Archive pour le Tag 'et autres'

Société- Écrans : l’addiction des ados ( et autres) ….à la violence

Société- Écrans : l’addiction des ados ( et autres) ….à la violence

  • Par la Dr Nathalie Szapiro-Manoukian qui souligne une sorte d’addiction des ados à la violence des écrans. Les tueries de toutes sortes constituent le thème central de la plupart des films séries et jeux des enfants qui ont ensuite de la difficulté à distinguer le virtuel de la réalité. Des scènes de brutalité  invraisemblable où l’objectif quasi unique consiste à détruire et à tuer. Une brutalité de sauvages retournés à l’époque néandertalienne qui ensuite influence les relations sociales.Une brutalité démente évidemment sans aucun intérêt intellectuel et même sans intérêt du tout qui témoigne d’une dérive des valeurs voire des comportements par exemple des extrémistes politiques.
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  • De nombreux facteurs peuvent conduire un adolescent à la violence: un milieu social valorisant la loi du plus fort, des proches maltraitants, un traumatisme, la prise de drogues… Il est désormais prouvé que l’augmentation des représentations de violence dans les médias, les films, les séries ou la téléréalité, y contribue également.
  • «Un large consensus se dégage au sein de la communauté scientifique pour reconnaître l’impact délétère, à court et long terme, des contenus médiatiques violents sur le développement et le comportement des adolescents, souligne Michel Desmurget, directeur de recherche Inserm au Centre de neurosciences cognitives à Lyon et auteur de La Fabrique du crétin digital (Seuil). L’existence de quelques études orphelines contradictoires ne saurait démentir cette réalité.»
  • À l’échelle d’une population, la surexposition à des images et des contenus véhiculant une certaine brutalité (bagarres, tueries, pornographie…) se traduit par une augmentation de l’agressivité comparativement…

Santé- Vaccin covid: Les sociologues et autres bavards sommés de se taire par le CNRS

Santé- Vaccin covid: Les sociologues et autres bavards sommés de se taire par le CNRS

 

Nombre de pseudo experts notamment des sociologues n’hésitent pas à donner leur avis à propos du covid. Le CNRS somme ces bavards impénitents de se taire sur des sujets dont ils ignorent tout . Dans le corps médical lui-même, nombre de soignants s’expriment aussi sans compétence particulière poussés il est vrai notamment par les chaînes d’information continue en mal de bla-bla

Un chercheur en sociologie est-il fondé à analyser les effets indésirables des vaccins contre le Covid-19 ? Pour le CNRS, la réponse est non. Dans un communiqué, mardi 24 août, l’organisme « déplore les prises de position publiques de certains scientifiques, souvent plus soucieux d’une éphémère gloire médiatique que de vérité scientifique, sur des sujets éloignés de leurs champs de compétences professionnelles ».

Sans le nommer, le CNRS incrimine l’un de ses directeurs de recherche en sociologie, Laurent Mucchielli, qui a publié, depuis mars 2020, pas moins de soixante-trois analyses consacrées à la crise sanitaire sur son blog hébergé par Mediapart, dont l’une a été dépubliée le 4 août par la rédaction en chef au motif qu’elle diffusait de « fausses informations ».

Le sociologue, spécialiste de la délinquance et des politiques de sécurité, y affirmait au côté d’autres signataires, dont deux pharmaciens et un médecin, que la vaccination de masse contre le Covid-19 conduisait à « une mortalité inédite dans l’histoire de la médecine moderne ». Aux Etats-Unis, elle « a contribué à tuer cinq fois plus de personnes que la vaccination antigrippe en trente ans », avançait-il, en s’appuyant sur les enquêtes de pharmacovigilance des différents vaccins.

 « Ces communications ne respectent aucune des règles en vigueur dans le cadre de publications scientifiques, notamment le jugement par les pairs, seuls à même de contrôler la rigueur de la démarche », tranche le CNRS, qui précise que son comité d’éthique a « récemment » approuvé une recommandation prévoyant que « le chercheur qui intervient dans l’espace public doit préciser à quel titre il prend la parole », en qualité de spécialiste, en tant que représentant de son organisme de recherche ou au titre de « citoyen engagé, voire de militant ».

A la faveur d’une tribune publiée dans les colonnes du Monde, jeudi 19 août, huit sociologues, dont Gérald Bronner et Dominique Schnapper, avaient sommé le CNRS de réagir, évoquant la manipulation qui consiste à confondre les décès durant une période consécutive à une vaccination avec ceux causés par la vaccination.

 « L’imputabilité est un travail d’enquête fait par des médecins et des pharmaciens spécialisés en pharmacovigilance. Un sociologue ne pourrait y prendre part », rappelle Fabienne Blum, présidente de Citizen4Science, association créée fin 2020 pour soutenir les scientifiques « harcelés » depuis le début de la crise sanitaire.

Un avis que ne partage pas Laurent Mucchielli. « La science repose sur le débat contradictoire, la libre discussion des données et des raisonnements, se défend-il dans une réponse écrite au MondeLe CNRS ne s’en serait jamais inquiété s’il n’avait pas été harcelé par mes détracteurs. ».

Un sociologue qui confond sans doute bavardage et recherche ! Comme trop souvent dans sa discipline.




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