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Croissance : révision en hausse en Allemagne, en baisse en France

Croissance : révision en hausse en Allemagne, en baisse en France

 

Alors que l’Allemagne révise en hausse ses prévisions de croissance (1.7 au lieu de 1.5), la France elle pourrait revoir les siennes à la baisse. Normalement en France le gouvernement a prévu 0.9% mais depuis les résultats de enquête Markit de novembre  (quasi récession en 2013), on se demande bien comment la France pourrait atteindre ses objectifs en 2014. La Bundesbank, elle,  table désormais sur une croissance du Produit intérieur brut (PIB) allemand de 1,7% en 2014 contre 1,5% annoncé en juin. En 2015, la croissance devrait atteindre un rythme de 2%, selon les projections de la « Buba ».  Pour 2013, elle n’attend cependant « pas plus » de 0,5% contre 0,3% auparavant.   »L’économie allemande a repris de l’élan. (…) Mais les forces qui la tirent changent », explique la Bundesbank dans son rapport mensuel.  Comme l’ont déjà montré les chiffres de la croissance au troisième trimestre, l’activité économique domestique prend désormais le pas sur les exportations, auparavant principal moteur de l’Allemagne. « L’économie allemande est en bonne forme: le taux de chômage est bas, l’emploi progresse et la croissance des salaires revient à la normale. Ces facteurs soutiennent la consommation privée et tire la construction immobilière », a commenté le président de la Buba, Jens Weidmann. Sur les années qui viennent, l’emploi devrait d’ailleurs continuer à augmenter, prévoit la Bundesbank.  Le commerce extérieur de l’Allemagne souffre toujours des difficultés économiques de ses voisins, mais la reprise qui commence à pointer dans la zone euro devrait aider à freiner cette tendance.  Bon élève de la zone euro en matière budgétaire, Berlin devrait enregistrer un excédent des finances publiques d’un peu moins de 0,50% du PIB en 2015.  La Bundesbank précise qu’elle n’a pas inclus dans ses prévisions semestrielles le potentiel impact du nouveau programme de gouvernement décidé par les sociaux démocrates et les conservateurs d’Angela Merkel. Ces derniers ont souligné avoir obtenu qu’il n’y ait ni hausse d’impôt ni nouvel endettement sur la prochaine législature.

Exonérations fiscales en baisse,… donc impôts en plus

Exonérations fiscales en baisse,… donc impôts en plus

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Effet de la crise ( moins d’emplois)  et de la suppression de la législation sur les heures sup ; les exonérations ont baissé. Les exonérations de cotisations de sécurité sociale ont représenté 27,6 milliards d’euros en 2012 soit -2,2% par rapport à 2011. Cela inclut 25,6 milliards de cotisations patronales, selon les chiffres publiés ce vendredi 6 décembre par l’Acoss, la caisse nationale des Urssaf. Ces exonérations, qui représentent 8,9% du total des cotisations dues aux Urssaf, sont notamment destinées à baisser le coût du travail pour les employeurs. L’État compense ce manque à gagner pour la sécurité sociale à hauteur de 90%. En 2012, le montant global des exonérations est de nouveau en diminution (-2,2%), après une baisse de 5,7% l’année précédente. Les allégements généraux sur les bas et moyens salaires représentent 80% de l’ensemble des exonérations. Ils sont en baisse en 2012 (-2,3%), sous l’effet notamment de la modification de la législation relative aux heures supplémentaires. Dans le secteur privé, les exonérations de cotisations représentent 5% de la masse salariale. Parallèlement, les Urssaf ont encaissé l’année dernière un total de 316,5 milliards d’euros, un chiffre en hausse de 4% par rapport à 2011. Cette progression fait suite à une augmentation exceptionnelle de 14,3% en 2011, liée notamment au transfert aux Urssaf du recouvrement des contributions d’assurance chômage et de la cotisation au régime de garantie des salaires. En dehors de cet effet, qui porte encore en partie sur 2012, les encaissements auraient évolué de 3% en 2012, après 4,5% en 2011, ce qui pousse l’Acoss à évoquer un « ralentissement ». Ce ralentissement des encaissements « s’explique principalement par le tassement de la masse salariale du secteur privé, sur laquelle est assise une très large part des cotisations et contributions recouvrées », explique l’Acoss.

 

Croissance Russie : en baisse

Croissance  Russie : en baisse

La Russie, confrontée à une stagnation des investissements et de la consommation des ménages, a de nouveau réduit ses prévisions de croissance mardi, tablant désormais sur une hausse du produit intérieur brut limitée à 1,4% cette année. Les prévisions annoncées pour les deux prochaines années, ajoutées à l’aveu fait il y a quelques semaines selon lequel le pays restera à la traîne de la croissance mondiale pendant les 20 prochaines années, viennent conforter le sentiment que Moscou, trop tributaire de ses ressources naturelles, a besoin d’un nouveau modèle économique. « La stagnation va continuer, avec des moments de redressement », a déclaré le ministre de l’Economie, Alexeï Oulioukaïev, cité par l’agence RIA Novosti. La nouvelle prévision de croissance de 1,4% pour 2013, malgré un cours du brut qui reste stable autour de 100 dollars le baril, se compare à un objectif précédent de 1,8% qui lui-même avait été revu en baisse. Le gouvernement a également réduit ses prévisions de croissance pour 2014 et 2015, à 2,5% et 2,8% respectivement au lieu de 3% et 3,1%. « Ce n’est pas une crise économique, c’est la crise d’un modèle économique », avait lancé Andreï Makarov, président de la commission budgétaire et fiscale de la Douma, lors d’un récent débat parlementaire. Les nouvelles prévisions sont bien loin du taux de croissance de 5% que le président Vladimir Poutine promettait avant son retour au Kremlin l’an dernier. Le dirigeant russe voyait alors son pays se hisser parmi les cinq premières économies mondiales d’ici 2020, alors qu’il occupe actuellement la huitième place.  

 

Moral ménages : encore en baisse

Moral ménages : encore en baisse

 

Selon l’indicateur de l’Insee publié ce mercredi 27 novembre, leur confiance se dégrade ainsi légèrement au mois de novembre. Ainsi l’indicateur global passe de 85 points en octobre à 84 points, restant sous sa moyenne de long terme, qui s’élève à 100 points. Dans le détail, les ménages interrogés par l’Insee sont plus inquiets concernant l’évolution future du chômage, à la veille de la publication du nombre de demandeurs d’emploi pour le mois d’octobre. Le solde entre les réponses négatives et positives passe ainsi de 42 points au mois d’octobre à 58 points en novembre.  L’opinion des ménages sur leur niveau de vie passé et futur se détériore également. Par ailleurs, la proportion de ménages considérant qu’il est opportun d’épargner baisse fortement en novembre (-17 points). La confiance des ménages est indicateur important dans la mesure où il peut donner le pouls de la consommation, le plus important poste de contribution à la croissance

 

Immobilier : toujours en baisse dans le neuf

Immobilier : toujours en baisse dans le neuf

 

Crise, loi Duflot, instabilité fiscale, coût de construction,  resserrement du crédit des banques autant d’éléments qui font plonger les ventes dans le neuf. Les mises en chantier de logements neufs en France ont diminué de 2,8% sur un an, pendant les trois mois allant d’août à octobre, à 76.624 unités, selon les statistiques du ministère du Logement publiées mardi. En succédant à un repli de 0,6% entre juillet et septembre, ce recul plus accentué confirme que la légère embellie constatée entre juin et août (+2,1%) n’était que passagère. D’août à octobre, le segment des logements en résidence (seniors, étudiants…) a toutefois vu ses mises en chantier bondir de 20,2% à 5.026 unités sur un an, alors que celles des logements ordinaires ont baissé de 4,1% à 71.598 unités. Sur les douze mois écoulés entre novembre 2012 et octobre 2013, le nombre de logements neufs mis en chantier est toujours en net repli de 9% à 339.957 unités. « On est toujours sur les niveaux très déprimés qu’on a connus en 2010″, commente Sophie Tahiri, économiste chez Standard and Poor’s. « On a un déficit de logements en France et avec 340.000 mises en chantier, on est très loin des 400 à 500.000 logements que l’on estime nécessaire de construire pour compenser la croissance démographique et l’augmentation du nombre de ménages ».   »La demande des ménages reste faible car il leur est encore difficile d’obtenir un prêt (…), les investisseurs restent frileux en raison de l’instabilité fiscale, et l’impact du dispositif (d’incitation fiscale) Duflot reste incertain, causant une grande prudence de la part des investisseurs », observe-t-elle.  Plus inquiétant pour les mois à venir, le nombre des permis de construire accordés aux logements neufs, qui représentent les futures mises en chantier, a chuté de 23% d’août à octobre, à 101.989 unités, comparé à la même période un an plus tôt.  Et sur douze mois, la tendance est toujours à une nette baisse, avec un repli cumulé de 15,4% à 441.071 unités entre novembre 2012 et octobre 2013, comparé à la même période un an plus tôt.   »Tant du côté des mises en ventes de logements que des mises en chantier, qui allaient un peu mieux depuis quelques mois mais repassent dans le rouge, tous les indicateurs convergent pour indiquer que la machine ralentit de plus en plus », souligne François Payelle, président de la Fédération des promoteurs immobiliers (FPI).   »Après avoir vendu 75.000 logements neufs l’an dernier, nous pourrions tomber à 70.000 cette année. Nous retournons sur les niveaux des années 1993-1994, qui étaient très mauvaises », dit-il à l’AFP.  Pour les promoteurs, « les perspectives pour le quatrième trimestre et le premier semestre 2014 sont très mauvaises », estime-t-il.  Comme l’ensemble des observateurs, le Crédit Foncier rappelle que la principale explication de ce ralentissement du rythme de construction réside dans la crise économique actuelle, « conjuguée à une incertitude sur l’évolution incertaine des prix à terme », des facteurs qui « n’encouragent pas les Français à se projeter dans l’avenir ».  Or, en parallèle à cette dégradation de la conjoncture économique, les coûts de construction – qui se situaient déjà à des niveaux élevés, en raison de la cherté du foncier – se sont envolés, du fait d’une accumulation des normes de construction (performance énergétique, règlementation thermique, normes handicapés, normes sismiques…), rappelle le Crédit Foncier.  Ainsi les prix de revient (coût du foncier, coût de la construction et coût des honoraires) ont-ils augmenté de « plus de 28% en Ile-de-France entre 2005 et 2011, et de 55% en dehors de cette région », selon la même source.   »De ce fait, les prix de l’immobilier neuf ressortent à de tels niveaux que les promoteurs sont plus prudents à construire des programmes, par crainte de ne pouvoir les commercialiser », conclut le Crédit Foncier.

EUROPE : prévisions de croissance en baisse en 2014 à 1.1%

EUROPE : prévisions de croissance en baisse en 2014 à 1.1%

Reprise économique en 2014 plus lente qu’estimé au printemps en raison de la faiblesse de la demande privée comme de l’investissement ;  l’inflation restera nettement inférieure à l’objectif de la Banque centrale européenne (BCE) au cours des deux prochaines années, estime la Commission européenne. Les nouvelles prévisions économiques d’automne de l’exécutif communautaire fournissent de nouveaux arguments aux partisans d’une baisse des taux d’intérêt de la BCE, à 48 heures de sa réunion mensuelle. Le scénario d’un assouplissement de la politique monétaire dans la zone euro s’est considérablement renforcé depuis l’annonce jeudi dernier d’une hausse des prix de 0,7% seulement sur un an en octobre, son plus bas niveau depuis près de quatre ans, qui a fait ressurgir les craintes d’une spirale déflationniste. Les professionnels des marchés monétaires interrogés par Reuters ces derniers jours s’attendent toutefois à des taux inchangés jeudi. La Commission a revu en légère baisse sa prévision de croissance 2014 pour les 18 pays qui utiliseront la monnaie unique (la Lettonie l’adoptera le 1er janvier), à 1,1% contre 1,2% attendu il y a six mois, après une contraction de 0,4% cette année. Pour 2015, elle anticipe une accélération à 1,7%.Depuis les prévisions de printemps présentées début mai, La zone euro a annoncé avoir renoué avec la croissance au deuxième trimestre, et le rythme de la reprise devrait s’accélérer au fil des trimestres. Mais les services de la CE ont dû revoir en baisse leurs hypothèses en matière de demande privée et d’investissement, alors que leurs prévisions de demande publique demeurent inchangées.

 

Sondage confiance des patrons : en baisse

Sondage confiance des patrons : en baisse

D’après BFM business ,observée sur les trois derniers mois, du 30 juin au 30 septembre, l’évolution est inquiétante, particulièrement du côté des entreprises. Notre baromètre qui n’est jamais passé une seule fois dans le vert depuis sa création (il y a toujours, et quels que soient les sujets, plus de pessimistes que d’optimistes), a même atteint fin septembre ses plus bas niveaux (40% de pessimistes de plus que d’optimistes !). Après s’être légèrement redressées, les perspectives de croissance sont de nouveau orientées à la baisse, les projets d’investissement ne sortent pas des cartons et aucun dégel n’est perceptible dans les décisions d’embauche. La faute en partie à l’avalanche d’annonces fiscales dont les dirigeants ont du mal à évaluer les conséquences.  Paradoxalement, les ménages sont plus optimistes que les dirigeants d’entreprise sur les perspectives d’emploi, ce qui explique en partie le petit raffermissement de leur confiance tout au long du mois de septembre.  Cette évolution est sans doute le fruit de la communication volontariste du gouvernement, combinée à des chiffres du chômage un peu moins mauvais, qui incitent les Français à penser que le pire est passé sur le front de l’emploi. La faible inflation est aussi un motif de satisfaction.

 

Carburant : prix en baisse

Carburant : prix en baisse

Les prix des carburants ont poursuivi leur repli général au cours de la semaine passée, l’essence tombant même à des plus bas depuis neuf mois. La détente des cours du pétrole brut et une appréciation de l’euro expliquent largement ce phénomène. Le litre de gazole, carburant privilégié des Français avec environ 80% des ventes, valait ainsi en moyenne 1,3415 euro dans les stations-service hexagonales en fin de semaine dernière, contre 1,3625 euro une semaine plus tôt, selon les relevés hebdomadaires publiés ce lundi 30 septembre par le ministère de l’Ecologie et de l’énergie. Le gazole reste ainsi à ses plus bas niveaux de l’été. Les prix de l’essence ont également dégringolé d’environ deux centimes, revenant à leurs plus bas niveaux depuis la fin décembre. Ce mouvement continue de refléter la décrue sensible des cours du pétrole brut, sur fond d’apaisement des tensions autour de la Syrie, du réchauffement des relations Iran/Occident, et de reprise de la production pétrolière libyenne. Ces facteurs ont fait baisser les cours internationaux du pétrole brut ces dernières semaines (avec un baril de Brent passé de 115 dollars au début du mois à environ 107 actuellement, soit une baisse de 6%). Cette chute a également été amplifiée, au bénéfice des consommateurs européens de carburants, par un net mouvement d’appréciation de l’euro par rapport au dollar depuis le début du mois de septembre.

Croissance : production industrielle en baisse

Croissance : production industrielle en baisse

La reprise est là, mais où ? Car les indicateurs sont très contradictoires, si le moral remonte légèrement par contre la production industrielle continue de baisser. La production industrielle de la France a baissé de 0,6% en juillet après une baisse confirmée de 1,4% en juin, selon des données publiées mardi par l’Insee. L’indice de la production de l’industrie manufacturière s’est dans le même temps contracté de 0,7% après une baisse confirmée de 0,4% en juin. Ces chiffres contredisent les prévisions de 20 économistes interrogés par Reuters, qui anticipaient en moyenne une production industrielle de juillet en hausse de 0,6%, leurs prévisions s’échelonnant entre +0,1% et +1,3%. En juillet, la production diminue de 6,7% dans les « matériels de transport », la baisse dans l’automobile atteignant 11,2%, les autres matériels de transport reculant de 3,1%. La production décroît nettement dans le raffinage (-6,0%). Elle augmente dans les « produits agricoles et alimentaires » (+0,7%), les « équipements électriques, électroniques, informatiques, machines » (+0,5%).

 

Sondage pouvoir d’achat : en baisse pour 65%

Sondage pouvoir d’achat : en baisse pour 65%

Selon un sondage publié ce lundi 2 septembre, 65% des Français considèrent que leur pouvoir d’achat a « plutôt diminué » au cours des douze derniers mois. La baisse de leur pouvoir d’achat a, selon les sondés, principalement affecté les dépenses liées aux loisirs et à l’habillement. Ils sont également 60% à anticiper une baisse de leur pouvoir d’achat dans l’année à venir, surtout parmi les 50-64 ans (68%) et les 65 ans et plus (80%), détaille cette étude de l’Institut CSA pour le spécialiste du crédit à la consommation Cofidis. Face à des dépenses imprévues, les personnes interrogées ont davantage tendance à puiser dans leur épargne (53%) qu’à modifier leurs habitudes de consommation (34%). Le recours au crédit reste pour sa part marginal (5%). Les loisirs (livres, cinéma, théâtre, concerts) constituent le pôle prioritairement concerné par une réduction des dépenses (30%) devant l’habillement (24%), la santé et les assurances arrivant en queue de peloton (2%). Malgré tout, la fréquence des découverts bancaires s’affiche en repli. Moins de quatre personnes sur dix (39%) affirment ainsi être à découvert au moins une fois par an, une proportion en baisse par rapport à la précédente vague de sondage en août 2012 (48%).

Le livret A : en baisse de 82% !

Le livret A : en baisse de 82% !

 

Le livret A n’a ainsi engrangé que 380 millions d’euros au mois de juillet, selon les chiffres publiés ce mercredi 21 août par la Caisse des Dépôts. A mois de juin et de mai, le livret A avait déjà enregistré de faibles performances, avec respectivement 270 et 290 millions d’euros. A titre de comparaison, avril avait draîné plus de 3 milliards d’euros, soit 9 fois plus que la collecte de juillet. Par rapport au même mois de 2012, la baisse est de 82%. Le livret de développement durable, autre livret d’épargne défiscalisé, a connu une meilleure performance, voyant sa collecte passée de 220 millions d’euros en juin à 850 millions en juillet.  Une des explications à avancer pour justifier cette nouvelle collecte de faible ampleur peut venir de l’abaissement de la rémunération du produit d’épargne, de 1,75% à 1,25%. Celle-ci étant effective depuis le 1er août, les Français ont pu l’anticiper au mois de juillet. De plus, le début de l’année avait été exceptionnel en terme de collecte pour le placement (plus de 14,6 milliards collectés sur les quatre premiers mois de l’année), ce qui pouvait laisser augurer d’un ralentissement. Enfin, au mois de juillet, les Français ont pu être incités à puiser dans leur épargne pour consommer. Depuis le 1er juillet les salariés ont la possibilité de débloquer leur épargne salariale dans la limite de 20.000 euros. Les épargnants ont ainsi pu être tentés de retirer un complément d’argent sur leurs livrets, de sorte à financer l’achat d’un bien plus importants.

Sondage Confiance des français : en baisse en mai

Sondage Confiance des français : en baisse en mai

 

. Seuls 25% des personnes interrogées se déclarent confiantes en mai, contre 73% peu confiantes, selon un sondage BVA pour BFM Business publié ce jeudi 4 juillet. L’indice perd 2 points pour tomber à -48. Il reste, néanmoins, loin des -72 à l’automne 2008. Par ailleurs, le sondage souligne que « à l’heure où de plus en plus de Français sont touchés par le chômage ou ne voient pas leur salaire augmenter, il est logique que leur évaluation du revenu du riche n’augmente pas non plus ».  Ainsi, comme l’année dernière, les Français considère une personne riche si elle a un revenu de 6.000 euros par mois et un patrimoine d’un million d’euros. Contrairement à François Hollande qui « n’aime pas les riches », les Français n’ont pas de problème avec eux. 68% d’entre eux estiment qu’une personne qu’ils considèrent comme riche provoque chez eux de l’indifférence. Ils sont tout de même 24% à être méfiant, 13% jaloux et 8% en colère. Moins d’un tiers éprouvent du respect.

 

Consommation de bière en baisse : en cause la hausse des prix

Consommation de bière en baisse : en cause la hausse des prix

Les Français boivent de moins en  moins de bière. Fin octobre 2012, l’Assemblée nationale faisait voter une hausse de 160% des taxes sur la bière, soit environ cinq centimes pour un verre de 25 centilitres, en réduisant cette augmentation pour la production des petites brasseries.  L’application de cette nouvelle fiscalité a fait flamber les prix : ils ont augmenté de 14% en grande surface depuis le début de cette année. Blonde, brune, ambrée ou fruitée : aucune variété n’est épargnée.  Conjugués au mauvais temps, les effets de la taxe se répercutent dans les cafés. Ils affichent une baisse de 15% de la consommation en six mois. Les cafetiers sont inquiets : la bière représente plus du tiers de leurs revenus.  Les Français sont loin d’être de gros buveurs de bière. Avec 30 litres par an et par habitant, notre pays se classe 26ème sur 27 en Europe. On en boit trois fois moins que les Belges, les Allemands et les Anglais, et cinq fois moins que les Tchèques. Notre préférée reste majoritairement la bière blonde. Mais de plus en plus, on aime découvrir les spécialités : la bière blanche plus désaltérante, ou la bière ambrée. Une chose à savoir : plus une bière a de goût, plus elle contient d’alcool. Côté production, les deux leaders en France sont Kronenbourg et Heinekein. Ces deux entreprises ne sont pas françaises, mais elles fabriquent en France, avec des produits français.

Croissance : production industrielle en baisse de 1.8% sur 2012

Croissance : production industrielle en baisse de 1.8% sur 2012

En avril, la production industrielle a rebondit de 2,2% par rapport à mars. Au cours de ce précédent mois, elle avait diminué de 0,6%, ajoute l’Insee.  Dans la seule industrie manufacturière (hors énergie et mines), la production repart à la hausse de manière encore plus marquée, avec une progression de 2,6% après avoir reculé de 0,7% en mars. Cumulée sur les mois de février, mars et avril, la production dans l’ensemble de l’industrie gagne 0,9% par rapport aux trois mois précédents (+0,8% dans le secteur manufacturier), précise l’Insee. Les hausses les plus marquées sur cette période concernent le raffinage (+14,7%) et les matériels de transport (+2%). Dans le détail, le rebond d’avril est particulièrement fort dans les matériels de transport (+5,7%), avec une hausse de 4,6% dans l’automobile après la performance déjà bonne de mars (+4,3%). La production a aussi nettement augmenté dans la métallurgie et les produits métalliques (+3,1%), dans le caoutchouc, le plastique et les minéraux non métalliques (+2,2%), dans la chimie (+2,5%) ainsi que dans le textile, l’habillement, le cuir et les chaussures (+4,4%). Presque tous les secteurs sont en hausse en avril, comme les produits agricoles et alimentaires (+2,3%), grâce au rebond de la fabrication de produits laitiers et de boissons, mais aussi, dans une moindre mesure, les équipements électriques, électroniques, informatiques, machines (+0,7%).Signe de la difficulté de la France à s’extirper de la crise, la production industrielle demeure toutefois, au cours de ces trois mois, inférieure de 1,8% au niveau enregistré durant la même période de 2012 (-2,3% pour la seule industrie manufacturière).

Wall Street : en baisse ; en cause : des indicateurs décevants

Wall Street : en baisse ; en cause : des  indicateurs décevants

Selon des résultats définitifs, le Dow Jones Industrial Average, qui avait atteint la veille un nouveau record historique, a lâché 42,47 points, à 15.233,22 points, et le Nasdaq, à dominante technologique, a reculé de 6,38 points, à 3.465,24 points.  L’indice élargi S&P 500, qui était parvenu mercredi à battre son record pour la quatrième séance consécutive, a fini en baisse de 0,50% (-8,31 points), à 1.650,47 points.  Les indices sont passés dans le rouge en fin d’échanges après avoir passé la plus grande partie de la séance en territoire positif.   »Le marché, qui a aligné les records ces derniers jours, était prêt techniquement pour un léger recul », a remarqué Peter Cardillo, de Rockwell Global Capital.   »Hormis peut-être les très bons résultats de (l’équipementier en télécoms) Cisco, rien n’était très bon », a relevé de son côté Andrew Fitzpatrick, de Hinsdale Associates. « La plupart des indicateurs se sont révélés décevants et ont donné au marché une raison de vendre ».  Les nouvelles inscriptions au chômage ont notamment montré une hausse marquée la semaine dernière aux Etats-Unis (+9,75%), supérieure à la prévision médiane des analystes.  Les mises en chantier de logements aux Etats-Unis ont, quant à elles, chuté de 16,5% en avril après deux mois consécutifs de hausse, accusant leur plus forte baisse depuis février 2011.  Autres indicateurs décevants: l’activité manufacturière de la région de Philadelphie (nord-est des Etats-Unis) a nettement chuté en mai et les prix à la consommation, entraînés par la baisse des prix de l’essence, ont poursuivi leur recul en avril.

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