Archive pour le Tag 'était'

Bitcoin (+163% sur un an ): La folie continue

Bitcoin (+163% sur un an ): La folie continue

Depuis le début de l’année, le bitcoin a progressé de plus de 160%, à 43.500 dollars. L’avenir semble tout aussi radieux pour le jeton star en 2024.Mais dont le plus haut était à 62 000 $ fin 2021.Le bitcoin qui est aussi un extraordinaire moyen de profit demeure aussi un outil monétaire à grand risque car il ne repose sur aucun actif et dépend surtout du rapport entre la demande et l’offre limitée comme l’indique un article de Radio France.


Le bitcoin, est une cryptomonnaie. Elle a été lancée en 2009, en réaction à la crise bancaire et à la faillite de Lehman Brothers.
Publicité

Ne faisant plus confiance aux banques, un certain Satoshi Nakamoto – que personne ne connaît – a imaginé une monnaie indépendante des Etats, indépendante des banques centrales, et bien sûr indépendante des banques commerciales.
Une monnaie dont la sécurité est assurée par un mécanisme de cryptage, complètement décentralisé: c’est en fait un réseau d’ordinateurs qui garantit la fiabilité de la monnaie et le suivi des transactions.

Pour fournir ce service, les propriétaires de ces ordinateurs à forte puissance de calcul sont rémunérés en bitcoin, qu’ils peuvent revendre. Plus il y a de transactions, plus il y a de bitcoins. Mais dès le départ le créateur a dit qu’il n’y aurait jamais plus de 21 millions de bitcoins en circulation. Et on y est presque.
C’est ce nombre limité, qui crée une forme de rareté et fait flamber le prix .

Le bitcoin, c’est un peu comme l’or: il existe en quantité limitée, ce qui en fait une valeur refuge.

Aujourd’hui, le bitcoin est la plus ancienne des crypto-monnaies, presqu’une institution. Les financiers les plus traditionnels, ceux qui travaillent pour les caisses de retraites ou les grandes fortunes, lui font confiance.

Et puis, on constate que beaucoup d’investisseurs achètent les bitcoins pour les garder et ne les revendent jamais. Ce qui ajoute à la rareté et contribue à la hausse.

En n finance, tout est relatif. Certains investisseurs s’inquiètent moins de cette bulle que de l’envolée des dettes des Etats, qui ne cessent d’augmenter pour faire face à la pandémie. Ils pensent que cela finira par créer de l’inflation et par peser sur leur épargne traditionnelle et sur les monnaies comme le dollar ou l’euro.

Ils savent qu’il y a un risque mais pas plus qu’en achetant des actions Tesla ou Amazon qui font les montagnes russes.
Et puis ne vous y trompez pas : ils n’en ont pas tant que cela, des bitcoins. Ce marché, ce n’est encore que 5% du marché de l’or. Une toute petite partie de l’épargne mondiale donc.

Alors que la valorisation du bitcoin est désormais comparable à celle de la période faste du début 2022, à 769 milliards de dollars, rien ne semble stopper le développement de ce marché en 2024. Début décembre, l’ether, la deuxième crypto-devise associée au réseau Ethereum, a également atteint son plus haut niveau en un an et demi, à 2.274 dollars.

L’an prochain, deux moteurs sont attendus pour le jeton star. D’abord, la perspective de la fin de la remontée des taux d’intérêt annoncée pour l’an prochain qui va desserrer l’étau sur les investissements, le bitcoin suivant traditionnellement la courbe des valeurs tech sur le Nasdaq. Ensuite, la probable validation à venir des autorités américaines d’autoriser un fonds indiciel (ETF) en bitcoins au comptant.

Résultat, l’engouement pour les cryptomonnaies se montre solide. En France, les nouveaux investisseurs se tournent davantage vers les cryptoactifs : ils sont 54% à y avoir investi, contre 25% des investisseurs traditionnels, selon une étude de l’Autorité des marchés financiers français (AMF) publiée en novembre.

Le but reste cependant peu transparent et se caractérise surtout par une grande spéculation avec de très forts à coup de valorisation. Il pourrait aussi être menacé par l’éventualité de la création officielle de cryptomonnaies par les banques centrales.

Le terroriste d’Arras était inscrit dans le fichier S

Le terroriste d’Arras était inscrit sur la liste des radicalisés depuis 2 ans

Mohammed Mogouchkov, né en Russie et originaire d’Ingouchie, est arrivé en France en 2008. Le jeune homme était surveillé activement par la Direction générale de la Sécurité intérieure (DGSI) depuis juillet 2023 et fiché S pour radicalisation depuis le 2 octobre. Mais selon les informations de BFMTV, l’assaillant était en réalité inscrit au fichier de signalements pour la prévention et la radicalisation à caractère terroriste (FSPRT) depuis février 2021. Le jeune homme avait déjà fait l’objet de deux signalements de la part du lycée Gambetta d’Arras, son ancien établissement scolaire, selon une source locale de l’Education nationale.

En cause, un incident avec une enseignante, survenu quelques mois plus tôt. Selon nos informations, en novembre 2020, une professeure du lycée Gambetta avait été agressée verbalement et physiquement par un élève de sa classe, alors qu’elle abordait la mémoire de Samuel Paty, assassiné quelques semaines plus tôt. Dix jours plus tard, l’élève concerné avait été exclu de l’établissement scolaire. Selon une source proche du dossier, les services de l’Education nationale avaient alors alerté les autorités sur les liens entre cet élève et Mohammed Mogouchkov.

Avant transfert chez Macron, , Éric Woerth était le plus critique de la politique du pouvoir

Avant transfert chez Macron, , Éric Woerth était le plus critique de la politique du pouvoir

Avant son transfert, Éric Woerth  a été l’un des plus critique de Macron parmi les républicains. Le Figaro rappelle certaines de ses saillies contre le pouvoir qu’il vient de rejoindre.

 

Par exemple en En juillet 2017, à propos de la baisse des aides personnalisées au logement (APL) «Cinq euros ça fait mesquin, surtout pour ceux qui ont du mal à boucler leur fin de mois», confie-t-il alors au Point . Par ailleurs, l’ancien ministre du Budget reproche dans cette même interview que rien ne soit fait par le chef de l’État sur la réforme de l’indemnisation du chômage, de l’hôpital et des retraites «pour montrer qu’un travail sérieux a vraiment commencé».

 En septembre 2018, le député de l’Oise récidive en expliquant sur Public Sénat qu’Emmanuel Macron ne «fait pas» ce pour quoi il a été élu : «transformer le pays». Selon Éric Woerth, les réformes du président de la République sont celles «que tout gouvernement aurait faites et a faites. Il n’y a pas de rupture et les vieilles recettes continuent à être employées de façon encore plus cynique. C’est l’ancien monde mais en pire». Au Figaro , il expliquait par ailleurs que «ce n’est pas grave d’être impopulaire quand on fait les bonnes réformes. Macron est impopulaire pour de mauvaises raisons».

En novembre 2018, au moment de la crise des «gilets jaunes», Éric Woerth est également très critique de la façon dont est gérée cette ébullition sociale par le gouvernement. «Emmanuel Macron voulait une France apaisée, il risque de la faire imploser», regrette-t-il alors.

Interrogé sur la «lettre aux Français» d’Emmanuel Macron – publiée à l’occasion du grand débat national, en janvier 2019, et à la veille des élections européennes -, Éric Woerth estime que le président «dit vouloir transformer la colère en solutions, alors qu’il a lui-même transformé la croissance en colère!».

Ancien ministre du Travail puis du Budget de Nicolas Sarkozy, l’élu de l’Oise affirmait sur Radio Classique il y a trois ans que «Les Républicains sont la seule alternance possible à Emmanuel Macron dans le champ républicain».

En avril 2019, un mois avant les élections européennes, le francilien se demandait s’il n’y avait pas «une légère incohérence à reconnaître l’échec de l’ENA et à désigner sa directrice comme tête de liste aux européennes ?», en référence à la cheffe de file de la majorité, Nathalie Loiseau, et à la décision du président de transformer l’ENA en un Institut national du service public (INSP).

Interviewé dans Le Figaro , Éric Woerth explique en juillet 2019 que «la suppression de la taxe d’habitation reste l’erreur fondamentale du quinquennat». Tout en louant cependant une autre décision du locataire de l’Élysée : «Le gouvernement avait au départ exclu toute baisse de l’impôt sur le revenu, que nous préconisions, puis il a changé d’avis. Tant mieux!»

En décembre 2020, alors que l’économie française est fortement perturbée par la crise sanitaire, Éric Woerth explique que cette dernière n’est qu’un «prétexte au renoncement des réformes». Le député se disait alors inquiet pour «l’unité» du pays.

Par la suite, Éric Woerth s’est montré moins acerbe sur les actions menées par le président de la République. En septembre dernier, il décrit notamment dans Le Figaro une «euphorie dépensière» de la part de l’État, en précisant qu’il «ne critique pas les dépenses exceptionnelles», car il est selon lui «essentiel de soutenir l’économie et la reprise pour préparer la croissance de demain».


L’emploi de Pénélope Fillon était bien bidon

L’emploi de Pénélope Fillon était bien bidon

Ce qui découle de la décision de Marc Ladreit de Lacharrière qui  a choisi le “plaider coupable” en donnant son aval à une procédure de comparution sur reconnaissance préalable de culpabilité, a-t-on appris de source judiciaire, confirmant une information du Monde. Rappelons les faits.  Penelope Fillon a touché près de 4000 € pour son emploi fictif d’assistante parlementaire de l’ancien premier ministre (et dont elle n,’était peut –être même pas au courant !) et 5000 € pour son emploi fictif dans la revue « des deux mondes ». Soit 9000 € environ par mois en tout pendant une durée d’un an et demi. Comme dans les deux cas,  il s’agissait d’emplois à plein temps on suppose donc que Penelope Fillon travaillait 70 heures par semaine ce qui est interdit par la législation qui limite la durée maximale à 48 heures ! Un cumul qui paraît incompatible sauf quand le travail est inexistant.  François Fillon avait  reconnu que son épouse était employée à la Revue des deux mondes, entre mai 2012 et décembre 2013. Or, presque à la même période, de juillet 2012 à novembre 2013, elle disposait d’un autre contrat, étant cette fois collaboratrice de son mari à l’Assemblée. Ces deux contrats étaient censés être à temps plein. Sollicité sur ce cumul, l’avocat de François Fillon, Me Antonin Lévy, avait estimé qu’« il n’existe aucune incompatibilité. » « C’est une question d’organisation du temps de travail », avait  fait valoir le conseil de l’ex Premier ministre ! L’employeur de Penelope est son mari, député, qui organise le travail de sa collaboratrice comme il l’entend.» Un spécialiste de droit du travail, Paul Van Deth, confirme qu’«il n’y a pas en théorie d’interdiction de cumul de fonctions, mais le salarié ne doit pas dépasser un total de 48 heures par semaine. En cas de dépassement, c’est une infraction pénale de 5e catégorie passible de 1500 euros d’amende. »Les soubresauts de l’enquête ont contribué à ruiner les chances de François Fillon de remporter la présidentielle, qu’il abordait pourtant en favori avant les premières étincelles. Il s’est depuis retiré de la vie politique et exerce comme associé au sein de la société de gestion et d’investissements Tikehau Capital. La peine encourue pour détournement de fonds publics est de dix ans de prison et un million d’euros d’amende.

«Dieselgate» : Le patron de Volkswagen était dans le coup

«Dieselgate» : Le patron de Volkswagen était dans le coup

 

Pour tenter d’étouffer l’affaire des tricheries relatives aux émissions polluantes, Volkswagen- comme d’autres marques d’ailleurs- a accepté de payer de très lourdes amendes notamment aux États-Unis et a fait porter le chapeau à des boucs émissaires. La réalité c’est que la hiérarchie de Volkswagen comme celle des autres marques était au courant des procédés qui permettaient pendant les opérations de contrôle de diminuer les émissions polluantes. Chez Volkswagen, l’affaire est en train de remonter au plus haut niveau c’est-à-dire jusqu’à Herbert Diess, actuel patron du constructeur allemand ; ce dernier aurait été avait été prévenu deux mois avant que le scandale éclate, en septembre 2015, révèle Der Spiegel. Un scandale dont le coût est estimé à 27 milliards de dollars en pénalité et amendes.

Une nouvelle qui va créer des remous. L’actuel patron de Volkswagen, Herbert Diess, a été prévenu de l’existence d’un logiciel fraudeur pour minimiser les résultats des tests d’émissions polluantes sur les véhicules de l’entreprise deux mois avant que le scandale éclate en 2015, rapporte le magazine allemand Der Spiegel. Le journal a eu accès à des documents inédits du parquet de Braunschweig qui posent la question de savoir si VW a informé dans les temps ses investisseurs de l’ampleur financière du scandale dont le coût dépasse 27 milliards de dollars en pénalités et amendes. Le scandale a été mis au jour le 18 septembre 2015 après une série de tests effectués aux Etats-Unis sur des véhicules diesel européens par l’université de Virginie-Occidentale à la demande de l’ONG International Council on Clean Transportation. Selon les documents du parquet du Braunschweig, Der Spiegel note que Herbert Diess, ancien de BMW alors en charge de la marque VW, était présent lors d’une réunion tenue le 27 juillet 2015 présidée par le patron de l’époque Martin Winterkorn.

 

Benalla était responsable des bagages ! (Castaner)

Benalla était responsable  des bagages ! (Castaner)

 

 

 

Après un silence de plusieurs jours les responsables d’en Marche et du gouvernement refond surface pour  tenter de déresponsabiliser l’Élysée et minimiser l’affaire. Tout cela avec des arguments approximatifs, souvent contradictoires quand ce n’est pas très spécieux. Ainsi Castaner a fait preuve d’une grande maîtrise de la langue de bois en affirmant ne pas très bien connaître les attributions de Benalla Allah ; il a cependant reconnu  la présence de l’intéressé lors de la réception des Bleus et indiqué que Benalla  était sans doute chargé des bagages. L’affaire pourrait donner lieu à rire si elle n’était pas grave. Première observation on peut s’étonner que Castaner ignore les fonctions de Benalla Allah que ce dernier est omniprésent auprès chef de l’État dans tous ses déplacements. Deuxième observation c’est évidemment le culot invraisemblable de Castaner qui tente de transformer Benalla, pourtant adjoint au chef de cabinet de Macron, responsable de la sécurité du président en simple chargé de logistique. Il faut vraiment que la majorité soit dans la panade se laisser aller à de telles élucubrations fantaisistes.  Sur BFMTV, Castaner  secrétaire d’État auprès du Premier ministre, chargé des Relations avec le Parlement, a en effet donné une réponse ahurissante à propos de Benalla  « Il a des fonctions logistiques sur lesquelles il travaille, a déclaré Castaner. Vous savez, moi aussi j’aurais rêvé d’être dans le bus. Ce n’est juste pas ma place. Je ne suis pas l’employeur de cette personne et je ne sais pas quelles étaient ses missions. J’ai entendu dire qu’il était en charge de la logistique, notamment des bagages. »

« Ce que doit faire Macron » (Moscovici, qui ne l’a pas fait quand il était ministre de l’économie)

« Ce que doit faire Macron » (Moscovici, qui ne l’a pas fait quand il était ministre de l’économie)

 

Il faut être vraiment culotté ou bien être affecté d’une insuffisance de mémoire pour que Pierre Moscovici, commissaire européen aux Affaires économiques et ancien ministre socialiste des finances,  donne des conseils à Macron en matière de déficit budgétaire. On ne peut pas dire que Moscovici ait beaucoup marqué son temps pour réduire de manière significative les dépenses de la France quand il était en charge des finances. En bon énarque,  il n’a pas voulu bousculer la bureaucratie. En fait,  les propos moralisateurs de Moscovici sont destinés autant à Macron qu’aux Etats européens en vue  d’influencer la succession prochaine du sulfureux luxembourgeois Juncker, président de l’union économique. Un poste que convoite Moscovici qui doit évidemment plaire aux gouvernements qui pratiquent  l’orthodoxie budgétaire notamment l’Allemagne. D’ailleurs son discours pourrait être celui de Merkel : « Emmanuel Macron veut être (…) le leader en Europe et pour être le leader en Europe, il faut montrer l’exemple. C’est la raison pour laquelle cette question des déficits structurels, cette question de la maîtrise de la dépense publique, cette question de la gestion moderne de l’Etat qui prépare l’avenir, c’est une question tout à fait essentielle si on veut en effet transformer le pays », a déclaré Pierre  Moscovici, interrogé au Grand Rendez-vous d’Europe 1-Cnews-Les Echos, en appelant la France à ne pas s’arrêter une fois passée sous la barre des 3% du PIB. 3% ce n’est pas une cible, c’est une limite absolue et nos règles de déficit public dessinent un chemin qui doit aller vers une réduction très forte des déficits », a souligné l’ancien ministre socialiste, se réjouissant que la France « quitte le bonnet d’âne », mais ajoutant que « la moyenne des déficits dans la zone euro n’est pas à 2,8%, n’est pas à 2,7%, elle est à 0,9% ». « La France va mieux, elle va mieux sur le plan de ses déficits, elle va mieux sur le plan de sa croissance,  et elle va mieux du point de vue de ses déséquilibres », a estimé le commissaire européen. « Mais la France doit viser très haut, la France doit viser la première place. » Moscovici lui aussi vise la première place, celle de président de la commission européenne. Un poste qui pourrait lui revenir car la France comme l’Allemagne non ne sont pas décidés à désigner un responsable à forte personnalité ; du coup,  le profil de technocrate mou de Moscovici pourrait convenir aux deux parties qui veulent bien renforcer l’union européenne mais ne pas abdiquer leurs souverainetés.

 

Pénélope Fillon : «ma production était uniquement orale » !!!

Pénélope Fillon : «ma production était uniquement orale » !!! 

 

Le compte-rendus et les interrogatoires du parquet national financier sont sans ambiguïté puisque Penelope Fillon déclare que sa production d’assistante parlementaire était uniquement orale. Une sorte d’assistance essentiellement psychologique comme celle que peuvent apporter toutes les épouses des élus mais qui ne peut évidemment justifier la moindre rémunération. En outre, Penelope Fillon est en pleine contradiction puisqu’elle avait affirmé à un journal anglais qu’elle ne se mêlait en nulle manière des affaires politiques de son mari. Il paraît de plus en plus vraisemblable que pour les premiers contrats d’assistante parlementaire, Penelope n’était même pas au courant. François Fillon n’a d’ailleurs pas apporté la moindre preuve convaincante de la réalité du travail de son épouse. Dans une interview à paraître ce dimanche dans Le Journal du dimanche, Penelope Fillon, l’épouse de François Fillon, soupçonnée d’emplois fictifs, affirme avoir travaillé à des « tâches très variées » lorsqu’elle était assistante parlementaire de son mari.  »Je ne considérais pas que je faisais de la politique. Je travaillais pour mon mari et pour les Sarthois », explique-t-elle à l’hebdomadaire.  La femme de l’ex-premier ministre assure également qu’elle savait que ses enfants avaient été rémunérés comme collaborateurs de son mari. Penelope Fillon semble avoir des difficultés à définir la nature de ces tâches « très variées. Peut-être s’agissait-il de temps en temps d’ouvrir les portes du château à un visiteur de Fillon ou encore de répondre « allô, ne quittez pas je vous le passe » au téléphone. Faute de la moindre matérialité de ce pseudo travail,  Fillon aura évidemment du mal à convaincre les juges que cet emploi n’était pas fictif. Cela d’autant plus que s’ajoutent à cette affaire d’autres dossiers concernant un autre salaire fictif chez son ami milliardaire, patron de la revue des Deux mondes ; Penelope aurait reçu 100 000 € pour avoir fourni deux  petites notes. Là aussi sa contribution aurait été essentiellement de nature orale comme sans doute la collaboration de Fillon lui-même chez l’assureur Axa

Sapin devra rembourser l’indemnité qu’il s’était accordé

Sapin devra rembourser l’indemnité qu’il s’était accordé

Le tribunal administratif de Limoges a enjoint la commune d’Argenton-sur-Creuse (Indre) de réclamer les 80.000 à 100.000 euros touchés par l’ensemble de l’ancienne équipe municipale dirigée par le ministre de l’Économie et des Finances. Durant son mandat entre 2009 et 2012, Michel Sapin a bénéficié d’une majoration de 25% de l’indemnité municipale qui était attribuée à tous les élus. Cette hausse s’appuyait sur des dispositions prévues au titre des villes dites « touristiques ». Seulement, l’opposition a découvert en 2014 que ce statut n’avait pas été confirmé par un arrêté préfectoral pour Argenton-sur-Creuse. Michel Sapin, tout en reconnaissant avoir commis « une erreur purement administrative et involontaire » se défend toutefois d’avoir vidé les caisses de la municipalité : « Les décisions prises à l’époque (…) fixaient le montant des indemnités dues aux élus à un niveau inférieur à celui qu’autorisaient alors les textes et ainsi aucun préjudice réel n’a été subi par la commune d’Argenton-sur-Creuse ». Le ministre ajoute par ailleurs que la décision du tribunal administratif ne le cite pas expressément et ne le condamne pas directement « à rembourser quelque somme que ce soit ». Le nouveau maire de la commune de 5.300 habitants, Vincent Millan, après avoir reconnu une erreur, avait fait adopter par la majorité municipale une délibération renonçant au recouvrement de ces sommes indues. Mais c’est cette délibération que l’opposition, par son chef de file Ludovic Livernette, avait attaquée devant le tribunal de Limoges. Ainsi, les juges ont prononcé l’annulation pure et simple de cette délibération. Il appartient désormais « à la commune d’Argenton, et à elle seule, d’apprécier s’il convient, comme elle en a le droit, de faire appel de cette décision », a souligné Michel Sapin, assurant que les élus de l’époque, dont lui-même, respecteraient « scrupuleusement les décisions de la justice administrative ».

Goutte d’Or : l’assaillant de la « n’était pas radicalisé » !!!! (Taubira)

Goutte d’Or : l’assaillant de la « n’était pas radicalisé » !!!! (Taubira)

 

Encore une surprenante déclaration de Christiane Taubira qui consciemment ou inconsciemment accumule en ce moment les bourdes. Sans doute pour démontrer que la politique judiciaire de lutte contre le terrorisme n’est pas en cause voire pour démontrer que de nouvelles mesures sont inefficaces comme la déchéance de nationalité par exemple–Taubira déclare de façon bien imprudente que l’homme qui a attaqué un commissariat, jeudi matin à Paris, « n’a aucun lien avec la radicalisation violente ». Une curieuse déclaration dans la mesure où pour l’instant l’identité même de l’auteur de l’attentat n’est pas certaine. En outre dans ce type d’affaires il faut en général des semaines voire des mois pour tenter d’établir des liens éventuels avec d’autres protagonistes. D’une certaine manière le parquet montre une  grande incohérence en considérant que l’attentat de Valence ne relève pas d’un acte terroriste et qu’inversement celui de la Goutte d’Or lui mérite cette appellation. On ne peut être que dubitatif quand Christiane Taubira considère que l’intention meurtrière du terroriste de la Goutte d’Or n’a aucun lien avec la radicalisation violente. Le parquet antiterroriste s’est saisi de l’affaire, notamment parce que l’assaillant portait un papier avec le drapeau de Daech sur lui au moment où il a attaqué le commissariat de la Goutte d’Or à Paris, jeudi matin. Sur ce papier, il était également écrit en arabe qu’il « prête allégeance » au groupe Etat islamique. Pour autant, « ce qui apparaît très clairement de ce qui est connu de cette personne, (c’est qu’elle) n’a aucun lien avec la radicalisation violente, aucun », a affirmé la ministre de la Justice Christiane Taubira jeudi soir. Christine Taubira qui se ménage quand même une sortie de secours en ouvrant l’hypothèse d’un lien avec un réseau ou bien d’une fragilité psychologique. Bref tout et son contraire ou l’incohérence érigée en valeurs républicaines chez la ministre de la justice.

Etats-Unis : la tueuse était une terroriste de l’Etat islamique

Etats-Unis : la tueuse était une terroriste de l’Etat islamique

 

 

Tashfeen Malik, qui a tué avec son mari 14 personnes mercredi à San Bernardino avant de tomber sous les balles de la police, avait fait allégeance au groupe djihadiste Etat islamique, a déclaré vendredi une source gouvernementale américaine confirmant une information donnée par CNN. Citant des sources policières, la chaîne précise qu’elle a publié son serment d’allégeance à Abu Bakr al Baghdadi, le « calife » autoproclamé de l’EI, sur une page Facebook ouverte sous un nom d’emprunt. Tashfeen Malik, qui était âgée de 27 ans, et Syed Rizwan Farook, 28 ans, ont commis mercredi dans cette ville de Californie la tuerie la plus meurtrière qu’aient subie les Etats-Unis depuis le massacre de décembre 2012 à l’école élémentaire Sandy Hook de Newtown, dans le Connecticut (27 morts dont 20 enfants et le tireur). CNN ajoute que la fusillade, qui a fait également 21 blessés, semble avoir été inspirée et non orchestrée par l’organisation Etat islamique, contrairement aux attaques qui ont fait 130 morts le 13 novembre à Paris et Saint-Denis et que l’EI a revendiquées dans un communiqué diffusé le lendemain. Né dans l’Illinois, fils d’immigrés pakistanais mais de nationalité américaine, Farook avait épousé Malik, de nationalité pakistanaise, à l’été 2014 en Arabie saoudite. Selon le FBI, ils étaient rentrés aux Etats-Unis en juillet 2014. Le couple, qui laisse derrière eux une petite fille de six mois, a ouvert le feu dans une salle de l’Inland Regional Center de San Bernardino en pleine fête de fin d’année organisée par l’agence des services sociaux.  Farook en était un employé, il était chargé de l’inspection sanitaire de restaurants et de piscines. Christian Nwadike, un de ses ex-collègues, a confié vendredi sur CBS qu’il était revenu changé d’Arabie saoudite. « Je pense qu’il a épousé une terroriste », a-t-il ajouté. Les enquêteurs ont saisi des ordinateurs, des téléphones portables et d’autres équipements électroniques qu’utilisait le couple. Ils ont aussi découvert à leur domicile une importante quantité de munitions (4.500 cartouches en plus des 1.600 qui se trouvaient à l’intérieur de leur voiture) et douze bombes artisanales.

Libération otage : Hollande était encore là !

Libération otage : Hollande était encore là !

 

 Le dernier otage français à été libéré. Une occasion pour Hollande de s’afficher une nouvelle fois devant les caméras volant ainsi la vedette à Fabius. Ce dernier a bien entendu réaffirmé que la France n’avait pas payé de rançon. Une affirmation évidemment totalement illusoire. On sait en effet que la libération des les otages français s’effectue presque systématiquement contre une rançon. Isabelle Prime, enlevée en février au Yémen et libérée dans la nuit de jeudi à vendredi, est rentrée vendredi en France. Elle était, selon les autorités, la dernière Française otage à l’étranger. L’avion transportant la jeune femme, qui avait été amenée à Oman après sa libération, s’est posé peu après 19h00 (17h00 GMT) sur la base aérienne de Villacoublay, près de Paris, où elle a été accueillie par ses proches, par François Hollande et Laurent Fabius. Quelques minutes après son arrivée, Isabelle Prime, coiffée d’une casquette et portant des lunettes de soleil, a remercié les services de l’Etat. « On sait que la France est toujours là quand il y a d’énormes problèmes », a-t-elle dit. Alors que François Hollande a renouvelé un appel à ne pas s’exposer pour les Français vivant dans des zones jugées à risque, la jeune femme a expliqué qu’elle avait été enlevée alors qu’elle s’apprêtait à quitter le Yémen. « On est resté jusqu’au bout parce qu’on travaillait sur le système de protection sociale (…) On était sur le point de partir, ça s’est joué à deux semaines », a-t-elle dit avant que son père, présent à ses côtés, précise que l’ex-otage et sa famille ne souhaitaient plus apparaître publiquement. Dans la journée, le ministre des Affaires étrangères avait souligné que la vie d’Isabelle Prime était menacée.   »Nous avons des éléments (…) qui montrent que la mort n’est pas passée loin », a dit Laurent Fabius à iTELE. « Si nous n’étions pas arrivés à la sortir, elle serait morte. » Il a cependant assuré que la France n’avait pas versé d’argent en échange de la libération de cette consultante de 31 ans, enlevée le 24 février avec son interprète par des hommes armés dans la capitale yéménite, Sanaa. « En ce qui concerne l’Etat français, le principe est que nous ne payons pas de rançon. Pour le reste, évidemment ce sont des négociations très compliquées (…) sur lesquelles notre règle d’or (…) est de rester extrêmement discret », a dit le chef de la diplomatie française.  

 

Anti Crash : deux personnes dans le cockpit, il était temps !

Anti Crash : deux personnes dans le cockpit, il était temps !

 

 

On se demande pourquoi on n’a pas pensé plus tôt à mettre deux personnes dans le cockpit.  D’autant que pendant le vol, surtout sur longue distanc,e l’équipage ne sert pas à grand chose. L’avion est en pilotage automatique et les stewards le plus souvent tranquillement assis . L’Agence européenne de sécurité aérienne (AESA) a publié vendredi une recommandation sur la présence permanente de deux personnes dans le cockpit des avions de ligne, décision prise la veille par plusieurs compagnies. Le groupe Air France KLM a peu après indiqué qu’il allait lui aussi appliquer cette mesure.  La mesure se généralise. A son tour, le groupe Air France KLM a annoncé vendredi qu’il allait imposer la double présence dans le cockpit de ses avions. Cette décision fait suite à la publication par l’Agence européenne de sécurité aérienne (AESA) d’une recommandation en ce sens après le crash de l’A320 mardi et les révélations concernant le copilote de la Germanwings. Ce texte « invite les opérateurs à entreprendre une étude de sécurité visant à assurer la présence d’au moins deux personnes autorisées dans le cockpit, ou à garantir un niveau de sécurité équivalent », a indiqué Air France KLM dans un communiqué. Aussi, « Air France et KLM prévoient de mettre en œuvre cette recommandation dans les meilleurs délais ». L’AESA a qualifié de « temporaire » cette mesure, « dans l’attente des résultats de l’enquête technique menée par le Bureau d’enquêtes et d’analyses (BEA) français. » Elle est basée sur les informations actuellement disponibles sur le crash de l’A320 de la Germanwings dans les Alpes françaises mardi dernier, qui a fait 150 morts. Cette recommandation a été publiée après la décision de plusieurs compagnies aériennes européennes, mais aussi du Canada, d’appliquer cette disposition dès jeudi afin de prévenir une situation similaire à celle qui a conduit au crash de l’avion. A noter que la compagnie Air Corsica a indiqué vendredi que ses procédures de sécurité prévoyaient depuis 2011 cette présence de deux personnes dans le poste de pilotage. Jusque-là, l’Agence européenne de sécurité aérienne n’imposait pas cette mesure, mais préconisait simplement que les pilotes demeurent dans le cockpit tout au long du vol sauf en cas de besoin physiologique. Sur les vols long-courriers, le commandant de bord est assisté par deux copilotes, et deux au moins de ces trois personnes se trouvent en permanence dans le cockpit.

 

CGT- Thierry Lepaon : l’appartement était déjà refait à neuf

CGT- Thierry Lepaon : l’appartement  était déjà refait à neuf

Une affaire assez triste qui va discréditer l’intéressé qui s’enfonce un peu plus dans sa défense mais une affaire  qui va aussi discréditer un peu plus la CGT et le syndicalisme en général. Un syndicalisme déjà bien mal en point avec l’hémorragie d’adhérents (5% de syndiqués en France à jour de leurs cotisations). Un syndicalisme surtout discrédité par son incapacité à comprendre les problématiques économiques et même sociales. Il faut dire que les patrons ne font rien pour élever le débat et la médiocrité entraine la médiocrité.  L a CFDT exceptée, la plupart des syndicats adoptent  des postures corporatistes et donc  des stratégies d’opposition à toute évolution. Pas étonnant la plupart des permanents sont des fonctionnaires (ou agents d’entreprise publiques). En outre la plupart sont permanents à vie, se coupent des réalités et privilégient  l’intérêt de leur organisation par rapport à celui de ceux qu’ils sont censés représenter. L’affaire de l’appartement de Lepaon n’est pas grave pas seulement par la somme en jeu mais surtout par le symbole qu’il donne ; la première question qu’il faudrait se poser c’est pourquoi un appartement de fonction ? Tous les permanents ont-ils un appartement de fonction ? La réponse à cette dernière question est non. Dès lors pourquoi au seul secrétaire général et pourquoi des travaux considérés auusi somptuaires par des mandants dont la plupart ont des fins de mois difficiles. C’est donc Nouveau coup de tonnerre dans l’affaire des travaux effectués dans l’appartement du secrétaire général de la CGT. Une semaine jour pour jour après les première révélations du Canard Enchaîné, qui expliquaient comment Thierry Lepaon avait fait effectuer 130.000 euros de travaux dans son appartement aux frais de la CGT, le journal satirique en remet une couche. Désormais, c’est la légitimité d’avoir fait faire des travaux dans cet appartement qui est remise en cause… puisqu’il venait tout juste d’être refait par son propriétaire!  «Pas une rénovation de haut standing», écrit l’hebdomadaire satirique, mais des travaux tout ce qu’il y a de plus honnête. Un coup de peinture blanche sur les murs de l’appartement, une moquette toute neuve, agrémentés de meubles Ikéa posés dans la cuisine. «C’était parfait pour un jeune couple», explique le propriétaire de l’appartement. Parfait pour un jeune couple, mais pas – à l’évidence – pour Thierry Lepaon: la CGT a entrepris d’arracher la moquette pour y poser du parquet flottant, et de mettre un coup de pinceau plus soigné sur les murs de l’appartement.Autre surprise révélée par le Canard Enchaîné : la «vraie» surface dudit appartement, qui ferait en réalité 40 mètres carrés de moins que ce qui était annoncé initialement… Avec cette surface, les 2000 euros de loyer mensuels que la CGTqualifiait de «bonne affaire» se révèlent finalement être tout à fait raccords avec les prix actuels du marché. L’appartement avait été présenté à ce prix sur la vitrine de l’agence, et avait récolté trois candidatures. C’est celle de la CGT qui a remporté la mise, notamment grâce à la liste des travaux et aménagements qu’elle comptait effectuer à ses frais.  Un devis de travaux gratiné culminant à un peu moins de 150.000 euros (105.000 euros de travaux et 45.000 de fournitures et de mobilier) qui a été approuvé et signé par le trésorier de la CGT. De cette manière, la petite entreprise AD Peinture, qui a réalisé les travaux, a signé – de loin – son contrat de l’année: cette dernière qui emploie deux personnes affichait 239.900 euros de chiffre d’affaires pour 2013. Avec devis faramineux, la petite entreprise artistique initialement spécialisée dans les peintures décoratives (pochoirs, fresques, faux bois) s’est donc adonnée à des activités beaucoup plus diversifiées: plomberie, électricité, maçonnerie… Un effort qui s’est vérifié sur les prix qu’elle a proposés à la CGT. Certains travaux se sont révélés exceptionnellement onéreux.  Les toilettes qui ont été installées dans l’appartement de Thierry Lepaon en sont un parfait exemple: elles contiennent la bagatelle de… 4553 euros de fournitures, incluant 1397 euros pour une cuvette classique et 1595 euros de «lave-mains», écrit le Canard Enchaîné. Des détails qui accentuent encore davantage la pression sur le secrétaire général de la CGT, qui déclarait, pas plus tard que ce matin, qu’il a «découvert par la presse» le montant des travaux.

 

Ecoutes : » Hollande était « informé »(Mélenchon)

Ecoutes : » Hollande était « informé »(Mélenchon)

Dimanche soir, dans l’émission Tous politiques diffusée sur France Inter et France24, Jean-Luc Mélenchon est revenue sur la semaine de polémiques autour de l’affaire des écoutes de Nicolas Sarkozy. Le coprésident du Parti de gauche (PG) s’est dit « certain » que François Hollande était « parfaitement informé » de ces écoutes judiciaires.  »Personne ne nous fera croire que les écoutes démarrent et personne n’est au courant dans les rouages de l’Etat? Si c’est vrai, alors c’est que ce sont des irresponsables absolus », a-t-il ainsi déclaré Jean-Luc Mélenchon. « Si j’ai une certitude, c’est celle-là. Il était parfaitement informé, il était au courant », a encore martelé Jean-Luc Mélenchon en évoquant le président de la République. Interrogé pour savoir s’il pensait que François Hollande et Jean-Marc Ayrault mentent lorsqu’ils disent qu’ils n’étaient pas informés, Jean-Luc Mélenchon a répondu : « Oui bien sûr, ce n’est pas grave, c’est habituel, ils mentent tout le temps. » « Les rois des menteurs, c’est eux. Ils avaient dit qu’ils renégocieraient le traité européen, ils ne l’ont pas fait; ils ont dit qu’ils feraient la retraite à 60 ans, ils ne l’ont pas fait », a-t-il enchaîné avant de s’en prendre également à Manuel Valls.  »Les officiers de police judiciaire sont placés sous l’autorité du juge qui prend la décision mais la voix hiérarchique c’est toujours la police nationale. Bien sûr que tous ces gens savaient », a-t-il conclu après avoir précisé qu’il ne demandait pas pour autant la démission de Christiane Taubira.

 

12



L'actu écologique |
bessay |
Mr. Sandro's Blog |
Unblog.fr | Annuaire | Signaler un abus | astucesquotidiennes
| MIEUX-ETRE
| louis crusol