Archive pour le Tag 'ennemis'

Politiques -écolos bobos : les pires ennemis de l’environnement

Politiques -écolos bobos : les pires ennemis de l’environnement

Les écolos bobos croient servir la cause environnementale avec leur intégrisme radical. En fait, dans la plupart des cas ils n’obtiennent que le contraire de ce qui est recherché. Pour certains d’ailleurs, la lutte pour le cadre de vie est secondaire, l’objectif est surtout politique : imposer un autre type de société de philosophie néo marxiste même si les organisations en cause regroupent aussi des anarchistes, des humanistes naïfs et nombre de marginaux.

Ainsi la vague verte enregistrée lors des municipales est-elle largement teintée de rouge recyclé. Les organisations politiques officielles de gauche ont été éjectées du jeu politique et nombre de militants se sont reconvertis dans l’idéologie verte révolutionnaire. Le pouvoir est bien contraint d’intégrer les aspirations environnementales d’ une partie de l’électorat et sacrifie sur l’autel écolo quelques victimes expiatoires mais évidemment sans changer la ligne générale de développement. Ainsi en est-il du nucléaire avec par exemple le renoncement très politicien de Mitterrand au projet de central Tricastin et dernièrement la fermeture de Fessenheim par Macron.

Dans le même temps, ce dernier prévoit assez rapidement la construction de 6 EPR qui compenseront est bien davantage les quelques fermetures de réacteurs anciens ( une trentaine d’EPR d’ ici 2050). L’objectif de ramener la part du nucléaire à 50 % au lieu de 70 à 75 % relève de cette illusion verte. Pour donner le change, on construit aussi de très coûteuse éoliennes qui permettent à certains propriétaires terriens de s’enrichir mais constituent un contresens économique et énergétique. Bien d’autres sources d’énergie méritent d’être soutenues comme la biomasse, la géothermie, l’hydroélectrique, le voltaïque ou encore l’hydrogène.

Après la pseudo convention citoyenne, la plupart des sujets stratégiques ont été enterrés. On retient surtout le gadget des terrasses chauffées ( et les pelouse des terrains de foot ?). Bref, le radicalisme des écolos verts rouges contraint à slalomer pour atteindre les objectifs stratégiques, à perdre du temps de l’argent et finalement à nuire à l’environnement. Des évolutions sont indispensables pour améliorer la qualité de vie, le climat et la biodiversité mais elles ne peuvent être que structurelles, c’est-à-dire s’inscrire dans le temps en tenant compte des réalités. Sinon on se résout à accepter une politique environnementale de gribouille qui affiche surtout des gadgets voire des contradictions avec l’objectif recherché. Exemples ridicules : la proposition des écolos de supprimer l’arbre de Noël ou encore les jours fériés à connotation religieuse !

Les écolos bobos dingos : les pires ennemis de l’environnement

Les écolos bobos dingos : les pires ennemis de l’environnement

Les écolos bobos croient servir la cause environnementale avec leur intégrisme radical. En fait, dans la plupart des cas ils n’obtiennent que le contraire de ce qui est recherché. Pour certains d’ailleurs, la lutte pour le cadre de vie est secondaire, l’objectif est surtout politique : imposer un autre type de société de philosophie néo marxiste même si les organisations en cause regroupent aussi des anarchistes, des humanistes naïfs et nombre de marginaux.

Ainsi la vague verte enregistrée lors des municipales est-elle largement teintée de rouge recyclé. Les organisations politiques officielles de gauche ont été éjectées du jeu politique et nombre de militants se sont reconvertis dans l’idéologie verte révolutionnaire. Le pouvoir est bien contraint d’intégrer les aspirations environnementales d’ une partie de l’électorat et sacrifie sur l’autel écolo quelques victimes expiatoires mais évidemment sans changer la ligne générale de développement. Ainsi en est-il du nucléaire avec par exemple le renoncement très politicien de Mitterrand au projet de central Tricastin et dernièrement la fermeture de Fessenheim par Macron.

Dans le même temps, ce dernier prévoit assez rapidement la construction de 6 EPR qui compenseront est bien davantage les quelques fermetures de réacteurs anciens ( une trentaine d’EPR d’ ici 2050). L’objectif de ramener la part du nucléaire à 50 % au lieu de 70 à 75 % relève de cette illusion verte. Pour donner le change, on construit aussi de très coûteuse éoliennes qui permettent à certains propriétaires terriens de s’enrichir mais constituent un contresens économique et énergétique. Bien d’autres sources d’énergie méritent d’être soutenues comme la biomasse, la géothermie, l’hydroélectrique, le voltaïque ou encore l’hydrogène.

Après la pseudo convention citoyenne, la plupart des sujets stratégiques ont été enterrés. On retient surtout le gadget des terrasses chauffées ( et les pelouse des terrains de foot ?). Bref, le radicalisme des écolos verts rouges contraint à slalomer pour atteindre les objectifs stratégiques, à perdre du temps de l’argent et finalement à nuire à l’environnement. Des évolutions sont indispensables pour améliorer la qualité de vie, le climat et la biodiversité mais elles ne peuvent être que structurelles, c’est-à-dire s’inscrire dans le temps en tenant compte des réalités. Sinon on se résout à accepter une politique environnementale de gribouille qui affiche surtout des gadgets voire des contradictions avec l’objectif recherché. Exemples ridicules : la proposition des écolos de supprimer l’arbre de Noël ou encore les jours fériés à connotation religieuse !

France–Royaume-Uni: deux ennemis intimes

France–Royaume-Uni: deux ennemis intimes

 

 

L’Irlande a accusé lundi la Grande-Bretagne de vouloir « changer les règles du jeu » pour résoudre les difficultés commerciales en Irlande du Nord, en réaction au souhait exprimé par Londres que l’autorité de la Cour européenne de justice (CEJ) ne s’exerce pas sur le sujet. Le ministre britannique du Brexit, David Frost, a rendu publics samedi des extraits d’un discours qu’il doit prononcer ce mardi, dans lequel il estime que la CEJ a créé un « profond déséquilibre » dans la façon dont s’appliquent les protocoles nord-irlandais, qui visent à éviter le rétablissement d’une frontière physique entre les deux Irlande depuis la sortie du Royaume-Uni de l’Union européenne. ( dans l’Opinion)

Robert Tombs est professeur d’histoire au St John’s College de l’université de Cambridge. Il est le co-auteur avec Isabelle Tombs de La France et le Royaume-Uni : Des ennemis intimes (Armand Colin, 2012).

Comment voyez-vous, aujourd’hui, les relations entre le Royaume-Uni et la France ?

Je suis partisan du Brexit et je ne vois pas les choses de la même façon que la plupart des médias en France. Je pense partager le sentiment d’une grande partie de l’opinion publique britannique. En Angleterre, nous considérons que la France a toujours poursuivi une ligne très dure vis-à-vis du Royaume-Uni depuis le Brexit pour le punir d’avoir eu la témérité de quitter l’Union européenne. Le protocole nord-irlandais a ainsi été interprété d’une façon extrêmement tendancieuse, ne respectant pas les termes mêmes du texte. Contrairement à ce qui est affirmé, ce dernier permet, en effet, des modifications dans des cadres très clairement expliqués. Le ton utilisé par les porte-parole français et nombre de personnalités politiques dans votre pays est souvent insultant, menaçant et provocateur. Je le regrette beaucoup comme francophile, mais nous voyons la France comme le chef de file de l’anglophobie en Europe. Tout cela n’est qu’une excuse pour faire pression sur la Grande-Bretagne.

Sur le protocole, la République d’Irlande est pourtant sur la même ligne…

Bien sûr ! Dublin cherche l’unification de l’Irlande en prenant des positions très fermes.

Parmi les dossiers chauds, Paris dénonce le manque de bonne volonté de Londres sur la pêche

L’accord sur la pêche a donné beaucoup d’avantages aux Européens, Français y compris. La plupart des permis demandés ont été attribués aux pêcheurs français. Ceux qui n’en ont pas eu n’ont pas pu prouver qu’ils avaient effectivement opéré légalement dans les eaux territoriales britanniques. La dispute se circonscrit entre la France et les îles anglo-normandes qui n’ont jamais fait partie de l’Union européenne et ne font pas partie du Royaume-Uni. Ce sont seulement des entités autonomes placées sous la couronne britannique.

« Boris Johnson a toujours été très prudent dans son expression quand votre Président l’a traité de menteur, de traître et de tricheur »

Sur le dossier migratoire, Gérald Darmanin, le ministre de l’Intérieur, déplore que le Royaume-Uni, qui s’était engagé fin juillet à payer à la France 62,7 millions d’euros en 2021-2022 pour financer le renforcement de ses forces de l’ordre sur les côtes, n’ait pas tenu « sa promesse »…

Je ne connais pas les termes de l’accord, mais le nombre de migrants quittant la France pour l’Angleterre ne cesse de grimper depuis quelques mois. On se demande donc exactement ce que font les Français pour justifier ce paiement, même si c’est difficile de contrôler tout un littoral. On se dit que les autorités françaises permettent d’embarquer illégalement vers nos côtes et qu’il est un peu « culotté » de demander d’être payés pour ne pas faire ce qu’elles avaient promis. Le ton utilisé par certains dirigeants français comme Clément Beaune, votre secrétaire d’Etat chargé des Affaires européennes, et des députés et maires du Nord de la France est très violent pour des représentants d’un pays démocratique, qui est aussi un pays allié. Nombre de Britanniques estiment donc, aujourd’hui, que la France n’est pas notre amie et qu’elle recourra à tous les moyens pour rendre la vie difficile à leur gouvernement. Une certaine anglophobie a toujours été latente en France, tout comme une certaine francophobie est présente chez nous. Si on continue à chauffer la casserole, cela va bientôt bouillir et ranimer les hostilités des deux côtés de la Manche.

Ne pensez-vous pas que Boris Johnson en joue sur le plan politique intérieur ?

Il y a encore une minorité de Britanniques pro-européens — surtout à Londres et parmi une certaine élite politique — pour qui tout ce que fait notre Premier ministre est mauvais et tout ce que font Bruxelles et Paris est bien. Mais chez la plupart des gens qui ne sont pas très politisés Boris Johnson demeure assez populaire. On peut penser qu’il soigne sa popularité en alimentant le sentiment anti-français, tout comme Emmanuel Macron le ferait de son côté avec le sentiment anti-anglais, mais il a toujours été très prudent dans son expression quand votre Président l’a traité de menteur, de traître et de tricheur à l’occasion de l’annulation de la commande de sous-marins par l’Australie.

Biodiversité et marché : ennemis ou alliés ?

Biodiversité et marché : ennemis ou alliés  ?

 

 

Par Fabio Ferrari, CEO de ADryada évoque la problématique de la compatibilité de la biodiversité et du marché.( Dans la tribune, extrait)

 

 

Ils se haïssent a priori : d’un côté, « Dame Biodiversité », certes indispensable à la survie même de l’humanité, mais habillée d’une (belle) complexité où s’enchevêtrent des vies de bactéries, papillons, fleurs, frênes, mousses, coraux, éléphants, chevaux – sans oublier les nôtres. Ce à quoi le capitalisme n’a, jusqu’à ce jour, donné aucune valeur, hormis celle de la force de travail pour certaines vies. De l’autre, « Sieur Marché », qui simplifie l’homme en « consommateur », ne jure que par l’implacable loi de l’offre et de la demande monétarisées, et abrite tant d’entreprises qui recourent au « Green Washing » sans même songer, à la survie de l’humanité…

Cette haine semble d’autant plus légitime qu’en matière de lutte contre le réchauffement climatique, seule cause pour laquelle le monde semble plus ou moins mobilisé, le marché n’a jusqu’à présent pas brillé par ses succès : malgré la mise en place des crédits carbone dans la foulée du Protocole de Kyoto, en 1997 – les entreprises peuvent compenser leurs émissions en finançant des projets écologiques qui permettent de réduire les émissions de gaz à effet de serre, comme la plantation d’arbres – la planète continue à se réchauffer. Le 9 août le GIEC n’a fait que réaffirmer ce que chacun sait.

Quels sont les moyens dont nous disposons pour les atteindre, ces objectifs, hormis ceux du marché ?

L’histoire de celui créé pour le carbone est à ce titre riche d’instructions. A la fin des années 1990, les discussions portant sur le meilleur outil à mettre en place pour réduire les émissions de gaz à effet de serre ont en effet abouti à une conclusion sans appel : les lois du marché sont plus efficaces que la mise en place de pénalités financières pour les émetteurs. Certes, le fameux marché s’est effondré avec la crise de 2008 et le réchauffement se poursuit aujourd’hui. Mais le mécanisme de marché est-il vraiment responsable ? Les hésitations des autorités publiques à réduire drastiquement les quotas d’émissions pour faire croître le prix de la tonne de carbone au-delà de 100 euros la tonne ne sont-elles pas les vraies coupables ?

Au-delà, les deux clefs d’un mariage réussi entre Sieur Marché et Dame Biodiversité sont aujourd’hui réunies. Des indicateurs pertinents d’abord, pour mesurer l’efficacité des actions menées. Certes, il n’existe pas d’équivalent « émissions de CO2 » pour calculer de façon standardisée, facile et incontestable la perte de nutriments des sols en Amazonie, la raréfaction des papillons et les liens existants entre toutes les vies de la nature. Certes, on pourrait disserter à l’infini sur le caractère imparfait des indicateurs qui sont déjà utilisés au niveau mondial en matière de biodiversité – comme le « Biodiversity Impact Analytics (BIA) basé sur l’abondance moyenne des espèces, animales et végétales, par km2 ou le Global Biodiversity Score for Financial Institutions (GBSFI). Mais ces indicateurs existent. Et a-t-on vraiment le temps de chercher la perfection ? Dame Biodiversité se meurt.

 

Seconde clef : les marchés financiers. Ces derniers voient en effet d’un œil de plus en plus mauvais les entreprises qui négligent la planète, et qui se faisant prennent des risques. Pour leur image bien sûr – il y a des classements plus attrayants que celui de « ces sociétés qui brûlent la forêt amazonienne ». Mais aussi pour leurs opérations quotidiennes – les industriels de l’agroalimentaire notamment, s’ils n’agissent pas pour enrayer la perte de qualité des sols en zones agricoles. En France, l’article 29 de la loi Énergie Climat, adoptée en 2019, prévoit ainsi de définir les obligations de reporting des investisseurs sur les risques climatiques et la biodiversité. Son décret d’application est sorti en mai dernier. De quoi inciter les entreprises à accélérer pour protéger la planète.

Reste à s’assurer qu’elles le fassent de manière efficace. Cela nécessite dans doute de les inciter à agir aussi – et même avant tout – dans les zones sauvages, les plus riches en biodiversité, même si ces dernières sont éloignées de leurs lieux d’activité. Cela suppose également d’acter la création de ce marché de la biodiversité, basé sur un indicateur de type BIA, et en fixant un coût unitaire basé sur le vrai cout des actions de préservation de la biodiversité. Les gouvernements du monde entier ont l’opportunité de prendre ces décisions à l’occasion de la COP 15, qui se tiendra en Chine cet automne. Courage. Unissons les Epoux promis.

Les écolos bobos : les pires ennemis de l’environnement

Les écolos bobos : les pires ennemis de l’environnement

 

Les écolos bobos croient servir la cause environnementale avec leur intégrisme radical. En fait, dans la plupart des cas ils n’obtiennent que le contraire de ce qui est recherché. Pour certains d’ailleurs la lutte pour le cadre de vie est secondaire, l’objectif est surtout politique : imposer un autre type de société de philosophie néo marxiste même si les organisations en cause regroupent aussi des anarchistes, des humanistes naïfs et nombre de marginaux. Ainsi la vague verte enregistrée lors des municipales est-elle largement teintée de rouge recyclé. Les organisations politiques officielles de gauche ont été éjectées du jeu politique et nombre de militants se sont reconvertis dans l’idéologie verte révolutionnaire. Le pouvoir est bien contraint d’intégrer les aspirations environnementales d’ une partie de l’électorat et sacrifie sur l’autel écolo quelques victimes expiatoires mais évidemment sans changer la ligne générale de développement. Ainsi en est-il du nucléaire avec par exemple le renoncement très politicien de Mitterrand au projet de central Tricastin et dernièrement la fermeture de Fessenheim par Macron. Dans le même temps, ce dernier prévoit assez rapidement la construction de 6 EPR qui compenseront est bien davantage les quelques fermetures de réacteurs anciens ( une trentaine d’EPR d’ ici 2050). L’objectif de ramener la part du nucléaire à 50 % au lieu de 70 à 75 % relève de cette illusion verte. Pour donner le change,  on construit aussi de très coûteuse éoliennes qui permettent à certains propriétaires terriens de s’enrichir mais constituent un contresens économique et énergétique. Bien d’autres sources d’énergie méritent d’être soutenues comme la biomasse, l’hydroélectrique, le voltaïque ou encore l’hydrogène. Après la pseudo convention citoyenne, la plupart des sujets stratégiques ont été enterrés. On retient surtout le gadget des terrasses chauffées ( et les pelouse des terrains de foot ?). Bref, le radicalisme des écolos verts  rouges contraint à slalomer pour atteindre les objectifs stratégiques, à perdre du temps de l’argent et finalement à nuire à l’environnement. Des évolutions sont indispensables pour améliorer la qualité de vie, le climat et la biodiversité mais elles ne peuvent être que structurelles, c’est-à-dire s’inscrire dans le temps en tenant compte des réalités. Sinon on se résout à accepter une politique environnementale de gribouille qui affiche surtout des gadgets voire des contradictions avec l’objectif recherché.

 

Les écolos bobos : les pires ennemis de l’environnement

 Les écolos bobos : les pires ennemis de l’environnement

Les écolos bobos croient servir la cause environnementale avec leur intégrisme radical. En fait, dans la plupart des cas ils n’obtiennent que le contraire de ce qui est recherché. Pour certains d’ailleurs la lutte pour le cadre de vie est secondaire, l’objectif est surtout politique : imposer un autre type de société de philosophie néo marxiste même si les organisations en cause regroupent aussi des anarchistes, des humanistes naïfs et nombre de marginaux. Ainsi la vague verte enregistrée lors des municipales est-elle largement teintée de rouge recyclé. Les organisations politiques officielles de gauche ont été éjectées du jeu politique et nombre de militants se sont reconvertis dans l’idéologie verte révolutionnaire. Le pouvoir est bien contraint d’intégrer les aspirations environnementales d’ une partie de l’électorat et sacrifie sur l’autel du productivisme quelques victimes expiatoires mais évidemment sans changer la ligne générale de développement. Ainsi en est-il du nucléaire avec par exemple le renoncement très politicien de Mitterrand au projet de central Tricastin et dernièrement la fermeture de Fessenheim par Macron. Dans le même temps ce dernier prévoit assez rapidement la construction de 6 EPR qui compenseront est bien davantage les quelques fermetures de réacteurs anciens ( une trentaine d’EPR d’ ici une cinquantaine d’années). L’objectif de ramener la part du nucléaire à 50 % au lieu de 70 à 75 % relève de cet illusion verte. Pour donner le change,  on construit aussi de très coûteuse éoliennes qui permettent à certains propriétaires terriens de s’enrichir mais constituent un contresens économique et énergétique. Bien d’autres sources d’énergie méritent d’être soutenues comme la biomasse, l’hydroélectrique, le voltaïque ou encore l’hydrogène. Après la pseudo convention citoyenne, la plupart des sujets stratégiques ont été enterrés. On retient surtout le gadget des terrasses chauffées ( et les pelouse des terrains de foot ?). Bref, le radicalisme des écolos verts  rouges contraint à slalomer pour atteindre les objectifs stratégiques, à perdre du temps de l’argent et finalement à nuire à l’environnement. Des évolutions sont indispensables pour améliorer la qualité de vie, le climat et la biodiversité mais elles ne peuvent être que structurelles, c’est-à-dire s’inscrire dans le temps en tenant compte des réalités. Sinon on se résout à accepter une politique environnementale de gribouille qui affiche surtout des gadgets voire des contradictions avec l’objectif recherché par exemple en délocalisant les productions polluantes  dans les pays à bas coûts ou même dans la France profonde.

Les Français de l’EI sont des ennemis

Les Français de  l’EI sont des ennemis

 

 

Officiellement le gouvernement français prévient que dans la dernière phase actuellement en cours contre Daech en Syrie et en Irak, les français auront le même statut que les autres combattants. Officieusement on va même plus loin puisque la France ne souhaite pas leur retour en France.  Les combattants français qui rejoignent les rangs de l’Etat islamique en Irak et en Syrie doivent assumer le risque d’être tués, a déclaré le porte-parole du gouvernement français Christophe Castaner, mercredi. « Je le dis à tous les combattants qui rejoignent Daech et qui vont à l’étranger pour mener la guerre : mener la guerre, c’est prendre des risques, qu’ils assument leurs risques », a-t-il dit lors du compte rendu du conseil des ministres. Il était interrogé sur un article du Wall Street Journal selon lequel la France fait appel aux forces irakiennes pour éliminer les djihadistes français présents à Mossoul, que les forces locales, appuyées par la coalition internationale, tentent de reprendre des mains des djihadistes. Les forces spéciales françaises auraient ainsi, selon le quotidien américain qui cite des sources irakiennes et françaises sur place, fourni aux unités irakiennes une liste de 27 noms de combattants français à éliminer. Interrogé sur ces informations, un porte-parole du Quai d’Orsay a assuré mardi que la France « conduisait son action dans le respect du droit international ».




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