Archive pour le Tag 'Etats-Unis'

Page 57 sur 69

Nouvelle menace du fou de Corée du Nord contre les Etats-Unis

Nouvelle menace du fou de  Corée du Nord contre les Etats-Unis

Le feuilleton concernant le film qui ridiculise le dictateur fou de Corée du Nord continue. Après le piratage de Sony et les menaces de représailles contre Kim Jong-Un, la Corée se dit prête à attaquer les Etats-Unis sur tous les terrains Sans doute une menace une nouvelle fois ridicule car la Corée du Nord sait qu’elle doit baisser la garde pour bénéficier des plans d’aide alimentaires pour un peuple complètement affamé.  La Commission nationale de défense nord-coréenne (NDC) a une nouvelle fois démenti avoir quoi que ce soit à voir avec ce piratage, qui a conduit la société à annuler la sortie prévue pour Noël de L’interview qui tue !, comédie parodique sur un complot fictif de la CIA en vue d’assassiner le leader nord-coréen Kim Jong-Un. Le président américain Barack Obama avait déclaré vendredi que la Corée du Nord était bien à la manœuvre.  « Nous répondrons d’une manière proportionnelle, au moment, à l’endroit et de la manière que nous choisirons », a-t-il annoncé. La NDC, citée par l’agence de presse officielle nord-coréenne, a déclaré que l’armée et le peuple de Corée du Nord étaient « tout à fait prêts à une confrontation avec les Etats-Unis, dans tous les espaces de conflit, y compris dans les espaces de cyber-guerre afin de faire exploser ces citadelles ». « Notre contre-attaque la plus dure sera menée hardiment contre la Maison Blanche, le Pentagone et le continent américain, la fosse d’aisance du terrorisme, et dépassera de loin la ‘contre-attaque symétrique’ annoncée par Obama », a-t-elle indiqué. La Corée du Nord qui a par le passé déjà proféré des menaces à l’encontre des Etats-Unis, a accusé le gouvernement Obama d’être « profondément impliqué » dans la réalisation de ce film. Elle a, une nouvelle fois, fait l’éloge de l’« action justifiée » de piratage qui a été revendiquée par le GOP (Guardians of peace), mais a déclaré ne pas savoir où ce groupe était basé. Le FBI a imputé l’attaque du 24 novembre à la Corée du Nord, la comparant à de précédentes agressions directement attribuées à Pyongyang. Pyongyang a répondu dimanche que « les méthodes pour mener des cyberattaques étaient les mêmes partout, et qu’il relevait du simple bon sens que de le reconnaître ».

 

Etats-Unis : emploi en hausse mais risque sur les taux

Etats-Unis : emploi en hausse mais risque sur les taux

L’amélioration significative de l’emploi en juillet constitue une bonne nouvelle pour l’économie américaine. Cette bonne nouvelle est toutefois compensée par la menace d’un relèvement des taux. Des taux toujours un niveau historiquement bas depuis 2008 mais que la réserve fédérale américaine avait promis de relever dès que l’amélioration de l’emploi présenterait un caractère durable. Ce relèvement pourrait se produire un septembre si l’amélioration de l’emploi se confirme en août. Au plus tard la hausse des taux s’effectuera vraisemblablement au début de l’année 2016. Ce ne serait pas forcément une très bonne nouvelle pour l’Europe car ce relèvement de taux serait contagieux notamment pour l’Europe.  l’Europe est actuellement engluée dans la croissance molle et supporterait mal une hausse des taux qui viendrait peser sur la compétitivité et qui aggraverait les déficits publics et l’endettement. L’économie américaine, elle,  se rassure. Le nombre d’embauches réalisées hors secteur agricole au mois de juillet s’est établi à 215.000, selon les chiffres du Département du travail américain. Le taux de chômage s’est quant à lui maintenu à 5,3%, son niveau le plus bas depuis 7 ans. Le Département précise qu’une accélération des embauches dans la construction et l’industrie a compensé un nouveau recul dans les mines. Les chiffres de l’emploi en mai et juin ont également été revus à la hausse. Au total ce sont 14.000 emplois supplémentaires qui ont été créés sur la période. Le temps de travail hebdomadaire a aussi augmenté en juillet : à 34,6 heures, il est au plus haut depuis le mois de février. Ces chiffres donnent de la force aux tenants d’une hausse des taux d’intérêts dès le mois de septembre. La Réserve Fédérale américaine hésite encore sur meilleur timing à adopter pour resserrer sa politique monétaire. Son taux directeur est à un plus bas historique (0,25%) depuis décembre 2008. A Wall Street, le marché des futures accélérait ses pertes à -0,2% après cette nouvelle. Le dollar reprenait toutefois de la vigueur. La devise américaine grimpait de 0,4% face à un panier de devises mondiales, à son plus haut niveau depuis 4 mois.

Croissance Etats Unis : ralentissement de l’emploi

Croissance Etats Unis : ralentissement de l’emploi

 

Il y a bien un ralentissement de la croissance aux Etats Unis , ce que démontre les chiffres de l’emploi.  Le nombre de créations d’emploi dans le secteur non-agricole est revenu à 223.000 en juin, selon les chiffres publiés jeudi par le département du Travail, alors que les économistes interrogés par Reuters en attendaient 230.000. Les statistiques d’avril et de mai ont été révisées à la baisse pour montrer que les créations d’emploi avaient été inférieures de 60.000 au total sur ces deux mois par rapport aux premières estimations. Par ailleurs, 423.000 personnes ayant quitté le marché du travail le mois dernier, le taux de chômage a baissé de 0,2 point à 5,3%, son plus bas niveau depuis avril 2008. Le taux de participation de la main d’œuvre, soit la part des Américains en âge de travailler occupant ou cherchant un emploi, est tombé à 62,6%. Il n’avait jamais été aussi faible depuis octobre 1977.Le salaire horaire moyen est lui resté inchangé par rapport à mai, ce qui limite sa hausse sur un an à 2,0%. Le dollar a cédé du terrain, les rendements obligataires ont reflué et Wall Street a ouvert en légère hausse après la publication de cet indicateur, les investisseurs y lisant la promesse de bénéficier plus longtemps de conditions de crédit avantageuses. Les inscriptions au chômage ont par ailleurs augmenté aux Etats-Unis la semaine dernière, à 281.000 contre 271.000 la semaine précédente, montre une autre statistique également publiée jeudi par le département du Travail. Ces chiffres sont eux aussi moins bons que prévu mais il s’agit tout de même de la 17e semaine consécutive au cours de laquelle les inscriptions hebdomadaires au chômage sont inférieures à 300.000, seuil généralement associé à une amélioration du marché du travail. Le tableau n’est donc pas si noir, fait valoir Wilmer Stith, gérant de portefeuille d’obligations chez Wilmington Trust. « Peut-être que la Fed gagne un peu de temps avant un premier relèvement des taux. Cela remet un peu septembre en question mais nous pensons toujours qu’ils (les taux) bougeront en septembre », dit-il. Les avis divergent cependant, certains analystes estimant que les indicateurs des prochains mois seront décisifs. « Si on continue à avoir de tels chiffres de l’emploi en juillet et en août, la Fed ne bougera pas en septembre », dit Mark Zandi, économiste de Moody’s Analysts. « S’ils (les responsables de la Fed) ne voient pas de hausse des salaires, ils pourraient attendre jusqu’à l’année prochaine. »  Les taux d’intérêt aux Etats-Unis sont à des plus bas historiques et n’ont plus été relevés depuis 2006. La présidente de la Fed, Janet Yellen, a estimé ce mois-ci que les conditions d’un relèvement n’étaient pas encore réunies.

Etats-Unis : confiance en hausse

Etats-Unis : confiance en hausse

La confiance ( comme les autres indicateurs au plan mondial) fait du yo-yo et remonte en juin au Etats-Unis. La confiance du consommateur américain s’est en effet renforcée nettement plus que prévu en juin, soutenue par l’amélioration des conditions sur le marché de l’emploi, montre l’enquête de l’organisation patronale Conference Board publiée mardi. L’indice de confiance ressort sur le mois en cours à 101,4 après 94,6 (chiffre révisé) en mai. Les économistes interrogés par Reuters l’attendaient en moyenne à 97,3. L’indice de mai a été révisé en baisse après avoir été initialement annoncé à 95,4. Le sous-indice de la situation actuelle a également progressé, à 111,6 contre 107,1 (révisé) en mai. Celui mesurant les anticipations est lui en hausse, à 94,6 contre 86,2 (révisé) en mai. L’indice mesurant la difficulté d’obtenir un emploi recule à 25,7 après 27,2 (révisé) le mois précédent. Les anticipations d’inflation à un an donnent un taux de 5,1% après 5,0% en mai.

 

Les Etats-Unis ont mis sur écoute Chirac, Sarkozy et Hollande……. que des banalités

Les Etats-Unis ont mis sur écoute Chirac, Sarkozy et Hollande……. que des banalités

 

Sur le principe les écoutes par les Etats-Unis de nos responsables est condamnable. Ceci étant tout le monde écoute tout le monde , tout le monde espionne tout le monde et la France ne s’en prive pas. Si le président des Etats unis n’a pas été écouté c’est que nous n’avions pas encore les moyens. Enfin il fauta bien admettre que les révélations de WikiLeaks ne contiennent rien de fracassant, en fait surtout  des banalités ;  exemples  :Sarkozy qui se croit le sauveur de la crise financière mondiale, les gesticulations françaises dans le conflit israélo-palestinien , les inquiétudes concernant la Grèce. Autant de secrets qu’on aurait pu entendre dans n’importe quel café du commerce. Les présidents français Jacques Chirac, Nicolas Sarkozy et François Hollande, ainsi que leurs conseillers et collaborateurs ont donc été écoutés par le renseignement américain de 2006 à 2012, rapportent mardi Libération et Médiapart, citant des documents de WikiLeaks. ( en fait ils le sont sans doute toujours en tout cas Sarkozy et Hollande).  WikiLeaks diffuse, avec les deux médias français, une série de documents regroupés sous le nom « Espionnage Elysée » qui rendent compte des écoutes téléphoniques menées par la NSA (National Security Agency) jusqu’au sommet de l’Etat français. Sur le fond, si aucun secret d’Etat n’est effectivement révélé pour l’heure à en croire les transcriptions disponibles sur le site dédié (wikileaks.org/nsa-france), il met au jour quelques décisions ou appréciations inconnues du public. La note datée du 22 mai 2012 fait état de réunions secrètes à Paris, approuvées par François Hollande, pour étudier, déjà, les conséquences d’une potentielle sortie de la Grèce de la zone euro. « Le 18 mai, Hollande demande au Premier ministre Ayrault d’organiser une réunion à l’Elysée pour la semaine suivante. Hollande, Ayrault et les ‘ministres appropriés’ participeront et une attention particulière sera portée aux conséquences pour l’économie française en général et les banques françaises en particulier », dit la note. Le même mémo souligne que François Hollande tient au secret de la réunion de peur, selon un commentaire, d’ »aggraver la crise », et se montre généralement très inquiet de l’avenir de la Grèce sur laquelle, est-il écrit, il estime que la chancelière allemande Angela Merkel a « abandonné ». Une autre note montre que Nicolas Sarkozy a déploré, en mars 2010, le recul américain sur un accord de coopération bilatéral en matière de renseignement, selon des propos échangés entre Jean-David Levitte et Pierre Vimont, alors ambassadeur de France aux Etats-Unis.   »Comme Vimont et Levitte le comprennent, le principal obstacle est le désir des Etats-Unis à continuer d’espionner la France », est-il écrit dans la note. Un troisième document témoigne d’une discussion entre Nicolas Sarkozy et Alain Juppé, alors ministre des Affaires étrangères, sur les moyens de relancer le processus de paix au Proche-Orient. Ils y évoquent une possible initiative commune avec le président russe d’alors, Dmitri Medvedev. Un quatrième, de 2008, dit que Nicolas Sarkozy se considère comme « le seul » dirigeant à pouvoir régler la crise financière qu’il impute en grande partie à des erreurs américaines. La cinquième et dernière note décrit des manoeuvres de Jacques Chirac pour obtenir un rang de numéro deux à l’Onu pour Philippe Douste-Blazy.

 

Croissance Etats-Unis : recul de la production industrielle

Croissance Etats-Unis : recul de la production industrielle

La production industrielle a reculé de 0,2% en mai après une baisse de 0,5%, chiffre révisé, en avril, a annoncé lundi la Réserve fédérale. Les économistes interrogés par Reuters s’attendaient à une progression de 0,2% après le recul de 0,3% initialement annoncé pour avril. La production manufacturière a diminué de 0,2% et la production minière de 0,3%. La vigueur du dollar pèse sur les bénéfices des entreprises tournées vers l’étranger tandis que les forages d’hydrocarbures se sont contractés de 7,9% en mai, conséquence de l’effondrement des cours du pétrole depuis juin 2014. Le taux d’utilisation des capacités industrielles a reculé à 78,1% en mai après 78,3% en avril.

Croissance : recul aux Etats-Unis

Croissance : recul aux Etats-Unis

 

Très mauvais signe pour la croissance internationale avec la confirmation du recul du PIB des Etats Unis au premier trimestre (qui vient après la baisse de l’industrie en Chine ou encore les 0.3% seulement de croissance en Allemagne).De quoi en tout cas faire douter la FED sur la nécessité de remonter trop rapidement les taux, peut-être pas en septembre ni même d’ici la fin de l’année ( ce qui par parenthèse serait aussi uen bonne nouvelle pour l’Europe). De quoi aus si encourager les prises de bénéfices dans les semaines à venir pour les boursiers ! .  Au premier trimestre, le produit intérieur brut (PIB) américain a reculé de 0,7%, en rythme annualisé et en données corrigées des variations saisonnières.  D’un trimestre sur l’autre, par rapport au dernier trimestre de 2014 -présentation européenne-, le PIB a donc reculé de près de 0,2%. Les exportations ont lourdement chuté (-7,6% en rythme annuel), alors qu’elles s’inscrivaient en hausse au cours des trimestres précédents. Des grèves dans les ports ont pu contribuer à cette contre-performance, d’ailleurs souvent enregistrée au premier trimestre de chaque année. Mais la hausse du dollar a au aussi un impact. Toute la question est de savoir comment va évoluer la conjoncture américaine. Les optimistes soulignent que, déjà, le premier trimestre de 2014 avait été particulièrement faible. Il pourrait y avoir un artefact statistique. Ils soulignent les « bons » chiffres économiques récents (commandes de biens durables, ventes de logements neufs, confiance des consommateurs en hausse), concernant la mois d’avril, qui trancheraient avec ceux du premier trimestre. Les pessimistes mettent au contraire en avant la faiblesse de moteurs de la croissance américaine. La croissance sera sans doute plus faible que prévu en début d’année, disent-ils. Cette faiblesse est liée à plusieurs facteurs: hausse du dollar, impact de la baisse des cours pétroliers sur l’industrie du gaz de schiste… Cette faiblesse sera-t-elle durable? Comme le souligne l’économiste Philippe Waechter (Natixis AM), nul le sait, pas même les membres du comité de politique monétaire de la Fed, qui, selon les dernières minutes publiées, s’interrogent sur la solidité de la reprise américaine.

 

Croissance Japon- : ralentissement comme la Chine et les Etats-Unis

Croissance Japon- :  ralentissement comme la Chine et les Etats-Unis

 

Ça se tasse sérieusement pours les exportations japonaise. Normal avec le coup de mou de la croissance tant en Chine, qu’aux Etats Unis et bien sûr en Europe ( en Allemagne en particulier). Preuve que la crise est loin d’être terminée au plan international. Que la politique de l’offre prioritaire partout a montré ses limites et que sans parallèlement une politique de la demande, la reprise mondiale est vouée à l’échec.   Les exportations ont augmenté de 8,0% par rapport à avril 2014, alors que les économistes interrogés par Reuters anticipaient une progression de 6,4%, après une hausse de 8,5% en mars, suivant les données publiées lundi par le ministère des Finances. Par rapport à mars 2015, les exportations ont fléchi de 1,5%. « Les chiffres ne sont pas aussi mauvais qu’on le pensait mais les exportations vers la Chine et l’Asie se sont révélées faibles, ce qui est préoccupant pour les perspectives de demande externe du Japon », commente Hidenobu Tokuda, économiste de l’institut d’études Mizuho. Les exportations vers la Chine, premier partenaire commercial du Japon, ont augmenté de 2,4% après +3,9% en mars. Les exportations de voitures en particulier ont diminué de moitié sur une période de 12 mois à fin avril. La balance commerciale a dégagé un déficit de 53,4 milliards de yens (400 millions d’euros), bien inférieur à l’estimation médiane donnant un déficit de 318,9 milliards de yens. Le Japon avait enregistré en mars son premier excédent commercial en près de trois ans. Le PIB du premier trimestre a donné une croissance des exportations de 2,4% contre 3,2% au dernier trimestre 2014, ralentissement témoin là encore du coup de frein à la croissance des Etats-Unis et de la Chine. La demande extérieure avait retranché 0,2 point à la croissance du premier trimestre.

 

Etats-Unis : nouveaux taux… ..pas trop tôt !

Etats-Unis : nouveaux taux… ..pas trop tôt !

 

Comme il fallait s’y attendre les marchés après s’être naïvement satisfaits des propos de la présidente de la FED à propos de la remontée des taux s’interrogent désormais. Ils avaient été  rassurés, ils ne le sosnt plus et se demandent  si la remontée n’aura pas lieu dans les mois qui viennent ( vers septembre). En fait la président de la FED n’en sait strictement rien c’est pourquoi ses propos étaient aussi ambigus car la situation internationale se caractérise par une  grande fragilité économique ( avec notamment de forts mouvements de yo-yo). Une  remontée des taux, une  réévaluation du dollar seraient dangereuses pour l’économie américaine. Il est plus vraisemblable que cette remontée des taux n’aura pas lieu en 2015.. Le présidente de la Fed Janet Yellen a dit vendredi qu’il y aurait sans doute un relèvement des taux d’intérêt cette année, la banque centrale amorçant ainsi un cycle de durcissement monétaire par étapes avec une première hausse des taux dépendant du panorama économique révélé par les statistiques.  La plupart des économistes voient une remontée des taux en septembre, et ce n’est pas le discours de Yellen qui risque de les détromper, mais les traders des marchés de futures s’en tiennent eux à décembre au vu d’indicateurs économiques mitigés ces derniers temps. « A mon avis, le message est celui-ci: ‘Si les choses restent en l’état encore quelques mois, les taux seront remontés’; c’est sans doute la manière correcte de voir les choses », observe Stephen Massocca (Wedbush Equity Management).problème c’est que les choses risuent de ne pas rester en l’état au plan international !

S’attaquer au fric de l’Etat islamique ( Etats-Unis)

S’attaquer au fric de l’Etat islamique ( Etats-Unis)

Une opération terrestre menée par les américains traduit clairement la volonté de s’attaquer aux réseaux financier de l’Etat islamique.  Les Etats-Unis ont en effet annoncé samedi une intervention au sol des forces spéciales américaines en Syrie et la mort d’un haut-responsable de Daech, Abou Sayyaf. Il s’agit de la première opération connue des forces spéciales américaines sur le territoire syrien, en dehors de la tentative manquée, l’an dernier, de délivrer des otages détenus par le groupe terroriste dans le nord-est du pays. La cible visée par les Américains semble correspondre à la volonté de s’attaquer au « nerf de la guerre », autrement dit à son financement.  Selon le secrétaire américain à la Défense Ashton Carter, Abou Sayyaf était impliqué dans les opérations militaires de l’organisation mais codirigeait aussi ses « opérations illicites dans les domaines pétrolier, gazier et financier », a-t-il déclaré. Les Américains ont visé un « logisticien financier » du groupe djihadiste, explique Frédéric Encel, spécialiste de géopolitique. « Dans l’organigramme de Daech, Abou Sayyaf est l’un des grands logisticiens financiers. Donc là, les Américains ont décidé de frapper au portefeuille. C’est ce qu’ils avaient commencé avec les bombardements de début aout 2014. Simplement les cibles étaient plutôt militaires, des hommes ou des matériels, liés aux avancées stratégiques de Daech. Là, il semble que la nouvelle tactique américaine soit de frapper à la source des financements. »

Croissance Etats-Unis : en baisse

Croissance Etats-Unis :  baisse et yo-yo

Une croissance toujours dynamique mais en baisse pour le second trimestre. Les économistes ont en effet revu en baisse leurs prévisions de croissance aux Etats-Unis pour le deuxième trimestre et l’ensemble de l’année, montre vendredi une étude de la Réserve fédérale de Philadelphie.  Ils tablent désormais en moyenne sur une croissance de 2,5% en rythme annualisé au deuxième trimestre, soit un demi-point de moins que dans l’enquête équivalente de février.  La Fed de Philadelphie, qui a interrogé 44 économistes, précise que la croissance du troisième trimestre est désormais attendue à 3,1%, toujours en rythme annualisé, contre 2,8% il y a trois mois, et que celle de l’ensemble de 2015 est prévue à 2,4% contre 3,2% en février. Elle ajoute que les économistes interrogés s’attendent à voir ralentir les créations d’emploi à 195.300 par mois en moyenne au deuxième trimestre contre 233.800 dans l’édition précédente de l’enquête. Au troisième trimestre, le marché du travail devrait créer 223.300 postes par mois, contre 222.000 attendus en février. Le taux de chômage devrait ainsi tomber à 5,4% fin juin et 5,3% fin septembre. bien que dynamique la croissance aux Etats-unis fait du yo-yo. Il y a d’abord des baisses surprise  de l’industrie. Alors que les intervenants de marché avaient été agréablement surpris jeudi par une baisse plus marquée que prévu des inscriptions au chômage aux Etats-Unis, ils ont dû digérer en séance l’annonce d’un cinquième mois consécutif de diminution de la production industrielle et celle d’une chute inattendue de la confiance du consommateur américain. La croissance du secteur manufacturier a ralenti en avril aux Etats-Unis, selon une étude auprès des directeurs d’achat publiée i par l’institut Markit. L’indice PMI manufacturier de Markit s’est établi à 54,1 en avril en version définitive après 55,7 en mars. Il était de 54,2 en première estimation. Au-dessus de 50, il témoigne d’une croissance de l’activité. L’indice du mois d’avril est le plus faible depuis le début de l’année et « les résultats de l’étude soulèvent des inquiétudes sur le fait que l’appréciation du dollar nuit à l’économie », a commenté Chris Williamson, économiste en chef de Markit. Le sous-indice de la production a reculé à 55,3 contre 58,8 en mars. Il en va de même pour les nouvelles commandes, dont le sous-indice est passé de 57,2 en mars à 55,3 le mois dernier. La croissance de l’emploi a ralenti en mars mais progressé en avril!

Etats-Unis : rebond de l’emploi en avril

Etats-Unis : rebond de l’emploi en avril

L’économie mondiale continue de faire du yo-yo ; alors qu’en C hine les exportations baissent de plus de 6%, aux Etats Unis l’emploi progresse fortement .  Le nombre de créations d’emploi dans le secteur non-agricole s’est élevé à 223.000 le mois dernier après 85.000 en mars aux Etats-Unis, chiffre révisé à la baisse, selon les données publiés vendredi par le département du Travail. Le taux de chômage a baissé pour sa part de 0,1 point de pourcentage à 5,4%, son plus bas niveau depuis mai 2008. Les économistes interrogés par Reuters avaient prédit pour le mois d’avril 224.000 créations d’emploi et un taux de chômage à 5,4%. Les futures sur indices new-yorkais ont accentué leurs gains à l’annonce de cet indicateur très attendu par les marchés, qui est traditionnellement publié une heure avant l’ouverture de Wall Street. La Bourse de New York a ensuite ouvert en hausse de 0,62%. Les trois indices de référence ont rapidement accentué leur progression et vers 14h00 GMT, le Dow Jones, le S&P-500 et le Nasdaq gagnaient tous plus de 1%. Déjà orientées à la hausse en raison notamment de la clarté inattendue de la victoire des conservateurs aux élections législatives britanniques, les Bourses européennes ont également accentué leurs gains avec plus de 2% de hausse pour le CAC 40 parisien. Après la publication des chiffres de l’emploi, le dollar a par ailleurs effacé ses pertes pour progresser face à un panier de devises de référence et les prix des Treasuries ont augmenté.

Etats-Unis : croissance de l’industrie ralentie

Etats-Unis :  croissance de l’industrie ralentie

La croissance du secteur manufacturier a ralenti en avril aux Etats-Unis, selon une étude auprès des directeurs d’achat publiée vendredi par l’institut Markit. L’indice PMI manufacturier de Markit s’est établi à 54,1 en avril en version définitive après 55,7 en mars. Il était de 54,2 en première estimation. Au-dessus de 50, il témoigne d’une croissance de l’activité. L’indice du mois d’avril est le plus faible depuis le début de l’année et « les résultats de l’étude soulèvent des inquiétudes sur le fait que l’appréciation du dollar nuit à l’économie », a commenté Chris Williamson, économiste en chef de Markit. Le sous-indice de la production a reculé à 55,3 contre 58,8 en mars. Il en va de même pour les nouvelles commandes, dont le sous-indice est passé de 57,2 en mars à 55,3 le mois dernier. La croissance de l’emploi a aussi ralenti, précise Markit.

 

Croissance –Etats-Unis : moral des ménages américains en hausse

Croissance –Etats-Unis : moral des ménages américains en hausse

Hausse mais moins forte qu’attendu sans doute la conséquence de chiffres de l’emploi eux aussi mois dynamiques que prévus comme la production manufacturière. La confiance du consommateur américain s’est cependant améliorée en avril mais un peu moins que prévu, montre l’enquête mensuelle de l’université du Michigan publiée vendredi. L’indice définitif de l’université du Michigan s’est élevé à 95,9  le mois dernier, confirmant une première estimation, après avait estimé  que la croissance économique des Etats-Unis, si elle a ralenti au début de l’année, devrait afficher un taux de 2,7% en 2015. , M. Lew a reconnu que la croissance américaine avait ralenti au début de l’année, « en partie à cause de facteurs temporaires comme l’hiver rigoureux ». « Les perspectives à court terme demeurent favorables », a-t-il ajouté, citant une prévision de croissance de 2,7% pour l’ensemble de l’année, ce qui est en dessous de la récente projection du Fonds Monétaire International (3,1%). Le responsable américain a déploré une nouvelle fois que « de nombreux pays comptaient sur leurs exportations plutôt que sur leur demande intérieure pour atteindre la croissance ». Il a particulièrement cité l’Allemagne qui devrait afficher, selon lui, un excédent des comptes courants de 8,5% du Produit intérieur brut (PIB) cette année. Mais il a aussi désigné la Corée du Sud, la Chine et le Japon.

Etats-Unis : hausse de ventes automobiles

Etats-Unis : hausse de ventes automobiles

Les ventes d’automobiles pourraient annoncer une croissance plus forte au second trimestre. En effet General Motors et Ford ont tous deux fait état vendredi de ventes automobiles supérieures aux prévisions en avril aux Etats-Unis, ce qui permet au secteur d’espérer connaître sa meilleure année depuis près de 10 ans et donne à penser que le ralentissement de la croissance américaine au premier trimestre relève essentiellement de facteurs conjoncturels. Les ventes de GM ont progressé de 6% et celles de Ford de 5,4%. Pour Fiat Chrysler Automobiles et Nissan, la hausse a été respectivement de 5,8% et 5,7% mais dans les deux cas inférieure aux attentes. Ces premiers chiffres confortent la prévision des analystes interrogés par Reuters d’une hausse des ventes de 6% en avril pour l’ensemble du secteur. « La demande des ménages et des professionnels pour les pickups et les utilitaires se renforce depuis l’automne et c’est un signe évident que le ralentissement de la croissance du PIB au cours des mois d’hiver a été provoqué par des facteurs essentiellement provisoires », a dit Kurt McNeil, vice-président de GM chargé des ventes. « Le secteur automobile continue de se diriger vers sa meilleure année en termes de ventes depuis 2006. » Les ventes automobiles fournissent généralement un aperçu de l’évolution mensuelle de la demande des ménages. GM s’attend à ce que les ventes de l’ensemble du secteur en avril se soient élevées à 16,7 millions de véhicules en rythme annuel, contre 16,05 millions un an plus tôt. Les constructeurs bénéficient en outre d’une progression de la demande pour les pickup et les SUV, qui génèrent davantage de profits, au détriment des plus petits véhicules, en raison de la baisse du coût du carburant et de plus grandes facilités de crédit.

1...5556575859...69



L'actu écologique |
bessay |
Mr. Sandro's Blog |
Unblog.fr | Annuaire | Signaler un abus | astucesquotidiennes
| MIEUX-ETRE
| louis crusol