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Fraude fiscale : Seulement 8 % environ identifiés

Fraude fiscale : Seulement 8 % environ identifiés

Montant record de fraudes fiscales de 15 milliards d’euros détectés mais pas forcément recouvrés. Finalement une somme assez modeste au regard de l’ensemble des détournements fiscaux et sociaux qui tournent autour de 100 milliards. Et plus encore avec l ‘évasion liée à l’optimisation fiscale des grandes entreprises.

Selon les données de Bercy, 15,2 milliards d’euros ont été mis en recouvrement en 2023, un niveau record qui dépasse celui de 2022 de 600 millions d’euros et celui de 2019 de 3,5 milliards d’euros.

Cela fait suite, assure le gouvernement, notamment à une forte augmentation du nombre de contrôles fiscaux sur les particuliers aux plus hauts revenus en hausse de 25%.

L’exécutif souhaite aussi accélérer dans sa lutte contre l’optimisation fiscale internationale. En plus de la mise en place d’un impôt minimum mondial pour les multinationales, l’administration fiscale dispose désormais d’une meilleure capacité à détecter les prix de transfert abusifs des multinationales.

Le problème est que cette optimisation fiscale et légale et profite à des paradis fiscaux mais y compris à des pays européens comme l’Irlande ou encore le Luxembourg.

Lors de la présentation du bilan annuel, Thomas Cazenave a mis l’accent sur la lutte contre la fraude aux aides publiques qu’il qualifie de « nouvelle frontière » en la matière. Les aides versées s’élèvent à 3,5 milliards d’euros pour la rénovation énergétique (ANAH), 2 milliards pour la formation (CPF), 4 milliards dans l’apprentissage ou encore 1,5 milliard pour l’acquisition de véhicules propres.

« C’est parce que nous versons beaucoup d’aides que nous devons être particulièrement vigilants face à des risques de fraudes de plus en plus sophistiquées », rappelle le ministre qui assure avoir renforcé les moyens de détection de ces fraudes.

Sur le CPF par exemple, après plusieurs signalements émis par des organismes bancaires, Tracfin a mené des investigations sur cinq organismes de formation ayant bénéficié de près de neuf millions d’euros reçus de la Caisse des dépôts et consignations (CDC).

 

Concernant la fraude aux cotisations sociales (le travail dissimulé), les redressements ont aussi largement augmenté en un an (+50%) et se sont élevés en 2023 à 1,2 milliard d’euros.

Du côté des prestations sociales, Bercy se félicite des performances « historiques » des préjudices détectés avec 400 millions d’euros par les Caisses d’allocations familiales (CAF), 200 millions par l’Assurance vieillesse et 450 millions par l’Assurance maladie. Soit un total de 1,05 milliards d’euros au total.

« Les CAF ont accru d’un tiers leurs contrôles et appliquent 10% de frais de gestion aux fraudeurs, rappelle le gouvernement. Le perfectionnement des outils des CAF a permis de doubler les détections de fraudes à la résidence pour un montant de 97 millions d’euros. L’assurance vieillesse a doublé les contrôles de retraités résidant à l’étranger et détecté 750 dossiers frauduleux. »

Inflation : une ponction sur les salaires de 5 % environ

Inflation : une ponction scandaleuse sur les salaires de 5 % environ

il est clair que la création d’un impôt peut créer assez rapidement et bruyamment une vague de protestations. Il en va différemment lorsqu’il s’agit de l’inflation qui en quelque sorte constitue une sorte de fiscalité « douce » au bénéfice de certains acteurs économiques et de l’État.

De façon globale l’inflation a atteint autour de 6 % en 2022 auxquels il faudra ajouter encore 6 % en 2023. De leur côté,, les salaires ont augmenté d’environ 3,5 % en 2022 et c’est la même prévision en 2023. Au total il manque au moins 5 % sur les salaires. Une énorme ponction économique et fiscale. Une ponction qui explique d’ailleurs en grande partie les résultats exceptionnels sur le plan financier des multinationales et l’envol de la bourse. De ce côté, l’État contribue aussi à alimenter cette inflation car le principal impôt à savoir la TVA permet des rentrées fiscales supplémentaires au même rythme que l’inflation.

Le salaire moyen net en France était de 2500 € en 2022, il conviendrait donc d’augmenter toujours en moyenne les salaires de 125 € par mois pour rattraper l’inflation (toujours en net). Ce retard des salaires sur l’inflation explique en particulier le fait que certaines couches sociales basculent dans la pauvreté et que plus de 15 % se privent désormais de repas.

Le pompage des salaires via l’inflation constitue une injustice flagrante et qui pèse particulièrement sur les bas revenus dans l’essentiel est consacré aux dépenses contraintes (loyer, alimentation, chauffage, transport et abonnement notamment).

S’il devait y avoir rattrapage, il faudrait évidemment un effort supplémentaire pour ces bas revenus littéralement matraqués par les grandes entreprises qui profitent de l’inflation pour faire des bénéfices supplémentaires indus et tout autant matraqués par l’État via la fiscalité ( exemple carburant dont les prix sont composés de 60 % de taxes mais aussi la TVA sur les produits alimentaires).

Fraude fiscale : « environ » 50 milliards par an ?

Fraude fiscale : « environ » 50 milliards par an ?

Environ 50 milliards par an, c’était l’évaluation très approximative du Sénat sur l’évasion fiscale. De quoi remettre dans les clous les équilibres budgétaires et relancer la croissance sans tuer la compétitivité. Mission pourtant impossible car la politique de la zone euro repose précisément sur le principe de la concurrence fiscale.

Comment faire avec la financiarisation internationale de l’économie ? Il y a environ 30 000 filiales françaises à l’étranger ; des filiales dont l’objet pour beaucoup est de faciliter l’externalisation des bénéfices et l’internalisation des pertes. Exemple, Total qui n’a pas payé de bénéfices en France pendant des années. Le mécanisme est simple pour les grands groupes (pas les PME) : surfacture des pseudos prestations de l’étranger et à l’inverse sur minimiser les coûts de celles destinées à l’export. Ensuite pour laver encore plus blanc, on délocalise ces profits dans des paradis fiscaux. La lutte fiscale suppose donc de mettre en cause ce principe de financiarisation excessive de l’économie, d’harmoniser aussi les conditions de concurrence (fiscale, sociale, environnementale etc.).Très récemment, l’OCDE a lancé un cri d’alerte sur le développement de » l’optimisation fiscale »(euphémisme pour parler d’évasion).

Qui peut s’attaquer à ce système, le FMI, les banques centrales ? L’OMC ? Surement pas car leur philosophie repose sur la libre circulation des biens et des capitaux. Dès lors que les mesures préconisées par le sénat paraissent bien dérisoires. Pour lutter contre l’ Qui peut s’attaquer à ce système, le FMI, les banques centrales ? L’OMC ? Surement pas car leur philosophie repose sur la libre circulation des biens et des capitaux. Dès lors que les mesures préconisées par le sénat paraissent bien dérisoires. Pour lutter contre l’ Qui peut s’attaquer à ce système, le FMI, les banques centrales ? L’OMC ? Surement pas car leur philosophie repose sur la libre circulation des biens et des capitaux. Dès lors que les mesures préconisées par le sénat paraissent bien dérisoires. Pour lutter contre l’évasion fiscale, annuellement en France à plus de 50 milliards d’euros.

L’évasion fiscale, entre 50 et 60 milliards d’euros chaque année en France, « représente, au moins, le montant du remboursement des intérêts de la dette française chaque année ».

Evasion fiscale : « environ » 50 milliards par an ?

Evasion fiscale : « environ » 50 milliards par an ?

Environ 50 milliards par an, c’était l’évaluation très approximative du Sénat sur l’évasion fiscale. De quoi remettre dans les clous les équilibres budgétaires et relancer la croissance sans tuer la compétitivité. Mission pourtant impossible car la politique de la zone euro repose précisément sur le principe de la concurrence fiscale.

Comment faire avec la financiarisation internationale de l’économie ? Il y a environ 30 000 filiales françaises à l’étranger ; des filiales dont l’objet pour beaucoup est de faciliter l’externalisation des bénéfices et l’internalisation des pertes. Exemple, Total qui n’a pas payé de bénéfices en France pendant des années. Le mécanisme est simple pour les grands groupes (pas les PME) : surfacture des pseudos prestations de l’étranger et à l’inverse sur minimiser les coûts de celles destinées à l’export. Ensuite pour laver encore plus blanc, on délocalise ces profits dans des paradis fiscaux. La lutte fiscale suppose donc de mettre en cause ce principe de financiarisation excessive de l’économie, d’harmoniser aussi les conditions de concurrence (fiscale, sociale, environnementale etc.).Très récemment, l’OCDE a lancé un cri d’alerte sur le développement de  » l’optimisation fiscale »(euphémisme pour parler d’évasion).

Qui peut s’attaquer à ce système, le FMI, les banques centrales ? L’OMC ? Surement pas car leur philosophie repose sur la libre circulation des biens et des capitaux. Dès lors que les mesures préconisées par le sénat paraissent bien dérisoires. Pour lutter contre l’ Qui peut s’attaquer à ce système, le FMI, les banques centrales ? L’OMC ? Surement pas car leur philosophie repose sur la libre circulation des biens et des capitaux. Dès lors que les mesures préconisées par le sénat paraissent bien dérisoires. Pour lutter contre l’ Qui peut s’attaquer à ce système, le FMI, les banques centrales ? L’OMC ? Surement pas car leur philosophie repose sur la libre circulation des biens et des capitaux. Dès lors que les mesures préconisées par le sénat paraissent bien dérisoires. Pour lutter contre l’évasion fiscale, annuellement en France à plus de 50 milliards d’euros, le sénateur Eric Bocquet (PCF), rapporteur à l’époque d’une commission d’enquête sénatoriale sur l’évasion des capitaux, a proposé la création d’un Haut-commissariat. Selon le sénateur PS Yannick Vaugrenard, membre de cette commission d’enquête rapportée par Philippe Dominati (UMP), l’évasion fiscale, notée entre 50 et 60 milliards d’euros chaque année en France, « représente, au moins, le montant du remboursement des intérêts de la dette française chaque année ».

Les sénateurs avouent avoir eu le plus grand mal à chiffrer l’évasion fiscale. Si M. Vaugrenard a évoqué la fourchette de 50 à 60 milliards d’euros, Eric Bosquet a, devant la presse, parlé d’ »un risque fiscal compris entre 30 et 36 milliards d’euros », précisant que « cette évaluation ne comprend( ait) pas une série de risques ». « Si bien, ajoute-t-il, que la limite supérieure n’est pas définie : est-ce 50 milliards, 80 milliards ? » « Il ya donc une nécessité impérieuse à faire cesser cette fraude fiscale », ont souligné les sénateurs au cours d’une conférence de presse rendant compte de cinq mois de travaux de leur commission dont le rapport a été adopté à l’unanimité. « C’est un axe politique majeur sur lequel le gouvernement va devoir travailler à la rentrée », ont révélé les membres de la commission qui font une cinquantaine de propositions pour lutter contre l’évasion fiscale.

« Il y a donc une nécessité impérieuse à faire cesser cette fraude fiscale », ont souligné les sénateurs . Avec une forte critique de l’Europe. « Europe trop absente » des voies de lutte engagée contre la fraude fiscale par l’OCDE et le GAFI, car elle est « paralysée par les concurrences fiscales qu’elle abrite en son sein » et que c’est sur son territoire que résident « les paradis fiscaux les plus puissants du monde ». « La politique franco-française de lutte contre l’évasion fiscale porte la marque de ces enlisements ».

Aussi, les sénateurs veulent-ils, parmi leurs propositions, « intégrer la fraude et l’évasion fiscale au débat parlementaire » et procéder à une « évaluation régulière » des différents dispositifs qui seront mis en place. car elle est « paralysée par les concurrences fiscales qu’elle abrite en son sein » et que c’est sur son territoire que résident « les paradis fiscaux les plus puissants du monde ». « La politique franco-française de lutte contre l’évasion fiscale porte la marque de ces enlisements », at-il aussi noté. Aussi, les sénateurs veulent-ils, parmi leurs propositions, « intégrer la fraude et l’évasion fiscale au débat parlementaire » et procéder à une « évaluation régulière » des différents dispositifs qui seront mis en place. car elle est « paralysée par les concurrences fiscales qu’elle abrite en son sein » et que c’est sur son territoire que résident « les paradis fiscaux les plus puissants du monde ». « La politique franco-française de lutte contre l’évasion fiscale porte la marque de ces enlisements », at-il aussi noté. Aussi, les sénateurs veulent-ils, parmi leurs propositions, « intégrer la fraude et l’évasion fiscale au débat parlementaire » et procéder à une « évaluation régulière » des différents dispositifs qui seront mis en place.

Politique- Présidentielle 2022: environ 50 % des Français ne voteront pas

Politique- Présidentielle 2022: environ 50 % des Français ne voteront pas

 

 

 

La France est bien entendu affectée par un certain nombre d’éléments de crise différents, certains sont d’ordre économiques, d’autres sociaux, environnementaux mais le plus grave est peut-être le discrédit qui frappe le milieu politique, mais aussi les médias voire les élites en général.

 

En cause, surtout un fonctionnement démocratique demeuré à l’état néandertalien et qui se limite au dépôt d’un bulletin de vote une fois tous les quatre ou cinq ans. En réalité la plupart des élus ne sont nullement représentatifs. Ainsi par exemple si l’on tient compte des citoyens non-inscrits qui représentent 10 % du corps électoral et du taux d’abstention enregistrée récemment autour de 35 % ( les sondages démontent que le taux d’abstention pourrait atteindre aussi ce chiffre aux présidentielles) c’est près de la moitié de la population qui ne vote pas.

Un président de la république qui obtient de l’ordre de 24 %au  premier tour n’est en réalité élue que par 8 % de des votants. Le second tour  n’est pas réellement une adhésion un programme mais plutôt le rejet de celui qu’on ne souhaite pas voir accéder à la magistrature suprême. L’adhésion, la vraie c’est celle du premier tour.

Cette démocratie est donc une forme d’escroquerie. On la retrouve à tous les échelons des élections au plan local ,départemental ou  régional. C’est une infime minorité qui désigne les responsables lesquels ensuite se croient investis pour mettre en œuvre sans discussion des politiques qui correspondent à leurs convictions mais pas à celle de tous les électeurs, loin s’en faut.

Pour combler ce vide dramatique, certains imaginent des débats dans des commissions de citoyens tirés au sort qui évidemment faute de culture suffisante se font facilement manœuvrer par les experts et les politiques.

La France souffre en fait d’un manque de vie et de débat via les organisations intermédiaires seules capables de faire émerger des représentants formés et responsables. À chaque niveau d’élection, il conviendait donc d’ouvrir largement les débats avec les citoyens avant décision finale.

L’autre facteur explicatif de la crise démocratique tient au caractère monopolistique des grands médias qui appartiennent tous aux financiers et défendent à peu près tous la même orientation politique. Du coup, la démocratie est aussi étouffée de ce côté-là. S’y ajoute l’avis  de trop nombreux experts opportunistes qui servent la soupe aux pouvoirs. Ainsi nombre de citoyens ne se retrouve plus dans ce système démocratique très virtuel.

Présidentielle 2022: environ 50 % des Français ne voteront pas

Présidentielle 2022: environ 50 % des Français ne voteront pas

 

 

 

La France est bien entendu affectée par un certain nombre d’éléments de crise différents, certain sont d’ordre économiques, d’autres sociaux, environnementaux mais le plus grave est peut-être le discrédit qui frappe le milieu politique, mais aussi les médias voire les élites en général.

 

En cause, surtout un fonctionnement démocratique demeuré à l’état néandertalien et qui se limite au dépôt d’un bulletin de vote une fois tous les quatre ou cinq ans. En réalité la plupart des élus ne sont nullement représentatifs. Ainsi par exemple si l’on tient compte des citoyens non-inscrits qui représentent 10 % du corps électoral et du taux d’abstention enregistrée récemment autour de 35 % ( les sondages démontent que le taux d’abstention pourrait atteindre aussi ce chiffre aux présidentielles) c’est près de la moitié de la population qui ne vote pas.

Un président de la république qui obtient de l’ordre de 24 %au  premier tour n’est en réalité élue que par 8 % de des votants. Le second tour  n’est pas réellement une adhésion un programme mais plutôt le rejet de celui qu’on ne souhaite pas voir accéder à la magistrature suprême. L’adhésion, la vraie c’est celle du premier tour.

Cette démocratie est donc une forme d’escroquerie. On la retrouve à tous les échelons des élections au plan local ,départemental ou  régional. C’est une infime minorité qui désigne les responsables lesquels ensuite se croient investis pour mettre en œuvre sans discussion des politiques qui correspondent à leurs convictions mais pas à celle de tous les électeurs, loin s’en faut.

Pour combler ce vide dramatique, certains imaginent des débats dans des commissions de citoyens tirés au sort qui évidemment faute de culture suffisante se font facilement manœuvrer par les experts et les politiques.

La France souffre en fait d’un manque de vie et de débat via les organisations intermédiaires seules capables de faire émerger des représentants formés et responsables. À chaque niveau d’élection, il conviendait donc d’ouvrir largement les débats avec les citoyens avant décision finale.

L’autre facteur explicatif de la crise démocratique tient au caractère monopolistique des grands médias qui appartiennent tous aux financiers et défendent à peu près tous la même orientation politique. Du coup, la démocratie est aussi étouffée de ce côté-là. S’y ajoute l’avis  de trop nombreux experts opportunistes qui servent la soupe aux pouvoirs. Ainsi nombre de citoyens ne se retrouve plus dans ce système démocratique très virtuel.

Élection présidentielle : environ 50 % des Français ne voteront pas

Élection présidentielle : environ 50 % des Français ne voteront pas

 

 

 

La France est bien entendu affectée par un certain nombre d’éléments de crise différents, certain sont d’ordre économiques, d’autres sociaux, environnementaux mais le plus grave est peut-être le discrédit qui frappe le milieu politique, mais aussi les médias voire les élites en général.

 

En cause, surtout un fonctionnement démocratique demeuré à l’état néandertalien et qui se limite au dépôt d’un bulletin de vote une fois tous les quatre ou cinq ans. En réalité la plupart des élus ne sont nullement représentatifs. Ainsi par exemple si l’on tient compte des citoyens non-inscrits qui représentent 10 % du corps électoral et du taux d’abstention enregistrée récemment autour de 35 % ( les sondages démontent que le taux d’abstention pourrait atteindre aussi ce chiffre aux présidentielles, c’est près de la moitié de la population qui ne vote pas.

Un président de la république qui obtient de l’ordre de 24 %au  premier tour n’est en réalité élue que par 8 % de des votants. Le second tour  n’est pas réellement une adhésion un programme mais plutôt le rejet de celui qu’on ne souhaite pas voir accéder à la magistrature suprême. L’adhésion, la vraie c’est celle du premier tour.

Cette démocratie est donc une forme d’escroquerie. On la retrouve à tous les échelons des élections au plan local ,départemental ou  régional. C’est une infime minorité qui désigne les responsables lesquels ensuite se croient investis pour mettre en œuvre sans discussion des politiques qui correspondent à leurs convictions mais pas à celle de tous les électeurs, loin s’en faut.

Pour combler ce vide dramatique, certains imaginent des débats dans des commissions de citoyens tirés au sort qui évidemment faute de culture suffisante se font facilement manœuvrer par les experts et les politiques.

La France souffre en fait d’un manque de vie et de débat via les organisations intermédiaires seules capables de faire émerger des représentants formés et responsables. À chaque niveau d’élection, il conviendait donc d’ouvrir largement les débats avec les citoyens avant décision finale.

L’autre facteur explicatif de la crise démocratique tient au caractère monopolistique des grands médias qui appartiennent tous aux financiers et défendent à peu près tous la même orientation politique. Du coup, la démocratie est aussi étouffée de ce côté-là. S’y ajoute l’avis  de trop nombreux experts opportunistes qui servent la soupe aux pouvoirs. Ainsi nombre de citoyens ne se retrouve plus dans ce système démocratique très virtuel.

Covid Monde : Environ 6 millions de morts , la France dans le peloton de tête

Covid Monde : Environ 6 millions de morts 

 

En valeur absolue, les pays les plus importants ont logiquement enregistré le plus de décès du fait de la pandémie. Rapporté au nombre d’habitants, le classement et différent. De ce point de vue la France se situe dans le plan de tête des mœurs avec 1900 décès par million d’habitants ( 130 000 en valeur absolue). En Europe qui a été durement touchée le Royaume-Uni se situe dans une position encore plus catastrophique avec 2300 décès par million d’habitants et 155 000 en valeur absolue. À noter qu’en Allemagne on constate 1402 morts par million d’habitants soit nettement moins qu’en France

Au plan mondial,  pandémie a fait officiellement plus de 5,64 millions de morts dans le monde depuis fin décembre 2019, sur plus de 368 millions de contaminations confirmées, selon un bilan établi par l’AFP samedi à 15H00 GMT.

Les États-Unis sont le pays ayant enregistré le plus de décès (Environ 900 000), devant le Brésil (Environ 700 000) et l’Inde (Environ 500 000).

Des chiffres toutefois à relativiser compte tenu de l’état des systèmes sanitaires et des modes de recueil des statistiques

L’Organisation mondiale de la santé (OMS) estime, en prenant en compte la surmortalité directement et indirectement liée au Covid-19, que le bilan de la pandémie pourrait être deux à trois fois plus élevé que celui qui est officiellement établi.

Des chiffres toutefois à relativiser car les systèmes de santé et de statistiques diffèrent beaucoup sans parler des manipulations à caractère politique.

Covid-19 : environ 15 000 cas Omicron

Covid-19 : environ 15 000 cas  Omicron

Sur 73 000 cas enregistrés hier, 15 000 environ seraient imputables au nouveau variant omicron. Une information du porte-parole du gouvernement Gabriel Attal. Une information toutefois à relativiser car il estimait la proportion à 10 % il y a encore très peu de temps. La vérité sans doute ce que la France a les pires difficultés à identifier les cas imputables aux variants omicron.

D’après le Premier ministre « Cette hausse semble être tirée par une augmentation très forte des contaminations chez les jeunes, notamment les 20-40 ans », a-t-il précisé.

Le taux d’incidence du Covid-19 atteint « une nouvelle fois un record » en France, à 537 cas pour 100 000 habitants, a-t-il encore  précisé.

Covid Omicron : environ 100 cas en Europe

Covid Omicron : environ 100 cas en Europe

109 cas concerneraient l’Europe. En France, 12 cas ont été recensés, selon les autorités sanitaires. Les États-Unis en comptent pour leur part 10 au total, dont deux concernant des malades n’ayant pas voyagé à l’étranger, signe que les transmissions sont désormais aussi locales.

L’Australie a pour sa part annoncé aujourd’hui trois premiers cas à Sidney, malgré l’interdiction faite aux étrangers d’entrer sur son territoire et les restrictions de vols vers l’Afrique australe.

La Tunisie et le Mexique ont eux annoncé leurs premiers cas ce vendredi.

Covid Royaume-Uni : environ 43 000 cas par jour

  • Covid  Royaume-Uni : environ 43 000 cas  par jour
  • Alors qu’en France le nombre moyen de cas est descendu autour de 5000 par jour le Royaume-Uni, lui, en compte 43 000 en cause vraisemblablement une levée trop rapide des mesures de protection
  • « Le Royaume-Uni fait tout l’inverse des autres pays, notamment européens, et c’est pour ça que l’on fait face actuellement à l’un des plus hauts niveaux de contamination en Europe », estime Linda Bauld, professeure de santé publique à l’université d’Edimbourg.
  • Notons qu’un rapport parlementaire a clairement mis en cause la responsabilité du gouvernement dans sa politique erratique de prévention sanitaire

Covid France : encore environ 20 000 cas en 24 heures

Covid France : encore environ 20 000 cas en 24 heures

26 malades du Covid ces dernières 24 heures, selon le dernier bilan de Santé Publique France. 6802 personnes sont toujours hospitalisées, dont 330 arrivées en un jour. 872 patients sont actuellement traités en soins critiques, 69 d’entre eux l’étant depuis la veille. 19.561 nouveaux cas ont été détectés.

Depuis le début de la campagne de vaccination en France, 39.474.866 personnes ont reçu au moins une injection (soit 58,5% de la population totale) et 32.790.372 personnes ont désormais un schéma vaccinal complet (soit 48,6% de la population totale)

Variants : environ 5000 cas par jour au moins…. au moins

Variants : environ 5000 cas par jour au moins…. au moins

Il pourrait y avoir environ 5000 contaminations par jour du fait des variants. En effet le poids des variants augmente d’environ 50 % par semaine. Autour du 10 février, ils représentent, au total, entre 24 % et 30 % des nouvelles infections, dont 20 % à 25 % pour le seul variant anglais (B.1.1.7), selon Olivier Véran. « Ces données sont cohérentes avec nos chiffres », précise-t-on chez Eurofins, qui crible la moitié des tests positifs chaque semaine.

 

Chez Cerba, en revanche, le 10 février, sur 2 830 échantillons positifs en France, le poids du variant anglais a flambé à 37 %, contre 20 % en moyenne les jours précédents, et la mutation 501Y (caractéristique notamment des variants sud-africain et brésilien) était à près de 4 %. La semaine passée, les trois variants totalisaient 21,3 %, selon le patron de la Cnam. Et ils étaient à 3,3 % les 7 et 8 janvier, d’après la première « enquête flash » commandée par SpF et la nouvelle agence en charge des maladies infectieuses émergentes (ANRS).

 

Mobilité des Français : une baisse de l’ordre de 30 % pour environ 60 à 70 % lors du premier confinement

Mobilité des Français : une baisse de l’ordre de 30 % pour environ 60 à 70 % lors du premier confinement

 

 

 

 

La baisse de mobilité est notoirement moins importante que lors du premier confinement. Elle atteint en moyenne de l’ordre de 30 % alors qu’elle concernait de 60 à 70 % lors du premier confinement. Il s’agit évidemment de moyenne avec de fortes disparités selon les zones géographiques. France Info fait état d’un rapport de l’Inserm, publié le 12 novembre, qui constate également que la baisse des déplacements est beaucoup moins forte entre le deuxième et le premier confinement : -33% du 2 au 6 novembre contre -67% du 23 au 27 mars. Or, les auteurs de ce rapport, qui s’appuient sur des données de téléphonie fournies par l’opérateur Orange, notent également que la baisse de la mobilité est encore plus faible aux heures de pointe du matin, autrement dit au moment de partir au travail ou d’emmener les enfants à l’école. « Les données sur lesquelles nous nous appuyons ne permettent pas de savoir pourquoi les gens se déplacent. Mais on peut estimer que les baisses plus modestes, constatées entre 7 heures et 9 heures du matin, sont probablement liées au maintien de l’ouverture des écoles et de plusieurs secteurs d’activité », précise à franceinfo l’épidémiologiste Eugenio Valdano, co-auteur du rapport de  l’Inserm.

 

Si les Français continuent de se déplacer sur leur lieu de travail, du lundi au vendredi, ils semblent au contraire rester chez eux le week-end. Les mesures du trafic routier, publiées par le Cerema, montrent que, pendant le deuxième week-end du confinement, la circulation est redescendue à un niveau quasi équivalent à ceux observés en mars et en avril. Alors que la circulation sur les routes, les samedis et dimanches, avait subi une baisse de plus de 80% au printemps, le week-end des 7 et 8 novembre a vu une baisse du trafic de plus de 70%, d’après les données du Cerema.

Coût de la pollution de l’air : environ 170 milliards en Europe

Coût de la pollution de l’air : environ 170 milliards en Europe

Selon un rapport, réalisé par le cabinet CE Delft pour l’Alliance européenne pour la santé publique (EPHA), le coût de la pollution en Europe serait de l’ordre de 170 milliards par an. Un coût  évidemment très approximatif car il est bien difficile de mesurer les conséquences directes et surtout indirectes des particules polluantes sur la santé.

L’étude surtout soulignait l’influence de trois polluants principaux de l’air, les particules (PM), le dioxyde d’azote (NO?) et l’ozone (O3) et leurs coûts sociaux, c’est-à-dire les coûts directs liés aux soins et indirects comme la réduction de l’espérance de vie ou des maladies comme les bronchites chroniques graves.

Londres arrive en tête des villes où ce coût est le plus élevé (11,4 milliards d’euros), devant Bucarest et Berlin. Paris arrive en septième place, selon le rapport. «Notre étude révèle combien un air toxique est nuisible à la santé mais aussi combien d’importantes inégalités existent entre les différents pays d’Europe», commente le secrétaire général de l’EPHA, Sascha Marschang, cité dans un communiqué de l’association Respire. «La situation peut être améliorée par des politiques publiques en matière de transports et les villes peuvent réduire les coûts en encourageant les mobilités non polluantes», poursuit-il.

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