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Sport Foot- Départ de Mbappé : un championnat de France encore davantage insipide ?

Sport  Foot- Départ de  Mbappé : un championnat de France encore davantage insipide ?

 Kylian Mbappé a officialisé, vendredi 10 mai, son départ du Paris Saint-Germain à la fin de la saison. Il disputera son dernier match au Parc des Princes dimanche, contre Toulouse.  La question de l’avenir du Paris-Saint-Germain , aussi  championnat de France pourrait se poser. En effet Mbappé -même de façon parfois irrégulière-  a largement illuminé le club parisien et le foot français pendant sept ans et d’une certaine manière contribué à l’intérêt du football professionnel en France. Un championnat pourtant bien insipide et qui pourrait le devenir encore davantage après ce départ. La sanction de ce faible niveau pourrait intervenir rapidement lors des compétitions européennes avec des éliminations encore plus rapides des clubs français y compris pour le PSG.

« C’est beaucoup d’émotions, a déclaré l’attaquant parisien dans une vidéo de quatre minutes. J’ai eu la chance et l’immense honneur de faire partie du plus grand club de France, l’un des meilleurs du monde, qui m’a permis de grandir comme joueur et en tant qu’homme ».

 

Kylian Mbappé a également fait une sorte de mea culpa, admettant qu’il n’était pas le joueur « le plus démonstratif » et qu’il n’avait pas toujours été « à la hauteur de l’amour » donné par les supporters du PSG. Sept années avec « des hauts et des bas », mais un constat : « Je ne regrette pas d’avoir signé dans ce club prestigieux. »

Concernant son avenir, il n’a donné qu’un maigre indice en glissant : « Je ne pensais pas que ce serait aussi dur de quitter mon pays. » Mais il n’a pas révélé le nom de son futur club. Kylian Mbappé est annoncé avec insistance, depuis des mois, au Real Madrid.

Foot- Départ de Mbappé : un championnat de France encore davantage insipide ?

Foot- Départ de  Mbappé : un championnat de France encore davantage insipide ?

 Kylian Mbappé a officialisé, vendredi 10 mai, son départ du Paris Saint-Germain à la fin de la saison. Il disputera son dernier match au Parc des Princes dimanche, contre Toulouse.  La question de l’avenir du Paris-Saint-Germain , aussi  championnat de France pourrait se poser. En effet Mbappé -même de façon parfois irrégulière-  a largement illuminé le club parisien et le foot français pendant sept ans et d’une certaine manière contribué à l’intérêt du football professionnel en France. Un championnat pourtant bien insipide et qui pourrait le devenir encore davantage après ce départ. La sanction de ce faible niveau pourrait intervenir rapidement lors des compétitions européennes avec des éliminations encore plus rapides des clubs français y compris pour le PSG.

« C’est beaucoup d’émotions, a déclaré l’attaquant parisien dans une vidéo de quatre minutes. J’ai eu la chance et l’immense honneur de faire partie du plus grand club de France, l’un des meilleurs du monde, qui m’a permis de grandir comme joueur et en tant qu’homme ».

 

Kylian Mbappé a également fait une sorte de mea culpa, admettant qu’il n’était pas le joueur « le plus démonstratif » et qu’il n’avait pas toujours été « à la hauteur de l’amour » donné par les supporters du PSG. Sept années avec « des hauts et des bas », mais un constat : « Je ne regrette pas d’avoir signé dans ce club prestigieux. »

Concernant son avenir, il n’a donné qu’un maigre indice en glissant : « Je ne pensais pas que ce serait aussi dur de quitter mon pays. » Mais il n’a pas révélé le nom de son futur club. Kylian Mbappé est annoncé avec insistance, depuis des mois, au Real Madrid.

Existe-t-il encore des perspectives d’union de la gauche après les européennes ?

Existe-t-il encore des perspectives d’union de la gauche après les européennes ?

Alors que les sondages placent la liste de Raphaël Glucksmann en tête à gauche, la campagne pour les élections européennes voit se multiplier les invectives entre les anciens partenaires de la Nupes. L’alliance des partis de gauche semble avoir fini d’imploser à l’automne 2023. Face au refus de La France Insoumise (LFI) de qualifier les attaques du Hamas du 7 octobre de « terroristes », les communistes ont décidé que l’alliance avec cette formation constituait une « impasse », avant que le Parti socialiste (PS) ne vote un « moratoire » décrit par Jean-Luc Mélenchon comme « une rupture ». Refusant tour à tour l’union avec LFI, les différentes forces de gauche ont évité de porter seules les stigmates de la rupture, tout en en renvoyant la responsabilité aux choix stratégiques insoumis. Certes, cette rupture n’a pas mis un terme à toutes les tentatives d’union. Pour autant, ainsi qu’en attestent les derniers contacts de LFI avec Génération•s d’une part, et avec le Nouveau parti anticapitaliste (NPA) de l’autre, les plus petites perspectives d’union échouent face aux faibles ambitions rassembleuses des différentes forces de gauche.

 

par 

Pierre-Nicolas Baudot, Université Paris-Panthéon-Assas dans The Conversation 

Parties divisées pour les élections européennes de juin 2024, les formations de gauche françaises exposent en traits grossis leurs différends idéologiques et stratégiques durant la campagne. En jeu, le rapport de force entre elles sur le terrain national.

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Mise en suspens par le scrutin proportionnel européen, la question de l’union à gauche ne manquera pas d’être à nouveau posée par la perspective des scrutins nationaux – celui de 2027 en tête.
La campagne pour les élections européennes a rappelé une série de divergences. Les questions internationales y occupent une place centrale. Alors que LFI s’oppose à l’entrée de l’Ukraine dans l’Union européenne, écologistes et socialistes la défendent. De la même façon, le rapport à l’Europe néolibérale continue de dessiner les oppositions.

Cependant, la campagne tend également à maximiser les différends, sinon à les exagérer, et à multiplier les invectives réciproques, entre dirigeants comme entre militants. Au-delà des désaccords idéologiques, ces oppositions révèlent des divergences stratégiques fortes.

Les communistes ont, les premiers, annoncé mener campagne seuls. Les écologistes, placés troisièmes lors des élections européennes de 2019 (13,48 %), devant LFI (6,31 %) et le PS–Place publique (6,19 %), les ont rapidement suivis. Comme en 2019, les socialistes ont misé sur Raphaël Glucksmann, un candidat projetant la perspective d’un espace entre un macronisme ne cessant de se déporter sur sa droite et la gauche insoumise à laquelle il s’oppose. Ces listes ont en commun de critiquer la stratégie insoumise et d’espérer une redistribution du rapport de force national à gauche.

Au soir de l’élection présidentielle de 2022, celui-ci s’était établi très en faveur de LFI et ses 21,95 %. Cependant, comme l’a récemment fait remarquer l’économiste Stefano Palombarini, cette hypothèse a ses limites, notamment dans le cas socialiste. La campagne menée par Raphaël Glucksmann plaide pour l’impossibilité durable d’une alliance avec LFI et le bien-fondé d’une option « réformiste » face à la gauche de rupture. Les vétérans du hollandisme, et François Hollande lui-même, n’ont pas manqué l’occasion d’y voir la perspective d’un retour en grâce. Glucksmann a même tenté – sans succès – d’enrôler François Ruffin (député LFI) dans cette direction, en misant sur les critiques émises par ce dernier sur la stratégie du mentor insoumis.

La mise en exergue des différends politiques et stratégiques éloigne les perspectives d’une nouvelle alliance à gauche, autant qu’elle brouille par avance la lisibilité d’une telle offre aux yeux de l’électorat. Pour autant, passée la proportionnelle intégrale des élections européennes, les scrutins nationaux ne manqueront pas d’interroger de nouveau la capacité des forces de gauche à s’entendre. Les éléments pour l’appuyer ne manquent pas. Ainsi, une note de la fondation Rosa Luxemburg publiée en 2023 relevait une forme de convergence des positions européennes à gauche contre la politique néolibérale de l’Union et pour sa réorientation écologique et sociale.

Sans occulter l’importance des désaccords, certains combats communs à l’Assemblée nationale, comme récemment au sujet d’un prix plancher pour les agriculteurs, plaident dans le même sens. L’attitude de la Nupes face à la réforme des retraites ou « la loi immigration » font de même.

 

Surtout, la perspective historique rappelle que les divisions à gauche ne sont ni nouvelles, ni irrémédiables. Mais elle souligne aussi que si l’union à gauche est si débattue, c’est – au moins en partie – parce que les partis eux-mêmes n’en finissent plus d’apparaître comme des organisations déclinantes. En janvier 2024, d’après le baromètre du CEVIPOF, ils représentaient même, pour 77 % des interrogés, l’institution la moins fiable, avec les réseaux sociaux.

L’émergence de nouvelles organisations – comme LFI – s’est faite dans la revendication d’un dépassement des formes traditionnelles des partis. Elle n’a cependant pas réussi, pour l’heure, à renouveler le genre. Certes les autres tendances politiques n’y échappent pas, et à l’exception du RN il paraît bien difficile de dire quel sera l’état des diverses écuries en 2027. Cependant, à droite, elles s’accommodent visiblement mieux du fond de l’air populiste, de l’hégémonie néolibérale et de positions de rejets.

C’est donc bien à une question organisationnelle que la gauche doit faire face d’ici à l’élection présidentielle de 2027. Elle paraît trop faible pour entrevoir une inversion du rapport de force politique sans s’entendre et développer des stratégies pour accroître son audience (à destination des classes populaires, des zones rurales, des abstentionnistes…).

La Nupes a atteint son objectif en maximisant le nombre de députés de gauche et en permettant aux différentes forces d’obtenir un groupe à l’Assemblée nationale. Cependant, elle n’a pas posé la question d’une nouvelle forme d’organisation collective à gauche. À l’inverse, en maintenant les groupes parlementaires, elle a prolongé les logiques partisanes et les mécanismes de différenciation qui en découlent.

C’est moins le risque d’une divergence idéologique qui se pose à la gauche, que celui de l’impossibilité du débat. Dans la perspective de l’élection de 2027, ce n’est donc pas la question de l’état de la Nupes qui apparaît, mais celle des formes d’une alliance à gauche qui assurent les délibérations collectives et la consécration militante que n’avait pas permis l’urgence de l’accord en 2022. Au prix d’une refonte organisationnelle réelle, la gauche peut tenter d’éviter la disjonction qui éloigne la diversité du mouvement social de l’espace électoral.

Comme l’a récemment souligné le philosophe Jean Quétier, l’analyse historique des partis permet de rappeler leur potentiel démocratique et émancipateur. Cependant, elle conduit également à constater, en pratique, la déception de ces perspectives. En se rapprochant de cet idéal démocratique et émancipateur, une forme organisationnelle nouvelle pourrait espérer relayer l’animation sociale et intellectuelle, et non s’y imposer verticalement. La gauche partisane pourrait alors s’attendre à apparaître à nouveau comme un espace à investir, et non comme un repoussoir.

Elle doit pour cela engager les chantiers d’une unité qui n’écrase pas le pluralisme, en pensant son rapport à la personnalisation dans un régime présidentialisé, à l’atomisation néolibérale, aux évolutions du militantisme, à la verticalité de son organisation ou encore à son implantation territoriale.

D’ici à 2027, la gauche fait donc bien face à un double enjeu collectif : collectif dans l’imaginaire qu’elle projette, mais également collectif dans la pratique. En ce sens, la question démocratique et le lien de la gauche à la société n’apparaissent pas que comme des enjeux formels mais bien, dans une perspective gramscienne, comme les fondements d’une transformation politique profonde.

Justice -Samara Montpellier :Encore des mesures disciplinaires symboliques ?

Justice  -Samara Montpellier :Encore des mesures disciplinaires symboliques

Après la tentative deux meurtres sur la jeune élève de 13 ans à Montpellier, il ne faut guère s’attendre à des mesures disciplinaires très significatives. Les responsables de cette tentative de meurtre qui ont agi au nom de l’intégrisme musulman se verront sans doute sous le coup de mesures symboliques. Tout simplement parce que le dispositif juridique est complètement inadapté pour les mineurs et que de toute façon la justice est systématiquement complaisante en plus d’être encombrée.

Pour cette tentative de meurtre pour des motifs religieux il n’y a pourtant que la prison qui peut constituer une sanction à la hauteur de l’enjeu.

Samara, une adolescente de 13 ans frappée début avril devant son collège de Montpellier, va reprendre les cours à distance et les élèves mis en cause dans son agression vont eux passer devant un conseil disciplinaire, a indiqué dimanche le rectorat de cette académie.

 Afin «de faire toute la lumière sur les faits»l’enquête administrative lancée par la ministre de l’Éducation Nicole Belloubet, qui avait déjà été prolongée d’une semaine mi-avril, va, elle, se poursuivre, tout comme l’enquête judiciaire menée sous l’autorité du parquet, selon la même source.

La cellule d’écoute qui avait été mise en place le lendemain de l’agression, survenue le 2 avril, afin de recueillir la parole des élèves mais aussi des personnels va rester active «au moins la première semaine de la reprise des cours». Il en est de même pour les équipes mobiles académiques de sécurité (EMAS) qui resteront mobilisées au moins la première semaine de la reprise dans ce collège.

 

Sondage Européennes : La liste de Macron chute encore

Sondage Européennes : La liste de macron chute  encore

 Valérie Hayer. La présidente du groupe Renew ne sort en effet pas de sa mauvaise passe sondagière. Selon la dernière vague du «rolling» Ifop-Fiducial pour Le Figaro, LCI, et Sud Radio, publiée lundi, la Mayennaise chute encore à 17% (-0,5) d’intentions de vote. Depuis le lancement de ces études glissantes, elle n’a pas repris la main. Et a même perdu deux points en l’espace de deux semaines. Très loin de Jordan Bardella, qui crante dans les esprits sa position d’ultra-favori à 31,5% (=), Valérie Hayer voit le danger venir d’en-dessous. Du troisième homme.Si Raphaël Glucksmann n’est pas revenu à son record de 12,5% des votants, il s’en rapproche de nouveau avec 12% (+0,5). Une petite poussée qui réduit, comme jamais auparavant, son écart avec la macroniste.

Montpellier -Samara :Encore des mesures disciplinaires symboliques ?

Montpellier -Samara :Encore des mesures disciplinaires symboliques

Après la tentative deux meurtres sur la jeune élève de 13 ans à Montpellier, il ne faut guère s’attendre à des mesures disciplinaires très significatives. Les responsables de cette tentative de meurtre qui ont agi au nom de l’intégrisme musulman se verront sans doute sous le coup de mesures symboliques. Tout simplement parce que le dispositif juridique est complètement inadapté pour les mineurs et que de toute façon la justice est systématiquement complaisante en plus d’être encombrée.

Pour cette tentative de meurtre pour des motifs religieux il n’y a pourtant que la prison qui peut constituer une sanction à la hauteur de l’enjeu.

Samara, une adolescente de 13 ans frappée début avril devant son collège de Montpellier, va reprendre les cours à distance et les élèves mis en cause dans son agression vont eux passer devant un conseil disciplinaire, a indiqué dimanche le rectorat de cette académie.

 Afin «de faire toute la lumière sur les faits»l’enquête administrative lancée par la ministre de l’Éducation Nicole Belloubet, qui avait déjà été prolongée d’une semaine mi-avril, va, elle, se poursuivre, tout comme l’enquête judiciaire menée sous l’autorité du parquet, selon la même source.

La cellule d’écoute qui avait été mise en place le lendemain de l’agression, survenue le 2 avril, afin de recueillir la parole des élèves mais aussi des personnels va rester active «au moins la première semaine de la reprise des cours». Il en est de même pour les équipes mobiles académiques de sécurité (EMAS) qui resteront mobilisées au moins la première semaine de la reprise dans ce collège.

 

Encore deux enfants blessés au couteau par un marginal

Encore deux enfants blessés au couteau par un marginal

 

Nouvelle attaque au couteau en France. Deux fillettes de 6  et 11 ans ont été légèrement blessées jeudi lors d’une attaque au couteau menée à proximité de leur école à Souffelweyersheim (Bas-Rhin). L’assaillant a été placé en garde à vue après qu’il se soit rebellé lors de son interpellation, indique le parquet de Strasbourg.

Selon la gendarmerie, la fillette de 11 ans a été blessée au couteau devant l’école, l’autre a été poignardée dans un square à proximité, dans ce village en banlieue de Strasbourg. Présentant des «blessures superficielles», elles ont été hospitalisées en urgence pédiatrique. Les deux victimes sont sorties de l’hôpital en début de soirée, précise le parquet.

Ce dernier, né le 17 avril 1994 à Strasbourg, a été interpellé peu après 14h15 dans le square, selon la gendarmerie. Il n’est «pas connu des services», et ses motivations «ne semblent pas en lien avec une radicalisation». Une enquête judiciaire a été ouverte pour «tentatives d’homicides volontaires sur mineures de 15 ans et rébellion».

«Il souffre de problèmes psychiatriques, avec déjà trois séjours effectués dans des structures adaptées, et était suivi», selon une source policière. «Il est en rupture de traitement depuis novembre 2023 et avait tenté de se suicider en 2022. Il avait disparu hier soir dans un état suicidaire».

Economie-BCE: Baisse des taux encore reportée

Economie-BCE:  Baisse des taux encore reportée
La  banque centrale européenne a maintenu sa politique restrictive et n’a donc pas procédé à une révision en baisse des taux. Une baisse qui serait reportée peut-être en juin de réserve d’évolution de la situation économique et géopolitique. Rappelons que la Fed a décidé quant à elle de reporter à plus tard la baisse de ses taux et peut-être même à la fin de l’année. Un élément dont  forcément devra tenir compte la banque centrale européenne.

.Pour rappel, après les avoir fait grimper à un niveau record – le principal d’entre eux, sur les dépôts, a atteint son plus haut historique, à 4% -, elle a opté pour le statu quo depuis octobre dernier. Ainsi, le taux de dépôt reste à 4% tandis que le taux de refinancement et le taux de facilité de prêt marginal se situent respectivement à 4,50% et 4,75%. Une stratégie de durcissement des conditions monétaires ayant pour but de faire repasser l’inflation en zone euro sous les 2%, après les chiffres record, à plus de 10%, atteints à l’automne 2022.

La présidente de la BCE, Christine Lagarde a donc réaffirmé, ce jeudi « que les taux directeurs de la BCE se situent à des niveaux qui contribuent de manière substantielle au processus de désinflation en cours ». L’institution gardienne de l’euro ne souhaite donc pas, à ce stade, précipiter une détente de ses taux. De fait, si l’inflation a diminué à 2,4% en mars dans la zone euro, elle reste loin de l’objectif de la BCE.

Elle a même évoqué le mois de juin, expliquant « que nous aurons plus d’informations », à ce moment là, confirmant le pari de nombreux analystes sur une première baisse en juin. Et pour cause, « l’inflation a continué de baisser, tirée par la baisse des prix des produits alimentaires et des biens », a notamment reconnu l’institution dans son communiqué.

Début mars, l’institution de Francfort a annoncé tabler sur une hausse des prix de 2,3% en 2024, contre 2,7% anticipé auparavant, puis de 2,0% en 2025. La croissance du PIB (produit intérieur brut), elle, devrait, selon la banque centrale, atteindre 0,6% en 2024, contre 0,8% prévu en décembre. A titre de comparaison, la croissance américaine devrait se maintenir à 2,1% en 2024 selon la Réserve fédérale américaine. « L’économie demeure fragile », a notamment noté Christine Lagarde, ce jeudi.

À noter cependant que tous les experts européens ne sont pas forcément d’accord pour un desserrement en juin de la politique restrictive de la BCE.

 

BCE: Baisse des taux encore reportée

BCE:  Baisse des taux encore reportée
La  banque centrale européenne a maintenu sa politique restrictive et n’a donc pas procédé à une révision en baisse des taux. Une baisse qui serait reportée peut-être en juin de réserve d’évolution de la situation économique et géopolitique. Rappelons que la Fed a décidé quant à elle de reporter à plus tard la baisse de ses taux et peut-être même à la fin de l’année. Un élément dont  forcément devra tenir compte la banque centrale européenne.

.Pour rappel, après les avoir fait grimper à un niveau record – le principal d’entre eux, sur les dépôts, a atteint son plus haut historique, à 4% -, elle a opté pour le statu quo depuis octobre dernier. Ainsi, le taux de dépôt reste à 4% tandis que le taux de refinancement et le taux de facilité de prêt marginal se situent respectivement à 4,50% et 4,75%. Une stratégie de durcissement des conditions monétaires ayant pour but de faire repasser l’inflation en zone euro sous les 2%, après les chiffres record, à plus de 10%, atteints à l’automne 2022.

La présidente de la BCE, Christine Lagarde a donc réaffirmé, ce jeudi « que les taux directeurs de la BCE se situent à des niveaux qui contribuent de manière substantielle au processus de désinflation en cours ». L’institution gardienne de l’euro ne souhaite donc pas, à ce stade, précipiter une détente de ses taux. De fait, si l’inflation a diminué à 2,4% en mars dans la zone euro, elle reste loin de l’objectif de la BCE.

Elle a même évoqué le mois de juin, expliquant « que nous aurons plus d’informations », à ce moment là, confirmant le pari de nombreux analystes sur une première baisse en juin. Et pour cause, « l’inflation a continué de baisser, tirée par la baisse des prix des produits alimentaires et des biens », a notamment reconnu l’institution dans son communiqué.

Début mars, l’institution de Francfort a annoncé tabler sur une hausse des prix de 2,3% en 2024, contre 2,7% anticipé auparavant, puis de 2,0% en 2025. La croissance du PIB (produit intérieur brut), elle, devrait, selon la banque centrale, atteindre 0,6% en 2024, contre 0,8% prévu en décembre. A titre de comparaison, la croissance américaine devrait se maintenir à 2,1% en 2024 selon la Réserve fédérale américaine. « L’économie demeure fragile », a notamment noté Christine Lagarde, ce jeudi.

À noter cependant que tous les experts européens ne sont pas forcément d’accord pour un desserrement en juin de la politique restrictive de la BCE.

 

États-Unis : l’inflation encore en hausse en mars à 3,5%

États-Unis : l’inflation encore en hausse en mars à 3,5%

Le dynamisme surprenant de l’économie américaine alimente évidemment l’inflation. La croissance devrait se situer entre 2 et 2.5% % en 2024 bien au-dessus par exemple de l’activité européenne inférieure à 1 %. Du coup la banque centrale américaine s’interroge à propos de l’échéance d’une baisse des taux. Une échéance qui pourrait être reportée vers la fin de l’année.
L’inflation est une fois de plus repartie à la hausse au mois de mars aux États-Unis, à 3,5% sur un an, contre 3,2% en février, selon l’indice CPI. 

Les États-Unis n’en ont pas fini avec l’inflation. La hausse des prix à la consommation a de nouveau accéléré en mars, atteignant 3,5%, contre 3,2% un mois plus tôt, selon l’indice CPI publié ce mercredi par le département du Travail. Les analystes s’attendaient à une hausse moins marquée. Les marchés ont réagi négativement à l’ouverture de Wall Street, les trois indice reculant dans les premiers échanges, entre 0,94% (Dow Jones) et 1,22% (Nasdaq).

 

Croissance : l’Italie baisse encore ses prévisions

Croissance : l’Italie baisse encore ses prévisions

Comme l’Allemagne, comme la France, l’Italie est contrainte de revoir encore ses prévisions à la baisse. L’Italie subit évidemment la détérioration de la conjoncture économique en Europe et au-delà au plan mondial. Elle ramène sa prévision de croissance à 1 %, ce qui paraît encore optimiste.

L’Italie espère désormais seulement une hausse du produit intérieur brut (PIB) de 1% cette année et de 1,2% en 2025, contre respectivement 1,2% et 1,4% précédemment.

Ces prévisions, jugées ambitieuses par les analystes, sont supérieures à celles de la Banque d’Italie, qui mise sur seulement 0,6% de croissance en 2024 et 1,1% en 2025. La Commission européenne et le Fonds monétaire international (FMI) prévoient, eux, 0,7%. Pour rappel, en 2023, le pays a enregistré une hausse de son PIB de 0,9%.

 

De son côté, la Commission de Bruxelles a revu ses prévisions de croissance à la baisse, jeudi 15 février, tout en jugeant plus élevés les risques qui pèsent sur son scénario. En 2024, le produit intérieur brut (PIB) devrait augmenter de 1,3 % au sein de l’Union européenne (UE) et de 0,8 % dans la zone euro, après avoir, dans les deux cas, progressé de 0,5 % en 2023. S’il a échappé de peu à une récession au second semestre 2023, le Vieux Continent peine à renouer avec une économie florissante.

 

Encore une adolescente agressée par des élèves pour raison religieuse

 Encore une adolescente agressée par des élèves  pour raison religieuse

Nouvelle affaire de violence sur fond religieux. Une adolescente de 13 ans a été agressée lundi pour ne pas avoir respecté le jeûne du ramadan, à Achenheim (Bas-Rhin), a appris Le Figaro ce mardi 9 avril de source policière, confirmant une information du Journal du Dimanche .

La jeune femme, qui voyageait dans un bus en direction de son collège, a d’abord été approchée par plusieurs élèves de son établissement scolaire, lui reprochant de ne pas respecter le jeûne imposé par le ramadan. Elle a ensuite été frappée par quatre mineurs, a-t-on appris. Après l’agression, les quatre suspects ont pris la fuite.

 

Gaza: 56% des Français soutiennent encore Israël

Gaza:  56% des Français soutiennent encore Israël 

 Selon l’enquête réalisée par l’Ifop pour le Conseil représentatif des institutions juives de France (Crif), que La Tribune Dimanche publie en exclusivité, 56% des Français considèrent que l’objectif du gouvernement israélien d’éliminer le Hamas de Gaza est justifié. Un but compris par toutes les catégories de la population.

 

Certes, l’institut de sondage enregistre un effritement depuis octobre, lorsque 65% des personnes interrogées partageaient cet avis, une vingtaine de jours après le massacre. L’érosion peut s’expliquer par la distance géographique, l’intensification des frappes à Gaza et la mort de civils, ainsi que la virulence des débats publics. Mais l’opinion ne s’est pas retournée. Elle estime à seulement 12% que la responsabilité des drames actuels dans la bande de terre palestinienne incombe à l’État hébreu uniquement, contre 29% à l’organisation islamiste et 59% aux deux belligérants.

 

« Les Français restent très marqués par le 7 octobre, ils considèrent que ce sont des actes terroristes. Seule une minorité, notamment parmi les sympathisants LFI ou les moins de 25 ans, voient des actes de résistance. Cette journée fait écho aux attentats de 2015 en France. Les meurtres perpétrés à la rave party évoquent un Bataclan à ciel ouvert, c’est un trauma réactivé. Pour les gens, le Hamas, c’est Daech », analyse Frédéric Dabi, directeur à l’Ifop.

Signe de cette empathie, les Français sont très nombreux (71%) à redouter que notre pays soit la cible d’attaques similaires. Et deux personnes sur trois estiment que la libération des otages doit être un préalable à tout cessez-le-feu. Sur ce dernier point, 44% observent, au passage, que le sort des trois Français toujours détenus par les terroristes occupe moins le discours public que celui d’autres otages par le passé. Parallèlement, la part de l’opinion défavorable aux manifestations de soutien pro-palestiniennes atteint son plus haut niveau (73%). Un désaccord au motif que « des propos antirépublicains ou même antisémites ont été proférés lors de certains de ces rassemblements ».

L’enquête a été menée auprès d’un échantillon de 1 207 personnes, représentatif de la population française âgée de 18 ans et plus. La représentativité de l’échantillon a été assurée par la méthode des quotas (sexe, âge, profession de la personne interrogée) après stratification par région et catégorie d’agglomération. Les interviews ont été réalisées par questionnaire auto-administré en ligne du 2 au 3 avril 2024.

Gaza-Sondage: 56% des Français soutiennent encore Israël

Gaza-Sondage:  56% des Français soutiennent encore Israël 

 Selon l’enquête réalisée par l’Ifop pour le Conseil représentatif des institutions juives de France (Crif), que La Tribune Dimanche publie en exclusivité, 56% des Français considèrent que l’objectif du gouvernement israélien d’éliminer le Hamas de Gaza est justifié. Un but compris par toutes les catégories de la population.

 

Certes, l’institut de sondage enregistre un effritement depuis octobre, lorsque 65% des personnes interrogées partageaient cet avis, une vingtaine de jours après le massacre. L’érosion peut s’expliquer par la distance géographique, l’intensification des frappes à Gaza et la mort de civils, ainsi que la virulence des débats publics. Mais l’opinion ne s’est pas retournée. Elle estime à seulement 12% que la responsabilité des drames actuels dans la bande de terre palestinienne incombe à l’État hébreu uniquement, contre 29% à l’organisation islamiste et 59% aux deux belligérants.

 

« Les Français restent très marqués par le 7 octobre, ils considèrent que ce sont des actes terroristes. Seule une minorité, notamment parmi les sympathisants LFI ou les moins de 25 ans, voient des actes de résistance. Cette journée fait écho aux attentats de 2015 en France. Les meurtres perpétrés à la rave party évoquent un Bataclan à ciel ouvert, c’est un trauma réactivé. Pour les gens, le Hamas, c’est Daech », analyse Frédéric Dabi, directeur à l’Ifop.

Signe de cette empathie, les Français sont très nombreux (71%) à redouter que notre pays soit la cible d’attaques similaires. Et deux personnes sur trois estiment que la libération des otages doit être un préalable à tout cessez-le-feu. Sur ce dernier point, 44% observent, au passage, que le sort des trois Français toujours détenus par les terroristes occupe moins le discours public que celui d’autres otages par le passé. Parallèlement, la part de l’opinion défavorable aux manifestations de soutien pro-palestiniennes atteint son plus haut niveau (73%). Un désaccord au motif que « des propos antirépublicains ou même antisémites ont été proférés lors de certains de ces rassemblements ».

L’enquête a été menée auprès d’un échantillon de 1 207 personnes, représentatif de la population française âgée de 18 ans et plus. La représentativité de l’échantillon a été assurée par la méthode des quotas (sexe, âge, profession de la personne interrogée) après stratification par région et catégorie d’agglomération. Les interviews ont été réalisées par questionnaire auto-administré en ligne du 2 au 3 avril 2024.

Encore un adolescent tabassé à la sortie de l’école

Encore un adolescent tabassé à la sortie de l’école

Nouvelle violence scolaire avec cette affaire à Viry-Châtillon où un jeune de 15 ans a été tabassé à mort par des individus cagoulés.  L’adolescent est actuellement entre la vie et la mort.  Une affaire qui peut-être liée éventuellement à des réseaux de drogue mais qui peut tout aussi bien relever de la violence gratuite actuellement à la mode dans le milieu scolaire.

 

L’affaire rappelle l’agression de Samara, adolescente de 14 ans, frappée il y a quelques jours par trois personnes devant le collège Arthur-Rimbaud de Montpellier. Une des suspectes a reconnu lors de son audition en garde à vue «avoir porté des coups».

 

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