Archive pour le Tag 'engage'

Macron- Berger: une opposition entre un banquier et un citoyen engagé

Macron- Berger: une opposition entre un banquier et un citoyen engagé

Les médias mettent maintenant l’accent sur l’opposition viscérale entre la personnalité de Macron et celle de Laurent Berger numéro un de la CFDT. Il est clair que les deux intéressés ne partiront sans doute pas en vacances ensemble. Tout les sépare car Macron est ce technocrate parvenu de façon douteuse au pouvoir pour servir les intérêts des plus riches. À l’inverse, Laurent Berger est forcément le porte-parole des salariés, c’est-à-dire des Français moyens.

Il n’y a pas photo entre les deux légitimités. Macron met en avant sa des politiques alors que tout le monde sait que ce sont les financiers qui ont soutenu et ont même réussi à l’imposer à Hollande. Macron, c’est le coucou imposé dans le nid socialiste pour prendre la place de Hollande et développer une politique cette fois encore plus favorable aux intérêts financier. Berger, lui est engagé au service des salariés depuis une trentaine d’années.

Macron est à la fois un arriviste et un imposteur de plus en plus détesté pour son autoritarisme et son arrogance. Macron n’a jamais eu le moindre engagement sociétal, il ne connait que l’idéologie tehnocratique de l’ENA. En plus pratiqué dans une banque!

De toute évidence, Macron ne connaît pas grand-chose des réalités socio-économiques, il a vécu dans le coton doré d’une famille bourgeoise et son parcours social se limite à un passage dans la banque ! Aucun engagement, aucune conviction non plus ; pour preuve il a utilisées le motif des études pour ne pas faire son service militaire; ce qui qui en dit long sur les valeurs de l’intéressé.

Dès son intronisation il a montré le ridicule de ses prétentions avec une cérémonie aussi grandiose que ridicule. Il restera sans doute dans l’histoire comme l’un des chefs d’État les plus détestés et plus incompétents sii l’on en juge par la situation économique, sociale, financière et sociétale du pays.

Le torchon brûle publiquement entre le président et le patron de la CFDT. Nombreux sont pourtant les macronistes à presser l’Élysée de reprendre le dialogue pour espérer sortir de la nasse sociale.

Une relation sous haute tension, entre deux hommes qui détiennent sans doute les clefs de la sortie de crise. Le ton est encore monté ces dernières heures entre Emmanuel Macron et Laurent Berger, le numéro 1 de la CFDT, alors que l’intersyndicale a défilé ce jeudi pour la 11e fois contre la réforme des retraites voulue par le président de la République.

Depuis son déplacement en Chine, l’entourage d’Emmanuel Macron a regretté ce mercredi après-midi que « pour la première fois de son histoire », le syndicat « n’ait pas présenté un autre projet » pour la réforme des retraites.

« La seule réponse, c’était rien », estime-t-on auprès du chef de l’État.

Berger appelle Macron à « calmer ses nerfs »
Pas question non plus de parler de « crise démocratique » comme l’a avancé le syndicaliste, après l’adoption par 49.3 de la réforme des retraites et le rejet par l’opinion publique du recul de l’âge légal de départ de 62 à 64 ans. « On ne peut pas parler de crise démocratique quand le projet a été porté, expliqué et assumé », a répondu l’entourage du président de la République.

Autant dire que quelques heures à peine après une brève réunion à Matignon, la première depuis la présentation du projet de loi mi-janvier, l’Élysée n’a pas vraiment arrondi les angles.

« J’appelle le président de la République à ne pas balancer des petites phrases. Sinon il va finir par se mettre à dos l’ensemble des organisations syndicales », a estimé Laurent Berger mercredi soir sur BFMTV, demandant à Emmanuel Macron de « calmer ses nerfs ».

Cette passe d’armes est loin d’être la première. Lors de son interview sur TF1 et France 2 mi-mars, le chef de l’État avait accusé – sans le nommer – le syndicat réformiste de n’avoir « proposé aucun compromis » et affirmé que Laurent Berger était « allé devant son congrès en proposant d’augmenter les durées (de cotisation) ».

Le leader de la CFDT l’avait alors accusé de « déni » et de « mensonge », estimant qu’il voulait là « masquer son incapacité à trouver une majorité pour voter sa réforme injuste ».

« Je pense qu’on a sous-estimé l’opposition de la CFDT à la réforme. On ne nous avait pas vraiment habitué à ça », remarque un député macroniste auprès de BFMTV.com.

Duel Macron- Berger: une opposition entre une vision de banquier et celle du français moyen engagé

Duel Macron- Berger: une opposition entre une vision de banquier et celle du français moyen engagé

Les médias mettent maintenant l’accent sur l’opposition viscérale entre la personnalité de Macron et celle de Laurent Berger numéro un de la CFDT.

Il est clair que les deux intéressés ne partiront sans doute pas en vacances ensemble. Tout les sépare car Macron est ce technocrate parvenu de façon douteuse au pouvoir pour servir les intérêts des plus riches. À l’inverse, Laurent Berger est forcément le porte-parole des salariés, c’est-à-dire des Français moyens. Il n’y a pas photo entre les deux légitimités. Macron met en avant sa des politiques alors que tout le monde sait que ce sont les financiers qui ont soutenu et ont même réussi à l’imposer à Hollande. Macron, c’est le coucou imposé dans le nid socialiste pour prendre la place de Hollande et développer une politique cette fois encore plus favorable aux intérêts financier.

Macron est à la fois un arriviste et un imposteur de plus en plus détesté pour son autoritarisme et son arrogance. Macron n’a jamais eu le moindre engagement sociétal, il ne connait que l’idéologie tehnocratique de l’ENA. En plus pratiqué dans une banque!

De toute évidence, Macron ne connaît pas grand-chose des réalités socio-économiques, il a vécu dans le coton doré d’une famille bourgeoise et son parcours social se limite à un passage dans la banque ! Aucun engagement, aucune conviction non plus ; pour preuve il a utilisées le motif des études pour ne pas faire son service militaire; ce qui qui en dit long sur les valeurs de l’intéressé.

Dès son intronisation il a montré le ridicule de ses prétentions avec une cérémonie aussi grandiose que ridicule. Il restera sans doute dans l’histoire comme l’un des chefs d’État les plus détestés et plus incompétents sii l’on en juge par la situation économique, sociale, financière et sociétale du pays.

Le torchon brûle publiquement entre le président et le patron de la CFDT. Nombreux sont pourtant les macronistes à presser l’Élysée de reprendre le dialogue pour espérer sortir de la nasse sociale.

Une relation sous haute tension, entre deux hommes qui détiennent sans doute les clefs de la sortie de crise. Le ton est encore monté ces dernières heures entre Emmanuel Macron et Laurent Berger, le numéro 1 de la CFDT, alors que l’intersyndicale a défilé ce jeudi pour la 11e fois contre la réforme des retraites voulue par le président de la République.

Depuis son déplacement en Chine, l’entourage d’Emmanuel Macron a regretté ce mercredi après-midi que « pour la première fois de son histoire », le syndicat « n’ait pas présenté un autre projet » pour la réforme des retraites.

« La seule réponse, c’était rien », estime-t-on auprès du chef de l’État.

Berger appelle Macron à « calmer ses nerfs »
Pas question non plus de parler de « crise démocratique » comme l’a avancé le syndicaliste, après l’adoption par 49.3 de la réforme des retraites et le rejet par l’opinion publique du recul de l’âge légal de départ de 62 à 64 ans. « On ne peut pas parler de crise démocratique quand le projet a été porté, expliqué et assumé », a répondu l’entourage du président de la République.

Autant dire que quelques heures à peine après une brève réunion à Matignon, la première depuis la présentation du projet de loi mi-janvier, l’Élysée n’a pas vraiment arrondi les angles.

« J’appelle le président de la République à ne pas balancer des petites phrases. Sinon il va finir par se mettre à dos l’ensemble des organisations syndicales », a estimé Laurent Berger mercredi soir sur BFMTV, demandant à Emmanuel Macron de « calmer ses nerfs ».

Cette passe d’armes est loin d’être la première. Lors de son interview sur TF1 et France 2 mi-mars, le chef de l’État avait accusé – sans le nommer – le syndicat réformiste de n’avoir « proposé aucun compromis » et affirmé que Laurent Berger était « allé devant son congrès en proposant d’augmenter les durées (de cotisation) ».

Le leader de la CFDT l’avait alors accusé de « déni » et de « mensonge », estimant qu’il voulait là « masquer son incapacité à trouver une majorité pour voter sa réforme injuste ».

« Je pense qu’on a sous-estimé l’opposition de la CFDT à la réforme. On ne nous avait pas vraiment habitué à ça », remarque un député macroniste auprès de BFMTV.com.

Politique: Un pouvoir engagé dans une longue agonie

Politique: Un pouvoir engagé dans une longue agonie !

Le pouvoir devient ultra minoritaire dans le pays et se trouve de plus en plus acculé et presque à l’agonie si l’on en juge par la condamnation globale de la politique économique et sociale par 75 % de la population dont 73 % souhaitent aussi, d’après un sondage Elabe pour BFMTV publié ce mercredi, que le gouvernement retire sa réforme des retraites pour mettre fin aux blocages et grèves. Le moins que l’on puisse dire c’est que le pouvoir est de plus en plus acculé dans une impasse et que les contradictions s’ajoutent aux contradictions nourrissantes ainsi la chienlit dans le pays.

Notons sur le plan économique le coût assez exorbitant des manifestations qui privent le pays de production et les commerçants d’activité. En clair, l’espérance de croissance de 0,6 % en 2023 pourrait être annulée. La perte de recettes pourrait être largement supérieurs aux économies attendues de la réforme des retraites .La conséquence directe des mouvements sociaux jusque-là pourraient être une division par deux désespérances de croissance. Soit une perte de 0,3 % en 2023 ou encore une pertes d’environ 100 milliards ! Pour preuve du tassement de la croissante la baisse de la consommation le mois dernier qui alimente au moins la moitié la croissance globale.

Preuve de ces contradictions, le président de la république qui d’abord s’oppose à toute réception de l’intersyndicale puis revient sur sa position après sa lamentable intervention à la télé mais n’envisage pas de rencontres avant le 14 avril, histoire de gagner du temps ou plutôt d’en perdre.

Preuve de ces contradictions, la première ministre qui lâche ses derniers feux en réunissant sans mandat et sans ordre du jour l’intersyndicale pour parler de tout et de rien histoire de montrer qu’elle existe encore. Preuve de ces contradictions qui touchent au pathétique, le ministre du travail complètement lessivé qui fait son coming out en plein conflit pour avouer qu’il est homosexuel comme si cela présentait le moindre intérêt politique social ou sociétal. Et Darmanin (Ersatz de Sarkozy) avec sa voix fluette d’adolescent en pleine mutation et qui cherche désespérément les poils de sa barbe qui veut jouer au dur en contribuant à la violence contre des casseurs irresponsables qui ne recherchent que cela.

Globalement un pouvoir, complètement hors sol qui ne se rend pas compte qu’il s’agit d’une colère globale dont l’étincelle a été la réforme des retraites mais qui se situe plus globalement dans une problématique sociale et démocratique. Une majorité de la population ne supporte plus l’environnement et la verticalité d’un pouvoir technocratique ignorant et finalement méprisant. On est passé d’une position à la réforme de la retraite à une position au système politique et vis-à-vis de Marcon en particulier. Bref maintenant une vraie crise politique et qui risque de durer des mois voire des années.

Présidentielle: Laurent Berger engage la CFDT

 Présidentielle: Laurent Berger engage la CFDT 

On comprend évidemment que l’analyse de la CFDT se heurte le plus souvent au orientation du front national. L’extrême droite et les syndicats ont rarement fait bon ménage. Laurent Berger procède donc à une analyse critique de plusieurs orientations de Marine Le Pen.

Par contre, Laurent Berger commet sans doute une erreur de se prononcer en fait pour Macron. Pas davantage qu’une organisation patronale ou professionnelle, un syndicat n’a pour vocation de s’immiscer dans des choix d’organisations politiques. Laurent Berger en général est assez pertinent dans ses prises de position. Il ne doit cependant pas oublier l’affaiblissement historique des organisations syndicales précisément en raison de leur engagement politicien trop marqué. L’ensemble du mouvement syndical s’est largement discrédité par des positions inspirées d’intentions politiques. De ce point de vue, la CFDT,  premier syndicat en France, a bien fait de couper le cordon ombilical avec un parti socialiste en décomposition. Même avec des précautions oratoires, la CFDT ne doit pas se lier à Macron. NDLR 

Le leader de la CFDT appelle à voter Emmanuel Macron au second tour de la présidentielle. Il précise, dans un entretien au « Monde », que cet acte ne vaut « ni approbation de l’action qu’il a menée ni adhésion à son programme ».

Avant le second tour de l’élection présidentielle, Laurent Berger, le secrétaire général de la CFDT, expose les raisons pour lesquelles son syndicat, le premier de France, appelle à se prononcer en faveur du chef de l’Etat sortant.

Pourquoi avez-vous appelé, dès le soir du 10 avril, à « battre le Rassemblement national » en votant pour Emmanuel Macron ?

Notre engagement est basé sur des valeurs qui sont fortes : la démocratie, l’émancipation, la solidarité, l’égalité. Nous sommes en contradiction totale avec le programme de Marine Le Pen. Elle veut inscrire la priorité nationale dans la Constitution par le biais d’un référendum. Elle veut rétablir le délit de séjour irrégulier et interdire les aides sociales aux immigrés. Sans parler de sa politique internationale, synonyme de complaisance à l’égard de pays comme la Russie, ou des mesures qu’elle soutient en matière de sécurité.

Qu’elle le veuille ou pas, elle est à la tête d’un parti d’extrême droite, dont l’orientation est incompatible avec ce que porte la CFDT. Il ne faut donc pas tergiverser. A partir du moment où l’extrême droite est au second tour – et nous le regrettons –, la CFDT vote pour le candidat qui est en face. Nous ne sommes pas à l’heure du choix d’un programme politique, nous sommes à l’heure du choix de la défense de la démocratie.

Elle se présente comme la candidate du « dialogue social ». Vous n’y êtes pas sensible ?

Dans les pays où cette idéologie a triomphé dans les urnes, les gouvernements ont adopté des pratiques qui n’étaient pas compatibles avec les projets et les valeurs de la CFDT. Aujourd’hui, elle tente de se rendre respectable mais son programme n’accorde de place ni au progrès social ni au dialogue social. L’extrême droite, quand elle prend le pouvoir, met les syndicats à sa main dans les entreprises. Elle annihile la liberté de la presse. Elle combat les contre-pouvoirs et la CFDT, ainsi que les autres organisations de salariés, en sont un.

 

Son projet en matière de retraites n’est-il pas de nature à contrebalancer votre analyse ?

Il n’est pas crédible. Elle dit qu’elle accorde du pouvoir d’achat maintenant, mais par le biais d’exonérations de cotisations patronales. Cela nous paraît très contradictoire car une telle politique nuit au financement de la protection sociale, donc – in fine – au pouvoir d’achat des ménages. Ce que nous voulons, ce sont des droits pour tous les travailleurs, quelle que soit leur nationalité, leur couleur de peau, leur singularité. Marine Le Pen, elle, nous promet une société du rejet, qui accentue les discriminations. On ne peut pas l’appréhender comme une candidate lambda, car le risque est grand qu’elle essaye d’instaurer un pouvoir autoritaire. Les expériences de ces dernières années, en Europe et hors d’Europe, prouvent que, à chaque fois, les travailleurs paient un très lourd tribut.

Trump: le procès en destitution engagé

Trump: le procès en destitution engagé

 

Le vote à la Chambre contrôlée par les démocrates ( de 232 voix contre 197) est engagé à la suite de l’assaut meurtrier contre la démocratie américaine ; ceci étant,  il semble peu probable que la destitution rapide conduise à l’éviction de Trump avant la fin de son mandat . Par contre ce processus judiciaire pourrait interdire à Trump toute perspective de réélection.

Mais même s’il a quitté la Maison Blanche, une condamnation au Sénat de Trump pourrait conduire à un vote sur l’interdiction de lui de se présenter à nouveau.

La Chambre a adopté un seul article de destitution – une accusation formelle – accusant Trump d ‘«incitation à l’insurrection», axé sur un discours incendiaire qu’il avait prononcé une semaine plus tôt devant des milliers de partisans peu de temps avant que la foule pro-Trump ne se déchaîne dans le Capitole.

Au cours de son discours, Trump a répété de fausses déclarations selon lesquelles l’élection était frauduleuse et a exhorté les partisans à marcher sur le Capitole, leur disant «d’arrêter le vol», «montrer leur force», «lutter beaucoup plus fort» et utiliser «des règles très différentes».

«Le président des États-Unis a incité à cette insurrection, cette rébellion armée contre notre pays commun», a déclaré la présidente de la Chambre, Nancy Pelosi, une démocrate, à la Chambre avant le vote.  »Il doit partir. Il représente un danger clair et présent pour la nation que nous aimons tous.

Bernard Lavilliers , chanteur engagé, ancien métallo, remet à sa place avec ironie l’ascension de Macron. (Interview JDD)

Bernard Lavilliers : « Macron pas sorti d’un chapeau » (Bernard Lavilliers)

 

 

Bernard Lavilliers ,  chanteur engagé, ancien métallo,  remet à sa place avec ironie l’ascension de Macron. (Interview JDD)

 

« °Je suis dans une phase d’observation et d’autodérision, un luxe par les temps qui courent. Les gens n’ont pas trop envie de se marrer. Peut-être devrais-je écrire la suite de Troisièmes Couteaux [1994] : « Ils ne font rien, ils se situent/Ils sont consultants ambigus/Des hydres multinationales »? Avec Macron, on a découvert que l’homme providentiel n’était pas sorti d’un chapeau. Ça faisait quatre ans que les cols blancs lui préparaient le terrain. Il aimerait diriger le pays comme une entreprise de cerveaux dont il serait le chef. Mais ça risque de ne pas marcher. Les technocrates sont peut-être bons dans le dégraissage des entreprises pour les rentabiliser à mort. Mais, dans un pays, qui sont les actionnaires? Les gens du peuple. Et je ne suis pas sûr que les Français s’y retrouvent. Il suffit d’une embrouille à la Benalla pour que tout se fractionne. »

Qu’avez-vous prévu après votre tournée française?
Je continue la scène par quelques dates au Canada. Au retour, je prendrai le Transsibérien pour écrire une nouvelle entre ­Moscou et Vladivostok. Espérons que Blaise Cendrars veille sur moi! Ensuite, je pars m’installer quelque temps à ­Buenos Aires. Je me suis mis à l’espagnol à l’aide d’un programme pour enfants. Bon, l’Argentine, ce n’est pas la joie en ce moment : 60% d’inflation. Le soir, il faut changer les étiquettes des prix du matin. Pourquoi l’Argentine, la Colombie ou le Venezuela, qui ne sont pas des petits pays sans ressources, connaissent-ils la même malédiction? Une nation sans mémoire est condamnée à revivre son passé. Heureusement, il y a la musique. Même si je ne compte pas me mettre au tango! »

 

Euro foot 2016 France Islande : un match plein et engagé ou l’humiliation ?

Euro foot 2016 France Islande : un match plein et engagé ou l’humiliation ?

 

On attend enfin un match plein et engagé de la part d’une équipe de France particulièrement crispante depuis le début de la compétition. Jusque-là le 11 français n’a joué que par intermittence, au mieux une mi-temps. D’évidence ce qui manque c’est le niveau d’engagement et la vitesse. Or les Islandais qui ne sont pas des stars du foot international se caractérisent  par un engagement total, une solidarité étonnante et une condition physique encore plus surprenante. On sait par avance comment vont jouer les Finlandais : à fond du début à la fin avec une défense intraitable. Or la France manifeste malheureusement certaines faiblesses, la plus importante concerne la défense hésitante, lente et empruntée,  en particulier avec Evra qui de toute évidence n’a plus sa place au niveau international même s’il peut justifier d’une carrière exceptionnelle. Le milieu est lui aussi assez énigmatique et parfois absent avec notamment Pogba et Matuidi qui paraissent fatigués. Devant seuls Griezmann et Payet paraissent au-dessus du lot mais aussi jouent par intermittence. Or pour gagner contre la Finlande il conviendra de jouer sur la technique très supérieure des Français à condition que cette technique soit servie par un engagement physique total et une solidarité entre toutes les lignes. En clair ne pas attendre les dernières minutes pour marquer voir même les prolongations  ou les tirs au but. Il faudra donc scorer  très rapidement et plusieurs fois pour se mettre à l’abri. Sinon c’est l’humiliation qui sera assurée. On attend aussi du sélectionneur un peu plus de dynamisme et de présence. Sa place est d’être dans le carré réservé aux entraîneurs et non assis sur le banc de touche.

Kerviel : a engagé 50 milliards mais les contrôles étaient efficients d’après la société générale !!!

Kerviel : a engagé 50 milliards mais les contrôles étaient efficients d’après la société générale !!!

 

 

On pourrait évidemment en sourire si l’affaire n’était pas aussi grave. En effet lors du procès actuellement en cours concernant l’affaire Kerviel la représentante de la société générale a indiqué que les dispositifs de contrôle étaient très efficients tout en reconnaissant que Kerviel avait pu engager 50 milliards c’est-à-dire une fois et demie les fonds propres de la banque. En réalité s’il existait des trous énormes dans les dispositifs de contrôle c’était  volontaire dans la mesure où Kerviel et d’autres traders avaient réalisé dans le passé des profits énormes précisément en s’affranchissement des barrières théoriques internes « En 2008, notre dispositif de contrôle était conforme aux pratiques de la place », a assuré Claire Dumas devant la cour d’appel de Versailles.   « En 2008, notre dispositif de contrôle était conforme aux pratiques de la place », a assuré Claire Dumas. Pas mieux que les autres, donc, mais pas moins bien. « A la lecture du rapport de la Commission bancaire, il semble que la banque, à l’époque, était bien plus obsédée par les erreurs de calcul que par le risque de fraude », souligne cependant le président de la cour d’appel, Patrick Wyon. Claire Dumas n’en démord pas, les mécanismes de contrôle de la Société générale étaient à l’époque considérés comme suffisants, et ils ont été pris en défaut par « l’habileté, y compris relationnelle » de Jérôme Kerviel. Avant de convenir que « le contrôle de premier niveau s’est avéré défaillant », à savoir celui qu’aurait dû exercer Eric Cordelle, responsable hiérarchique direct de Jérôme Kerviel. Une affirmation avec laquelle l’ancien trader, qui se défend d’être un « fraudeur et un génie », n’est pas d’accord : « Les contrôles de la Société générale étaient très efficients. » Autrement dit, ses supérieurs étaient au courant de ses prises de positions non autorisées sur les marchés et le laissaient faire. « Dans ce cas, pourquoi avoir masqué à chaque fois ces positions par des opérations fictives ? », s’interroge le président de la cour d’appel.Parce que « ce qui se passe en salle des marchés doit rester en salle des marchés », notamment par rapport aux commissaires aux comptes, rétorque Jérôme Kerviel. (Avec BFM)

Sarkozy : « pour un projet collectif »…qui n’engage personne ! .

Sarkozy : « pour un  projet collectif »…qui n’engage personne !

Pour tenter de cadenasser ses rivaux Nicolas Sarkozy s’efforce de les enfermer dans une sorte de programme commun aux républicains. Un programme dans les principes ont été défini lors du conseil national du parti ce week-end. Malheureusement pour Nicolas Sarkozy ses principaux concurrents étaient absents, volontairement évidemment car ils n’entendent pas être ficelés par des orientations du candidat Sarkozy. D’une certaine manière la démarche du président des républicains est assez surréaliste et rompt même avec les principes de la Ve République ;  finalement Nicolas Sarkozy s’aligne sur la démarche du parti socialiste ce qui n’est ni dans la philosophie du parti de droite et encore une fois ni dans celle de la Ve République. Conscient de cette manœuvre les principaux concurrents de Sarkozy considèrent n’être pas tenus par les orientations décidées par le parti présidé par l’ancien président de la république. En fait ce projet collectif n’engage  personne, sinon Sarkozy. Témoin de cette ambiguïté les attaques de plus en plus virulentes notamment vis-à-vis de Juppé.  Laurent Wauquiez, numéro deux du parti et tenant d’une ligne droitière, avait interpellé  Alain Juppé, au zénith dans les sondages, sur son projet jugé par trop modéré. Si la droite devient « une pâle copie de la gauche », a-t-il déclaré, « ce chemin n’amènera que de nouvelles trahisons ». « Il peut permettre de caracoler dans les sondages », mais « c’est un nouveau chemin d’indignité », a-t-il lancé. En faite la démarche de Sarkozy est assez illusoire car beaucoup de ses concurrents ont déjà fait le pari que l’ancien président de la république perdra les primaires voir même il n’y cire représentera pas. « C’est un choix sans retour pour nous », a pourtant martelé le président de LR, comme un défi à ses rivaux qui ont d’ores et déjà prévenu qu’ils ne s’estimaient pas liés par ce corpus.




L'actu écologique |
bessay |
Mr. Sandro's Blog |
Unblog.fr | Annuaire | Signaler un abus | astucesquotidiennes
| MIEUX-ETRE
| louis crusol