Archive pour le Tag 'espéré'

Croissance : L’Allemagne espère un rebond

Croissance : L’Allemagne espère  un rebond 

Un petit rebond de la production industrielle est espéré en l’Allemagne actuellemeet en récession. Jusque-là les mauvais résultats des exportations et du secteur industriel sont  en grande partie responsable de la crise économique que traverse l’Allemagne. La première puissance économique européenne se retrouve frappée par une deuxième année de récession consécutive. Son produit intérieur brut (PIB) est en effet attendu en recul de 0,2% en 2024 (après -0,3% l’année précédente). Une première estimation dévoilée la semaine prochaine devrait confirmer, ou non, cette prévision. Quant aux perspectives pour l’avenir, si elles sont meilleures, elles ne sont pas réjouissantes. Mi-décembre, la Banque fédérale d’Allemagne a actualisé à la baisse ses prévisions de croissance pour les années 2025 et 2026. Elle prévoit une hausse de 0,2% du PIB allemand l’an prochain (contre 1,1% dans ses dernières estimations en juin) et de 0,8% pour 2026 (+1,4% précédemment).

 

Il y a cependant quelques raisons d’espérer car la production industrielle et les exportations allemandes ont retrouvé des couleurs en novembre après deux mois de baisse, d’après des données officielles publiées ce jeudi. Mais derrière ces rares éclaircies, la première économie européenne reste enlisée dans la crise. Dans le même temps, les exportations ont grimpé de ,1%, après avoir reculé de 2,9% en octobre. L’Allemagne a ainsi exporté pour 127,3 milliards d’euros de marchandises, en données corrigées des variations saisonnières (CVS). Les importations ont, elles, reculé à 107,6 milliards d’euros, confortant l’excédent commercial du pays à 19,7 milliards d’euros. « Il y a maintenant un léger espoir qu’au moins le dernier trimestre de 2024 n’ait pas été aussi mauvais qu’on le craignait », relève Jens-Oliver Niklasch, de la banque LBBW.

Mi-décembre, la Banque fédérale d’Allemagne a actualisé à la baisse ses prévisions de croissance pour les années 2025 et 2026. Elle prévoit une hausse de 0,2% du PIB allemand l’an prochain (contre 1,1% dans ses dernières estimations en juin) et de 0,8% pour 2026 (+1,4% précédemment).

 

Croissance économique: Autour de 1 % espéré en 2024

Croissance économique:  Autour de 1 % espéré en 2024

 

Dans sa note de conjoncture dévoilée ce mardi, l’institut de statistiques table sur une croissance du produit intérieur brut (PIB) de 1,1%, comme en 2023. 

L’indice des prix à la consommation a reflué sur un an passant de 4,5% à 2,1%, soit un niveau très proche de la cible de la Banque centrale européenne (2%). Après avoir grimpé vers des sommets, l’inflation alimentaire et celle des produits agricoles se sont stabilisées. Dorénavant, ce sont plutôt les services qui poussent l’inflation. Les hausses de salaires restant « modérées », il n’y a pas de « boucle prix salaire », souligne l’Insee. « Les ménages réengrangent un peu de pouvoir d’achat après deux années de vaches maigres », note Dorian Roucher.

Malgré cette légère embellie, « la hausse ne compense pas les pertes cumulées sur les deux années », nuance Clément Bortoli, Chef de la division Synthèse conjoncturelle. À l’exception du salaire minimum indexé sur l’inflation, la plupart des revenus réels des travailleurs ont décroché depuis l’éclatement de la guerre en Ukraine. Dans le secteur privé par exemple, les salaires réels ont reculé de près de 1% (0,8%) en 2023. Résultat, la consommation des ménages, traditionnel moteur de la croissance, a flanché en 2022 et 2023. Les économistes s’attendent néanmoins à une consommation des ménages plus favorable cette année (+1,3% contre 0,9% en 2023), supérieure même au niveau de croissance (1,1%).
L’investissement des entreprises, lui, reste à la peine. Après avoir fortement rebondi dans le sillage du Covid, la courbe d’opinion des chefs d’entreprise n’a cessé de chuter. Concernant les marges, les entreprises ont pu limiter la casse malgré les différentes crises. « Cette bonne tenue des marges s’explique par une baisse des salaires réels. Lors des précédents chocs pétroliers, les salaires réels avaient augmenté », rappelle l’économiste. Reste à savoir comment la conjoncture va évoluer au courant de l’été particulièrement brûlant politiquement.

 

 

 

Croissance: Autour de 1 % espéré en 2024

Croissance:  Autour de 1 % espéré en 2024

 

Dans sa note de conjoncture dévoilée ce mardi, l’institut de statistiques table sur une croissance du produit intérieur brut (PIB) de 1,1%, comme en 2023. 

L’indice des prix à la consommation a reflué sur un an passant de 4,5% à 2,1%, soit un niveau très proche de la cible de la Banque centrale européenne (2%). Après avoir grimpé vers des sommets, l’inflation alimentaire et celle des produits agricoles se sont stabilisées. Dorénavant, ce sont plutôt les services qui poussent l’inflation. Les hausses de salaires restant « modérées », il n’y a pas de « boucle prix salaire », souligne l’Insee. « Les ménages réengrangent un peu de pouvoir d’achat après deux années de vaches maigres », note Dorian Roucher.

Malgré cette légère embellie, « la hausse ne compense pas les pertes cumulées sur les deux années », nuance Clément Bortoli, Chef de la division Synthèse conjoncturelle. À l’exception du salaire minimum indexé sur l’inflation, la plupart des revenus réels des travailleurs ont décroché depuis l’éclatement de la guerre en Ukraine. Dans le secteur privé par exemple, les salaires réels ont reculé de près de 1% (0,8%) en 2023. Résultat, la consommation des ménages, traditionnel moteur de la croissance, a flanché en 2022 et 2023. Les économistes s’attendent néanmoins à une consommation des ménages plus favorable cette année (+1,3% contre 0,9% en 2023), supérieure même au niveau de croissance (1,1%).
L’investissement des entreprises, lui, reste à la peine. Après avoir fortement rebondi dans le sillage du Covid, la courbe d’opinion des chefs d’entreprise n’a cessé de chuter. Concernant les marges, les entreprises ont pu limiter la casse malgré les différentes crises. « Cette bonne tenue des marges s’explique par une baisse des salaires réels. Lors des précédents chocs pétroliers, les salaires réels avaient augmenté », rappelle l’économiste. Reste à savoir comment la conjoncture va évoluer au courant de l’été particulièrement brûlant politiquement.

 

 

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La gauche libérale déçue mais espère encore de Macron

La gauche libérale déçue mais espère encore de Macron

 

La gauche libérale est déçue de Macon mais elle espère encore. Bernard Spitz, président des Gracques, explique la genèse du think tank : «Il a été créé en 2007. Au départ, c’est une initiative de gens issus du centre gauche, de la gauche moderne et européenne, qui avaient envie d’exprimer eux-mêmes leurs idées sans dépendre des figures politiques du moment. Beaucoup venaient de cabinets de gauche puis ça s’est élargi.» (L’Opinion, extrait)

 

Un groupe d’influence à l’ADN très macroniste qui, pourtant, se dit aujourd’hui déçu par le quinquennat. Bernard Spitz relativise: «La France est à bout de souffle pour des raisons multiples, comme le choc de la pandémie. Concernant le chômage, on n’arrive pas à le baisser car nous n’avons pas les compétences qui vont avec les besoins de l’économie. Cela fait des décennies que c’est le cas et on le paye aujourd’hui.»

A l’horizon de la présidentielle, les Gracques publient une sorte de programme intitulé Le manifeste de la dernière chance où ils associent «le programme d’une gauche libérale et d’une droite sociale». «On essaye de concilier l’efficacité de l’économie de marché et les considérations sociales, précise Bernard Spitz. On ne peut pas faire l’un sans l’autre. C’est une forme d’équilibre, de compromis, pour que le pays puisse avancer. Le livre est une analyse paisible de la situation. Il y a des points de satisfaction et d’autres sur lesquels on porte des jugements, des insatisfactions.»

Parmi les propositions des Gracques, on retrouve l’idée de réformer les retraites… mais avec la mise en place d’un âge pivot à 64 ans. «On a fait les calculs, c’est chiffré, c’est calibré, pointe notre invité. La réforme des retraites imaginée en ce moment est trop conceptuelle et on en paye le prix. Aujourd’hui, sur cette question, il faut faire simple.»

Les Gracques imaginent aussi la mise en place d’un mandat de six ans, renouvelable, avec des élections législatives à mi-mandat afin de «redonner une vie démocratique au pays ». «L’idée est de lancer dès le départ les grandes réformes, continue Bernard Spitz. Pour responsabiliser les députés et redonner un rôle important à la représentation nationale. Ainsi, les gens mécontents savent qu’ils pourront s’exprimer bientôt. Ce système permet d’établir un lien réel entre le pays et ses dirigeants.»

Et pour le think tank, aucun doute: les cent premiers jours du quinquennat sont capitaux.

2017 : Hollande craint Le Pen ou espère au second tour

2017 : Hollande craint Le Pen ou espère au second tour

 

 

Finalemenet Hollande ne pense qu’à cela : se faire réélire en 2017. Il dit craindre que Marine Lepen se qualifie pour le second tour, en fait c’est ce qu’il espère puisqu’il compte sur le reflexe républicain pour se faire élire ; Au passage, il s’assoit sur les primaires socialistes. Pas sûr évidemment qu’il se qualifie tellement i est impopulaire et inefficace. Le président craint donc de revivre la présidentielle de 2002, quand la gauche avait été éliminée du premier tour, devancée par le Front national, rapporte « Le Parisien ». Le FN au second tour en 2017 ? « Ce n’est pas un risque, c’est une réalité », estime François Hollande, selon Le Parisien, dimanche 20 juillet. Le président se prépare à un bon score de Marine Le Pen à la prochaine présidentielle, rapporte le quotidien. François Hollande craint de revivre le scénario du 21 avril 2002, quand Lionel Jospin avait été éliminé du premier tour de la présidentielle, devancé par Jean-Marie Le Pen et Jacques Chirac. Il commence donc déjà à se mettre en ordre de bataille pour arriver au second tour en 2017. Car si l’arrivée de Marine Le Pen en tête au premier tour est presque une certitude pour la gauche, la victoire de son adversaire au second tour l’est tout autant. « Celui qui arrivera au second tour avec elle sera élu« , prédit un ténor du PS cité par le Parisien.  Dans cette perspective, le chef de l’État est persuadé qu’il pourra tirer profit de son bilan à l’Élysée. « Je me prépare pour qu’on ait en 2017 un bilan qui permette à la gauche d’être au deuxième tour et de gagner l’élection », glisserait-il à ses visiteurs, faisant peu de cas de l’hypothèse d’une primaire socialiste pourtant réclamée par plusieurs courants rue de Solferino.

 

Sondage 2017 : Sarkozy espéré par 87% des sympathisants (IFOP-JDD)

Sondage 2017 : Sarkozy espéré par 87% des sympathisants (IFOP-JDD)

Elle appuie la stratégie de l’ancien Premier ministre car elle montre que, comme lui, les Français pensent qu’il a plus de chances que Sarkozy d’être candidat à la présidentielle de 2017. Ainsi 74% des Français estiment que Fillon participera à la compétition, contre 61% pour Sarkozy. Et surtout un sympathisant UMP sur quatre pense que l’ex-président ne sera pas candidat! « Il y a de vraies interrogations sur la capacité de Nicolas Sarkozy à revenir dans le champ politique. Les mêmes doutes d’ailleurs que pour Jospin après son échec en 2002, ou DSK quand il était au FMI », note Frédéric Dabi, directeur général adjoint de l’Ifop. En revanche, si on demande aux Français qui ils veulent voir monter sur le ring en 2017, l’avantage est à Sarkozy. Ils sont 40% à souhaiter qu’il soit candidat, contre 38% pour Fillon. Avec une structuration politique très différente : Sarkozy est espéré par 87% des sympathisants UMP, et seulement 11% des sympathisants de gauche. Fillon est lui attendu par 52% des sympathisants UMP, mais par 30% des sympathisants de gauche. Dans la bataille des traits d’image chez les sympathisants de droite, Sarkozy écrase le député de Paris. À leurs yeux, il incarne bien davantage le dynamisme (83% contre 6% pour Fillon), le courage (71% contre 14%), et même la capacité à remporter la présidentielle (61% contre 20%). « Contrairement à Valéry Giscard d’Estaing, qui avait été rayé de la mémoire de son camp après la présidentielle perdue de 1981, Sarkozy conserve une équation personnelle très forte. Il y a chez les sympathisants de droite une sorte de déni de défaite », note Frédéric Dabi. On toucherait même, selon notre sondeur, à « l’irrationnel » quand on observe que les sympathisants de droite pensent que Sarkozy est plus à même que Fillon de sortir le pays de la crise ou de rassembler les Français. Ce sont pourtant les deux reproches qui ont été le plus fréquemment adressés à l’ex-chef de l’État. Un an après sa défaite, Sarkozy reste, selon les mots de notre sondeur, une sorte de « totem » pour la droite. Il n’est guère que sur l’honnêteté que Fillon le supplante (43 % contre 33 %). « Cela rejoint nos chiffres sur le pronostic de candidature, conclut Dabi. Il y a un vrai doute à droite sur la façon dont Sarkozy pourra se sortir des affaires. »




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