Gayet -Hollande : un président trop sûr de lui qui en fait un mufle et un arnaqueur
L’épisode gayet-Hollande relève d’uen séquence vaudevillesque qui ne mérite pas de condamnation, d’autant que c’est une tradition chez les présidents de la république en France. (Hollande, Sarko, Chirac, Giscard) ; Pour autant cet « incident » révèle la vraie personnalité de Hollande caractérisée par le fait qu’il est beaucoup trop sûr de lui, qu’il peut mar cher (ou s’allonger) sur le corps des autres sans état d’âme, bref qu’il n’a aucun affect. Ce qui explique aussi largement ses revirements sur la politique conduite. Des revirements opérés aussi sans aucun état d’âme même s’ils contredisent complètement ses engagements. La journaliste Hélène Pilichowski est particulièrement bien placée pour parler de François Hollande. L’ancien éditorialiste du Dauphiné Libéré est en effet la cousine éloignée du chef de l’Etat. Et pour elle, s’il s’est laissé piégé par le magazine Closer, qui a révélé sa liaison avec l’actrice Julie Gayet, c’est d’abord à cause d’une trop grande confiance en lui. « C’est un excès de confiance en lui, qu’il a toujours eu », a-t-elle estimé vendredi matin sur Europe 1. « Il a une immense confiance dans sa bonne étoile, en cette sérénité, cette intelligence extrêmement lumineuse, qui ne craint rien, qui ne se laisse jamais démonter. Sa mère le disait toujours : ‘François est quelqu’un qui est heureux, il est né comme ça’. François n’a pas d’angoisse personnelle et ça, ça lui nuit quelque part », a développé la journaliste. Et pour Hélène Pilichowski, François Hollande ne se sortira de cette faffaire que par l’élégance. « La seule manière qu’il a de s’en sortir, c’est d’être le plus élégant possible. Il faut qu’il trouve une solution vis-à-vis de Valérie Trierweiler. S’il souhaite s’en séparer, ce qui paraît probable, il faut que ce soit fait de manière irréprochable. Il faut qu’il communique, qu’il fasse un geste publique à son égard. Qu’elle ne figure pas comme une victime abandonnée à l’hôpital », a-t-elle estimé.