Haro de certains intellectuels de gauche pour enfoncer l’écrivain Boualem Sansal arrêté en Algérie pour ses publications critiques sur le régime. .Ce dimanche sur le plateau de C Politique, sur France 5, on laissait entendre que l’auteur n’était pas exempt de tout reproche. Il aurait même «blessé le sentiment national» algérien, selon les propos de l’historien Benjamin Stora, à qui Emmanuel Macron avait confié une mission sur «la mémoire de la colonisation et de la guerre d’Algérie». Et de conclure finalement que Boualem Sansal leur est bien mérité! Ou quand le service public déraille et finalement au service de la dictature algérienne et de l’islamisme !
Archive pour le Tag 'enfoncer ?'
Européennes-Macron: Pour sauver les meubles ou s’ enfoncer définitivement
Il n’est pas certain que Macron ait choisi la bonne stratégie en s’investissant personnellement dans une campagne électorale européenne qui voit son parti dégringoler. Pour faire simple aujourd’hui, le parti au pouvoir fait à peu près la moitié des pourcentages obtenus par le Front National. Une véritable déroute surtout pour le pouvoir qui du fait de de ses insuffisances et de son manque de courage a largement incité à voter Front national , pour beaucoup par résignation.
Évidemment le président va s’efforcer de valoriser toutes les avancées européennes notamment à l’occasion du covid, des accords commerciaux des progressions dans le domaine numérique et militaire. Indiscutablement l’Europe a permis certaines avancées. Le seul problème c’est qu’elles ne sont pas à la hauteur et à la vitesse des grands enjeux du moment. ( Exemple le soutien à l’Ukraine ou encore le positionnement par rapport à la Chine sans parler de l’immigration).
Le plus terrible pour Macron c’est qu’en dépit de certains arguments pertinents pour défendre son projet européen, sa parole ira se perdre dans les sables. Il peut désormais dire ce qu’il veut, sa parole est complètement discréditée. Et chaque fois qu’il parle la majorité perdra encore des soutiens chez les électeurs. Macron est devenu complètement inaudible et loin d’aider sa majorité il enfonce surtout en raison de sa posture monarchique hors-sol et de donneur de leçons de leçons qu’il ne s’applique pas à lui-même.
Ile-de-France : Valérie Pécresse va enfoncer Bayou
.Selon un sondage de l’Ifop-Fiducial pour le Journal du Dimanche et Sud Radio, Valérie Pécresse est créditée de 44% des voix en Ile-de-France, la liste d’union de la gauche de Julien Bayou émarge à 31
Julien Bayou ne fait pas le plein à gauche. Si 95% des électeurs de Clémentine Autain au premier tour le choisiraient au second tour, c’est le cas de seulement 68% des électeurs d’Audrey Pulvar (6% ont prévu de voter Laurent Saint-Martin, 16% de choisir Valérie Pécresse, 4% se reporteraient sur Jordan Bardella et 6% ne se prononceraient pas ou s’abstiendraient) et de 79% de ses électeurs du premier tour. Ainsi, Julien Bayou est crédité de 31% des voix alors que l’addition théorique des voix de Clémentine Autain, Audrey Pulvar et Julien Bayou du premier tour atteignait 34%. En revanche, 97% des électeurs de Valérie Pécresse au premier tour ont prévu de revoter pour la présidente de Région.
*Enquête de l’Ifop réalisée les 22 et 24 juin auprès d’un échantillon de 939 personnes inscrites sur les listes électorales de la Région Ile-de-France âgée de 18 ans et plus. Méthode des quotas, questionnaire autoadministré en ligne. La marge d’erreur se situe entre 1,4 et 3,1 points.
Ghosn: information judiciaire en France pour enfoncer encore davantage Renault
On peut se demander si le gouvernement et sa justice sont réellement conscients des dangers qui menacent Renault. Ce groupe qui a réussi sous la houlette de Ghosn à devenir le premier acteur mondial connaît une crise qui pourrait bien le faire éclater. Preuve, le déclassement récent de sa note financière, aussi les énormes déficits enregistrés et les milliards de dévalorisations boursières de l’entreprise. Rien n’est réglé au sein de Renault quant à ses liens avec Nissan et Mitsubishi. Nissan qui est à l’origine de l’affaire Ghosn . L’objectif était clairement d’éjecter Carlos Ghosn et la France de Nissan. Par son immobilisme diplomatique coupable, la France a largement contribué à enfoncer Carlos Ghosn et en même temps Renault. Pire maintenant la France lance une information judiciaire qui viendra encore conforter Nissan dans ses velléités d’obtenir une certaine autonomie vis-à-vis de Renault voire même son indépendance. Encore une fois, Carlos Ghosn n’est pas un saint; comme beaucoup de grands patrons, il a confondu son portefeuille avec la trésorerie de son entreprise. Son autoritarisme et son orgueil en parfois dépassé les bornes. Pour autant, Carlos Ghosn était un très grand patron qui d’abord a sauvé Renault, ensuite à sauvé Nissan pour enfin constituer le plus grand groupe d’automobiles. Dans cette affaire, l’attitude du gouvernement et de Macron en particulier aura été assez lamentable. Un véritable fiasco politique et économique qui se poursuit avec cette enquête qui intervient vraiment au mauvais moment. La moindre des choses aurait été d’attendre l’évolution du dossier judiciaire au Japon avant nous-mêmes de nous infliger une punition inutile. L’urgence maintenant est de sauver Renault et rapidement et non de plonger l’entreprise dans une crise encore plus profonde.
Un an après l’ouverture d’une enquête préliminaire, plusieurs juges d’instruction sont désormais chargés de prendre le relais des investigations, a précisé le parquet de Nanterre (Hauts-de-Seine) dans un communiqué, confirmant des informations de Reuters.
“Le 12 février 2020, le procureur de la République de Nanterre a ouvert une information judiciaire contre X pour abus de biens sociaux, abus de biens sociaux aggravés, abus de confiance aggravés, recel de ces infractions, faux et usage, blanchiment aggravé d’abus de biens sociaux et d’abus de confiance aggravés, faits commis entre 2009 et 2020”, peut-on lire dans le document.
A l’intérieur même de Renault Carlos Ghosn compte quelques amis qui ont contribué a déstabiliser le groupe. En effet Renault ( qui ?) avait alerté la justice française l’an dernier après avoir découvert l’existence de paiements suspects entre 2011 et 2016 à un partenaire commercial de Renault-Nissan à Oman. Curieux qu’on n’ait rien dit quand Ghosn dirigeait e groupe !
L’ancien dirigeant, qui conteste les accusations portées à son encontre, affirme être victime d’un complot en raison de ses projets pour l’alliance automobile franco-japonaise.
Dans son communiqué, le parquet de Nanterre explique que les investigations menées dans le cadre de l’enquête préliminaire ont été étayées par des signalements des commissaires aux comptes de Renault et de Tracfin, organisme de Bercy chargé de la lutte contre le blanchiment et la fraude, ainsi que par la communication de rapports d’audits internes.
La désignation de juges d’instruction permettra de poursuivre ces investigations, “en particulier à l’étranger”, ajoute le parquet de Nanterre dans son communiqué.
Ghosn: information judiciaire en France pour enfoncer encore davantage Renault
On peut se demander si le gouvernement et sa justice sont réellement conscients des dangers qui menacent Renault. Ce groupe qui a réussi sous la houlette de Ghosn à devenir le premier acteur mondial connaît une crise qui pourrait bien le faire éclater. Preuve, le déclassement récent de sa note financière, aussi les énormes déficits enregistrés et les milliards de dévalorisations boursières de l’entreprise. Rien n’est réglé au sein de Renault quant à ses liens avec Nissan et Mitsubishi. Nissan qui est à l’origine de l’affaire Ghosn . L’objectif était clairement d’éjecter Carlos Ghosn et la France de Nissan. Par son immobilisme diplomatique coupable, la France a largement contribué à enfoncer Carlos Ghosn et en même temps Renault. Pire maintenant la France lance une information judiciaire qui viendra encore conforter Nissan dans ses velléités d’obtenir une certaine autonomie vis-à-vis de Renault voire même son indépendance. Encore une fois, Carlos Ghosn n’est pas un saint; comme beaucoup de grands patrons, il a confondu son portefeuille avec la trésorerie de son entreprise. Son autoritarisme et son orgueil en parfois dépassé les bornes. Pour autant, Carlos Ghosn était un très grand patron qui d’abord a sauvé Renault, ensuite à sauvé Nissan pour enfin constituer le plus grand groupe d’automobiles. Dans cette affaire, l’attitude du gouvernement et de Macron en particulier aura été assez lamentable. Un véritable fiasco politique et économique qui se poursuit avec cette enquête qui intervient vraiment au mauvais moment. La moindre des choses aurait été d’attendre l’évolution du dossier judiciaire au Japon avant nous-mêmes de nous infliger une punition inutile. L’urgence maintenant est de sauver Renault et rapidement et non de plonger l’entreprise dans une crise encore plus profonde.
Un an après l’ouverture d’une enquête préliminaire, plusieurs juges d’instruction sont désormais chargés de prendre le relais des investigations, a précisé le parquet de Nanterre (Hauts-de-Seine) dans un communiqué, confirmant des informations de Reuters.
“Le 12 février 2020, le procureur de la République de Nanterre a ouvert une information judiciaire contre X pour abus de biens sociaux, abus de biens sociaux aggravés, abus de confiance aggravés, recel de ces infractions, faux et usage, blanchiment aggravé d’abus de biens sociaux et d’abus de confiance aggravés, faits commis entre 2009 et 2020”, peut-on lire dans le document.
A l’intérieur même de Renault Carlos Ghosn compte quelques amis qui ont contribué a déstabiliser le groupe. En effet Renault ( qui ?) avait alerté la justice française l’an dernier après avoir découvert l’existence de paiements suspects entre 2011 et 2016 à un partenaire commercial de Renault-Nissan à Oman. Curieux qu’on n’ait rien dit quand Ghosn dirigeait e groupe !
L’ancien dirigeant, qui conteste les accusations portées à son encontre, affirme être victime d’un complot en raison de ses projets pour l’alliance automobile franco-japonaise.
Dans son communiqué, le parquet de Nanterre explique que les investigations menées dans le cadre de l’enquête préliminaire ont été étayées par des signalements des commissaires aux comptes de Renault et de Tracfin, organisme de Bercy chargé de la lutte contre le blanchiment et la fraude, ainsi que par la communication de rapports d’audits internes.
La désignation de juges d’instruction permettra de poursuivre ces investigations, “en particulier à l’étranger”, ajoute le parquet de Nanterre dans son communiqué.
Villani « pose ses conditions » pour enfoncer Buzyn
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Il est clair que Villani ne veut pas jouer les roues de secours pour sauver le soldat la république en marche lors des élections municipales de Paris. Il n’a pas pour autant rejeté toute hypothèse d’un rapprochement avec le parti dont il a été exclu mais cela à des conditions draconiennes qui en fait condamnent Buzyn. D’abord la nouvelle candidate de la république en marche devra abandonner les mesures phares un peu fumeuses de Griveaux ( les 100 000 € accordés aux candidats à l’accession à la propriété ou encore le déménagement de la Gare de l’Est en campagne, en tout cas qu’en banlieue). Ensuite , Cédric Villani veut de vrais engagements en matière environnementale et agrandir Paris d’une vingtaine de communes. Le point clé, c’est l’accord qu’il impose au second tour avec les écologistes de telle sorte que Villani soit en position de prendre la tête de cette alliance. Rien n’est certain pour lui; par contre, ce qui est indiscutable, c’est que Buzyn sera forcément éliminée comme candidate possible à la mairie de Paris.
Le projet du député de l’Essonne comprend un plan d’investissements de cinq milliards d’euros pour l’écologie sur la mandature et l’agrandissement de Paris via l’intégration d’une vingtaine de communes voisines d’ici 2030.
D’un point de vue politique, Cédric Villani a évoqué avec Agnès Buzyn “l’ouverture à un accord de second tour avec les Verts pour réaliser les conditions de l’alternance sur une base écologiste et progressiste”.
Représenté par David Belliard, le camp d’Europe Ecologie-Les Verts est pour l’instant crédité de près d’une quinzaine de points dans les sondages d’opinion.
Taubira et Hidalgo au secours de Najat Vallaud-Belkacem… pour l’enfoncer ?
La gauche voudrait enfoncer Najat Vallaud-Belkacem qu’elle ne s’y prendrait pas autrement. Taubira et Hidalgo sont venues soutenir en effet l’ancienne ministre de l’éducation, un soutien qui ressemble à celui d’un pendu tellement ces deux femmes de gauche symbolisent la ringardise des bobos gauchos du PS. Face au candidat de La République en marche, Bruno Bonnell. Najat Vallaud-Belkacem, la pretresse du pédagogisme laisse l’éducation nationale dans un état encore plus pitoyable que précédemment. Les chiffres sont toujours accablants surtout dans le primaire avec 20 à 30% des élèves qui ne maîtrisent pas les fondamentaux mais qui auront appris à faire de la pâte à modeler dans le cadre des travaux périscolaires surtout dans les zones rurales où les TAP ressemble à des garderies. Dans un village du Maine et Loire, le site municipal informait récemment que les enfants avaient réalisé des maracas en collant deux pots de yaourt. De quoi évidemment ouvrir leur esprit à l’art musical ! Il faut noter la pauvreté de l’argumentaire de Taubira « l’enjeu démocratique colossal pour éviter la concentration des pouvoirs de cette élection », l’angle d’attaque de Najat Vallaud-Belkacem qui a mis en garde contre une majorité trop écrasante pour LREM. Un argumentaire de perdants. La candidate du PS, l’une des rares à avoir réussi à passer la barre du premier tour, se présente comme « l’unique candidate de gauche » et a salué le soutien reçu de la candidate écologiste ainsi que celui du candidat communiste au niveau national. De quoi sans doute l’enfoncer encore uen peu plus. Elle a vivement regretté en revanche, la position du candidat de la France Insoumise, Laurent Legendre, qui refuse de prendre parti pour l’un des deux candidats restants. Croyant à ses chances de victoire, elle promet une opposition de gauche « constructive et exigeante », contrairement, selon elle, à son adversaire, « qui sera peut-être le 450e député d’En Marche et votera comme un robot». Mais mieux vaut un robot qu’un bobo hors sol à l’intelligence molle. « Je n’ai aucune intention d’être un godillot, mais au contraire d’être solidaire dans la transformation de la France », rétorque pourtant Bruno Bonnell, qui entrepreneur qui aborde le second tour en favori en sillonnant les rues et les quartiers de Villeurbanne au volant de sa BrunoMobile, un utilitaire habillé aux couleurs du parti macroniste. Le 11 juin, le candidat de la République En Marche, l’entrepreneur Bruno Bonnell qui réalise ses premiers pas en politique, est arrivé en tête avec 36,69%. Najat Vallaud-Belkacem a rassemblé 16,54% pour le parti socialiste et Laurent Legendre 14,7% pour la France Insoumise.
Air France : un président provisoire ou comment enfoncer un peu plus la compagnie
Air France : un président provisoire ou comment enfoncer un peu plus la compagnie
Il faut vraiment avoir l’esprit tordu ou être un technocrate qui n’a jamais dirigé une entreprise pour imaginer la solution d’une gouvernance transitoire à Air France. La manoeuvre est claire, on choisit un président à l’essai qu’on pourra licencier dans deux ans. D’entrée, ce président serait forcément en situation de faiblesse surtout vis avis de syndicats aussi tordus et têtus que le SNPL qui est à l’économie et m^me au syndicalisme ce que Mac Do est à la gastronomie. certes il faut renouer les fils du dialogue mais c’est d’une main de fer dans un gant de velours dont a besoin une entreprises dont le climat est pourri depuis des années par des pilotes complètement irresponsables. A distinguer du personnel au sol qui compte des salaires très moyens voire faibles. Plusieurs personnalités pressenties ont refusé cette perspective de gouvernance de transition ou même refusé le challenge de manière définitive. Un challenge qui peut fusiller une carrière en cas d’échec.
Donnée comme favorite, l’ancienne secrétaire d’État aux transports Anne-Marie Idrac (administratrice indépendante) a, selon des sources concordantes, refusé ce poste de transition, préférant au contraire un poste de plus longue durée, au moins, selon certains, jusqu’à la fin du mandat de Jean-Marc Janaillac qui court jusqu’en mai 2019. Autre candidate sollicitée mais qui ne connait rien au transport (elle est spécialisée dans les médias) Anne-Marie Couderc, membre du gouvernement d’Alain Juppé entre 1995 et 1997. Bruno Mettling, PDG d’Orange Middle East and Africa est également cité. En tout cas cette solution de gouvernance provisoire témoigne de la fébrilité du conseil d’administration et de l’amateurisme du gouvernement. Un tel concept de président provisoire est le meilleur moyen de déstabiliser une entreprise qui a besoin d’engager sa modernisation économique et sociale sur le long terme.