Archive pour le Tag 'Engluée'

Politique: la ministre de l’écologie engluée dans le pétrole familial et les paradis fiscaux !

Politique: la ministre de l’écologie engluée dans le pétrole familial et les paradis fiscaux !


Comme ministre de la Transition énergétique, on fait mieux !. Non seulement Agnès Pannier-Runacher se caractérise par une grande incompétence mais en plus elle est impliquée dans une affaire de pétrole familial en plus localisée dans les paradis fiscaux.

On savait évidemment que la fameuse planification écologique du gouvernement était un véritable leurre car on ne constate ni planification ni véritable préoccupation environnementale significative. De là à confier le ministère de la transition énergétique a une personnalité compromise par ses intérêts pétroliers dans des paradis fiscaux, il y a un pas que Macron n’a pas hésité à franchir.

Le média d’investigation Disclose a rapporté, mardi 8 novembre, que les enfants de la ministre de la Transition énergétique, Agnès Pannier-Runacher, étaient propriétaires d’une société basée sur des fonds domiciliés en partie dans des paradis fiscaux.. Ce patrimoine proviendrait de fonds spéculatifs, installés dans le Delaware, en Irlande et à Guernesey. Des fonds dans lesquels la société pétrolière Perenco, dont Jean-Michel Runacher ( Le père de la ministre) était alors un des responsables, détenait aussi des investissements.
Quatre des petits-enfants de Jean-Michel Runacher sont désormais les associés d’Arjunem. Parmi eux figurent les trois enfants d’Agnès Pannier-Runacher, qui étaient alors mineurs, et pour lesquels la ministre a signé en tant que représente légale.

Sollicitée par Disclose, l’association anticorruption Anticor dénonce « une situation de conflit d’intérêts » touchant Agnès Pannier-Runacher après la révélation de l’existence d’Arjunem. La Haute autorité à la transparence de la vie publique rappelle, elle, de manière générale, que « l’absence d’obligation déclarative ne dispense pas le responsable public de veiller à prévenir et faire cesser les situations de conflits d’intérêts qui naîtraient d’autres intérêts indirects détenus, tels que l’activité des enfants ou d’autres membres de la famille ».

Affaires politico-financières : la ministre de l’écologie engluée dans le pétrole familial et les paradis fiscaux

Affaires politico-financières : la ministre de l’écologie engluée dans le pétrole familial et les paradis fiscaux !

Comme ministre de la Transition énergétique, on fait mieux !. Non seulement Agnès Pannier-Runacher se caractérise par une grande incompétence mais en plus elle est impliquée dans une affaire de pétrole familial en plus localisée dans les paradis fiscaux.

On savait évidemment que la fameuse planification écologique du gouvernement était un véritable leurre car on ne constate ni planification ni véritable préoccupation environnementale significative. De là à confier le ministère de la transition énergétique a une personnalité compromise par ses intérêts pétroliers dans des paradis fiscaux, il y a un pas que Macron n’a pas hésité à franchir.

Le média d’investigation Disclose a rapporté, mardi 8 novembre, que les enfants de la ministre de la Transition énergétique, Agnès Pannier-Runacher, étaient propriétaires d’une société basée sur des fonds domiciliés en partie dans des paradis fiscaux.. Ce patrimoine proviendrait de fonds spéculatifs, installés dans le Delaware, en Irlande et à Guernesey. Des fonds dans lesquels la société pétrolière Perenco, dont Jean-Michel Runacher ( Le père de la ministre) était alors un des responsables, détenait aussi des investissements.
Quatre des petits-enfants de Jean-Michel Runacher sont désormais les associés d’Arjunem. Parmi eux figurent les trois enfants d’Agnès Pannier-Runacher, qui étaient alors mineurs, et pour lesquels la ministre a signé en tant que représente légale.

Sollicitée par Disclose, l’association anticorruption Anticor dénonce « une situation de conflit d’intérêts » touchant Agnès Pannier-Runacher après la révélation de l’existence d’Arjunem. La Haute autorité à la transparence de la vie publique rappelle, elle, de manière générale, que « l’absence d’obligation déclarative ne dispense pas le responsable public de veiller à prévenir et faire cesser les situations de conflits d’intérêts qui naîtraient d’autres intérêts indirects détenus, tels que l’activité des enfants ou d’autres membres de la famille ».

Croissance : la France et la zone Euro engluée

 

Il n’y au ra pas bien sûr de miracle pour la France mais aussi pour l’ensemble de la zone euro. Pour la France, si le commerce extérieur s’améliore un peu par contre les investissements ne repartent pas et la consommation demeure toujours atone. Les chiffres du deuxième trimestre devraient être les plus mauvais de l’année mais on ne prévoit pas de redressement significatif d’ici fin 2015. En fait Les chiffres les plus récents publiés ces derniers jours démontrent que la zone euro et engluée dans un fort taux chômage et dans une inflation inexistante. De plus indicateurs qui montrent l’atonie de l’économie. Faute d’insuffisance de demandes internes mais aussi extérieures la croissance demeure très molle. Du coup le chômage dépasse les 11 % en juin. L’inflation est quasi inexistante seulement 02 % du faite de la faiblesse de la demande. Ces deux indicateurs taux de chômage est inflation ne sont guère rassurants quant à l’évolution générale de l’économie pour la deuxième partie de l’année. En faite la zone euro  s’enfonce doucement dans la croissance molle et sans doute bien au-delà de 2015. Le taux de chômage est resté inchangé dans la zone euro en juin, à 11,1%, comme en avril et en mai, selon les chiffres publiés vendredi par l’office européen de statistiques Eurostat. Un an auparavant, le taux de chômage de la zone euro s’élevait à 11,6%. En juin dernier, la zone euro comptait 17,75 millions de chômeurs, soit 31.000 de plus qu’un mois plus tôt, mais 811.000 de moins qu’il y a exactement un an. Le taux de chômage le plus faible parmi les pays de la zone euro a été enregistré en Allemagne, où il est resté à son plancher de 4,7%. Malte s’impose à la deuxième place avec un taux de 5,5%, devant le Luxembourg (5,7%) et l’Autriche (6,0%).  Sans surprise, le taux le plus élevé a été enregistré en Grèce, où il culminait à 25,6% selon les dernières données disponibles, datant d’avril. Suivent l’Espagne (22,5%) et Chypre (16,2%). Le chômage des jeunes concernait en juin 3,18 millions de moins de 25 ans dans l’Union monétaire, soit 225.000 de moins qu’un an plus tôt.  Sur un an, le taux de chômage a le plus baissé en Lituanie (de 10,9% à 8,5%), en Espagne (de 24,5% à 22,5%) ainsi qu’au Portugal (de 14,3% à 12,4%). Les hausses les plus importantes sur un an ont quant à elles été enregistrées en Belgique (de 8,4% à 8,6%), en Italie (de 12,4% à 12,7%), en Autriche (de 5,7% à 6,0%) et en Finlande (de 8,6% à 9,5%). Dans l’ensemble de l’UE, le taux de chômage était de 9,6% en juin, soit 23,29 millions de personnes, parmi lesquelles 4,72 millions de moins de 25 ans.  L’inflation dans la zone euro est aussi restée stable en juillet, à 0,2% sur un an, a indiqué vendredi l’office européen des statistiques Eurostat en publiant une première estimation de cet indicateur. Ce chiffre est conforme aux attentes des analystes mais reste une déception pour la Banque centrale européenne (BCE), qui a mis en œuvre depuis plusieurs mois un vaste programme de rachats d’actifs pour faire repartir l’inflation à la hausse.  Parmi les principales composantes de l’inflation en juillet, les services devraient connaître le taux le plus élevé (1,2%, contre 1,1% en juin), suivis de l’alimentation, alcool et tabac (0,9%, contre 1,1% en juin), des biens industriels non énergétiques (0,5%, contre 0,3% en juin). En revanche, les prix de l’énergie ont continué de baisser en juillet (-5,6%, contre ?5,1% en juin). L’inflation sous-jacente – hors énergie, alimentation, alcool et tabac -, considérée comme plus révélatrice de la tendance, a toutefois légèrement accéléré à 1,0% en juillet contre 0,8% le mois précédent.  En Allemagne, première économie de la région, l’inflation a ralenti pour le deuxième mois consécutif à cause d’une nouvelle baisse des prix de l’énergie et de l’alimentation, Les prix allemands décélèrent depuis deux mois et rompent avec le redressement entamé au printemps, après avoir glissé en territoire négatif en janvier (-0,4%). En Espagne, l’évolution des prix a été nulle en juillet, affectée par la baisse des prix des carburants. En Belgique, l’inflation a ralenti en juillet, à 0,46%. En conclusion la France comme la zone euro subisse les conséquences du caractère faiblard de la croissance mondiale, conséquence cumulée avec des politiques économiques restrictives qui étouffent encore un peu plus la demande.

 

Chômage et faible inflation : la zone Euro engluée

Chômage et faible inflation : la zone Euro engluée

Les chiffres les plus récents publiés ces derniers jours démontrent que la zone euro et engluée dans un fort taux chômage et dans une inflation inexistante. De plus indicateurs qui montrent l’atonie de l’économie. Faute d’insuffisance de demandes internes mais aussi extérieures la croissance demeure très molle. Du coup le chômage dépasse les 11 % en juin. L’inflation est quasi inexistante seulement 02 % du faite de la faiblesse de la demande. Ces deux indicateurs taux de chômage est inflation ne sont guère rassurants quant à l’évolution générale de l’économie pour la deuxième partie de l’année. En faite leur a s’enfonce doucement dans croissance molle et sans doute bien au-delà de 2015. Le taux de chômage est resté inchangé dans la zone euro en juin, à 11,1%, comme en avril et en mai, selon les chiffres publiés vendredi par l’office européen de statistiques Eurostat. Un an auparavant, le taux de chômage de la zone euro s’élevait à 11,6%. En juin dernier, la zone euro comptait 17,75 millions de chômeurs, soit 31.000 de plus qu’un mois plus tôt, mais 811.000 de moins qu’il y a exactement un an. Le taux de chômage le plus faible parmi les pays de la zone euro a été enregistré en Allemagne, où il est resté à son plancher de 4,7%. Malte s’impose à la deuxième place avec un taux de 5,5%, devant le Luxembourg (5,7%) et l’Autriche (6,0%).  Sans surprise, le taux le plus élevé a été enregistré en Grèce, où il culminait à 25,6% selon les dernières données disponibles, datant d’avril. Suivent l’Espagne (22,5%) et Chypre (16,2%). Le chômage des jeunes concernait en juin 3,18 millions de moins de 25 ans dans l’Union monétaire, soit 225.000 de moins qu’un an plus tôt.  Sur un an, le taux de chômage a le plus baissé en Lituanie (de 10,9% à 8,5%), en Espagne (de 24,5% à 22,5%) ainsi qu’au Portugal (de 14,3% à 12,4%). Les hausses les plus importantes sur un an ont quant à elles été enregistrées en Belgique (de 8,4% à 8,6%), en Italie (de 12,4% à 12,7%), en Autriche (de 5,7% à 6,0%) et en Finlande (de 8,6% à 9,5%). Dans l’ensemble de l’UE, le taux de chômage était de 9,6% en juin, soit 23,29 millions de personnes, parmi lesquelles 4,72 millions de moins de 25 ans.  L’inflation dans la zone euro est aussi restée stable en juillet, à 0,2% sur un an, a indiqué vendredi l’office européen des statistiques Eurostat en publiant une première estimation de cet indicateur. Ce chiffre est conforme aux attentes des analystes mais reste une déception pour la Banque centrale européenne (BCE), qui a mis en œuvre depuis plusieurs mois un vaste programme de rachats d’actifs pour faire repartir l’inflation à la hausse.  Parmi les principales composantes de l’inflation en juillet, les services devraient connaître le taux le plus élevé (1,2%, contre 1,1% en juin), suivis de l’alimentation, alcool et tabac (0,9%, contre 1,1% en juin), des biens industriels non énergétiques (0,5%, contre 0,3% en juin). En revanche, les prix de l’énergie ont continué de baisser en juillet (-5,6%, contre ?5,1% en juin). L’inflation sous-jacente – hors énergie, alimentation, alcool et tabac -, considérée comme plus révélatrice de la tendance, a toutefois légèrement accéléré à 1,0% en juillet contre 0,8% le mois précédent. Aucun détail n’a été donné à ce stade sur l’évolution des prix dans les 19 pays de la zone euro mais plusieurs d’entre eux ont déjà rendu public les chiffres d’inflation pour le mois de juillet.  En Allemagne, première économie de la région, l’inflation a ralenti pour le deuxième mois consécutif à cause d’une nouvelle baisse des prix de l’énergie et de l’alimentation, selon des données publiées jeudi. Les prix allemands décélèrent depuis deux mois et rompent avec le redressement entamé au printemps, après avoir glissé en territoire négatif en janvier (-0,4%). Cet épisode avait attisé les craintes autour de la menace d’une déflation, spirale à la baisse des prix et des salaires, synonyme de paralysie économique. En Espagne, l’évolution des prix a été nulle en juillet, affectée par la baisse des prix des carburants. En Belgique, l’inflation a ralenti en juillet, à 0,46%.

Engluée en Afrique, la France regroupe ses forces

Engluée en Afrique, la France regroupe ses forces

 

Inutile de tourner autour du pot , la France est engluée en Afrique, des opérations qui ne devaient durer que 6 mois o un an sont prolongée sans limite prévisible ; En fait la France est isolée et l’apport européen est anecdotique. D’une certaine façon la France fait la police en Afrique pendant que l’Allemagne, elle, fait du commerce en Afrique mais surtout ailleurs. La réorganisation de son dispositif militaire en Afrique marque donc une nouvelle phase de la stratégie de la France dans la bande sahélo-saharienne, où Paris regroupe ses forces et inscrit son action dans la durée face à de réelles menaces djihadistes.  Annoncée depuis plusieurs mois, l’opération Barkhane doit officiellement succéder dans les prochains jours à Serval, lancée en janvier 2013 au Mali, et regrouper différents déploiements français dans la région, dont l’opération Epervier au Tchad.   »Barkhane », du nom d’une dune de sable en forme de croissant, mobilisera au total 3.000 militaires français et se fera en coopération avec cinq pays de la zone sahélo-saharienne (Mali, Mauritanie, Burkina Faso, Niger et Tchad).  L’ensemble sera placé sous commandement unique depuis la base de N’Djamena où se rendra samedi François Hollande, au terme d’une tournée africaine qui l’aura auparavant mené en Côte d’Ivoire et au Niger.   »Le dispositif donnera plus de flexibilité pour agir en fonction des menaces dans plusieurs pays », explique-t-on dans l’entourage du chef de l’Etat français.  Les menaces régionales sur la sécurité venant du Mali, de RCA, de la Libye, du Soudan ou encore du Nigeria, où opère la secte Boko Haram, seront au coeur des entretiens de François Hollande avec ses homologues africains. L’Ivoirien Alassane Ouattara, le Nigérien Mahamadou Issoufou et le Tchadien Idriss Deby se retrouveront en France le 15 août pour participer aux cérémonies commémorant le Débarquement en Provence de l’été 1944.

 




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