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Des patriotes ou des tacticiens ?

Des patriotes ou des tacticiens ?

Le député du Lot, Aurélien Pradié , qui a pris ses distances avec Laurent Wauquiez, plaide pour un « gouvernement de reconstruction » rassemblant des personnalités de droite et de gauche. Entretien dans La Tribune. 

Au lendemain des élections législatives, vous avez plaidé pour un gouvernement de « bâtisseurs » réunissant des personnalités de gauche et de droite. Après être resté silencieux tout l’été, dites-vous toujours la même chose ?

AURÉLIEN PRADIÉ - Chacun doit bien avoir conscience que la seule voie possible est le rassemblement des patriotes de droite et de gauche dans un gouvernement. Compte tenu de la configuration de l’Assemblée nationale, ce sera l’unique manière de tenir dans le temps. Mais au-delà d’une affaire d’arithmétique, c’est aussi une question d’espoir. Le rôle d’un exécutif n’est pas seulement d’échapper à une motion de censure, c’est d’améliorer la vie des Français. Les élections législatives, marquées par une participation exceptionnelle, ne peuvent pas accoucher d’un bricolage politicien. Les Français attendent un gouvernement de reconstruction capable de porter un espoir nouveau. Nous n’en avons pas connu depuis l’après-guerre. Toutes proportions gardées, nous sommes à un moment équivalent. La France n’a jamais autant été exposée sur le plan extérieur comme à l’intérieur de ses frontières.

Quelles sont les conditions pour qu’un tel gouvernement voie le jour ?

D’abord respecter le vote des Français. Désormais, le président de la République devra partager le pouvoir, ce qu’il semble avoir acté. Cela s’appelle une cohabitation. On en a déjà connu plusieurs et elles n’ont pas été défavorables à l’équilibre des pouvoirs. Simplement, elle aura forcément une forme originale du fait de l’absence de majorité absolue. L’époque politique a changé. La question n’est pas de « dealer » mais bien de cohabiter. Pour réussir, les partis politiques doivent quitter le jeu de rôle dans lequel ils se sont installés depuis les résultats des législatives. Le spectacle auquel nous assistons est une pantalonnade. Je vois beaucoup de calculs pour se préserver de l’exercice des responsabilités au profit d’ambitions présidentielles plus ou moins cachées. Face à cela, des femmes et des hommes capables de s’émanciper de leurs appareils politiques épuisés devront privilégier l’intérêt supérieur du pays. Les Français châtieront celles et ceux qui auront fait prévaloir leur intérêt tactique. Refuser de trouver une solution à l’impasse dans laquelle nous sommes, c’est faire le jeu de tous ceux qui veulent nous faire entrer dans une crise de régime, c’est-à-dire les amis de monsieur Mélenchon et ceux qui veulent lui rendre service.

Cela signifie que vous regrettez que Laurent Wauquiez refuse toute coalition…

Oui. L’ambition présidentielle est noble et exigeante. Laurent Wauquiez a des qualités pour la porter. Mais je lui dis, comme à tous mes amis, que nous sommes à un moment démocratique historique et que nous devons sortir de nos vieilles logiques, comme les gaullistes ont su le faire à la reconstruction. Ils n’y ont rien perdu, au contraire. Ces grandes personnalités ont fait vivre une certaine idée de l’honneur politique. Nous sommes des patriotes avant d’être des tacticiens. Miser sur l’échec du pays est un luxe cynique que seuls Le Pen ou Mélenchon peuvent s’autoriser. Pas les héritiers du général de Gaulle.

Je dis à Laurent Wauquiez que nous devons sortir de nos vieilles logiques, comme les gaullistes ont su le faire à la reconstruction

Emmanuel Macron a-t-il des concessions à faire sur le fond ?

Pour réunir des patriotes de gauche et de droite, nous devrons nous entendre sur deux grands principes : le rétablissement de l’ordre et celui de la justice, notamment sociale. Le premier point essentiel, c’est la question de la souveraineté nationale. D’abord sur le plan sécuritaire ; la justice des mineurs est la clé. Puis la souveraineté énergétique, grâce à la réaffirmation du nucléaire. Sur le plan budgétaire ensuite : la première mission de l’exécutif sera de rétablir l’équilibre de nos finances, avec un plan de bataille à dix ans qui préserve le régalien, l’école et les services publics, et assainit les dépenses artificielles. S’agissant de notre souveraineté économique, il nous faudra se mettre d’accord sur un plan de réindustrialisation passant par l’attractivité fiscale de la France. Il nous faudra enfin préserver notre souveraineté alimentaire. Notre agriculture a-t-elle vocation à produire ou à nourrir des dogmes ? Il y a sûrement des consensus à trouver sur ce point. Au-delà, il nous faudra refonder un pacte social, en premier lieu autour du partage de la valeur et de la question des salaires. Je ne crois pas que l’augmentation mécanique du smic soit la solution mais je sais que, depuis 1945, nous vivons la première période où le travail ne permet plus à une majorité de Français d’améliorer leurs conditions de vie. Il faut une révolution du travail.

Faudra-t-il aussi revenir sur la réforme des retraites ?

La dernière fois que nous avons pu, à l’Assemblée nationale, rassembler des points de vue de droite, de gauche, mais aussi du Rassemblement national, c’était lors de la bataille pour les carrières longues. Je suis fier du combat que j’ai mené, parce qu’il respectait la valeur du travail. Cette question va revenir le 31 octobre lors de la niche parlementaire du RN, et je pense que c’est l’une des clés de stabilité du futur gouvernement. Je propose donc deux choses. D’abord, faire en sorte que ceux qui ont commencé le plus tôt, dont les métiers sont les plus difficiles, partent à la retraite plus tôt. Ensuite rouvrir le chantier de la réforme à points, telle qu’interrompue en 2020, et privilégier la durée de cotisation.

Si le Premier ministre vient de la gauche, il ne pourra pas être issu du Nouveau Front populaire

En attendant, la réforme de 2023 doit-elle être abrogée ?

Elle est aujourd’hui installée. Il faut éviter de consacrer plus d’énergie à la défaire qu’à imaginer une autre voie. La priorité c’est de donner acte sur les carrières longues, et aussitôt rouvrir le chantier avec les partenaires sociaux.

Et comment un tel gouvernement pourrait-il s’entendre sur l’immigration ?

La droite républicaine doit sortir des postures en la matière. Nous avons besoin d’une immigration liée au travail, qui est d’ailleurs l’un des meilleurs vecteurs d’intégration. De l’autre côté, une partie de la gauche est capable d’entendre qu’il faut reprendre le contrôle de nos flux migratoires, qu’une personne qui travaille a sa place dans notre pays à la condition qu’elle respecte toutes les valeurs de la République. L’intransigeance sur nos valeurs peut rassembler.

Le scrutin proportionnel doit-il être mis à l’ordre du jour ?

C’est aujourd’hui une obsession portée principalement par une partie de la gauche, qui se cherche du courage pour acter son divorce avec LFI. Les Français doivent comprendre que la proportionnelle, c’est la prime aux appareils politiques. Elle ne donne pas plus de représentativité démocratique, mais plus de force aux partis qui composent, en coulisses, les listes lors des élections. Nous sommes à un moment où la démocratie a davantage besoin de personnalités libres que de calculs partisans. J’y vois donc une fausse bonne idée.

Qui serait, selon vous, le Premier ministre idéal ?

Qui que soit le Premier ministre, il lui faudra une équipe de vaillants, de personnalités tempétueuses, peut-être un peu balafrées, capables de comprendre le pays. Je ne crois pas une seconde à la pérennité d’un gouvernement qui ne soit pas éminemment politique, car le moment est politique. Si le Premier ministre vient de la gauche, il ne pourra pas être issu du Nouveau Front populaire, à moins d’avoir définitivement rompu avec lui. Pas à moitié, totalement. Je préférerais évidemment qu’il s’agisse d’un de mes amis. Et sa première mission, la plus importante, sera d’avoir une équipe obsédée par autre chose que la prochaine présidentielle.

Souhaitez-vous faire partie de cette équipe ?

En juillet, j’ai repris ma liberté. Avec mon collègue Raphaël Schellenberger, nous avons pris un risque en refusant de siéger dans le groupe de Laurent Wauquiez. Je n’éprouve aucune animosité à son égard. Mais si les écuries sont souvent plus rassurantes, je préfère l’aventure. Simplement je pense qu’on est à un moment où nous devons passer des postures à l’action. En étant volontaire pour travailler avec des femmes et des hommes, ardents républicains, venus de la droite et de la gauche, j’ai conscience de sortir du cadre. Mais c’est hors du cadre que l’avenir du pays se joue désormais. Et c’est là que je porterai mon énergie.

Ryanair enfonce Boeing !

Ryanair enfonce Boeing !
Comme d’habitude, le directeur général de Ryanair, Michael O’Leary, N’a pas pris deux pincettes pour enfoncer Boeing en soulignant les difficultés du constructeur notamment en termes de livraison. De quoi plomber encore un peu plus l’image du constructeur américain par ailleurs en prises avec des difficultés avec sa navette qui ne peut rapatrier les astronautes actuellement dans la station internationale. Une situation dont évidemment profite actuellement Airbus.

Pour Boeing, « Les choses continuent de se dégrader légèrement, c’est décevant », a taclé Michael O’Leary lors d’une interview accordée à Reuters.

« Nous travaillons en étroite collaboration avec Stephanie Pope et la nouvelle équipe de Boeing, mais ils continuent à nous décevoir », a-t-il ajouté, ciblant la directrice de la division Boeing Commercial Aircraft (BCA). Celle-ci a été nommée en mars, à la place du vétéran Stan Deal. Travaillant chez Boeing depuis près de trente ans, Stephanie Pope a dirigé la division Boeing Global Services, avant de prendre brièvement la direction des opérations du groupe en décembre dernier.

Pour rappel, Boeing est embourbé dans une crise de réputation et de sécurité, notamment après l’arrachage en plein vol d’une porte-bouchon sur un avion MAX 9 exploité par Alaska Airlines le 5 janvier dernier. L’incident a conduit à la démission du directeur général Dave Calhoun et au départ du précédent président du conseil d’administration, alors que les régulateurs s’attaquaient à la culture de la sécurité du groupe, déjà ébranlée par de précédents crashs en 2018 et 2019.

 

Sciences Po Grenoble: des enseignants de l’IEP enfonce le professeur suspendu

Sciences Po Grenoble: des enseignants de l’IEP enfonce le professeur suspendu

 

 

D’une certaine manière , un « collectif » d’enseignants pratique la défense syndicaliste à l’envers en enfonçant un collègue suspendu. Une version au parfum totalitaire du concept syndical. Pas étonnant le collègue puni avait dénoncé le wokismee qui vaut dans cet institut politique. Un institut politique qui mériterait certainement une évaluation de la part des autorités. En effet , c’est  la directions même de l’institut politique de Grenoble qui a pris la décision de suspendre l’enseignant coupable de délit d’opinion à propos de sa dénonciation du gauchisme à la mode à Sciences-po Grenoble.

 

D’une façon plus générale, l’évaluation devrait valoir pour la totalité des instituts politiques qui se sont multipliés comme des petits pains partout en France et qui peuvent susciter l’interrogation quant à leur utilité réelle.

 

La politique n’est pas seulement un sujet d’étude, un sujet théorique, un brevet d’accès aux fonctions publiques, c’est une réalité pratiquée par les citoyens chaque jour dans des champs d’intérêt général très varié et qui sollicite autre chose qu’une seule l’approche théorique. Les instituts politiques servent surtout aujourd’hui d’une part à véhiculer des théories gauchistes en même temps qu’à fournir les troupes d’assistants parlementaires et de futurs élus. Dès lors,  il ne faut pas s’étonner que la composition sociologique des responsables politiques soit en rupture avec la réalité socio-économique et culturelle du pays.

 

L’exemple le plus frappant de ce phénomène peut s’observer chez les responsables du parti en marche noyautée par les élèves des instituts politiques mais le phénomène  d’autres organisations.

 

La France a sans doute davantage besoin d’instituts de formation d’ingénieurs, de techniciens, de personnel de santé, de gestionnaires, de chercheurs que d’étudiants en politique qui finiront dans l’administration ou dans des fonctions électives.

Présidentielle 2022: Ségolène Royal enfonce Hidalgo !

Présidentielle 2022: Ségolène Royal enfonce Hidalgo !

Si il y en a une qui a la haine très tenace, c’est bien Ségolène Royal. L’intéressée n’a jamais digéré sa défaite aux présidentielles faces à Sarkozy. Elle n’a jamais admis qu’on se prive des énormes compétences qu’elle s’attribue. Aussi depuis ce temps-là , elle consacre surtout son temps son temps politique à la démolition de la concurrence. Cette fois, elle tire sur quelqu’un qui est pratiquement déjà morte à savoir Anne Hidalgo en lui conseillant de se retirer des présidentielles. En réalité, Ségolène Royal n’a jamais renoncé à l’idée même de se représenter un jour et préfère sans doute le néant socialiste total ( vers lequel on se dirige) au choix d’une autre personnalité telle.

« Il faut qu’elle se désiste pour un des deux candidats qui est devant elle », a estimé vendredi 10 décembre l’ancienne candidate socialiste à l’élection présidentielle de 2007, qui s’est également dite prête à « prendre [ses] responsabilités » en cas de primaire. Bref le dernière coup de poignard dans le dos en déclarant notamment: « Elle a envie de se retirer, elle ne sait pas trop comment, mais [sa proposition] n’est pas respectueuse des autres », a fustigé Ségolène Royal, qui a ajouté : « Jean-Luc Mélenchon, il a fait un travail, il a été excellent dans son meeting, ses équipes ont travaillé, il est lancé dans cette campagne. Yannick Jadot, il est passé par une primaire, qui n’a pas été simple. Ils ont fait le job, ils ont fait le travail. On ne peut pas d’un coup leur demander de décrocher pour un changement d’avis. »

Ségolène Royal ne ferme toutefois pas la porte à une candidature à une hypothétique primaire. « J’ai toujours dit, y compris à la direction du PS, que j’étais disponible si on venait me chercher », a-t-elle certifié, assurant qu’elle prendrait « [ses] responsabilités » si « [son] nom sortait ».

Présidentielle en Iran : Une élection truquée qui enfonce la société civile

Présidentielle en Iran : Une élection truquée qui enfonce la société civile

 

 

Editorial du « Monde ». La République islamique d’Iran a opté pour un verrouillage sans précédent de l’élection présidentielle du 18 juin. Pour la première fois depuis l’élection du réformateur Mohammad Khatami en 1997, le scrutin s’est tenu sans véritable compétition. Les candidatures des prin­cipales figures réformatrices du pays, ainsi que de personnalités conservatrices, avaient été invalidées en amont par le Conseil des gardiens de la Constitution, dans le but d’assurer au chef de l’autorité judiciaire, l’ultraconservateur Ebrahim Raïssi, une victoire sans encombre.


Ce faisant, le régime a rompu avec une tradition qui offrait jusqu’alors un semblant d’exercice démocratique lors du scrutin présidentiel, dans un face-à-face entre deux camps : les partisans des réformes, ­favo­rables à une ouverture dans la société et vers le monde, contre les partisans de la révolution islamique, tenants d’une ligne antioccidentale et d’une plus grande limitation des libertés en Iran. A 82 ans, le Guide suprême, Ali Khamenei, organise sa succession. Il la souhaite sans remous, sans luttes intestines. Et, le président élu, Ebrahim Raïssi, 60 ans, est l’un des candidats probables.

Lors de cette élection, la voix des Iraniens n’a pas été entendue. Ils ont été nombreux à ne pas aller voter – 51,2 % se sont abstenus, selon des résultats définitifs publiés le 19 juin –, du fait du verrouillage de l’élection, mais aussi parce qu’ils ne croient plus possible de réformer le système politique par les urnes. L’élection d’Ebrahim Raïssi ne devrait certes pas avoir d’incidence dans les négociations en cours sur le dossier nucléaire, qu’une majorité d’Iraniens soutient. Le rétablissement des sanctions internationales sous l’ancien président Donald Trump est loin d’avoir affaibli le régime iranien, mais a aggravé les conditions de vie de la population, amené au décrochage économique de millions de personnes et affaibli la classe moyenne, moteur du changement dans le pays. En campagne, Ebrahim Raïssi a dit son intention d’honorer l’accord conclu en 2015 avec la communauté internationale, sur les consignes du Guide suprême. Ce dernier est déterminé à sauver l’accord nucléaire pour obtenir en retour une levée des sanctions et une relance économique.

 

Mais l’élection d’Ebrahim Raïssi pourrait être lourde de conséquences pour les Iraniens qui appellent à plus de droits et de libertés. Leurs revendications – la liberté de la presse, le droit de vivre dans la dignité, le respect de la méritocratie dans l’accès aux postes publics, la transparence du pouvoir et la détente avec le monde – n’ont pas pu s’exprimer lors du scrutin du 18 juin. Les Iraniens paient un lourd tribut chaque fois qu’ils tentent de se faire entendre, que ce soit lors des manifestations – dont les dernières en 2019 ont été réprimées dans le sang – ou par des actions pacifiques.

Ebrahim Raïssi détient un triste bilan en matière de droits humains.En 1988, alors qu’il n’avait que 28 ans, Il a été l’un des quatre juges qui ont décidé de la vie et de la mort de milliers de prisonniers politiques. Ebrahim Raïssi a toujours fait preuve de loyauté envers la machine répressive de la République islamique d’Iran, en jouant un rôle-clé dans les plus grands dossiers de la violation des droits humains. Sous son règne à la tête de l’autorité judiciaire (2019-2021), l’arrestation des militants politiques et leur condamnation à de lourdes peines de prison sont devenues la règle. L’élection d’Ebrahim Raïssi à la présidence est une très mauvaise nouvelle pour la société civile iranienne.

Sciences Po Grenoble: la directrice enfonce un professeur accusé d’islamophobie

Sciences Po Grenoble: la directrice enfonce un professeur accusé d’islamophobie

 

 

L’ambiance est pour le moins délétère à Sciences-po Grenoble après les accusations publiques de deux professeurs pour Islamophobie. L’enquête n’est même pas encore terminée que la directrice enfonce un  des professeurs jugeant ses propos très critiques. Une manière aussi de donner raison aux gauchistes notamment de l’UNEF.

«Je pense qu’il y a un ton qui est extrêmement problématique dans ses propos, avec des idées qui sont développées parfois un peu rapidement, et donc un rappel à l’ordre et une incitation au dialogue ont été entreprises», par la direction, a expliqué Mme Saurugger. La directrice de Sciences-po Grenoble.

Le problème c’est que l’inspection générale diligentée à cet effet n’interprète pas de  cette manière.

«La directrice commente des choses, moi je ne me fie pas à ces commentaires, ni qui que se soit, je me fie à l’Inspection générale», a commenté dans la foulée sur BFMTV Frédérique Vidal, ministre de l’Enseignement supérieur, en référence à la mission d’inspection diligentée par son ministère. Sur le fond de l’affaire elle a dit regretter l’attitude du syndicat étudiant dont elle estime que le rôle est «d’être dans la médiation, pas de jeter les gens en pâture sur les réseaux sociaux».

Assemblée nationale :le vertueux Ferrand enfonce Fillon en réclamant 1 million

Assemblée nationale :le vertueux Ferrand enfonce Fillon en réclamant 1 million

 

 

 

Il est pour le moins savoureux que l’assemblée nationale sous la tutelle de Richard Ferrand réclame 1 million de dommages et intérêts à Fillon pour  utilisation frauduleuse de financement de collaborateurs. Certes l’affaire Fillon  est connue. Comme d’autres, il a utilisé le nom de son épouse pour justifier de la rémunération d’un collaborateur. Il n’est pas le premier, ils sont des dizaines et des dizaines à avoir opéré de cette manière pour améliorer l’ordinaire. Fillon mérite de toute façon la procédure judiciaire qui a été engagée. Mais ce qui est succulent, c’est que cette procédure avec la demande d’indemnité d’un million s’effectue sous la tutelle de Richard Ferrand, président de l’assemblée nationale qui lui-même a permis à sa compagne de réaliser un petit bénéfice de presque 1 million d’euros quand il était à la tête des mutuelles de Bretagne. Une affaire toujours en cours et qui risque de finir dans les sables judiciaires tant que Macron sera au pouvoir. Du 24 février au 11 mars, l’ancien Premier ministre François Fillon, son épouse et son ancien suppléant à l’Assemblée, Marc Joulaud, seront jugés dans l’affaire des emplois présumés fictifs de Pénélope Fillon.

L’affaire court du début des années 1980 à 2013, pour des emplois supposément occupés à l’Assemblée nationale comme assistante parlementaire et à La Revue des deux mondes en qualité de “conseillère littéraire”.

Selon Me Yves Claisse, avocat de l’Assemblée nationale qui s’est constituée partie civile, le préjudice financier qui sera réclamé à l’audience s’élèvera à 1.081.219,51 euros.

Soit dans le détail, 679.989,32 euros pour la “période” Marc Joulaud et 401.230,19 euros pour la “période” François Fillon, a-t-il précisé dans un message à Reuters.

L’OMC enfonce l’Airbus A350 pour se sauver ?

L’OMC enfonce  l’Airbus A350 pour se sauver ?

Curieusement l’OMC vient de se prononcer en faveur des États-Unis pour permettre la taxation de l’A 380 et de l’A  350 qui d’après l’OMC bénéficieraient de soutiens gouvernementaux. Comme si Boeing ne bénéficiait  pas du même soutien américain. La vérité sans doute c’est que l’OMC tente une opération séduction auprès des États-Unis qui veulent purement et simplement supprimé l’Organisation mondiale du commerce (OMC)

Dans le cadre de ce contentieux vieux de 15 ans, l’OMC a autorisé en octobre les Etats-Unis à taxer 7,5 milliards de dollars (6,7 milliards d’euros) de produits industriels et agricoles importés d’Union européenne comme le vin français, le fromage italien ou le whisky écossais.

L’UE attend une décision de l’OMC dans une affaire similaire concernant des subventions accordées à Boeing, qui doit être jugée au printemps, tout en appelant à un règlement international négocié du problème.

Dans ses conclusions publiées lundi, les trois membres du groupe de mise en conformité rejettent l’argument européen selon lequel la récente décision d’Airbus de mettre fin à la production de son très gros porteur A380 signifie que l’appareil ne peut plus être considéré comme une menace pour Boeing.

L’OMC ne juge plus que l’A380 a provoqué une baisse des ventes de Boeing mais considère toujours que le plus gros avion du monde continuera à réduire la part de marché de Boeing jusqu’à l’arrêt total de sa production, annoncé par Airbus pour la mi-2021.

Concernant l’A350, l’organisation basée à Genève estime que l’appareil a à la fois pesé sur le chiffre d’affaires de Boeing et réduit les perspectives de part de marché de l’avionneur américain sur le marché des biréacteurs long-courriers.

La Commission européenne a dit avoir pris note du rapport, tout en relevant un certain nombre d’erreurs juridiques.

L’exécutif bruxellois, dont le nouveau commissaire au Commerce, l’Irlandais Phil Hogan, a pris ses fonctions dimanche, examine les prochaines étapes, y compris la possibilité de déposer un nouveau recours.

Selon des sources européennes, la décision de l’OMC de ne plus considérer que l’A380 fait baisser le chiffre d’affaires de Boeing a pour conséquence un abaissement du plafond des mesures de rétorsion américaines auxquelles l’OMC a donné son feu vert en octobre.

Dans un communiqué, Airbus a déclaré que les Etats-Unis devraient réduire d’environ 2 milliards de dollars le montant des taxes qu’ils ont imposées en octobre.

De sources américaines, on juge que ces calculs ne sont pas pertinents, en arguant que seul le respect total par l’UE des recommandations de l’OMC, ou un accord négocié entre Bruxelles et Washington, serait à même d’annuler le feu vert de l’OMC à des sanctions.

L’Union européenne comme les Etats-Unis peuvent faire appel de la décision de l’OMC mais ces recours risquent de tomber dans un vide juridique.

L’Organe d’appel de l’OMC, qui examine les recours, cessera de fonctionner le 10 décembre, les Etats-Unis refusant de remplacer les juges qui y siègent !

L’ambassadeur américain auprès de l’UE enfonce Trump

L’ambassadeur américain auprès de l’UE enfonce Trump

 

 

 

On comprend mieux pourquoi Trump voulait interdire à l’ambassadeur américain auprès de l’UE de témoigner devant la chambre des représentants à propos de l’affaire Ukrainienne. Une affaire où Trump avait demandé au gouvernement Ukrainien d’enquêter sur son concurrent démocrate Joe Biden avec promesse d’aide des Etats Unis. . Gordon Sondland, ambassadeur américain auprès de l’Union européenne a clairement indiqué que M. Trump avait lié le déblocage d’une aide à l’Ukraine à l’annonce par Kiev d’une enquête visant le fils de M. Biden, qui fut au conseil d’administration d’une entreprise ukrainienne. M. Sondland «m’a dit (..) que tout était lié à une telle annonce, y compris l’aide économique», raconté un elu democrate qui a auditionné Bill Taylor.

«Ce que j’ai entendu aujourd’hui de la part de Bill Taylor  ancien chargé d’affaires américain auprès de l’Ukraine était très troublant et explosif», a tweeté l’élu démocrate du Congrès Adriano Espaillat. «C’était tout simplement le témoignage le plus accablant que j’ai entendu», a surenchéri l’élue Debbie Wasserman Schultz, également démocrate.

Dans un message daté de début septembre adressé à M. Sondland, M. Taylor s’inquiétait ouvertement des pressions exercées par la Maison Blanche sur la présidence ukrainienne. Je «trouve ça dingue de suspendre l’aide sécuritaire en échange d’un coup de main pour une campagne politique», écrivait-il.

Selon le Washington Post, Bill Taylor, chargé d’affaires américain en Ukraine, a donc renforcé mardi, lors d’un témoignage à huis clos, les soupçons pesant contre le locataire de la Maison Blanche.

Nicole Klein, ex directrice de cabinet enfonce de Rugy

Nicole Klein, ex directrice de cabinet enfonce  de Rugy,

 Pour l’ex directrice de cabinet du ministre de l’écologie, de Rugy a voulu sauver sa tête en offrant celle de sa première collaboratrice. Le pire dans l’histoire c’est que de Rugy  est également accusé d’avoir bénéficié d’un logement à un tarif préférentiel à Nantes. Justement le motif qui aurait justifié la mise à l’écart de sa directrice de cabinet coupable d’avoir elle aussi bénéficié d’un logement social pendant une douzaine d’années sans raison. Il est clair que de Rugy  auquel on  reproche une dizaine de faits très douteux a voulu donner rapidement des gages  au Premier ministre en particulier. Pourtant, il n’y avait pas de rapport direct entre l’affaire du logement de la directrice de cabinet et celle  de l’appartement à Nantes de de Rugy. Ce que reproche surtout l’ancienne directrice de cabinet c’est la brutalité de sa mise à l’écart. D’une certaine manière la recherche de boucs émissaires est une vieille technique pour tenter d’apaiser l’opinion publique. Ainsi de Rugy  a-t-il viré sans ménagement sa directrice de cabinet, ainsi le premier ministre a-t-il pris des mesures conservatoires éventuellement obtenir la démission de de Rugy  et n’être pas aussi impliqué dans les frasques de certains membres du gouvernement.

Unedic : Macron enfonce les corps intermédiaires

Unedic : Macron enfonce les corps intermédiaires

 

Comme c’était prévisible, Macron a profité de l’échec des négociations sur l’Unedic pour enfoncer les corps intermédiaires. Il est vrai que les instances patronales et syndicales se sont montrées assez irresponsables en montrant leur incapacité à négocier sur l’assurance-chômage. Depuis le début du mandat de Macorn, ces organisations ont été systématiquement mises de côté, le président préférant le contact direct avec les Français ce qui par parenthèse a conduit au mouvement des gilets jaunes. Dans sa conception monarchique du pouvoir, Macron n’apprécie guère ces corps intermédiaires et leur échec sur l’Unedic a servi de prétexte pour les discréditer un peu plus “Plusieurs d’entre vous ont parlé des corps intermédiaires, c’est devenu très à la mode”, a déclaré le chef de l’Etat lors d’un débat à l’Elysée avec les présidents des conseils départementaux. “Moi je crois dans les corps intermédiaires d’autant plus que la première réforme portée dans ce quinquennat avec les ordonnances travail leur a donné plus de place”. “Mais la responsabilité n’est pas toujours partagée”, a-t-il estimé. “On vient d’avoir un exemple (…) on dit aux partenaires sociaux ‘trouvez-nous une solution pour le chômage, vous êtes autour de la table, vous êtes responsables’ alors même que les organisations syndicales ne financent plus le chômage”.“Comme c’est difficile, elles ont rendu hier au gouvernement la copie”, a-t-il poursuivi. “On est dans un drôle de système tout de même où chaque jour dans le pays, on dit ‘corps intermédiaires, démocratie territoriale, démocratie sociale, laissez-nous faire’ et quand on donne la main, on dit ‘pardon Monsieur c’est dur, reprenez-la”. “Le gouvernement va devoir la prendre parce qu’on ne peut pas avoir un déficit cumulé sur le chômage comme celui que nous avons depuis tant d’années”, a-t-il ajouté.

François de Rugy enfonce Gérard Collomb

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Après sa collègue de la justice, Nicole Belloubet, François de Rugy se lance à son tour dans un concours de courtisanerie vis-à-vis de Macron. Lui aussi enfonce désormais Gérard Collomb. Et de reprendre tous les arguments véhiculés parmi les conseillers de l’Élysée en oubliant évidemment de parler du fond. Car la divergence entre Gérard Collomb et Macon portent d’abord sur la question de la prise en charge des quartiers difficiles et les risques que cela fait courir à la société. Une problématique qui a toujours été considérée comme secondaire par Macron qui publiquement a condamné le rapport de Borloo, pire en humiliant l’intéressé. La seconde divergence porte sur la manière et le comportement de Macron jugé trop hors sol par Gérard Collomb, trop arrogant aussi et manquant sérieusement d’humilité. Des reproches publics en plus qui n’ont guère été appréciés chez le monarque républicain. Le dernier point de rupture a concerné l’affaire Benalla. Gérard Collomb a refusé de porter le chapeau et renvoyer la responsabilité à l’Élysée.  Pour faire plaisir à Macron, François de Rugy a donc enfoncé Gérard Collomb «Si, quand il a accepté d’être ministre de l’Intérieur et numéro deux du gouvernement, en mai 2017, il avait l’idée de partir au bout d’un peu plus d’un an, ça aurait été bien qu’il le dise à ce moment-là… Parce que c’est un peu gênant quand même», a-t-il regretté. Dénonçant une «démarche» égoïste qui répond à des «préoccupations personnelles» – la candidature à la mairie de Lyon -, l’écologiste a estimé qu’il était «dommage» de venir «perturber la démarche globale du gouvernement». «Il ne faut pas commencer à être obsédé par les élections municipales qui auront lieu en mars 2020», a-t-il exhorté. «On pourra peut-être penser à qui se présente où dans un peu plus d’un an», a-t-il ensuite tranché.

 

Belloubet enfonce Collomb

Belloubet enfonce  Collomb 

 

 

Sans doute pour sauver sa place,  la ministre de la justice enfonce Gérard Collomb. Il faut dire que Nicole Belloubet  n’a pas spécialement brillé dans la gestion de son portefeuille. Du coup, elle a régulièrement tenté de compenser son insuffisance par un surplus de courtisanerie à l’égard de Macron. Par exemple,  dans l’affaire Ben alla, elle n’a pas hésité à intervenir pour critiquer les commissions parlementaires mises en place à cet effet. C’est sûrement le genre de ministre que Macron apprécie, pas très compétent, maladroit mais servile à souhait.  A quelques heures du remaniement, la ministre de la Justice Nicole Belloubet réagit dans le JDD à la démission la semaine dernière de Gérard Collomb du gouvernement. « J’ai le sentiment qu’il s’est trouvé pris dans un piège qu’il s’était lui-même tendu. À partir du moment où il a annoncé son départ, le regard des autres a changé. Aujourd’hui, lorsqu’on est ministre, on ne peut pas dire : « Je vais partir, je vais faire ça dans deux ou trois ans. » À partir du moment où il s’est exprimé, son départ était inéluctable », explique-t-il. En faite une analyse aussi alambiquée que celles concernant l’intervention du pouvoir dans la nomination du procureur de Paris qui aura notamment à juger de plusieurs affaires concernant l’entourage de Macron.  La ministre défend également le processus de nomination du procureur de Paris: « Je vous le dis très clairement, il n’y a ni évaluation, ni prise en compte de critères politiques dans ce genre de décision. Les convictions politiques des candidats à ce type de fonction n’entrent pas en ligne de compte. [...] Il est évident, compte tenu de la sensibilité et de l’importance d’une telle fonction, qu’il y a un dialogue permanent entre le Président, le Premier ministre et moi. »

Crise en catalogne : Rajoy enfonce l’Espagne

Crise en catalogne : Rajoy enfonce l’Espagne

 

Il y a malheureusement chez certains responsables espagnols de droite une certaine résilience au déni de démocratie. Les gènes autoritarisme de la dictature n’ont pas complètement disparu. Ainsi le premier ministre Rajoy refuse-t-il de reconnaître sa défaite électorale en Catalogne. Pire, il maintient en prison certains anciens responsables et interdit au leader nationaliste Puigdemont  de rentrer en Espagne. Le pays sortait enfin de la crise économique après une longue période de disette mais l’épisode de la Catalogne risque de replonger l’Espagne dans le marasme économique. L’entêtement du premier ministre n’a pas de quoi rassurer les acteurs économiques et faut-il le rappeler la Catalogne représente environ 20 % du PIB espagnol. Certes Puigdemont n’est pas sans responsabilité pour avoir organisé un référendum qui n’était pas légal sur l’indépendance. Depuis la situation a été régularisée puisque le pouvoir central a imposé des élections régionales. Mais ces élections ont été à nouveau gagnées par les nationalistes. Ce que ne peut admettre Rajoy qui préfère enfoncer son pays que de reconnaître le résultat des urnes. De toute manière, la question n’est plus celle de l’indépendance mais celle d’une négociation sur l’élargissement de l’autonomie de la province comme au Pays basque. Autant de questions dont  le premier ministre espagnol ne veut pas entendre. Pourtant  sa très fragile majorité politique repose sur le soutien de la province basque qui, elle, a obtenu cette très large autonomie. La crise Catalogne catalane qui forcément va continuer si le premier ministre espagnol s’entête toujours et pourrait finalement coûter 05, à 1 % de croissance du PIB. Ce qui est considérable quand on sait que le taux de chômage en Espagne est encore de 20%.

 

Mélenchon s’enfonce dans la polémique

 Mélenchon s’enfonce dans la  polémique

 

 

 

En net recul dans les sondage, en échec sur la mobilisation sociale contre des ordonnances est en difficulté par rapport aux contradictions de son propre mouvement , Mélenchon ne sort pas grandi du débat qui a eu lieu jeudi sur France 2 ;  consciemment ou inconsciemment , il a repris sa posture de polémiste.par exemple le leader de La France insoumise Jean-Luc Mélenchon a estimé durant la discussion que Manuel Valls était d’ »extrême droite » quand l’ancien Premier ministre parle d’ »un problème avec les musulmans ».. De la même manière il a accusé Jean-Claude Mailly de Force ouvrière d’être l’un des responsables de l’échec de la mobilisation contre la réforme du code du travail. . Mélenchon a également tenté d’excuser certaines dérives au sein même de son parti notamment celles concernant Daniel au Bono  qui s’est prononcée notamment en faveur de réunions syndicales ou associatives non mixtes (en clair sans blanc) Jean-Luc Mélenchon a reconnu des désaccords, mais a salué «une amie», Sur le Venezuela il a carrément pété les plombs en manifestant le plus grand mépris pour la journaliste qui l’interrogeait. L’intervention de Laurence Debray, journaliste, spécialiste du monde hispanique, attaquant le leader insoumis pour ses positions favorable au président vénézuélien, Nicolas Maduro, aura fini par lui faire perdre son calme. Même attitude surnombre d’autres sujets ou Mélenchon s’est montré très agressive voire insultant. Bref une posture qui agace de plus en plus l’opinion publique. D’ailleurs dans le  sondage Odoxa-Dentsu Consulting pour  Franceinfo Mélenchon plonge.  Avec 36 % de bonnes opinions, le député des Bouches-du-Rhône chute de six points par rapport à septembre. L’ancien candidat à l’élection présidentielle est désormais rejeté par une majorité de jeunes (53 %), d’ouvriers (54 %) et de Français aux revenus les plus modestes (61 %)», détaille le sondeur. Ces catégories sont pourtant celles qui ont le plus voté Mélenchon en avril dernier.  S’il conserve une bonne base de popularité chez les sympathisants de la gauche du PS (82 %), le parlementaire est mal perçu par les socialistes (54 % ont une mauvaise image de lui). La raison de ce creux se trouve évidemment dans son incapacité à fédérer autour de lui un front social contre l’exécutif. 79 % des Français jugent que sa mobilisation contre les réformes du gouvernement a été «un échec ». Un avis partagé par 54 % des sympathisants de la gauche radicale et 77 % des sympathisants socialistes. Confortant une critique déjà exprimée par les syndicats, Jean-Luc Mélenchon est perçu comme «jouant trop perso » par 68 % des Français, soit cinq points de plus qu’en septembre, au moment de sa grande marche «contre le coup d’État social ». Il n’est jugé «compétent » que par 43 % des Français (- 3 points) et «sympathique » par 40 % (- 4). Le lien avec les Français semble altéré : 48 % le trouvent «proche des gens ». C’est… huit points de moins que lors de la précédente enquête. Les différentes controverses autour des personnalités de La France insoumise (Raquel GarridoAlexis CorbièreDanielle Simonnet…) ont, elles aussi, eu un impact négatif : 58 % des Français estiment qu’elles sont particulièrement choquantes

 

 

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