi tablé sur un recul des exportations plus fort que celui des importations, rappelle Julien Thomas de Natixis.   »On peut désormais s’attendre à une révision à la hausse des chiffres du PIB pour le dernier trimestre » de l’année précédente, a-t-il souligné. Une deuxième estimation du PIB américain sera publiée le 28 février.

Etats-Unis : baisse du déficit commercial

Etats-Unis : baisse du  déficit commercial

Le déficit commercial des Etats-Unis s’est réduit en décembre à son plus bas niveau depuis près de trois ans, laissant entendre que l’économie américaine a réalisé une performance meilleure que prévu au cours du quatrième trimestre 2012. Le déficit du mois de décembre a atteint 38,54 milliards de dollars, selon les statistiques, corrigées des variations saisonnières, publiées mardi par le département du Commerce, bien au-dessous des 46,0 milliards attendus par le consensus des économistes. Au mois de novembre, le déficit commercial est ressorti à 48,61 milliards de dollars (révisé de 48,7 milliards dollars). Les exportations américaines de biens et services ont augmenté de 2,1% en décembre, à 186,37 milliards de dollars, tandis que les importations ont baissé de 2,7% à 224,91 milliards de dollars, après avoir augmenté de 3,8% en novembre. Le niveau du déficit enregistré en décembre poussera probablement Washington à réviser à la hausse son estimation, publiée fin janvier, du PIB au quatrième trimestre, qui fait pour le moment état d’une contraction de 0,1%. Sur l’ensemble de 2012, le déficit commercial américain a diminué de 3,5% à 540,36 milliards de dollars.

 

Etats-Unis : hausse de l’activité dans les services

Etats-Unis : hausse de l’activité dans les services

Hausse des activités de service mais à un rythme légèrement plus lent qu’au mois précédent, montre une enquête publiée mardi. L’indice ISM est ressorti à 55,2 le mois dernier, contre 55,7 en décembre. Le chiffre de janvier est conforme aux attentes des économistes interrogés par Reuters. La barre de 50 distingue la croissance de la contraction de l’activité.  Toutefois, l’on constate quelques signes de faiblesse dans les sous-indices. La composante des contrats nouveaux a reculé, à 54,4 en janvier contre 58,3 le mois précédent et à son plus bas niveau depuis avril 2012.  La composante de l’activité dans les services a également reculé en janvier, à 56,4 contre 60,8 un mois plus tôt et à son plus bas niveau depuis août 2012.  La composante de l’emploi en revanche a progressé à 57,5 le mois dernier, après 55,3 en décembre et à son plus haut niveau depuis février 2006.

 

Marchés : inquiétudes en Europe ou aux Etats-Unis ? Ou les deux

Marchés : inquiétudes en Europe ou aux Etats-Unis ? Ou les deux 

 

L’inquiétude change de continent presque tous les jours ; une fois il s’agit de l’Europe effectivement encalminée dans la récession ; une autre  fois, il s’agit des Etats-Unis aux prises avec le casse-tête des réductions budgétaires et une reprise contradictoire. En fait compte tenu de l’interdépendance des économies, le risque est partout. L’économie mondiale ne pourra repartir de façon significative sans la croissance de l’Europe. De ce point de vue, on a considéré sans doute une peu vite que le vieux continent était sorti de sa crise financière. L’Europe connaît une accalmie, c’est certain  mais la question de la dette est récurrente ; Avec une croissance dans le rouge, les comptes publics sont condamnés à se dégrader en 2013 ; se reposera alors la question de la notation de l’Europe. En outre la zone euro refuse d’entrer dans une guerre des monnaies via une politique monétaire plus accommodante. Dans le même temps Etats –Unis, Japon et Chine ont décidé de jouer sur le taux de change pour retrouver de la compétitivité. En fait la stratégie de l’Europe risque d’être bloquée tant que les élections allemandes ne seront pas passées. Sy ajoutent évidemment les incertitudes politiques en Italie et maintenant en Espagne avec l’affaire Rajoy. Lundi le CAC 40 avait plongé de plus de 3 %. Crédit Photo : Richard Drew/AP Au lendemain d’une séance de fort repli, l’indice phare de la place de Paris retrouve l’équilibre. Les banques restent sous pression. La Bourse de Paris tente de reprendre ses esprits ce matin, après avoir plongé de plus de 3 % lundi. Dans les premiers échanges, le CAC 40 avance symboliquement de 0,03 % à 3660,96 points. Les marchés européens ont lourdement chuté lundi sous l’effet d’un brutal retour de l’aversion au risque motivé notamment par un scandale de corruption qui éclabousse le président du gouvernement espagnol, Mariano Rajoy, et par les incertitudes politiques en Italie à l’approche des élections législatives des 24 et 25 février. Dans la foulée de l’Europe, Wall Street a subi sa plus forte baisse depuis novembre. L’Asie a emboîté le pas mardi avec un recul de 1,90 % pour la Bourse de Tokyo, qui restait sur cinq séances de hausse.

 

Etats-Unis : hausse de l’industrie

Etats-Unis : hausse de l’industrie

Les commandes des industries manufacturières ont augmenté de 1,8% par rapport au mois précédent, en données corrigées des variations saisonnières, mais restent inférieures à la prévision médiane des analystes qui tablaient sur une hausse de 2,4%. Il s’agit de la plus forte hausse enregistrée depuis septembre, précise le ministère qui a par ailleurs révisé à la baisse ses chiffres de novembre. Les commandes à l’industrie ont reculé de 0,3% ce mois-là alors que la première estimation annonçait une stabilisation de l’indicateur. La hausse de décembre a principalement été tirée par les commandes passées à l’industrie des transports qui ont bondi de 11,7% en un mois. Exception faite de ce secteur, soumis à de fortes fluctuations liées notamment aux ventes d’avions, l’indicateur n’a augmenté que de 0,2% en décembre. Hors transports, la hausse a été notamment tirée par les commandes passées à l’industrie informatique (+4,1%) mais elle a été ralentie par une baisse des commandes dans le domaine des machines-outils (-1,1%). En glissement annuel, indiquent les chiffres du gouvernement, les commandes aux industries manufacturière ont augmenté de 3,0% sur l’ensemble de l’année 2012.

 

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Etats-Unis : légère amélioration de l’emploi privé

Etats-Unis : légère amélioration de l’emploi privé

Le département du Travail a annoncé vendredi avoir recensé 157.000 créations de postes le mois dernier et les statistiques révisées des deux mois précédents montrent 127.000 créations de plus qu’annoncé jusqu’à présent. Le taux de chômage a cependant augmenté à 7,9% contre 7,8% en décembre. Ces chiffres suivis de très près font également ressortir une augmentation du salaire horaire et une croissance soutenue des effectifs dans la construction et la distribution. Wall Street a ouvert en nette hausse une heure après leur publication, une progression également favorisée par d’autres indicateurs économiques jugés encourageants, sur l’activité industrielle et le moral des ménages. L’indice Dow Jones a même franchi la barre symbolique des 14.000 points pour la première fois depuis octobre 2007. Deux jours après l’annonce d’une baisse surprise du produit intérieur brut (PIB) des Etats-Unis au quatrième trimestre, ces chiffres sont de nature à apaiser les craintes d’une rechute en récession. Le PIB américain s’est contracté de 0,1% en rythme annualisé sur la période octobre-décembre selon la première estimation publiée mercredi, principalement en raison d’un net ralentissement du mouvement de reconstitution des stocks des entreprises et d’une chute des dépenses militaires.  

 

 

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Etats-Unis: report du plafond de la dette

Etats-Unis: report du plafond de la dette

Le plafond de a dette pourra être dépassé au moins pour queues mois. Le Congrès américain a en effet définitivement approuvé jeudi le report jusqu’en mai de l’échéance du plafond de la dette, donnant plus de trois mois aux démocrates et républicains pour s’entendre sur le budget et éviter une nouvelle crise. Le Sénat a approuvé par 64 voix contre 34 un texte, déjà voté par la Chambre la semaine dernière, autorisant le gouvernement à dépasser la limite légale du plafond de la dette jusqu’au 18 mai et repoussant d’autant la menace d’un défaut de paiement.  Ce plafond d’environ 16.400 milliards de dollars a été atteint le 31 décembre, et le Trésor disait qu’il ne disposait que de quelques semaines de marge de manoeuvre, jusqu’à fin-février ou début mars, avant d’être forcé à faire défaut sur ses obligations.  Le conflit faisait courir aux Etats-Unis le risque d’une dégradation de leur note de crédit, comme en août 2011, quand l’agence de notation Standard and Poor’s a fait perdre à Washington son « AAA ».  Démocrates et républicains vont employer les quelque trois mois devant eux à forger un accord sur le budget de 2013 et les années suivantes. La partie impôts a été réglée le 1er janvier, lors des négociations sur le « mur budgétaire » qui s’étaient achevées au petit matin.  Mais la question des dépenses et du déficit continue de diviser Washington. Les républicains, déjà frustrés de l’accord du mur budgétaire, exigent de profondes coupes budgétaires, notamment dans les mammouths que représentent la retraite (« Social Security ») et les assurances santé pour les plus de 65 ans (« Medicare ») ou les plus pauvres (« Medicaid »).  Pour forcer leurs collègues du Sénat à accélérer les débats, les républicains de la Chambre ont introduit une clause dans la loi: les salaires des sénateurs seront retenus à partir du 15 avril et jusqu’à ce que les sénateurs votent un budget pour l’exercice fiscal 2014.

 

 

 

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Etats-Unis: hausse du chômage

Etats-Unis: hausse du chômage

Les nouvelles inscriptions au chômage sont reparties à la hausse la semaine dernière aux Etats-Unis après être retombées à leur plus bas depuis cinq ans, selon des chiffres publiés aujourd’hui par le département du Travail. Le ministère a recensé le dépôt de 368.000 demandes d’allocations de chômage dans le pays pendant la semaine achevée le 26 janvier, soit 11,5% de plus que la semaine précédente, une hausse supérieure aux attentes des analystes dont la prévision médiane donnait cet indicateur à 345.000 nouveaux chômeurs.

 

 

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Etats-Unis: l’inflation seulement à 1,3% en décembre sur un an

Etats-Unis: l’inflation seulement  à 1,3% en décembre sur un an

Signe du tassement économique, l’inflation a légèrement ralenti aux Etats-Unis en décembre, où elle a atteint 1,3% sur un an, selon l’indice des prix associés aux dépenses de consommation des ménages (PCE) publié jeudi par le département du Commerce vendredi à Washington.  La hausse des prix, qui avait atteint 1,4% en novembre, reste inférieure à l’objectif de la banque centrale des Etats-Unis (Fed), qui souhaite une inflation de 2,0% sur un an à moyen terme.  Hors alimentation et énergie, l’inflation dite sous-jacente a elle aussi ralenti à 1,4% en décembre, après avoir atteint 1,5% le mois précédent, selon les chiffres du gouvernement.  Par rapport au mois précédent, indique le ministère, les prix sont restés stables après avoir reculé le mois précédent (-0,2%) pour la première fois en six mois.  Sur un mois, l’inflation sous-jacente a elle aussi été nulle, alors que la prévision médiane des analystes tablait sur une légère hausse de 0,1%.  L’indice PCE sert de référence à la Fed pour la conduite de la politique monétaire américaine.

 

 

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Croissance États-Unis : chute surprise

Croissance États-Unis : chute surprise

Deux nouvelles très contradictoires, la légère amélioration de l’emploi privé en janvier et la chute de la croissance aux Etats-Unis fin 2012. La première estimation du Département du commerce, l’économie américaine s’est contractée au rythme annuel de 0,1% durant le quatrième trimestre 2012. Les experts avaient anticipé un ralentissement par rapport au rythme d’expansion de 3,1% au cours de l’été. On tablait sur un taux de croissance de l’ordre de 1%. Personne n’avait prévu que l’activité afficherait sa plus mauvaise performance depuis le deuxième trimestre 2009. Il est cependant possible que la seconde estimation de la performance économique des États-Unis, attendue le 28 février, reflète une tendance plus favorable. Le chiffre publié ce mercredi est souvent de mauvaise qualité, car il repose sur des données partielles. Les estimations des variations de stocks sont fréquemment changées. Or le ralentissement dans le stockage des entreprises joue un rôle majeur dans la contraction inattendue révélée ce mercredi. Si l’on ne tient pas compte des stocks, la croissance atteint 1,1% en rythme annuel. Deux autres composantes expliquent la tendance décevante. Il s’agit d’une part des exportations qui se contractent de 5,7%. Le ralentissement inquiétant en Europe est certainement en partie responsable de ce revers. D’autre part, les dépenses publiques plongent au rythme de 6,6% d’octobre à décembre, sous l’effet d’un effondrement de 22,2% des dépenses militaires. Au delà de ces handicaps, trois locomotives traditionnelles de la croissance américaine accélèrent leur allure. La consommation, qui représente les deux tiers du produit intérieur brut (PIB) des États-Unis, grimpe au rythme de 2,2% contre 1,6% au troisième trimestre. De plus, l’investissement, qui avait reculé pour la première fois depuis un an et demi durant l’été, est reparti de l’avant au rythme de 8,4%. Enfin, la construction résidentielle, énorme handicap depuis 2007, confirme son redémarrage avec un gain de 15,3%. Si ces trois moteurs continuent de tourner à ce rythme, les entreprises reconstitueront leurs stocks dans les prochains mois, ce qui est porteur de bonnes nouvelles pour l’année 2013. Pour autant la croissance, dès le premier trimestre 2013, sera affectée par les hausses d’impôts décidées début janvier. La majorité des salariés américains ont constaté mi-janvier une réduction de leur pouvoir d’achat car leurs impôts sont automatiquement retenus à la source. Le phénomène a provoqué une nette rechute de la confiance en janvier, au plus bas depuis novembre 2011. Diificile donc de comprendre pourquoi l’emploi privé s’est amélioré en janvier !

 

 

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Etats-Unis: légère hausse emplois en janvier

Etats-Unis: légère hausse emplois  en janvier

 

Les entreprises privées ont continué à embaucher aux Etats-Unis en janvier, selon l’enquête mensuelle sur l’emploi publiée mercredi par la société de services informatiques ADP.  Les entreprises privées ont créé ce mois-là 192.000 emplois de plus qu’elles n’en détruisaient dans le pays, en données corrigées des variations saisonnières, indique ADP dans un communiqué. Ce chiffre, qui correspond aux créations nettes d’emplois les plus fortes en onze mois, est nettement supérieur à la prévision médiane des analystes qui donnait un solde de 175.000 emplois créés pour janvier.  Mais il ne montre une amélioration par rapport au mois précédent que parce que les chiffres de décembre ont été corrigés à la baisse, passant de 215.000 emplois créés à 185.000 seulement.   »Le marché de l’emploi s’améliore lentement mais sûrement », écrivent les auteurs de l’enquête. « Les gains mensuels s’accélèrent apparemment, passant de 150.000 en moyenne à 175.000. »

 

 

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Etats-Unis: même politique de la FED tant que le chômage ne baissera pas

Etats-Unis: même politique de la FED tant que le chômage ne baissera pas

La Fed avait frappé un grand coup au mois de décembre, et les économistes estiment dans l’ensemble que la banque centrale devrait laisser au public le temps de digérer ses dernières annonces et donc ne rien changer au cap actuel de sa politique monétaire.  La banque centrale avait décidé le 12 décembre de racheter sur les marchés des titres adossés à des créances immobilières et des obligations d’Etat américaines pour un montant total de 85 milliards de dollars par mois jusqu’à nouvel ordre, et en liant l’évolution de son taux directeur, quasi nul depuis quatre ans, à celle du chômage.  Le FOMC avait précisé que ces achats exceptionnels continueraient « tant que la perspective du marché du travail ne s’améliorerait pas nettement » et que le taux directeur de la Fed resterait entre 0 et 0,25% tant que le taux de chômage officiel resterait au-dessus de 6,5%, que les perspectives d’inflation à moyen terme ne dévieraient pas de plus d’un demi point au-dessus de l’objectif de la Fed (2,0%) et que les attentes d’inflation à long terme resteraient stables.  En un mois et demi, la situation économique des Etats-Unis n’a guère changé. Le taux de chômage officiel est resté en décembre à son niveau de novembre (7,8%), et la première estimation gouvernementale du produit intérieur brut d’automne devrait confirmer mercredi matin que la croissance économique américaine a nettement ralenti au quatrième trimestre.

 

 

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Etats-Unis: Baisse des ventes de logements

Etats-Unis: Baisse des ventes de logements

 

Les surprises s’accumulent aux Etats-Unis ces dernières semaines. Cette fois, ce sont les promesses de vente de logements qui ont chuté  en décembre après trois mois de hausse, selon des chiffres publiés lundi par l’Association nationale des agents immobiliers américaine (NAR). Elles ont dégringolé de 4,3% par rapport au mois précédent, en données corrigées des variations saisonnières et en rythme annualisé, a indiqué l’Association dans un communiqué, alors que la prévision médiane des analystes prévoyait une stagnation de cet indicateur.

 

 

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