Archive pour le Tag 'Emmanuelle'

Emmanuelle Wargon, nouvelle Présidente de la CRE: du reclassement politique

 

 

Emmanuelle Wargon, nouvelle Présidente de la CRE: du reclassement politique

 

 

 

Une fois de plus, Macron a choisi une personnalité complètement incompétente  cette fois pour gérer la question de la régulation de l’énergie. Une incompétence qui d’ailleurs rejoint celle des deux sous ministre en charge de l’écologie complètement ignorants de la problématique environnementale.

Du coup, cette  candidature d’Emmanuelle Wargon  à la présidence de la séreuse a été sérieusement contesté au Parlement.

Jérôme Nury (LR) a dénoncé « un recasage en règle », après l’échec d’Emmanuelle Wargon aux dernières élections législatives. L’ex-ministre avait, en effet, présenté sa candidature dans le Val de Marne mais a été éliminée dès le premier tour, le 12 juin dernier. « Ce jeu de chaises musicales jette un discrédit et une suspicion sur votre nomination. Où est l’impartialité ? Où est l’indépendance? », s’est interrogé Philippe Brun (socialiste – Nupes), quand un autre député de l’opposition a même jugé « raisonnable » que l’ex-ministre « retire sa candidature ».

Passée, entre autres, par la Cour des comptes, le ministère de la Santé, le Haut-commissariat aux Solidarités actives et l’Agence du médicament, cette énarque a réalisé l’essentiel de sa carrière dans le service public, avec toutefois un passage dans la sphère privée en tant que directrice générale des affaires publiques et de la communication chez Danone de 2015 à 2018. Emmanuelle Wargon ne fait son entrée en politique qu’en 2018, en rejoignant le gouvernement d’Edouard Philippe comme secrétaire d’Etat à la transition écologique. Elle devient ensuite ministre du Logement dans le gouvernement de Jean Castex.

Lors de ces deux auditions, Emmanuelle Wargon a aussi clarifié sa position vis-à-vis du nucléaire. Initialement favorable à la fermeture de 12 réacteurs nucléaires à l’horizon 2035, l’ex-membre du gouvernement a affirmé devant les sénateurs : « Je suis favorable à l’électricité nucléaire, clairement. J’y suis sur le maintien des réacteurs existants et sur le développement du nouveau nucléaire ».

Par ailleurs, Emmanuelle Wargon a dit vouloir renforcer les contrôles sur la manière dont les fournisseurs alternatifs, bénéficiant de l’Arenh (mécanisme qui oblige EDF à vendre de l’électricité nucléaire à prix bradés à ses concurrents), fixaient leur prix. La nouvelle présidente de la CRE souhaite, en effet, s’assurer que ce dispositif bénéficie bien aux consommateurs finaux et ne constitue pas une rente pour les fournisseurs alternatifs.

Sur ce sujet très sensible, elle a voulu appuyer sa différence avec son prédécesseur : « Jean-François Carenco était un avocat de l’Arenh à 150 TWh, ce n’est pas mon cas. Je pense que 120 TWh est un maximum », a-t-elle indiqué. Emmanuelle Wargon a aussi plaidé pour une réforme du marché européen de l’électricité en soulignant que, dans ce domaine, la CRE avait un rôle d’expertise, d’analyse et d’influence.

 

Flashée à 150 km/h en pic de pollution, la secrétaire d’Etat Emmanuelle Wargon : piégée à 150kmh ! »

Flashée à 150 km/h en pic de pollution, la secrétaire d’Etat Emmanuelle Wargon : piégée à 150kmh ! »

 

On se demande bien quel est l’urgence qui a justifié que l’inutile secrétaire d’État à la transition écologique justifie qu’elle roule à 150 km/h. En outre, pas vraiment un comportement exemplaire en sachant que plus la vitesse s’élève plus les émissions polluantes augmentent. Sans parler la sécurité tellement chère au Premier ministre et à sa loi des 80 km. On objectera que la ministre a été coincée à 150 sur une autoroute et que le dépassement est donc de 40 km/h. Le pire c’est que ce dépassement se situait dans une période de pollution dont   la ministre déclare qu’elle ignorait l’existence Selon une information de Ouest France, confirmée à BFMTV.com, la secrétaire d’État auprès du ministre de la Transition écologique était en déplacement dans les Hauts-de-France lorsque son véhicule a été flashé.  D’après Ouest France, ce sont des policiers présents sur cette portion de voie qui ont contrôlé la vitesse du véhicule, conduit par le chauffeur de la secrétaire d’État à ce moment-là. La limitation exceptionnelle était indiquée « sur tous les panneaux de signalisation et répétée en boucle à la radio », a déclaré l’un d’entre eux au quotidien.  De son côté, l’entourage d’Emmanuelle Wargon confirme l’infraction. « On n’était pas au courant du pic de pollution« , assure son cabinet auprès de BFMTV.com. Et ce malgré le fait que l’intéressée soit secrétaire d’État auprès de François de Rugy, ministre… de la Transition écologique.  C’est d’ailleurs en cette capacité qu’Emmanuelle Wagrrgz B (dont le gisement aux Pays-Bas s’épuise) au gaz H. En tout cas en voiture ça gaze pour la ministre !

Le mensonge sur l’amitié de Vauquiez avec sœur Emmanuelle

Le mensonge sur l’amitié de Vauquiez avec sœur Emmanuelle

Il ne s’agit pas d’un pieux mensonge mais d’une honteuse récuparation révélatrice de la personnalité de Vauquiez « Avec sœur Emmanuelle, j’ai passé plusieurs mois en Egypte, à l’occasion d’un stage de l’ENA. Quand elle me voyait, elle me regardait droit dans les yeux et me disait : ‘Mon petit Laurent, qu’as-tu fait de bon depuis que je t’ai vu?’ », a-t-il notamment déclaré. La vérité est différente, Wauquiez veut laisser croire qu’il a effectué stage de l’ENA chez les chiffonniers de sœur Emmanuelle. En réalité, il a fait son stage à l’ambassade de France au Caire il a donné quelques coups de français. Quant à ces nombreuses rencontres avec sœur Emmanuelle, c’est évidemment un mensonge. Une seule fois, il a pu rencontrer sœur Emmanuelle de manière très rapide et il utilise cette rencontre de manière honteuse. D’après Wikipédia,  «  Au début des années 2000, il séjourne plusieurs mois en Égypte et travaille à l’ambassade de France au Caire. Il affirme avoir parallèlement donné des cours de français au sein de l’association de sœur Emmanuelle23 . Le journal Le Monde émet des doutes quant à la véracité de cet épisode, tout comme l’Association Sœur Emmanuelle, Asmae,  qui lui reprochera en outre d’exploiter « l’image d’une des personnalités préférées des Français pour donner du crédit à ses propos ». Asmae, l’Association Sœur Emmanuelle, a publié un nouveau communiqué dénonçant des «tentatives d’utilisation» de l’image de la religieuse, avec laquelle Laurent Wauquiez a longtemps revendiqué une forme de proximité. «Asmae intervient pour préciser, une nouvelle fois, que Laurent Wauquiez utilise sœur Emmanuelle pour donner du crédit à son image», amorce le communiqué avant d’enchaîner: «Monsieur Wauquiez peut participer à tous les déjeuners qu’il souhaite, mettre tous les portraits possibles de la religieuse dans son bureau, depuis l’année passée rien n’a changé, il ne fait toujours pas partie des proches de sœur Emmanuelle.» Déjà la veille, dans les colonnes du Monde , sa directrice générale, Catherine Alvarez, a déclaré ne pas être «sûre que les opinions de M. Wauquiez auraient été du goût de sœur Emmanuelle». La charge est violente, mais n’est pas nouvelle. En 2016, la patronne d’Asmae, association de solidarité internationale fondée par sœur Emmanuelle en 1980, expliquait sur France 2 qu’elle ne conservait aucun souvenir d’une quelconque amitié entre le patron de la Région Auvergne-Rhône-Alpes et l’intéressée.

 

La honteuse récupération de Sœur Emmanuelle par Vauquiez

La honteuse récupération de  Sœur Emmanuelle par Vauquiez

. « Avec sœur Emmanuelle, j’ai passé plusieurs mois en Egypte, à l’occasion d’un stage de l’ENA. Quand elle me voyait, elle me regardait droit dans les yeux et me disait : ‘Mon petit Laurent, qu’as-tu fait de bon depuis que je t’ai vu?’ », a-t-il notamment déclaré. La vérité est différente, Wauquiez veut laisser croire qu’il a effectué stage de l’ENA chez les chiffonniers de sœur Emmanuelle. En réalité, il a fait son stage à l’ambassade de France au Caire il a donné quelques coups de français. Quand à ces nombreuses rencontres avec sœur Emmanuelle, c’est évidemment un mensonge. Une seule fois il a pu rencontrer sœur Emmanuelle de manière très rapide et il utilise cette rencontre de manière honteuse. D’après Wikipédia,  «  Au début des années 2000, il séjourne plusieurs mois en Égypte et travaille à l’ambassade de France au Caire. Il affirme avoir parallèlement donné des cours de français au sein de l’association de sœur Emmanuelle23. Le journal Le Monde émet des doutes quant à la véracité de cet épisode,, tout comme l’Association Sœur Emmanuelle, Asmae,  qui lui reprochera en outre d’exploiter « l’image d’une des personnalités préférées des Français pour donner du crédit à ses propos »26.. Asmae, l’Association Sœur Emmanuelle, a publié un nouveau communiqué dénonçant des «tentatives d’utilisation» de l’image de la religieuse, avec laquelle Laurent Wauquiez a longtemps revendiqué une forme de proximité. «Asmae intervient pour préciser, une nouvelle fois, que Laurent Wauquiez utilise sœur Emmanuelle pour donner du crédit à son image», amorce le communiqué avant d’enchaîner: «Monsieur Wauquiez peut participer à tous les déjeuners qu’il souhaite, mettre tous les portraits possibles de la religieuse dans son bureau, depuis l’année passée rien n’a changé, il ne fait toujours pas partie des proches de sœur Emmanuelle.» Déjà la veille, dans les colonnes du Monde , sa directrice générale, Catherine Alvarez, a déclaré ne pas être «sûre que les opinions de M. Wauquiez auraient été du goût de sœur Emmanuelle». La charge est violente, mais n’est pas nouvelle. En 2016, la patronne d’Asmae, association de solidarité internationale fondée par sœur Emmanuelle en 1980, expliquait sur France 2 qu’elle ne conservait aucun souvenir d’une quelconque amitié entre le patron de la Région Auvergne-Rhône-Alpes et l’intéressée.

 

 

Emmanuelle Cosse à propos de son cumul de mandat : « merde à la fin »

Emmanuelle Cosse à propos de son cumul de mandat : « merde à la fin »

 

Emmanuelle Cosse commence à être sérieusement agacée à propos de la critique concernant son double mandat d’élus régionaux et de ministres. La ministre écolo a notamment été mis en cause dans le petit journal. L’émission de Canal+ qui a diffusé vendredi une séquence où l’un de ses journalistes questionne la nouvelle ministre du Logement entre deux séances au conseil régional d’Ile-de-France, où elle est toujours élue. Le sujet rappelait ses promesses de campagne (« des élus uniquement engagés dans leur mandat, des élus garantis sans cumul ») et celles de François Hollande (« Moi président de la République, les ministres ne pourront pas cumuler leurs fonctions avec un mandat local ») et interrogeait l’ex-EELV sur ses contradictions.  D’abord les explications : « cumuler, c’est avoir deux mandats. « Etre ministre, est-ce un mandat? Non! Alors où est le problème », se défend-elle. Le journaliste, face à elle, ne se démonte pas, persiste et lui dit qu’elle joue sur les mots. Puis arrive l’exaspération : « Merde à la fin », suivi ensuite par « Vous contribuez à dénigrer le travail des élus locaux […], le FN est très content de tout ça. » La ministre-conseillère régionale a souhaité répondre samedi à la polémique. « Un mandat d’élu d’opposition n’est pas une fonction exécutive », ajoute-t-elle sur sa page Facebook. « Ma situation n’est en rien en contradiction avec la loi sur le cumul qui entrera en vigueur en 2017; je respecte la charte du gouvernement et l’engagement du Président de la République, qui veut que les ministres ne cumulent pas leur fonction avec un mandat dans un exécutif local (maire, maire-adjoint, président ou vice-président de Conseil départemental ou de Conseil régional) », précise-t-elle encore, même si, dans sa tirade « Moi président », jamais François Hollande n’a signifié qu’il ne parlait que des fonctions de membre d’un exécutif local. Et de proposer un « statut de l’élu local » qui permettrait, comme c’est le cas pour les parlementaires, que les élus locaux soient assurés de retrouver leur mandat après un passage dans un ministère. « On peut être en désaccord avec mon choix mais je n’accepte pas qu’il soit caricaturé de manière outrancière et malhonnête », poursuit-elle. Le Petit journal démontrait également que la ministre ne prenait pas part aux votes régionaux traitant des sujets de son ministère, le logement. Emmanuelle Cosse se défendait en expliquant qu’il s’agit du règlement intérieur du conseil régional

Emmanuelle Cosse virée des verts

Emmanuelle Cosse virée des verts

Subtilité dialectique chez les verts ;  puisque la radiation n’existe pas dans les statuts, Europe écologie Les Verts a considéré les trois anciens membres du parti devenus ministres comme démissionnaires. Emmanuelle Cosse notamment paie son maroquin. La ministre du Logement a été radiée d’Europe Ecologie Les Verts lors de son entrée au gouvernement. «Considérée comme démissionnaire», nuance le porte-parole du parti écologiste, Julien Bayou. L’ancienne secrétaire nationale avait souhaité «se mettre en retrait», alors qu’elle devenait ministre sans l’accord de son parti. «Elle n’a pas jugé nécessaire de discuter avec la direction de l’opportunité d’entrer au gouvernement», tacle Julien Bayou.

Le 16 février, le bureau exécutif national a donc demandé au bureau régional d’Île-de-France d’exclure Emmanuelle Cosse. «La radiation n’existe pas chez nous. Politiquement, nous avons toutefois considéré que c’était une démission», détaille Jean-Luc Dumesnil, co-secrétaire régional d’Île-de-France. «Se mettre en retrait, explique Julien Bayou, ça ne veut pas dire avoir le droit d’aller porter des positions contraires à celles d’EELV, comme la déchéance de nationalité ou la loi El Khomri. Nous ne sommes pas masochistes». Contre sa participation au gouvernement Valls II, Emmanuelle Cosse a obtenu des gages sur «une consultation citoyenne pour l’aéroport de Notre-Dame-des-Landes et la centrale nucléaire de Fessenheim», explique un cadre du parti. Le lien entre l’exécutif et EELV, déjà effiloché, est désormais rompu: aucun des trois ministres écologistes n’est plus affilié au parti, puisque Jean-Vincent Placé et Barbara Pompili ont déjà rendu leurs cartes.

 

Le PS a besoin des écolos (Emmanuelle Cosse )…. pour quoi faire ?

Le PS a besoin des écolos (Emmanuelle Cosse )…. pour quoi faire ?

Visiblement les écolos souhaiteraient bien revenir au gouvernement après leurs déclarations d’allégeance aux propos environnementaux de Hollande. Des écolos au gouvernement, pourquoi pas mais pour quoi faire ? Une loi Duflos qui a contribué à déstabiliser un peu plus le secteur immobilier ? Pour donner des idées relatives à cette fameuse  conférence internationale qui se tiendra à Paris fin 2015. Il y a sans doute d’autres personnalités d’autres organisations que les écolos politisés pour nourrir le débat. En faut surtout parce que les écolos risquent de disparaitre de l’échiquier politique lors des départementales et régionales sans l’aide du PS. Les verts sont comme le PS, incompétents en matière d’économie il se recentre sur les questions sociales, plus consensuelles, plus difficiles à évaluer quant aux résultats. Hollande lui rêve d’une grande charte internationale à l’image de la charte sur les droits de ‘Lhomme, on peut penser que les écolos eux rêvent d’une grande taxe qui  à défaut de peser sur les équilibres environnementaux pourra peser sur les prélèvements obligatoires. Pour faire bref, on se demande vraiment pourquoi le PS aurait besoin des écolos !   »Les socialistes ont besoin des écologistes pour avancer », a pourtant  estimé Emmanuelle Cosse samedi 3 janvier. La secrétaire nationale d’Europe Écologie-Les Verts a évoqué la conférence climat, qui se déroule à Paris à la fin de l’année, et que François Hollande a déjà commencé à préparer. « Ce sommet est cher à tous ceux qui veulent   »La crise climatique a un impact sur l’économie, la sécurité », a rappelé Emmanuelle Cosse. Selon elle, « Fabius et Royal vont être très importants » pour cet événement, qui réunira des chefs d’État du monde entier du 30 novembre au 13 décembre. « Le gouvernement doit obtenir un engagement contraignant des participants« , demande la patronne des écologistes.   Interrogée sur une éventuelle participation de son parti dans l’équipe de Manuel Valls, elle répète que « lorsque Jean-Marc Ayrault est parti, les conditions n’étaient plus réunies ». Mais si « la question n’est pas si simple » désormais, « c’est toujours mieux quand il y a de l’écologie dans un gouvernement », plaide Emmanuelle Cosse, qui ne semble pas insensible aux récents appels du pied de l’exécutif envers son camp.




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