Archive pour le Tag 'envisage'

Le Canada envisage de créer une « taxe Trump »

Le Canada envisage de créer une « taxe Trump »

Suite au matraquage fiscal qu’envisage Trump à l’égard du Canada, ce dernier pays pourrait bien à son tour créer  une taxe Trump sur les importations en provenance des États-Unis.

Selon une source gouvernementale à l’AFP, Ottawa réfléchit notamment à imposer des droits de douane plus élevés sur certains produits importés des États-Unis, notamment sur des produits en acier, sur les céramiques, telles que des toilettes et des éviers, de la verrerie et du jus d’orange de Floride. Des mesures qui pourraient entrer en vigueur dans les semaines qui viennent, après 15 jours à un mois de consultation. D’autres produits pourraient être touchés dans un second temps. Le Canada pourrait ainsi imposer des mesures de représailles sur des importations américaines représentant une valeur totale de 150 milliards de dollars canadiens (100 milliards d’euros), selon les médias canadiens.

 

Macron envisage une coalition internationale de troupes en Ukraine

 Macron Envisage une coalition internationale de troupes en Ukraine

À l’avancée des troupes russes qui menacent maintenant tout le front ukrainien , renvisage avec d’autres pays la coalition d’une internationale de troupes destinées à entraîner les militaires ukrainiens; une action  ayant pour objet notamment la formation de l’armée ukrainienne aux armes fournies par l’Occident qui autorise désormais de frapper le sol russe.

Une menace qui évidemment inquiète fortement la Russie car de toute évidence le conflit prend désormais une tout autre dimension. Jusque-là en effet jamais il n’avait été envisagé ni n’envoyez des troupes en Ukraine ni de frapper le sol russe

Devant cette menace, Moscou a prévenu mardi que si la France envoyait des instructeurs militaires en Ukraine ceux-ci deviendraient des cibles légitimes. «Aucun instructeur s’occupant de la formation des militaires ukrainiens n’a d’immunité», a déclaré le porte-parole du Kremlin, Dmitri Peskov. «Quel que soit leur statut : militaires de l’armée française ou mercenaires, ils représentent une cible tout à fait légitime pour nos forces armées», a ajouté le ministre des Affaires étrangères Sergueï Lavrov. Pour les autorités françaises, c’est sans doute le meilleur signe que la Russie prend la proposition au sérieux. Pour l’état-major, les règles du jeu en Ukraine doivent changer pour peser sur le cours des événements.

La question des troupes occidentales en Ukraine est sur la table depuis des mois entre Européens. L’état-major a exploré l’option dans une note blanche partagée avec ses homologues, au moment où les forces ukrainiennes étaient…

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École : le redoublement envisagé déjà contesté par le parti socialiste

École : le redoublement envisagé déjà contesté par le parti socialiste

Encore la preuve que le parti socialiste est largement hors sol par rapport aux réalités et aux sentiments des Français en matière d’éducation nationale. Le parti socialiste refuse l’hypothèse du redoublement au motif des discriminations sociales qu’il produit, bref au motif d’arguments socio-politiques alors qu’on ne devrait prendre en compte que le rapport des élèves à l’acquisition des savoirs fondamentaux et l’abaissement général du niveau du système scolaire français.

« Présenter le redoublement comme un remède à la baisse du niveau des élèves constitue le déni d’une triple réalité » estime Yannick Trigance, Secrétaire national du Parti socialiste , conseiller régional d’Ile-de-France et…..ancien enseignant .

Pas une semaine sans une annonce du ministre de l’éducation nationale, Gabriel Attal, qui, en matière de conservatisme et de vision passéiste de notre système d’enseignement, n’a décidément rien à envier à Jean-Michel Blanquer qui fut l’un de ses prédécesseurs. C’est ainsi que, mercredi 22 novembre, le ministre a affirmé qu’il allait « revoir » la « question du tabou du redoublement », promettant de « prendre des décisions » qu’il annoncera début décembre dans le cadre des conclusions de la mission « exigence des savoirs » lancée début octobre.

Supprimé en 2014 à un moment où la France en présentait un taux parmi les plus élevés des pays de l’OCDE, le redoublement d’une classe, avec l’accord des parents, a été rétabli par un décret de février 2018, avec également la mise en place un dispositif d’aide personnalisée qui n’a pratiquement jamais existé faute de moyens.

Au-delà de la visée quelque peu électoraliste – recommencer une classe reste très ancré positivement dans l’esprit de bon nombre de nos concitoyens –, le fait de présenter le redoublement comme un remède à la baisse du niveau des élèves n’en constitue pas moins le déni d’une triple réalité : redoubler une classe est injuste socialement, impactant psychologiquement et inadapté pédagogiquement.

En effet, comme l’ont montré bon nombre d’études, le redoublement reste fortement connoté socialement : 57 % des élèves de seconde professionnelle sont en retard, contre 20 % des élèves de seconde générale et technologique. Les enfants d’ouvriers redoublent bien plus que les enfants de cadres ; à niveau de difficulté égale, les enfants des familles monoparentales ont 37 % de risques de plus de redoubler une classe.

En un mot, le taux de redoublement dépend largement de la catégorie sociale des élèves : si la part d’élèves en retard en fin de collège chez les enfants d’ouvriers non qualifiés a diminué d’un tiers en dix ans, elle a, dans le même temps, été divisée par deux chez les enfants de cadres.

Dussopt « envisage » des sanctions financières, pas pour lui … pour les entreprises

Dussopt « envisage » des sanctions financières, pas pour lui … pour les entreprises


Juste avant que ne soit dénoncé le scandale du favoritisme dont il est accusé par la justice , le ministre du travail a déclaré qu’il envisageait des sanctions financières pour les entreprises qui n’embaucheraient pas assez de séniors.

Première observation, le ministre du travail sort du chapeau la proposition d’un index qui n’a jamais été discuté entre partenaires et que le Medef refuse catégoriquement. En outre, on notera la subtilité du langage qui témoigne du peu de crédibilité de la déclaration : le ministre du travail « envisage ». En clair c’est une hypothèse encore très fumeuse.

Notons que cette déclaration du ministre du travail a été faite juste avant la révélation de favoritisme dont il est accusé par la justice et qui la mériterait aussi sans doute des sanctions financières et même au-delà. Pourtant les entreprises pourraient encourir des sanctions financières si elles ne progressent pas concrètement sur l’emploi des salariés plus âgés, a prévenu samedi le ministre du Travail, Olivier Dussopt, alors que le gouvernement prévoit déjà de leur imposer la publication d’un «index». «On peut avoir en tête que (…) quelques entreprises ne joueraient tellement pas le jeu qu’il faudrait être plus coercitif», a jugé Olivier Dussopt, qui porte l’actuel projet de réforme des retraites.

Les deux principales organisations patronales françaises ne l’entendent pas de cette oreille. «Quand une entreprise embauchera des apprentis, elle sera sanctionnée parce que son pourcentage de seniors baissera ? Est-ce une mauvaise pratique ?» s’est interrogé dans un tweet le président du Medef Geoffroy Roux de Bézieux, dont l’organisation est opposée à la mise en place d’un index obligatoire sur le pourcentage de seniors dans chaque entreprise.

«Oui, les entreprises doivent faire des efforts, mais l’index ne fonctionne pas !», affirme Geoffroy Roux de Bézieux. «Placer les PME sous surveillance en brandissant la menace de sanctions ne résoudrait en rien le problème» d’un taux d’emploi des seniors moins élevé en France que dans d’autres pays européens, estime de son côté la Confédération des PME (CPME) dans un communiqué.

TRUMP : ENVISAGE DÉJÀ DE SE PRÉSENTER EN 2024

TRUMP : ENVISAGE DÉJÀ DE SE PRÉSENTER EN 2024

 

Peut-être qu’on peut mieux comprendre sinon admettre le déni de démocratie de Trump  qui profite des derniers jours de sa présidence pour entretenir sa popularité auprès de ses partisans. Il avait en effet confié dans le privé qu’il envisagerait de se présenter en 2024. Cela pourrait expliquer qu’il a l’intention même avant le changement présidentiel de tenir des meetings un peu partout. Et sans doute d’engager une sorte de campagne permanente d’ici 2024 pour déstabiliser le mandat de Joe Biden.

 

Au lendemain de sa défaite contre Joe Biden, Donald Trump aurait déjà confié à des conseillers qu’il envisage de se représenter à l’élection présidentielle américaine de 2024, selon deux sources proches du président citées par le site d’information américain Axios.

 

Depuis la victoire de Joe Biden samedi, le président Donald Trump refuse de concéder la victoire à son rival démocrate. Arguant de « fraudes » électorales, sans fournir de preuves, Donald Trump promet de multiplier les actions en justice. Et il prépare peut-être déjà 2024 !

Coronavirus: Philippe envisage une catastrophe économique

Coronavirus: Philippe envisage une catastrophe économique

 

Le Premier ministre prépare  l’opinion à la catastrophe économique incontournable. Pas besoin d’être un grand expert pour comprendre que la France va tourner au ralenti pendant un mois ou deux au minimum. La conséquence sera une chute d’au moins 5 % de la croissance. Un véritable tsunami qui se traduira aussi par un nombre incalculable de défaillances notamment d’entreprises déjà financièrement fragiles et notamment de PME. Un discours totalement nouveau dans la bouche du Premier ministre qui il y a seulement quelques semaines rassuraient sur les conséquences de la pandémie, la minimisait  même. Désormais, le Premier ministre se met dans les pas du président de la république alors qu’il y a encore une semaine il proposait comme priorité de se déplacer pour ses dérisoires élections municipales prenant ainsi le risque d’une accélération de la contamination.

Le premier ministre découvre sans doute un peu tard les conséquences dramatiques sur le plan sanitaire mais aussi économique. La pandémie de coronavirus provoquera un «coup d’arrêt puissant, massif, brutal à notre économie» et transformera «nos habitudes de vie», a prédit jeudi Edouard Philippe devant le Sénat.

«Nous sommes entrés dans une crise sanitaire jamais vue, jamais connue en France depuis un siècle et cette crise sanitaire va imposer un coup d’arrêt puissant, massif, brutal, à notre économie», a déclaré le premier ministre lors d’une séance de questions au gouvernement en format restreint.

 

«Nous savons quel impact et quelles conséquences dangereuses peuvent être associés à ce coup de frein massif», a-t-il ajouté estimant que «nous allons tous devoir, collectivement, faire un effort considérable pour permettre à notre pays de repartir». Des propos alarmistes qui mériteraient cependant d’être explicités davantage car faute de cela il ne conduit qu’à nourrir la panique. Des déclarations par acteur par ailleurs relativement flou quant aux conséquences possibles sur le mode de vie, de production d’échanges voire de civilisation. Ce niveau de généralité n’apporte rien sinon davantage de caractères anxiogènes à un environnement déjà plein d’incertitudes.

Cette épidémie engendrera aussi «une transformation puissante, massive et brutale à nos habitudes collectives de vie et elle fait courir le risque d’un impact puissant massif et brutal sur les structures collectives, pas simplement nationales, mais aussi européennes et internationales», a-t-il insisté. Edouard Philippe était notamment interpellé par le patron des sénateurs Les Républicains Bruno Retailleau, qui l’interrogeait notamment sur «le décalage» entre les annonces de distribution de masques de protection et «le terrain».

L’exécutif envisage un référendum pour obtenir un oui !

L’exécutif envisage un référendum pour obtenir un oui !

 

Pas question évidemment d’un référendum concernant l’impôt sur la fortune ou  un référendum d’initiative populaire. Mais pour reprendre répondre- ou plus exact devant faire semblant- à la demande de démocratie participative le gouvernement étudie la possibilité d’une consultation où il serait à peu près sûr d’obtenir un oui voir plusieurs.  on envisage en effet un référendum à questions multiples. Par exemple il s’agirait de demander aux Français s’ils sont  d’accord pour réduire le nombre de parlementaires notamment au Sénat ou d’autres questions institutionnelles comme la prise en compte du vote blanc ou le non cumul des mandats. On pourrait aussi interroger les Français sur la possibilité de donner un peu plus de pouvoir aux régions. Bref il s’agit surtout de rechercher des questions susceptibles de recevoir une approbation majoritaire dont on pourra se prévaloir politiquement. Reste à savoir si les Français tomberont dans le piège de cette fausse évolution de la démocratie participative.

 

Brexit : le Royaume-Uni envisage de ne pas payer la facture !

Brexit : le Royaume-Uni envisage de ne pas payer la facture !

Décidément le gouvernement britannique pris dans ses contradictions ne cesse de miner le terrain de la négociation du Brexit avec l’union européenne. Le nouveau négociateur britannique, l’eurosceptique Dominic Raab, qui a remplacé le 9 juillet David Davis, a brutalement déclaré que faute d’accord commercial la Grande-Bretagne ne réglerait pas ce qu’elle doit à l’union économique. Un chantage évident avec en plus une menace de non-respect des conditions d’adhésion à l’union économique. C’est évidemment un nouveau caillou dans la chaussure de la première ministre Theresa May écartelée entre europhiles  et europhobes et qui doit composer car elle ne dispose pas d’une majorité claire au Parlement. La vérité c’est qu’on ne sait toujours pas quelle est la stratégie exacte de la Grande-Bretagne avec des positions qui évoluent entre un brexit dur et un autre mou. Du coup, chaque responsable en fonction de sa sensibilité avance des propositions et des solutions tout à fait contradictoires. Jusqu’à présent, le gouvernement britannique a envoyé des messages contradictoires concernant le règlement financier du Brexit dans le cadre d’un accord sur les modalités de sortie du Royaume-Uni de l’UE à compter de fin mars 2019. La Première ministre britannique, Theresa May a accepté en décembre un accord financier d’un montant total de 35 à 39 milliards de livres sterling (39-44 milliards d’euros) qui, selon les ministres, dépendait de l’établissement des futures relations commerciales. Le Royaume-Uni doit quitter l’UE le 30 mars, mais les deux parties sont censées parvenir à un accord de divorce d’ici la fin octobre afin d’organiser la séparation, jeter les bases de leur relation future et donner le temps au Parlement européen et aux Parlements nationaux de ratifier le texte. Dominic Raab a rencontré pour la première fois vendredi Michel Barnier, le négociateur en chef de l’UE, alors que les Européens s’inquiètent de l’enlisement des discussions et des remises en cause constantes en interne de la stratégie de Theresa May.

• Grèves : Hollande envisage des réquisitions sur la pointe des pieds

Alors que l’Euro débute et que les grèves continuent, Hollande a bien été contraint d’évoquer la perspective de réquisitions : une éventualité qu’il n’exclut pas. Un propos pour le moins très mesuré qui démontre que François Hollande n’est guère enclin à prendre des mesures d’autorité pour rétablir l’ordre et la propreté dans le pays. Pourtant la presse étrangère est très sévère à l’égard de la situation sociale française.  Le Daily Mail présente un Paris «pas encore remis des inondations» et des Parisiens qui doivent faire face à «des poubelles qui débordent» après la grève des éboueurs contre la loi Travail. Le quotidien britannique agrémente son article de plusieurs photos de manifestants cagoulés, de grèves et de poubelles débordantes.  Une vision peu glorieuse de la Ville lumière que partage également la BBC qui déplore une suite d’événements malencontreux. «Au début il y a eu la pénurie d’essence, puis la grève des cheminots et les inondations. Paris et d’autres villes françaises subissent désormais des grèves d’éboueurs» prévient le journal britannique. La branche hispanique d’Euronews se demande quant à elle si «la France est prête pour célébrer l’Euro». Pour le quotidien conservateur allemand Die Welt, la réponse est non, «la France est devenue un danger pour l’Europe» prévient le journal, s’alarmant de la récente pénurie de carburants. Le correspondant à Paris du Financial Times a, quant à lui, décidé d’avertir ses lecteurs: «Les visiteurs vont devoir faire face à un gros problème: supporter les Français.». En réalité François Hollande, comme la maire de Paris Anne  Hidalgo rechigne à utiliser l’arme des réquisitions pour ne pas fâcher davantage la CGT dans le secrétaire général Martinez  à fait un petit pas vers l’apaisement en déclarant qu’empêcher les supporters  voir l’Euro ne serait pas bon pour l’image de la CGT. Un message en direction des pouvoirs publics mais sans doute aussi en direction des grévistes. Alors que l’Euro 2016 commence ce vendredi soir, avec un match inaugural au Stade de France, la situation sociale reste extrêmement tendue, partout en France, et particulièrement en Île-de-France, où commenceront les festivités. Un échec pour l’exécutif, qui avait misé sur un essoufflement du mouvement. François Hollande et Manuel Valls, qui voulaient croire que les syndicalistes n’auraient pas le cran de pénaliser l’Euro, en sont pour leurs frais. Leur stratégie de déminage catégoriel n’a pas non plus porté ses fruits. Ce qu’a admis, en creux, le chef du gouvernement, qui réunissait jeudi à Matignon ministres et secrétaires d’État, comme il le fait deux fois par mois. «Valls nous a dit que les grèves et les blocages devenaient excessifs et qu’on ne pouvait pas laisser les choses durer comme cela», rapporte un membre du gouvernement. Et, depuis Clermont-Ferrand, où il était en déplacement en fin de journée, le premier ministre a affirmé qu’il n’excluait «aucune hypothèse» (dont des réquisitions, pas «exclues») pour acheminer les 80.000 supporteurs attendus vendredi soir au Stade de France mais qui pourraient être empêchés par les grèves massives de conducteurs des RER B et C. «Pour l’instant, nous n’en sommes pas là», a dit François Hollande, en Corrèze où il rendait hommage aux «99 pendus de Tulle». Mais, a-t-il confié, s’il devait y avoir des décisions à prendre, «elles seront prises».

Météo pourrie : le gouvernement envisage une loi et une taxe

Météo pourrie : le gouvernement envisage une loi et une taxe

 

Un problème : une loi et/ou une taxe, c’est le crédo de la gauche au pouvoir. Des lois par milliers et autant de axes ; normal pour cette majorité composée essentiellement de fonctionnaires. Tout doit être administrée et fiscalisé. Alors pour la météo pourrie, Hollande pourrait bien annoncer une loi. Du type de celle de l’hôpital à 30 minutes ; une autre arnaque. Il suffirait de légiférer pour déterminer le nombre maximum de jours de pluie par département. Une taxe frapperait les départements avantagés par le beau temps ; on opérerait une péréquation pour indemniser les départements pluvieux. Un observatoire de la pluviosité serait mis en place ; par ailleurs compte tenu de l’enjeu un ministre de la météo serait désigné avec évidemment une administration conséquente chargée de relever la pluviosité dans chaque commune. Des emplois d’avenir en quelque sorte, payés par les contribuables ; on voit d’ici les rections acerbes, «  oui, mais ça ne sert à rien »   Justement, on pourrait y mettre Montebourg qui connaît ce genre de ministère et qui porte déjà la marinière pour affronter les bourrasques marines. Comme vient de le dire Ségolène, le gouvernement doit changer de cap, au lieu daller vers l’ouest , cap au sud.

 




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