Archive pour le Tag 'en mai'

Baisse des créations d’entreprises en mai

Baisse des   créations d’entreprises en  mai

En mai 2014, le nombre de créations d’entreprises en France repart à la baisse. Selon les données publiées vendredi 13 juin par l’INSEE, le nombre de créations d’entreprises affiche un recul de 1,4% par rapport à avril 2014, à 45.644. Toutefois, sur les trois derniers mois, on note une augmentation par rapport aux mêmes mois un an auparavant (+1,3%), en particulier pour les entreprises sous forme sociétaire (+6,0%). Une hausse permise grâce à certains secteurs comme les services aux entreprises, les transports, l’hébergement et la restauration.  Sur douze mois, le nombre de créations d’entreprises est en baisse de 0,1%. L’Insee précise enfin que 50,8% des créations d’entreprises entre mai 2013 et mai 2014, sont des auto-entreprises.

Sondage Confiance des français : en baisse en mai

Sondage Confiance des français : en baisse en mai

 

. Seuls 25% des personnes interrogées se déclarent confiantes en mai, contre 73% peu confiantes, selon un sondage BVA pour BFM Business publié ce jeudi 4 juillet. L’indice perd 2 points pour tomber à -48. Il reste, néanmoins, loin des -72 à l’automne 2008. Par ailleurs, le sondage souligne que « à l’heure où de plus en plus de Français sont touchés par le chômage ou ne voient pas leur salaire augmenter, il est logique que leur évaluation du revenu du riche n’augmente pas non plus ».  Ainsi, comme l’année dernière, les Français considère une personne riche si elle a un revenu de 6.000 euros par mois et un patrimoine d’un million d’euros. Contrairement à François Hollande qui « n’aime pas les riches », les Français n’ont pas de problème avec eux. 68% d’entre eux estiment qu’une personne qu’ils considèrent comme riche provoque chez eux de l’indifférence. Ils sont tout de même 24% à être méfiant, 13% jaloux et 8% en colère. Moins d’un tiers éprouvent du respect.

 

Zone euro : chômage révisé en hausse en mai

Zone euro : chômage révisé en hausse en mai

Le taux de chômage de la zone euro en mai a été révisé à la hausse, à 12,2%, en raison d’une erreur dans les données concernant la France, a indiqué aujourd’hui l’office européen de statistiques Eurostat, au lendemain de la publication officielle de cet indicateur macroéconomique. « Le taux de chômage du mois de mai 2013 pour la France a été révisé à la hausse de 0,5 point de pourcentage. Cette correction entraîne une révision à la hausse de 0,1 point du taux de chômage pour la zone euro et l’Union européenne », a indiqué Eurostat dans un communiqué. Le chômage s’est élevé en France à 10,9% de la population active, a indiqué Eurostat, contre 10,4% annoncé initialement. Cela a poussé le taux de chômage de l’ensemble de l’UE à 11% contre 10,9%. Avec un taux de 12,2%, le chômage au sein de la zone euro évolue donc à un niveau record. En mai, quelque 19,34 millions de personnes étaient au chômage dans les 17 pays de la zone euro, soit 67.000 de plus en un mois et 1,459 million en un an. Le chômage des jeunes de moins de 25 ans, principal thème du sommet européen fin juin à Bruxelles, était à 23,9% dans la zone euro en mai, avec des pics en Grèce (59,2% en mars) et en Espagne (56,5%).

 

Prix à la production de l’industrie : baisse de 1,2% en mai

Prix à la production de l’industrie : baisse de 1,2% en mai

Les prix à la production de l’industrie sur le marché français ont accusé une baisse de 1,2% en mai après une baisse révisée à -1,2% également en avril, selon les données publiées vendredi par l’Insee. Sur un an, ils sont en baisse de 0,1%. Sept économistes interrogés par Reuters attendaient en moyenne une baisse de 0,3% en mai, leurs estimations allant de -0,5% à 0,0%. Le recul d’avril avait auparavant été annoncé à -0,9%. Dans un communiqué, l’Insee explique cette nouvelle baisse par un net recul des prix de l’électricité, du gaz, de la vapeur et de l’air conditionné (!) pour le deuxième mois consécutif (-5,3% après -4,5%) et une baisse moins marquée des prix des produits du raffinage (-1,5% après -5,2%). Les prix des « autres produits industriels » baissent de 0,5% après trois mois de quasi stabilité. Les prix des denrées alimentaires augmentent de 0,1% après -0,2% en avril. Les prix des produits industriels destinés aux marchés extérieurs ont de nouveau baissé de 0,6% et les prix à l’importation des produits industriels ont reculé de 0,2% après -1,2% en avril. Sur un an, les premiers baissent de 0,7% et les seconds se sont repliés de 1,9%.

 

Consommation des ménages : +0.5% en mai, en cause le prix des denrées alimentaires

Consommation des ménages : +0.5%  en mai, en cause le prix des denrées alimentaires

 

La consommation des ménages français en biens a augmenté de 0,5% en mai par rapport au mois précédent du fait d’un rebond des achats alimentaires, selon les données publiées vendredi par l’Insee.  La baisse du mois d’avril a été révisée à -0,5% contre -0,3% annoncé auparavant. Seize économistes interrogés par Reuters attendaient en moyenne un chiffre en baisse de 0,1% en mai, leurs prévisions s’échelonnant entre -1,0% et +0,2%. Dans un communiqué, l’Insee fait état d’une hausse de 0,4% des dépenses en bien durables le mois dernier, après +1,3% en avril, due notamment à l’automobile (+0,9% après +2,0%). Les achats en équipement du logement ont en revanche baissé légèrement (-0,1% après +0,4%). Les achats de textile cuir ont quant à eux baissé de 1,5%, après un rebond de +1,5% en avril. Après une forte hausse en mars (+2,6%) et une chute en avril (-3,4%), la consommation en produits alimentaires a rebondi de 1,4% en mai. Les dépenses de consommation des ménages en énergie se sont légèrement contractées (-0,3%) après quatre mois consécutifs de hausse liée aux températures plus basses que d’habitude.

Textile – habillement : chute de 10% en mai

Textile – habillement : chute de 10% en mai

 

Effet de la crise et de la météo, les ventes de textile-habillement ont chuté de 10% en France au mois de mai, plombées par une conjoncture dégradée et une météo exécrable, selon les chiffres provisoires établis par l’Institut français de la mode (IFM). Sur les cinq premiers mois de l’année, le recul pourrait atteindre environ 4%, a précisé à Reuters Gildas Minvielle, responsable de l’observatoire économique de l’IFM. Tous les circuits de distribution ont été touchés, allant d’une baisse de 14% en valeur pour les magasins dits « populaires » (chaînes à la périphérie des grandes villes comme Kiabi ou La Halle aux Vêtements) à un recul de 7% pour les grands magasins, qui avaient jusqu’ici bien résisté grâce à la clientèle touristique. « Le printemps a été pourri dans tous les sens du terme (…) Le facteur météo a été d’autant plus pénalisant que nous sommes dans un contexte de crise assez aigu », a-t-il précisé. Le marasme qui frappe les ventes de mode pourrait conduire l’IFM à revoir en baisse ses prévisions pour l’ensemble de l’année. « Il se peut que notre prévision ait été un peu optimiste », a précisé Gildas Minvielle.L’IFM avait tablé, en novembre dernier, sur un recul du marché de l’ordre de 2% en 2013.

Etats-Unis : moins d’emplois que prévu en mai

 

Etats-Unis :  moins d’emplois que prévu en mai

Le secteur privé américain a créé 135.000 emplois au mois de mai, un chiffre nettement inférieur aux attentes, montre mercredi l’enquête mensuelle du cabinet de conseil ADP. Les économistes interrogés par Reuters prévoyaient en moyenne 165.000 créations de postes dans le privé. Le chiffre d’avril a été revu en baisse à 113.000 contre 119.000 annoncé initialement, un chiffre qui était déjà nettement inférieur aux attentes, précise ADP. Le gouvernement américain publiera vendredi les chiffres des créations d’emplois pour le mois de mai, qui devraient, selon les économistes, s’élever à 170.000.

 

Croissance France : recul en mai

Croissance France : recul  en mai

L’activité dans le secteur privé français s’est à nouveau contractée au mois de mai, le secteur manufacturier connaissant cependant une légère amélioration par rapport à avril, selon les premières estimations PMI publiées aujourd’hui par Markit. L’indice composite flash, qui combine l’industrie et les services est resté stable à 44,3, se maintenant nettement sous la barre de 50 qui sépare croissance et contraction.  L’indice manufacturier a progressé à 45,5 après 44,4 en avril, atteignant son plus haut niveau depuis neuf mois et dépassant les attentes des économistes qui prévoyaient en moyenne un indice à 44,8.  L’indice flash des services est resté stable à 44,3, les économistes attendant en moyenne 44,5. Selon Chris Williamson, économiste chez Markit, l’activité dans le privé reste bien trop atone pour dire qu’un rebond de l’économie française est en vue. Les indicateurs PMI suggèrent selon lui que l’économie française, entrée en récession au premier trimestre, se contractera de 0,5% au deuxième.

 




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