Archive pour le Tag 'en fait'

Gayet -Hollande : un président trop sûr de lui qui en fait un mufle

Gayet -Hollande : un président trop sûr de lui qui en fait un mufle et un arnaqueur

 

 

 

L’épisode gayet-Hollande relève d’uen séquence vaudevillesque qui ne mérite pas de condamnation, d’autant que c’est une tradition chez les présidents de la république en France. (Hollande, Sarko, Chirac, Giscard) ; Pour autant cet « incident » révèle la vraie personnalité de Hollande caractérisée par le fait qu’il est beaucoup trop sûr de lui, qu’il  peut mar cher (ou s’allonger) sur le corps des autres sans état d’âme, bref qu’il n’a aucun affect. Ce qui explique aussi largement ses revirements sur la politique conduite. Des revirements opérés aussi sans aucun état d’âme même s’ils contredisent complètement ses engagements. La journaliste Hélène Pilichowski est particulièrement bien placée pour parler de François Hollande. L’ancien éditorialiste du Dauphiné Libéré est en effet la cousine éloignée du chef de l’Etat. Et pour elle, s’il s’est laissé piégé par le magazine Closer, qui a révélé sa liaison avec l’actrice Julie Gayet, c’est d’abord à cause d’une trop grande confiance en lui. « C’est un excès de confiance en lui, qu’il a toujours eu », a-t-elle estimé vendredi matin sur Europe 1. « Il a une immense confiance dans sa bonne étoile, en cette sérénité, cette intelligence extrêmement lumineuse, qui ne craint rien, qui ne se laisse jamais démonter. Sa mère le disait toujours : ‘François est quelqu’un qui est heureux, il est né comme ça’. François n’a pas d’angoisse personnelle et ça, ça lui nuit quelque part », a développé la journaliste. Et pour Hélène Pilichowski, François Hollande ne se sortira de cette faffaire que par l’élégance. « La seule manière qu’il a de s’en sortir, c’est d’être le plus élégant possible. Il faut qu’il trouve une solution vis-à-vis de Valérie Trierweiler. S’il souhaite s’en séparer, ce qui paraît probable, il faut que ce soit fait de manière irréprochable. Il faut qu’il communique, qu’il fasse un geste publique à son égard. Qu’elle ne figure pas comme une victime abandonnée à l’hôpital », a-t-elle estimé.

 

Baisse des charges: en fait une opération blanche

Baisse des charges: en fait une opération blanche

L’enthousiasme de la baisse des charges sur les entreprsises risue de vite retomber puisqu’en réalité il s’agit de remplacer les 20 milliards du CICE par les 30 millirds de cotisations familailes. Mais mécaniquemenet cette suppression des cotisations familiales va accroitre les marges et accroitre les impôts sur les bénfices. Lopération serait donc partiquemenet blanche.En réalité  le gouvernement ne perdrait  pas d’argent au terme d’un jeu de passe-passe (avec en plus une cathédrale administrative, celle des contraintes)). S’il remplaçait le crédit d’impôt compétitivité emploi (CICE) par des baisses de charges, il pourrait même en gagner un peu. L’explication se trouve dans le bilan des entreprises : une baisse de charges, c’est à dire une baisse mécanique du coût du travail, améliore tout aussi mécaniquement le résultat des entreprises. Et sur ce résultat les entreprises paient de l’impôt.  En baissant les charges, l’Etat récupère donc automatiquement par l’impôt sur les sociétés (IS) une partie de ce qu’il a donné. Ce n’est pas le cas avec le CICE, qui est un « crédit d’impôt », c’est à dire un chèque fait par l’Etat à l’entreprise et qui n’a aucun impact sur le résultat de celle-ci. Voilà pourquoi, au terme de savants calculs, les comptables sont formels: les deux masses sont équivalentes pour les finances publiques : 20 milliards de CICE représentent la même chose que 30 milliards de baisse de charges. C’est pareil pour l’Etat, mais pas forcément pour les entreprises. Pour un salarié payé à  2 smic, le CICE permet 2.080 euros d’allègements, alors que la suppression des cotisations familles équivaut à seulement 1.820 euros d’allègement une différence de 260 euros dans ce cas précis ! En revanche, l’allègement dans le cas d’une baisse des charges est significatif pour l’entreprise au-delà de 2,5 smic. Quoi qu’il en soit, tout cela permet de relativiser le supposé « cadeau » fait aux entreprises.

Etats-Unis: taux de chômage, comme en France truqué, en fait le double

Etats-Unis: taux de chômage, comme en France truqué, en fait le double  

Depuis deux mois, campagne électorale oblige, on affirme que le taux de chômage baisse aux Etats –unis. Du coup la bourse à deux reprises a repris des couleurs. En fait une double manœuvre, celle du gouvernement à la veille des élections ‘ (‘ce qui ne remet pas en cause les qualités d’Obama par ailleurs ;) et celle des analystes financiers pour faire bouger la cote et ramasser la mise avant le rechute des cours. Des petites manouvres conjoncturelles qui s ’’ajoutent à des manipulations plus structurelles. A savoir, décourager les chômeurs de s’inscrire et les rayer abusivement s’il le faut. En France c’est la même pratique ; n  découragement qui reporte les non inscrits vers le RSA qui gonfle. Le nombre officiel de chômeurs en France est de 3 millions, en fait il est de l’ordre de 6 millions (et 25 millions aux Etats-Unis). . Les statisticiens diront que si l’erreur-volontaire ou pas- est constante,  la tendance elle est alors pertinente ‘ (c’est vrai) ; problème, on ne sait pas car on se perd aussi en méthodologie.  Selon la prévision médiane des analystes, le rapport sur l’emploi que le gouvernement s’apprête à publier devrait faire apparaître une remontée du taux de chômage de 0,1 point, à 7,9% en octobre, et une hausse des embauches de 10% par rapport à septembre avec 125.000 créations d’emploi nettes dans le pays.  Les chiffres officiels doivent être annoncés à 08H30 à Washington (12H30 GMT).  Selon l’enquête mensuelle sur l’emploi publiée jeudi par la société de services informatiques ADP, les embauches du secteur privé ont augmenté de 39% en octobre pour atteindre leur plus haut niveau depuis le mois de février.  L’étude indique que les entreprises privées ont créé ce mois-là aux Etats-Unis 158.000 emplois de plus qu’elles n’en détruisaient.  ADP estime dans un communiqué que « les entreprises embauchent de façon régulière » et que les « créations d’emploi d’octobre sont conformes à leur moyenne sur les deux dernières années ». Mais , l’enquête ADP peut difficilement être utilisée pour tenter d’approcher le chiffre des embauches que révélera le rapport officiel.  L’accélération des créations d’emploi dont témoigne ADP est néanmoins corroborée par les résultats de l’enquête sur la confiance des consommateurs publiée jeudi par le Conference Board.  Selon cet institut privé, l’appréciation que les ménages américains ont du marché du travail s’est améliorée en octobre et le différentiel entre les ménages jugeant qu’il est difficile de trouver du travail et ceux pensant que, au contraire, les offres d’emplois sont abondantes, est tombé à son plus bas niveau en quatre ans.  La baisse des nouvelles inscriptions au chômage dans la dernière semaine pleine d’octobre annoncée jeudi par le département du Travail est également encourageante, mais le niveau du taux du chômage indemnisé révélé par le ministère fait craindre à Sal Guatieri, économiste de BMO Marchés des capitaux, une « légère remontée » du taux de chômage officiel.  Un telle correction paraît d’autant plus plausible que le taux de chômage officiel avait reculé de 0,3 point en septembre pour tomber à son niveau le plus bas depuis l’arrivée au pouvoir du président Barack Obama en janvier 2009, en dépit d’embauches poussives et en baisse ce mois-là, et en théorie insuffisantes pour permettre une telle amélioration.  Pour Ellen Zentner, de la maison de courtage Nomura, l’embellie du marché de l’emploi reste toute relative dans la mesure où, finalement, les licenciements restent « faibles » mais où, également, les plans d’embauches des entreprises sont « anémiques ».  De plus, la baisse du taux de chômage officiel observée depuis son pic de 10,0% touché en octobre 2009 est toute relative puisqu’elle résulte essentiellement de la non-comptabilisation de millions de chômeurs découragés ou ayant cessé de chercher du travail pour diverses raisons autres.

 

 

Europe : Delors pour la théorie des cercles, en fait, plusieurs Europe

Europe : Delors pour la théorie des cercles, en fait, plusieurs Europe

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Delors admet que ceux qui veulent davantage d’intégration et aller plus loin doivent pouvoir  le faire. C’est la théorie des cercles ou de l’Europe à plusieurs niveaux. De fait, avec l’élargissement forcené qui continue , c’est ce qui risque de se produire sinon c’est l’anarchie assurée avec notamment distorsions mortelles des  conditions de concurrence L’ancien président de la Commission européenne, Jacques Delors se dit, face à la crise économique, « favorable à une plus grande autonomie de la zone euro, ce qu’on appelle une coopération renforcée », dans un entretien avec le journal La Croix de lundi. « Je prône depuis longtemps la différenciation. Si certains pays veulent aller plus loin tout en respectant les règles de l’ensemble, il faut le leur permettre », indique Jacques Delors. renforcée. ». Pour Jacques Delors: « Il faut une gouvernance économique et monétaire de caractère fédéral, donner à la zone euro un budget propre et un instrument d’intervention économique pour régler le développement ». « Ce nouveau dynamisme de la zone euro redonnerait confiance à l’ensemble, c’est à dire à l’Europe des 27″ assure Jacques Delors pour qui: « Le projet définitif de l’euro doit être clair et accessible, donner de la confiance et un sentiment de stabilité. »

 

 




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