Archive pour le Tag 'en Suisse ?'

Cahuzac : sa femme possède elle aussi un compte en Suisse

Cahuzac : sa femme possède elle aussi un compte en Suisse

L’affaire Cahuzac n’en finit pas détonner avec la découverte d’un compte en Suisse au nom de la femme du ministre. Un ministre bien représentatif de la sociologie du PS où se côtoient oligarques, hauts fonctionnaires et affairistes. Pas étonnant que les couches populaires se tournent vers le populisme ! Cahuzac touchait des honoraires souvent versés en liquide… (Normal pour celui qui fut chargé du budget et donc de la fiscalité !) C’est ce qui pourrait expliquer un compte en Suisse bien fourni : un million d’euros, selon les enquêteurs. Un compte détenu par Patricia Cahuzac, médecin dermatologue, qui travaillait avec son mari Jérôme, ancien ministre, dans leur clinique d’implants capillaires. C’est en menant des investigations « complémentaires » à celles menées contre son mari que les enquêteurs ont découvert le pot-aux-roses, raconte le journal suisse l’Agefi, qui révèle l’information. Et qui raconte que des témoins ont évoqué de fréquents paiements en liquide.  Reste que, selon l’Agefi, le compte de Cahuzac a été ouvert en 1992, celui de Patricia beaucoup plus récemment ; celui de Jérôme est considéré comme « dormant », celui de sa femme était régulièrement alimenté ces dernières années.

Vote pour plafonner les salaires des patrons…en Suisse !

Vote pour plafonner les salaires des patrons…en Suisse !

. Après avoir approuvé, en mars, l’initiative Minder, qui met fin aux parachutes dorés et donne davantage de pouvoir aux actionnaires pour fixer les salaires des dirigeants, les électeurs helvétiques sont à nouveaux appelés aux urnes. Cette fois, ils doivent se prononcer sur l’initiative « 1:12″, qui propose qu’un patron ne puisse gagner plus de douze fois ce que le salarié le moins bien payé de l’entreprise touche sur la même période. Cette initiative a été portée par le mouvement des Jeunes Socialistes. Mais, contrairement à l’initiative Minder, qui avait recueilli plus de 67% de suffrages favorables, le scrutin du 24 novembre s’annonce serré. Selon un sondage cité par la RTS le 13 novembre, l’initiative recueillait 54% d’opinions « plutôt ou très négatives », avec toutefois un niveau assez élevé d’indécis. De fait, l’initiative pâtit du clivage gauche-droite. Le Parti Socialiste et les Verts la soutiennent tandis que le PLR (Parti libéral radical) et l’UDC (Union démocratique du centre) la rejettent. Et, sans surprise, le patronat s’y oppose. Dans une lettre envoyée à ses collaborateurs, dont Le Temps s’est procuré une copie, le géant helvétique de l’agroalimentaire Nestlé considère que cette initiative restreindrait « massivement la liberté contractuelle et la compétitivité d’entreprises comme Nestlé ». Le SonntagsBlickcite également Nick Hayek, patron de Swatch Group, qui évoque « une initiative dogmatique avec des exigences trop rigides ».

 

Salaire minimum à 3300 euros….en Suisse

Salaire minimum à 3300 euros….en Suisse

 

Actuellement, le salaire minimum versé par Lidl Suisse est de 3 800 francs suisses, et l’augmentation représente une hausse de 5 % pour les plus bas salaires. Selon Lidl, ces 4 000 francs suisses représentent le salaire minimum le plus élevé en Suisse dans le secteur du commerce de détail, décidé par une convention collective de travail. L’augmentation a été décidée dans le cadre d’un accord conclu avec les organisations syndicales. Suite à l’accord, la masse salariale versée par Lidl augmentera de 2,5 %.L’accord prévoit une hausse également pour les autres catégories de salariés. Ainsi, les employés ayant une formation professionnelle de 2 ans dans le domaine requis recevront, par exemple, au moins 4 100 CHF par mois et ceux avec une formation de 3 ans dans le domaine requis au moins CHF 4 250 CHF.« L’accord salarial réussi avec Lidl Suisse démontre que le versement de salaires corrects dans le commerce de détail est possible », souligne Carlo Mathieu, Directeur du Secteur du commerce de détail du syndicat Syna. Au printemps 2014, Lidl fêtera ses cinq ans de présence sur le marché suisse. Lidl Suisse a un réseau de 90 magasins, et emploie au total environ 2 000 personnes.

 

Charles Aznavour, exilé fiscal en Suisse soutient l’exception culturelle française !

Charles Aznavour, exilé fiscal en Suisse  soutient l’exception culturelle française !

 

Défendre l’exception culturelle française c’est bien mais contradictoire quand comme Charles Aznavour on est un exilé fiscal. Lancée par la Sacem (Société des auteurs, compositeurs et éditeurs de musique) et soutenue par les organismes de la filière musicale, la pétition pour défendre l’exception culturelle française a été signée par 500 artistes.  Elle a été lancée dans le cadre des prochaines négociations commerciales entre l’Union européenne et les Etats-Unis.  La Commission européenne a, en effet, décidé d’intégrer les services culturels et audiovisuels dans les prochaines négociations commerciales, alors que ces deux secteurs en sont traditionnellement exclus.  « Les créateurs de la musique refusent avec force d’accepter ce retour en arrière et se mobilisent afin que les chefs d’États et de gouvernements européens se prononcent le 14 juin pour l’exclusion définitive des services audiovisuels et culturels de ces négociations transatlantiques », indique le texte.  Le risque de voir la culture considérée comme n’importe quelle autre marchandise fait sa réapparitionLes signataires. Pour le directeur général de la Sacem, Jean-Noël Tronc, « il s’agit d’un enjeu majeur et d’un combat positif. » Le risque, dénoncé par les artistes et la société des auteurs dans le cadre de l’accord de libre-échange, est « de voir la culture considérée comme n’importe quelle autre marchandise. » Les signataires de la pétition rappellent, de plus, que les quotas de diffusion de chansons francophones à la radio seraient notamment menacés.  »Il s’agit de préserver les dispositifs nationaux et européens de soutien et de régulation de nos politiques culturelles », soulignent-ils.

 

FOOT-fiscalité : le président » la vertu » du Bayern a planqué 10 milions en Suisse

FOOT-fiscalité : le président » la vertu » du Bayern a planqué 10 milions en Suisse

. Samedi 20 avril, l’hebdomadaire allemand Focus avait ainsi révélé qu’Uli Hoeness, le président du Bayern Munich, l’un des plus grands clubs de football au monde, avait avoué détenir, lui aussi, un compte bancaire dans le pays helvétique. Le dirigeant serait passé aux aveux en janvier dernier. Le parquet de Munich a depuis diligenté une enquête pour vérifier que la confession du dirigeant bavarois était « exacte et complète ».  dimanche 21 avril, Bild, important quotidien d’outre-Rhin, affirme désormais que le montant caché par le président du club de football bavarois s’élèverait à 10 millions d’euros. Jusque-là, Uli Hoeness a refusé de divulguer les montants en jeu mais, selon Bild, qui ne cite pas ses sources, Hoeness, aurait déjà payé près de six millions d’euros en arriérés d’impôts. Le responsable du syndicat des contribuables allemands, Thomas Eigenthaler, estime en se basant sur ce montant que le président du Bayern Munich, qui possède une prospère société de production de saucisses, a sans doute exfiltré au moins 10 millions d’euros de revenus en Suisse.  Uli Hoeness souhaitait régulariser sa situation dans le cadre d’un accord de double imposition négocié l’année dernière entre la Suisse et l’Allemagne pour lutter contre la fraude fiscale, qui lui aurait permis d’être blanchi en s’acquittant d’une seule pénalité, mais l’opposition sociale-démocrate (SPD) a torpillé cette mesure. Peer Steinbrück, chef de file du SPD et rival de la chancelière Angela Merkel pour les législatives de l’automne, en a d’ailleurs profité pour dénoncer ceux qui, comme Hoeness, espéraient s’en tirer « anonymement et être amnistiés a posteriori ».« Il mérite d’être traité comme le prévoit un Etat de droit (…) Il ne doit pas y avoir de prime à la célébrité », a-t-il déclaré à la télévision régionale SWR.  Par ailleurs, Uli Hoeness a donné l’occasion rêvé à ses détracteurs de le tacler (verbalement) Cette affaire survient alors que le président du Bayern s’est par plusieurs fois fait le chantre de l’honnêteté. Il plaide, par exemple, en faveur du « fair-play » financier prôné par l’UEFA , pour pénaliser les clubs qui construisent leur succès sur des montagnes de dettes, notamment espagnols et anglais. La presse allemande s’en donnait d’ailleurs à cœur joie, rappelant toutes les fois où le patron du Bayern a clamé haut et fort dans des interviews son intégrité. »Je sais bien que c’est idiot, mais je paie mes impôts au prix fort », avait-il par exemple déclaré à Bild en 2005.

 

Fabius « dément » la « rumeur » de Libération sur un compte en Suisse

Fabius « dément » la « rumeur » de Libération sur un compte en Suisse

Le ministre des Affaires étrangères, Laurent Fabius, a « démenti formellement » dimanche auprès de l’AFP une « rumeur, relayée par Libération » dans son édition datée de lundi lui « attribuant un compte en Suisse », ajoutant qu’il engageait des poursuites judiciaires.   »Je démens formellement la rumeur, relayée par Libération dans son édition du lundi 8 avril, m’attribuant un compte en Suisse. Elle ne repose sur aucun élément matériel et est dénuée de tout fondement » écrit M. Fabius dans un communiqué, en annonçant avoir mandaté son avocat « pour qu’il engage les procédures juridiques permettant de le démontrer et de faire cesser la diffusion de ces informations fausses et calomnieuses ».  En Une, le quotidien titre: « Affaire Cahuzac, le cauchemar continue », et écrit que Laurent Fabius a démenti auprès de lui « détenir un compte en Suisse ».  Libé en fait son « évènement » sous le titre: « une possible affaire Fabius tétanise l’Elysée ». S’en suit un long article qui ne produit aucun élément donnant à penser que le ministre des Affaires étrangères détiendrait un tel compte non déclaré, soulignant simplement que Mediapart « explore (cette) piste ».   »Il n’existe à Mediapart que ce qui est publié sur notre site », prend soin de souligner à Libération le journaliste du site d’information Fabrice Arfi.

 

Cahuzac : encore 15 millions cachés en Suisse ?

Cahuzac : encore 15 millions cachés en Suisse ?

L’ancien ministre français du Budget Jérôme Cahuzac aurait cherché à déposer 15 millions d’euros en Suisse en 2009, annonce dimanche la télévision publique suisse (RTS). « Il aurait tenté de placer cet argent dans un établissement de gestion financière à Genève en 2009 mais l’établissement aurait refusé par crainte de complications ultérieures, Jérôme Cahuzac étant une personnalité exposée politiquement, selon des informations bancaires recueillies par la rédaction de la RTS », précise la RTS sur son site. Pour Jean Veil, l’avocat de Jérôme Cahuzac, « cette thèse n’est pas crédible sur le plan du bon sens ». Avec l’acceptation en 2009 par la Suisse de se conformer à partir du 1er janvier 2010 aux règles de l’OCDE en matière d’évasion fiscale, Jérôme Cahuzac a cherché à escamoter ses avoirs et a pu clore son compte à la banque UBS avec l’aide de la société financière Reyl et Cie qui a placé l’argent dans la succursale de Singapour de la banque privée suisse Julius Baer. La somme concernée par cette opération est de 600.000 euros, comme l’a dit Jérôme Cahuzac et comme l’a laissé entendre à la presse le procureur genevois Yves Bertossa, en charge de l’enquête.  Le parquet de Genève, qui a saisi les documents bancaires concernant ce compte chez UBS et chez Reyl, a précisé ne pas avoir étudié le détail des mouvements de ce compte, tâche qui reviendra au parquet de Paris, à l’origine de la demande d’entraide judiciaire. Il n’y a pas eu de perquisition chez Julius Baer. Le parquet de Genève n’a pas exclu de recevoir des demandes complémentaires de Paris. Selon la RTS, « des sommes plus importantes auraient été déposées ou transférées par Genève dans les années précédentes », c’est-à-dire avant 2009. Des sources spécialisées n’excluent pas aussi l’existence d’un autre compte et s’étonnent de la relative modicité de la somme transférée sur Singapour compte tenu des frais facturés pour de telles opérations.

 

Cahuzac : compte en Suisse

Cahuzac : compte en Suisse

 

Jérôme Cahuzac aurait bien eu un compte non déclaré en Suisse, comme l’a révélé Mediapart, mais qui aurait été fermé dès 2000, croit savoir Paris Match. Selon le journal, « oui, un compte détenu par Jérôme Cahuzac aurait bien existé à l’UBS de Genève, ouvert au début des années 90″, mais il n’aurait pas été clôturé afin d’être transféré à Singapour en 2010. Selon les informations de l’hebdomadaire, le compte aurait été confié dès 2000 « à une structure plus discrète, jusqu’à son transfert à Singapour, effectivement en 2010″. Il s’agirait de la banque Reyl & Cie, fondée par un Français. « Or il se trouve que Dominique Reyl [le fondateur, ndlr] n’est autre que le demi-frère d’Hervé Dreyfus, l’autre ‘voix’ supposée de l’enregistrement Cahuzac, présenté par Mediapart comme le « gestionnaire de fortune » de l’ancien élu socialiste », note Paris Match. Autre détail : « le numéro du compte litigieux existerait toujours à l’UBS. Mais il aurait été attribué à un autre client, qui n’a rien à voir avec l’affaire », assure Paris Match.

 

Limitation salaires abusifs : referendum en Suisse

Limitation salaires abusifs : referendum en Suisse

 

La Suisse se prononcera sur une initiative du sénateur et entrepreneur Thomas Minder déposée en février 2008, qui propose d’encadrer les salaires et de donner plus de pouvoir aux actionnaires des sociétés anonymes cotées en Bourse. Autrement dit, tous les secteurs d’activités seront concernés, y compris le secteur financier qui a fait la fortune et la notoriété de la Suisse. Si le projet devait être validé, cela pourrait freiner les délocalisations de traders de Londres à Zurich ou Genève. L’assemblée générale décidera chaque année «la somme globale des rémunérations: argent et valeur des prestations en nature du conseil d’administration, de la direction et du comité consultatif», est-il inscrit dans le texte soumis à votation. Autre nouveauté de taille, il supprime les parachutes dorés. «Les membres ne reçoivent ni indemnité de départ, ni autre indemnité, aucune rémunération anticipée, ni prime pour des achats ou des ventes d’entreprises», détaille l’initiative populaire. À en croire les derniers sondages qui donnent le oui à 65 %, cette initiative populaire a toutes les chances de passer dimanche. La polémique a enflé ces derniers mois sur les salaires exorbitants perçus par les grands patrons. Dernière en date: le bonus de 72 millions de francs suisses (59 millions d’euros) que devait toucher Daniel Vasella, le président sortant du géant pharmaceutique Novartis. Le patron a bien tenté d’éteindre l’incendie en renonçant à son indemnité. Mais trop tard, «le mal était fait», rappelle le quotidien suisse roman Le Matin.  Les patrons suisses sont les mieux payés d’Europe, devant les Britanniques et les Allemands. Ce qui n’empêche pas Novartis d’afficher l’un des plus gros écarts de rémunération, d’après la TV suisse ro­mande: le salaire le plus élevé est 270 fois plus important que le plus bas! Malgré un contexte politique favorable, renforcé par la crise européenne et des opinions indignées par les excès des banques, Thomas Minder a dû passer par de multiples péripéties institutionnelles pour obtenir cette votation.  Voilà plus de dix ans que le chef d’entreprise du canton de Schaffhouse, choqué à l’époque par la faillite de Swissair et le salaire exorbitant perçu par son PDG, s’est lancé dans la bataille. Après avoir réuni, en février 2008, plus de 100.000 signatures – le minimum requis pour soumettre sa proposition au vote populaire -, celui que l’on surnomme «Robin des bois» a dû faire face à un contre-projet du gouvernement, moins sévère, et à une révision de la loi par le Parlement. Le texte du Parlement reprend les principales propositions de l’initiative «Minder», sauf les sanctions pénales en cas d’infraction. Il s’appliquerait en cas de rejet du référendum.

chansons-poèmes de  g.bessay:

http://chansontroisiemeage.unblog.fr/

 

 

 

Enquête Cahuzac sur le compte en Suisse

Enquête Cahuzac sur le compte en Suisse

 

Jérôme Cahuzac a toujours démenti en bloc les accusations du site Médiapart / AFP / Lionel Bonaventure Une enquête préliminaire de police visant à déterminer si le ministre du Budget a ou non détenu un compte en Suisse afin de dissimuler des revenus au Fisc, a été ouverte par le parquet de Paris. Jérôme Cahuzac, qui se félicite de cette procédure, garde la confiance de l’Elysée et de Matignon. Mais pour combien de temps ? Certains, dans la majorité, commencent à douter qu’il puisse éviter de démissionner pour se défendre.

 

Cahuzac : un compte en Suisse ?

Cahuzac :  un compte en Suisse ?

Selon les informations de Mediapart, le ministre du Budget, Jérôme Cahuzac, aurait détenu un compte bancaire non déclaré en Suisse, à l’UBS de Genève, durant plusieurs années. Ce compte serait désormais clos. Mediapart précise que « les avoirs auraient été ensuite déplacés vers un autre paradis fiscal, en Asie, selon des sources informées de l’opération ». A Singapour, plus précisément.  Ce compte semble avoir été ouvert à la fin des années 80, lorsque Jérôme Cahuzac travaillait au cabinet de Claude Evin, ministre de la Santé. Un agent du fisc, Rémy Garnier, cité dans l’enquête de Mediapart, a alerté sa hiérarchie dès le mois de juin 2008 évoquant des « sources extérieures à l’administration fiscale », qui « convergent vers les mêmes conclusions » : un compte bancaire ouvert en Suisse par Jérôme Cahuzac.  Interrogé par Mediapart ce mardi matin, le ministre du Budget a menacé :  « Je n’ai pas de compte en Suisse et n’en ai jamais eu. Il est clair que si vous publiez ça, j’attaquerai. Je suis un personnage public. Je crois avoir montré que je n’ai pas été en arrière de la main quand j’étais président de la commission des finances. C’est peu dire que j’ai mis l’épée dans les reins de l’administration fiscale pour qu’un certain nombre de dossiers sortent. » Le média en ligne affirme disposer de plusieurs documents prouvant l’existence de ce compte, notamment la « trace » d’une conversation privée de Jérôme Cahuzac avec un chargé d’affaire. Le ministre prononce cette phrase :  « Ce qui m’embête, c’est que j’ai toujours un compte ouvert à l’UBS. Ça me fait chier d’avoir un compte ouvert là-bas, UBS, c’est quand même pas forcément la plus planquée des banques. » D’autres éléments confortant cette thèse, notamment l’acquisition d’un appartement parisien, sont développés dans l’article de Fabrice Arfi.




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