Archive pour le Tag 'ennuyeux'

Politique-Débat Bardella-–Attal : plutôt conventionnel et ennuyeux

Politique-Débat Bardella-–Attal : plutôt conventionnel et ennuyeux

Pas de quoi vraiment s’enthousiasmer après ce débat qui officiellement portait  sur les aspects européens mais dont on a bien senti que les objectifs étaient de solidifier la stature de chacun en vue de 2027. Attal vise évidemment l’hypothèse d’une candidature à la présidentielle tandis que Bardella a voulu donner une crédibilité à sa possible nomination comme premier ministre si Marine Le Pen l’emporte. 

En gros l’objectif était donc la recherche d’une crédibilité pour les deux candidats. D’où cette impression de déjà vu et déjà entendu leur de la confrontation de deux leaders de partis opposés. On aura surtout noté que Bardella a choisi la posture de respectabilité renonçant le plus souvent à répliquer et surtout à exposer ses propres idées. Bref Bardella  -comme Marine Le Pen -reste stratégiquement dans une attitude de critique davantage que de propositions.

Certains considéreront que ce débat a été relativement digne mais on pourrait objecter qu’il était assez conventionnel, manquait er de sel et d’intérêt. En cause sans doute les questions complexes concernant l’Europe qui en apparence ne semblent  pas toucher directement les Français pourtant évidemment largement concernés.

Si l’objectif était de renforcer la crédibilité de chacun des deux leaders l’objectif est atteint. Bardella s’est montré en effet particulièrement prudent tandis qu’Attal a affiché  sa connaissance des dossiers et sans doute marqué des points vis-à-vis de Bardella à mais  surtout vis à vis  d’Édouard Philippe.

Un débat sans doute utile mais pas de quoi enthousiasmer les foules .

Débat Bardella-–Attal : plutôt conventionnel et ennuyeux

Débat Bardella-–Attal : plutôt conventionnel et ennuyeux

Pas de quoi vraiment s’enthousiasmer après ce débat qui officiellement portait  sur les aspects européens mais dont on a bien senti que les objectifs étaient de solidifier la stature de chacun en vue de 2027. Attal vise évidemment l’hypothèse d’une candidature à la présidentielle tandis que Bardella a veut donner une crédibilité à sa possible nomination comme premier ministre si Marine Le Pen l’emporte. 

En gros l’objectif était donc la recherche d’une crédibilité pour les deux candidats. D’où cette impression de déjà vu et déjà entendu leur de la confrontation de deux leaders de partis opposés. On aura surtout noté que Bardella a choisi la posture de respectabilité renonçant le plus souvent à répliquer et surtout à exposer ses propres idées. Bref Bardella  -comme Marine Le Pen -reste stratégiquement dans une attitude de critique davantage que de propositions.

Certains considéreront que ce débat a été relativement digne mais on pourrait objecter qu’il était assez conventionnel, manquait er de sel et d’intérêt. En cause sans doute les questions complexes concernant l’Europe qui en apparence ne semblent  pas toucher directement les Français pourtant évidemment largement concernés.

Si l’objectif était de renforcer la crédibilité de chacun des deux leaders l’objectif est atteint. Bardella s’est montré en effet particulièrement prudent tandis qu’Attal a affiché  sa connaissance des dossiers et sans doute marqué des points vis-à-vis de Bardella à mais  surtout vis à vis  d’Édouard Philippe.

Un débat sans doute utile mais pas de quoi enthousiasmer les foules .

Macron à la télé : pas convaincant et même ennuyeux

Macon à la télé : pas convaincant

Cette fois encore Macron n’aura pas réussi à atteindre une audience record. C’est avec une certaine indifférence qu’a été regardé et écouté le chef de l’État visiblement en panne de dynamisme et d’idées.

Finalement, le seul point nouveau qui ressort c’est la décision d’attribuer un chèque carburant 100 € aux salariés les moins favorisés. Pour le reste, Macron se contente de reprendre ce qu’on savait déjà. À savoir la réunion cette semaine du conseil de planification économique avec quelques mesures anecdotiques. Pourtant avec l’annonce d’un chiffre de 40 milliards de dépenses dont on ne sait pas exactement ce qu’elle recouvre.

Des dépenses contraintes pour la plupart qui n’ont pas grand-chose à voir avec l’écologie. Par contre l’absence d’orientations financières stratégiques concernant les nouvelles centrales nucléaires et le renouveau ferroviaire.

Pour le pouvoir d’achat, les ménages devront attendre des discussions entre les industriels et les distributeurs. Le gouvernement simplement se met en situation d’observateur.

Pour le carburant donc un chèque et la substitution du concept de prix coûtant à celui de vente à perte. Ce qui ne mange pas de pain dans la mesure où on ne connaît pas avec précision le niveau des coûts.

Enfin l’annonce d’un retrait volontaire du Niger qui n’est en fait que la conséquence de la décision des dictateurs de virer la France rapidement. Finalement un retrait assez piteux comme au Burkina Faso et au Mali.

Décidément, la politique étrangère ne réussit pas davantage à Macon que la politique intérieure.
Au total Macon aura eu du mal à convaincre et les sondages devraient confirmer le doute de plus en plus grand des Français quant aux capacités du président de la république à réformer réellement le pays de manière efficace et juste.

Politique– Discours d’Elisabeth Borne aux patrons: ennuyeux et mollasson

Politique– Discours de Borne aux patrons: ennuyeux et mollasson

 

Le discours d’Élisabeth Borne devant le Medef ne marquera sans doute pas l’histoire économique. Pas grand-chose à retenir sinon quelques intentions mais pas de décision encore moins d’enthousiasme pour l’économie. Bref du Macron mais plus plat et plus mou. On retiendra essentiellement la porte ouverte à la taxation des superprofits, la demande de plan de sobriété dans les entreprises et la possibilité de rationnement de l’électricité.

 

« Quand je l’ai entendu, j’ai pensé ‘confinement énergétique’ », déclare ce premier chef d’entreprise au micro d’Europe 1. « Responsabiliser les gens, c’est important. Leur faire peur, c’est parfois gênant », poursuit-il, « et en tout cas, restreindre les libertés des Français, ce n’est pas bon », ajoute le patron.

Présente ce lundi après-midi, une participante reproche le manque d’optimisme d’Élisabeth Borne dans ce discours de rentrée. « Soporifique », lâche-t-elle auprès d’Europe 1. « J’ai trouvé que son discours était particulièrement pessimiste. Nous avons besoin d’optimisme en France, et donc nos dirigeants doivent aussi nous transmettre cette valeur et cette façon de voir les choses », estime la cheffe d’entreprise. Des réactions qui sont donc mitigées pour le discours de rentrée d’Élisabeth Borne.

Discours de Borne aux patrons: ennuyeux et mollasson

Discours de Borne aux patrons: ennuyeux et mollasson

 

Le discours d’Élisabeth Borne devant le Medef ne marquera sans doute pas l’histoire économique. Pas grand-chose à retenir sinon quelques intentions mais pas de décision encore moins d’enthousiasme pour l’économie. Bref du Macron mais plus plat et plus mou. On retiendra essentiellement la porte ouverte à la taxation des superprofits, la demande de plan de sobriété dans les entreprises et la possibilité de rationnement de l’électricité.

 

« Quand je l’ai entendu, j’ai pensé ‘confinement énergétique’ », déclare ce premier chef d’entreprise au micro d’Europe 1. « Responsabiliser les gens, c’est important. Leur faire peur, c’est parfois gênant », poursuit-il, « et en tout cas, restreindre les libertés des Français, ce n’est pas bon », ajoute le patron.

Présente ce lundi après-midi, une participante reproche le manque d’optimisme d’Élisabeth Borne dans ce discours de rentrée. « Soporifique », lâche-t-elle auprès d’Europe 1. « J’ai trouvé que son discours était particulièrement pessimiste. Nous avons besoin d’optimisme en France, et donc nos dirigeants doivent aussi nous transmettre cette valeur et cette façon de voir les choses », estime la cheffe d’entreprise. Des réactions qui sont donc mitigées pour le discours de rentrée d’Élisabeth Borne.

 

Débat Marine Le Pen Nathalie Loiseau : ennuyeux et conventionnel

Débat Marine Le Pen Nathalie Loiseau : ennuyeux et conventionnel 

 

Il aura fallu du courage aux téléspectateurs pour assister jusqu’au bout au débat entre Marine Le Pen et Nathalie Loiseau à propos des élections  européennes. En fait, on a assisté à une discussion entre une technocrate sans beaucoup de charisme et une populiste sans beaucoup de connaissances. Certes, la future tête de liste de la république en marche et sans doute bardée de diplômes (elle a même été la patronne de l’ENA) mais elle manque sérieusement de charisme et de dynamisme. Elle a plutôt le profil de quelqu’un qui travaille dans un cabinet ministériel pour préparer les dossiers. Son propos est sans doute pertinent mais sa vision manque sérieusement de projets mobilisateurs. On a d’ailleurs noté que dans la lettre diffusée dans tous les pays de l’union européenne les propositions de Macron ne soulevaient pas l’enthousiasme. Pour tout dire cette lettre set même tombée à plat y compris sur le plan de l’environnement où sa solution apparaît vraiment technocratique avec la création d’une banque de l’environnement ! Marine Le Pen a été égale à elle-même. Une sorte d’intervention intemporelle, la même qui aurait pu être faite il y a (ou 10 ans. Une sorte de réquisitoire en règle sur toutes les tares de l’Europe quitte à manipuler avec une grande approximation les éléments chiffrés. Marine Le Pen ne manque pas punch on le sait mais elle donne vraiment l’impression de ne pas connaître ses sujets et de ne pas réellement travailler. D’ailleurs le sondage démontre que Marine Le Pen n’est jamais aussi populaire que lorsqu’elle se tait. En effet son discours stéréotypé depuis des années est attendu et surtout assez approximatif. Si la république en marche veut faire un meilleur score que celui que lui donnent actuellement les sondages à savoir autour de 20 % comme pour le rassemblement national, il faudra un autre enthousiasme, un autre dynamisme et un contenu autrement plus mobilisateur aux orientations européennes. De son côté Marine Le Pen devra mettre davantage le nez dans les dossiers pour ne pas se limiter à des slogans. Mais peut-être que sa meilleure arme c’est encore de se taire comme l’indiquent  les sondages depuis le début du mouvement des gilets jaunes où elle a surtout montré sa très grande discrétion.

 

Discours Macron : trop long, trop général et ennuyeux

Discours Macron : trop long, trop général et ennuyeux

 

 

On attendait évidemment Macron qu’il redonne du souffle  à la nécessaire modernisation du pays en particulier dans le domaine économique. Au lieu de cela à part des annonces déjà connues sur les institutions Macron a délivré un discours interminable sur de grands principes et des généralités vis-à-vis desquels personne ne pouvait être en désaccord. Mais rien de très précis, de très concret. Uniquement quelques propositions vis-à-vis des institutions. Un propos de bon niveau intellectuel amis  beaucoup trop long et qui manquait de charisme. Un mélange de satisfaction, de circonspection et d’ironie a accueilli lundi le discours de Versailles d’Emmanuel Macron, qui a présenté aux parlementaires sa vision d’une action dictée par « l’impatience d’agir » et l’ »amour de la patrie ». Dans son intervention d’une heure trente sagement applaudie à la fin et précédée par une minute de silence à la mémoire de l’ancienne ministre Simone Veil, décédée vendredi, le chef de l’Etat a prôné la réduction d’un tiers du nombre de parlementaires et la nécessité de « retrouver le souffle premier » de l’engagement européen. A Versailles comme sur les réseaux sociaux, des élus ont déploré le ton de cette allocution riche en principes mais pauvre en annonces, dans l’attente du discours de politique générale du Premier ministre, mardi à l’Assemblée. Invitant son auditoire à « une transformation résolue et profonde » des pratiques politiques, Emmanuel Macron n’a pas épargné ses prédécesseurs, prônant la rupture avec « les années immobiles » de François Hollande et « les années agitées » de Nicolas Sarkozy, « toutes aux résultats également décevants ». Une façon de justifier la posture régalienne adoptée par le nouveau chef d’Etat de 39 ans, qui séduit autant qu’elle agace. Il faudra évidemment autre chose pour convaincre de la nécessité des réformes mêmes si macro a appelé chaque Français à prendre sa part du changement. Le seul domaine où macro a donné des précisions concernées la réduction du nombre de députés, la suppression du conseil supérieur de la cour de justice de l’État (juridiction d’exception pour les ministres,), la réforme du conseil économique et social et le recours éventuel au référendum et l’indépendance de la justice. Les seules orientations un peu concrète concernant les institutions sont sans doute nécessaire mais reste à savoir si elle constitue vraiment la priorité du moment.

Juppé-Fillon : un débat trop général, plat et ennuyeux

Juppé-Fillon : un débat trop général, plat et ennuyeux

 

Un débat qui ne restera pas dans les annales de la vie démocratique tellement il fut général voire  approximatif, également plat et ennuyeux. Les grands médias se contentent de rapporter l’essentiel des propos des deux concurrents. Nombre d’aspects essentiels conditionnant l’avenir n’ont pas été abordés ou alors  en surface. Exemple le plus caricatural celui du pouvoir  d’achat des médecins dont Fillon a dit à juste titre qu’il n’était pas suffisamment rémunéré compte tenu de la longueur des études mais en indiquant que cette rémunération était voisine de celle du plombier. La preuve s’il en était que les élites politiques n’ont qu’une connaissance assez approximative des réalités économiques et sociales. En effet en moyenne (avec de nombreuses disparités notamment entre généralistes et spécialistes) un médecin gagne de l’ordre  de 7000 € nets par mois quand un plombier en moyenne est en dessous de 2500 €. (Avec des salaires d’embauche de 1000 à 1500 euros).  Une différence de taille. Les mêmes approximations auraient sans doute été commises pour le salaire d’autres catégories si cela avait été abordé. Or précisément la question de la vie concrète des salariés et plus généralement des ménages n’a pas été traitée. Dans ces conditions,  il n’est pas étonnant qu’on considère une hausse par exemple de la TVA de 2 % sera négligeable pour les ménages sans parler du  non remboursement de médicaments hors affection grave. En réalité un débat d’énarques qui entretiennent avec l’économie des rapports assez flous ;  de ce point de vue le débat économique s’est  révélé relativement flou. Par exemple on a peu abordé les facteurs explicatifs du manque de compétitivité de l’économie française et sa comparaison avec l’environnement international. Le champ international a d’ailleurs été relativement absent et surtout l’Europe pratiquement non traitée alors que pour l’essentiel nous dépendons des orientations de l’union européenne et du niveau de son activité. Sous couvert de courtoisie réciproque,  on a plutôt assisté à un débat de salon très général. Autre exemple, la question du temps de travail des fonctionnaires qui d’après Fillon seraient ramenés à 39 heures rémunérées 37 heures soit une augmentation de près de 6 % de la rémunération. Une augmentation qui fera exploser les budgets des collectivités locales. Sans parler du flou relatif aux redéploiements des effectifs de fonctionnaires et des secteurs visés par la réduction des effectifs. Certes Fillon c’est sans doute montrer le plus nous en forme dans ce débat alors que visiblement Juppé a montré une certaine fatigue voir une certaine résignation. Pour autant cela ne confère pas à Fillon un brevet de compétence dont le programme ce résume à un mot : radicalité ; mais sans grande précision et avec de nombreuses contradictions. Au total un débat relativement ennuyeux et trop général.

 

 

Débat primaire droite : ennuyeux et sans souffle

Débat primaire droite : ennuyeux et sans souffle

Certains s’attendaient sans doute à un pugilat et c’était une hypothèse possible compte tenu des animosités personnelles entre certains candidats de la droite. On a évité le combat de rue et c’est temps mieux. Mais on a assisté à un débat ennuyeux et sans souffle. Ennuyeux parce que la discussion est pratiquement impossible à 7 et qu’elle a été complètement cadenassée par le format imposé à la télé. Ennuyeux aussi parce que les candidats se sont embourbés dans des détails de leur politique macro économique difficilement compréhensible sans lien avec les aspects micro économiques et leurs conséquences concrètes pour le citoyen. Sans parler du flou relatif à la question centrale de la compétitivité notamment des 35 heures. Aucun n’a voulu dire clairement que le retour aux 39 heures se ferait sur une base de 35 heures. Même chose ou plutôt encore davantage de confusion sur la fiscalité des ménages. Paradoxalement ce sont des petits candidats qui ont été les plus clairs mais qui sont apparus un peu hors sol compte  tenue de l’impossibilité qu’il y avait d’approfondir la réflexion. Même chose aussi sur les retraites. Au terme du débat économique le sommeil a dû saisir nombre de téléspectateurs. Pas de grandes visions non plus sur les questions sociétales. Au total ce débat a souligné le manque de vision globale , le manque de souffle ; Un  débat terne peut-être lié au fait que les deux principaux candidats à savoir Juppé et Sarkozy ont tenté de ne pas trop déplaire aux deux autres candidats pour récupérer leurs voix  au second tour de la primaire ; Au terme de ce débat les électeurs  lecteurs ont confirmé la préférence déjà exprimée dans les sondages précédents cette prestation télévisée.  Selon deux enquêtes des instituts Elabe et Opinionway réalisées en fin d’émission, les téléspectateurs ont jugé le maire de Bordeaux le plus convaincant, devant Nicolas Sarkozy, Bruno le Maire et François Fillon.

Rugby-France -Pays de Galles (13-20), toujours aussi ennuyeux

France -Pays de Galles (13-20), toujours aussi ennuyeux

 

Il y a longtemps que le XV de France ne fait plus rêver notamment depuis l’arrivée de l’entraineur Philippe St André. Manque de vitesse, de fluidité et surtout d’invention. Avec en plus des maladresses et des points laissés en route. En fait l’équipe est corsetée par un jeu stéréotypé , prévisible pour l’adversaire ; l’ impression que les jouer sont corsetés. Bref du jeu à la galloise mais en moins bien. On attend que cette équipe se libère, qu’elle innove, qu’elle offre du jeu, qu’elle prenne du plaisir aussi ; Avec St André pas question, le jeu est triste à mourir comme St André lui-même qui donne l’impression de pleurnicher quand il parle. Pas de quoi vraiment motiver uen équipe. On va sûrement attendre que l’équipe touche le fond pour changer enfin d’entraineur.  Les Bleus se sont donc  faits bousculés par le Pays de Galles au Stade de France (13-20) Et une bronca pour finir ! L’équipe de France s’est de nouveau inclinée à domicile face au pays de Galles (13-20). Comme il y a deux ans donc. Voilà quatre fois de suite que les Bleus tombent face au XV du Poireau. Déjà battue en Irlande (18-11), la France peut dire adieu à ses rêves de victoire finale dans le Tournoi. «Ce qui a fait notre force, la défense, nous a aujourd’hui fait défaut, déplore Thierry Dusautoir, le capitaine tricolore. On n’a pas réussi à concrétiser toutes nos pénalités. On termine à moins sept. La différence est courte mais bien présente. C’est encore une grosse déception». Menés 6-3 à la pause, les Bleus étaient déjà retournés au vestiaire sous les sifflets parce que Camille Lopez venait de totalement manquer une deuxième pénalité. Auparavant, le public n’avait eu que deux occasions de se réchauffer. La première sur une passe du pied de Lopez qu’Huget ne volleyait pas assez fort pour Dulin (13e). La seconde sur un essai d’Huget, finalement refusé logiquement pour un léger en-avant de Lopez (34e). Après le repos, Morgan Parra prenait à son compte la première pénalité française. Sans plus de réussite que Lopez (42e). Mais les Bleus semblaient enfin vouloir accélérer. Ils se faisaient surprendre sur un essai de Biggar (60e). Halfpenny passait une nouvelle pénalité pour porter le score à 17-6 (65e). Au plus mal, les Français réagissaient enfin et Dulin concluait dans l’en-but un mouvement intense (13-17, 68e). L’espoir était de courte durée. Halfpenny réussissait en effet une nouvelle pénalité (20-13, 74e). Les Bleus cherchaient en vain à arracher le match nul. Comme si cela ne suffisait pas, une autre mauvaise nouvelle était venue un peu plus tôt d’Ecosse où l’Italie s’est imposée sur le fil (22-19). Le rendez-vous du 15 mars, à Rome, chez le premier adversaire de la Coupe du monde s’annonce plus périlleux que jamais.

 

 




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