Archive pour le Tag 'en plus'

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Guéant : 240 000 euros en liquide en plus du salaire

Guéant : 240 000 euros en liquide en plus du salaire

240.000 euros en liquide, c’est la somme que Claude Guéant pourrait avoir touché de 2002 à 2004 en plus de ses primes officielles et de son salaire. C’est l’enquête administrative lancée par Manuel Valls au début du mois de mai qui tire ces conclusions. Cet argent, « en provenance des frais d’enquête et de surveillance » explique les rapports d’inspection, était « remis au directeur du cabinet du ministre » de l’Intérieur, à l’époque Claude Guéant. Menée à la fois par l’Inspection générale de l’administration (IGA) et celle de la police nationale (IGPN), cette enquête avait notamment pour but d’expliquer des factures payées en liquide qui avaient été trouvées chez Claude Guéant lors d’une perquisition. Cette enquête montre que la pratique des primes qui avait été abolie le 1er janvier 2002, a « été rétablie de mai 2002 à l’été 2004″, écrivent les rapporteurs. Pendant, deux ans « 10.000 euros par mois ont été remis au directeur de cabinet du ministre » de l’Intérieur qui était à cette époque Claude Guéant.

2000 postes en plus à Pôle emploi ; pour quoi faire ?

2000 postes en plus à Pôle emploi ; pour quoi faire ?

2000 postes en juillet, 2000 encore en plus maintenant. Mais pour quoi faire ? Rien, sinon pour essayer de recevoir plus poliment des chômeurs auxquels on a strictement rien à proposer. C’et connu, pôle emploi s’occupe du chômage pas de l’emploi. Entretien type avec un chômeur : relecture pour la énième fois du dossier du chômeur  sur l’écran d’ordinateur, vérification des données avec l’intéressé, un peu de bavardage inutile pour meubler l’absence de perspective, notification de l’entretien sur l’ordinateur et tirage papier de cette consultation qui ne sert à rein sinon parfois à quelques formations dont la plupart bidon. Exemple les merveilleux emplois services à la personne, véritables mines d’emplois d’après « les experts » ; modèle type : un CDI de 15 heures par mois au SMIC à 40 kms du domicile du chômeur. Jean-Marc Ayrault, en déplacement à Pantin avec le ministre du Travail Michel Sapin, a donc annoncé la création de 2000 nouveaux emplois en CDI à Pôle emploi. Un renforcement des moyens de l’organisme qui se justifie, selon lui, par la volonté d’assurer une nouvelle offre de services et de permettre un accompagnement plus personnalisé des demandeurs d’emploi. «Aujourd’hui, afin que la nouvelle offre de services de Pôle emploi, ainsi que les dispositifs ambitieux que nous déployons, produisent pleinement leurs effets, il nous faut renforcer à nouveau les moyens de Pôle emploi», a justifié le chef du gouvernement, selon le texte de son discours transmis par Matignon. Il y aurait finalemenet peut être une solution embaucher tous les chômeurs à pôle emploi !

Economies budget 2014 : 5 milliards en plus

Economies  budget 2014 : 5 milliards en plus

 

5 milliards d’efforts supplémentaires en 2014 réclamés aux ministères et aux administrations. C’est ce que demande Jean-Marc Ayrault dans la lettre de cadrage budgétaire qu’il a adressée ce vendredi 8 mars. Ce matin, François Hollande est allé dans le sens de son Premier ministre en affirmant que cette recherche de nouvelles économies étaient possibles.  Vu l’ampleur des efforts demandés, la forme compte énormément. Ainsi, la lettre de cadrage n’est pas envoyée par le ministre du Budget comme c’est la tradition, mais par Matignon directement. Les économies réclamées sont donc une demande express et formelle de François Hollande et de Jean-Marc Ayrault. Ensuite, le chef du gouvernement s’y prend très tôt : le montant global des efforts est affiché six mois avant la présentation du projet de budget 2014 ! Maintenant, la balle est dans le camp des administrations et des cabinets ministériels qui vont devoir faire leur propre audit pour proposer des pistes de coupes budgétaires. Ceux-ci vont aller négocier avec les services de Jérôme Cahuzac. « Il y a  des dents qui grincent », nous dit-on à Bercy. Le risque est qu’au final chaque ministre défende son pré carré. Et qu’au total, on soit loin du compte global reclamé par Matignon. Mais la lettre signée Jean-Marc Ayrault est assez précise pour que chaque ministère puisse se faire une idée du niveau de la contribution attendue de lui.  Le grand bal des négociations va durer jusqu’au mois de juillet, quand les « lettres plafonds » seront envoyées à chaque ministère. Chacun saura alors quelle sera l’ampleur exact de ses coupes budgétaires.

« 6 milliards d’euros en plus à trouver en 2014 » Cahuzac

« 6 milliards d’euros en plus à trouver en 2014 » Cahuzac

 

Avec une croissance atone y compris en 2014, c’est donc pas loin de 17 milliards qu’il faudra trouver alors qu’on peine déjà à trouver les 12 milliards prévus. En clair, Cahuzac propose encore davantage d’austérité. Le ministre du Budget Jérôme Cahuzac a indiqué lundi qu’il allait falloir trouver « 6 milliards d’euros de recettes » supplémentaires en 2014 pour conserver « la stabilité fiscale », tout en refusant de parler d’augmentation d’impôts.   »Si nous ne faisons rien de plus en matière de fiscalité, l’année prochaine, il y aurait 5 à 6 milliards d’euros d’impôts de moins », a déclaré M. Cahuzac sur Europe 1. « Il faudra dégager des économies », a-t-il concédé, mais « la situation budgétaire de la France ne nous permet malheureusement pas de nous priver de 6 milliards d’euros de recettes ». Donc « il faudra trouver 6 milliards d’euros de recettes supplémentaires », a-t-il martelé.

 

 

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Ayrault annonce 40 milliards d’euros d’investissements en plus

Ayrault annonce 40 milliards d’euros d’investissements en plus

Jean-Marc Ayrault a finalement décidé de s’exprimer à l’issue du déjeuner réunissant ses ministres à propos des économies budgétaires pour 2013 et 2014. Alors que le pouvoir doit gérer les conséquences de la révision à la baisse des prévisions de croissance pour 2013, le chef du gouvernement a voulu passer à la contre-offensive.  « Nous allons réviser notre prévision de croissance de façon ordonnée« , a-t-il annoncé. Le cap du gouvernement « reste bien l’équilibre des comptes publics en 2017« , a-t-il rappelé ensuite. « Nous devons réduire le déficit, réduire le poids de notre dette, car la dette réduit nos marges de manoeuvre« . Il a également affirmé qu’il n’était pas question de tuer la croissance par des mesures de rigueur excessives, comme l’avait déjà fait François Hollande la semaine dernière après la publication du rapport de la Cour des comptes. « Notre cap, c’est aussi le soutien à la croissance, sans laquelle on ne peut pas redresser durablement les comptes publics et notre pays. Notre responsabilité, c’est de ne pas dégrader la croissance pour 2013« .  Il a aussi annoncé 40 milliards d’euros d’investissements nouveaux : 20 milliards sur 5 ans pour les investissements des collectivités locales, transports, assainissement, rénovation thermique… Et 20 milliards, cette fois d’argent public et privé pour connecter 100% des foyers français au très haut débit d’ici à 10 ans. Le chef de l’Etat doit d’ailleurs intervenir sur le numérique ce mercredi 20 février.  Le Premier ministre a également affirmé vouloir « sauver notre modèle social », mais en le réformant. Référence aux réflexions sur la réforme des prestations familiales et des retraites mal perçues par l’opinion.  Jean-Marc Ayrault a également rappelé la mise en place, jeudi 21 février, de la Banque publique d’investissement. Tout en mettant en avant les mesures en faveur de la compétitivité avec la création du crédit d’impôt.

Etats-Unis : mur budgétaire évité mais 330 milliards de déficit en plus

Etats Unis : mur budgétaire évité mais 330 milliards de déficit en plus

 

Les membres de la Chambre américaine des représentants ont approuvé mardi soir (mercredi matin à Paris) un accord déjà entériné la veille entre le Sénat et la Maison blanche, qui permet aux Etats-Unis d’éviter les 600 milliards de dollars de hausses d’impôts et de baisses des dépenses publiques du ‘mur budgétaire’.Le président Barack Obama, qui devrait rapidement ratifier le texte, a salué le compromis mais a demandé que les futures négociations budgétaires entre la Maison blanche et le Congrès, notamment sur un éventuel relèvement du plafond de la dette publique, soient « un peu moins dramatiques ». La Chambre des représentants, dominée par les républicains, a adopté, par 257 voix pour et 167 contre, l’accord, qui prévoit notamment de réserver la hausse de l’impôt sur le revenu aux ménages dont les revenus annuels dépassent 450.000 dollars. L’accord élargit l’assurance chômage de longue durée à deux millions de personnes pendant une année, tandis que la réduction de 109 milliards de dollars du budget de la défense et de projets de politique intérieure, prévue mardi, est repoussée de deux mois. Le Sénat, majoritairement démocrate, avait voté l’accord par 89 voix pour et huit contre, deux heures après minuit dans la nuit de lundi à mardi, moment à partir duquel devaient automatiquement entrer en vigueur les effets du mur budgétaire, néanmoins retardés par le fait que le 1er janvier soit un jour férié. Certains élus républicains ont tenté mardi d’amender l’accord, en proposant 330 milliards de dollars de réduction des dépenses publiques en plus, mais ont dû y renoncer, faute de soutiens suffisants dans leur propre camp. Le Congressional Budget Office (CBO), organisme équivalent à la Cour des comptes et qui émane du Congrès, a de son côté déclaré que le compromis entériné mardi soir accroîtrait de près de 4.000 milliards de dollars (3.000 milliards d’euros) le déficit fédéral sur une décennie, principalement parce qu’il étend les faibles taux d’imposition à presque tous les Américains. Selon le CBO, le déficit budgétaire 2013 sera environ 330 milliards de dollars (250 milliards d’euros) plus élevé que si le Congrès n’avait pas agi et avait laissé les 600 milliards de dollars de hausses d’impôts et de baisses des dépenses entrer en vigueur.

 

UE : la France versera 837 millions en plus, non financés évidemment

UE : la France versera 837 millions en plus, non financés évidemment

Curieux budget qui n’a pas intégré la cotisation supplémentaire de plus de 800 millions pour l’Europe ; il a fallu un amendement de dernière minute à l’assemblée nationale. En cause les fonds structurels européens qui ont dérapés et qui profitent surtout aux pays périphériques. Explication du gouvernement : «  ça fait partie du plan de croissance  » ; tu parles !, Ce sont des dépenses incontrôlées déjà effectuées. En outre pas de financemnt prévu, on fera des économies, oui, lesquelles ? Le gouvernement a déposé mercredi à l’Assemblée nationale un amendement relevant de 837 millions d’euros la contribution de la France au budget de l’Union européenne, qui seront financés par des économies supplémentaires, a-t-on appris auprès de Bercy. Il s’agit de couvrir, avec les autres états membres, des dépenses de l’UE qui ont été plus fortes que prévu cette année. Cet amendement au projet de loi de finances pour 2013, qui revient en débat jeudi à l’Assemblée, porte le « prélèvement sur recettes » au profit de l’UE à 20,43 milliards d’euros, soit une hausse de 1,5 milliard par rapport à 2012 et de 837 millions par rapport aux dernières prévisions, selon Bercy, confirmant une information du site du journal Les Echos. Pour financer ce surcoût tout en respectant le gel promis, en valeur absolue, de ses dépenses, l’Etat va devoir faire des coupes ailleurs. Concrètement, un montant équivalent sera annulé parmi les crédits de la « réserve de précaution », ce qui signifie que les ministères, déjà appelés à se serrer la ceinture, devront renforcer leurs efforts. L’Etat devait initialement réduire ses dépenses de dix milliards en 2013 par rapport à leur évolution naturelle. L’amendement fait suite à des dépenses de l’UE plus fortes que prévu cette année de quelque 6,67 milliards d’euros, selon des budgets rectificatifs adoptés le 21 novembre et mercredi par le Parlement européen. Ces dépenses supplémentaires doivent être financées en 2013 par les Etats membres, dont la France. Le dérapage des dépenses européennes est lié notamment à des aides à l’Italie après le séisme en Emilie-Romagne, mais aussi à l’allocation de 4,4 milliards aux fonds structurels ou encore au renforcement des actions liées à la croissance et à l’innovation. Le gouvernement affirme que cela contribue à la mise en oeuvre du « pacte de croissance » voulu notamment par le président François Hollande et adopté par l’UE fin juin.

 

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