Archive pour le Tag 'enfant'

Un enfant touché par balle victime de la « narcoracaille »

Un enfant touché par balle victime de la « narcoracaille »

 

Pendant  que les députés des « Insoumis » et des » écologistes » montrent une scandaleuse bienveillance vis-à-vis d’un député drogué ,  la « narcoracaille » continue d’œuvrer dans le pays. Un enfant de cinq ans circulant à bord d’une voiture conduite par son père a été grièvement blessé par balles à la tête samedi soir près de Rennes, lors d’une course-poursuite survenue quelques heures après une fusillade sur fond « narcoracaille ». 

Depuis plusieurs mois, des fusillades éclatent régulièrement dans certains quartiers de Rennes, à Maurepas dans le nord de la capitale bretonne, où sont implantés plusieurs points de deal. Deux fusillades ont ainsi eu lieu les 23 et 30 septembre à Maurepas et une autre dans le quartier de Bréquigny (sud) le 24 septembre.

Un homme avait été grièvement blessé par balle dans la nuit du 5 au 6 octobre, dans le centre-ville de Rennes. La maire de Rennes Nathalie Appéré (PS) avait alors alerté dans un communiqué sur une «guerre de territoire entre narcotrafiquants au Gros-Chêne», évoquant «une escalade de la violence particulièrement inquiétante».

 

Le réseau TikTok accusé de la mort d’un enfant de 10 ans

Le réseau TikTok accusé de la mort d’un enfant de 10 ans


Une cour d’appel américaine a relancé une action en justice intentée contre TikTok par la mère d’une fillette de 10 ans, morte asphyxiée après avoir participé à un défi sur le réseau social appelé « black out challenge », ou jeu du foulard.

Tawainna Anderson avait intenté une action en justice après que sa fille Nylah est décédée en 2021 en tentant de relever le « black out challenge ».

« La Big Tech vient de perdre sa carte de sortie de prison », a déclaré Jeffrey Goodman, l’avocat de la mère de Nylah, dans un communiqué.

Le juge Paul Matey fédéral a déclaré, dans un avis partiellement en accord avec la décision de mardi, que TikTok, dans sa « recherche de profits au-dessus de toutes les autres valeurs », pouvait choisir de proposer aux enfants des contenus mettant en avant « les goûts les plus vils » et « les vertus les plus basses »

« Mais elle ne peut prétendre à une immunité que le Congrès n’a pas prévue », a-t-il écrit.

Guerre des gangs de drogues: un enfant de 10 ans tué

Guerre des gangs de drogues: un enfant de 10 ans tué

Encore un terrible exemple de la folie meurtrière des gangs de drogue avec le règlement de comptes à Nîmes qui a entraîné la mort d’un enfant de 10 ans.

Un enfant de 10 ans est mort cette nuit à Nîmes (Gard), victime de tirs d’armes à feu lourdes. Les faits se sont produits à 23h15 ce lundi, dans le quartier Pissevin, dans le sud-ouest de la ville. La police est appelée pour plusieurs coups de feu devant un immeuble et découvre une dizaine de douilles sur place.

Un peu plus tard, un homme de 27 ans arrive en voiture à l’hôpital de Nîmes avec ses deux neveux. Lui-même est blessé: il a reçu trois balles mais son pronostic vital n’est pas engagé. En revanche, le plus jeune des enfants, âgé de 10 ans, est mort, victime d’une plaie par balles au niveau du dos.

Son oncle raconte alors qu’en rentrant du restaurant, il avait stationné son véhicule devant l’immeuble où il habite, et où se trouve également un point de deal. Il évoque ensuite des tirs et explique que, pris de panique, il a démarré sa voiture pour quitter les lieux. Ce n’est qu’en arrivant à l’hôpital qu’il s’est rendu compte que son neveu était mort.

Selon ses dires, le tireur serait reparti en voiture avec trois autres personnes. Leur voiture a été découverte dans le quartier voisin, celui de Valdegour. « Les suspects sont en fuite et doivent être interpellés rapidement », a affirmé sur BFMTV le préfet du GarD Jérôme Bonet.

Ce drame intervient alors que ce lundi déjà, un adolescent de 15 ans avait été blessé par balles dans le quartier Valdegour. L’oncle de la victime est totalement inconnu des services de police, rapportent par ailleurs plusieurs sources policières.

Déploiement de la CRS-8
Dans un tweet, Gérald Darmanin a dénoncé « ce qui semble être un règlement de comptes entre trafiquants ». « C’est un immense drame qui ne restera pas impuni. La police a déjà interpellé de nombreux trafiquants ces dernières semaines et va intensifier sa présence avec fermeté », a écrit le ministre de l’Intérieur.

« Ça va la claque?» : Un enfant à Macron

« Ça va la claque?» : Un enfant à Macron

«Ça va la claque que tu t’es prise ?», a demandé un enfant à Macon lors de sa visite dans une école. Une référence à la gifle reçue par le chef de l’État lors de son déplacement dans la Drôme mardi 8 juin.

Une question à laquelle le président de la République a répondu avec le sourire. «Ah ben oui, ça va, c’est pas agréable hein. Et c’est pas bien!», a-t-il répondu. Et d’ajouter : «C’est jamais bien de taper, même dans la cour. C’est pas bien, il a eu tort».

La Chine autorise le troisième enfant

La Chine autorise le troisième enfant

Face à une démographie vieillissante qui menace l’avenir du pays, le parti communiste a décidé d’autoriser un troisième enfant en Chine. «Un couple est autorisé à avoir trois enfants», a annoncé un communiqué de l’agence officielle Xinhua, faisant sauter la limite de deux enfants jusqu’ici imposée aux familles. Cette mesure vise à «répondre activement au vieillissement» et à maintenir «les avantages de ressources humaines de notre pays», alors que l’usine du monde est menacée à terme d’une pénurie de main-d’œuvre. Une décision solennelle réclamée de longue date par les démographes et économistes pour tenter de relancer la natalité de la seconde économie mondiale, qui vieillit plus rapidement que prévu, comme l’a confirmé le dernier recensement, dévoilé au début du mois. Le taux de natalité est tombé au plus bas depuis la fondation de la Chine communiste, en 1949.

Macron: enfant gâté », voire « immature »

Macron: enfant gâté », voire « immature »

Nathalie Segaunes   dans l’OPINION dresse le portrait de cet inconnu de 2017 élu président de la république.

« En 2017, les Français ont élu un inconnu. Après trente mois de conduite du pays, la personnalité du Président se dessine peu à peu, y compris pour ceux qui l’entourent . Deux ans et demi après son entrée à l’Elysée, Emmanuel Macron exclut de « tirer le bilan » lui-même de cette première mi-temps, mais réfléchit, selon son entourage, à une prise de parole « d’ici la fin de l’année », afin de proposer une perspective aux Français.

Qui est Emmanuel Macron ? Qu’a-t-il dans le ventre ? Qu’a-t-il en tête ? Placés sous la lumière des projecteurs à l’épreuve du pouvoir, les présidents de la Ve République se révèlent, dans tous leurs défauts et leurs qualités. Energique mais irascible, pour Nicolas Sarkozy. Résilient mais impuissant, pour François Hollande. A mi-mandat, le profil de l’actuel Président est toujours aussi insaisissable. A la fois ange et démon, charpenté et déstructuré, capable de sang-froid en pleine crise des Gilets jaunes et perdant ses nerfs lorsque sa candidate à la Commission européenne est rejetée, le chef de l’Etat français est un homme complexe, que l’exercice du pouvoir découvre peu à peu.

Arrivé à l’Elysée comme le jeune taureau déboule dans l’arène, Emmanuel Macron promettait de renverser la table en mai 2017. Les banderilles des Gilets jaunes l’ont obligé depuis à « baisser le col », comme on dit en tauromachie. « Il était sûr de lui et triomphant au début du quinquennat, il est aujourd’hui prudent et aux abois, résume l’ancien député socialiste Gilles Savary. Il n’y a plus de petites phrases malencontreuses et on observe une immense prudence sur les réformes : il laisse désormais le Premier ministre et les ministres les annoncer. On est entré dans une phase un peu normalisée ». Le philosophe Marcel Gauchet va plus loin: « Il s’est déprésidentialisé, estime-t-il. Lorsqu’il a été élu, Macron avait une ligne claire, contrairement à Hollande. Aujourd’hui, il donne l’impression de n’avoir plus du tout de projet clair, mais de courir après les évènements et d’exploiter les opportunités ».

La V République concentre entre les mains du Président l’essentiel du pouvoir. Dans sa pratique quotidienne, Emmanuel Macron a accentué encore cette caractéristique. Se mêlant de tout, voulant tout contrôler – aidé par l’affaiblissement du Parlement, la défaillance des oppositions et la médiocrité de son propre parti.

Ministres aveugles. Sa toute-puissance n’est guère rééquilibrée, loin s’en faut, par son gouvernement. D’une part, parce qu’il a choisi des personnalités sans grande envergure politique. « Certains ministres de Hollande avaient une identité politique extrêmement forte, et n’étaient pas toujours d’accord avec lui », rappelle son ancien conseiller Gaspard Gantzer. Emmanuel Macron, lui, a composé ses gouvernements avec un évident souci de ne pas être challengé.

D’autre part, en limitant à 10 le nombre de collaborateurs dans les cabinets ministériels, ce qui s’est fait le plus souvent au détriment des conseillers budgétaires, « il a rendu ses ministres aveugles », souligne son biographe Marc Endeweld dans Le grand manipulateur (Stock, 2019). Et centralisé encore davantage le véritable pouvoir à l’Elysée et Matignon, où sont rendus les arbitrages.

Des ministres qui ne mouftent d’ailleurs pas sous Emmanuel Macron, comme s’ils redoutaient la foudre présidentielle. Exigeant et sans affect, le Président peut être sévère avec ses ministres ou ses conseillers. « Il respecte les ministres qui ont été élus, note l’un de ses proches. Pour les autres en revanche, ceux qui lui doivent tout, il peut avoir le plus grand mépris ».

« Avec lui, soit vous êtes loin, soit vous êtes soumis », résume un ancien ministre de François Hollande, qui s’est beaucoup demandé, avant la présidentielle de 2017, pourquoi il ne rejoignait pas Emmanuel Macron. « Il n’y aura jamais de large alliance autour de lui, car cela supposerait de vraies capacités de débat et de collectif, dont Macron n’est pas doté. Pour vous séduire, il peut parfaitement entendre des choses qui ne vont pas dans son sens. Mais il ne supporte pas qu’on lui résiste, qu’on émette une contradiction qui limite son expansion ».

Le prix de la liberté. Jean-Marc Borello, président-fondateur du groupe SOS, membre du bureau exécutif de La République en marche, est un visiteur régulier d’Emmanuel Macron, et lui dispense ses conseils. Lui n’est pas « soumis », et n’hésite pas à contredire son ancien élève à Sciences Po, ni à se moquer. « Mais il ne me paie pas, et je ne lui demande rien », précise-t-il. La liberté a un prix avec Emmanuel Macron.

« Intelligent », « rapide », « tactique à l’extrême », selon son ancien condisciple de l’ENA Gaspard Gantzer, Emmanuel Macron aurait ce côté« enfant gâté », voire « immature » que certains déplorent parfois, sous le couvert de l’anonymat, dans son entourage. Comme lorsqu’il accorde un entretien à l’hebdomadaire Valeurs actuelles sans en parler à ses principaux conseillers, dont il sait qu’ils désapprouveront l’initiative… Un entretien qui n’a pas été relu par les conseillers techniques de l’Elysée, afin d’en préserver la confidentialité, et donc parsemé d’erreurs de fond.

Premier président français à accorder un entretien à ce journal de la droite ultra-conservatrice, Emmanuel Macron a brisé les codes. Gaspard Gantzer voit dans cette initiative un « péché d’orgueil » : « Il a fait comme Hollande quand il se confiait à Davet et Lhomme. C’est une façon de dire : c’est moi qui sais, je suis le chef et je fais ce que je veux ».

Pour Marcel Gauchet, en cette mi-mandat, l’amateurisme apparaît cependant comme le « péché mortel » du macronisme : « Macron a de grandes idées, mais il lui manque le personnel compétent, et surtout la connaissance intime du pays. Il n’a pas trouvé le lien avec le pays, il est abstrait, hors sol ». La réforme des retraites est l’ultime ligne réformatrice du Président, alors que se profile, à l’horizon 2022, un nouveau duel Macron-Le Pen.

La régularisation pour le jeune immigré qui a sauvé un enfant ?

La régularisation pour le jeune immigré qui  a sauvé un enfant ?

Non seulement le jeune sans papier, Mamoudou Gassam,a qui a escaladé 4 étages pour sauver un enfant mérité d’être régularisé mais il mérite aussi d’être honoré par le pays tout entier pour son courage exceptionnel. On distribue des légions d’honneur pour beaucoup moins que cela par exemple au aux showbiz par ou encore à des chefs d’Etat étrangers corrompus voire sanguinaires.  Dans une vidéo relayée samedi soir sur les réseaux sociaux, on pouvait voir un homme escalader avec une grande agilité la façade du bâtiment de balcon en balcon, jusqu’à parvenir à côté de l’enfant, grimper sur la balustrade et le faire basculer à l’intérieur. Les témoins de la scène n’ont pas hésité à qualifier le grimpeur de héros. Une pétition en ligne sur chang.org a été lancée pour faciliter sa régularisation.  Un autre jeune Malien, Lassana Bathily s’était illustré en janvier 2015. Le jeune homme depuis naturalisé français avait sauvé des otages de l’Hyper Cacher en les cachant dans la chambre froide de la supérette de la Porte de Vincennes. 

Pauvreté : un enfant sur 5 en France

Pauvreté : un enfant sur 5 en France

 

Dans un rapport publié ce mardi, l’Unicef dénonce les conditions de vie de plus de trois millions d’enfants en France. Selon le Fonds des Nations unies, un enfant sur cinq vit sous le seuil de pauvreté.  Plus de trois millions d’enfants, soit un sur cinq, vivent sous le seuil de pauvreté en France, 30.000 sont sans domicile, 9.000 habitent des bidonvilles et 140.000 décrochent de l’école chaque année. Dans un rapport publié ce mardi, l’Unicef fustige les conditions de vie des enfants de moins de 18 ans dans notre pays.  De 2008 à 2012, 440.000 enfants supplémentaires ont ainsi plongé avec leurs familles dans la pauvreté, avec une prise en compte de l’impact de la crise « dramatiquement insuffisante », selon cette analyse de l’Unicef France, intitulée « Chaque enfant compte. Partout, tout le temps » et remise aux experts du Comité des droits de l’enfant, instance de l’ONU. Beaucoup d’entre eux « cumulent les inégalités aux conséquences désastreuses pour leur avenir et celui de la société ». Michèle Barzach, présidente de l’Unicef France, le reconnaît : « Notre rapport est un cri d’alarme qui doit pousser les autorités à agir d’urgence et de manière plus efficiente pour chaque enfant« . L’Unicef France, qui vient d’être auditionné par le Comité des droits de l’enfant, met en lumière les zones d’ombre de l’application de la Convention internationale des droits de l’enfant (CIDE) en France, interpelle le gouvernement sur les progrès à réaliser et émet 36 recommandations concrètes.   »En dépit d’efforts considérables (…), la France échoue en partie à l’égard de l’enfance et de la jeunesse et ce sont les plus fragilisés par la pauvreté, l’exclusion sociale, les discriminations, mais aussi par cette période si particulière qu’est l’adolescence, qui en payent le plus lourd tribut », poursuit Michèle Barzach dans ce rapport.

l’Etat islamique annonce l’exécution, par un enfant, d’un Arabe israélien

Terrorisme-l’horreuer médiatisée

l’Etat islamique  annonce l’exécution, par un enfant, d’un Arabe israélien

Toujours plus haut dans l’horreur  et  toujours plus ignoble avec cette annonce par l’Etat islamique de l’exécution par un jeune garçon d’un Arabe israélien accusé d’espionner pour le Mossad, les services secrets israéliens (on se souvent qu’à plusieurs reprise Boko Haram maintenant affilié à l’Etat islamique a fait exploser des fillettes dans des marchés).  Et dans laquelle un djihadiste menace en français de s’en prendre à Israël.  Cette vidéo dure 13 minutes. On y voit d’abord Muhammad Said Ismail Musallam, vêtu d’une combinaison orange, expliquer comment il serait devenu un espion pour le compte du Mossad. Cet Arabe israélien de Jérusalem devait, dit-il, ramener des informations sur des caches d’armes de l’Etat Islamique, mille euros par information. Puis il est amené dans un champ. C’est là qu’un djihadiste prononce un dernier message, en français. Il menace de s’emparer de Jérusalem. A côté du djihadiste, un enfant porte un treillis et un pistolet. C’est lui le bourreau. Il exécute l’Arabe israélien d’une balle en plein front. Les services secrets israéliens démentent que Muhammad Said Ismail Musallam ait été un espion. Tout comme son père :  « Des gens nous appellent, nous disent que l’État islamique a diffusé une vidéo dans laquelle Mohammed dit qu’il travaille pour le Shin Bet. Ce n’est pas vrai; mon fils ne travaille pas pour le Shin Bet. L’EI dit cela pour  terroriser le monde. » Comme ce jeune homme de 19 ans, plusieurs Arabes israéliens sont partis faire le djihad en Syrie, via la Turquie. Il y a deux mois, le Shin Beth dit avoir démantelé une cellule de l’Etat Islamique en Israël.

 




L'actu écologique |
bessay |
Mr. Sandro's Blog |
Unblog.fr | Annuaire | Signaler un abus | astucesquotidiennes
| MIEUX-ETRE
| louis crusol