Archive pour le Tag 'embrouille'

Alimentaire- « caddie anti-inflation », une nouvelle embrouille du gouvernement

Alimentaire- « caddie anti-inflation », une nouvelle embrouille du gouvernement


Alors que l’inflation persiste et atteint des sommets notamment dans l’alimentaire et dans l’énergie, le gouvernement joue la stratégie de l’embrouille. Au lieu d’imposer aux professionnels de la distribution et aux industriels une renégociation immédiate des prix, le ministre de l’économie et l’inutile Olivia Grégoire, supposée ministre des PME, inventent un nouveau concept : le caddie anti inflation à la place du panier ( 5000 produits seraient concernés sur environ 30 000). Un panier anti inflation complètement virtuel; aucun résultat sérieux à attendre d’un point de vue statistique . cela a seulement généré le baratin du gouvernement. Dans le même temps évidemment, on apprend que les dividendes dans le monde entier mais surtout en France ont atteint des niveaux tout à fait exceptionnels. Le fonds monétaire international reconnaît lui-même que si les hausses sont dues à hauteur de 40 % à l’inflation par contre 45 % provient de l’augmentation des profits.

Évidemment cette initiative de caddie anti inflation vise à masquer l’exceptionnel envolé des prix de l’alimentaire. Des prix qui ont augmenté d’au moins 20 % sur deux ans alors que les salaires ont été amputés de 4 à 5 % par l’inflation. Le gouvernement fait de l’agitation à propos du pouvoir d’achat. Il n’est même pas capable de mettre immédiatement autour d’une table d’un côté les industriels de l’autre les supermarchés qui en définitive profitent de cette inflation.

Pourtant, depuis des mois, l’exécutif veut que ces professionnels reprennent langue, se remettent autour de la table et rouvrent des négociations commerciales. Alors que le cours de plusieurs matières premières – blé, céréales etc -, est en baisse, il souhaite que ces réductions se répercutent sur les étiquettes, dans les rayons. Mais le gouvernement se montre incapable d’imposer cette négociation et ne la veut sans doute pas en réalité

« Les consommateurs se privent de produits essentiels », c’est en ces termes alarmistes, qu’Alexandre Bompard s’exprimait ce mardi matin, sur FranceInfo. Le PDG de Carrefour fait état d’un véritable « tsunami de déconsommation », enregistrant des baisses des ventes à deux chiffres sur de nombreux produits – dentifrice, serviettes hygiéniques, couches… mais aussi poissons, viande, fruits frais etc-. Et d’ajouter, « les Français sautent des repas, pour faire des économies….»

Même son de cloche du côté de Dominique Schelcher, le patron de Système U. Dans un post sur LinkedIn, il confirme les données d’une enquête LSA : « 75 % des Français déclarent avoir des fins de mois difficiles… ce chiffre est une alerte majeure, le bouleversement est profond. »

Dans ce contexte, le gouvernement craint que la colère des Français n’éclate. Septembre est un mois souvent difficile pour les familles. Beaucoup ne parviennent pas à boucler les budgets. Aussi, ce mardi, en marge de la REF, Bruno Le Maire, le ministre de l’Economie a-t-il insisté : « Payer moins cher est la priorité des Français. Et notre priorité. On doit tous se serrer les coude s».

Aussi le ministre compte-t-il demander aux industriels et distributeurs d’élargir le nombre de produits sur lesquels ils peuvent baisser les prix. « Je souhaite que plus d’industriels s’engagent contre la vie chère et plus fortement. Et je souhaite que ces décisions soient inscrites dans le temps. » Et du côté d’Olivia Grégoire, chargée des PME qui suit également le dossier, on veut leur demander de passer « du panier au caddie inflation. »…. Du vrai guignol !

Prix de l’alimentaire : « du panier au caddie anti-inflation », une nouvelle embrouille du gouvernement

Prix de l’alimentaire : « du panier au caddie anti-inflation », une nouvelle embrouille du gouvernement


Alors que l’inflation persiste et atteint des sommets notamment dans l’alimentaire et dans l’énergie, le gouvernement joue la stratégie de l’embrouille. Au lieu d’imposer aux professionnels de la distribution et aux industriels une renégociation immédiate des prix, le ministre de l’économie et l’inutile Olivia Grégoire, supposée ministre des PME, inventent un nouveau concept : le caddie anti inflation à la place du panier ( 5000 produits seraient concernés sur environ 30 000). Un panier anti inflation complètement virtuel; aucun résultat sérieux à attendre d’un point de vue statistique . cela a seulement généré le baratin du gouvernement. Dans le même temps évidemment, on apprend que les dividendes dans le monde entier mais surtout en France ont atteint des niveaux tout à fait exceptionnels. Le fonds monétaire international reconnaît lui-même que si les hausses sont dues à hauteur de 40 % à l’inflation par contre 45 % provient de l’augmentation des profits.

Évidemment cette initiative de caddie anti inflation vise à masquer l’exceptionnel envolé des prix de l’alimentaire. Des prix qui ont augmenté d’au moins 20 % sur deux ans alors que les salaires ont été amputés de 4 à 5 % par l’inflation. Le gouvernement fait de l’agitation à propos du pouvoir d’achat. Il n’est même pas capable de mettre immédiatement autour d’une table d’un côté les industriels de l’autre les supermarchés qui en définitive profitent de cette inflation.

Pourtant, depuis des mois, l’exécutif veut que ces professionnels reprennent langue, se remettent autour de la table et rouvrent des négociations commerciales. Alors que le cours de plusieurs matières premières – blé, céréales etc -, est en baisse, il souhaite que ces réductions se répercutent sur les étiquettes, dans les rayons. Mais le gouvernement se montre incapable d’imposer cette négociation et ne la veut sans doute pas en réalité

« Les consommateurs se privent de produits essentiels », c’est en ces termes alarmistes, qu’Alexandre Bompard s’exprimait ce mardi matin, sur FranceInfo. Le PDG de Carrefour fait état d’un véritable « tsunami de déconsommation », enregistrant des baisses des ventes à deux chiffres sur de nombreux produits – dentifrice, serviettes hygiéniques, couches… mais aussi poissons, viande, fruits frais etc-. Et d’ajouter, « les Français sautent des repas, pour faire des économies….»

Même son de cloche du côté de Dominique Schelcher, le patron de Système U. Dans un post sur LinkedIn, il confirme les données d’une enquête LSA : « 75 % des Français déclarent avoir des fins de mois difficiles… ce chiffre est une alerte majeure, le bouleversement est profond. »

Dans ce contexte, le gouvernement craint que la colère des Français n’éclate. Septembre est un mois souvent difficile pour les familles. Beaucoup ne parviennent pas à boucler les budgets. Aussi, ce mardi, en marge de la REF, Bruno Le Maire, le ministre de l’Economie a-t-il insisté : « Payer moins cher est la priorité des Français. Et notre priorité. On doit tous se serrer les coude s».

Aussi le ministre compte-t-il demander aux industriels et distributeurs d’élargir le nombre de produits sur lesquels ils peuvent baisser les prix. « Je souhaite que plus d’industriels s’engagent contre la vie chère et plus fortement. Et je souhaite que ces décisions soient inscrites dans le temps. » Et du côté d’Olivia Grégoire, chargée des PME qui suit également le dossier, on veut leur demander de passer « du panier au caddie inflation. »…. Du vrai guignol !

Inflation et Prix de l’alimentaire : « panier au caddie inflation », une nouvelle embrouille du gouvernement

Inflation et Prix de l’alimentaire : « panier au caddie inflation », une nouvelle embrouille du gouvernement


Alors que l’inflation persiste et atteint des sommets notamment dans l’alimentaire et dans l’énergie, le gouvernement joue la stratégie de l’embrouille. Au lieu d’imposer aux professionnels de la distribution et aux industriels une renégociation immédiate des prix, le ministre de l’économie et l’inutile Olivia Grégoire, supposée ministre des PME, inventent un nouveau concept : le caddie anti inflation à la place du panier ( 5000 produits seraient concernés sur environ 30 000). Un panier anti inflation complètement virtuel; aucun résultat sérieux à attendre d’un point de vue statistique . cela a seulement généré le baratin du gouvernement. Dans le même temps évidemment, on apprend que les dividendes dans le monde entier mais surtout en France ont atteint des niveaux tout à fait exceptionnels. Le fonds monétaire international reconnaît lui-même que si les hausses sont dues à hauteur de 40 % à l’inflation par contre 45 % provient de l’augmentation des profits.

Évidemment cette initiative de caddie anti inflation vise à masquer l’exceptionnel envolé des prix de l’alimentaire. Des prix qui ont augmenté d’au moins 20 % sur deux ans alors que les salaires ont été amputés de 4 à 5 % par l’inflation. Le gouvernement fait de l’agitation à propos du pouvoir d’achat. Il n’est même pas capable de mettre immédiatement autour d’une table d’un côté les industriels de l’autre les supermarchés qui en définitive profitent de cette inflation.

Pourtant, depuis des mois, l’exécutif veut que ces professionnels reprennent langue, se remettent autour de la table et rouvrent des négociations commerciales. Alors que le cours de plusieurs matières premières – blé, céréales etc -, est en baisse, il souhaite que ces réductions se répercutent sur les étiquettes, dans les rayons. Mais le gouvernement se montre incapable d’imposer cette négociation et ne la veut sans doute pas en réalité

« Les consommateurs se privent de produits essentiels », c’est en ces termes alarmistes, qu’Alexandre Bompard s’exprimait ce mardi matin, sur FranceInfo. Le PDG de Carrefour fait état d’un véritable « tsunami de déconsommation », enregistrant des baisses des ventes à deux chiffres sur de nombreux produits – dentifrice, serviettes hygiéniques, couches… mais aussi poissons, viande, fruits frais etc-. Et d’ajouter, « les Français sautent des repas, pour faire des économies….»

Même son de cloche du côté de Dominique Schelcher, le patron de Système U. Dans un post sur LinkedIn, il confirme les données d’une enquête LSA : « 75 % des Français déclarent avoir des fins de mois difficiles… ce chiffre est une alerte majeure, le bouleversement est profond. »

Dans ce contexte, le gouvernement craint que la colère des Français n’éclate. Septembre est un mois souvent difficile pour les familles. Beaucoup ne parviennent pas à boucler les budgets. Aussi, ce mardi, en marge de la REF, Bruno Le Maire, le ministre de l’Economie a-t-il insisté : « Payer moins cher est la priorité des Français. Et notre priorité. On doit tous se serrer les coude s».

Aussi le ministre compte-t-il demander aux industriels et distributeurs d’élargir le nombre de produits sur lesquels ils peuvent baisser les prix. « Je souhaite que plus d’industriels s’engagent contre la vie chère et plus fortement. Et je souhaite que ces décisions soient inscrites dans le temps. » Et du côté d’Olivia Grégoire, chargée des PME qui suit également le dossier, on veut leur demander de passer « du panier au caddie inflation. »…. Du vrai guignol !

Fillon : l’embrouille des 30.000 euros de « prêts familiaux »

Fillon : l’embrouille des 30.000 euros de « prêts familiaux »

 

 

François Fillon ne cesse d’accuser la justice, les médias et le gouvernement de fomenter un complot pour salir son image concernant notamment l’origine de ses revenus et sa situation financière. Malheureusement force est de constater que François Fillon plombe lui-même sa propre image par exemple en indiquant notamment un prêt qui aurait été consenti par sa fille et dont l’objet était de payer son arriéré d’impôts ;  un prêt douteux qui s’ajoute à l’autre prêts de 50 000 € consentis par son ami millionnaire sans intérêt et sans délai de remboursement (en fait vraisemblablement initialement un don). François Fillon ne cesse de s’enfoncer lui-même avec ses déclarations contradictoires et ses mensonges. L’accumulation de ces contradictions devrait rapidement se traduire dans les intentions de vote et il est probable que Fillon sera prochainement plus proche de 15% que de 20 %. Bref une véritable descente aux enfers pour celui qui voulait incarner la rigueur. François Fillon a donc  apporté, dans une déclaration publiée mercredi, des précisions à l’estimation de son patrimoine par rapport à une précédente version remontant au mois de décembre, notamment concernant des « prêts familiaux » de 30.000 euros. Cette somme apparaît dans une déclaration, datée du 16 mars, qu’il devait transmettre au Conseil constitutionnel pour concourir à la présidentielle mais pas dans un document dévoilé par son équipe de campagne en février, au moment des premières révélations sur les rémunérations perçues par sa famille. A propos de ces « prêts familiaux », François Fillon précise dans sa déclaration qu’ils remontent aux 8 et 9 septembre 2016 et qu’ils doivent être remboursés en plusieurs fois avant le 31 décembre 2017. Cette somme a été prêtée par sa fille et avait pour objet de « payer le solde des impôts », dit-on dans l’entourage du candidat, interrogé par Reuters. Dans le formulaire envoyé au Conseil apparaît également un prêt de 50.000 euros, qui semble correspondre à celui consenti par son ami Marc Ladreit de Lacharrière, dont l’existence a été révélée au cours de l’enquête judiciaire ouverte fin janvier. Les magistrats soupçonnent François Fillon de ne pas l’avoir déclaré, comme il aurait dû le faire, à la Haute autorité de la vie publique (HATVP). Autre différence entre les déclarations de décembre et de mars : la valeur estimée de sa société de conseil passe de 11.518 euros à 97.888 euros. L’ex-Premier ministre n’a en revanche pas révisé l’estimation de ses biens immobiliers, en particulier sa vaste propriété située dans la Sarthe, dont la valeur s’élèverait à 750.000 euros.

SNCM : l’embrouille

SNCM : l’embrouille

 

Difficile de voir clair dans le dossier de la SNCM. Les liquidateurs judicaires  avaient affirmé que l’Etat et Transdev souhaitaient la liquidation. Ce qui est démenti par le gouvernement.  Les actionnaires de la SNCM, l’Etat et Transdev, ont en effet démenti les affirmations des administrateurs judiciaires de la compagnie maritime qui les accusent de vouloir accélérer la liquidation de l’entreprise placée en redressement judiciaire.  « C’est totalement faux de dire que l’Etat souhaite la liquidation de l’entreprise », a déclaré le secrétaire d’Etat aux Transports Alain Vidalies samedi sur France Info. « C’est exactement le contraire. Le gouvernement souhaite la reprise », a-t-il ajouté, jugeant l’interprétation des administrateurs « erronée » et « sans fondement ».  En fait c’est une  sorte de poker menteur qui se joue car tant que l’  hypothèque des 400 millions d’aides publiques à rembourser n’est pas levée (comme l’exige Bruxelles) toute reprise est impossible. Seule la liquidation est donc nécessaire pour éviter ce remboursement et trouver uen repreneur. Mais vraisemblablement une reprise impliquera de fortes restructurations ( et des pertes d’emplois) dans la desserte de la Corse ; la gestion actuelle s’étant  révélée catastrophique pour les finances publiques et les actionnaires Dénonçant un « courrier mensonger » contenant de « nombreuses contre-vérités », Transdev, coentreprise entre Veolia et la Caisse des dépôts et actionnaire majoritaire, indique avoir tout « entrepris depuis des mois afin de préserver un maximum d’activités et d’emplois ». De son côté, le conseil de l’actionnaire, Me Alexandra Bigot, s’élève contre une affirmation qui ne « reflète ni le droit ni la pratique ».   »La liquidation ne constitue en effet pas une condition imposée par les actionnaires, et encore moins un préalable, mais bien une étape procédurale inéluctable après l’arrêté d’un plan de cession », dit-elle.

 




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