Archive pour le Tag 'épargnés'

Budget 2025 : les retraités épargnés

Budget 2025 :  les retraités épargnés

Contrairement aux annonces de certains responsables, il n’y aura pas de taxe nouvelle sur les retraités et d’une façon générale de nouveaux prélèvements sur les ménages d’après Éric Lombard ministre de l’économie.

Il faut voir dans cette décision la préoccupation de ne pas contrarier des retraités dont le vote constitue un socle important en politique. Par ailleurs cette proposition de taxation des retraités avait été très mal formulé puisque finalement elle aurait touché au départ plus de la moitié des retraités et pas simplement les plus riches.

Interrogé dans Les Échos sur cette suggestion faite mardi par la ministre du Travail Astrid Panosyan-Bouvet, Éric Lombard a répondu que «la position du gouvernement est sans ambiguïté : pas de nouveaux impôts sur les ménages!» Selon lui, «l’adoption du budget 2025 doit, au contraire, permettre que 18 millions de personnes ne voient pas leur impôt sur le revenu augmenter grâce à l’indexation du barème» de l’impôt sur le revenu sur l’inflation.

Il n’y aura «pas de nouveaux impôts sur les ménages» dans le projet de budget examiné au Parlement, assure Éric Lombard, dans un entretien.

Interrogé dans Les Échos sur cette suggestion faite mardi par la ministre du Travail Astrid Panosyan-Bouvet, Éric Lombard a répondu que «la position du gouvernement est sans ambiguïté : pas de nouveaux impôts sur les ménages!» Selon lui, «l’adoption du budget 2025 doit, au contraire, permettre que 18 millions de personnes ne voient pas leur impôt sur le revenu augmenter grâce à l’indexation du barème» de l’impôt sur le revenu sur l’inflation.

 

Société–Réforme des Retraites: Les fonctionnaires épargnés

Société–Réforme des Retraites: Les fonctionnaires épargnés !

Le gouvernement voudrait saboter la réforme des retraites qu’il ne s’y prendrait pas autrement; en effet , le gouvernement déclare que la réforme ne s’appliquera pas aux fonctionnaires qui partent avec environ quatre à cinq ans d’avance par rapport au privé et pourtant dont les conditions de travail pour la majorité ne sont en rien comparables en moyenne à celle des salariés du privé.

Dans ces conditions, on s’étonne que le gouvernement puisse parler de justice sociale et d’équité.

La vérité, c’est que le gouvernement est en train progressivement d’abandonner sa réforme. Au départ, on devait substituer au régime actuel un système de retraite universel à points. Aujourd’hui, ne subsiste que la perspective d’un report de l’âge à des fins d’affichage politique. Après avoir évoqué la limite de 65 ans, le gouvernement évoque maintenant la perspective de 64 ans. Dans les faits depuis la réforme Touraine, les salariés du privé partent effectivement vers 64 ans. Dès lors, la réforme perd de son intérêt.

En outre son efficacité dépendra de la conjoncture économique. En effet si la réforme devait accroître le nombre de personnes concernées par la mesure d’âge on pourrait voir s’opérer un transfert vers l’assurance chômage. En effet, s’il n’y a pas parallèlement une politique d’encouragement d’emploi des seniors en France, le risque est grand de faire une réforme pour pas grand-chose.

Une réforme est sans doute nécessaire en raison de l’évolution démographique qui se caractérise par une prolongation de la durée de vie et donc de pension. Mais la justice sociale voudrait qu’on tienne compte surtout comme critère essentiel la durée de cotisation et les conditions réelles de travail.

Pour être juste, cette réforme doit intégrer la totalité des salariés du privé, des régimes spéciaux et des fonctionnaires.

Exclure les fonctionnaires de la réforme constitue une injustice flagrante qu’on peut peut-être comprendre car une majorité d’élus sont aussi d’anciens fonctionnaires.

Nous allons devoir progressivement travailler un peu plus longtemps», a répété la première ministre, Élisabeth Borne, mardi à l’Assemblée. Le gouvernement, qui prévoit de présenter un projet de loi retraites en janvier, poursuit sa concertation avec les partenaires sociaux. Ce lundi soir, il leur a transmis le document qui sert de support de concertation au deuxième cycle, consacré à «l’équité» et à la «justice sociale» du système. Texte qui évite soigneusement d’aborder le sujet épineux de la fonction publique.

Le ministre de la Transformation et de la Fonction publiques, Stanislas Guérini, a déjà dit que, grosso modo, les règles pour les fonctionnaires ne changeraient pas. Le mantra du quinquennat Macron I où «un euro cotisé devait rapporter les mêmes droits» a, semble-t-il, été définitivement oublié. D’autant que le vrai problème du déficit des retraites vient de la fonction publique, dont le régime n’est absolument pas financé.

Retraites: Les fonctionnaires épargnés, une injustice

Retraites: Les fonctionnaires épargnés, une injustice !

Réformer aussi le régime de retraite des fonctionnaires serait une injustice d’après le ministre Olivier Dussopt. On se demande bien pourquoi car c’est plutôt l’inverse. En effet le calcul de la pension de retraite des fonctionnaires est calculée sur la base du salaire des six derniers mois (hors primes et indemnités), C’est-à-dire quand leur salaire est au plus haut, celle des salariés du privé est calculée en fonction de leurs 25 meilleures années de carrière.Sans parler évidemment d’un départ beaucoup plus tôt pour les fonctionnaires.

Le gouvernement voudrait saboter la réforme des retraites qu’il ne s’y prendrait pas autrement; en effet , le gouvernement déclare que la réforme ne s’appliquera pas aux fonctionnaires qui partent avec environ quatre à cinq ans d’avance par rapport au privé et pourtant dont les conditions de travail pour la majorité ne sont en rien comparables en moyenne à celle des salariés du privé.

Dans ces conditions on s’étonne que le gouvernement puisse parler de justice sociale et d’équité.

La vérité, c’est que le gouvernement est en train progressivement d’abandonner sa réforme. Au départ, on devait substituer au régime actuel un système de retraite universel à points. Aujourd’hui, ne subsiste que la perspective d’un report de l’âge à des fins d’affichage politique. Après avoir évoqué la limite de 65 ans, le gouvernement évoque maintenant la perspective de 64 ans. Dans les faits depuis la réforme Touraine, les salariés du privé partent effectivement vers 64 ans. Dès lors, la réforme perd de son intérêt.

En outre son efficacité dépendra de la conjoncture économique. En effet si la réforme devait accroître le nombre de personnes concernées par la mesure d’âge on pourrait voir s’opérer un transfert vers l’assurance chômage. En effet, s’il n’y a pas parallèlement une politique d’encouragement d’emploi des seniors en France, le risque est grand de faire une réforme pour pas grand-chose.

Une réforme est sans doute nécessaire en raison de l’évolution démographique qui se caractérise par une prolongation de la durée de vie et donc de pension. Mais la justice sociale voudrait qu’on tienne compte surtout comme critère essentiel la durée de cotisation et les conditions réelles de travail.

Pour être juste, cette réforme doit intégrer la totalité des salariés du privé, des régimes spéciaux et des fonctionnaires.

Exclure les fonctionnaires de la réforme constitue une injustice flagrante qu’on peut peut-être comprendre car une majorité d’élus sont aussi d’anciens fonctionnaires.

Nous allons devoir progressivement travailler un peu plus longtemps», a répété la première ministre, Élisabeth Borne, mardi à l’Assemblée. Le gouvernement, qui prévoit de présenter un projet de loi retraites en janvier, poursuit sa concertation avec les partenaires sociaux. Ce lundi soir, il leur a transmis le document qui sert de support de concertation au deuxième cycle, consacré à «l’équité» et à la «justice sociale» du système. Texte qui évite soigneusement d’aborder le sujet épineux de la fonction publique.

Le ministre de la Transformation et de la Fonction publiques, Stanislas Guérini, a déjà dit que, grosso modo, les règles pour les fonctionnaires ne changeraient pas. Le mantra du quinquennat Macron I où «un euro cotisé devait rapporter les mêmes droits» a, semble-t-il, été définitivement oublié. D’autant que le vrai problème du déficit des retraites vient de la fonction publique, dont le régime n’est absolument pas financé.

Budget: les fonctionnaires pas épargnés ?

Budget: les fonctionnaires pas épargnés ?

On voit mal comment les fonctionnaires pourraient être épargnés pour réduire la dépense publique, la masse salariale représente de l’ordre de 300 milliards, le seul budget de l’Etat 400 milliards. Pas étonnant que les dépenses publiques représentent plus de 57%  de la richesse nationale et que la compétitivité et la consommation soit plombée par la fiscalité.  ; la suppresion d’un million de fonctionnaires permettrait d’équilibrer à peu près le budget (déficit de 75 milliards en 2013) du fait de la masse salariale et des dépense de fonctionnement, d’investissement et de bureaucratie. Aucune autre piste ne permettra d’atteindre réellement les 50 milliards d’économies promises par Hollande d’ici 2017.  François Hollande va présider ce samedi 8 février un nouveau comité stratégique de la dépense publique. Il fera le point avec les ministres concernés sur l’état d’avancement des réflexions sur la recherche de 50 milliards d’euros d’économies budgétaires prévues d’ici à 2017 pour financer les baisses de charges du pacte de responsabilité. Depuis une confidence, mercredi 5 février, de Vincent Peillon, le ministre de l’Education nationale, expliquant que le gel temporaire des avancements et promotions des fonctionnaires est à l’étude pour tenter de dégager 1,2 milliard d’euros, l’affaire gène l’exécutif. A preuve, Bernard Cazeneuve a affirmé, ce 7 février à l’AFP: « les fonctionnaires ont déjà fait beaucoup d’économies, la stabilisation du point d’indice, la stabilisation des effectifs », a déclaré le ministre. « Je ne suis pas du tout dans l’approche de l’opposition qui consiste à considérer qu’un fonctionnaire est nécessairement suspect (…) Un fonctionnaire, c’est une richesse ». Il n’empêche, pour le seul Etat, les dépenses de personnel représentent, en effet, 132 milliards d’euros sur 334 milliards inscrits au budget, soit 39,6% du total. Toutes fonctions publiques confondues, la masse salariale globale atteint 270 milliards. Difficile donc de faire l’impasse sur ce poste budgétaire si l’on veut faire des vraies économies.  Ce n’est pas anormal de poser la question des promotions! ». Voilà ce que l’on dit au plus haut niveau. La masse salariale des fonctionnaires est bel et bien un sujet dans le cadre des économies massives à réaliser à l’horizon 2017. Si on veut jouer dessus, il n’y a pas 36 solutions : soit on réduit l’emploi, soit on réduit les salaires.  Cette dernière piste semble être en réflexion. Car il y a actuellement dans la fonction publique de nombreux effets de carrières, dont des promotions automatiques qui ont un coût. La Cour des Comptes a déjà recommandé d’en diminuer le nombre.

 

Retraites : les fonctionnaires épargnés

Retraites : les fonctionnaires épargnés

C’est l’un des sujets les plus sensibles de la réforme des retraites  dont le contenu a été présenté mardi 27 août par le Premier ministre Jean-Marc Ayrault : le régime de retraite des fonctionnaires que certains souhaitait voir aligner sur celui des salariés du privé. Il n’en sera rien, selon les précisions apportées par le Premier ministre.  « Beaucoup de choses fausses sont dites sur le sujet », a coupé net Marisol Touraine mercredi au micro de RTL. « Ce qui compte c’est que les salariés, qu’ils soient du public ou du privé, aient une retraite qui soit de niveau équivalant lorsqu’ils ont travaillé la même durée et qu’ils ont le même niveau de rémunération pendant leur vie active », a-t-elle expliqué, interrogée par les auditeurs.  La ministre des Affaires sociales est revenue sur le mode de calcul de la retraite des agents du public. « La plupart des fonctionnaires ont des primes. Or ces primes ne rentrent pas dans le calcul. On calcule la retraite des fonctionnaires à partir d’une base qui est inférieure à ce que ces salariés ont gagné durant leur vie », a-t-elle rappelé. Voilà pourquoi les régimes entre le public et le privé restent distincts.  Pour que ce soit juste, il faut que la réforme soit justement répartie, et elle l’estMarisol Touraine Une forme d’injustice, selon certains auditeurs. « Pour que ce soit juste, il faut que la réforme soit justement répartie, et elle l’est », a répondu Marisol Touraine. « Il va y avoir une augmentation – petite- des cotisations. Il va y avoir une augmentation de la durée de cotisation qui concerne tout le monde. Les fonctionnaires, les salariés des régimes spéciaux devront cotiser d’avantage et devront, à partir de 2020, travailler plus longtemps », a assuré la ministre.

 




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