Archive pour le Tag 'enfants'

Page 3 sur 4

Gymnastique de haut niveau : Une torture physique et morale de très jeunes enfants

 Gymnastique de haut niveau : Une torture physique et morale de très  jeunes enfants

 

La sociologue Caroline Ibos revient sur le retrait de l’athlète américaine Simone Biles des JO de Tokyo et propose, dans une tribune au « Monde », une analyse sociopolitique de la gymnastique comme système d’exploitation du corps des filles.(extrait)

 

Tribune

 

Reine annoncée des Jeux olympiques de Tokyo, la gymnaste étatsunienne Simone Biles a abandonné mardi 27 juillet le concours par équipes au milieu de la compétition ; elle avait échoué à réaliser une figure particulièrement difficile au saut de cheval. Le retrait de celle qui domine aujourd’hui son sport plus que toute autre sur terre a semé la stupeur. Mais ce qui a le plus embarrassé le monde du sport est l’explication qu’elle en a donnée : « Dès que je mets le pied sur le tapis, il n’y a plus que moi et ma tête… Faire face aux démons dans ma tête. Je veux me concentrer sur mon bien-être, il n’y a pas que la gym dans la vie. »

Depuis, les commentaires honorent ou déboulonnent l’icône : ils saluent le courage de la « plus grande championne de tous les temps » à briser les tabous, ou la dépouillent de ce blason de GOAT (« Greatest of All Times », « meilleure de tous les temps ») et moquent la petite chèvre brodée sur ses maillots. Et les réseaux sociaux déversent sur elle brouettes de fleurs et torrents de boue.

 

Pourtant, comprendre ce coup de théâtre à partir de la seule personnalité de Simone Biles, à partir de sa supposée surhumanité ou de ses possibles failles, masque ce qu’il exprime et que Simone Biles ne cesse de dénoncer depuis des années : la violence du système de la gymnastique féminine de haut niveau. Une violence dont l’enjeu est d’incarner la gloire nationale dans des corps et des vies contrôlés depuis l’enfance.

Façonner le corps des filles est l’art d’un sport hanté par Pygmalion. Avant d’être étatsunienne, la gymnastique artistique fut soviétique, et c’est dans les régimes communistes qu’a surgi le modèle de l’entraîneur surpuissant, héros du travail et créateur de championnes adolescentes.

 

Rappelons-nous [la RusseElena Mukhina [1960-2006], championne du monde en 1978. Orpheline, entraînée depuis l’âge de 8 ans par l’ancien champion de barre fixe Viktor Klimenko, elle se brise à 20 ans les vertèbres cervicales, quelques jours avant les Jeux de Moscou (1980), et reste entièrement paralysée. Malgré une jambe cassée, Klimenko la forçait à s’entraîner pour être la GOAT de son époque, la première à réaliser une folie de double salto et demi réceptionné sur la nuque.

Dans ce système d’appropriation des corps, le modelage est redoublé par l’exploitation sexuelle, l’éclat de l’innocence rehaussée par la souillure cachée. Olga Korbut, surnommée le « moineau de Minsk » et gloire soviétique des Jeux olympiques de Munich (1972), accusa à la fin du XXe siècle son ancien entraîneur, Renald Knysh, de l’avoir violée de multiples fois alors qu’elle avait 15 ans, réduite à l’esclavage sexuel et menacée d’exclusion de l’équipe nationale si elle parlait. En 2017, elle vendait aux enchères ses médailles olympiques, geste qui, dit-elle, lui « sauvait la vie ».

«Occupez-vous de vos enfants !» : La mère de la jeune fille tuée par un adolescent

«Occupez-vous de vos enfants !» : La mère de la jeune fille tuée par un adolescent

Marjorie, la jeune fille tuée d’un coup de couteau et son agresseur s’étaient donné rendez-vous au pied de l’un des immeubles de la cité à la suite «d’échanges véhéments» sur un groupe Snapchat au sujet de la petite sœur de la victime. C’est là que le jeune garçon l’a tuée d’un coup de couteau «en plein cœur».

 

Odile, la mère, a fait preuve d’une dignité remarquable en déclarant :

. «Aimons-nous les uns les autres» avant de se lancer dans un vibrant plaidoyer en faveur de l’éducation : «Je m’adresse tout particulièrement aux parents. Aimez vos enfants, parlez avec vos enfants, aimez-les, dansez avec eux. Je dansais avec Marjorie. Faites des réunions avec vos enfants, discutez avec eux, cherchez à savoir ce qu’ils font dans la vie, soyez auprès d’eux, embrassez-les, dites-leur que vous les aimez, car cette parole je n’ai pas eu le temps de la dire à Marjorie une dernière fois. Là où elle est je pense qu’elle m’entend. Marjorie, je t’aime.»

 

Et de prévenir : «Occupez-vous de vos enfants, ce n’est pas à la justice de s’occuper de vos enfants». «Il faut que ça change, a-t-elle poursuivi. Aujourd’hui c’est moi, hier c’en était d’autres, demain à qui le tour ? Posez-vous la question : le prochain sur la liste, qui ? (…) Tant que vous pouvez dire à vos enfants que vous les aimez, dites-le, n’ayez pas peur de le dire, parce qu’ils peuvent ne jamais rentrer le soir».

 

Virus: « Il faut tester les enfants »

Virus: « Il faut tester les enfants »

Pour  le pédiatre, Robert Cohen, il ne faut pas hésiter à faire tester les enfants .

“Je crois qu’il faut vraiment faire tester les enfants. Quand ils sont testés en salivaire, ce n’est vraiment pas douloureux. Ensuite, il faut savoir que même quand on les teste par voie nasale, quand c’est bien fait, ce n’est pas douloureux.

Et puis on arrêtera l’épidémie qu’en testant et en isolant à la fois les adultes et les enfants. On n’a pas d’autre choix que de le faire au stade où on en est de l’épidémie. Il faut bien comprendre que cette maladie demande à ce qu’on s’adapte au fur et à mesure. Là, nous sommes à un point critique donc il ne faut pas hésiter à le faire”, insiste-t-il.

Robert Cohen, pédiatre infectiologue, appelle à « tester les enfants (…) ce n’est pas douloureux. On n’a pas d’autres choix à ce stade de l’épidémie »#ApollineMatin pic.twitter.com/X9sKfcECdr

— RMC (@RMCinfo) March 30, 2021

Pour l’instant, les écoles restent ouvertes et Catherine Da Silva, directrice d’un groupe scolaire à Saint-Denis, incite les familles à réaliser des tests dès que nécessaire.

“C’est vrai que c’est compliqué pour certaines familles, mais ça reste vraiment minoritaire et à la marge. Après, je suis obligé de le dire que s’il est cas contact dans la famille il prend sept jours de plus donc c’est beaucoup”, appuie-t-elle.

Pour Jean-Christophe Lagarde, député de Seine-Saint-Denis et président de l’UDI, ce n’est pas aux parents de porter la responsabilité des tests.

“Qu’on arrête de dire que c’est aux familles de faire le boulot, elles le font. Qu’on aille dans les pharmacies, vous verrez qu’elles se testent. Mais ce n’est pas elles qui peuvent prendre la décision que les écoles ferment. Ca, c’est de la responsabilité du président de la République”, confie-t-il.

 

Le député a d’ailleurs écrit hier au président de la République pour réclamer la fermeture des écoles.

Une adolescente noyée par d’autres enfants

Une  adolescente noyée par d’autres enfants

L »innommable, l’insupportable se sont encore produits avec cette noyade d’une enfant par d’autres enfants. Tout cela en raison sans doute d’un conflit à propos de la circulation de photos de l’intéressée sur les réseaux sociaux. La victime était l’objet de harcèlement mais du côté du parquet de Pontoise, on indique qu’aucune plainte pour des faits de harcèlement visant les deux mis en cause ou la victime n’était enregistrée, que ce soit au niveau du parquet ou dans un commissariat. Les trois adolescents n’avaient par ailleurs aucun antécédent pénal. Les investigations et les vérifications se poursuivent, notamment afin de déterminer le mobile. La police judiciaire de Cergy-Pontoise a été saisie pour des « faits d’assassinat » par le parquet de Pontoise. Un crime entre jeunes qui vient s’additionner aux autres et qui témoigne que la barbarie devient le mode de régulation des relations sociales.

Menus des cantines : la politique dans les assiettes des enfants

Menus  des cantines : la politique dans les assiettes des enfants

 

Officiellement, la décision des élus municipaux de Lyon d’imposer un menu unique sans viande dans les cantines des élèves correspondraient à des impératifs sanitaires. En réalité sans doute, c’est aussi l’occasion pour les écolos de plier devant des exigences religieuses et de satisfaire en même temps des objectifs écologiques

 

 

Julien Bayou, premier secrétaire d’Europe Écologie – Les Verts (EELV), expliquait encore en janvier, au sujet des régionales, que ce fameux échelon local pouvait «être le fer de lance de la transformation écologique» grâce entre autres à «l’alimentation dans les cantines scolaires». Le parti juge en outre que «l’urgence climatique et environnementale impose la nécessité d’engager la France et l’Europe dans la transition alimentaire vers une consommation plus végétale…». Une explication loin des contraintes sanitaires !

 

PAS SÛR CEPENDANT QUE LA MESURE SOIT TRÈS SOCIALE DANS LA MESURE OÙ POUR NOMBRE D’ENFANTS DE MILIEUX MODESTES LE REPAS DE MIDI EST LE PLUS RICHE ET LE PLUS CONSISTANT DE LA JOURNÉE.

 

 MAIS C’EST AUSSI L’OCCASION DE FAIRE PARLER DU MAIRE ÉCOLOGISTE DE LYON QUI VEUT JOUER UN RÔLE DANS LA CAMPAGNE ÉLECTORALE PRESIDENTIELLE.

 

Derrière les objectifs techniques se dissimulent des idéologies. Grégory Doucet -affirme que fluidifier le service sur fond d’épidémie de Covid-19, avec un menu qui « correspond au goût du plus grand nombre » -, le ministre de l’Intérieur, Gérald Darmanin, a dénoncé, lui  « politique moraliste et élitiste » qui « exclut les classes populaires ». « Arrêtons de mettre de l’idéologie dans l’assiette de nos enfants ! », a renchéri dimanche le ministre de l’Agriculture et de l’Alimentation, Julien Denormandie, qui a saisi le préfet du Rhône à ce sujet. Une façon de jouer l’opposition entre une écologie «pragmatique », que défendraient les macronistes, et une écologie «dogmatique », qui serait portée par les Verts. Les écologistes de Lyon se défendre en considérant que l’ancien maire Gérard Collomb avait pris une mesure identique au moment de la première vague du virus. Peut-être pas une référence politique de grande valeur pour quelqu’un qui sait surtout manifester par un grand immobilisme face aux enjeux politiques et sociétaux à Lyon comme lorsqu’il était ministre de l’intérieur.

Cantine : la politique dans les assiettes des enfants

Cantine : la politique dans les assiettes des enfants

 

Officiellement, la décision des élus municipaux de Lyon d’imposer un menu unique sans viande dans les cantines des élèves correspondraient à des impératifs sanitaires. 

EN RÉALITÉ SANS DOUTE, C’EST AUSSI L’OCCASION POUR LES ÉCOLOS DE PLIER DEVANT DES EXIGENCES RELIGIEUSES ET DE SATISFAIRE EN MÊME TEMPS DES OBJECTIFS ÉCOLOGIQUES.

 

Julien Bayou, premier secrétaire d’Europe Écologie – Les Verts (EELV), expliquait encore en janvier, au sujet des régionales, que ce fameux échelon local pouvait «être le fer de lance de la transformation écologique» grâce entre autres à «l’alimentation dans les cantines scolaires». Le parti juge en outre que «l’urgence climatique et environnementale impose la nécessité d’engager la France et l’Europe dans la transition alimentaire vers une consommation plus végétale…». Une explication loin des contraintes sanitaires !

 

PAS SÛR CEPENDANT QUE LA MESURE SOIT TRÈS SOCIALE DANS LA MESURE OÙ POUR NOMBRE D’ENFANTS DE MILIEUX MODESTES LE REPAS DE MIDI EST LE PLUS RICHE ET LE PLUS CONSISTANT DE LA JOURNÉE.

 MAIS C’EST AUSSI L’OCCASION DE FAIRE PARLER DU MAIRE ÉCOLOGISTE DE LYON QUI VEUT JOUER UN RÔLE DANS LA CAMPAGNE ÉLECTORALE PRESIDENTIELLE.

Derrière les objectifs techniques se dissimulent des idéologies. Grégory Doucet -affirme que fluidifier le service sur fond d’épidémie de Covid-19, avec un menu qui « correspond au goût du plus grand nombre » -, le ministre de l’Intérieur, Gérald Darmanin, a dénoncé, lui  « politique moraliste et élitiste » qui « exclut les classes populaires ». « Arrêtons de mettre de l’idéologie dans l’assiette de nos enfants ! », a renchéri dimanche le ministre de l’Agriculture et de l’Alimentation, Julien Denormandie, qui a saisi le préfet du Rhône à ce sujet. Une façon de jouer l’opposition entre une écologie «pragmatique », que défendraient les macronistes, et une écologie «dogmatique », qui serait portée par les Verts. Les écologistes de Lyon se défendre en considérant que l’ancien maire Gérard Collomb avait pris une mesure identique au moment de la première vague du virus. Peut-être pas une référence politique de grande valeur pour quelqu’un qui sait surtout manifester par un grand immobilisme face aux enjeux politiques et sociétaux à Lyon comme lorsqu’il était ministre de l’intérieur.

Coronavirus Floride : 31 % des enfants positifs

Coronavirus Floride : 31 % des enfants positifs

 

La tendance pourrait révéler l’ampleur de la pandémie aux Etats-Unis. Sur 54.000 enfants testés au nouveau coronavirus en Floride plus de 16.700, soit près d’un tiers, était positif. Un chiffre qui a de quoi inquiéter alors que plusieurs études scientifiques affirment que les enfants sont généralement moins touchés par le Covid-19 que les adultes.

Le taux de positivité des enfants, 31,1 % selon les données des autorités sanitaires, est pourtant plus élevé que celui de l’Etat, fixé à environ 11 %. Le nombre de contamination pourrait donc être largement sous estimé dans l’Etat.

Ces données viennent également remettre en question celles communiquées depuis le début de la crise par les Center For Disease Control and Prevention (CDC) qui affirment que les moins de 18 ans représentent seulement 6,4 % des personnes infectées. La Californie et le Mississippi enregistrent également des taux proches de 10 %.

 

Hollande écrit un livre pour enfants, son vrai public !

Hollande écrit  un livre pour enfants, son vrai public !

Hollande va peut-être trouver son vrai public en sortant un livre pour enfants mais sur un sujet sérieux : la république. Il faut dire que tant l’action que les discours de Hollande ont toujours été enfantins quand notamment il a prétendu mettre en œuvre  une politique socialiste alors qu’il n’a fait que prolonger voire amplifier les politiques antérieures ; sauf dans les moments de campagne électorale évidemment où là les valeurs socialistes s’affichaient.

 

Souvenons-nous de l’ennemi, c’est la finance ! Et pour finir avec Macron comme conseiller économique puis ministre de l’économie liquidant par exemple Alstom et autres et privilégiant déjà les intérêts financiers dominants. Bref, le grand guignol habituel du PS qui l’a réduit à pas grand-chose avant sans doute de disparaitre comme la SFIO en son temps ; Un discours révolutionnaire dans les congrès et les campagnes électorales et une politique classique  au pouvoir, en plus irresponsable. Bref une posture pour enfants. Et Hollande se recycle justement face à son vrai public.   . Le livre, intitulé Leur République expliquée aux jeunes et au moins jeunes sera publié dans la collection « Quand ça va, quand ça va pas », une série documentaire pour les enfants à partir de 5 ans. Il paraîtra en février 2020.

 

Au fil des pages, les jeunes lecteurs pourront découvrir ce qu’est un pays, une constitution ou quels ont été les différents régimes politiques depuis la Révolution française. Il est illustré par la dessinatrice Laure Monloubou. Il s’agit d’« un livre clair et didactique sur les bases de notre République et ce qui en fait une démocratie », a expliqué l’éditeur. Glénat se félicite de la publication de cet ouvrage « écrit par un homme qui en a exercé les plus hautes fonctions et qui, à travers 40 ans de vie politique locale puis nationale, a cerné les attentes et les incompréhensions de ses concitoyens ». Pas sûr malheureusement qu’il ait compris grand-chose, le petit bourgeois sympa, rigolo parfois mais aussi incompétent qu’inconscient des réalités socio économiques.

Au Brésil : Bolsonaro pour le travail des enfants !

Au Brésil : Bolsonaro pour le travail des enfants !

Le populiste extrémiste président brésilien Jair Bolsonaro soutient  le travail des enfants en se fondant sur le fait qu’il aurait travaillé dès l’âge de huit ans. Notons quand même que si le président brésilien appartenait à une famille ordinaire, son père était quand même dentiste. En outre,  c’est une chose de travailler quelques jours ou quelques semaines quand on est enfant et c’est  autre chose que d’être salarié permanent. Dans les pays développés, des enfants pouvaient occasionnellement aussi participer par exemple à des travaux agricoles. Mais ce qui est en cause au Brésil (et dans d’autres pays en développement)  c’est le fait que la productivité vient surtout de l’utilisation massive et permanente d’enfants. C’est sans doute pourquoi le président brésilien défend avec tant d’ardeur la compétitivité notamment des exploitations agricoles. Or cette position du président Brésilien est à mettre en corrélation avec l’accord récent dit Mercosur pour favoriser les échanges notamment agricoles entre les pays d’Amérique du Sud et l’union européenne. Comme d’habitude les propos du président brésilien sont particulièrement démagogiques et indignes « J’ai travaillé depuis l’âge de 8 ans en plantant du maïs, en cueillant des bananes (…) tandis que j’étudiais, en parallèle. Et aujourd’hui, je suis qui je suis….. ».

« Regardez, en travaillant à la ferme à 9 ou 10 ans, cela ne m’a pas du tout desservi. Quand un enfant âgé de 9 ou 10 ans travaille quelque part, il y a plein de monde pour dénoncer le ‘travail forcé’ ou le ‘travail des enfants’. Mais s’il est en train de fumer du crack, personne ne dit rien », a déclaré jeudi le président d’extrême droite.  »Le travail donne de la dignité aux hommes et aux femmes, peu importe l’âge », a-t-il poursuivi lors de son émission hebdomadaire en direct sur Facebook.

Ces déclarations ont déclenché de nombreux commentaires outrés sur les réseaux sociaux.  »C’est le meilleur exemple pour inciter un enfant à ne pas travailler, cela l’empêchera de devenir un adulte comme lui (Bolsonaro): avec autant de haine et d’incompétence. La place des enfants est à l’école », a notamment réagi sur Twitter le député du parti de gauche PSOL Marcelo Freixo.

Macron : une caricature de débat et l’instrumentalisation des enfants

Macron : une caricature de débat et l’instrumentalisation des enfants

Il est grand temps que le grand débat se termine et que cessent les tournées électorales de Macron. Le chef de l’État instrumentalise en effet le grand débat pour valider sa politique. Il se pourrait bien que l’opinion publique se lasse  interventions répétées chaque semaine qui sont relayée avec complaisance par les chaînes d’info continue en mal de ligne éditoriale. Une nouvelle fois, du côté d’Angers, Macron s’est complaisamment étalé sur sa politique en réduisant le débat à sa plus simple expression. D’abord avec une réunion concernant les élus, les questions ont été réduites à deux minutes par intervenant pendant que Macron alors que  lui prenait 10 minutes pour répondre y compris en abordant des sujets ayant pas grand-chose à voir avec le questionnement initial. Ainsi Macron a fait porter le chapeau de la dégradation de la sécurité routière de début d’année aux gilets jaunes. Certes il n’est pas impossible que la destruction de radars ait  contribué  à l’augmentation du nombre d’accidents mais comme d’habitude dans ce domaine rien n’est démontré et il faut sans doute prendre en compte aussi les exceptionnelles conditions météo et l’augmentation de la circulation. Ensuite Macron s’est adressé à une classe d’enfants de CM2 et de sixième et là il en a profité pour politiser les questions des enfants. Évidemment sous l’œil des caméras. Cela avec notamment un long développement inapproprié sur les gilets jaunes. Bref une nouvelle fois Macron a dérapé ne parvenant pas à maîtriser son tempérament quasi colérique.


Retour des enfants de djihadistes : au cas par cas (Macron)

Retour des enfants de djihadistes : au cas par cas (Macron)

 

Il y a quelques semaines le gouvernement s’était prononcé pour un rapatriement des terroristes français actuellement détenus par les kurdes de Syrie. Suite aux réactions pour et contre cette orientation, Macron a décidé de se réfugier  dans l’ambiguïté en déclarant que le rapatriement se ferait au cas par cas. Deux positions assez opposées s’étaient exprimées sur le sujet. Ceux qui considèrent que la France n’a pas à rapatrier des terroristes qui doivent être jugés dans le pays où ils ont été arrêtés. Ce sera d’ailleurs le cas pour l’Irak mais c’est plus difficile en Syrie où la notion d’État est relative. Il y a aussi ceux qui considèrent qu’il convient de prendre en comte la dimension  humanitaire des enfants dont d’ailleurs certains sont orphelins. “Pour ce qui est des enfants, c’est une approche au cas par cas qui est menée, en particulier en lien avec la Croix-Rouge internationale, c’est une approche humanitaire qui est suivie et avec beaucoup de vigilance en lien avec tous les acteurs qui sont sur le terrain”, a dit le chef de l’Etat français lors d’une conférence de presse au Kenya. Le 28 février, des familles d’enfants se trouvant en Syrie ont déposé une plainte devant le Comité des droits de l’enfant des Nations unies afin de contraindre la France à offrir sa protection à ces mineurs venus avec leurs parents djihadistes ou nés sur place. Cet appel en faveur de leur rapatriement a été repris ce week-end dans Libération par un collectif d’acteurs de la société civile qui ont estimé que le refus de venir en aide à “ces victimes de guerre” était “en contradiction avec nos valeurs” et nourrissait “le risque d’en faire des ‘bombes à retardement’”.

Avenir des enfants : 80% des Français inquiets

Avenir des enfants : 80% des Français inquiets

D’après un sondage réalisé par l’institut Pew Research Center dans 27 pays.,  dans plus de la moitié des pays, en particulier en Tunisie (75% des sondés), en Grèce (87%), la population estime qu’il y a vingt ans, la vie était plus facile qu’aujourd’hui sur le plan financier.  Dans 18 des 27 pays étudiés, plus de la moitié des habitants interrogés estiment que le contexte économique sera plus difficile pour leurs enfants, que ceux-ci seront moins bien lotis que leurs parents sur le plan financier. Près de 80% des Français, 76% de Japonais et 72% des Espagnols s’inquiètent ainsi pour l’avenir de leur progéniture.  Si l’on scrute le passé, les pessimistes n’ont pas forcément tort, constatent les auteurs de l’étude. Même si dans de nombreux pays, notamment en développement, le niveau de vie des dernières générations s’est amélioré par rapport aux précédentes, une étude récente à partir de données américaines, relativise ces avancées. La part d’enfants ayant eu un meilleur niveau de vie que leurs parents est en effet passée de 90% pour les Américains nés en 1940 à 50% pour ceux nés en 1984.

Des dizaines de Perturbateurs endocriniens: dans les cheveux d’enfants

Des dizaines de Perturbateurs endocriniens: dans les cheveux d’enfants

 

Les résultats, publiés dans son magazine « 50 millions de consommateurs » en kiosques ce jeudi, montrent que des polluants ont été détectés dans les cheveux de tous les jeunes participants: 23 à 54 molécules ont été retrouvées selon les enfants (34 en moyenne). Des résultats qui « suggèrent fortement » que les petits Français sont « tous contaminés », s’alarme le magazine. L’impact des innombrables produits chimiques dans le secteur agro alimentaire est contesté par les industriels. Des industriels qui exercent une énorme pression sur Bruxelles pour obtenir une réglementation à minima de ces perturbateurs endocriniens susceptibles de dérégler le système hormonal et à l’origine de nombreuses pathologies. Du coup près de cent scientifiques européens et américains avaient dénoncé, mardi 29 novembre, les « intérêts industriels » qui « déforment délibérément des preuves scientifiques » pour empêcher la mise en place, par cette instance européenne, d’une réglementation visant à limiter l’utilisation des perturbateurs endocriniens. « Le projet d’établir une réglementation de ce type dans l’Union européenne est activement combattu par des scientifiques fortement liés à des intérêts industriels, produisant l’impression d’une absence de consensus, là où il n’y a pourtant pas de controverse scientifique », estiment les signataires d’une tribune publiée par Le Monde. Des scientifiques qui accusent les lobbys de déformer délibérément des preuves scientifiques pour créer une fausse impression de controverse – et régulièrement utilisée lorsque des découvertes scientifiques touchent « de puissants intérêts industriels », soulignent les scientifiques.  Les précédents de l’industrie du tabac, du secteur agrochimique ou du réchauffement climatique ont « retardé des actions préventives et eu de graves conséquences pour la santé des populations et l’environnement », avertissent-ils. Selon eux, « la très grande majorité des scientifiques activement engagés dans la recherche des causes [de l'augmentation des maladies en lien avec le système hormonal] s’accordent pour dire que plusieurs facteurs y contribuent, dont les produits chimiques capables d’interférer avec le système hormonal », appelés perturbateurs endocriniens. Alors que la « seule solution » pour enrayer ces effets est de « prévenir l’exposition aux produits chimiques à l’aide d’une réglementation plus efficace », les signataires se disent « préoccupés par les options réglementaires que propose Bruxelles ». La publication de cette tribune était intervenue  alors que l’Union européenne peine à se mettre d’accord sur une définition des perturbateurs endocriniens, qui doit permettre d’encadrer leur utilisation. Avec plus de deux ans de retard, la Commission a proposé, en juin, une définition qui qualifie de « perturbateur endocrinien » toute substance ayant des effets indésirables sur la santé et sur le système hormonal, et dont le lien entre les deux est prouvé. Cette proposition « requiert un niveau de preuve bien plus élevé que pour d’autres substances dangereuses, comme celles cancérigènes. Dans la pratique, il sera très difficile de reconnaître une substance dangereuse comme perturbateur endocrinien », avertit la tribune. Ses signataires appellent à la constitution d’un groupe d’experts placés sous les auspices de l’ONU, à l’instar du Giec créé pour l’étude du climat, pour « mettre la science à l’abri de l’influence des intérêts privés ». « Aux très hautes autorités d’arrêter de jouer les poules mouillées et d’imposer des règles. (…) Et rappelons que la meilleure pression vient des consommateurs, capables de refuser d’acheter des produits non vertueux », interpelle la rédactrice en chef du magazine « 50 millions de consommateurs »Sylvie Metzelard dans son éditorial, évoquant les risques de ces substances pour le développement et la fertilité.

Le Front National veut priver d’école des enfants immigrés

Le Front National veut priver d’école des enfants immigrés

Visiblement bousculé par le radicalisme des positions de François Fillon, le FN sort de son chapeau des mesures particulièrement injustes qui visent des enfants d’immigrés. . Des enfants qui seraient privés de l’école obligatoire et gratuite. Tout cela pour « sauver le système de solidarité nationale ». . Sur le plan économique les économies à attendre de cette proposition seraient très marginales. Elles seraient particulièrement anti sociales, illégales en outre au regard des textes internationaux. On peut comprendre évidemment qu’il faille mieux réguler les flux migratoires mais les enfants ne sont nullement responsables de la situation juridique de leurs parents. Encore une fois ces spropositions  sont purement démagogiques et anecdotiques. Elle confirme en tout cas le caractère relativement improvisé du programme Front National dans sur le plan économique que sur le plan sociétal. Cette attaque contre les enfants et particulièrement inadmissibles Florian Philippot a donc répondu jeudi sur BFMTV à la polémique déclenchée par les derniers propos de Marine Le Pen. La présidente du Front national et candidate à la présidentielle a déclaré devant la presse vouloir mettre fin à la gratuité de l’accès à l’école pour les enfants d’étrangers en situation irrégulière et demander une contribution pour assurer la scolarité des enfants immigrés en situation régulière dont les parents n’ont pas d’activité professionnelle. Face à Olivier Truchot ce jeudi soir, le numéro deux du FN a affirmé que Marine Le Pen souhaitait simplement « l’application de la loi ». Il a aussitôt développé son raisonnement: « Quand vous êtes en situation irrégulière vous n’avez qu’un droit: être reconduit à la frontière. Et ça tranche d’avoir quelqu’un qui dit la loi dans ces temps de laxisme généralisé. » Florian Philippot a voulu justifier cette mesure prônée par le Front national, à même selon lui de « sauver la solidarité nationale ». :

Retraites: vers la suppression de la majoration de 10% pour enfants ?

 

Vers la suppression de la majoration de 10% pour enfants ?

 

 

Il est clair que le gouvernement va taper fort sur les retraites en l’état catastrophique actuel de la situation financière des caisses. D’abord l’indexation sur le coût de la vie et mœurs et pour longtemps. On envisage aussi de supprimer ou de plafonner la majoration de 10 % accordés lorsque trois enfants ont été élevés. Pour éviter mécontentement ou en tout cas le limiter la mesure serait progressive. Dans un premier temps les retraités actuels pourraient ne pas être concernés. Mais on sait ce que signifie le terme progressif, inéluctablement à terme tous les pensionnés seraient concernés. La majoration des avantages familiaux des retraités est un sujet tellement brûlant et complexe que le gouvernement avait préféré, lors de la réforme des retraites votée fin 2013, le remettre à plus tard. C’est tout juste si, à l’époque, mission avait été donnée à Bertrand Fragonard, président du Haut conseil à la famille, de rendre un rapport sur le sujet en 2015. Ce grand spécialiste de la Sécurité sociale a présenté les grandes lignes de sa réflexion, lors d’une réunion du Conseil d’orientation des retraites  Ces pistes, même si elles ne sont pas encore finalisées, sont déjà potentiellement explosives. Si elles se transformaient en réforme concrètes, «il y aura des perdants parmi les classes supérieures», note un bon connaisseur du dossier. La première piste évoquée consisterait en effet à plafonner la majoration de pension servie aux parents à la retraite de trois enfants et qui s’élève à 10% de la pension dans le privé. Toutefois, si plafond il y a, a prévenu Bertrand Fragonard, il ne doit pas être trop bas. Il ne faudrait pas, a-t-il en effet justifié, que le gouvernement ne cède à la facilité en ponctionnant trop lourdement les ménages les plus aisés. «Le sujet est très sensible: dès qu’on touche à un paramètre, on touche à une population», approuve Serge Lavagna, «Monsieur Retraites» de la CFE-CGC, le syndicat des cadres. L’autre solution étudiée, la «forfaitisation», pénaliserait moins les grosses retraites. Il s’agirait de transformer les 10 % de majoration en un montant moyen calculé à partir des pensions des deux conjoints. Cela aurait l’avantage de corriger un dispositif strictement proportionnel qui profite jusqu’à présent davantage aux hommes, car ils gagnent en moyenne de plus grosses retraites. Paradoxal, alors que ce sont surtout les femmes qui sacrifient une partie de leur carrière, donc de leur future pension, à la maternité. S’il présente des avantages, le calcul du forfait promet cependant de devenir un véritable casse-tête pour les couples remariés. Mais le gouvernement touchera-t-il vraiment à ce sujet sensible? «Pour lancer cette réforme lourde et chargée en émotion, prévient Patrick Poizat, en charge des retraites à la CFTC, il faut être sûr de soi et solide». Prudent, Bertrand Fragonard devrait présenter à Manuel Valls et à la ministre des Affaires sociales Marisol Touraine un catalogue des scénarios possibles. Il rendra son travail mi-février.

1234



L'actu écologique |
bessay |
Mr. Sandro's Blog |
Unblog.fr | Annuaire | Signaler un abus | astucesquotidiennes
| MIEUX-ETRE
| louis crusol