Archive pour le Tag 'en 2013'

Page 2 sur 2

Chômage : 73 millions de jeunes dans le monde en 2013

Chômage : 73 millions de jeunes dans le monde en 2013

En 2013, à l’échelle mondiale, il y aura près de 73,4 millions de jeunes chômeurs, une augmentation de près de 3,5 millions depuis 2007 et de 0,8 million depuis 2011, selon le rapport « Tendances mondiales de l’emploi des jeunes » de l’OIT.  Globalement, entre 2012 et 2018, le nombre de jeunes chômeurs va augmenter de plus de deux millions, ce qui équivaut à une progression de près de 25%.  « En 2018, le taux de chômage des jeunes devrait s’élever à 12,8% (contre 12,6% en 2013), avec des disparités régionales croissantes », prédisent les experts de l’OIT.  Les économistes estiment que les économies avancées devraient enregistrer des « améliorations » qui seront compensées par une dégradation de la situation dans d’autres régions, principalement en Asie.  « Un des éléments les plus effrayants est la méfiance des jeunes générations actuelles vis-à-vis des systèmes politiques et socio-économiques », estime l’OIT.  « Une partie de cette méfiance s’est exprimée à travers des manifestations politiques, tels que les mouvements anti-austérité en Grèce ou en Espagne » où les jeunes chômeurs représentent plus de la moitié des jeunes actifs, explique l’organisation internationale basée à Genève.  D’une façon générale, l’OIT se montre particulièrement inquiète quant à la situation actuelle dans trois régions — les économies développées et l’Union européenne, le Moyen-Orient et l’Afrique du Nord — où le chômage des jeunes s’est envolé depuis 2008.  Dans les économies développées et l’Union européenne, le chômage des jeunes a ainsi bondi de 24,9% entre 2008 et 2012.  Le taux de chômage des jeunes dans cette même région a quant à lui atteint 18,1% en 2012 et selon les dernières prévisions de l’OIT il ne devrait pas passer sous les 16% avant 2018.  A moyen terme, le taux de chômage des jeunes devrait subir une nouvelle pression quand ceux qui continuent d’étudier faute de débouchés professionnels arriveront sur le marché du travail.  Si la situation des jeunes dans l’UE fait régulièrement la Une des médias, l’OIT relève que « les régions en développement sont confrontées à des défis majeurs en termes d’emploi des jeunes, et enregistrent d’importantes divergences ».  Ainsi, le taux de chômage des jeunes devrait atteindre 30% au Moyen-Orient en 2018 (contre 28,3% en 2012) et 23,9% en Afrique du Nord (contre 23,7% en 2012).  En Asie, la situation est nettement plus favorable actuellement mais elle devrait se dégrader, enregistrant en 2018 des taux de chômage des jeunes de 10,5% en Asie de l’Est (contre 9,5% en 2012), de 14,3% en Asie du Sud-Est et Pacifique (contre 13,1% en 2012) et de 9,8% en Asie du Sud (contre 9,3% en 2012).  En Amérique latine et Caraïbes, ce taux devrait aussi progresser, de 12,9% en 2012 à 13,6% en 2018. Il devrait rester stable, à 11,7%, dans les pays d’Afrique sub-saharienne.

 

Effets jours fériés : moins 0,1% de croissance en 2013

Effets  jours fériés :  moins 0,1% de croissance en 2013

2013 comptera au total 251 jours de semaine ouvrés, soit deux de moins qu’en 2012, a calculé l’Insee: deux lundis, deux mercredis et un vendredi de moins qu’en 2012 mais aussi trois mardis en plus.  L’année 2013 comptera également un dimanche de moins et un samedi de plus que 2012. Cette année, le 14 juillet tombera un dimanche tandis que deux jours fériés étaient des dimanches en 2012, le 1er janvier et le 11 novembre. Au total, l’effet de deux jours ouvrés de moins l’emporte sur l’impact positif d’un samedi supplémentaire.  Mais combien coûteront ces deux jours de moins de production ? Pour répondre, les experts de l’Institut de la statistique notent aussi qu’un surcroît de jours ouvrés de milieu de semaine (mardi à jeudi) a un effet positif légèrement plus important sur le PIB qu’un surcroît de lundis ou de vendredis.  Un surcroît de samedis ouvrés a un effet positif plus de trois fois inférieur à un jour de semaine. Un surcroît de dimanches a un effet négatif d’amplitude négligeable de même que l’effet des années bissextiles.  Verdict : l’effet de calendrier sur la croissance sera donc négatif en 2013, à hauteur de 0,1 point de PIB environ. Dommage : les vents sont suffisamment contraire à la croissance, ce n’était pas le moment d’en rajouter !

 

Déficit public : autour de 4% au lieu de 3 en 2013

Déficit public : autour de 4% au lieu de 3 en 2013

 

Exit le déficit ramené à 3% en 2013 ( après 4.8% en 2012). Hollande reprend la prévision de la commission européenne à 3.7%. En fait, on sera autour de 4% car les économies de l’Etat ne seront pas entièrement réalisées et la croissance sera moindre que les prévisions. . Une croissance plus faible que prévu, et donc des rentrées fiscales inférieures aux anticipations. Dans la mesure où le gouvernement ne compte pas «rajouter de l’austérité à la récession», le ministre des Finances, Pierre Moscovici, a d’ores et déjà prévenu que des mesures d’ajustement supplémentaires ne seraient pas demandées aux Français cette année – que ces efforts portent sur les dépenses ou sur les impôts. «Les Français attendent de la sérénité, de la stabilité», a-t-il redit hier à l’Assemblée nationale. D’où un inévitable dérapage par rapport aux engagements. Pour la première fois mardi, le chef de l’État l’a chiffré: François Hollande a indiqué lors de son discours à Dijon que le déficit public de la France devrait être «sans doute de 3,7 % en 2013… même si nous essaierons de faire moins». Cette estimation n’est pas donnée au hasard: c’est celle que la Commission européenne vient de publier. Cet aveu, François Hollande ne veut pas qu’il soit perçu comme un signe de faiblesse: «En deux ans, nous aurons accompli un redressement structurel inédit tant il est considérable. Le déficit public en 2011 s’élevait à un peu plus de 5 % de la richesse nationale, à 4,5 % fin 2012», a-t-il insisté. Avant d’ajouter: «La bonne stratégie économique, c’est de rester dans cette trajectoire sans rien faire qui puisse affaiblir la croissance.» Pour autant -et c’est la raison pour laquelle l’exécutif entend redoubler d’efforts en 2014 -, «redresser les comptes est une obligation financière, sinon nous allons être pris par la spirale de l’endettement ; c’est également une obligation de souveraineté parce que la France ne doit jamais être en difficulté sur les marchés, jamais elle ne doit offrir la moindre vulnérabilité», a poursuivi le président de la République. Le chef de l’État a toutefois rappelé que les taux d’intérêt qui permettent de financer la dette française «sont au plus bas de notre histoire». Question : pour combien de temps ? Pour repasser sous la barre des 3 % de déficit en 2014, les dépenses devront être réduites et «des choix courageux» être faits, notamment pour les prestations sociales et les retraites, a d’ores et déjà prévenu François Hollande. Au final, «plus tôt on rétablira les comptes publics, plus tôt la confiance reviendra. Et plus tôt nous aurons retrouvé de la croissance, plus tôt nous en finirons avec les déficits et plutôt nous pourrons baisser le chômage», a-t-il conclu sur ce sujet.

 

INSEE : pas de croissance en 2013

INSEE : pas de croissance en 2013

 

Stagnante depuis la mi-2011, l’économie française risque fort de rester au point mort au premier semestre et ne pourra renouer avec la croissance d’ici fin 2013 qu’à la faveur d’une amélioration de l’environnement global, estime l’Insee. Et si une franche récession est exclue, ce surplace prolongé entraînera une nouvelle hausse du taux de chômage, qui se rapprocherait au début de l’été de ses plus hauts niveaux depuis près de 16 ans. Dans sa dernière note de conjoncture publiée jeudi, l’Institut revoit légèrement en baisse sa prévision de croissance pour le premier trimestre 2013, à 0% contre +0,1% anticipé en décembre, et confirme celle de 0,1% pour le deuxième trimestre. « On reste sur plusieurs trimestres de dynamique très faible et on pense que ça va encore continuer sur le premier semestre », déclare Jean-François Ouvrard, chef de la division synthèse conjoncturelle de l’Insee. Pour Cédric Audenis, chef du département de la conjoncture, « le climat est dégradé, mais pas plus dégradé qu’il y a six mois », du fait notamment du socle de résistance apporté par le haut niveau des prestations sociales qui soutient le pouvoir d’achat des ménages. Sur le front de l’emploi, l’Insee anticipe 74.000 suppressions de postes dans les secteurs marchands au premier semestre, avec un taux de chômage au sens du BIT qui atteindrait 10,6% fin juin en France métropolitaine (11,0% avec l’Outre-mer), tout près du record récent de 10,8% enregistré fin 1997. L’institut tient compte dans cette prévision des premiers effets du crédit d’impôt pour la compétitivité et l’emploi, un outil qui permet de facto de réduire le coût du travail et que les PME peuvent commencer à activer dès cette année sous forme d’avances de trésorerie, estimant qu’il permettra de sauver 15.000 postes sur la période. Pour le reste, tous les moteurs intérieurs de la croissance restent à l’arrêt: la consommation des ménages, pénalisée notamment par la dégradation des perspectives de l’emploi et la hausse des prélèvements, leurs achats de logements ou encore les investissements des entreprises. S’agissant de ces derniers, l’Insee prévoit que le recul entamé au deuxième semestre 2012 se poursuivra, ne serait-ce que parce qu’ils se situent à un niveau encore élevé à ce stade du cycle économique. De plus, la faiblesse du taux d’utilisation des capacités de production limite les anticipations d’engagements d’investissements des entreprises, qui reculeraient de 0,5% au premier comme au deuxième trimestres. La seule lueur d’espoir dans ce tableau est le redressement sensible des perspectives personnelles de production dans le secteur manufacturier apparu dans l’enquête Insee sur le climat des affaires de février, qui contraste avec la dégradation constatée dans les services. L’Insee estime en conséquence que la dégradation de la production manufacturière, qui a reculé de 2,4% au deuxième semestre 2012, va s’atténuer progressivement (-0,7% au premier trimestre et -0,2% au deuxième). Dans ce contexte, les exportations (+0,6% au premier trimestre, +0,7% au deuxième) devraient constituer le principal soutien de l’économie française, reflétant l’embellie en marche dans les grandes économies émergentes et aux Etats-Unis et le rebond attendu de l’Allemagne. L’Insee voit trois aléas susceptibles d’affecter ses prévisions. Le premier porte sur le taux d’épargne des ménages, qui permet à ceux-ci de lisser les à-coups du pouvoir d’achat liés notamment à la hausse des prélèvements. Même si un léger rebond est attendu début 2013, l’institut n’exclut pas ainsi que sa tendance baissière s’interrompe si les perspectives de revenus généraient, du fait de la crise, des comportements de plus grande prudence, ce qui aurait un impact certain sur la consommation. Le second tient à la croissance américaine, avec toutes les incertitudes liées à la politique budgétaire outre-Atlantique, et le troisième, positif cette fois, au prix du pétrole. L’Insee a fondé ses dernières prévisions sur un prix du baril stable autour de 100 dollars pour le Brent de la mer du Nord mais n’exclut qu’il soit finalement plus bas. Il estime enfin l’acquis de croissance de l’économie française pour 2013 à 0,1% à la fin du premier semestre. A ce niveau, il faudrait que le PIB augmente de 0,2% au troisième trimestre puis de 0,3% au quatrième pour atteindre sur l’année la croissance de 0,1% prévue par la Commission européenne comme par l’OCDE, en attendant que le gouvernement révise ses propres prévisions. « Une croissance (positive) en 2013 est du domaine du possible, même du vraisemblable », déclare Cédric Audenis, en ajoutant qu’on peut espérer pour cela une « amplification » dans les prochains mois des signaux positifs qui viennent actuellement de l’extérieur. « Mais d’ici la fin du premier semestre, on ne voit qu’une stabilisation, pas encore de rebond ! ».

 

Distributeurs-fournisseurs: les prix stables en 2013

distributeurs-fournisseurs: les prix stables en 2013

Les négociations 2012 destinées à fixer les accords tarifaires entre les représentants de l’agroalimentaire et la grande distribution, closes officiellement depuis le 1er mars, se sont conclues globalement par « une stabilité des prix des produits alimentaires » pour 2013, a indiqué lundi la FCD dans un communiqué.  Cette stabilité globale cache toutefois une certaine disparité.  Ainsi, certains produits ressortent en augmentation dans le sillage de l’inflation des matières premières agricoles, comme la viande, l’huile, la farine, certains produits laitiers, explique la FCD, sans préciser les montants exacts de ces hausses.  Certaines boissons (bières et spiritueux, ndlr) devraient également voir leurs prix augmenter du fait de la hausse des taxes, est-il ajouté.  En revanche, les produits à base de sucre, café, chocolat devraient voir leurs tarifs chuter, en raison de la baisse des matières premières, indique la FCD, toujours sans préciser les variations.   »L’augmentation des prix des matières premières a été prise en compte quand elle était justifiée, avec un effort marqué pour les PME », souligne-t-elle.   »Sans notre capacité de négociations, sans la LME (loi de modernisation de l’économie), les prix des produits alimentaires auraient augmenté de près de 5% en 2013″, affirme la Fédération, estimant que cela aurait été « inacceptable pour le consommateur, dans le contexte actuel » de restriction du pouvoir d’achat.  Selon la représentante de nombreux distributeurs français, comme Carrefour ou Auchan (mais à l’exception des indépendants comme Leclerc ou Système U), les hausses que réclamaient certains grands groupes industriels étaient « déraisonnables et injustifiées » et ont donc été négociées par les enseignes.   »Il faut que ces grandes industries prennent en compte la variable du pouvoir d’achat ! », martèle la FCD.  En revanche, certaines hausses demandées par les PME ont quant à elles été acceptées. C’est le cas pour plusieurs produits de charcuterie, dont les prix ont été revus à la hausse de 4% lorsqu’ils étaient fabriqués par des PME. Mais sont restés stables quant ils étaient fabriqués par des grands groupes.  Selon la FCD, les grands groupes de l’agro-alimentaire « se portent bien: +13% de marges depuis 2008 (+68% depuis 2000) alors que les enseignes de la distribution ont des marges historiquement faibles: -13% depuis 2008 (-14% depuis 2000) ».  L’association des industries agroalimentaires (Ania) avait dénoncé le 4 mars la pression que les représentants des industriels avaient subie de la part de distributeurs « sans foi ni loi » lors des négociations commerciales 2012. Elle réclamait également une modification de la LME.  Le ministre de l’Agriculture Stéphane Le Foll a annoncé quelques jours plus tard une « mise en oeuvre renforcée » des dispositions existantes » de la LME et une modification de certaines autres, en vue notamment de davantage de transparence sur les conditions de négociations.

 

Aéroports de Paris : légère croissance en 2013

Aéroports de Paris : légère croissance en 2013

Aéroports de Paris (ADP) a annoncé jeudi qu’il visait en 2013 une « légère croissance » de son chiffre d’affaires et de son résultat d’exploitation après des résultats globalement en hausse en 2012 grâce notamment à l’activité soutenue de ses boutiques et à l’intégration de TAV. L’an passé, le gestionnaire des aéroports de Paris-Charles de Gaulle et Paris-Orly, a vu son bénéfice net baisser de 1,9% à 341 millions d’euros « en raison d’éléments non-récurrents », a-t-il indiqué. Mais son résultat opérationnel courant s’est inscrit en hausse de 6,2% à 645 millions et son chiffre d’affaires a progressé de 5,6% pour s’établir à 2,6 milliards d’euros.

 

Croissance zéro pour la France d’après Bruxelles en 2013

Croissance zéro pour la France d’après Bruxelles en 2013

Pas étonnant qu’Hollande dégage en touche sur la croissance considérant que c’est à Bruxelles maintenant de faire des prévisions. Comment en effet annoncer que la croissance sera nulle en 2013 ; Initialement, on prévoyait +0.8%, un gros écart qui remet tout en cause. D’abord le déficit entre 3.5 et 4.5%  (selon les économie promises qui seront effectivement réalisées (certaines sont politiquement dangereuses pour un exécutif qui s’enfonce dans les sondages). Ensuite la dette qui dépassera nettement les 90% et le chômage dont la courbe ne va malheureusement pas s’inverser (il faudrait environ 1.5% de croissance). A deux jours du verdict de la commission européenne sur l’économie française en 2013, RTL révèle les prévisions catastrophiques de Bruxelles. La fameuse prévision de croissance pour la France sera finalement quasi nulle et la France sera très loin de l’objectif des 3%. Mercredi soir à Paris, Bercy ne confirmait pas ces chiffres. La croissance en France sera molle, très molle en France en 2013. Entre 0% et 0,1% de croissance. Le chiffre devrait être officialisé vendredi matin. Jean Marc Ayrault a même pris les devants en réunissant ses ministres à déjeuner aujourd’hui pour leur dire qu’il fallait réduire les déficits mais aussi sauver la croissance. On est donc loin du mythe d’une croissance à 0,8%, qui vient d’être abandonné par le gouvernement. Sans croissance, le déficit budgétaire augmente. Il sera d’au moins 3,6 % selon les experts de Bruxelles.  Conformément à ses nouveaux pouvoirs, la Commission devrait imposer une forte amende à la France mais elle va patienter jusqu’en mai prochain. Pourquoi ? Parce que la commission est convaincue que la France est réellement engagée sur le chemin des réformes structurelles. C’est un processus qu’elle veut encourager et non pas enrayer, surtout quand la récession plane.

 

Nouveau :- site chansons-poèmes de  g.bessay:

http://chansontroisiemeage.unblog.fr/

Europe : Sortie de crise de la dette en 2013 affirme Standard and Poor’s ; du pipeau !

Europe : Sortie de crise de la dette en 2013 affirme Standard and Poor’s ; du  pipeau !

SP  faiat des prévisions financières et pense que la crise de la dette pourrait se terminer en 2013 en Europe ; première observation, SP ne connait rien en économie et est essentiellement compétente en matière de finances , ce qui n’est pas tout à fait la même chose ; seconde observation, la prévision est aussi un métier et dans ce domaine les agences en général se sont toujours plantées  sur les grands événements en particulier sur la crise de 2009 ; elles se plantent aussi sur la situation européenne en 2013 ( car l’avenir de la dette dépend de la croissance)  Mieux vaudrait que les agences  se concerne sur l’analyse financière actuelle en faisant preuve de la meilleure pertinence technique possible ( exemple : on se demande ce qui justifie encore la note de la Grande Bretagne voire des Etats Unis !)   »Cette année pourrait être décisive pour déterminer si la zone euro peut émerger de ses problèmes liés aux dettes souveraines », écrit l’agence de notation dans ce document intitulé « La crise de la dette en zone euro: 2013 pourrait être une année charnière ».   »Néanmoins, nous croyons que la confiance des investisseurs ne reviendra que si les États membres poursuivent le rééquilibrage de leurs économies, à la fois en stabilisant structurellement les dettes publiques et en réduisant davantage les déficits extérieurs », selon Moritz Kraemer, analyste crédit chez Standard & Poors.  Ces objectifs sont difficiles mais peuvent être atteints, poursuit l’agence de notation qui met toutefois en garde contre les risques qui perdurent et justifient selon elle le maintien de perspectives négatives sur une bonne partie des notes des pays de la zone euro.  Standard & Poors est la seule agence qui ait retiré leur triple A, la meilleure note possible, aux Etats-Unis durant l’été 2011. C’est également elle qui la première a dégradé la note souveraine de la France, la rétrogradant en janvier 2012 d’un cran (de AAA à AA+), suivie à l’automne dernier par sa concurrente Moody’s (de Aaa à Aa1).  L’Europe pourrait commencer à sortir de la crise des dettes souveraines en 2013, a affirmé l’agence de notation StandCdans une analyse publiée mercredi.   »Cette année pourrait être décisive pour déterminer si la zone euro peut émerger de ses problèmes liés aux dettes souveraines », écrit l’agence de notation dans ce document intitulé « La crise de la dette en zone euro: 2013 pourrait être une année charnière ». « Néanmoins, nous croyons que la confiance des investisseurs ne reviendra que si les États membres poursuivent le rééquilibrage de leurs économies, à la fois en stabilisant structurellement les dettes publiques et en réduisant davantage les déficits extérieurs », selon Moritz Kraemer, analyste crédit chez Standard & Poors.  Ces objectifs sont difficiles mais peuvent être atteints, poursuit l’agence de notation qui met toutefois en garde contre les risques qui perdurent et justifient selon elle le maintien de perspectives négatives sur une bonne partie des notes des pays de la zone euro.  Standard & Poors est la seule agence qui ait retiré leur triple A, la meilleure note possible, aux Etats-Unis durant l’été 2011. C’est également elle qui la première a dégradé la note souveraine de la France, la rétrogradant en janvier 2012 d’un cran (de AAA à AA+), suivie à l’automne dernier par sa concurrente Moody’s (de Aaa à Aa1).

 

Hausse frais bancaires en 2013

Hausse  frais bancaires en 2013

 

Selon  Les Echos qui s’est penché sur les nouvelles plaquettes tarifaires de huit grandes banques  26 hausses, pour deux baisses seulement. Les hausses des tarifs des frais bancaires concernent surtout les cartes de paiement (+ 2 % en moyenne), qui coûtera entre 35 et 41 euros. Autre opération en hausse: les virements hors zone euro. Dans 5 banques sur 8 testées dans l’enquête, ils coûteront plus cher en 2013, et les commissions d’intervention (les frais prélevés par la banque quand un paiement est fait alors que le découvert autorisé est dépassé), eux ne baissent globalement pas, malgré les appels lancés le mois dernier lors de la conférence nationale contre la pauvreté. Ces commissions d’intervention, Nathalie les connaît bien : elles ont contribué il y a quelque mois à ce qu’elle en arrive jusqu’à l’interdit bancaire. « Elles sont régulières, de l’ordre de 6 euros 70, raconte-t-elle sur RMC. Moi je suis reconnue adulte d’adulte handicapée, j’ai une pension. Quand on m’enlève 30 ou 50 euros de frais dans un mois, on m’enlève une semaine de budget de nourriture, ce sont vraiment des frais qui s’accumulent. Il faut être extrêmement vigilant. Ça m’a mis plus que dans le rouge, j’ai été en interdit bancaire, il m’a fallu à peu près 6 mois pour arriver à remonter la pente et arriver à 0 euros de découvert. J’ai eu plus de frais que ce que j’ai emprunté ».  Sonia a, elle aussi, connu l’interdit bancaire récemment, et les frais se sont accumulés. « Des petites sommes, mais quand ça dépasse 15 ou 20 euros, je trouve que c’est beaucoup. Ça engendre beaucoup de frais, en plus des prélèvements habituels, c’est un cercle vicieux et ça m’a mis dans le rouge. Alors on coupe dans d’autres budgets, alimentaire, de sortie », témoigne la mère de famille. Bénévole à l’association Consommation, logement, Cadre de Vie dans les quartiers nord de Marseille, Fathia Ziani connait bien ce phénomène. « La moyenne des revenus des personnes en surendettement est de 400 ou 500 euros au maximum. Et le fait d’avoir tous ces agios de 8 euros, 10, 11 euros, elles se disent « pourquoi je vais payer, puisque je ne vais pas y arriver ». Et c’est comme ça qu’elles se retrouvent en dossier de surendettement ».

Zone euro : croissance en nette baisse en 2013 (BCE)

Zone euro : croissance en nette baisse en 2013 (BCE)

La Banque centrale européenne (BCE) a déclaré aujourd’hui s’attendre désormais à une contraction du Produit intérieur brut (PIB) en zone euro en 2013, prenant acte de l’accélération de la dégradation de l’économie dans la région, qui est entrée en récession au troisième trimestre. La BCE prévoit une contraction de 0,3% en 2013, alors qu’elle tablait encore sur une croissance de 0,5% en septembre. Pour 2014 elle s’attend à une croissance de 1,2%, selon une première estimation, et pour cette année sur un recul du PIB de 0,5%, un chiffre révisé en légère baisse (-0,4% précédemment). L’institution a également  abaissé ses prévisions d’inflation pour 2013, dans ce contexte de dégradation de la conjoncture. La BCE attend désormais une hausse des prix de 1,6% l’année prochaine, contre 1,9% jusqu’ici. Pour 2012 elle a confirmé sa prévision d’une inflation de 2,5%, tandis qu’elle attend à 1,4% en 2014, selon une première prévision. Un peu plus tôt dans la journée, la BCE a annoncé qu’elle laissait inchangé son taux directeur. Le taux de refinancement reste donc de 0,75%, le taux de facilité de dépôt nul et le taux de prêt marginal de 1,0%. Ces trois taux n’ont plus bougé depuis le 5 juillet dernier. Selon Mario Draghi, son président, cette décision n’a pas été unanime.

Impôts locaux: révision du régime de la CFE en 2013 mais pas pour la taxe foncière des particuliers

Impôts locaux: révision du régime de la CFE en 2013 mais pas pour  la taxe foncière des  particuliers

La taxe foncière (CFE) a parfois triplé pour les entreprises ; cette  cotisation foncière des entreprises (CFE), qui a remplacé partiellement la taxe professionnelle, devrait faire l’objet d’une réforme en profondeur l’an prochain. Après la fronde des petites entreprises qui ont vu, il y a quelques semaines, la facture de leur CFE tripler dans certaines communes, le gouvernement réfléchit à revoir la fixation du taux pour 2013. Le montant de la CFE, assise sur la valeur locative des biens des entreprises, est déterminé par un taux fixé par chaque commune. Mais certaines entreprises déclarent une valeur locative très faible par rapport à leur activité réelle  une réforme de toute manière indispensable pour les entreprises. Pour les particulier, par contre pas de changement, la taxe foncière continue d’augmenter.  « Sur l’ensemble de la France, la taxe foncière a augmenté en moyenne de 20,94% entre 2006 et 2011 alors que l’inflation a seulement progressé de 8,2% pendant cette période », déplore Jean Perrin, le président de l’UNPI, dans cette étude annuelle présentée mercredi. Aussi, pour la principale organisation de propriétaires-bailleurs, « il faut que les collectivités locales bloquent les taux » car celles-ci sont responsables, à égalité avec l’Etat, de la moitié de la hausse. Entre 2006 et 2011, c’est à Verdesse (+129,43%) et Aghione (+116,15%), en Corse, que la taxe foncière a le plus augmenté devant Villers-Adam (+99,95%, Val d’Oise) et Romain-aux-Bois (+92,08%, Vosges). Parmi les 50 communes les plus peuplées de France, c’est à Paris que l’augmentation a été la plus forte (+67,90%) à cause de la création d’un taux départemental. Mais en 2011 les taux cumulés de la capitale par rapport à la valeur locative (13,5°%) restaient néanmoins parmi les plus bas des grandes villes. Dans les quatre autres grandes métropoles, la hausse est de 15,11% à Lyon, 15,34% à Marseille, 18,42% à Toulouse et 23,26% à Nice. C’est à Fort-de-France qu’elle est la plus modérée (+8,48%) devant Aix-en-Provence (+10,44%) et Reims (+10,49%). En 2011, Courbevoie (Hauts-de-Seine), restait, grâce au quartier d’affaires de La Défense, la ville où les taux cumulés de la taxe foncière restaient les moins élevés (12,09%) devant Paris (13,50%), Boulogne-Billancourt (14,44%) et Nanterre (18,77%). Par contre c’est à Amiens qu’ont été constatés les taux les plus élevés (54,49%) devant Grenoble (54,00%), Caen (53,01%) et Angers (52,90%) Les résultats concernant plus de 36.000 communes sont publiés sur le site internet www.unpi.org

 

 

 

Sondage –Hollande : 64% mécontents ; un séisme politique en 2013

Sondage –Hollande : 64% mécontents  ; un séisme politique en 2013  

 

A ce rythme Hollande ne tiendra pas longtemps ; le séisme politique est proche, il se produira sans doute en 2013 .D’après les résultats d’un sondage OpinionWay pour Le Figaro, 64 % d’entre eux se déclarent mécontents de l’action du président de la République depuis son élection. Pire: dans chacun des treize domaines retenus par OpinionWay, François Hollande recueille une majorité de mécontents. «Il est relativement rare d’obtenir d’aussi mauvais résultats si vite, mais cela est un peu lié à la période, explique Bruno Jeanbart, directeur des études politiques d’OpinionWay. La crise est forte, l’inquiétude est forte, cela rejaillit sur lui.» Sur fond de dégradation de l’environnement économique, c’est sans surprise sur sa capacité à lutter contre le chômage que les Français accordent le moins leur confiance au chef de l’État: 69 % d’entre eux se déclarent mécontents de son action dans ce domaine, juste devant «la politique fiscale» (66 %) et «le respect des engagements pris pendant la campagne électorale» (63 %). Son moins mauvais score, avec «seulement» 51 % de mécontents, le président le réalise à égalité dans trois domaines différents: «La lutte contre l’insécurité», «l’amélioration du système éducatif» et «la manière dont il défend les intérêts de la France à l’étranger». Sur le premier sujet, c’est plutôt positif: «Pour un président de gauche, c’est plutôt un bon score», assure Bruno Jeanbart. Sur les deux autres, en revanche, ce sont des mauvais points pour François Hollande. D’abord, parce qu’il avait mis l’éducation au cœur de sa campagne électorale: moins d’un Français sur deux satisfait, c’est le signe d’un doute sur sa capacité à tenir ses promesses. Quant à la défense des intérêts de la France, ils sont à relier au traité européen, que le chef de l’État s’était fait fort de renégocier mais dont son premier ministre, Jean-Marc Ayrault, avait lui-même reconnu que «d’un point de vue juridique» il s’agissait du même texte que celui qu’avait négocié Nicolas Sarkozy en mars 2012. Parallèlement au jugement des Français sur l’action du chef de l’État, leur opinion sur l’homme se révèle extrêmement sévère. Ils sont 68 % à estimer que François Hollande ne sait pas faire preuve d’autorité, 64 % à penser qu’il n’est pas capable de rassembler les Français et 63 % à assurer qu’il ne sait pas prendre des décisions difficiles. «Sur la question des traits d’image de François Hollande, c’est inquiétant, car les traces peuvent être longues à effacer», prévient Bruno Jeanbart. De l’image du chef de l’État dépend aussi l’écoute qui est accordée à ses propos. Or 62 % des personnes interrogées assurent que le président de la République n’explique pas bien son action. «On voit que son image dégradée n’est pas uniquement liée au contexte économique. Il y a aussi une difficulté à faire passer son message ainsi que des questionnements sur sa stratégie face à la crise», note Bruno Jeanbart.

 

 

Asie : Croissance molle en 2013

Asie : Croissance molle  en 2013

Les économies asiatiques enregistreront probablement une nouvelle année de croissance molle en 2013, malgré une reprise timide attendue dans certains pays où les banques centrales poursuivent leur politique accommodante, montre une enquête Reuters. Beaucoup dépendra de la capacité de la Chine, la principale économie asiatique, à enrayer le ralentissement de son économie, d’une éventuellement confirmation d’une reprise de l’économie américaine et de la capacité de la zone euro à endiguer la crise de la dette.  Dans l’enquête d’octobre, les prévisions ont été revues à la baisse pour presque toutes les économies de la région par rapport à l’enquête réalisée en juillet.  « L’année prochaine sera probablement une année assez difficile pour la plupart des économies asiatiques », a déclaré Vishnu Varthan, économiste chez Mizuho Corporate Bank.  « Beaucoup de ces économies n’ont pas coupé le cordon avec la Chine et le fait que la Chine assouplisse ou non sa politique et à quel degré donnera le rythme de la croissance dans la région », a-t-il ajouté.

 

12



L'actu écologique |
bessay |
Mr. Sandro's Blog |
Unblog.fr | Annuaire | Signaler un abus | astucesquotidiennes
| MIEUX-ETRE
| louis crusol