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Industrie : moral en baisse en avril

Industrie : moral en baisse en avril

 

L’indicateur synthétique du climat des affaires recule de 91 en mars à 88 en avril, se situant à un niveau nettement en-deçà de sa moyenne de longue période (calculée depuis 1976), a précisé l’Insee. En février, l’indicateur était remonté à 92. « Les perspectives générales, qui représentent l’opinion des industriels sur l’activité de l’industrie dans son ensemble, se détériorent par rapport au mois précédent, le solde correspondant atteint un niveau très bas », a ajouté l’Institut. Il s’établit en effet à -49 en avril, en baisse de 4 points par rapport au mois précédent et alors qu’il était de -33 en janvier. Les entrepreneurs de l’industrie manufacturière jugent que leur activité passée s’est fortement dégradée, le solde correspondant recule nettement et se situe à un niveau très bas (-19 contre -12 en mars). Leurs perspectives personnelles sont également moroses, le solde correspondant est de -3 alors qu’il était nul en mars et positif en février (+5). Les carnets de commandes se dégarnissent et sont jugés très peu étoffés, tant les globaux (-40, -34 en mars) que les carnets de commande étrangers (-28, -25 en mars). Seul progrès, les stocks de produits finis passent de 6 en mars à 10 en avril « mais leur niveau est jugé encore inférieur à la normale », assure l’Insee.

 

Ventes cigarettes en baisse

Ventes cigarettes en baisse

 

Effet prix et effets contrebande ( plus de 20% des cigarettes vendues au marché noir),  le marché officiel des cigarettes a enregistré, pour la première fois depuis les années 2003/2004, une baisse de 2,50% en valeur au premier trimestre 2013 (-8,6% en volume) par rapport à la même période de 2012, selon des chiffres publiés lundi par Altadis Distribution France (Imperial Tobacco). Plus de 11,554 milliards de cigarettes ont été livrées aux buralistes de l’Hexagone entre le 1er janvier et le 31 mars 2013, soit une baisse de 8,6% en volume, selon les chiffres d’Altadis Distribution France (Imperial Tobacco), qui dispose d’un quasi-monopole des livraisons des bureaux de tabac. Pour la première fois, la baisse en volume n’est pas compensée par la hausse des prix, intervenue le 1er octobre. Le marché enregistre ainsi sa première baisse en valeur depuis les années 2003/2004, au moment où le marché avait été bousculé par des hausses de taxes, au nom de la protection de la santé publique, qui s’étaient traduites par une hausse des prix de 40% en quelques mois

Emplois à domicile : en baisse

Emplois  à domicile : en baisse

 

Selon les tous derniers chiffres de l’Acoss, la banque des Ursaff, la masse salariale des particuliers employeurs a diminué de 1,8% en 2012. «La progression de 2,8% du taux horaire net moyen ne permet pas de compenser la nette baisse (-4,4%) du volume horaire déclaré», indique l’institution qui collecte les déclarations de cotisations sociales. Un recul qui s’explique sur un an non seulement par la réduction du nombre d’employeurs (-1,4%, à près de 2 millions de personnes) mais aussi par l’effondrement du nombre d’heures moyen par employeur (-3%). Résultat, après dix trimestres ininterrompus de hausse, le secteur de la garde d’enfant à domicile – pourtant fortement créateur d’emplois chez les particuliers et la composante essentielle des emplois à domicile – voit son nombre d’employeurs décroître de 1% au quatrième trimestre 2012. «Sur un an, il ne progresse plus que de 0,5%, note l’Acoss. Le volume horaire diminue quant à lui de 2,7% sur la même période». Hors garde d’enfant, après un troisième trimestre 2012 stable (+0,1%), le nombre d’employeurs repart lui aussi à la baisse au quatrième trimestre 2012 (-0,5%), portant l’évolution annuelle à -1,5%. Le volume horaire continue de diminuer ce trimestre (-1,2%) et même de 4,7% sur un an. Cette décrue devrait encore se poursuivre en 2013 avec le durcissement de la réglementation en vigueur. La possibilité de déclarer au forfait les salariés, qui concernait un tiers des employeurs, a été supprimée. De même le plafonnement global des niches fiscales à 10.000 euros de réduction d’impôts devrait refroidir les ardeurs de futurs particuliers employeurs. Enfin la disparition programmée de l’Agence nationale des services à la personne, intégrée à Bercy dans le cadre du plan de modernisation de l’action publique, pourrait rigidifier les rapports entre les particuliers employeurs et l’administration. La baisse de charges accordée cette année à tous les particuliers employeurs – consistant en un abattement de 75 centimes d’euros de l’heure, soit environ 10 % du smic net – ne devrait pas être suffisante pour inverser cette tendance négative. Tout au plus, elle devrait la freiner.

 

Sondage moral des français : encore en baisse 77% non confiants

Sondage moral des français : encore en baisse 77% non confiants

 

 Le niveau de 77% de Français (+2 points) défiants en l’avenir constitue « un nouveau record de pessimisme depuis l’élection de Français Hollande », relève le sondage. A l’inverse 21% des disent « plutôt plus confiants » dans l’avenir de la situation économique française. L’indice de confiance s’établit ainsi à -56 (contre -52 en mars). « Le Président n’a pas réussi à inverser cette tendance à la morosité », observe Gaël Sliman, directeur général adjoint de BVA, cité dans un communiqué.   »Il ne parvient pas non plus à convaincre les Français qu’il tiendra d’ici la fin de l’année 2013 ses engagements réitérés d’inverser la courbe du chômage (seulement 7% le croient) et de ne plus augmenter les impôts pour les classes moyennes et populaires (18%) », poursuit M. Sliman

Allemagne: inflation en baisse en mars

Allemagne: inflation en baisse en mars

Légèrement supérieur aux attentes des analystes interrogés par Dow Jones Newswires, le chiffre de 1,4% en mars, calculé à partir des statistiques de six Etats régionaux allemands sur 16, marque un nouveau fléchissement après une inflation de 1,5% en février, 1,7% en janvier et 2% en décembre.  Il s’agit de la plus faible hausse des prix enregistrée par le pays depuis décembre 2010, où elle avait été de 1,3%.  Sur un mois, les prix ont augmenté de 0,5% en mars, ce qui est aussi supérieur aux attentes des analystes qui tablaient sur une hausse de seulement 0,3%. Si les prix de l’énergie ont nettement freiné leur hausse, à 0,5% sur un an, ceux de l’alimentation ont augmenté de 3,7% sur un an. Dans le même temps, les prix des services, qui incluent ceux des loyers, ont progressé de 1,5%. Selon l’indice des prix à la consommation harmonisé (IPCH), qui permet une comparaison des taux d’inflation entre les Etats membres de l’Union européenne, les prix ont augmenté de 1,8% en mars, en dessous du seuil de 2% que la Banque centrale européenne (BCE) ne souhaite pas voir franchir pour l’ensemble de la zone euro.

Sondage- moral français : encore en baisse

Sondage- moral  français : encore en baisse

 

Les Français sont davantage pessimistes en mars qu’en février sur l’avenir de la société française (68%, +8 points), une baisse du moral qui s’explique par les difficultés économiques et sociales, selon un sondage mensuel de l’institut CSA pour BFMTV, publié samedi. Cette forte baisse du niveau d’optimisme des Français sur l’avenir de la société s’observe dans toutes les catégories de population hormis auprès des sympathisants Europe Ecologie-Les verts (46%, +3), précise le sondage. Ce mois-ci, la part des Français se déclarant optimistes pour leur avenir personnel recule par ailleurs de 3 points : 57% des personnes interrogées se disent optimistes pour leur avenir, contre 39% qui se déclarent pessimistes (+2 pts). Pour expliquer ce regain de pessimisme, les personnes interrogées invoquent principalement, dans le cadre d’une question ouverte, les enjeux sociaux et économiques du pays, faisant référence au chômage élevé et à la baisse de leur pouvoir d’achat, précise l’étude. Des critiques sur la forme émergent également de manière spontanée à l’encontre du gouvernement, dont l’action semble parfois renforcer l’anxiété des Français pour l’avenir.

La Poste : prix Mobile en baisse

La Poste : prix  Mobile en baisse

L’opérateur La Poste Mobile qui a atteint 650.000 clients particuliers entre son lancement en mai 2011 et janvier 2013, a annoncé lundi une baisse de ses tarifs ainsi qu’une amélioration des services proposés, dont 1 heure d’appel à l’étranger comprise dans les forfaits. La Poste Mobile, opérateur sans réseau propre (ou MVNO) qui utilise le réseau de SFR, s’aligne ainsi sur les baisses de tarifs généralisées qu’ont opéré tous les opérateurs français depuis l’arrivée en janvier 2012 de Free Mobile qui a cassé les prix avec des forfaits débutant à 2 euros pour 2 heures de communication. « Sur certains forfaits, l’opérateur baisse ses tarifs jusqu’à moins 10 euros par mois », a-t-il indiqué dans un communiqué. Les tarifs de La Poste Mobile se déclinent maintenant de 14,90 euros à 59,90 euros par mois selon les options choisies. L’opérateur propose également « les SMS et MSM illimités dans toutes les offres », ainsi qu’une heure d’appel vers les téléphones fixes de 69 destinations (dont l’Europe, les Dom, les Etats-Unis et le Canada) pour tous les forfaits, souligne-t-il. De plus, « les nouveaux clients bénéficieront d’un débit 42 Mbits », une amélioration proposée par le réseau-hôte SFR qui facilite l’usage de l’internet mobile, en attendant la 4G. La Poste Mobile avait effectué une première baisse de tarifs en avril 2012, trois mois après le lancement de Free Mobile sur le marché.

 

Croissance -Production industrielle : en baisse en janvier

Production industrielle : en baisse en janvier

Après un léger mieux en décembre, l’industrie replonge. L’indice de la production industrielle a en effet reculé de 1,2%, selon les chiffres de l’Insee. Le recul est encore plus net si l’on prend en compte la seule production manufacturière, en diminution de 1,4% après une hausse de 1,3% un mois plus tôt. Elle s’effondre même de 4,6% au cours des trois derniers mois (novembre-janvier), par rapport à la même période un an plus tôt. Sans surprise, c’est la fabrication de matériels de transports, et plus particulièrement l’automobile, qui pèse sur l’indice, avec un recul de 13,5% en janvier par rapport à décembre. Un chiffre qui confirme l’extrême fragilité du marché – en février, les immatriculations ont reculé pour le seizième mois consécutif. Autres secteurs en difficulté: la construction et l’agroalimentaire qui enregistrent des baisses de près de 4% chacun, toujours entre décembre et janvier. À l’inverse, la production a augmenté dans les équipements électriques, électroniques, informatiques et les machines (+2,7%), ainsi que dans les produits informatiques, électroniques et optiques (+7,6%). Elle a grignoté 1,3% dans les équipements électriques et 0,7% dans les autres machines et équipements. Ces mauvais résultats sont dans la continuité de ceux enregistrés en 2012 où la production de l’ensemble de l’industrie a reculé de 2,2% par rapport à l’année précédente.

 

Livret A : en baisse

Livret A : en baisse

 

Le Livret A ne tient plus son rythme de marathonien. Ce mercredi 20 février, Jean-Pierre Jouyet, le directeur général de la Caisse des Dépôts, l’organe qui centralise 65% de la collecte du placement favori des Français, a indiqué sur France Inter que le Livret A a enregistré « un moindre volume » de collecte en janvier. Pour l’ex-président de l’Autorité des marchés financiers (AMF), ce recul n’est pas dû à la baisse de la rémunération. Depuis le 1er février dernier, le taux du livret A est, en effet, passé de 2,25% à 1,75%. Mais Jean-Pierre Jouyet a fait remarquer que la collecte du livret A porte sur le mois de janvier. En conséquence, la baisse de la rémunération n’aurait, selon lui pas de répercussion, puisqu’elle n’était pas encore effective.  « Ce que l’on a remarqué en janvier, c’est un moindre volume qui est lié au versement important, qui avait été record, notamment au cours du second semestre 2012″, a-t-il indiqué. Il est vrai qu’en 2012, la collecte nette du placement préféré des Français a établi un record, à 28,16 milliards d’euros. Néanmoins, il est possible que les épargnants aient anticipé la baisse du taux du Livret A. Dès décembre, le rythme de l’inflation, sur lequel ce taux est indexé, laissait largement penser que le Livret A ne pouvait se maintenir à 2,25%. De plus, la décision officielle était connue depuis la mi-janvier.

 

Sondage : moral des français à nouveau en baisse

Sondage : moral des français à nouveau en baisse

Selon le dernier Baromètre de l’économie BVA (voir ci-dessous) diffusé par BFMTV et BFM Business, 69% des sondés sont moins confiants en l’avenir de la situation économique en France, soit deux points de plus en un mois. Les électeurs de droite restent défiants à 93%. Mais les sympathisants de gauche le sont désormais à 43%.  Second thème de ce baromètre : la réforme de l’indemnisation du chômage relancée par un récent rapport de la Cour des comptes proposant une baisse des indemnités de certaines catégories de salariés, les cadres au premier chef. Dans cette optique, 79% des sondés seraient d’accord pour plafonner les indemnités à 2 000 euros, à l’image de ce qui se fait dans beaucoup de pays européens. Mais les cadres et les cadres supérieurs, les principaux concernés, ne sont que 74% à le vouloir.  Les Français sont également 66% à estimer que les employeurs recourant aux contrats de travail courts (CDD et intérim) devraient payer davantage de cotisations chômage, comme le prévoit d’ailleurs l’accord sur l’emploi signé récemment par les partenaires sociaux. En revanche, 42% seulement des sondés (et 35% des catégories supérieures) seraient favorables à une réduction de la durée d’indemnisation du chômage.  Autre question du baromètre : 85% des Français seraient disposés à payer plus cher un produit « made in France » à qualité égale. A condition toutefois que le surcoût ne dépasse pas 10%. Les plus enclins à le faire seraient les provinciaux. En revanche, 19% des habitants de l’agglomération parisienne contre 14% en moyenne nationale refuserait ce patriotisme de consommation.

 

Centrales nucléaires : disponibilité en baisse

Centrales nucléaires : disponibilité en baisse

Un parc vieillissant, de nouvelles normes de sécurité, la sécheresse sans doute et la disponibilité de centrales diminue En 2012, le taux de disponibilité des centrales nucléaires d’EDF s’est établi juste sous la barre des 80 %. Ce chiffre sera officialisé lors de la publication des résultats annuels du groupe, le 14 février prochain. Il marque un léger repli par rapport à 2011, où ce coefficient de disponibilité, un indicateur déterminant chez EDF, où il est baptisé «kd», avait atteint 80,7 %. Deux éléments en particulier expliquent cette diminution: outre de longs arrêts de tranche pour des opérations de maintenance, les installations d’EDF doivent intégrer un certain nombre d’aménagements liés aux enseignements de Fukushima. Mardi, le bilan électrique de Réseau de transport d’électricité (RTE), la filiale d’EDF en charge des lignes haute et très haute tension, avait d’ailleurs constaté une baisse de la production nucléaire en 2012, à 404,9 térawattheures (TWh), soit un recul de 3,8 %.  L’amélioration du taux de disponibilité des centrales – 19 en tout, pour 58 réacteurs – est l’un des objectifs prioritaires d’Henri Proglio, le PDG de l’électricien. Après quatre années de baisse consécutives, le «kd» était remonté en 2010, pour atteindre 78,5 %. «Un point d’inflexion» s’était alors félicité l’état-major d’EDF qui a fait les comptes: 1 point de «kd» supplémentaire représente environ 200 millions d’euros d’excédent brut d’exploitation de plus. Le léger repli du «kd» observé en 2012 ne modifie pas les objectifs du groupe énergé­tique: celui-ci vise toujours un objectif de 85 % à l’horizon de 2015. Pas simple, sachant que cette année plusieurs centrales d’EDF feront l’objet d’une visite décennale, c’est-à-dire une inspection de fond en comble qui doit déterminer si les installations sont capables de fonctionner pour dix ans supplémentaires, de 30 à 40 ans. Actuellement, l’âge moyen des cen­trales nucléaires d’EDF est de 26 ans.

 

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Banque mondiale : nouvelle révision en baisse de la croissance 2013

Banque mondiale : nouvelle révision en baisse de la croissance 2013

Comme les autres institutions, la banque mondiale baisse encore ses prévisions de croissance. En fait des prévisions au doigt mouillé qui seront encore revues dans quelques mois et sans doute à la baisse. La Banque mondiale a très nettement réduit ses prévisions de croissance mondiale pour 2013, invoquant des performances médiocres à attendre en provenance des pays développés. Dans son rapport, la Banque prédit une croissance mondiale de l’ordre de 2,4% cette année après 2,3% en 2012. En juin, elle prédisait une progression de 3,0% pour 2013.  « Ce que nous voyons, c’est que la reprise anticipée en juin sera légèrement reportée dans le temps, démarrant à la fin du premier trimestre et au début du deuxième et non un peu avant », explique Andrew Burn, chef de file des rédacteurs du rapport bisannuel de la Banque mondiale.

Le niveau de l’école encore en baisse en France

Le niveau de l’école encore en baisse en France

 

  En scrutant les études Pisa menées entre 2000 et 2009 (dernière étude), il ressort que les résultats des jeunes Français ne sont pas catastrophiques, mais pas brillants non plus.  Dans la catégorie « lecture et compréhension« , la France est en 19e position sur 35 pays. Le niveau des élèves français a légèrement reculé en dix ans. Dans cette catégorie, le volume des bons élèves n’a pas bougé (un tiers). En revanche, la proportion des élèves en échec scolaire est passée de 15% à 20% entre 2000 et 2009. En « lecture et compréhension« , les premiers sont les Sud-Coréens.  En mathématiques, les jeunes Français étaient en 17e position en 2009. Le recul est important depuis 2003. A l’époque, les jeunes Français étaient dans le peloton de tête de l’OCDE. En maths, les Sud-Coréens arrivent également en tête du classement PISA.  En science, la France est 22eme. Les plus forts sont les élèves finlandais.   Pour conclure, Eric Chabonnier expert de l’Education à l’OCDE, affirme que depuis 10 ans, « il n’y a pas d’amélioration en France ». En fait, la progression du système éducatif s’est arrêtée depuis 20 ans environ. Autre grande tendance, l’aspect inégalitaire du système français, l’importance du milieu social des parents. Ce facteur explique 28 % de la note d’un élève, contre 22% en moyenne dans l’OCDE.

Allemagne : croissance en baisse en 2012 et 2013

Allemagne : croissance en baisse en 2012 et 2013

L’Allemagne ne pouvait demeurer un oasis de croissance dans un désert économique ; la croissance sera très faible en 2013 et insignifiante en 2013 si long tient compte du fait que les prévisions ne cessent d’être revues à la baisse tous les 3 mois par les experts. La Bundesbank par exemple a abaissé vendredi sa prévision de croissance du Produit intérieur brut (PIB) de l’Allemagne à 0,7% pour 2012, contre 1% jusque-là, et à 0,4% pour 2013, contre 1,6% précédemment, évoquant un ralentissement économique temporaire.   »Les perspectives de conjoncture se sont assombries en Allemagne », relève la banque centrale allemande dans son rapport de décembre, qui pointe la récession en zone euro mais aussi le ralentissement global de l’économie. Selon elle, cette tendance ne devrait néanmoins pas durer et « l’Allemagne retrouvera le chemin de la croissance », avec un PIB attendu en hausse de 1,9% en 2014.

Immobilier : acheteurs en baisse ; en cause, les revenus exigés par les banques (et organismes de crédit)

Immobilier : acheteurs  en baisse ; en cause,  les revenus exigés

Pour résumer en moyenne un achat immobilier nécessite environ 200 000 euros, l’emprunteur apporte 50 000 euros, il peut emprunter 150 000 euros sous condition d’un revenu de 4000 euros mensuel minimum. Autant dire que la cible se rétrécit et que la bulle immobilière va nécessairement éclater avec l’incontournable chute des prix. D’après ORPI,  cette année les vendeurs espèrent récolter 212.000 euros, l’annonce indique en moyenne 205.000 euros et la vente se conclut finalement à 197.000 euros (-7,1%).  Par ailleurs, les statistiques du réseau de 1300 agences montrent que l’offre de maisons devient de plus en plus excédentaire (59% de l’offre contre 50% de la demande), tandis que la demande d’appartements n’est pas satisfaite (50% de la demande, 41% de l’offre). Même si les Français rêvent dans leur majorité d’une grande maison, les contraintes financières font qu’ils recherchent surtout d‘assez petites maisons (4 pièces) ou des appartements de taille moyenne (3 et 4 pièces). Résultat de ces disparités grandissantes, les ventes ont fondu de 15%. Selon les enquêtes menées par les courtiers Empruntis et Meilleurtaux, le salaire net moyen des foyers qui achètent une maison ou un appartement s’élève à plus de 4.000 euros par mois. Pour la première fois, l’apport personnel moyen des emprunteurs a franchi le seuil de 50.000 euros. Un couple déjà propriétaire, âgé de 36 ans et avec un revenu net de 4.430€ par mois : voici le portrait-type de ceux qui ont acheté un appartement ou une maison en 2011-2012. L’enquête annuelle du courtier Empruntis.com révèle que l’acquisition d’un bien immobilier est de plus en plus difficile pour ceux qui souhaitent acheter pour la première fois. Sur l’ensemble du territoire français, le revenu net moyen par foyer pour les nouveaux acquéreurs dépasse donc 4.000 euros par mois, bien au-dessus de la moyenne (2.935€ par mois, selon les chiffres de l’Insee en 2010).. Un autre chiffre significatif est relaté par l’enquête d’Empruntis.com, rapportée ce lundi par le quotidien Le Parisien : le montant moyen déboursé cette année pour acheter un bien immobilier est de 201.333€, et la moyenne des emprunts est de 160.000€. Soit un apport personnel moyen dépassant la somme de 50.000 euros. « C’est la première fois que cette barre symbolique est franchie », selon Maël Bernier, responsable des études chez Empruntis.

 

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