Archive pour le Tag 'Etats-Unis'

Les États-Unis vont boycotter la réunion du G20 !

Les États-Unis vont boycotter la réunion du G20 !

 

 Nouvelle preuve que les États-Unis se désengagent de tout multilatéralisme, le secrétaire américain des affaires étrangères n’ira pas à la réunion du j’ai 20u en février en Afrique du Sud. La réunion du G20 au niveau des ministres des Affaires étrangères prévue les 20 et 21 février sera boycottée par les États-Unis. «Mon travail consiste à promouvoir les intérêts nationaux de l’Amérique, et non à gaspiller l’argent des contribuables ou à encourager l’antiaméricanisme», a-t-il écrit, déplorant notamment le fait que ce groupe de pays défend le «changement climatique» et les programmes «de diversité et d’inclusion».

Le président américain Donald Trump a aussi accusé l’Afrique du Sud de confiscation de terres après la promulgation d’une loi d’expropriation par son homologue Cyril Ramaphosa. La question foncière est un sujet clivant en Afrique du Sud. La majorité des terres sont détenues par la minorité blanche du pays, héritage d’une politique d’expropriation de la population noire pendant l’apartheid.

 

Economie États-Unis : risque d’inflation avec les droits de douane

Economie États-Unis : risque d’inflation avec les droits de douane

Il se pourrait bien que l’instauration de nouveaux droits de douane par les États-Unis portent un coup fatal à la croissance américaine. En effet cette taxation supplémentaire très importante va mécaniquement favoriser l’inflation et amputé le pouvoir d’achat surtout ce qui est importé.

Nombre d’experts estiment que cette guerre commerciale sera nuisible à tous. Du coup, Donald Trump a reconnu dimanche matin que les droits de douane qu’il a instaurés la veille avec les principaux partenaires des États-Unis, provoquant une guerre commerciale, vont «peut-être» faire souffrir les Américains, mais que cela «vaudra le prix». «Est-ce que cela va faire souffrir? Oui, peut-être. Et peut-être pas. Mais nous allons rendre sa grandeur à l’Amérique et cela vaudra le prix qu’il faudra payer», a écrit le président américain sur son réseau Truth Social en lettres capitales.

Donald Trump a également répété dimanche matin que «le Canada devrait devenir notre cher 51e État», ce qui impliquerait, selon lui, «des impôts bien plus faibles et une protection militaire bien meilleure pour les Canadiens .

 

États-Unis : risque d’inflation avec les droits de douane

États-Unis : risque d’inflation avec les droits de douane

Il se pourrait bien que l’instauration de nouveaux droits de douane par les États-Unis portent un coup fatal à la croissance américaine. En effet cette taxation supplémentaire très importante va mécaniquement favoriser l’inflation et amputé le pouvoir d’achat surtout ce qui est importé.

Nombre d’experts estiment que cette guerre commerciale sera nuisible à tous. Du coup, Donald Trump a reconnu dimanche matin que les droits de douane qu’il a instaurés la veille avec les principaux partenaires des États-Unis, provoquant une guerre commerciale, vont «peut-être» faire souffrir les Américains, mais que cela «vaudra le prix». «Est-ce que cela va faire souffrir? Oui, peut-être. Et peut-être pas. Mais nous allons rendre sa grandeur à l’Amérique et cela vaudra le prix qu’il faudra payer», a écrit le président américain sur son réseau Truth Social en lettres capitales.

Donald Trump a également répété dimanche matin que «le Canada devrait devenir notre cher 51e État», ce qui impliquerait, selon lui, «des impôts bien plus faibles et une protection militaire bien meilleure pour les Canadiens .

 

États-Unis -Des libertariens étatistes et violents !

États-Unis –Des libertariens étatistes et violents !
Les libertariens au pouvoir aux États-Unis sont-ils schizophrènes ?… Tandis qu’ils prônent une libéralisation totale, ils mettent en place des technologies de surveillance sophistiquées pour poursuivre un agenda impérialiste. Par Michel Santi, économiste (*) dans la Tribune
Les nouveaux libertariens au pouvoir aux États-Unis nagent dans leurs contradictions. Pendant qu’ils plaident à tue-tête pour une libéralisation débridée sur tous les plans, ils mettent en place méthodiquement des technologies de surveillance qui leur permettront de concrétiser leur agenda impérialiste. Néanmoins, cette exacerbation du patriotisme américain, ces rengaines glorifiant et portant aux nues la puissance retrouvée (ou à recouvrer) de leur pays, seront inéluctablement génératrices de violences. De fait, ce qu’il est de bon ton d’appeler les « Big Tech » développent des technologies de pointe et d’une rare sophistication grâce à l’IA et dans un but militaire. Le constat, aujourd’hui, est sans appel, car l’innovation de ces fleurons de la tech américaine se met au service de la politique étrangère des États-Unis.
Voilà Microsoft qui remporte de nombreux contrats de défense, notamment pour le développement du système intégré de réalité augmentée (Integrated Visual Augmentation System) destiné à l’armée américaine. Programme d’un montant de 22 milliards de dollars qui vise à améliorer la «conscience situationnelle» des troupes grâce à la réalité augmentée.

Meta, pour sa part, vient de faire son entrée dans ce domaine en mettant son grand modèle de langage Llama à disposition de ses clients du secteur militaire.

Google apporte sa contribution à la technologie militaire par son projet Maven qui utilise l’IA dans l’analyse des images des drones à des fins de surveillance et de ciblage.
Fournisseur majeur de services « cloud » pour le département de la Défense et pour la CIA, d’ores et déjà considérablement intégré dans les opérations de défense, Amazon se démarque par son grand activisme dans le développement d’outils IA pour l’optimisation logistique et l’analyse du champ de bataille.

Quant aux systèmes de satellites Starlink de SpaceX, ils sont tout bonnement devenus indispensables aux opérations militaires américaines. L’entreprise d’Elon Musk développe également une constellation de satellites-espions sur mesure pour les agences de renseignement américaines, consacrant ainsi son rôle dans la sécurité nationale américaine.

Moins grand public peut-être, mais tout aussi précieuse pour les autorités américaines : l’entreprise Anduril, fondée par Palmer Luckey, qui s’est d’abord fait connaître grâce à ses tours de surveillance détectant les migrants. Et qui, depuis, s’est diversifiée en développant des drones autonomes, des missiles, des robots et d’autres technologies dédiées à la défense américaine.

Pour autant, aucun de ces fleurons de la tech ne symbolise ce qu’il faut désormais qualifier d’« enthousiasme techno-militaire américain » mieux que Palantir de Peter Thiel, qui fut une des premières à bénéficier de financements précoces de la branche capital-risque de la CIA.

Eh bien, oui ! Même une institution comme la CIA dispose à présent d’un pool à même de financer de jeunes pousses qui lui seront en retour utiles.

Ainsi, Gotham, développé par Palantir, est indispensable aux agences de renseignement, aux forces de sécurité et à d’autres entités gouvernementales dans l’intégration, l’analyse et la visualisation de quantités impressionnantes de données émanant de sources diverses et variées, telles que surveillance, rapports de renseignement, informations géospatiales, données d’interceptions. Gotham synthétise une vue d’ensemble de situations complexes en croisant toutes ces données, et autorise le personnel dans sa prise de décision en termes de lutte contre le terrorisme ou de missions militaires. Palantir met également à disposition du Pentagone son programme Foundry pour la gestion logistique et des chaînes d’approvisionnement, qui ont secondé l’Ukraine contre la Russie et Israël dans le ciblage des combattants du Hamas à Gaza.

Bienvenue, en somme, dans le radieux avenir techno-militaire des États-Unis d’Amérique !

Permettez-moi de citer Palmer Luckey, entrepreneur américain, fondateur d’Anduril Industries célèbre pour ses systèmes de surveillance et de détection utilisant l’intelligence artificielle:
«Les sociétés ont toujours eu besoin de guerriers enthousiastes et passionnés par l’idée d’exercer la violence sur les autres pour atteindre des objectifs nobles».

Qu’il semble loin ce temps où, pour son discours d’adieu en janvier 1961, le président Eisenhower mettait en garde contre le « complexe militaro-industriel ». Soixante-quatre ans plus tard, Joe Biden évoque une oligarchie d’un type nouveau : « techno-industrielle ».

Le nouveau président américain affirme souvent être un homme de paix. En attendant, il est cerné de tous côtés d’entreprises à qui la guerre — et à qui un maximum de guerres — rapporteront un maximum d’argent, et plus de puissance.

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(*) Michel Santi est macro-économiste, spécialiste des marchés financiers et des banques centrales, écrivain. Il vient de publier un ouvrage critique sur la Banque centrale suisse : BNS : une banque centrale ne devrait pas faire ça. Son fil Twitter.

Le Canada et le Mexique annoncent des droits de douane contre les États-Unis

Le Canada et le Mexique annoncent  des droits de douane contre les États-Unis

Pour le Canada, le  Premier ministre démissionnaire Justin Trudeau a déclaré lors d’une conférence de presse samedi soir qu’il imposait des droits de douane de 25% sur des produits américains pour un total de 155 milliards de dollars canadiens (102 milliards d’euros).De son côté le Mexique prévoit aussi d’augmenter les taxes douanières

Le dirigeant canadien a précisé que les droits de douane s’appliqueraient à la bière, au vin et au bourbon américains, ainsi qu’aux fruits et aux jus de fruits, y compris le jus d’orange provenant de la Floride, l’État natal de M. Trump. Le Canada ciblera également des produits tels que les vêtements, les équipements sportifs et les appareils électroménagers. Le Canada envisage des mesures non tarifaires, qui pourraient concerner les minéraux essentiels, les marchés publics de l’énergie et d’autres partenariats, a indiqué Justin Trudeau.

De son côté le Mexique prévoit aussi d’augmenter les taxes douanières.

Dans un message cinglant sur X, la présidente de gauche nationaliste a annoncé «des mesures tarifaires et non tarifaires en défense des intérêts du Mexique», en représailles aux droits de douane annoncés le même jour par Washington. Le Mexique est le premier partenaire commercial mondial des États-Unis, qui absorbe plus de 80% de ses exportations. Les deux pays sont membres avec le Canada du Traité de libre-échange d’Amérique du nord.

Très populaire dans son pays, Mme Sheinbaum répondait au président des États-Unis qui a mis samedi à exécution sa menace d’imposer de droits de douane à 25% sur les produits provenant du Canada et du Mexique, et 10% supplémentaires à ceux déjà existants sur les produits chinois. Washington justifie cette décision par la volonté de forcer les trois pays à agir pour diminuer le trafic de fentanyl et les arrivées de migrants illégaux aux États-Unis.

 

États-Unis : nouveaux droits de douane sur la Chine, le Mexique et le Canada dès février

États-Unis : nouveaux droits de douane sur la Chine, le Mexique et le Canada dès février 

 

Le gouvernement américain appliquera 25% de droits de douane sur le Mexique comme sur le Canada et 10% de droits de douane sur la Chine. Pékin, Ottawa et Mexico ne peuvent «rien» faire pour empêcher ces droits de douane, a assuré Donald Trump devant des journalistes dans le bureau ovale, vendredi après l’annonce.

Le président républicain, qui a fait son retour à la Maison-Blanche le 20 janvier, a brandi de nombreuses fois cette menace à l’encontre des trois pays qu’il accuse de ne pas lutter suffisamment contre le trafic de fentanyl et empêcher l’immigration illégale vers les États-Unis. Jusqu’au dernier moment, le Canada et le Mexique, théoriquement protégés par un accord de libre-échange les liant avec les Etats-Unis, avaient espéré éviter une telle issue.

Selon Oxford Economics, l’économie américaine risque de perdre 1,2 point de pourcentage de croissance tandis que le Mexique pourrait plonger dans la récession. «Les principales exportations du Mexique sont l’alimentation, les équipements de transport et l’électronique. Ils concernent plus de 50% des exportations du pays et une part important de l’activité industrielle», a rappelé Joan Domene, analyste pour Oxford Economics, interrogé par l’AFP.

 

 

Etats-Unis : Nouveaux droits de douane aussi pour l’Europe.

Etats-Unis : Nouveaux droits de douane aussi pour l’Europe.

 

 

Comme il fallait s’y attendre, le nouveau président des États-Unis annonce que l’Europe ne sera pas épargnée par de nouveaux droits de douane en raison notamment du déséquilibre du commerce extérieur entre les États-Unis et l’union européenne. Il considère d’ailleurs que l’union européenne constitue une sorte d’agresseur économique du même type que la Chine. De fait les débouchés de l’Europe vers les États-Unis ne sont pas négligeables et de nouveaux droits de douane pourraient venir affecter encore un peu plus une croissance européenne déjà atone.

Les pays européens vont être soumis à des droits de douane, «seul moyen» pour les Etats-Unis «d’être traités correctement», a estimé mardi 21 janvier le président américain Donald Trump, dénonçant lors d’une conférence de presse le déficit commercial américain vis-à-vis de l’Union européenne (UE). «L’UE est très mauvaise pour nous. Ils nous traitent très mal. Ils ne prennent pas nos voitures ou nos produits agricoles. En fait ils ne prennent pas grand-chose», a déclaré le président américain, qui a ajouté «donc ils sont bons pour des droits de douane».

Durant sa campagne présidentielle, Trump avait déjà dénoncé le déficit commercial des Etats-Unis vis-à-vis de l’UE, comparant le bloc à «une petite Chine», qui «profite» de la première puissance économique mondiale. «Nous avons un déficit commercial avec l’UE de 350 milliards de dollars», a-t-il insisté mardi, «la Chine est agressive mais il n’y a pas que la Chine. D’autres pays sont aussi de grands agresseurs.»
Déficit commercial
Le déficit commercial américain dans ses échanges avec l’UE s’élevait en 2023 à 131 milliards de dollars, selon les données du représentant de la Maison Blanche pour le Commerce (USTR) et se concentre principalement sur quatre pays, l’Allemagne, la France, l’Irlande et l’Italie.

Protectionnisme : Un boomerang pour les Américains

 Protectionnisme : Un boomerang pour les Américains

Le président Trump a promis pendant sa campagne électorale de protéger l’Amérique grâce à une forte augmentation des droits de douane, pour lutter contre « l’invasion » de produits étrangers, notamment chinois. Une telle démarche est parée de bien des vertus, censée tout à la fois réduire le déficit commercial, restaurer l’emploi industriel aux États-Unis, et, grâce aux sommes collectées, diminuer d’autres taxes. Mais ces objectifs semblent être davantage des mirages que des réalités, comme l’illustrent nos travaux sur les dynamiques économiques induites par les guerres commerciales.

 

 Par Stéphane Auray, Rennes School of Business, CREST-Ensai et OFCE, et Aurélien Eyquem, Université de Lausanne.

 

 

Les mesures prises en 2018 par le précédent gouvernement Trump ont montré que les hausses des droits de douane, décidées à l’époque, se répercutaient directement sur les prix. Elles ont entraîné alors une baisse des échanges des États-Unis, mais aussi une augmentation sensible des prix pour les consommateurs américains et la perte d’accès à des produits clés.

Ces mesures ont constitué un fardeau pour les ménages, en particulier à faible revenu. Elles ont aussi accru les coûts de l’industrie américaine et réduit sa compétitivité. Nos recherches montrent que de telles hausses des prix peuvent être tempérées par une politique monétaire adaptée, mais, que sans coopération entre le gouvernement et la banque centrale, la situation peut s’enflammer. Les États-Unis ne sont pas à l’abri d’un retour de l’inflation.

Face à la concurrence chinoise, les barrières douanières ne sont pas non plus la panacée.  Lors du précédent mandat Trump, de nombreuses entreprises chinoises ont contourné les obstacles tarifaires en délocalisant leur production. Une société comme Man Wah emploie ainsi aujourd’hui 450 personnes au Mexique, illustrant l’incapacité des taxes différenciées à contenir des flux commerciaux pilotés par la Chine. Ces mesures provoquent surtout une réorganisation des chaînes d’approvisionnement.

Le déficit commercial lui-même, que dénonce l’administration Trump, et qu’elle prétend vouloir combler, mérite également d’être mis en perspective. Ce déficit n’est pas uniquement le résultat d’échanges commerciaux déséquilibrés. La perception des obligations américaines comme valeur refuge, l’attrait des investissements outre-Atlantique, rendent inefficaces les efforts pour le réduire, car ils permettent aux entreprises américaines d’acheter sans effort plus qu’elles ne produisent. Vouloir réduire le déficit commercial sans prendre en compte cet aspect de la question est illusoire.

L’idée selon laquelle les droits de douane pourraient permettre aux États-Unis de créer de nouveaux emplois industriels, à l’abri de la concurrence internationale, n’est enfin pas plus convaincante.

C’est ignorer des tendances structurelles majeures, telles que l’automatisation à l’œuvre depuis plusieurs décennies, qui a érodé le pouvoir d’achat des classes moyennes américaines et amplifié les inégalités. Les promesses de Trump de ramener une ère industrielle prospère sont d’autant moins crédibles que les usines les plus récentes sont parmi les plus automatisées. Elles ne recréeront pas les emplois industriels perdus lors des décennies passées.

L’augmentation des droits de douane prévue par l’administration Trump est donc inefficace, voire nuisible pour les consommateurs et l’économie américaine dans son ensemble.  Plutôt que de s’enfermer dans cette logique protectionniste, les États-Unis gagneraient à renouer avec les anciens accords commerciaux et à investir dans de nouvelles politiques de soutien à l’innovation et à la formation, plus à même de restaurer leur compétitivité tout en réduisant les inégalités croissantes qui fragilisent la cohésion du pays.

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(1) Trade Wars, Nominal Rigidities and Monetary Policy, Stéphane Auray, Aurélien Eyquem, Michael Devereux ; The Review of Economic Studies, 2024
(2) Trade Wars and the Optimal Design of Monetary Rules, Stéphane Auray, A. Eyquem , M. Devereux, Journal of Monetary Economics, 2024
(3) Robots and Jobs: Evidence from US Labor Markets, Daron Acemoglu, Pascual Restrepo ; Journal of Political Economy, 2020

Environnement : les États-Unis quittent officiellement l’accord de Paris

Environnement : les États-Unis quittent officiellement l’accord de Paris

Avec fracas et beaucoup de bla-bla,  parmi le fleuve d’orientations a aussi déclaré que les États-Unis se retiraient de l’accord de Paris qui, pour lui, constitue une escroquerie injuste et unilatérale

Donald Trump a enclenché lundi un nouveau retrait des États-Unis de l’accord de Paris sur le climat, une marche arrière toute dans la lutte contre le dérèglement climatique qui met en péril les efforts mondiaux pour le freiner. Le républicain, climatosceptique notoire, a tenu parole en signant dès son premier jour de retour au pouvoir un décret présidentiel puis une lettre aux Nations unies en ce sens. «Je me retire immédiatement de l’accord de Paris sur le climat, une escroquerie injuste et unilatérale», a lancé Donald Trump devant des milliers de personnes réunies dans un stade de Washington, avant de signer devant eux les documents. «Les États-Unis ne saboteront pas leurs propres industries pendant que la Chine pollue en toute impunité», a-t-il poursuivi.

 

Economie- Les États-Unis captent la moitié des capitaux mondiaux

Economie- Les États-Unis captent   la moitié des capitaux mondiaux

Les États-Unis dans la puissance n’a jamais été aussi importante si l’on se fie notamment alors croissance; Les États-Unis auront attiré à peu près la moitié des capitaux mondiaux en 2023. Une tendance qui monte encore en 2024 et 2025 grâce à la dynamique de l’activité économique alors qu’ailleurs  c’est la stagnation du PIB, voire la déstabilisation politique qui caractérise les situations ( exemple France, Allemagne mais aussi Chine, Russie et pays proches).

La première économie mondiale, au mieux de sa forme, « aspire » près de la moitié des capitaux financiers de la planète. En 2022-2023, le pays a ainsi absorbé 41 % des flux financiers mondiaux (investissements, opérations commerciales…), a annoncé la Maison-Blanche le 10 janvier. Une proportion colossale, jamais vue jusqu’à présent (dans aucun pays), qui a quasiment doublé par rapport à 2019 (23 %). Les faits sont d’autant plus marquants, que, dans le même temps, les mouvements de capitaux mondiaux ont chuté – en raison notamment de la faiblesse de la Chine -, passant de 4500 milliards de dollars en 2017-2019 à 4200 milliards de dollars en 2023, relève le Fonds monétaire international (FMI).

L’an dernier, les États-Unis ont  continué à « aimanter » les capitaux étrangers.

TikTok suspendu «temporairement» aux États-Unis

 TicToc suspendu «temporairement» aux États-Unis

Pour se soumettre à la loi qui’ l ‘interdit désormais sur le territoire américain, TicToc a suspendu ses services. Ce pourrait être une manœuvre pour exploiter le changement de position de TRUMP, hier opposé au réseau chinois mais aujourd’hui bienveillant tenant compte du soutien que ce réseau lui a apporté pendant la campagne électorale.

Saisie par TikTok en dernier recours, la Cour suprême américaine a refusé vendredi, à l’unanimité, de suspendre la loi. Les neuf hauts magistrats ont estimé que les inquiétudes du Congrès «en matière de sécurité nationale» étaient «bien fondées». Les élus américains avaient justifié le vote de la loi par la nécessité d’empêcher les autorités chinoises d’accéder aux données d’utilisateurs américains ou de manipuler l’opinion aux États-Unis.

 

 

Les États-Unis captent de la moitié des capitaux mondiaux

Les États-Unis captent   la moitié des capitaux mondiaux

Les États-Unis dans la puissance n’a jamais été aussi importante si l’on se fie notamment alors croissance; Les États-Unis auront attiré à peu près la moitié des capitaux mondiaux en 2023. Une tendance qui monte encore en 2024 et 2025 grâce à la dynamique de l’activité économique alors qu’ailleurs  c’est la stagnation du PIB, voire la déstabilisation politique qui caractérise les situations ( exemple France, Allemagne mais aussi Chine, Russie et pays proches).

La première économie mondiale, au mieux de sa forme, « aspire » près de la moitié des capitaux financiers de la planète. En 2022-2023, le pays a ainsi absorbé 41 % des flux financiers mondiaux (investissements, opérations commerciales…), a annoncé la Maison-Blanche le 10 janvier. Une proportion colossale, jamais vue jusqu’à présent (dans aucun pays), qui a quasiment doublé par rapport à 2019 (23 %). Les faits sont d’autant plus marquants, que, dans le même temps, les mouvements de capitaux mondiaux ont chuté – en raison notamment de la faiblesse de la Chine -, passant de 4500 milliards de dollars en 2017-2019 à 4200 milliards de dollars en 2023, relève le Fonds monétaire international (FMI).

L’an dernier, les États-Unis ont  continué à « aimanter » les capitaux étrangers.

 

États-Unis : l’inflation résiste

États-Unis : l’inflation résiste

Sous l’effet de la dynamique de la croissance, l’inflation résiste et progresse même un peu. Une évolution qui pourrait retarder le plan de réduction des taux d’intérêt de la banque centrale américaine.

Selon l’indice des prix à la consommation (CPI) publié mercredi, l’inflation a de nouveau accéléré en décembre aux États-Unis, pour le troisième mois d’affilée, à 2,9% sur un an, contre 2,7% en novembre, en ligne avec les attentes du consensus de Bloomberg. Mais sur un mois, l’inflation sous-jacente, qui exclut les prix volatils de l’énergie et de l’alimentation, a freiné à 0,2%, là où les économistes misaient sur un chiffre stable de 0,3%.

Grippe aviaire : un premier décès aux États-Unis

Grippe aviaire : un premier décès aux États-Unis

La victime, âgée de plus de 65 ans, était le premier cas grave humain détecté aux États-Unis. Il avait été contaminé par le virus H5N1 via des oiseaux de basse-cour et sauvages. 

L’enquête de santé publique réalisée «n’a pas permis d’identifier d’autres cas de H5N1 ni de preuve de transmission de personne à personne. Ce patient reste le seul cas humain de H5N1 en Louisiane», précise le ministère de la Santé de Louisiane sur son site. C’est pourquoi il estime que le risque présenté par la grippe aviaire pour le grand public reste «faible». «Les personnes qui travaillent avec des oiseaux, des volailles ou des vaches, ou qui sont exposées à ces animaux dans le cadre de leurs loisirs» courent, quant à elles, «un risque plus élevé».

Depuis plusieurs mois, le pays fait face à une épizootie – l’équivalent d’une épidémie chez les animaux – de grippe aviaire. Le virus circule dans des élevages de volailles et dans les troupeaux de bovins. Et 66 cas de grippe aviaire chez l’homme ont été détectés aux États-Unis depuis début 2024, l’extrême majorité de ces cas étant bénins. Mais d’autres pourraient être passés inaperçus, reconnaissent les autorités américaines. Plus inquiétant, le virus a été détecté ces derniers mois chez une poignée d’individus n’ayant pas de contact connu avec un animal infecté.

 

La grippe aviaire A (H5N1) est apparue pour la première fois en 1996, mais, depuis 2020, le nombre des foyers chez les oiseaux a explosé et un nombre croissant d’espèces de mammifères ont été touchées. Les experts craignent qu’une forte circulation du virus ne facilite une mutation lui permettant de se transmettre d’un humain à un autre. Certains craignent également qu’il ne se mélange à la grippe saisonnière. Le séquençage génétique du virus retrouvé sur le patient de Louisiane a montré qu’il était différent de la version détectée chez plusieurs troupeaux de vaches laitières et dans des élevages de volailles.

États-Unis : drapeau en berne jour de l’investiture de Trump

États-Unis : drapeau en berne jour de l’investiture de Trump

 

Mauvais présage peut-être avec les drapeaux en berne aux États-Unis notamment le jour de l’investiture de Trump en hommage à l’ancien président Jimmy Carter. En tout cas, Trump a demandé qu’on ne respecte pas cette tradition le jour de son investiture.

 

En raison du décès de l’ancien président américain Jimmy Carter survenu le 29 décembre dernier, les drapeaux resteront en berne pendant 30 jours. C’est l’usage, depuis une proclamation publiée en 1954 par Dwight Eisenhower.

Donald Trump a estimé vendredi que «personne ne voulait voir» les drapeaux en berne pendant sa cérémonie d’investiture du 20 janvier, une décision qui a été prise en hommage à l’ancien président Jimmy Carter. «À cause de la mort du président Jimmy Carter le drapeau va, pour la première fois de l’histoire pendant l’investiture d’un nouveau président, être en berne. Personne ne veut voir ça et aucun Américain ne peut s’en réjouir», a écrit le président élu républicain sur son réseau Truth Social.

 

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