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Pollution des voitures : réduction des normes

Pollution des voitures : réduction des normes  

 

On pourra donc polluer deux fois plus que les normes antérieures. l’UE a donc décidé sous la pression des constructeurs notamment de l’Allemagne de réduire les normes L’accord conclu mercredi définit ainsi un « facteur de conformité » de 2,1 à partir de fin 2017, signifiant que les véhicules pourront produire plus de deux fois plus d’émissions polluantes que la limite officielle. Ce facteur de conformité sera abaissé à 1,5 deux ans plus tard, selon des sources européennes. Autrement dit, au-delà de cette date, les véhicules pourront encore émettre des oxydes d’azote (NOx) dans des proportions allant jusqu’à 50% de plus que le plafond prévu de 80 milligrammes/kilomètre. La Commission européenne proposait initialement que des tests en conditions réelles soient organisés dès l’année prochaine pour permettre une entrée en vigueur complète en 2017 pour les nouveaux véhicules, à l’issue d’une montée en puissance du dispositif sur deux ans. Cette proposition consistait aussi à ce que les émissions d’oxydes d’azote ne dépassent pas de plus de 60%, puis de plus de 20%, la limite autorisée. Le compromis trouvé par les gouvernements a été critiqué par des eurodéputés. « La décision prise aujourd’hui sur les nouveaux tests d’émissions pour les voitures est méprisable », a déclaré le libéral néerlandais Gerben-Jan Gerbrandy.

Politique d’asile française : du pipeau d’après la Cour des comptes

Politique d’asile française : du pipeau d’après la Cour des comptes

 

La France qui a déjà été condamnée par l’ONU et l’Europe pour sa politique d’asile l’est cette fois par la Cour des comptes. Résumons, l’asile est refusé pour environ 75% des demandeurs mais 96% restent sur le territoire. Cela après des démarches interminables et coûteuses pour la collectivité et les  intéressés  – bref une politique d’asile complètement illusoire et inefficace. Sévère dans les textes, inopérante dans la réalité.  « En France, le délai global est de deux ans en moyenne, sans prendre en compte les demandes de réexamen, alors que les durées moyennes dans les autres États européens sont bien inférieures: cette durée est ainsi d’un an en Allemagne », peut-on lire dans le référé de la cour des comptes. La réduction des délais présenterait deux avantages, selon la Cour : permettre de réaliser des économies, mais aussi « dissuader certaines demandes d’asile a priori infondées et de rendre moins délicat l’éloignement des personnes déboutées ». Le manque de suivi des demandeurs d’asile aboutit en effet à ce que les personnes qui ne bénéficient pas de l’asile restent malgré tout le plus souvent sur le territoire français.   »(Quelque) 74% des demandes d’asile ont été rejetées chaque année en moyenne entre 2009 et 2013, en France. L’enquête de la Cour fait apparaître que le taux d’exécution des obligations de quitter le territoire français (OQTF), notifiées aux personnes déboutées du droit d’asile, est de 6,8% », selon la Cour. « In fine, plus de 96% des personnes déboutées resteraient en France compte tenu, d’une part, du taux d’exécution très faible des OQTF et, d’autre part, des procédures et des recours engagés par les demandeurs d’asile. » Valls dans sa repose affirme que le renforcement des effectifs va permettre d’améliorer la situation. Ce serait plutôt le contraire. Il faudrait moins de procédures mais appliquées et moins de fonctionnaires.

Cent millions de pauvres en plus en Afrique notamment dans les pays « riches »

Cent millions de pauvres en plus en Afrique notamment dans les pays « riches »

 

C’est le paradoxe, i y a de plus en plus de pauvres en Afrique y surtout dans les pays riches en matières premières. En cause le pillage de ces richesses avec la complicité des gouvernances corrompues. En effet  les pays riches en ressources naturelles sont souvent moins bien lotis que les autres, en raison de la convoitise suscitée par ces richesses, qui engendre incurie des gouvernements et corruption ainsi que des conflits internes et externes. Les ressortissants de pays dont le sous-sol est riche sont plus illettrés, ont une espérance de vie inférieure de 4,5 années tandis que les femmes et les enfants souffrent davantage de malnutrition que dans les autres Etats africains. Au total,  Le nombre de pauvres en Afrique sub-saharienne a augmenté de 100 millions en près de 25 ans, malgré une croissance économique moyenne de 4,5%, estime la Banque mondiale dans un rapport publié vendredi. La population ayant fortement augmenté depuis 1990, le nombre d’Africains sous le seuil de pauvreté a baissé en pourcentage, mais est en hausse en valeur absolue. Selon la Banque mondiale, 388 millions de personnes, soit 43% des 900 millions d’habitants de l’Afrique sub-saharienne vivaient en 2012 avec moins de 1,90 dollar par jour (1,70 euro). En 1990, au début de l’étude, le ratio était de 56%, soit 284 millions de personnes. Même si un enfant qui naît en Afrique aujourd’hui a une espérance de vie de six ans supérieure à celle d’une enfant né en 1995, la Banque mondiale estime que les réalisations des pays de la zone en matière sociale sont « faibles dans tous les domaines ». Par exemple, le seuil de tolérance en matière d’acceptation des violences domestiques est deux fois plus élevé que dans les autres régions du monde en développement. Malgré un taux de scolarisation en hausse, plus de deux adultes sur cinq, sont incapables de lire ou d’écrire, lit-on dans le rapport de la Banque mondiale. Près de deux enfants sur cinq souffrent de malnutrition et une femme sur huit est en sous-poids, ce qui n’empêche pas l’obésité de faire son apparition.

Élections régionales PACA : Les dissidents ne veulent pas figurer sur la liste officielle du FN

Élections régionales  PACA : Les dissidents ne veulent pas figurer sur la liste officielle du FN

Malgré leur dévotion pour Jean-Marie Le Pen, les frondeurs du FN rejettent en bloc le parti de Marine Le Pen. Le geste d’apaisement du « Menhir » ne devrait pas éviter les listes dissidentes aux élections régionales en décembre prochain.  »C’est une ultime tentative de conciliation de la part de M. Le Pen », confie Lydia Schenardi, à RTL.fr à la sortie du déjeuner. Pour la conseillère régionale du Front national en PACA, Jean-Marie Le Pen a consenti à ce dernier effort pour se « dédouaner de toute responsabilité » dans le conflit qui déchire le Front dans le Sud-est. Pour cette élue historique du FN dans les Alpes-Maritimes, l’annonce et le déjeuner du vendredi 16 octobre ne sont que de « l’habillage » car Jean-Marie Le Pen savait que cette main tendue était désespéré. « Il n’y a pas de conciliation possible », assène celle qui fait partie du premier cercle du cofondateur du FN depuis près de trente ans. Écœurée par la nouvelle ligne du Front nationale de Marine Le Pen et Florian Philippot, elle souhaite désormais faire campagne auprès de Jacques Bompard : « Nous n’attendons pas l’aumône de Madame Le Pen [Marion Maréchal] après avoir été traités d’aigris et de logiciels périmés. » Dans les Alpes-Maritimes, bastion des légitimistes du FN, le candidat investi par Marion Maréchal-Le Pen cristallise le conflit. « Il est hors de question que je rallie les listes d’Olivier Bettati alors qu’il a appelé à voter Modem ou PS pour contrer le FN par le passé », s’insurge Jean-Jacques Guitard, conseiller municipal à Beausoleil (Alpes-Maritimes).  L’ancien adjoint de Christian Estrosi incarne les rancœurs des militants historiques : « Nous ne voulons pas de quelqu’un d’étranger au FN pour mener les listes dans le département », martèle Lydia Schenardi.  Les frondeurs de l’extrême droite sont désormais prêts à en découdre avec un FN qu’ils ne reconnaissent plus. « Aujourd’hui, c’est devenu un parti fourre-tout, aseptisé, qui cherche à gagner des voix au détriment du combat national », attaque Jean-Jacques Guitard. Si cet élu local explique qu’il « comprend et respecte » la décision de Jean-Marie Le Pen, la rupture est consommée : « Je suis très déçu mais la fracture est désormais trop grande. » Même au second tour des élections régionales, il ne soutiendra pas les listes officielles du Front national. . Les listes départementales du Front national doivent toutes être validées par la Commission nationale d’investiture, au siège du FN, et « là c’est Marine qui a le dernier mot« , reconnaît un membre de l’équipe de campagne. Pour certains des frondeurs, la présidente du Front national aurait fait avorter toutes les tentatives de conciliation de façon très calculée. Marine Le Pen ne souhaiterait pas voir triompher sa nièce en PACA alors qu’elle n’est pas sûre de remporter les élections en Nord-Pas-de-Calais-Picardie.

 

49-3 : esprit du 11 janvier es-tu là ? ( Valls)

49-3 : esprit du 11 janvier es-tu là ?  ( Valls)

 

Valls comme Hollande ont usé,  abusé , détourné et finalement tué l’esprit du 11 janvier. Ils imaginaient sans  doute que l’union nationale qui s’est manifesté pour protester contre le atrocités des terroristes permettaient de faire l’impasse sur les divergences économiques tant à gauche qu’à droite. A cet égard,  ils ont surestimé leur  rapacité à se mettre au niveau des enjeux. 2chec  sur le terrorisme en ne décidant que de meurettes là où on attendait une vraie prise de conscience et au-delà des orientations à la mesure de la gangrène islamiste qui pourrit notamment les banlieues. A cet égard les mesures les plus insipides et les plus caricaturales concernent  sans doute l’école. Notamment avec cette grande décision d’introduire Smartphones et ordinateurs ;  pour permettre aux élèves d’apprendre à se  servir de ces technologies alors que la plupart des gamins pourraient en remontrer dans ce domaine à leurs parents, aux élus y compris lorsqu’ils sont ministres. Bref des gadgets, un doliprane pour soigner un cancer. Le sommet de l’illusion angélique a sans doute été atteint  à  Marseille quand Valls a été accueilli par des salves de kalachnikovs. Certes quelques avancées ont été réalisée à Marseille en matière insécurité mais elles ne méritaient pas cette célébration ridicule, il reste tellement à faire pas seulement à Marseille, dans les grandes villes, les moyennes ou même les petites où chaque nuits des exactions sont commises et où le trafic de drogue faiat office de développement t économique et social. Oui,  même les petites communes  10 000 habitants où chaque nuit des voitures sont volées, brulées mais que la  presse locale  minimise ou oublie pour ne pas nuire à ‘limage des élus. Sans parler évidemment des trafics d toutes sortes notamment de stupéfiants.  Une faillite donc en matière de lutte du terrorisme, de lutte contre l’islamisme . En matière économique il fallait quand même être bien naïf et/ou incompétent pour s’imaginer que la loi Macron, loi  fourre tout, anecdotique serait de nature à emballer les foules et à leur faire croire qu’il y avait loi la volonté d’engager de grande réformes structurelles pour dynamiser croissance et emploi. Cette loi Macron ressemble à un vide grenier. Comme pour le terrorisme pas du tout à la hauteur de l’enjeu. Il y a eu certes un moment d’union nationale après les tragiques événements  mais le 11 janvier a été instrumentalisé au delà de toute décence . D’ailleurs Hollande et Vals ont vite replongé dans les sondages quand les Français ont constaté ‘l’immobilisme du gouvernement, son angélisme, . de ce pont de vue la loi Macron est la modernisation de l’économie ce que l’homéopathie est à la chirurgie. Pas inutile mais pas adaptée.

« Esprit du 11 janvier es-tu là » ? ( Hollande)

« Esprit du 11 janvier es-tu là » ( Hollande)

 

C’est l’interrogation de Hollande, de Valls et de la majorité qui font tourner les tables pour retrouver l’âme disparue du 11 janvier. Mais  les français ne sont pas dupes de cette récupération politicienne ; Ils sont d’autant moins dupes que Hollande comme Valls, comme le gouvernement  a fusillé l’opportunité de s’appuyer enfin sur l’opinion pour mettre en œuvre de vraies réformes. Hollande et Valls ont tué dans l’œuf la fragile espérance : peut-être les gouvernants tiendraient-ils  enfin compte de la réalité économique, sociale, culturelle  et décideraient enfin des mesures structurelles pour s’attaquer tant aux dérives économiques qu’aux dérives sociétales ; Au lieu de cela des discours martiaux (surtout Valls à l’ressemblée), du verbiage, des promesses, et finalement des mesurettes. La loi micron Macron dans le domaine économique (certaines mesures pas complètement inutiles) mais pas à la hauteur des enjeux (la réformes des notaires et le  travail du dimanche pour relancer la croissance !!). Et des crottes de chat pour lutter contre la violence, le terrorisme, pour restaurer autorité à l’école. Exemple des ordinateurs dans les écoles quand les gamins même incultes pourraient en remontrer à ceux qui nous dirigent en matière de nouvelles technologies de information. Oui ils  ont tué l’espérance et la sanction est vite venue. Ils replongent dans les sondages, le PS a sauvé sa peau dans l’élection du Doubs mais provisoirement, la déconfiture se profile pour les départementale. Un gouvernement également bien aidé par toute l’opposition qui veut bien du pouvoir mais ne sait pas quoi en faire et qui du coup se réfugie dans les querelles politiciennes pour cacher la misère de ses propositions. Sans parler des extrêmes qui proposent aux français de fumer la moquette. Ce n’est pas d’une nouvelle majorité dont le pays a besoin, mais d’un autre système, dune autre démocratie, d’un autre constitution bref d’un coup de balai de l’extrême gauche à l’ extrême droite.

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Interdiction des feux de cheminées en Ile-de-France : mesure absurde (Ségolène Royal)

Interdiction des feux de cheminées en Ile-de-France : mesure absurde (Ségolène Royal)

Royal veut encourager la filière bois revenir sur l’arrêté préfectoral interdisant les feux de cheminées en Ile-de-France. Le feu dans les cheminées classiques devait théoriquement être proscrit à Paris et dans de nombreux secteurs de l’Ile de France à partir du 1er janvier 2015. La ministre du Développement Durable a qualifié l’interdiction des feux de cheminées à foyer ouvert en Ile de France de «décision un peu absurde. On était dans le ridicule, je vais faire changer cette décision», a ajouté Ségolène Royal sur France 2. Elle a indiqué que de toutes façons, cette mesure ne serait «pas appliquée car il n’y a pas de sanctions». La ministre a même affirmé: «J’encourage le chauffage au bois». Elle affirme en effet qu’elle ne souhaite pas pénaliser la filière biomasse et qu’elle ne souhaite pas que toute la filière bois pâtisse de cette mesure. Le Grenelle de l’environnement avait d’ailleurs pour objectif de doubler la consommation de bois de chauffage d’ici 2020. Et lorsqu’une maison est construite aujourd’hui, elle doit respecter la réglementation thermique 2012, la RT 2012. Mais, si le chauffage est électrique, les critères de calcul font qu’il faut rajouter une source d’énergie renouvelable pour respecter la norme. Résultat, la plupart des constructeurs adjoignent alors un poêle à bois. Aujourd’hui, on ne peut que s’interroger. Il n’y a que Paris et l’Ile-de-France qui sont visés pour l’instant ?  On peut craindre que d’autres régions soient tentées de prendre les mêmes dispositions. On pense, par exemple à la région Rhône-Alpes où des études démontrent que la pollution par le chauffage au bois est supérieure à celle de la circulation automobile. Gageons que, d’ici quelques années, toutes les régions qui comportent une grosse métropole finissent par interdire le chauffage au bois. Dommage, c’est l’une des énergies les moins chères, pourtant.  Et bien oui, le kilowatt coûte environ 12 à 13 centimes pour l’électricité, 9 centimes pour le fioul domestique, 7 centimes pour le gaz naturel et… 4 à 5 centimes pour le bois. Mais, pour comparer, il faut aussi comparer le rendement des appareils. Une chaudière à gaz a des rendements proches de 100 %, un poêle à bois c’est plutôt de l’ordre de 75 %.

 

 

Sondage image entreprise : positive pour 90% des français

Sondage image entreprise : positive pour 90% des français

 

 

Il n’ya sans doute encore que les caciques du PS qui n’ont pas encore compris le rôle de l’entreprise ( normal la plupart n’’y ont jamais mis les pieds) puisque même les lecteurs socialistes soutiennent ces entreprises pour sortir de la crise.   Les Français aiment les entreprises. Ils sont en tout cas près de 90 % à en avoir une opinion positive, selon une enquête réalisée par Ipsos Steria pour le compte du « Monde » et de Lire la Société, à l’occasion de la 16e journée du livre d’économie, mercredi 26 novembre. Il y a dix ans, un peu plus de la moitié des Français seulement pensait la même chose, selon un sondage également mené par Ipsos, pour le compte de la CGPME. L’enquête a été réalisée, par Internet du 7 au 12 novembre, auprès de 1 003 personnes, constituant un échantillon représentatif de la population française âgée de 18 ans et plus, selon la méthode des quotas. Cette évolution du sentiment « pro-entreprise », et son ampleur tiennent à un basculement d’une partie de l’opinion : celui des sympathisants socialistes. Si les électeurs de droite sont plus traditionnellement enclins à trouver de la vertu aux entreprises, les supporters du premier parti de gauche sont dorénavant 93 % à en avoir une vision positive.  Les proches du PS sont aussi 74 % à considérer que, pour faire face à la crise, l’Etat doit faire confiance aux entreprises et leur donner plus de liberté. Sur ce point, ils sont en phase avec l’ensemble des Français, où la proportion est de 80 %. Les sympathisants socialistes sont en revanche un peu moins enclins que l’ensemble des Français à déclarer que les pouvoirs publics n’aident pas suffisamment les entreprises : ils sont 55 % à émettre un tel jugement, contre 71 % pour l’ensemble des Français. Aujourd’hui, la plus forte proportion (25 %) de vision négative du monde entrepreneurial se retrouve chez les proches du Front de gauche et du PCF et, dans une moindre mesure, chez ceux du Front national (13 %), selon l’enquête.

 

 

Autoroutes : Macron veut faire baisser les prix

Autoroutes : Macron veut faire baisser les prix

Contrairement à Sapin,  Macron veut faire baisser le prix des autoroutes. , le ministre de l’Économie a présenté plusieurs plans du projet de loi sur l’activité qui doit être présenté en décembre au Conseil des ministres. Il est en particulier revenu sur les tarifs autoroutiers, près de deux mois après la publication d’un rapport de l’Autorité de la concurrence qui pointait une rentabilité de 20% ou plus des sociétés concessionnaires, sur fond de prix des péages augmentant plus vite que les prix depuis la privatisation de 2006. « Nous allons mettre beaucoup plus de pression sur les sociétés d’autoroutes. Ce ne sont pas des mots. Une autorité de régulation, un gendarme, qui agit déjà sur certains transports va étendre ses compétences », a affirmé Emmanuel Macron, alors que l’Autorité de régulation des activités ferroviaires (Araf) a déjà indiqué qu’elle pourrait ainsi voir sa mission élargie. « Concrètement, année après année, nous allons verrouiller et maintenir la pression pour baisser la rentabilité des sociétés d’autoroutes. Nous ferons baisser les tarifs là où c’est possible », a ajouté le ministre. Cette promesse s’annonce difficile à tenir. L’Autorité de la concurrence, lors de la présentation de son rapport le 18 septembre, avait constaté que les formulations des contrats de concession barraient dans les faits la voie à une telle baisse, même en cas de déflation. Une thèse soutenue par le ministre des Finances Michel Sapin au début du mois d’octobre. Il estimait que les sociétés autoroutières taxées procéderaient à une « augmentation du péage ».

 

Sondage : Gaz, électricité, 64% inquiets de la montée des prix

Sondage : Gaz, électricité, 64% inquiets de la montée des prix

 

Gaz, électricité, les augmentations succèdent aux augmentations et ce n’est pas fini car il y a « du rattrapage dans l’air » ; en clair il faut boucher les trous d’une mauvaise gestion. Les français sont inquiets ils ont raison car les hausses vont continuer alors que l’inflation officielle est de 0.5% les hausses pourraient atteindre environ 5% par an. 78% des personnes interrogées par le Médiateur national de l’énergie (1), déclarent que la consommation d’énergie constitue pour elles « un sujet important », voire « très important » pour un quart des sondés. Cette préoccupation est liée, pour 64% des Français, à la part jugée élevée des factures de gaz ou d’électricité dans leur budget. Ainsi, 13% des ménages déclarent avoir rencontré cette année des difficultés pour payer certaines d’entre elles et 42% se sont moins chauffés pour réduire leurs dépenses, même si le dernier hiver a été assez clément.          Ils sont aussi très nombreux (92%) à anticiper une hausse des tarifs de l’énergie dans les prochains mois. Tout juste après la confection de ce sondage en septembre, les tarifs réglementés de l’électricité ont augmenté de 2,5% au 1er novembre, et ceux du gaz ont progressé en moyenne de 2,31% à la même date, après une hausse de 3,9% en octobre.    Les Français sont un peu plus nombreux à percevoir les bénéfices de l’ouverture du marché de l’énergie à la concurrence, notamment sur la baisse des prix (20%, contre 14% en 2013). « Si ces évolutions à la hausse sont encourageantes, les chiffres dans l’absolu restent faibles », souligne le sondage.    Plus globalement, 71% des ménages pensent que cette ouverture à la concurrence est « une bonne chose », mais seuls 54% des foyers abonnés au gaz et 50% de ceux dépendant de l’électricité savent qu’ils peuvent à tout moment changer de fournisseur.  Les modalités pratiques liées au changement de fournisseur ne sont pas toutes bien connues, et cette méconnaissance est en partie alimentée par la confusion entre EDF et GDF Suez: 30% des sondés pensent que GDF Suez et EDF constituent

 

Boko Haram :l’horreur et retour à l’esclavagisme pour les lycéennes

Boko  Haram :l’horreur  et retour à l’esclavagisme pour les lycéennes

 

 

Hollande s‘est beaucoup avancé en annonçant la libération prochaine des lycéennes détenues par le mouvement des fous de BOKO-Haram. Non seulement les jeunes files ne seront pas libérées mais elles  ont été mariés de force aux rebelles et converties de force.  L’horreur la plus totale et une insulte à la civilisation. Dans une vidéo de propagande de Boko Haram, au centre d’une troupe, un homme qui se présente comme le chef du groupe islamiste : pendant douze minutes, il scande son discours entouré de combattants. Avec un rire puissant, il annonce que les lycéennes enlevées ont toutes été mariées et converties à l’islam. Ces 200 lycéennes seraient donc aujourd’hui livrées aux combattants de la secte. « Ce qui est important, vis-à-vis des combattants, pour recruter, c’est d’offrir ces lycéennes aux combattants qui très souvent n’ont pas la dot suffisante pour les épouser », analyse Antoine Glaser.  Les familles des jeunes filles se sont déclarées choquées, mais pas surprises. Il y a quinze jours, le gouvernement nigérian leur avait donné espoir d’une libération prochaine et d’un cessez-le feu avec le groupe islamiste. Aujourd’hui, Boko Haram affirme que c’est un mensonge. Le groupe n’aurait négocié avec personne selon lui. Les violences continuent. Dix adolescents ont encore été enlevés. Selon une organisation de droits de l’homme, plus de 500 femmes seraient actuellement retenues par la secte Boko Haram.

 

Sondage : les français contre le changement de nom des partis

Sondage : les français contre le changement de nom des partis

Selon le sondage IFOP/JDD, ce débat n’intéresse pas les français. Un sentiment partagé par la moitié des sympathisants socialistes (49%), 47% des électeurs UMP et 43% par ceux de Marine Le Pen. A cette indifférence s’ajoute une forme de conservatisme puisque seulement 16% des sympathisants UMP souhaitent un changement de nom, 13% chez les socialistes, idem pour ceux du Front national. « Ce résultat n’est pas surprenant car le cœur des critiques des Français, ce n’est pas le nom mais le sentiment que les politiques sont déconnectés des réalités et inefficaces quant à leur capacité à améliorer les choses », explique Frédéric Dabi, directeur général adjoint de l’Ifop. Cette étude devrait refroidir les velléités des leaders tentés par ces opérations de marketing politique. Au PS, le rejet est le plus net. 50% des sympathisants sont opposés à la proposition de Manuel Valls. En privé, le Premier ministre semble déjà moins entêté. A l’UMP et alors que Nicolas Sarkozy en a fait un de ses chevaux de bataille pour réussir la rénovation de son parti, seuls 21% suivent l’ancien Président dans son opération « ripolinage ». Enfin, au Front national, ce n’est pas gagné non plus. L’attachement à la marque fondée par Jean-Marie Le Pen reste fort : 46% des sympathisants sont hostiles à l’abandon de la flamme du FN. S’ils devaient recourir à de nouveaux mots ou sigles, les responsables politiques devraient privilégier les termes d’union ou de rassemblement. Ils recueillent la préférence des Français selon l’Ifop. « Union » est le mot préféré (52%) – droite et gauche confondues – des personnes interrogées devant celui de « rassemblement » (54% à l’UMP) loin devant les appellations contenant « parti » ou « front », trop connotés. Des mots qui renvoient aux partis d’il y a quarante ou trente ans. Des mots du passé.

 

Fraude fiscal : le président de la commission des finances de l’assemblée pris au piège

Fraude fiscal :  le président de la commission des finances de l’assemblée pris au piège

Une soixantaine de parlementaires seraient en infraction en matière d’imposition à commencer par le président de la commission des finances Gilles carrez. Pourtant un spécialiste fiscal ! Le président UMP de la commission des Finances de l’Assemblée nationale Gilles Carrez, en délicatesse avec le fisc, a estimé samedi que sa situation démontrait la complexité de l’application des règles fiscales en France. Mediapart a révélé samedi que l’élu UMP, spécialiste de la fiscalité, était convoqué « dans une dizaine de jours » par l’administration fiscale de son département du Val-de-Marne, en vue d’un probable redressement fiscal.  Au cœur du différend : la valeur de ses biens immobiliers qui devraient, selon le fisc, l’amener à payer l’impôt de solidarité sur la fortune (ISF), dont il ne s’acquitte plus depuis 2011, écrit Mediapart. Interrogé sur BFM TV, Gilles Carrez a dit sa « bonne foi », évoquant un problème « d’interprétation de la règle fiscale ».   »Que le président de la commission des Finances se retrouve dans cette situation, que j’aurais évidemment préféré éviter (…) c’est une manière aussi pratique de voir la complexité, les difficultés qu’ont nos concitoyens par rapport à l’application de la loi fiscale », a-t-il ajouté.  Sur le site de Mediapart, Gilles Carrez explique avoir appliqué au pavillon qu’il possède avec sa femme un abattement de 30%. Mais cet abattement, autorisé pour les maisons principales à la suite d’un amendement dont il est l’auteur, souligne Mediapart, ne s’appliquerait pas à son cas personnel, cette propriété ayant été acquise via une Société civile immobilière (SCI).   »J’avoue que j’ignorais complètement ce point », dit-il.

 

Sondage baisse des impôts: personne n’y croit

Sondage baisse des impôts: personne n’y croit

 

La baisse des impôts promise par le gouvernement, on n’y croit guère, 67% des Français sont plus que sceptiques. Ils ont sans doute raison car si des réductions sont possibles pour les plus défavorisés concernant l’impôt sur le revenu, d’autres impôts vont augmenter, par exemple sur le carburant, il y a aussi l’effet amplifié de la TVA sur certaines dépenses contraintes. Enfin la hausse de la fiscalité locale du fait de la diminution de la dotation de l’Etat.  Selon le sondage Yougov du mois d’octobre réalisé pour Le HuffPost et ITélé (réalisé avant la présentation du Budget), seulement 24% des personnes interrogées jugent crédible « la promesse du gouvernement de baisser l’impôt sur le revenu ». Deux tiers des personnes interrogées (67%) estiment que la promesse n’est pas crédible.  Il n’y a guère que les sympathisants du Parti socialiste et d’EELV pour encore faire confiance au gouvernement. Et encore, il ne s’agit que d’une courte majorité, à savoir 52%. Dans le reste de la classe politique, la défiance est maximale, à un niveau proche de la popularité du chef de l’Etat. Ils ne sont que 12% des sympathisants UMP et 11% des proches du FN à croire en la parole gouvernementale sur la question fiscale. A l’inverse, 85% des proches de l’UMP et 83% des sympathisants frontistes jugent la promesse pas crédible. Le gouvernement a tout de même une (petite) raison de ce réjouir de ce baromètre. A défaut de trouver les décisions réalisables, l’opinion semble en avoir compris le sens. Une majorité (41%) de personnes interrogées (toutes proximités partisanes confondues) pense que « si cette politique fiscale est menée à son terme, elle favoriserait davantage les ménages les moins aisés ». Ce sont les centristes (64%) qui sont le plus convaincus de cette phrase devant les sympathisants du Front de gauche (51%) et les proches de l’UMP (49%). Les sympathisants PS et EELV ne sont que 42% à penser cela mais ils sont aussi les plus nombreux (18%) à estimer qu’une telle politique fiscal bénéficierait surtout aux classes moyennes. Pour savoir si l’opinion a raison de douter, il faudra attendre encore quelques mois. Ce n’est qu’à réception des avis d’imposition que l’on saura si les impôts des Français ont réellement baisser.

 

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